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Caro18

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Tout ce qui a été posté par Caro18

  1. je vais m'informé J'ai entendu dans une entrevue à l'émission de Denis Lévesque ( du mois de décembre) que des animaux du Berger Blanc sont envoyés à des laboratoires. J'ai essayé de retrouver l'entrevue dans les archives, mais les archives de 2007 du mois de décembre ne sont pas encore en ligne. J'ai écrit au Berger Blanc et voici la réponse: Sujet: laboratoires‏ From: Le Berger Blanc Inc (infos@bergerblanc.com) Sent: Thu 1/17/08 11:42 AM Mme, Nous ne faisons pas affaire avec des laboratoires d'animaux. Croyez-vous sincèrement qu'une grosse compagnie comme Le Berger Blanc Inc va prendre le risque de voir son nom entacher par un tel comportement? Vous vous trompez de compagnie et si Denis Levesque ( de LCN ) a dit une telle chose... Il est complètement dans le champs. Bonne Journée ! Michel Laflèche Le Berger Blanc Inc 9825 Henri Bourassa est Montréal, Qc H1C 1G5 514-494-2002 514-494-3180 http://www.bergerblanc.com infos@bergerblanc.com
  2. COMMENTAIRE De l’hypocrisie et de la chasse à la baleine Par Peter Singer* Il y a trente ans, des bateaux de pêche australiens tuaient, avec la bénédiction du gouvernement, des cachalots au large des côtes occidentales de l’Australie. Le mois dernier, l’Australie prenait la tête des protestations internationales contre le programme de pêche du Japon, comprenant notamment la mise à mort de 50 baleines à bosse. Le Japon, face aux pressions croissantes, a annoncé qu’il suspendrait son programme de chasse à la baleine pour un an ou deux. L’opinion publique a radicalement modifié son attitude concernant la chasse aux cétacés, et pas seulement en Australie. Lorsque Greenpeace a commencé à manifester contre la chasse à la baleine par les Australiens, le gouvernement a nommé un juge à la retraite, Sydney Frost, pour prendre la tête d’une commission d’enquête sur ce type de pêche. En tant qu’Australien concerné et que professeur de philosophie spécialisé dans l’éthique du traitement des animaux par les humains, je lui ai soumis un avis. Je n’ai pas affirmé que la chasse à la baleine devait cesser parce que ces animaux sont menacés de disparition. Je savais que de nombreux experts et biologistes marins abonderaient dans ce sens. Mon argument était plutôt que les baleines sont des mammifères sociaux avec des cerveaux importants, capables de jouir de la vie et de ressentir de la douleur, non seulement physique, mais sans doute également la détresse liée à la disparition d’un membre du groupe. Il est impossible de tuer les baleines de manière charitable. Elles sont trop grosses, et même avec un harpon à tête explosive, il est difficile de viser précisément. De plus, les baleiniers ne veulent pas utiliser une charge trop importante qui déchiquetterait la bête, alors que leur objectif est de ramener de la viande et de l’huile de grande valeur. C’est ainsi que les baleines harponnées meurent lentement et dans de grandes souffrances. Provoquer la souffrance de créatures innocentes sans une raison extrêmement forte n’est pas défendable. S’il existait une sorte de besoin essentiel que les humains ne pouvaient satisfaire qu’en tuant des baleines, peut-être serait-il possible de faire appel de son immoralité. Mais il n’y a pas de besoin humain fondamental qui oblige à tuer des baleines. Tout ce que nous obtenons des cétacés peut être obtenu ailleurs sans cruauté. Pour cette raison, la chasse à la baleine est immorale. Frost a convenu de la justesse de mon argument en disant qu’il n’y avait aucun doute que les méthodes utilisées pour chasser les baleines étaient inhumaines – il a même utilisé les termes « parfaitement horribles ». Il a également mentionné le fait qu’il existait « une réelle possibilité que nous ayons affaire à des créatures avec un cerveau remarquablement développé et une intelligence considérable ». Le gouvernement conservateur du Premier ministre Malcolm Fraser a accepté sa recommandation de mettre fin à la chasse à la baleine, et l’Australie est rapidement devenue un pays farouchement opposé à ces pratiques. Même si le Japon a suspendu son programme de pêche des baleines à bosse, sa flotte baleinière tuera quand même quelque 1 000 autres baleines, essentiellement des rorquals ou baleines de Minke. Le Japon justifie la prise de cétacés par le prétexte de « recherches » scientifiques, parce que la Commission baleinière internationale autorise les États membres à tuer des baleines à cette fin. Mais la recherche semble surtout destinée à compiler des données scientifiques en faveur de la reprise de la chasse commerciale. Ainsi, si la chasse est immorale, la recherche est à la fois injustifiable et inutile. Le Japon affirme vouloir que les discussions sur la chasse à la baleine soient menées dans le calme, sur la base de preuves scientifiques, et sans « émotion ». Les Japonais estiment que le nombre de baleines à bosse a suffisamment augmenté pour que la mise à mort de 50 individus ne menace pas l’espèce. Sur ce point précis, ils ont peut-être raison. Mais aucune donnée scientifique ne peut nous dire s’il est justifié ou non de tuer des baleines. En fait, la volonté qu’ont les Japonais de poursuivre la chasse aux cétacés est tout autant motivée par « l’émotion » que l’opposition des écologistes. La consommation de viande de baleine n’est pas nécessaire à la santé ou à une meilleure nutrition des Japonais. C’est une tradition qu’ils veulent maintenir, probablement parce que certains Japonais y sont attachés pour des raisons émotionnelles. Les Japonais ont toutefois un argument qu’il n’est pas facile d’écarter. Leur point de vue est que les nations occidentales sont opposées à la chasse à la baleine parce que, pour elles, les baleines sont un animal particulier, comme le sont les vaches pour les hindous. Les pays occidentaux, selon les Japonais, ne devraient pas leur imposer leurs préférences culturelles. La meilleure réponse à cet argument est que l’appréciation de l’immoralité des souffrances infligées à des créatures douées de sensations n’est pas spécifique à une culture. Elle est par exemple l’un des premiers préceptes du bouddhisme, l’une des principales traditions éthiques du Japon. Mais les nations occidentales, qui infligent elles-mêmes tellement de souffrances inutiles aux animaux, sont mal placées pour donner des leçons. Le gouvernement australien est fermement opposé à la chasse à la baleine, tout en autorisant l’abattage de millions de kangourous chaque année, un massacre qui implique sans doute une souffrance animale terrible. Le même est vrai pour toute sorte de chasse dans d’autres pays, sans parler de la souffrance des animaux dans les fermes industrielles. La chasse à la baleine doit cesser parce qu’elle cause des souffrances inutiles à des animaux intelligents qui vivent en société et apprécient la vie. Mais les nations occidentales n’auront pas grand-chose à répondre à l’accusation japonaise de parti pris culturel à moins de résoudre le problème de la souffrance animale dans leurs propres pays. *Peter Singer est professeur de bioéthique à l’Université de Princeton et l’auteur du livre fondateur « Animal Liberation », et, avec Jim Mason, de l’ouvrage « The Ethics of What We Eat ». www.lorient-lejour.com.lb/page.aspx%3Fpage%3Darticle%26id%3D362192+De+l%E2%80%99hypocrisie+et+de+la+chasse+%C3%A0+la+baleine&hl=fr&ct=clnk&cd=3&gl=ca" target="_blank" rel="nofollow">http://64.233.167.104/search?q=cache:5EO_WXuqtsMJ:www.lorient-lejour.com.lb/page.aspx%3Fpage%3Darticle%26id%3D362192+De+l%E2%80%99hypocrisie+et+de+la+chasse+%C3%A0+la+baleine&hl=fr&ct=clnk&cd=3&gl=ca
  3. Caro18

    Tous au stade

    commentaires@lapresse.ca
  4. Probablement qu'il a commis l'irréparable face à un acharnement de la ville à vouloir faire fermer son minizoo? Néanmoins c'est ce que j'en déduis à la lecture des articles.
