Caro18

Cheval de bataille (Section : Infos) Un voisin pas ordinaire fait réagir des résidents de Charlemagne, dans Lanaudière. Un cheval est attaché sur son terrain, situé dans un quartier résidentiel en plein développement. La municipalité a engagé des poursuites contre le propriétaire, qui doit maintenant se départir de son cheval et de ses autres animaux. Voici la nouvelle en vidéo http://www.tqs.ca/videos/infos/2007/11/cheval-de-bataille-20310.php Espérons que ce pauvre cheval ne finira pas à l'abattoir

Verdict du propriétaire du chenil de l'horreur » (INFO690) - Marc-André Laporte, l'ex-propriétaire de ce que l'on a appelé le Chenil de l'horreur à Blainville, dans les Laurentides, connaîtra le verdict du tribunal ce matin au Palais de justice de Saint-Jérôme. Les policiers avaient perquisitionné la résidence de Marc-André Laporte en novembre 2005, où étaient entassés une centaine de chiens dans des conditions d'hygiène exécrables. Les bêtes étaient maltraitées et souillées d'excréments. Marc-André Laporte avait reçu à deux reprises des avertissements de la Ville pour qu'il procède à un grand nettoyage. En janvier 2006, la Cour ordonnait la démolition de la résidence aux frais du propriétaire. Le juge Jean Sirois doit donc rendre son verdict. L'homme de 59 ans fait face à deux chefs d'accusation de cruauté envers les animaux. Il est passible de six mois d'emprisonnement et d'amendes de 2000 $ par chef d'accusation. Julie-Christine Gagnon / Info690

Record historique: Un 1000e animal adopté à la SPA Mauricie Mambo, le 1000e adopté de la SPA Mauricie cette année, et ses nouveaux maîtres, la famille d’Alexandre Bourdages de Trois-Rivières. Ils sont accompagnés de Mélanie Thiffault et Nancy Saint-Ours, Émilie Grenier et Charlène Fournier, quatre employés de la SPA Mauricie en fonction lors de l’adoption. Photo, L’Hebdo Journal, courtoisie La Société de protection des animaux (SPA) de la Mauricie a enregistré samedi dernier sa millième adoption de l’année, un sommet historique pour l’organisme voué à la protection de la vie animale. En 2006, la SPA Mauricie avait réalisé près de 900 adoptions dans ses nouvelles installations. Mambo, l’enjoué millième adopté, est un jeune mâle croisé Berger-Golden, de près de quatre mois, qui était hébergé au refuge de la SPA Mauricie depuis la première semaine de novembre. Il partage désormais ses jours avec la famille d’Alexandre Bourdages de Trois-Rivières. «Cette millième adoption est importante pour nous», indique le directeur de la SPA, Serge Marquis. Elle témoigne selon lui, du fait que la sensibilisation de la population à la valeur de la vie animale progresse d’année en année. «C’est pour nous une véritable source d’encouragement à poursuivre nos efforts de protection, de sensibilisation et de prévention de la cruauté. De plus, le fait que nous disposions maintenant de nouvelles installations, le fait que tous nos animaux à l’adoption soient présentés sur notre site Internet et que plusieurs soient aussi présentés à la télévision communautaire; tous ces éléments ont été de nature à contribuer à accroître le nombre des adoptions cette année» a poursuivi Serge Marquis. Parmi les animaux adoptés en 2007 à la SPA Mauricie, 47 % sont des chiens, 44 % sont des chats et 9 % sont, principalement, des rongeurs ou des oiseaux. Chaque année, la SPA héberge plus de 5 000 animaux à ses installations du boulevard Saint-Jean, à Trois-Rivières. http://www.lhebdojournal.com/article-161530-Record-historique-Un-1000e-animal-adopte-a-la-SPA-Mauricie.html

