Caro18
Membres-
Compteur de contenus
1 810 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Forums
Blogs
Boutique
Calendrier
Téléchargements
Galerie
Articles animaux
Sites
Annuaire animalier
Petites annonces
Tout ce qui a été posté par Caro18
-
Saguenay - Chats torturés Une cruauté inqualifiable Vincent Larouche Le Journal de Montréal 24/01/2008 05h59 La SPCA espère que la découverte de quatre chats affreusement torturés va relancer le débat sur les peines à imposer aux bourreaux des animaux, qui seraient de plus en plus nombreux au Québec. Votre opinion: Devrait-on être plus sévère avec les gens qui maltraitent les animaux? http://blogue.canoe-inc.com/opinion/2008/01/24/devrait_on_etre_plus_severe_avec_les_gen Lundi, la section saguenéenne de la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux a découvert les cadavres de quatre chats qui avaient visiblement été torturés avant d'être jetés dans un sac à poubelle, dans un quartier résidentiel de Saint- Honoré. Selon les premiers éléments d'enquête de l'organisme, les animaux auraient été maintenus par une personne pendant qu'une autre les frappait, probablement avec un marteau. En pleurs «En 16 ans de carrière, je n'avais jamais rien vu de tel. Ce n'était pas plaisant. La jeune fille qui est venue dénoncer ce cas-là à nos bureaux était en pleurs», raconte Sylvie Tremblay, enquêtrice à la SPCA. Selon le directeur général de la SPCA, Pierre Barnoti, les cas de torture d'animaux dans ce genre seraient en hausse ces dernières années au Québec, une situation qui devrait interpeller les élus, croit-il. «Ce sont des situations que nous rencontrons de plus en plus, la problématique est beaucoup plus sérieuse qu'on ne le pense. Sans compter les cas qui ne sont jamais rapportés», estime M. Barnoti, qui est en contact avec les sections locales de la SPCA sur l'ensemble du territoire. Maximum 2000 $ Le directeur général espère que le cas de Saint-Honoré poussera la population et le gouvernement à réclamer des peines plus sévères dans les cas de cruauté envers les animaux. «Souvent, dans un cas comme celui qui est arrivé à Saint-Honoré, les gens s'en tirent avec 500 $ d'amende, déplore- t-il. Pour les récidivistes, l'amende ne monte pas en haut de 2000 $. Il faudrait être plus sévères. Ces gens-là finissent par frapper un être humain si on les laisse continuer», dit-il. http://www2.canoe.com/infos/societe/archives/2008/01/20080124-055907.html
-
Un commentaire que je n'avais pas lu Vos réactions Merci Brigitte Paul-Elie Bert (dagobert@videotron.ca) Envoyé Le jeudi 23 mars 2006 08:00 Demander à L.-G. Frencoeur de commenter l'intervention de BB dans le dossier chasse aux phoques c'est comme demander à un renard de garder un poulailler. Un chasseur défendra toujours un autre chasseur. De plus, plusieurs hommes ne pardonnent pas à BB d'avoir délaissé sa carrière d'objet sexuel au cinéma pour se porter à la défense de ceux qui ne peuvent le faire eux-mêmes: les animaux. J'ai le plus grand respect pour madame Bardot et sa cause, à laquelle elle consacre tout son temps depuis plus de 30 ans. Remettez-vous de votre déception messieurs. L.-G. Francoeur n'a aucune crédibilité à mes yeux quand il s'agit de chasse et pêche, il est comme la Tour de Pise, il penche toujours du même côté. La chasse aux phoques est cruelle, barbare, indigne et répugnante, elle ne peut être défendue d'aucune façon. Bravo Brigitte, je t'aime infiniment et continue le combat. Je te souhaite une bonne santé et une longue vie afin de pouvoir encore longtemps te consacrer à ta noble mission. Chantal Bissonnette
-
Quand on a du panache Serge Côté Journal de Québec Dimanche, 21 octobre 2007 En fin de semaine dernière, nous sommes allés fermer le chalet pour l'hiver. Incroyable comme le paysage d'automne en haute Mauricie est de toute beauté. Les rouges, verts, jaunes et orangés enflamment les montagnes. Et lorsque le temps est calme et que tout cela se dédouble dans l'eau, c'est tout simplement divin. Et puis vint la vision d'horreur : une tête d'orignal sur la cabine d'un pick-up, d'un gros pick-up. Vous auriez dû voir ça au poste d'essence. Des camions de toutes sortes. Des gars en "habits de bois", la barbe pas faite. Certains avaient déjà plusieurs bières dans le corps. Évidemment, il y avait aussi des chasseurs sobres, au comportement correct qui ne hurlaient pas dans le dépanneur. Mais les autres... Fous comme de la merde, rêvant d'un panache. Une fin de semaine de "gars", avec des sandwiches et de la bière en masse. Certains de mettrons même pas les pieds hors du camp de chasse. Au moins ils ne feront pas de dégats! Je me suis demandé ce qui pouvait pousser quelqu'un à vouloir tuer une telle bête. Il y a des dizaines d'années, des pères de famille devaient chasser et pêcher pour assurer à leur famille une bouffe abondante, parce que leur salaire ne le permettait pas s'ils voulaient assumer les autres responsabilités. Les familles encruchonnaient le lièvre, l'orignal, la perdrix et la truite. On mangeait ces prises sous toutes les formes imaginables, à un point tel qu'aujourd'hui, plusieurs enfants de cette époque ne peuvent plus manger de nourriture sauvage. Ils en sont saturés. Au moins, les buts étaient généralement nobles. Sauf dans le cas des Américains fortunés qui venaient chasser sur leurs clubs dans le nord du Québec, simplement pour le plaisir. Ils avaient des guides qui s'occupaient de tous les besoins de ces petits messieurs. Il y avait des servantes qui faisaient la bouffe et assuraient l'entretien ménager. Il arrivait même que les guides allaient chasser et ramenaient une proie. L'Américain pouvait repartir avec le panache, qu'il accrocherait bien en vue, semant l'étonnement et l'admiration. Aujourd'hui, on mange peut-être l'orignal et le chevreuil par goût, mais certes pas par besoin. Alors qu'est-ce qui motive les chasseurs? Le fait de passer une fin de semaine de "gars" n'est pas étranger au goût de chasser. Préparer tout le stock, vérifier et vérifier encore s'il ne manquerait pas quelque chose, faire l'épicerie et aller à la Société des alcools... Embarquer le tout dans la boite du camion avec le VTT, après avoir vérifié une autre fois si tout y était. Aller chercher un ou des copains. Se compter des pipes pendant le voyage. Tout "ranger" dans le chalet (pas question de ranger comme on le fait à la maison parce que la conjointe chiâle...). Préparer un repas (sandwich au beurre de peanut et gin) en prenant quelques petites bières. Quelle vraie vie! Mais tout ça n'explique pas que ce besoin des chasseurs s'exprime bien souvent seulement pendant la période de chasse. Pourquoi ne pas faire tout cela (sauf chasser) en d'autres moments? Et c'est là qu'on met le doigt sur la véritable motivation du chasseur : tuer! Faire plier l'échine aux animaux est un bon moyen de se revaloriser, de se prouver qu'on est un "mâle" tout ce qu'il y a de plus mâle. Pas grave si on peut tirer avec précision à des distances faramineuses et que l'animal n'aura aucune chance. Une fois qu'il est par terre, agonisant ou déjà mort, on peut admirer son oeuvre. Quelques heures plus tard, la bête sera dans la boite du pick-up, mais la tête sera sur le capot ou la cabine. "Regardez, je suis un vrai gars"...pour une fin de semaine! ============================================== Chasse et tolérance Réponse à l'article de Serge Côté paru dans le Journal de Québec du dimanche, 21 octobre 2007. Je n'arrive pas à décider si votre chronique, M. Côté, est un billet d'humeur où vous étalez vos états d'âmes ou un texte humoristique auquel on ne saurait accorder aucune crédibilité. Le fait est que vos derniers propos, parus dans l'édition de dimanche, sont offensants pour les chasseurs qui ne demandent qu'à pratiquer leur activité sans être ridiculisés. Il ne m'a pas échappé que, le temps d'une ligne, vous constatez qu'il existe des chasseurs au comportement plus qu’acceptable. Néanmoins, après avoir exprimé votre dégoût personnel à l'endroit de quelques fêtards et de leur trophée, vous étendez votre suspicion aux motivations de tous les chasseurs. Vous en profitez pour lancer quelques âneries, comme celle voulant que des personnes soient dégoutées de la viande de chasse "pour en avoir trop mangé", alors qu'on sait bien qu'il ne s'agit là que d'un menu saisonnier qui n'a pas servi d'alimentation de base depuis plus d'un siècle. Si vous vous étiez