  5. Un rappel des faits: Le dimanche 21 octobre 2007 Minizoo mal parti à Saint-Rémi-de-Tingwick Yanick Poisson La Tribune SAINT-RÉMI-DE-TINGWICK Puisqu'il ne détient pas de permis de la municipalité de Saint-Rémi-de-Tingwick et qu'il a omis d'aménager une fosse septique ou un champ d'épuration, Robert Godbout dispose maintenant de 60 jours pour déménager les 800 bêtes qui devaient être les têtes d'affiche de son minizoo. Dans un jugement rendu il y a une quinzaine de jours, le juge de la Cour supérieur Yves Alain vient ainsi de donner raison à la municipalité qui réclamait que l'homme d'affaires quitte ses installations parce que ses animaux étaient une source d'ennuis, d'embarras et constituaient un danger pour la sécurité de la population. La directrice générale de la municipalité, Renée Vaudreuil, est d'avis que l'idée du Godzoo est pertinente et qu'elle sera favorable au développement du tourisme local. Elle déplore toutefois que M. Godbout n'ait pas agi dans les règles de l'art. Plusieurs citoyens ont porté plainte à l'endroit du futur minizoo. Il faut dire que le site choisi par M. Godbout est situé en plein coeur de la municipalité de 478 habitants, sur le site de l'ancienne école du village. Le promoteur a d'ailleurs affirmé qu'il était prêt à se conformer à toutes les exigences pourvu qu'on lui garantisse qu'il obtiendrait le permis tant désiré. Demande qui lui a été refusée jusqu'ici. http://www.cyberpresse.ca/article/20071021/CPTRIBUNE/710180930/5203/CPACTUALITES le 18 octobre 2007 Adieu veaux, vaches, cochons…à Saint-Rémi-de-Tingwick Le «Godzoo» perd une bataille juridique Dans un jugement rendu au début d’octobre, le juge Yves Alain de la Cour supérieure ordonne à Robert Godbout de cesser, dans l’ancienne école du village qu’il possède, la garde d’animaux de ferme, d’élevage ou exotiques et il lui accorde un délai de 60 jours pour déplacer les animaux, à défaut de quoi le Tribunal autorise la municipalité de Saint-Rémi-de-Tingwick à prendre les moyens pour le faire et à refiler la facture au défendeur. Ce jugement survient après une journée d’audition tenue le 4 septembre dernier au palais de justice de Victoriaville Dans sa décision de 10 pages, le juge Alain écrit que «le Tribunal se doit de constater que M. Godbout ne détient aucun permis d’exploitation et qu’il agit en contravention avec la règlementation. Saint-Rémi-de-Tingwick a raison de s’adresser au Tribunal pour forcer M. Godbout à cesser de garder des animaux sans permis. La nature de la violation, son effet et son importance, ainsi que le manque de collaboration de M. Godbout à répondre aux exigences de la municipalité, autorisent le Tribunal à ordonner la cessation d’usage demandé». Le promoteur du «Godzoo», toutefois, n’entend pas en rester là et compte bien en appeler du jugement. «Nous avons perdu une bataille, mais nous n’avons pas perdu la guerre. Je n’ai pas le choix de continuer, j’ai 800 animaux à m’occuper, matin et soir», a commenté Robert Godbout. Le promoteur du «Godzoo» détient un permis du ministère des Ressources naturelles et de la Faune pour la garde d’animaux en captivité l’autorisant à garder des animaux à des fins d’exhibition sur place ou à l’extérieur. Cependant, Robert Godbout ne possède aucun permis de la municipalité pour le faire. «J’étais et je suis prêt à me plier aux exigences, mais la municipalité refuse de me l’accorder. Le maire se sert de son pouvoir pour contrer mon projet», a-t-il soutenu. «Ce n’est pas parce que c’est moi, a répliqué le maire Jacques Fréchette. Que ce soit moi ou Jos Bleau, les règlements sont là et il ne les respecte pas.» Le maire Fréchette répète qu’il n’a rien contre un tel projet, mais pas en plein cœur du village. «Je ne pense pas qu’il pourrait rencontrer les exigences dans une zone institutionnelle et près des résidences avec la gestion des fumiers et des odeurs. Il pourrait établir son minizoo en zone agricole», a-t-il plaidé. Robert Godbout se dit disposé à investir près de 12 000 $ pour apporter les transformations nécessaires à la réalisation de son projet dans lequel, dit-il, il a investi, à ce jour, un montant de 60 000 $. Le promoteur soutient que la municipalité a fait la sourde oreille en 2005 alors qu’il souhaitait une garantie d’obtention de permis avant de procéder à l’installation d’une fosse septique et de fournir un plan des installations. Robert Godbout affirme vouloir contribuer au développement de sa municipalité avec son centre d’exhibition d’animaux exotiques et de fantaisies qui pourrait aussi servir, selon lui, à faire de l’enseignement sur la vie animale. Le promoteur croit que certains n’attendent que l’ouverture du «Godzoo» pour s’y rendre, ce qui pourrait se traduire, ajoute-t-il, par la venue de plus de 40 autobus de touristes par saison. D’autres projets mijotent dans la tête de Robert Godbout, dont la tenue d’un encan de petits animaux et d’un Festival de la poulette, axé sur la poule, et qu’il voudrait organiser en même temps que le Rodéo mécanique de Tingwick. Reste à voir, avant tout, la suite de cette saga judiciaire qui, jusqu’ici, a coûté plus de 10 000 $ à la municipalité de la Paroisse de Saint-Rémi-de-Tingwick, et quelque 4 000 $ à Robert Godbout. http://www.lanouvelle.net/article-i148930-Adieu-veaux-vaches-cochonsa-SaintRemideTingwick.html Vos commentaires 800 bêtes menacées de mort à St-Rémi de Tingwick ! odette miller Article mis en ligne le 24 octobre 2007 Je déplore le titre que vous avez donné à votre article. Cela laisse penser que le GodZoo n'est que la réplique d'une ferme alors qu'il en est tout autrement. Présentement, ce sont 800 bêtes qui sont menacées d'être envoyées à l'abattoir. C'est la détresse. Faut sauver ces animaux de la mort ! Ayant personnellement visité le GodZoo j'ai été fortement impressionnée par Picotine la truie géante. Qui peut se vanter d'avoir vu une truie de 1350 livres. C'est si rare que des éleveurs bovins se déplacent pour venir voir ce qu'ils n'ont jamais eu l'occasion de voir avec leurs bêtes. Impressionnée par Willie, la chèvre géante, ainsi que par les émeus, les lamas, les alpacas, les moutons d'Irak et les moutons de la Barbade. La formule offerte au GodZoo est unique. Loin des veaux et des vaches n'est-ce pas ?....Bien sûr il y a des poules, mais je n'avais jamais vu de poule à cou nu, pas plus que des poules frisées, des Hambourg ou encore des Égyptiennes. De plus, je peux toucher, flatter, nourrir les animaux, vivre et partager leur habitat et ainsi vivre une expérience exceptionnelle. La municipalité met des exigences à monsieur Godbout plus élevées que celle émises pas la faune ou l'environnement. On lui demande des investissements majeurs, tel que l'installation d'une fosse septique, tout ça « pour étudier la demande », alors que le maire déclare