La plus importante campagne mondiale d'adoption de chiens et de chats égaie la période des fêtes pour nos amis à quatre pattes Iams Home 4 the Holidays s'associe à des organismes d'adoption de chiens et de chats partout dans le monde pour aider à réunir des gens et des animaux http://www.animalcenter.org/home4theholidays/index.aspx TORONTO, le 26 nov. /CNW/ - La plus importante campagne mondiale d'adoption de chiens et de chats, Iams Home 4 the Holidays, a été lancée partout au Canada dans le but de trouver, pendant cette période des fêtes, des foyers permanents pour plus de 400 000 animaux. La campagne, qui se terminera le 3 janvier 2008, est dynamisée par la participation de plus de 2 600 refuges d'animaux dans le monde entier; à ce jour, elle a permis de trouver une demeure à plus de 1,5 million de chiens et de chats. Cette année, 70 refuges canadiens participent au programme, soit plus du double du nombre de refuges (31) ayant participé en 2004. "L'adoption de chiens et de chats permet de réaliser la mission de bien-être pour la vie des animaux que s'est donnée la compagnie Iams, affirme Alan Rego, de la compagnie Iams Canada, P&G Soins des animaux. Chaque année en Amérique du Nord, 5 millions de chiens et de chats sont euthanasiés. Notre mission est d'aider à remédier à cette situation en essayant de réduire ce nombre ici, au Canada. Grâce à un programme tel qu'Iams Home 4 the Holidays, cela est possible." La campagne Iams Home 4 the Holidays a vu le jour en 1999 aux Etats-Unis lorsque le centre Helen Woodward Animal Center (Rancho Santa Fe, en Californie) et la compagnie Iams se sont associés afin de sensibiliser les gens au trop grand nombre de chiens et de chats dans les refuges et de leur faire part des objectifs établis pour aider à sauver la vie de ces animaux. "Nous sommes heureux de pouvoir offrir aux familles et aux personnes ayant pensé sérieusement à l'adoption d'un chien ou d'un chat l'occasion d'apporter de la joie dans leur foyer pendant cette période des fêtes", a déclaré M. Rego. "Nous avons constaté que les adoptions par l'intermédiaire des refuges pour animaux remportent énormément de succès, particulièrement durant la période des fêtes, non seulement parce que les refuges sont capables de trouver les animaux correspondant parfaitement aux besoins des personnes, mais aussi en raison du réseau de soutien qu'ils offrent aux nouveaux propriétaires de chien ou de chat." Chaque personne ou chaque famille qui adopte un chien ou un chat dans le cadre de ce programme recevra une trousse pour l'adoption Iams remplie d'information utile sur la santé et l'alimentation des animaux ainsi que des conseils pour une adoption réussie et pour faciliter les premiers jours à la maison d'un nouveau chien ou chat. Pour en apprendre davantage sur la campagne Iams Home 4 the Holidays ou pour trouver un refuge pour animaux participant, composez le 1-800-421-6456 ou visitez le site www.iamshome4theholidays.org. Note au rédacteur en chef ------------------------- A propos de la campagne Iams Home 4 the Holidays ------------------------------------------------ La campagne Iams Home 4 the Holidays a vu le jour durant la période des fêtes de 1999 aux Etats-Unis, lorsque le centre Helen Woodward Animal Center a demandé à 14 refuges pour animaux du comté de San Diego, en Californie, de trouver un foyer pour des chiens et des chats délaissés et d'éviter des ventes à l'industrie des usines à chiots. Ces refuges ont placé 2563 chiens et chats dans de nouveaux foyers. En l'an 2000, le programme s'est étendu à 130 refuges dans 5 Etats et a réussi à faire adopter plus de 20 000 animaux. En 2001, Iams Home 4 the Holidays est devenu la plus importante campagne d'adoption de l'histoire lorsque 450 groupes participants de 4 pays ont facilité l'adoption de plus de 100 000 animaux. A ce jour, la campagne annuelle mondiale a permis de placer, dans des foyers accueillants et permanents, plus de 1,5 million de chiens et de chats délaissés. A propos du centre Helen Woodward Animal Center ----------------------------------------------- Le centre Helen Woodward Animal Center est un organisme à but non lucratif privé "où les personnes aident les animaux et où les animaux aident les personnes". Fondé en 1972 au Rancho Santa Fe, en Californie, le centre fournit annuellement des services à plus de 57 000 personnes et à des milliers d'animaux. Ce centre est également à l'origine du lancement de la campagne internationale d'adoption de chiens et de chats Home 4 the Holidays et d'un programme de services éducatifs qui permet d'enseigner aux organismes de bienfaisance des animaux partout dans le monde ce qu'est l'entreprise de sauver des vies. A propos de P&G Soins des animaux --------------------------------- Depuis plus de 60 ans, Procter & Gamble Soins des animaux (NYSE:PG), le fabricant des marques Iams(MD) et Eukanuba(MD), a permis d'améliorer le bien-être des chiens et des chats en offrant des nourritures et des produits d'excellente qualité. Pour en savoir davantage sur les nourritures Iams(MD) et Eukanuba(MD) ou sur les soins et l'alimentation des chiens et des chats en général, communiquez avec le Service à la clientèle des soins Iams au 1-800-446-3075. Vous pouvez également visiter notre site Web au http://www.iams.com ou au http://www.eukanuba.com. A propos de Procter & Gamble ---------------------------- Trois milliards de fois chaque jour, les marques de P&G sont complices de la vie des consommateurs du monde entier. Notre entreprise propose l'un des plus importants portefeuilles de marques reconnues et de confiance telles que Pampers(MD), Tide(MD), Always(MD), Pantene(MD), Mach3(MD), Bounty(MD), Pringles(MD), Folgers(MD), Charmin(MD), Downy(MD), Iams(MD), Crest(MD), Oral-B(MD), Actonel(MD), Duracell(MD), Olay(MD), Head & Shoulders(MD), Wella, Gillette(MD) et Braun(MD). L'effectif de P&G compte plus de 135 000 employés répartis dans plus de 80 pays. Au Canada, P&G est la plus grande entreprise de produits de consommation, avec des ventes annuelles de plus de 2,9 milliards de dollars. Visitez le site www.pg.ca pour obtenir les toutes dernières nouvelles et pour tout savoir au sujet de P&G et de ses marques. Renseignements: Pour les demandes de renseignements des médias, veuillez communiquer avec: Ana Francisco, Relations publiques Optimum: (416) 934-8425 ou ana.francisco@cossette.com