interrogé sur le goût que les chasseurs ont pour la viande sauvage et pour le défi de ramener soi-même son gibier, vous auriez pu, M. Côté, faire des découvertes. Vous rendre compte que la chasse est de plus en plus une activité familiale. Que le quart du recrutement des chasseurs se fait auprès des femmes. Que la chasse est un outil de gestion nécessaire pour contrôler les accidents routiers et les dommages agricoles et forestiers causés par la faune, en plus d’être un apport économique important pour les régions. Que le défi y est toujours présent, puisque loin de ne laisser aucune chance à l'animal, et en dépit des moyens modernes, trois chasseurs sur cinq reviennent bredouille d'une chasse au gros gibier (ce que confirment les statistiques). En cette époque qui prône la tolérance et la compréhension, vous auriez pu interroger des chasseurs sur leurs motivations et découvrir une façon d'apprécier la nature qui vous est étrangère. Vous avez préféré ressasser de vieux clichés anti-chasse du haut de votre tribune avec l'assurance de celui qui sait. Vous jugez ainsi les centaines de milliers de chasseurs de gros gibier au Québec. J'ai pourtant cherché, M. Côté, un point d'ironie, un geste d'humour, dans votre chronique. Votre fausse indignation, comme celle de tous les mangeurs de viande qui méprisent la chasse, est à pleurer. Testostéronement vôtre, Geneviève Clavet Responsable des relations publiques Fédération québécoise de la faune http://www.fqf.qc.ca/nouvelles.php?id=396
-
-
Saguenay DANS FAITS DIVERS Quatre chats battus à coups de marteau Mise à jour : 22/01/2008 22h29 La nouvelle en vidéo Regardez le reportage d'Allison Ouellet VIDEO: http://lcn.canoe.ca/cgi-bin/player/video.cgi?file=/lcn/actualite/faits_divers/20080122_allison.wmv À Saguenay, deux jeunes hommes auraient battu à mort quatre chats vendredi dernier. Les deux hommes âgés d’une vingtaine d’années auraient tué les animaux en leur assénant des coups de marteau. Une dame a alerté la SPCA après avoir trouvé les corps des chats dans un sac de poubelles. L'organisme mène présentement son enquête. Des accusations criminelles de cruauté envers les animaux pourraient ensuite être portées. http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/faitsdivers/archives/2008/01/20080122-222915.html
-
Le mardi 22 janvier 2008 Cruauté animale à Saint-Honoré (tqs.ca) La SPCA vient d'ouvrir une enquête pour un cas flagrant de cruauté envers les animaux. Les cadavres de quatre chats battus à coups de marteaux ont été découverts à Saint-Honoré. Samedi matin, une jeune fille en pleurs s'est présentée au bureau de la SPCA de Jonquière. Elle tenait à dénoncer cette situation particulière. Hier matin, la directrice de la SPCA a obtenu un mandat de perquisition. Elle s'est rendue, en compagnie de policiers de la Sûreté du Québec, à une résidence de Saint-Honoré. Les cadavres des quatre chats ont été retrouvés dans les poubelles de l'endroit. Des personnes présentes à cette adresse ont livré leur version des faits concernant la mort des animaux, supposément frappés par un véhicule. Selon la directrice, les bêtes avaient très clairement été battues avec un objet contondant. La version des individus et les corps des animaux morts feront partis de la preuve qui sera déposée au procureur. Celui-ci devra déterminer si des accusations seront portées contre le ou les suspects. La SPCA profite de cet événement hors du commun pour rappeller qu'il est du devoir des propriétaires d'animaux de disposer correctement de leur animal quelle que soit la raison. http://www.tqs.ca/infos/saguenay/2008/01/Cruaute-animale-a-Saint-Honore-7417.php
-
Salut à vous tous! Je m'apelle André-Pierre Minville, j'ai 18 ans et je suis d'un petit village nommé Grande-Vallée, en Gaspésie (UGAF 70). Je suis trappeur depuis cet automne et aussi chasseur et pêcheur depuis longtemps! J'aime tout ce qui se rattache à la forêt et à la faune et c'est pourquoi j'étudie présentement en Technologie Forestière à Gaspé. Je chasse l'orignal, l'ours, le chevreuil, la perdrix, le lièvre (au collet) et je trappe tout ce qui a le statut d'animal à fourrure... À part ca, je suis un gars ben sympathique, rêveur et je possède toujours mon permis pour la femelle lol!! Bon j'espère que vous allez apprécier votre visite et laisser des commentaires en masse, je suis ouvert aux suggestions! P.S/ Si vous êtes pour me dire que c'est cruel de tuer de si belles bêtes... crissez moé votre camp tout de suite! Pas d'antis ou d'écos à la con... Il piège les animaux avec des trappes à rats http://gaspesiantrapper.skyrock.com/3.html
-
Nombre d'animaux utilisés au Canada entre 1975 et 2006 pour le total des animaux rapportés Depuis 2000 il y a eu une augmentation de ½ millions d'animaux de plus pour l'expérimentation au Canada! ANNÉES CHIFFRES 1975: 2 699 000 1980: 1 342 431 1982: 1 930 920 1985: 2 075 923 1986: 2 015 222 1989: 1 949 965 1991: 2 280 474 1992: 2 115 006 1993: 2 041 786 1994: 2 335 315 1995: 1 988 208 1996: 1 952 045 1997: 1 471 611 1998: 1 765 973 1999: 1 746 606 2000: 1 954 000 2001: 2 136 329 2002: 2 103 135 2003: 2 489 219 2004: 2 307 232 2005`2 316 285 2006: 2 535 989 Le chiffre officiel n'est plus de 2 millions, mais bien de 2, 535, 989 http://www.ccac.ca/fr/Publications/New_Facts_Figures/trends/trends_intro.htm#1 Confirmation que le Québec fournit plus de chiens que l'Ontario pour l'expérimentation Nombre de chiens utilisés en science au Canada en 2006 Chiens (total) d'élevage: 4 267 Chiens (total) de fourrière: 5 285 Grand total: 9 552 http://www.ccac.ca/fr/Publications/New_Facts_Figures/trends/trends_cdnh.htm Nombre de chiens utilisés au Québec: 4 984 http://www.ccac.ca/fr/Publications/New_Facts_Figures/table10/table10_index.htm Nombre de chiens utilisés en 2006 en Ontario : 3 034 http://www.ccac.ca/fr/Publications/New_Facts_Figures/table11/table11_index.htm Nombre de chiens utilisés en 2006 dans les provinces de l'Atlantique (Nouvelle-Écosse, Nouveau-Brunswick, Île-du-Prince-Édouard, Terre-Neuve: 540 http://www.ccac.ca/fr/Publications/New_Facts_Figures/table11/table11_index.htm Nombre de chiens utilisés en 2006 dans les provinces de l'Ouest (Manitoba, Saskatchewan, Alberta, Colombie-Britannique): 994 http://www.ccac.ca/fr/Publications/New_Facts_Figures/table12/table12_index.htm
-
APPORTEZ VOTRE VIN, ZUT NON, APPORTEZ VOS ANIAMUX ET VOS FOURRURES Quand: le 26 janvier 2008 Journée de dépiautage et apprêtage des peaux Apportez vos animaux à dépiauter, vos fourrures, vos outils et vos fûts, vous aurez ainsi la chance de pratiquez et d’avoir des conseils des PROS qui seront sur place. ¨ Commerçant d’articles de trappage ¨ Commerçant de fourrures ¨ Représentants des 2 maisons d’encan (apportez vos fourrures) ¨ Taxidermiste ¨ Tannerie ¨ Aiguisage de couteaux sur place ¨ Dîner sur place ¨ Nombreux prix de présences ¨ Toutes les associations affiliées à la FTGQ ont été personnellement invitées Dès 9h00, au Centre des loisirs 57, rue Martel , St-Joseph-de-Beauce (en face de l’église juste avant le pont) Infos (418) 397-4133 Entrée 2$ (membre ou non-membre http://pages.globetrotter.net/futspsj/Publier_fichiers/Page1035.htm Bonjour, Nous sommes Pascale Martel et Simon Jacques des trappeur depuis plusieurs années. Pour nous, ce loisir est une passion que nous aimerions transmettre à beaucoup d’entre vous et surtout à mon fils, Olivier. Ma conjointe me dit même parfois que ce n’est pas un hobby, mais une obsession… Comme le temps nous manque, nous trappons tout près de 250 animaux par année et tout cela en prenant un mois sans solde. Une passion n’a aucune limite… Poursuivre la lecture: http://pages.globetrotter.net/futspsj/Publier_fichiers/Page266.htm
-