ouvertement qu'il n'accordera jamais de permis. Pourquoi veut-on absolument faire dépenser cet argent au promoteur ? Encore là, certaines rumeurs courent à l'effet que l'on aura le promoteur à l'usure. Faute d'argent, il devra abandonner. Vous parlez aussi de règlements que l’on doit respecter monsieur le maire ? Vous n’en avez aucune réglementation concernant un mini zoo à St-Rémi de Tingwick. Vous êtes présentement à l’inventer en voulant modifier le zonage de l’ancienne école pour justement empêcher le projet de voir jour ! Comment pouvez-vous déclarer être favorable au projet. Vous faites tout pour contrer. Les odeurs ? Sont-elles vraiment plus déplaisantes que celles qu'il y a lors de l'épandage l'été ? Ce sont des animaux, dur de ne pas avoir quelques odeurs. Des plaintes ? Ayant assisté au procès, à ma connaissance, il n'y en a eu qu'une seule. Anonyme. Je crois sincèrement que ce projet peut amener la vie à St-Rémi. Aucun maire ne devrait bloquer un projet qui mettra sur la mappe sa ville et permettrait des retombées pour les autres commerces, des taxes et du travail pour certains habitants. Faudrait pas oublier non plus, monsieur le maire, qu'au départ, par écrit, la ville encourageait monsieur Godbout à mettre de l'avant son projet. On aide des chiens dont la vie est en danger, ne devrait-on pas aussi faire quelque chose pour sauver ces 800 bêtes de la mort ! http://www.lanouvelle.net/article-i148930-Adieu-veaux-vaches-cochonsa-SaintRemideTingwick.html#photos
  6. January 2008 IFAW wonders: What report did Canadian Fisheries Minister Loyola Hearn read? January 03, 2008 The statement by Canadian Fisheries Minister Loyola Hearn that the scientific opinion of the European Food and Safety Authority (EFSA) somehow “upholds the legitimacy and humaneness of hunting practices and techniques” used in Canada’s commercial seal hunt is a blatant misrepresentation of the EFSA report. In fact, Canada’s Marine Mammal Regulations, which govern hunting practices in Canada’s commercial seal hunt, are shown by the EFSA to be severely deficient when it comes to humane killing. For example: EFSA Recommendation: Seals should be bled-out as soon as possible and, preferably immediately, after they have been successfully stunned and checked to ensure they are irreversibly unconscious or dead. Truth: Canada’s Marine Mammal Regulations do not require bleeding-out to be conducted after stunning. Consequently, seal hunt observers have documented numerous cases of injured, conscious seals stockpiled and suffering on the ice. EFSA Recommendation: Seals should not be moved, i.e. gaffed [hooked], hauled, or moved… until it has been confirmed that they are dead or irreversibly unconscious. Truth: Under the current Canadian legislation, it is legal to hook seals before they have been checked for unconscousness or death. The hooking of live and conscious seals in Canada’s commercial seal hunt has been recorded on numerous occasions. Perhaps the most shocking truth is that both of these recommendations were at one time required under Canadian legislation, but subsequently removed. The reality is that when it comes to humane killing practices, Canadian legislation has actually been moving backwards. Further, if Minister Hearn had actually read the EFSA opinion, he would know that the “potentially unproven biases” referred to by the Panel are actually those that err in favour of sealers. These include the fact that sealers are likely to alter their behaviour when they are aware that their practices are being observed and recorded, and the reality that observers are only able to document the hunt during weather conditions that are optimal for sealers. As a result, the EFSA report notes that observations by groups such as IFAW and others are likely to represent “best practices.” It is time for Loyola Hearn to admit what the EFSA report makes clear: Canada’s commercial seal hunt does not meet modern scientific standards of humane killing. This hunt is an embarassment to Canadians - the majority of whom oppose its continuation – and should be ended. Sheryl Fink Senior Research and Projects Specialist International Fund for Animal Welfare =============================================== 20 déc. 2007 10h21 HE Déclaration de Loyola Hearn ministre des Pêches et des Océans : Le Canada souscrit à une chasse au phoque sans cruauté OTTAWA, ONTARIO--(Marketwire - 20 déc. 2007) - L'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a publié une étude scientifique sur la chasse au phoque pratiquée à l'échelle mondiale relativement au bien-être des animaux. Nous sommes heureux de constater que les recommandations de l'EFSA confirment que les pratiques et les techniques de chasse utilisées, réglementées et prescrites par la loi pour la chasse commerciale du phoque au Canada sont légitimes et sans cruauté. Des études indépendantes et examinées par des pairs ont démontré une fois de plus que la grande majorité des phoques sont abattus sans cruauté au Canada. Nous croyons donc que les pratiques actuellement en vigueur au Canada sont conformes aux recommandations générales de l'EFSA, et nous avons déjà commencé à prendre un certain nombre de mesures pour remédier à certains des problèmes soulevés dans l'étude. Le gouvernement du Canada est déterminé à assurer la gestion durable de ces ressources renouvelables et une chasse au phoque bien gérée et bien réglementée. Le Canada, qui compte plus de 5,5 millions de phoques du Groenland le long de ses côtes est et ouest, établit des quotas annuels adéquats pour maintenir la population de phoque en santé. Il ne faut pas oublier que la chasse au phoque et la pêche sont des traditions complémentaires et bien ancrées qui ont permis aux Autochtones, aux Inuits et aux non-Autochtones de subvenir aux besoins de leurs familles pendant des générations. Grâce à des efforts soutenus, à la connaissance du milieu marin et à des pratiques durables, la chasse au phoque permet à des milliers de chasseurs canadiens et à leur famille de toucher un revenu substantiel. L'approche du Canada en matière de chasse au phoque est fondée sur des faits, des données scientifiques reconnues internationalement et le respect des traditions culturelles centenaires, plutôt que sur les objections morales et les renseignements erronés véhiculés par les groupes d'opposants à la chasse au phoque qui, selon l'EFSA, "peuvent être considérablement biaisés et non fondés". Le gouvernement du Canada continuera de contribuer à cette discussion et à défendre les droits des chasseurs canadiens afin de leur permettre de participer à une chasse légitime, durable et sans cruauté.
  7. Caro18

    sharon stone, MAUDITE GARCE

    Elle est fière la madame de poser avec "des cadavres sur le dos"! SALOP. Céline Dion aussi!
  8. La cuisine végétalienne Retour aux sources ARTICLE ( Journal Voir ) - 10 janvier 2008 Clémence Risler Les carnivores n'ont qu'à bien se tenir: le chef Mike Makhan du restaurant Aux Vivres nous initie à la cuisine végétalienne. Après le marathon de festivités tout juste traversé, la dernière chose dont on a envie est bien de se rendre dans un restaurant et de s'attabler devant un faste repas. Or, Aux Vivres n'est pas le genre d'endroit duquel on ressort avec cette impression de lourdeur affublant l'estomac, et ce, grâce à un détail plutôt vivifiant: aucun produit animal ne figure au menu. Aucune trace de viande, d'oeuf, de laitage ni même de miel n'entre dans la composition des mets préparés ici. Selon les principes de la cuisine végétalienne (et non végétarienne, qui permet la consommation de quelques produits d'origine animale), seuls des ingrédients végétaux sont admis dans les cuisines de cet établissement établi sur le boulevard Saint-Laurent à la jonction du Plateau et du Mile-End. Tous sont aussi issus de cultures biologiques, il va sans dire. DES GOÛTS ET DES SAVEURS Ennuyante, la cuisine végétalienne? Pas du tout! Parmi les classiques d'Aux Vivres, on retrouve par exemple un sandwich BLT où de la noix de coco fumée remplace le bacon, une pizza concoctée à partir de fromage de tofu et d'une sauce de tomates séchées, un burger où la tête d'un généreux champignon portobello, mariné et grillé, fait office de boulette et des tartinades, tel un beurre à base d'huile de sésame. Et, contrairement à une pratique courante, on ne camoufle pas la présence de tofu ou de tempeh (pain de fèves de soya cuites et fermentées) en les faisant ressembler le plus possible à de la viande. De par leurs influences d'ici et d'ailleurs, les recettes proposées transportent les clients vers le Mexique, la Thaïlande et l'Inde. "Quand on observe la population mondiale, on se rend compte qu'il y a très peu de cultures aussi carnivores que la nôtre. La plupart des populations, tels les Chinois et les Indiens, ont une alimentation où dominent depuis des millénaires des aliments comme les légumes, les légumineuses et les céréales et où les protéines complètes sont fournies autrement que par de la viande", rappelle Mike Makhan, chef et propriétaire du restaurant. CUISINE DE RÉSISTANCE Pour ce jeune homme qui applique à son propre mode de vie les préceptes du végétalisme depuis une dizaine d'années, cette façon de s'alimenter consiste d'abord en un geste de résistance politique. Il déplore surtout qu'en général les humains soient de moins en moins connectés à la nature première de ce qu'ils mangent. "Ce n'est pas tant le fait de consommer de la viande qui me dérange, mais plutôt la façon dont elle est produite, c'est-à-dire en ne respectant ni l'animal ni l'environnement. Plus la nourriture est transformée, plus les gens oublient la provenance des aliments. Et parce qu'ils n'ont plus cette notion d'origine de la vie en tête, ils sont prêts à acheter n'importe quoi au prix le plus bas." Si certains prennent cette avenue par conscience sociale, d'autres la choisissent par pur souci de santé, car il est scientifiquement établi que les végétaliens ne souffrent pas de problèmes cardiovasculaires. "Je ne dirai jamais que de manger de la viande est une mauvaise chose en soi, avance-t-il en conclusion, mais je dirais qu'il faut au moins s'ouvrir l'esprit aux autres possibilités." Aux Vivres 4631, boulevard Saint-Laurent Tél.: 514 842-3479 RECETTE / Nouilles piquantes au bok choy et tofu (repas léger pour deux personnes) INGRÉDIENTS -Vermicelles de haricots en quantité suffisante (ces nouilles sont plus légères que les nouilles de riz ou de blé et sont en vente dans les épiceries asiatiques) -2 tasses de bok-choy lavé et coupé en morceaux (peut être remplacé par des champignons, du brocoli ou tout autre légume qui vous fait craquer) -Le quart d'un bloc de tofu Pour la sauce: -1 c. à table de sirop d'érable -1 c. à table de sauce tamari -1 c. à table de gingembre frais râpé -1 c. à thé d'huile de sésame frais -2 c. à table d'huile de tournesol -2 c. à table d'eau -1 c. à table de vinaigre de riz -La moitié d'un piment chili haché finement (Conseil: doubler la recette de cette sauce pour l'utiliser comme vinaigrette sur une salade... délicieux!) PRÉPARATION -Passer au mélangeur tous les ingrédients de la sauce pendant environ 1 minute. -Trancher le tofu et le faire mariner 5 minutes dans une partie de la sauce. -Blanchir les bok-choy une minute dans l'eau bouillante, puis les réserver en conservant l'eau de cuisson et en la faisant bouillir à nouveau. -Faire bouillir les nouilles pendant 2 minutes. -Égoutter et rincer à l'eau froide. -Faire sauter les morceaux de tofu mariné jusqu'à ce qu'ils soient légèrement dorés. -Mélanger les nouilles, la sauce, le tofu et les légumes et servir avec des feuilles de coriandre ou de basilic et des graines de sésame grillées. http://www.voir.ca/publishing/article.aspx?zone=1&section=21&article=56070
  9. Charles Patterson : l'abattage, un laboratoire de la barbarie LE MONDE DES LIVRES | 10.01.08 | 13h00 Les Etats-Unis nous vient un livre qui semble arriver à point nommé pour conforter tous ceux qui dénoncent le principe même d'un droit des animaux et pensent que les thèses de la "libération animale" devaient immanquablement conduire à des dérapages scandaleux. Comment ne pas être en effet choqué par ce titre, Un éternel Treblinka, que l'historien américain Charles Patterson a osé donner à un livre sur la condition animale ? Pourtant, chapitre après chapitre, on comprend qu'il ne s'agit pas là d'une outrance irresponsable : sans nous faire grâce du moindre détail, l'auteur nous oblige à accompagner l'effroyable parcours qui aboutit à la tuerie des animaux de boucherie, ce processus qui s'effectue à la fois en marge et au coeur des sociétés industrielles. Il veut obliger nos contemporains à prendre connaissance de cette violence banale, légale que des directives encadrent, certes, mais que sa technicité industrielle et son obnubilation par le profit rendent doublement inhumaine : vis-à-vis des bêtes qu'on transporte, qu'on parque, puis qu'on abat, et vis-à-vis des hommes qu'on exerce à l'insensibilité. COMMENCEMENT DU PIRE De ce processus industriel, Patterson propose une genèse surprenante qu'étayent quelques rappels historiques. C'est dans les Union Stock Yards, gigantesque réseau de parcs à bestiaux et d'abattoirs, installés au sud de Chicago, reliés par des centaines de kilomètres de voies ferrées, qu'Henry Ford en 1922 eut la révélation de la chaîne de production dont il fit le modèle d'organisation du travail, auquel il a attaché son nom. Or c'est le même homme qui fut à l'époque l'instigateur de textes antijuifs virulents et le propagateur du pamphlet antisémite Les Protocoles des sages de Sion. Au commencement du pire, il y aurait donc eu comme une connexion entre l'antisémitisme génocidaire et la division du travail d'abattage. De Chicago à Treblinka, la conséquence serait implacable. Patterson dénonce en outre la mise en pratique par les Américains, dans l'entre-deux-guerres, de l'hygiène raciale et de ce qu'on nommait "l'eugénisme des familles", qui reproduisait les techniques de sélection ayant cours dans l'élevage des animaux, et qui fit de féroces disciples chez les nazis. En un mot, la rationalisation de la zootechnie et de l'abattage devait nécessairement aboutir à une "anthropotechnie" exterminatrice, celle-là même que les hitlériens menèrent à bien. Entre les procédés mis en oeuvre dans le traitement des animaux et celui d'hommes préalablement animalisés, il y aurait une rigoureuse similitude. Si l'argumentation peut sembler forcée, c'est qu'elle prétend à la scientificité et qu'elle pèche le plus souvent par naïveté conceptuelle. La lecture de descriptions atroces, inoubliables, aurait pu suffire : ces récits pèsent plus lourd que toute démonstration, ils parlent d'eux-mêmes et emportent une sorte d'intime conviction, celle dont Patterson a recueilli le témoignage auprès de nombreux juifs marqués par l'extermination. Tous disent qu'ils ont un jour ressenti la certitude d'une communauté de sort entre les victimes de ce génocide et les animaux de boucherie conduits à la mort. On peut ne pas être d'accord avec cette manière emphatiquement analogique de dénoncer les pratiques de transport et d'abattage. Et pourtant, on aurait tort de reprocher à Patterson de banaliser la destruction des juifs d'Europe. Il s'est instruit à Yad Vashem et il ne cesse d'affirmer l'unicité de ce meurtre de masse. Sa dénonciation s'ancre dans l'oeuvre d'Isaac Bashevis Singer, dont les livres, entièrement consacrés à décrire la singularité juive d'Europe centrale, sont en même temps hantés par le calvaire infligé aux bêtes destinées à l'alimentation. "Pour ces créatures, tous les humains sont des nazis ; pour les animaux, c'est un éternel Treblinka", écrit I.B. Singer : c'est donc une partie de cette phrase qui constitue le titre du livre de Patterson. Et il ne faudrait pas oublier que beaucoup d'auteurs juifs d'après 1945 ont osé la comparaison : Adorno et Horkheimer, Derrida, Canetti, Grossman, Gary, entre autres, ont été obsédés par la douleur animale et par sa proximité avec la souffrance des persécutions par les nazis. Que faut-il faire pour que nous devenions moins inhumains avec les bêtes ? Le radicalisme de la réponse végétarienne préconisée par Patterson ne saurait convenir à tous. Mais il nous appartient à tous d'inventer une politique humaniste du vivant non humain. UN ÉTERNEL TREBLINKA (ETERNAL TREBLINKA) de Charles Patterson. Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Dominique Letellier. Calmann-Lévy , 334 p., 20,50 €. http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3260,36-997729@51-997776,0.html
  10. Caro18

    Mangeons du cochon!