Trapper, c’est un art selon Pascale Martel 21 Janvier 2008 à 08h54 Par: Jean-François Fecteau Journaliste - EnBeauce.com Pascale Martel et Simon Jacques, de l’entreprise les Fûts PSJ lors d'une démonstration à la Fête des Moissons. Photo: Courtoisie Elle ose rire cette salop. Pour répondre à une demande grandissante venant des trappeurs, Pascale Martel et Simon Jacques, de l’entreprise les Fûts PSJ tiennent une « Journée de dépiautage et d’apprêtage des peaux ». Elle se tiendra le 26 janvier prochain de 9h à 16h au Centre des Loisirs de Saint-Joseph. La trappe et le dépiautage constituent de vraies passions pour elle et son mari. Ils pratiquent ce loisir, vont à des encans et en en ont créé leur compagnie en 2003, Fûts PSJ. Ce couple passionné souhaitait avec cette première édition faire découvrir et démystifier le domaine du piégeage auprès de la population en général et des amateurs de ce loisir. Sous un concept différent, le thème de l’activité « C’est vous qui pratiquez ». Les nombreux professionnels du domaine présents apporteront leur aide et prodigueront de judicieux conseils. Les trappeurs pourront ainsi apporter leurs animaux à dépiauter, leurs fourrures, leurs outils et leurs fûts. Ils auront ainsi la chance de pratiquer, d'avoir l'avis des experts et connaître les défauts de leurs fourrures d’après Mme Martel. Cette journée selon Mme Martel permettra à certains trappeurs de pouvoir apprendre à bien apprêter leurs peaux. Certains sont bons trappeurs Toutefois, ils n’ont pas la patience et accorde peu de temps au dépiautage de l’animal. Pourtant, il s’agit d’un non-sens de ne pas prendre le temps de bien préparer la peau après avoir soigneusement préparé sa saison de trappe. Cela a un effet direct sur le prix de la fourrure à l’encan. « Plus la qualité de la peau est belle, plus la valeur du marché augmentera », explique Mme Martel. Les visiteurs auront aussi la chance de rencontrer des commerçants d’article de piégeage et de fourrures, une tannerie, un taxidermiste, les représentants des deux maisons d’encan. Ils pourront notamment assister à des techniques de dépiautage et d’apprêtage des peaux. Les participants verront et pourront faire l’aiguisage des couteaux par un professionnel et bien plus. Alors que pour plusieurs faire la trappe est un art qui requiert notamment de la patience, de la minutie et une bonne connaissance de son milieu. Le dépiautage constitue aussi un travail physique qui requièrent de la dextérité, de bons fûts et une bonne technique. Des passionnés du dépiautage seront là, dont un jeune trappeur reconnu pour ses talents, Sébastien Brisebois, 26 ans. Certaines associations dont la Fédération des trappeurs gestionnaires du Québec sera présente à l’événement. Un dîner sera disponible sur place ainsi que des rafraîchissements et diverses collations. Pour plus d’informations sur la « Journée de dépiautage et d’apprêtage des peaux », communiquez avec Pascale et Simon Jacques au (418) 397-4133 ou visitez le site Web au http://www.futspsj.com. Saine gestion de la biodiversité Souvent les gens se méprennent le piégeage avec cruauté des animaux. Toutefois, Mme Martel, un trappeur conscient de son environnement fera une gestion de son écosystème et du territoire. « D’ailleurs si mon mari attrape deux femelles renard par exemple dans un secteur. C’est fini, il ramasse ses affaires puisqu’il veut en avoir l’an prochain », explique-t-elle. De plus, la trappe permet de contrôler la prolifération de certaines espèces telles la mouffette et le raton par exemple. Les espèces protégées diffèrent par territoire selon leurs populations. Ici ce sont généralement, les coyotes, les renards, les ratons, les castors, les ours et d’autres espèces qui sont piégées. Une activité en perte de popularité Le piégeage est donc une activité économique et professionnelle, assure la gestion, le développement ainsi que la perpétuation dans le respect de la faune et de ses habitats d’après la Fédération des trappeurs gestionnaires du Québec (FTGQ). Celle-ci regroupe plus de 2000 trappeurs rassemblés en 13 associations régionales. La Fédération a lancé un projet en septembre dernier pour séduire la relève. De moins en moins de jeunes pratiquent ces activités. Au Québec, le piégeage est une activité commerciale, encadrée et effectuée par des professionnels reconnus par la Fédération. Des phénomènes importants tels que la rage, présente chez certaines espèces, incite la Fédération à redoubler d’efforts auprès des jeunes pour que l’activité se perpétue. De plus, cette dimension donne à notre activité un caractère social, relié directement à la santé publique. Le dépiautage de l'animal sera mis en valeur lors de cette activité S.V.P Vos commentaires sur cet article ( en bas de page ) : http://www.enbeauce.com/detail-actualite.asp?ID=7623
-
Yanick Poisson Le lundi 21 janvier 2008 Les animaux du Godzoo relocalisés La Société protectrice des animaux d'Arthabaska (SPAA) n'aura finalement pas trop mis de temps à trouver preneur pour les 725 bêtes qui se trouvaient sans propriétaire depuis l'incarcération de Robert Godbout, le 15 janvier dernier. L'organisme à but non lucratif a trouvé un acheteur unique pour l'ensemble des animaux qui constituaient le Godzoo. Les bêtes ont été déménagées, vendredi et samedi, de l'ancienne école de Saint-Rémi-de-Tingwick vers les terres d'un promoteur de la municipalité de Saint-Camille dont l'identité n'a pas été dévoilée. Qui a pris les animaux et surtout pourquoi? Le maire de Saint-Rémi, Jacques Fréchette, s'est dit satisfait et soulagé que l'épisode du Godzoo se termine aussi rapidement et que l'école située au milieu du village soit de nouveau saine. "Nous voulions que ça se fasse rapidement tout en s'assurant que les animaux soient bien traités. Enfin, nous pourrons tourner la page, ce dossier-là est terminé", a-t-il indiqué. Deux chiens euthanasiés En fait, ce ne sont pas 725, mais 723 animaux qui ont changé de mains au cours du week-end. Les trois vétérinaires de la SPAA dépêchés sur les lieux ont pris la décision d'euthanasier deux chiens craignant leur agressivité. Dans la majorité des cas toutefois, les bêtes étaient bien entretenues et jugées "adoptables". Il est important de noter que c'est la conjointe de M. Godbout, Odette Miller qui a rendu le verdict décisif concernant la vente des animaux. Cette dernière a indiqué à la SPAA qu'elle n'avait pas le temps nécessaire pour s'occuper des bêtes du fait qu'elle demeurait dans la région de Québec. Rappelons que Robert Godbout a été appréhendé par les policiers la semaine dernière et accusé formellement du meurtre au premier degré de Renée Vaudreuil, la directrice générale de Saint-Rémi-de-Tingwick. C'est en guise de protestation à une décision des autorités municipales que le suspect aurait tué sa victime avant de mettre le feu à l'hôtel de ville. http://www.cyberpresse.ca/article/20080121/CPTRIBUNE/801210904/5203/CPACTUALITES
-
Lettuce-dogs of China great example of cruelty of men! Look at the image. It shows lettuce-dogs of Fuzhou, China, doing their daily work. Yes, these dogs are used as the transporters of lettuce in China. Can you believe this? While most parts of the world are shifting away from a dog-based model, China still transports over 99% of its lettuce by dog. Who will think about these innocent animals? http://simplebrowser.blogspot.com/2007/10/lettuce-dogs-of-china.html LINK: Here we get a glimpse into the secretive world of lettuce-transportation, as the lettuce-dogs of Fuzhou, China, go about their daily work. While some parts of the world are shifting away from a dog-based model, and you will rarely see a lettuce-dog in the UK outside of Cumbria, China still transports over 99% of its lettuce by dog. Note that the dog on the left is transporting what appears to be a courgette. This is normal for dogs who are still in their training period - 'pale fronds', in the jargon of lettucewrangling - or who have been demoted as a punishment for dumb insolence. We hope you now know more about lettuce. http://www.metro.co.uk/weird/article.html?in_article_id=70047&in_page_id=2 Top salesman [Xiao-Huang] promote the sales of Water caltrops Banque d'images http://www.pbase.com/boogier/xiao_huang
-