    La belle mascarade de nos éditorialistes du Québec! Le jeudi 10 janvier 2008 Morale indigeste Ariane Krol akrol@lapresse.ca La Presse Réduire sa consommation de viande ou, mieux, devenir végétarien, pour lutter contre les changements climatiques? La proposition lancée par Greenpeace fait beaucoup jaser depuis quelques jours. S'il est vrai que la plupart d'entre nous auraient intérêt à manger moins de viande, il faut se garder de la rectitude diététique. L'élevage de bétail, comme le rappelle le document de Greenpeace préparé par des scientifiques écossais, génère des quantités importantes de gaz à effet de serre (GES). Produire un kilo de boeuf génère 13 kilos de CO2, soit 16 fois plus qu'un kilo de pain et 62 fois plus qu'un kilo de pommes de terre. Les données peuvent varier d'un pays à l'autre, mais l'idée générale reste la même. La digestion des ruminants dégage du méthane, un puissant GES. Leur production contribue donc davantage au réchauffement de la planète que celle de la volaille, elle-même beaucoup plus nuisible que la culture de végétaux. C'est fâcheux, parce que l'élevage est le secteur agricole le plus en croissance. D'ici 2050, la production mondiale de viande et de lait aura pratiquement doublé par rapport à 2001, estime l'agence des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO). Bonjour les dégâts! Mais contrairement à ce qu'on pourrait croire, ce n'est pas nous qui serons responsables de cette augmentation. Les Canadiens mangent beaucoup de viande, mais leur consommation n'a pas bougé depuis 25 ans. La demande accrue de protéines animales vient surtout des populations qui s'élèvent au-dessus du seuil de la pauvreté. Comme le soulignent Greenpeace et la FAO, c'est toute l'agriculture qui doit réduire ses émissions de GES. On peut retenir beaucoup de carbone en utilisant de meilleures techniques de culture et en évitant de convertir les forêts et les milieux humides en terres arables. Les consommateurs aussi peuvent faire leur part. Les 96 kilos de viande rouge et de volaille que nous ingurgitons en moyenne chaque année génèrent plus de 900 kilos de CO2. Se convertir au végétarisme peut donc avoir un impact notable, mais on ne peut pas s'attendre à ce que tout le monde adopte ce style de vie du jour au lendemain. Toutefois, la plupart d'entre nous ne risquerions pas grand-chose à manger moins de viande. Au contraire, plusieurs études ont établi des liens entre une consommation élevée de viande rouge ou de charcuterie et certains types de cancers et de maladies chroniques. Évitons cependant de verser dans l'Inquisition alimentaire. La lectrice du Devoir qui reprochait hier à Jean Lemire de manger du jambon et des grillades durant sa mission dans l'Antarctique va trop loin. Que le biologiste collabore à nos pages ne change rien à l'affaire. Se mettre le nez dans l'assiette de Steven Guilbault, de David Suzuki ou de n'importe quel autre leader écologiste serait tout aussi inapproprié. Même si nous ne partageons pas tous leurs points de vue, une chose au moins ne fait aucun doute à nos yeux: la planète profite infiniment plus de leur travail qu'elle ne souffre de leur régime, quel qu'il soit. Faites nous part d’un commentaire http://www.cyberpresse.ca/article/20080110/CPOPINIONS02/801100753/6742/CPOPINIONS LES COMMENTAIRES: COMMENTAIRES Faites nous part d’un commentaire victor.lubomudrov Les humains sont des êtres omnivores et non carnivores. Et notre côté carnivore est modéré considérant que la viande que nous mangeons est pratiquement toujours cuite. Dans le même ordre idée, en considérant l'humain capable de survivre un minimum de deux semaines sans ingérer autre chose que... » oncle_sam Mon type de sang est ( O + ) . Vous voyez , où je veux en venir ... J'aime la viande , mes cellules en exigent de plus en plus de sang . Je mangerais un cheval , riche en fer ;-) - Quoi , j'ai un petit coté : » albatros_9 Greenpeace et ses ouailles deviennent de plus en plus fous. Ils ont remplacé la religion chrétienne par la religion environnementaliste. Comme pour les religions, il faut en prendre et en laisser. » eddiefalcon Les humains sont des êtres carnivores donc la viande dans son alimentation est là pour rester. Cependant il serait sage d'en consommer en moindre quantité. L'aliment principal de nos aieux était le pain et la viande l'accompagnement ... de nos jours ont fait l'inverse. Le juste milieu serait la ... »
  11. ATROCE! Des outils de torture Quand les animaux ne meurent pas à cause des blessures, ils crèvent de faim. Si les animaux ont le malheur d'être encore en vie, les trappeurs s'acharnent sur les bêtes à coup de bâton comme pour les phoques, où pire encore, ils peuvent subir aussi des tortures ignobles de la part de ces machos débiles!