Le dimanche 20 janvier 2008 L'écolo se servira saignant en 2008 : ( MONSIEUR Antarctique ) Jean Lemire La Presse Collaboration spéciale Comment prendrez-vous votre écolo en 2008? À la légère, sérieusement ou encore en ferez-vous l'une de vos victimes préférées? Je vous prédis une année difficile pour ceux et celles qui s'occupent des questions environnementales au pays. Le balancier aurait-il amorcé son retour, peut-être pour contrebalancer la présente tendance qui vise à élever de plus en plus l'écologisme au rang de doctrine, limitant ainsi la progression du courant de pensée actuel, pourtant en plein développement? Le cadre idéologique de «notre passage au vert» se heurtera-t-il à une certaine lassitude devant la culpabilisation maintes fois répétée des simples consommateurs qui, devant l'acharnement des purs et durs de l'environnement, ont de plus en plus le sentiment que le mouvement vert dépasse les limites? Au lieu de féliciter la population pour les progrès accomplis, certains écolos profitent de la situation pour exiger des changements radicaux dans les habitudes de vie de monsieur et madame Tout-le-Monde. On sait depuis longtemps que la production de boeuf contribue de façon importante à l'augmentation des gaz à effet de serre sur la planète. Un récent rapport publié par Greenpeace a permis de chiffrer le coût environnemental du bifteck dans notre assiette. Exercice intéressant et important, pour bien comprendre l'impact d'un geste pourtant banal de notre quotidien. La nouvelle a rapidement été reprise dans les médias, et nous avons assisté à une incroyable dérive de l'information. Au lieu d'informer adéquatement la population sur les effets de l'élevage de boeuf et de demander aux consommateurs de diminuer progressivement leur consommation de viande rouge - une recommandation pourtant présente dans la plupart des guides sur les actions à mener pour diminuer notre empreinte écologique -, certains écolos ont profité des conclusions du rapport pour promouvoir le végétarisme. Monsieur veut continuer à manger son steak bien saignant Je n'ai rien contre le végétarisme, l'ayant pratiqué pendant une bonne partie de ma vie. Mais demander à ma mère, fille d'un cultivateur de survivance, de bannir le boeuf de son alimentation serait peine perdue. Et la rendre coupable d'un tel acte sanglant de barbarisme risque de la faire «décrocher», de la décourager dans son petit combat quotidien pour transformer ses habitudes de vie. Elle est pourtant prête à faire beaucoup pour l'environnement depuis qu'on lui a expliqué l'importance des petits gestes. Elle a compris, ma mère, et ne demande pas mieux que d'apporter sa contribution. Si on lui demande de réduire sa consommation de boeuf, elle le fera, parce qu'elle fait maintenant confiance aux écolos qui ont eu raison de demander haut et fort une meilleure utilisation des ressources pour protéger l'environnement. Elle a compris que la situation actuelle ne pouvait perdurer, qu'il fallait tous faire des efforts individuels si l'on veut offrir aux générations de demain une planète saine et viable. Ma mère est prête: offrez-lui un mode d'emploi adapté à sa petite vie de citadine, et elle le suivra. Elle s'est même mise à la pratique rigoureuse du recyclage et du compostage, après 70 ans d'insouciance en ce domaine. N'allez pas l'accuser d'avoir été négligente durant les trois quarts de sa vie, félicitez-la plutôt pour ses efforts récents en matière de gestion des déchets. Dans le domaine du transport, ma mère utilise maintenant une petite voiture à faible consommation d'énergie et elle a même délaissé son bon vieux démarreur à distance. Ma belle-maman aussi, qui en a fait sa résolution de la nouvelle année, en toute connaissance de cause, bien informée des terribles effets du ralenti de sa voiture au démarrage. Bravo! Toutes deux font des gestes pour l'environnement et sont prêtes à s'investir davantage. Elles veulent bien suivre les conseils de ceux et celles qui utilisent le gros bon sens pour sauver la planète, mais elles ont aussi le sentiment que le message des verts s'embrouille de plus en plus, chargé de plus en plus d'orientations et de mesures extrêmes. L'année 2008 sera une année charnière en matière d'environnement. Puisque la défense de l'environnement est maintenant un courant de pensée populaire, parce que la mode est au vert, nous devrons faire face à certains charlatans qui profiteront de la tendance pour faussement «certifier» leurs produits «bio». Et nous entendrons de plus en plus les voix des radicaux qui, trop longtemps oubliés, voudront profiter de l'ouverture d'esprit d'une population en changement pour revendiquer un dogmatisme vert qui risque de limiter l'action citoyenne. Pour 2008, en environnement, je nous souhaite une année remplie de tolérance. Pas besoin de commission d'enquête ou encore de charte sur les accommodements verts raisonnables. Juste un peu de gros bon sens dans les discours, si l'on veut maintenir la tendance populaire vers un développement durable de nos sociétés qui s'installe peu à peu dans nos mentalités. Rêver dogmatiquement à un changement radical et trop rapide n'aidera pas la cause, ni les écolos, qui risquent de se faire dévorer tout crus en réaction, à cause de la sempiternelle écolassitude. L'auteur est biologiste, photographe et cinéaste. Il a été chef de trois missions à bord du voilier Sedna IV, dont la plus récente en Antarctique. http://www.cyberpresse.ca/article/20080120/CPENVIRONNEMENT/801200421/6108/CPENVIRONNEMENT
-
-
Encore et toujours les lobbyistes Publié le jeudi, 17 janvier 2008 Auteur(s): Pierre-Alain Blais, Journal Agricom Manger végétarien serait plus vert pour la planète! Selon un rapport de recherche commandité par Greenpeace, on pourrait réduire les émissions agricoles de gaz à effet de serre (GES), entre autres, si chacun des Nord-Américains consommant moins de viande. Les médias se sont emparés de cette suggestion, la toute dernière (n° 7) du résumé français du rapport parmi toute une série voulant aider à réduire les émissions de l’agriculture. Selon les auteurs, dont Pete Smith, un des principaux auteurs du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), « les consommateurs peuvent jouer un rôle important dans la réduction des GES agricoles ». À preuve, écrivent-ils, « une personne dont le régime alimentaire correspond à ce qu’un habitant consomme en moyenne chaque jour aux États-Unis, pourrait économiser 385 kcal (ou de 95 à 126 g de CO2 ) de combustible fossile, en remplaçant [seulement] 5 % de sa consommation quotidienne de viande [par un régime végétarien] ». Mais sur le fond du rapport, les experts du milieu agricole s’accordent à dire que ce dernier est biaisé et ne correspond pas à la situation qui prévaut actuellement en agriculture canadienne. Selon Chistian Lacasse, président de l’UPA : « [Greenpeace n’a pas tenu compte que l’agriculture est aussi un capteur de carbone ». Et si on fait le bilan, rappelle le président, « l’agriculture n’a pas un aussi grand impact que cela. » Philippe Rochette, chercheur à Agriculture Canada, nuance ses propos : « Dans les inventaires qui sont faits au Canada, on omet tout ce qui ne provient pas directement de la ferme, comme l’énergie utilisée pour les transports des denrées, le chauffage des bâtiments, et la fabrication des engrais chimiques, etc., ce que l’équipe du chercheur écossais a inclus ». Au Canada, la part de l’agriculture est moindre que mondialement - 8 % présentement ou 15 %, si on tenait compte de toutes les sources - en raison de la situation particulière du pays, vaste et nordique, où l’on consomme énormément de combustibles fossiles (responsables de 75 % des émissions de GES), explique le chercheur. Au Canada, les émissions de GES des agriculteurs auraient « bondi » au Canada ces dernières années, une augmentation de 23 % de 1990 à 2004, rétorque Greenpeace. On peut consulter un résumé français du rapport : Comment l’agriculture peut contribuer à la lutte aux changements climatiques sur le site canadien de Greenpeace (document PDF): http://www.greenpeace.org/raw/content/canada/fr/documents-et-liens/documents/agriculture-contribution-changements-climatiques-resume-fr.pdf http://www.lavoieagricole.ca/content/fullnews.cfm?newsid=5819
-
Greenpeace manque de sérieux » Thierry Larivière, La Terre de chez nous 17 janvier 2008 redaction@laterre.ca « Greenpeace est rendu à l’étape où il veut attirer l’attention, franchement sur le contenu ça manque de sérieux », a commenté Christian Lacasse, président de l’UPA. Il a tenu ces propos en entrevue à la Terre au sujet de la publication d’un rapport qui cible l’agriculture comme un des plus importants émetteurs de gaz à effet de serre et propose diverses solutions comme celle d’encourager le végétarisme. Le nouveau président compare cette suggestion à « tuer une mouche avec une masse de dix livres ». Il fait valoir que si les gens cessent de manger du bœuf, ils mangeront autre chose. Or, les cultures auraient alors besoin de plus d’engrais et la diminution du fumier disponible forcerait l’emploi d’engrais chimiques. « La population est-elle de trop sur la planète? » s’interroge M. Lacasse. « L’humain s’est toujours alimenté, l’alimentation a évolué dans le temps et l’agriculture s’est toujours adaptée », fait valoir Pierre Lemieux, vice-président de l’UPA et nouveau responsable du dossier environnement pour le syndicat agricole. Autrement dit, si plus de monde devient végétarien, l’agriculture va s’adapter, mais la tendance mondiale va dans le sens opposé. MM. Lacasse et Lemieux souhaitent par ailleurs tous deux que les gouvernements se décident à agir avec cohérence en ce qui concerne la réciprocité des règles envers les produits importés au Canada. « Il est grand temps qu’on voie un avantage à ça (les mesures de protection de l’environnement) comme agriculteurs et comme société », lance M. Lacasse, qui parle de « manque de volonté » pour expliquer la lenteur des décisions gouvernementales sur ce point. Tous les détails dans l'édition du 17 janvier 2008 de La Terre de chez nous. http://www.laterre.ca/?action=detailNouvelle&menu=9§ion=editionCourante&idArticle=4978
-
Virginie Roy Le silence des superhéros Canoë 17/01/2008 12h55 La surpopulation planétaire est la cause principale du réchauffement climatique On les voit partout, à la radio, à la télévision, dans les journaux, dans les conférences internationales… Ils sont partout, ces superhéros en collant vert qui nous prient de changer nos habitudes de vie pour l’environnement, pour ni plus ni moins sauver notre planète. Mais y en a-t-il un seul qui a eu le courage de nous dire la vérité? Lundi, je suis restée bouche bée devant une percée scientifique assez extraordinaire. Des chercheurs de l'Université du Minnesota ont réussi à fabriquer un nouveau cœur à partir d'un cœur de rat mort. La nouvelle est parue dans le Nature Medicine. Pour tout le monde, cet événement hors du commun a suscité un nouvel espoir pour les 500 000 Canadiens et 5 millions d’Américains souffrant d'insuffisance cardiaque. Peut-être qu’un jour, il sera possible de régénérer les tissus d'un cœur malade ou même de fabriquer sur mesure des organes pour la transplantation. Un moment historique, je vous dis! La vérité Mais la vérité, c’est que si on sauve tout le monde, c’est le Monde qui finira par mourir. Voilà! C’est dit. Mais alors? Ils étaient où ces Al Gore, scientifiques alarmistes et autres sauveurs du monde? Je veux dire, ils sont toujours les premiers à revendiquer les droits de la planète lorsqu’un événement pouvant avoir des conséquences sur l’environnement fait les manchettes. Or, je n’ai pas vu le moindre bout du nez se pointer sur l’écran de ma télévision, quoiqu’elle est peut-être trop petite… Pourtant, c’est bien connu que la surpopulation planétaire est une cause, voire la cause principale du réchauffement climatique. L’équation est simple : plus de gens qui polluent, plus de pollution, donc une planète encore plus mal en point. Le problème, c’est qu’on entre ici dans un débat éthique. Je serais la dernière à dire qu’il faut arrêter les recherches médicales. Mais un jour, nous aurons à faire un choix. C’est inévitable. Le rapport du Programme des Nations Unies pour l’Environnement, le GEO-4, m’est alors revenu en tête. Les faits sont effectivement alarmants. Selon leur rapport, depuis 1987, la population mondiale a augmenté de 34 %. Les effets se font déjà sentir… Une grande majorité des terres de la planète risque la désertification. Un fleuve sur dix parmi les principaux fleuves de la planète n'atteint plus la mer plusieurs mois par année en raison des prélèvements en amont. Le bassin de l'Amazone, à cause de la déforestation intensive, risque de passer de son état humide actuel à un état sec, avec de profondes répercussions pour l'environnement. C’est que le poumon de la planète abrite la moitié de la biodiversité terrestre. Finalement, d'ici 2025, 1,8 milliard de personnes feront face à des pénuries d'eau. Ce ne sont que des chiffres. Mais ces chiffres prouvent que la croissance incontrôlée de la population sur la planète risque de tous nous faire disparaître. Peu importe si Madame la voisine recycle son sac de lait, si votre bru vous sert un repas végétarien pour Noël ou que Chéri fasse l’énorme effort de se rendre au travail en vélo, la planète ne pourra plus supporter notre poids. Nous sommes actuellement plus de 6 milliards. Chaque année, c’est plus de 90 millions de personnes qui voient le jour. Si en plus, on trouve un moyen de ramener tout le monde à la vie et si les Madones finissent par dénicher la fameuse Fontaine de Jouvence, rien ne va plus! Je ne suis pas une superhéroïne. Je ne suis certainement pas prête à laisser mourir une personne pour sauver le monde. Au contraire, j’ai justement en tête un premier receveur. Allez, je me lance. Donnons le premier cœur ressuscité à Stephen Harper. http://www.canoe.com/techno/chroniques/virginieroy/archives/2008/01/20080117-125545.html
-
Salon de la Semaine de l’agriculture Réel virage vert? Canoë Virginie Roy 18/01/2008 12h35 La 33e édition du Salon de la Semaine de l’agriculture, de l’alimentation et de la consommation (SAAC) se tient en ce moment au Centre de foires d’ExpoCité à Québec. Cette année, la thématique est axée sur le développement durable. C’est ce que l’Union des producteurs agricoles (UPA) a annoncé aujourd’hui par voie de communiqué. Ainsi, l’UPA espère faire de cet événement une tribune pour rencontrer la population de la région de Québec et lui parler d’environnement en milieu agricole, un sujet désormais incontournable. En effet, le milieu agricole a subi de nombreux affronts depuis quelques années. L’organisme environnemental Greenpeace ne les a pas épargnés. Dernièrement, Greenpeace publiait d’ailleurs un rapport qui demandait à la population de devenir végétarien. Selon leur étude, 17% à 32% de l’ensemble des émissions mondiales de gaz à effet de serre seraient causées par le secteur agricole. C’est pourquoi la Semaine de l’agriculture, de l’alimentation et de la consommation est primordiale pour les producteurs agricoles. Ce sont pour eux l’occasion de démontrer que, depuis plusieurs années, ils ont enclenché un véritable virage vert sur leurs fermes. Ils désirent justement faire connaître l’évolution des pratiques et le réel engagement du monde agricole à développer une agriculture durable. Programmation Jusqu’à dimanche, l’UPA animera un stand d’information de concert avec les Clubs-conseils en agroenvironnement. Pour l’occasion, des agriculteurs et des agronomes seront sur place pour répondre aux questions du grand public et faire connaître les nombreuses actions quotidiennement posées à la ferme pour protéger l’environnement. Samedi, le grand public aura l’occasion d’assister à la conférence « Pour que l’eau vive », animée par Claude Grondin, coordonnateur à la Fondation de la faune du Québec (FFQ). Cette activité portera sur le Programme de mise en valeur de la biodiversité des cours d’eau en milieu agricole qui présente diverses réalisations mises de l’avant par le monde agricole pour assurer une eau de qualité ainsi qu’une flore et une faune en santé. Le Salon de la SAAC est aussi une activité offerte à ceux qui désirent en apprendre plus sur le monde agroalimentaire. Ce projet est réalisé par les étudiants de la Faculté des sciences de l’agriculture et de l’alimentation (FSAA) de l’Université Laval. http://www2.canoe.com/techno/nouvelles/archives/2008/01/20080118-123548.html
-