  12. Opinion Lettres: La bouffe et l'environnement Patricia Tulasne, Le 9 janvier 2008 Bravo à Greenpeace pour enfin oser aborder le problème de l'impact de nos habitudes alimentaires sur l'environnement. Mais ces faits sont connus depuis longtemps des environnementalistes, des scientifiques et de tous ceux qui ont opté pour un régime végétarien. Par ailleurs, les lobbys agroalimentaires sont si puissants et les habitudes alimentaires des gens si profondément ancrées qu'il est difficile d'aborder ce problème. Les médias en général trouvent plus payant d'ériger un Martin Picard (ce Cro-Magnon barbare de la bouffe) en héros national plutôt que de parler de végétarisme! Pourtant, dès 1987, John Robbins parlait des effets néfastes d'une alimentation centrée sur la viande dans son livre intitulé A Diet For A New America. Tous les livres qui parlent de végétarisme évoquent également ce problème depuis longtemps, comme celui que j'ai écrit avec la nutritionniste Anne-Marie-Roy en 2003, Végétariens... mais pas légumes. Nous y faisions déjà référence au rapport de la FAO qui dénonce la production de viande et ses dérivés, qui sont parmi les premières causes du réchauffement climatique. Pour réduire les dommages environnementaux, le rapport de la FAO dit clairement qu'il est urgent de réduire au moins de moitié la production de viande; pourtant, les prévisions vont dans l'autre sens. Il se mangera deux fois plus de viande d'ici 2050. Je crois qu'il est aussi urgent que les médias arrivent à vaincre leurs résistances et se fassent enfin le relais de ces idées qui ont tant de mal à faire leur chemin mais qui pourraient être une des solutions à la destruction de notre planète. http://www.ledevoir.com/2008/01/11/171388.html
  13. Steve Jobs : le cap des 5 millions d’iPhones vendus bientôt dépassé ? Le 15 janvier prochain, le fondateur et patron d’Apple, Steve Jobs, devrait présenter les nouveautés de la marque à la pomme au salon MacWorld de San Francisco. Quelques rumeurs parlent d’un Mac « ultraportable » - donc très petit -, ainsi que d’un nouveau système d’exploitation pour l’iPhone, le « smartphone » phare d’Apple. Dont les ventes tiennent leurs promesses : 5 millions d’appareils ont été vendus depuis sa mise sur le marché aux Etats-Unis, voilà un an. Et ce n’est pas fini... Après le succès de ses balladeurs MP3 iPod, Apple semble bien parti pour réussir dans un domaine qui, encore une fois, n’a rien à voir avec son coeur de métier. Saluons l’exploit, d’autant que la concurrence entre fabricants de mobiles est féroce. Le nom Apple aurait été choisi par Steve Jobs, étant végétarien, et le nom Macintosh viendrait d'une variété de pommes que Jobs récoltait dans sa jeunesse pour gagner de l'argent de poche. Une anecdote raconte qu'au cours d'un voyage au Népal, celui-ci fut victime d'une indigestion l'obligeant à se nourrir temporairement de pommes. Voyant qu'ils n'arrivaient pas à se mettre d'accord sur un nom et un logo pour leur société, Jobs eu l'idée de proposer comme compromis un trognon de pomme, chose qui faisait alors partie de son quotidien. http://www.mensup.fr/business/business_men/8758/steve_jobs_le_cap_des_5_millions_d%E2%80%99iphones_vendus_bient%C3%B4t_depasse.html
  14. Le Québec ouvre la grande porte à tous les exploitants des animaux : les centres de recherches avec l'utilisation des animaux, les usines à chiots, les porcheries, la chasse, le trappage et la vente des fourrures, exportation des pénis de phoques, la bile d'ours, les bois de velours, les zoos, les calèches, les cirques, importation de fourrure de chats et de chiens, gavage des oies, l'élevage et l'abattage des chevaux pour la boucherie, la xénotranplantation etc., Il y en a tellement que...
  15. Chasse au phoque Révision des méthodes d'abattage Mise à jour le vendredi 11 janvier 2008, 18 h 10 . Les chasseurs de phoque se disent prêts à revoir leurs méthodes d'abattages. Le sujet a été au coeur des discussions cette semaine, à Terre-Neuve, lors de la rencontre annuelle entre les chasseurs de phoque et les représentants de Pêches et Océans Canada. Certaines recommandations de vétérinaires internationaux pourraient être mises en application dès le printemps. Il y a deux ans, des vétérinaires indépendants ont recommandé que les chasseurs vident les phoques de leur sang avant de récupérer leurs peaux. Le président des chasseurs de loups-marins des îles de la Madeleine, Jean-Claude Lapierre, approuve la recommandation. « On veut se responsabiliser et justement devenir de vrais professionnels », fait-il valoir. Depuis 30 ans, les opposants à la chasse se sont beaucoup servi des images de phoques ensanglantés sur la banquise pour faire la promotion de leurs idées. Jean-Claude Lapierre croit que cela améliorera l'image de la chasse: « Personne ne pourra dire qu'il n'est pas mort. Un animal ne peut pas vivre sans qu'il ait du sang dans le corps. » La modification des méthodes d'abattage demandera une formation précise et la diffusion de nouvelles informations, estime la gestionnaire de Pêche et Océans Canada, Sylvette Leblanc. Elle rappelle que 7000 personnes participent annuellement à la chasse au Canada. Le ministre des Pêches & Océans Loyola Hearns devrait annoncer d'ici quelques semaines si la saignée sera obligatoire au printemps ou en 2009. http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2008/01/11/005-phoque.asp
  16. Le samedi 12 janvier 2008 Pendant ce temps au Canada anglais.... Martin Croteau La Presse Facebook, une menace pour la justice ? C’est l’histoire d’une meute en colère qui décide de se substituer aux tribunaux... version 2.0. Le procès de quatre adolescents, accusés d’avoir tué un chat lors d’un cambriolage, pourrait dérailler. Manque de preuves? Travail policier bâclé? Non. Facebook ! Tout a commencé le 29 décembre à Camrose, en Alberta. Quatre ados, âgés de 13 à 15 ans, forcent l’entrée d’une maison pendant que ses propriétaires sont en vacances. Ils saccagent les lieux et volent un éventail d’objets. Le lendemain, les vandales reviennent à la charge. Et lorsqu’ils tombent sur le chat, l’un d’eux a une idée géniale : le faire cuire dans le micro-ondes. C’est finalement un voisin qui découvre le cadavre parmi les décombres. La nouvelle s’est propagée comme une traînée de poudre dans la petite ville de 15 000 habitants, située à une centaine de kilomètres d’Edmonton. Indignés, des défenseurs de droits des animaux ont créé plusieurs groupes de discussion sur Facebook, le populaire site de réseautage. «Camrose Cat Killers – Prosecute them as adults» a rassemblé plus de 6000 internautes qui exigent que les garçons, arrêtés peu après leur crime, soient jugés par un tribunal pour adultes. D’autres vont beaucoup plus loin, comme «Let’s Build a Giant Microwave and Teach Those Camrose Cat Killers a Lesson» (Construisons un micro-ondes géant pour donner une leçon aux tueurs de chats de Camrose). Déchaînés, certains internautes ont lancé des menaces aux accusés. «Ils se feront casser la gueule avant le 6 janvier», a écrit l’un d’eux. «Ces monstres devraient être torturés, a ajouté un autre. Laissez la société s’en occuper. » Les noms des accusés dévoilés Mais voilà, dans un accès de colère, quelqu’un a affiché le nom des quatre accusés qui, rappelons-le, sont mineurs. La police de Camrose a immédiatement ordonné la fermeture du site, mais le mal était fait. En Alberta comme ici, la loi interdit d’identifier les personnes de moins de 18 ans, peu importe le crime pour lequel ils sont accusés ou condamnés. Le processus judiciaire contre ces malfaiteurs est donc compromis. Sans compter l’humiliation subie par quatre adolescents et leurs familles. Interrogé par le Calgary Herald, un professeur d’éthique à l’Université du Manitoba a fustigé les auteurs du site. «La publication de ces noms est honteuse, a déclaré Arthur Schafer. C’est aussi inquiétant pour la société que le crime que ces jeunes hommes ont commis.» http://www.cyberpresse.ca/article/20080112/CPACTUALITES/80111289/6730/CPACTUALITES
  17. Le samedi 05 janvier 2008 Quatre adolescents font «cuire» un chat dans un micro-ondes Presse CanadienneCamrose, Alberta Quatre adolescents albertains devront faire face à la justice pour avoir maltraité et tué un chat. Les trois jeunes de 15 ans et l'autre de 13 ans sont entrés par effraction dans une résidence de Camrose, alors que les propriétaires étaient partis en vacances. Ils se sont emparés d'un chat, dont la garde avait été confiée à des voisins. Ils l'ont placé dans un four micro-ondes, qu'ils ont mis en marche. Selon un porte-parole de la police locale, il s'agit d'un des crimes les plus dégoutants commis dans les 25 dernières années dans ce petit village tranquille. Les défenseurs des droits des animaux exigent que les 4 adolescents soient soumis à des examens psychiatriques immédiats. Ils doivent se présenter devant le Tribunal de la jeunesse le mois prochain. http://www.protection-des-animaux.org/ipb/index.php?showtopic=20393
  18. Caro18

    L'autruche perd des plumes

    L'engouement des consommateurs en baisse En Gaspésie, les éleveurs de gibiers n'arrivent plus à vendre autant de viande. Même si l'engouement des consommateurs est à la baisse, c'est surtout le manque d'abattoir dans les régions éloignées qui complique la situation. Gaétan Boulay, qui possède un troupeau d'une centaine de cerfs rouges à Rivière-au-Renard, vend depuis une dizaine d'années les bois de ses animaux aux Asiatiques. Les bois de velours ont des vertus médicinales et se vendent entre 500 $ et 600 $ la pièce. M. Boulay souhaiterait toutefois développer un nouveau marché en vendant la viande de ses bêtes. « La viande de cerf rouge c'est une viande qui est très tendre avec un taux élevé de protéines sans gras. C'est vraiment extraordinaire », indique M. Boulay. Pour commercialiser la viande de gibiers d'élevage, ça prend beaucoup d'éléments, notamment un abattoir et une salle de découpe. Or, les installations les plus proches sont à Luceville, près de Rimouski. « On est à minimum cinq heures de route avec les animaux. Le stress et les coûts de transport, on a vraiment un problème dans notre région pour l'abattage du cerf rouge », souligne M. Boulay. Aux dires de la Fédération des éleveurs de grands gibiers du Québec, plusieurs abattoirs ont décidé de mettre fin à leur élevage de cervidés, en raison des normes devenues de plus en plus strictes. Selon le ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec, il faudrait 700 000 $ pour implanter un abattoir en Gaspésie. En attendant l'arrivée, peu probable, d'un abattoir dans la région, M. Boulay continue de vendre les bois de velours. Il fera d'ailleurs une percée en Europe, plus précisément en Italie. http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2008/01/12/001-cerf-rouge-abattoir_n.asp
  19. Caro18

    Mangeons du cochon!

    Le dimanche 13 janvier 2008 Mangeons du cochon! ÉCRIVEZ À CE TARÉ: adubuc@lapresse.ca Alain Dubuc La Presse Pour sauver la planète, il faut manger du cochon. Ou du poulet. Quand nos ados mangent des ailes de poulet piquantes au lieu d'un Big Mac, ils contribuent à réduire les gaz à effet de serre. Et si vous faites des côtes levées sur votre barbecue au lieu d'un gros steak, vous faites aussi un petit quelque chose. Je n'invente rien. C'est ce que disent les données colligées par Greenpeace. L'organisation vient de publier une étude sur l'agriculture, qui note entre autres que c'est l'une des activités humaines qui contribue aux émissions de GES, de 17% à 32% des émissions du total. Et que ces émissions sont en hausse, entre autres à cause de la déforestation, de l'utilisation d'engrais azotés, mais aussi à cause de l'augmentation rapide de la consommation de viande dans les pays en voie de développement. L'organisme environnemental propose plusieurs avenues pour que l'agriculture contribue à la lutte aux changements climatiques. Mais elle met en bonne place un plan d'ensemble «qui encouragerait, à titre d'exemple, l'adoption d'un régime alimentaire végétarien, ou du moins une réduction de la consommation de viande, permettant de réduire les GES». Cette solution a fait tiquer bien du monde. Elle illustre assez bien les limites de la contribution d'un organisme comme Greenpeace. En nous rappelant que c'est d'abord et avant tout un groupe militant, en quelque sorte les maoïstes des temps modernes, et qu'il y a, dans son action, un but caché. J'ai lu le rapport complet de Greenpeace, tout à fait intéressant, fait par des chercheurs de l'Université d'Aberdeen. Mais j'y ai trouvé des choses sur lesquelles l'organisme n'insiste pas trop. Dans les productions animales, on le sait, le problème des GES provient essentiellement de l'élevage ovin et bovin, les fameux pets de vache, qui dégagent beaucoup de méthane, un gaz 23 fois plus nocif que le dioxyde de carbone en ce qui a trait à l'effet de serre. Par contre, l'élevage du porc et du poulet engendre beaucoup moins de GES. Un porc émet de 1 à 1,5 kg de GES par an, comparativement à 36 à 100 kg pour un boeuf. En gros, l'élevage du porc ou du poulet produit moins que la moitié des GES que l'élevage bovin. L'étude note donc que «l'augmentation des productions de poulet et de porc est également souhaitable, étant donné que ces animaux produisent beaucoup moins de GES». Pourquoi alors Greenpeace n'en fait-il pas une recommandation et parle-t-il plutôt de végétarisme? Poser la question, c'est y répondre. Parce que ça ne fittait pas avec son cadre idéologique. Greenpeace n'est pas un groupe technique spécialisé dans la réduction des GES. C'est une organisation militante qui, dans sa bataille pour protéger la planète, défend une conception de l'économie, de l'habitat, du mode de vie. Qui a son propre programme, qui n'est pas toujours visible dans ses interventions publiques. Dans ce cas-ci, le jupon a dépassé. Et il est assez évident que la vision du monde de Greenpeace n'est pas et ne sera pas celle d'une grande partie de la population. Même si les comportements se transforment, les Occidentaux ne deviendront pas tous des végétaliens urbains à vélo. Ce décalage entre l'idéologie de l'organisme et les valeurs dominantes montre les limites de l'action de ce genre de groupe écolo. Il est clair que Greenpeace et d'autres groupes ont joué et jouent toujours un rôle majeur dans la prise de conscience qui émerge maintenant. Ils se sont battus quand personne ne les croyait. Et plus souvent qu'autrement, ils ont eu raison. Pour cela, il faut leur être profondément reconnaissants. Mais on peut noter que, souvent, quand une idée finit par s'imposer, elle échappe progressivement aux précurseurs qui lui ont donné vie. Dans le cas qui nous occupe, la lutte contre les changements climatiques est devenue mainstream. C'est heureux. Mais cela appelle d'autres méthodes et d'autre joueurs, si on veut atteindre les résultats souhaités. Si on veut réduire les GES, plutôt que bâtir le monde dont rêve Greenpeace, il y a des solutions qu'il faut regarder, comme le développement du nucléaire, qui ne produit pas de GES, mais que les écolos dénoncent. Mais surtout, il faut arrêter d'essayer de réinventer l'être humain. Au lieu de rêver dogmatiquement qu'on va transformer le mode de vie, il est beaucoup plus porteur de réduire les impacts négatifs de ce mode de vie. On peut développer les transports en commun au lieu de dénoncer la banlieue. On peut rendre l'auto propre, au lieu de la bannir. Et on peut manger du cochon, au lieu de militer pour le végétarisme. http://www.cyberpresse.ca/article/20080113/CPOPINIONS05/801130623/5034/CPOPINIONS Il ne pense qu'à sa bedaine