L'industrie de la chasse aux phoques serait menacée par les activistes 8 janv. 08 ST-JEAN, T.-N.-L. - La pêche commerciale du phoque, une industrie vieille de plusieurs siècles au Canada, pourrait être confrontée à une crise en raison de l'opposition croissante qu'elle suscite en Europe, a indiqué mardi le patron de l'Institut de la fourrure du Canada. Lors d'un discours devant une centaine de chasseurs de phoques, le président de l'organisme, Bruce Williams, a estimé que l'avenir du commerce du phoque serait sombre si les projets pour interdire l'importation de produits du phoque continuaient de gagner des appuis en Europe. Selon M. Williams, les organismes de défense des droits des animaux semblent en être arrivés à la conclusion que la façon la plus facile de mettre fin à la pratique est de tuer le marché. "Si vous ne pouvez plus vendre le produit, il n'a plus de valeur commerciale, ce qui me porterait à dire qu'il est condamné", a-t-il indiqué. La Belgique et la Hollande ont adopté des lois interdisant la vente de produits du phoque. L'Allemagne, l'Italie et l'Autriche préparent des projets de loi similaires, ce qui exerce une certaine pression sur l'Union européenne pour qu'elle interdise ces produits dans l'ensemble des pays qu'elle représente. Bien que ces pays ne soient pas les plus grands importateurs de produits du phoque canadiens, ils sont d'importants pivots pour la livraison et la fabrication destinées à de plus grands marchés, comme la Norvège, la Russie et la Chine. "Une des choses que je peux vous dire est que si la fourrure n'est pas très à la mode dans les défilés de mode de Paris et de Milan, elle ne le sera pas ailleurs", a indiqué M. Williams. Or, si la Chine et la Russie sont de grands marchés, ils sont surtout intéressés par les produits à la mode, et ce sont les pays européens qui dictent les tendances de la mode, a-t-il ajouté. Le Canada a contesté en septembre les lois des gouvernements belge et néerlandais devant l'Organisation mondiale du commerce (OMC), faisant valoir que ces politiques reposent sur une désinformation diffusée, en grande partie, par les groupes de défense des droits des animaux. La plainte d'Ottawa est toujours étudiée par l'OMC. Les activistes pour les droits des animaux condamnent la chasse aux phoques depuis plusieurs années, affirmant que cette activité annuelle est cruelle, difficile à contrôler et qu'elle fait des ravages dans les populations de phoques. Mais les chasseurs et le ministères fédéral des Pêcheries la défendent avec autant d'ardeur qu'elle est renouvelable, humaine et qu'elle constitue une source de revenu essentielle aux pêcheurs de la côte Atlantique, font-ils valoir. http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5iPLJqSS9w2whfcdwGyzDd8-ABpzg
-
Si vous avez envie de vous exprimer: Lise Ravary Directrice de la publication, Châtelaine Vous pouvez lui écrire ici http://fr.chatelaine.com/billet/article.jsp?content=20080103_104027_5148 Blogue de Lise Ravary http://blogues.chatelaine.com/ravary/ Pour vos commentaires à "Il va y avoir du sport" ilvayavoirdusport@telequebec.tv Martine Lachance prof en droit à l’UQAM lachance.martine@uqam.ca Les animaux: La trappe de la fourrure "Ayez un apercu de la fourrure: coincé vos doigts dans la portière d'une voiture" Anonyme (au sujet des pièges à mâchoires pour la capture des animaux à fourrure) De source officielle, sur environ deux millions d'animaux tués pour les besoins de l'industrie de la fourrure au Canada, à peu près la moitié est piégée. Rats musqués, castors et martres représentent la majorité des animaux attrapés dans la nature avec d'autres espèces recherchées, telles que les ratons laveurs, les coyotes, les loutres, les lynx, les chats sauvages et les visons. Il y a beaucoup de Canadiens opposés au port de la fourrure au nom de la mode. Certains sont troublés par les horribles images de souffrance des animaux pris dans les pièges à mâchoires ou d'autres types de piège. D'autres s'inquiètent des conséquences désastreuses en matière de survie des espèces dues au piègeage non sélectif. Il est plutôt ironique que l'industrie de la fourrure utilise l'argent des contribuables pour lancer des campagnes de relations publiques coûteuses dans le but vain de masquer la nature sanglante de leur produit. Merci de bien vouloir prendre connaissance des faits. Le mythe de l'industrie de la fourrure: "La trappe est éthique" (Association des Trappeurs de la Nouvelle-Ecosse) Les faits : Le piégeage est brutal et un moyen sadique d'attraper des animaux souvent rendus blessés et terrifiés, dans des conditions extrêmes de température, sans nourriture, eau ou abri et ceci jusqu'au retour du trappeur qui, si l'animal n'est pas mort, le tue et met ainsi fin à ses souffrances. Durant les quarantes dernières années au Canada, trois types de pièges ont été utilisés : les pièges à mâchoires, les pièges conibear et les collets. Aujoud'hui, les pièges à mâchoires restent les plus largement utilisés. Ce procédé simple mais néanmoins barbare a été interdit dans 63 pays, incluant les états de Floride, Rhode Island, New Jersey et l'Arizona. Quand un animal passe sur le ressort d'un de ces pièges, il se referme violemment sur les membres de l'animal. Dr. Robert Capes remarque : " … l'animal capturé va se débattre pour se libérer, mutilant sa patte et causant de sérieuses et douloureuses lacérations … l'animal va essayer d'y échapper en rongeant et sectionnant le membre pris … 10 à 12 heures après avoir été capturé, l'animal souffre encore." Après un temps prolongé, comme il l'explique: "les animaux piégés vont souffrir d'épuisement puisqu'ils dépensent une telle énergie pour s'échapper … avec l'épuisement, l'animal souffre de froid, de stress et finalement meurt." En 1975, durant une audience du Congrès americain, on apprenait qu'un lynx de l'Alaska resta pris dans un piège pendant 6 semaines alors que les membres de sa famille lui apportaient de la nourriture pour le maintenir en vie. On estime qu'un animal sur quatre ronge son propre membre pour échapper à l'agonie du piége. Ces animaux mourront plus tard de gangrène et d'infections secondaires. Les pièges à mâchoires conventionels peuvent être utilisés pour le piègeage des renards, des visons et des gloutons au Canada. Des versions modifiées de manière "cosmétique" de ces pièges incluent les pièges à coussinets, les pièges laminés et les pièges compensés qui peuvent être utilisés pour la trappe des chats sauvages, des lynx, des loups, des coyotes, des renards, des castors, des rats musqués, des visons et des loutres. Les pièges immergés ou à noyade sont utilisés pour la trappe d'animaux sauvages tels que les visons, les castors et les rats musqués. Attrapés au dessous de la surface de l'eau par ces procédés barbares, l'animal agonise jusqu'à 20 minutes avant de mourrir. Le mythe de l'industrie de la fourrure: "Cet Accord International sur les Méthodes Humaines de Piègeage, qui est un pas de géant, établit des standards humains de piègeage." (Conseil Canadien de la fourrure) Les faits: Il y a plusieurs années, l'Union européenne passa une résolution progressiste afin d'interdire l'utilisation des pièges à mâchoires dans tous les pays membres ainsi que l'importation de fourrure provenant de pays utilisant ces pièges. Le Canada, déterminé à continuer l'usage de ces pièges, contre-attaqua pour saper l'interdiction, en menaçant l'Union européenne de sévères sanctions économiques et de contester auprès du GATT et de l'Organisation Mondiale du Commerce (OMC). Finalement, le Canada réussit à convaincre l'Union européenne de l'exempter de cette interdiction. Il fut proposé un accord international qui trompa l'Union européenne dans sa perception qu'un meilleur bien-être des animaux piégés et d'une interdiction future des pièges à mâchoires étaient entendus. En réalité, cet accord ne fait que poser un voile d'acceptabilité sur la cruauté des méthodes de piègeage. Le nouvel accord est une tentative délibérée de la part de l'industrie de la fourrure au Canada pour leurrer le public canadien et international. Cet accord autorise les pièges à mâchoires conventionnels qui ont été utilisés pendant 40 ans au Canada, incluant les pièges à mâchoires utilisés sur terre ou dans l'eau. Soixante pourcent des animaux tués par piègeage pour leur fourrure sont semi-aquatiques, tels que les castors, les rats musqués et l'accord ne change rien pour ces espèces. Les pièges à mâchoires utilisés partout pour les visons, les renards et les gloutons. Ces mêmes pièges, avec quelques modifications "cosmétiques" peuvent être utilisés pour le piègeage des chats sauvages, des lynx, des loups, des coyotes, des renards, des castors, des rats musqués, des visons et des gloutons. Le mythe de l'industrie de la fourrure: "Dans le monde entier, l'industrie de la fourrure est un excellent exemple d'une industrie basée sur une utilisation à long terme." (Conseil Canadien de la Fourrure) Les faits: L'histoire de l'industrie mondiale de la fourrure, passée et présente, donnent la preuve qu'aucun animal, aussi abondant soit-il, n'est protégé d'extinction dans la mesure où sa fourrure devient précieuse. Des animaux qui se comptaient par millions et dont l'habitat s'étendait sur plusieurs continents, ont été presque réduits à l'extinction dans l'espace de quelques decennies comme l'illustre le commerce des félins à fourrure tacheté. En ce qui concerne d'autres animaux, déja rares dans la nature, pour des raisons écologiques ou