  20. Il tue à la hache ceux qui dépeçaient son chien Un Russe a tué deux personnes à coups de hache à Natsouguine, près de Tchita, en Sibérie orientale en découvrant, fou de rage, qu'elles étaient en train de dépecer son chien pour en manger la chair. Alexandre Ermilov, 40 ans, "a surpris, en rentrant chez lui un soir de décembre, deux connaissances qui avaient tué et découpaient en morceaux son chien bien-aimé, un dogue, pour la viande", a expliqué le parquet de Tchita. "Fou de rage, il a saisi une hache et a commencé à frapper ses invités surprises sur la tête", a-t-il ajouté. Il a ensuite appelé la police pour expliquer ce qui s'était passé. Il a été mis en examen pour double meurtre et écroué. http://www.dhnet.be/dhjournal/archives_det.phtml?id=780737
  21. Je diffuse : Un poulet tué en direct sur un plateau TV au Royaume-Uni. Jamie Oliver avait déjà été critiqué pour avoir égorgé un agneau en direct... Comme si visiter un abattoir n'était pas suffisant pour exposer la réalité... Jamie Oliver electrocutes chicken on TV Wednesday Jan 9 07:00 AEDT http://news.ninemsn.com.au/article.aspx?id=343673
  22. Corrupt Officials Order Media Blackout of Future Dog Cullings! 500,000 dogs ordered killed in media blackout! Communist government officials have ordered the killing of 500,000 more dogs, ten times the number already killed in late July of 2006! After the public outrage at the killings in Yunnan, officials in eastern Jining have ordered a media blackout on the cull, giving permission only to one local newspaper to send its reporters to write about the slaughter. It is vital that all dog lovers immediately join in the international boycott of all products made in China! Please support this project to raise awareness and stop this abuse of canine companions. The fact that corrupt government officials have ordered a media blackout of future dog cullings shows our efforts are working. Please help raise awareness and shine a light upon this corruption. Let everyone know what is happening and call for an end to all trade with China! China has a long history and black-market that involves killing dogs and the trade in canine byproducts. A media blackout obviously was established to cover-up what is happening. In Red China large profits are made from dealing in canine fur, skins and byproducts; this is a fact, not conjecture! Unless the rest of the free world speaks out against this carnage it will likely continue with an increased number of dogs being killed to provide fur, skins and other canine byproducts, many of which will end up on products in Wal-mart, Macy's and perhaps even as stuffed animals or handbags sold at Disney World! The Rest of the Story: Video Records Warning! These videos related to dog and cat killing in China which is associated with the fur trade and the fact animals skinned alive and tortured are cooked and consumed by the Chinese are very graphic, disturbing and shocking to watch! However, those who endeavored to produce these videos have done a good job to tell the rest of the story, to show what is happening in China to man's best friend. Please watch these videos and then consider taking action to boycott China! At the very least put a bumper sticker upon your car or wear a T-shirt to make others aware of the cruelty which is being done to dogs, cats and other animals in China. Protest song with graphic video of dog kills in China http://www.byteland.org/boycottchina/index.html
  23. Caro18

    Dog meat - Canada

    Canada Although consumption of dog meat is not part of mainstream Canadian culture, it is practised by some cultural minorities. In 2003 , health inspectors discovered four frozen canine carcasses in the freezer of a Chinese restaurant in Edmonton.[12] Subsequently, the Edmonton health inspector said that it is not illegal to sell and eat the meat of dogs and other canines, as long as the meat has been inspected.[13] In the end, these four particular canine carcasses were found to be coyotes. Ed Greenburg, an official with Edmonton's Capital Health Region, said the fact that the animals were coyotes doesn't change anything and inspectors are still looking into the possibility that uninspected meat was served at the restaurant. Under Canada's Wildlife Act, it is illegal to sell meat from any wild species. There is no law against selling and serving canine meat, including dogs, but it must be killed and gutted in front of federal inspectors.[14] Advocates for eating dog meat are using the on-line Wikipedia to promote and justify the eating of dog meat http://en.wikipedia.org/wiki/Dog_meat
  24. Radio Canada (Dernière) Ce soir : Au pays du castor. Martin et Hugue se transforment en coureurs des bois. Ils ont réussi à capturer une loutre, un rat musqué, un pékan, une belette, un renard et deux castors. Devant toute cette belle viande, les deux cuisiniers décident de préparer, entre autres, un méchoui d'écureuil et de rat musqué, du lynx Général Tao et un civet de castor. (Épisode no 7) Deux beaux gros dégueulassent Archives des tueries Aujourd’hui : La quête du saumon. C’est dans le décor grandiose de la rivière Moisie, sur la Côte-Nord, que Martin et Hugue tentent d’attraper un saumon. Sur le rivage, Martin nous montre la différence entre les saumons d’élevage et les saumons sauvages, et sur la plage nous prépare son fameux pâté au saumon. (Épisode no 3) Ce soir : Le foie gras. Pour démystifier et nous faire aimer le foie gras, Martin nous emmène faire la tournée des diverses étapes de fabrication de ce mets. À chacune des étapes, il nous offre une de ses recettes spéciales, dont la plogue à Champlain (crêpe au foie gras), la poutine au foie gras et, pourquoi pas, un gâteau au foie gras... Comme Martin aime tenter de nouvelles expériences, il décide de gaver un canard de sirop d’érable. Le résultat culinaire en vaudra-t-il la peine? (Épisode no 4) Ce soir : La grande boucherie. C’est la tradition de la grande boucherie que Martin veut recréer ici. On procède d’abord à la mise à mort du cochon. Le but est ici de vérifier l’adage « dans le cochon, tout est bon ». Stefano Faita et sa mère Elena, ainsi que Mehdi et Audrey, sous-chefs au Pied de Cochon, viennent prêter main-forte à Martin pour la confection, entre autres, de ragoût de pattes de cochon, tête fromagée et saucisses. L’estomac de l’animal est farci, les côtelettes confites et son museau sera aussi dégusté. (Épisode no 5) Ce soir : Le homard monstre. Hugue et Martin vont pêcher le homard en Nouvelle-Écosse. Martin veut prouver aux pêcheurs qu’on peut cuisiner le homard différemment. À bord d’un crabier amarré dans le port de Metegan River, il cuisine son plat le plus spectaculaire : un estomac de porc farci de homard. Puis, il réinvente la râpure, un drôle de plat fait d’un mélange de patates, de viandes et de fruits de mer. (Épisode no 6) Vous pouvez adresser vos commentaires et questions d'ordre général sur Radio-Canada et ses émissions auditoire@radio-canada.ca
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