géographiques - le renard de l'Ile Falkand et le vison marin nord-americain - la disparition totale est survenue facilement et rapidement quand leur fourrure furent recherchées par l'industrie. Au Canada, l'avidité et le manque de vision de l'industrie de la fourrure ont mené à l'extinction la loutre de mer, le vison marin, la martre de Terre-Neuve, le glouton et le bison des bois. Le mythe de l'industrie de la fourrure: "La fourrure … est plus chaude que n'importe quel produit synthétique." (Fur Harvesters Auction Inc.) Les faits: Si la fourrure était plus chaude que n'importe quel produit synthétique, il serait douteux que les explorateurs de l'Artique apparaissent toujours en combinaison de Gortex, Thinsulate et une myriade d'autres fibres synthétiques qui gardent les gens parfaitement chauds et dans des températures aussi basse que -100ºC. Il n'y a aucun besoin, quel qu'il soit, qui justifie de choisir la fourrure plutôt que des matériaux synthétiques pour ce qui concerne la chaleur. De plus, l'industrie de la fourrure vend ses produits à des gens aisés dans les centres urbains où la chaleur n'est généralement pas le souci majeur qui guide le choix d'un manteau d'extérieur. La vérité, c'est qu'il n'y a rien de luxieux ou de sensuel dans une peau qui a éte decharné du dos d'un animal qui ne voulait sans doute pas mourrir. Gan
-
Tout le monde est de mèche, même les vétérinaires qui signent les papiers pour passer aux douanes les animaux vers les États-Unis! Je ne sais pas si le Berger Blanc envoie des animaux à des laboratoires, mais il y a tellement de façon pour le Berger Blanc de contourner les lois que ça laisse supposer que oui! C'est la même chose pour les autres fourrières moins connues! Je crois qu'aujourd'hui n'importe qui peut envoyer des animaux "contre rémunération" à des laboratoires et même à des centres hospitaliers. Tout ça est tellement pas nette! Que dire de tous les centres qui fournissent légalement des animaux comme: Charles River Canada 188, rue Lasalle Saint-Constant, Québec J5A 1Y2 Téléphone : (450) 638-1571 Télécopieur : (450) 638-6700 Site Internet : www.criver.com Contact : Monsieur Stephen C. Mccluski, président Profil : Charles River Canada, filiale canadienne de Charles River Laboratories, est une entreprise spécialisée dans l'élevage d'animaux de laboratoires pour la recherche biomédicale. Anilab enr. 2435 Watt Avenue 15 A Sainte-Foy, QC G1P3X2 Carte Téléphone : (418) 653-6149 Télécopieur : (418) 653-6146 Anilab Enr., à Sainte-Foy, fournit grenouilles, rats, souris, lapins, gerbiles, gerboises, ainsi que des pièces dans le formol. Les fournisseurs d'aliments approvisionnent les animaleries des laboratoires, des universités et des hôpitaux ainsi qu'une bonne majorité des labos du secteur privé. Certaines d'entre elles expérimentent leurs produits sur les animaux: nourritures, shampooings, médicaments, accessoires, etc. Les éleveurs (chenils) aussi profitent de ce commerce, ils élèvent des centaines de milliers d'animaux destinés à la recherche. De plus, les compagnies aériennes transportent plusieurs centaines d'animaux (très souvent des singes) provenant d'autres pays. La liste ne s'arrête pas là. Il y a aussi les compagnies qui fabriquent les vaccins, les cosmétiques, les produits ménagers ainsi que les fabricants d'herbicides, de pesticides, en fait, presque tous les secteurs profitent de l'expérimentation animale: l'industrie biochimique, pharmacologique, militaire, nucléaire, etc.., mais présentement la mode est aux xénotransplantations, xénogreffes,manipulations génétiques et animaux transgéniques. Les animaux n'ont pas fini d'être torturés au nom de la science, de la beauté et de la technologie.
-
La demande des chercheurs pour les animaux de fourrière est très forte. Un laboratoire paiera entre 40$ et 55$ ( les chiffres sont de 1989 ) pour un chien de fourrière, alors qu'un chien élevé spécifiquement à cette fin coûtera de 250$ à 400$ ( les chiffres sont de 1989 ). La surpopulation d'animaux familiers fait que les chercheurs trouvent là un immence réservoir de cobayes. Les gens laissent leurs bêtes se reproduire, inconscients des conséquences. Les éleveurs de bêtes de race se disent qu'ils répondent à un marché sélectif. Les usines à chiens fonctionnent à plein rendement : pas de problème, il y a un marché pour nos produits. Les animaux ordinaires, eux, sont toujours plus nombreux à être refoulés au bas de l'échelle. C'est là que la recherche s'approvisionne surtout, de même que dans les sulplus d'usine de reproduction. Source: Marcel Duquette ancien inspecteur de la SPCA - En toute légalité plusieurs chiens et chats sont vendus pour la recherche aux États-Unis par différents postes frontaliers québécois. Archives - Édition du 26 septembre 2006 Quand les citoyens se fâchent et décident de mettre fin à un scandale Qui se souvient de la fourrière Malo de Saint-Angèle-de-Monnoir? Sa présence en sol angèloirien fut une infamie qui a fait tache à l’histoire et qui remue sans doute encore aujourd’hui de bien pénibles souvenirs. Son activité avait été dénoncée en décembre 1989 par une coalition de citoyens se portant à la défense des droits des animaux. Cette fourrière exerçait le commerce honteux d’animaux soit achetés dans d’autres fourrières du Québec, soit volés chez des particuliers. Ils étaient ensuite vendus à des laboratoires expérimentaux des États-Unis dans des conditions sanitaires cruelles et indignes. Le Journal parlait d’un commerce florissant - 100 à 150 animaux y transitaient chaque semaine - pour y être exportés aux Etats-Unis. Un gros camion lettré Bio Medical Associated venait y faire une cueillette deux fois par semaine. Les animaux étaient dirigés vers plusieurs points de vente sur la côte est américaine. Pourquoi ce commerce en sol québécois et non pas aux États-Unis? C’est que dans le pays de l’oncle Sam, une loi interdit aux laboratoires expérimentaux d’acheter des animaux dans les fourrières et refuges alors qu’au Québec aucune législation n’interdisait ce type de commerce. Les citoyens en colère ont bien tenté d’obtenir un mandat de perquisition pour pénétrer dans la fourrière et y faire l’inventaire des traitements réservés aux animaux, peine perdue. Ils ont tout de même obtenu d’un inspecteur de la SPCA qu’il oblige le propriétaire à ne plus parquer de chiots dans des barils de plastique laissés à l’extérieur en plein hiver. Plusieurs chiens sous-alimentés étaient laissés à eux-mêmes dans un enclos à 20 degrés sous zéro. Une fois rendus dans la grande boîte du camion US, ils n’étaient plus nourris et n’avaient même pas droit à un peu d’eau. Les exploitants du commerce ont argué qu’ils devaient de toute façon servir à des expériences de laboratoire. Ça s’est passé il n’y a pas si longtemps chez nous. On entend encore parler d’horreurs de ce genre, de ci, de là, de nos jours. Et il y a toujours une zone de gris dans la loi régissant le commerce des animaux vendus par des éleveurs à des animaleries. L’abolition de cruauté envers les animaux (pas plus qu’envers d’autres humains) n’est pas un combat gagné, loin s’en faut!.(JSO) http://www.hebdos.net/jdc/archives/articles.asp?article_id=144371 Saviez-vous que la province de l'Ontario à promulgué l'Ontario Animal Research Act, obligeant tous les contrôleurs, fourrières municipales et même la SPCA à remettre aux laboratoires des animaux errants dont ils ont besoin pour la recherche! Les animaux du Québec sont expédiés en Ontario Les animaux du Québec finissent aussi dans les laboratoires en Ontario, la province de Québec est la seule province à ne pas avoir légiféré sur la protection des animaux, donc les autres provinces du Canada s'approvisionne au Québec pour fournir les animaleries avec l'aide des fournisseurs d'ici, alors les animaux abandonnés de là-bas finissent à la SPCA ou dans les fourrières de l'Ontario et en Ontario, on a le droit de prendre les animaux à la SPCA et dans les fourrières pour la recherche Problem Provinces Ontario The Ontario Animals for Research Act requires pounds to relinquish dogs and cats they have held for more than three days if requisitioned by a registered research facility. This is hardly enough time to find a new home for these animals, or even for someone to find a well-loved, but lost family companion. The Animals for Research Act was created to ensure a cheap source of animals for experimentation, and stipulates that laboratories pay only $6 per dog and $2 per cat. In contrast, a person wanting to adopt one of these animals as a companion could be required to pay up to $150 for a dog and $80 for a cat. At least 10 pounds in Ontario continue to provide animals for experimentation; however, humane societies and shelters affiliated with the Ontario SPCA will not supply animals to laboratories, despite the legislation. http://www.cruelscience.ca/pound-prov.htm Quebec Although pounds and animal shelters in Quebec are under no obligation to surrender dogs and cats to research labs, that hasn’t stopped Quebec from becoming the largest unregulated supplier of pound-source animals for research in Canada. Animal Alliance has begun an aggressive campaign, urging the Quebec government to implement an emergency moratorium on the sale of lost and homeless dogs and cats for research purposes in order to provide immediate protection for the companion animals of Quebec citizens. Lettre adressée au gouvernement du Québec et aux membres de l’Assemblée nationale du Québec http://www.cruelscience.ca/DATA/Quebec_fr.pdf http://www.cruelscience.ca/pound-prov.htm Voici les villes que déservent deux des fourrières bien connues Les fourrières La fourière de St-Hubert Inc. d http://www.scdd.qc.ca/ Les services offert par la S.C.D.D. couvre plusieurs municipalités de la rive-sud de Montréal : Beloeil Brossard Carignan Chambly Greenfield Park MarieVille McMasterville Otterburn Park Richelieu Saint-Antoine-sur-le-Richelieu Ste-Julie St-Amable St-Lambert St-Basile Le Grand St-Blaise sur le Richelieu St-Bruno St-Hilaire St-Hubert St-Marc sur le Richelieu St-Mathias St-Mathieu de Beloeil St-Paul de l'Île au Noix St-Rémi Varennes Berger Blanc Inc. Anjou, Rosemont / Petite Patrie, Hochelaga-Maisonneuve, Lasalle, Mercier, Montreal-Est, Ville-Marie, Pointe aux Trembles, Rivière des Prairies, St-Léonard, Le Plateau Mt-Royal, Centre-Sud, LeMoyne, Vieux-Longueuil, l'Assomption, Charlemagne, Terrebonne, Lavaltrie, Ville de L'Epiphanie, Mascouche, Boucherville, Repentigny, St-Sulpice Pourquoi les fourrières ont les contrats avec les villes au lieu des SPCA? Réponse: Parce qu'ils sont les plus bas soumissionnaires Exemple: Pour la Ville de Sainte-Julie Résolu QUE le contrat de service pour le contrôle de la population animale sur le territoire de la Ville de Sainte-Julie, débutant le 1erjanvier 2007 et se terminant le 31 décembre 2008, soit et est accordé au plus bas soumissionnaire conforme, la Société de Contrôle d’Animaux Domestiques St-Hubert inc. (SCDD), 9900, chemin Chambly, Saint-Hubert (Québec) J3Y 5K2. Les montants devant être puisés à même les exercices budgétaires 2007 et 2008. ADOPTÉE UNANIMEMENT http://www.ville.sainte-julie.qc.ca/cgi-bin/doc.cgi?page=doc&doc=Proces-verbaux/06-12-18_200711894710.pdf&type=&confirm=&isprod=0 Qui est le propriétaire du Berber Blanc? Pierre Couture, d'après le régistre des compagnies https://ssl.req.gouv.qc.ca/slc0110.html , il est administrateur, président et actionnaire majoritaire et selon La milice animale, il est le Directeur sur le C.A de PIJAC Trouvé sur le site de la Milice Animale: Qu'Anima saisisse des animaux est exceptionnel en soi. Que Véronique Langlois, la directrice générale protège maintenant la preuve ne l'est vraiment pas! Que les chiens saisis soient envoyés, entassés dans des cages trop petites et transportés par camion jusqu'au Berger Blanc (CETTE ENTREPRISE N'EST PAS UN REFUGE: C'EST UNE FOURRIÈRE!!! et Pierre Couture est directeur sur le C.A. de PIJAC (Pet Industry Joint Advisory Council) pour le Québec. Donc grand copain avec PIJAC, Louis McCan qui lui est sur le C.A. d'Anima), sous la direction de Pierre Couture, n'a rien d'étonnant non plus. http://209.85.165.104/search?q=cache:j5P1-jwzM6YJ:miliceanimalemilitia.homestead.com/+Pierre+couture+cruaut%C3%A9+animaux&hl=fr&ct=clnk&cd=3&gl=ca Louis McCan administrateur de PIJAC est sur le C.A de Anima-Québec comme secrétaire: http://www.animaquebec.com/index.php?option=com_content&task=view&id=14&Itemid=6 http://www.animaquebec.com/pdfs-fr/rappanima_2003-2004.pdf PIJAC?, PIJAC est la voix de l’industrie des animaux de compagnie au Canada! Qui sont les affiliés de PIJAC? PIJAC Affiliations Fédération des pêcheurs et chasseurs de l’Ontario suite: http://www.pijaccanada.com/fr/association/generalinfo/affiliations/
-
LA DIFFÉRENCE entre UNE FOURRIÈRE ET LA SOCIÉTÉ ( SPCA ) La Société se préoccupe de l'abandon et de la surpopulation animale en faisant de l'éducation, de la sensibilisation, de la prévention, et en mettant en place des programmes incitatifs visant à régler cette problématique. Ceci distingue fondamentalement la Société des fourrières à but lucratif, qui voient plutôt un intérêt à la surpopulation animale, car leur objectif ultime est de faire des profit. LES FAITS: Au Québec, 45% des ménages possèdent un animal domestique. D’après les statistiques, ils ne le gardent chez eux que deux ans en moyenne. C’est ainsi que chaque année des milliers de chats et chiens sont abandonnés, notamment lors des déménagements. - En juillet, il n’est pas rare de trouver dans les appartements déserts des chats ou des chiens, quand ce n’est pas tout simplement dans la rue, ou même dans la nature. Montréal est malheureusement une des villes en Amérique du Nord où l’on trouve le plus de chats errants ». - Quant au recours aux fourrières, une forte proportion des animaux qu’on y amène sont euthanasiés dans les jours suivant leur arrivée, faute de trouver une famille d’accueil - Les 1,800 usines à chiots du Québec produisent chaque année 4,000,000 d'animaux destinés aux animaleries du Canada et des Etats-Unis. - 500,000 abandons, malgré ces chiffres accablants, le Québec est la seule province canadienne n'ayant aucune législation afin d'assurer la prévention de la cruauté animale. Cette situation fait d'elle la capitale des "usines à chiots" du Canada.
-
Chiens Tous les chiens doivent être obtenus de façon légale de fournisseurs réputés et possédant un permis là où la loi l'exige. La plupart des chiens d'expérimentation proviennent sources inconnues, habituellement de fourrières municipales. Ces chiens possèdent des génotypes, des expériences de comportement et des profils d'exposition à la maladie complètement inconnues. Leur usage devrait être limité à ces études où un animal défini n'est pas une exigence. Les chiens provenant des fourrières sont souvent des animaux qui sont rejetés par leur propriétaire et libérés pour qu'ils se débrouillent par eux-mêmes; par conséquent, on rencontre fréquemment, chez ces animaux, des problèmes nutritionnels et de santé. Quelques-uns parmi les chiens de fourrière acquis légalement par une institution de recherche seront, néanmoins, inévitablement des animaux de compagnie perdus. L'institution de recherche devrait s'assurer, si on le lui demande, que les propriétaires ont l'opportunité et, en fait, sont encouragés à examiner les chiens de provenance inconnue soupçonnés d'avoir été perdus. Les identifications et les récupérations des chiens dans ces cas-là devraient être effectuées pendant les périodes de quarantaine et de conditionnement des animaux. Si le propriétaire n'est pas intéressé à récupérer son chien, on doit utiliser cet animal dans une expérience aiguë (euthanasie immédiatement après l'expérience). Il en va de même pour un chien qui a été donné pour la recherche à moins que le propriétaire mentionne spécifiquement que son animal doit être utilisé dans une expérience à long terme (chronique). Dans ce cas, la nature du projet de recherche doit être expliquée et une déclaration écrite dans laquelle on décrit l'animal et qu'on le donne pour la recherche doit être signée par le donneur. Chiens élevés pour la recherche Les chiens élevés spécifiquement pour la recherche doivent être les modèles de choix pour ces études qui requièrent des caractéristiques génétiques, environnementales et de santé définies. Le beagle est de loin la race de chien la plus communément utilisée pour ce genre de recherche alors que le Labrador retriever est souvent utilisé lorsque des chiens plus gros sont inclus dans les objectifs expérimentaux. Les chiens élevés pour la recherche sont disponibles chez plusieurs établissements commerciaux Nord Américains (7). http://www.ccac.ca/fr/CCAC_Programs/Guidelines_Policies/GUIDES/ENGLISH/V2_84/CHIX.HTM