MARDI 27 NOVEMBRE LE VERDICT Au Palais de justice de Saint-Jérôme, les plaidoiries sont terminées au procès de ce propriétaire de chenil à Blainville qui avait soulevé l'indignation en 2005 tellement les bêtes étaient en mauvais état. L'avocat de Marc-André Laporte demande l'acquittement de son client, car selon lui, l'homme de 59 ans aimait trop ses animaux et n'avait pas le courage de les faire euthanasier. L'accusé soutient d'ailleurs avoir préféré aller à l'essentiel, soit nourrir ses chiens plutôt que nettoyer les murs, par amour pour ses chiens. «Si ça devait faire jurisprudence, dans le sens de libérer une personne comme ça, la SPCA n'aurait plus sa raison d'être. Il faudrait fermer le département de l'inspection, parce qu'on n'aurait plus de raison de saisir quelque animaux que ce soit. Ils ont juste tous à dire: "J'aimais mes bêtes."», soulève pour sa part Pierre Barnoti, directeur général de la SPCA. Le juge Jean Sirois rendra son verdict le 27 novembre. Marc-André Laporte n'avait peut-être pas d'argent pour nourrir et toiletter ses chiens, mais TVA a appris qu'il a vendu son vaste terrain de Blainville 600 000 dollars. Le chenil insalubre fera place à une résidence pour retraités actifs en octobre 2008. M. Laporte refuse de se départir d'une vingtaine de chiens qui sont actuellement en «famille d'accueil». http://www.canoe.com/cgi-bin/imprimer.cgi?id=319859

4 Octobre 2007 18:17 pm, Maxime Landry / En direct de l'hélico TVA, 316 mots Société de protection des... humains? J'écoutais le compte-rendu de mon collègue Joël Goulet, qui se trouve aujourd'hui au Palais de justice de St-Jérôme. Il couvre la comparution de Marc-André Laporte. Ce nom ne vous dit rien? Si je vous dis Blainville. Chenil illégal. Chiens misérables. Maison A-BSO-LU-MENT dégueulasse. Ça vous revient? J'en étais certain. C'était en 2005. Les policiers de Blainville étaient intervenus dans cette maison parce que les voisins n'en pouvaient plus. La SPCA avait sorti de là des dizaines et des dizaines de chiens. Une centaine en tout. De pauvres pitous sales, crottés, malheureux. Triste à mourir. Et l'odeur. Oh! L'ODEUR! À l'époque, on avait reçu l'information autour de 17h15. On avait décollé et l'hélico avait retransmi les premières images de la perquisition. Sauf qu'en soirée, mon collègue Félix Séguin s'était rendu sur place, au sol. Dans le bulletin de 22h, il faisait son direct et je vous le dis: il avait failli s'étouffer durant son live. Tout ça pour vous dire que le monsieur Laporte affirme devant le tribunal aujourd'hui qu'il gardait ces chiens par amour. Qu'il avait cependant perdu le contrôle. Qu'il n'avait pas le courage de les faire euthanasier. J'entends votre remarque: non, il n'est pas question ici de maladie mentale. Ça a été rejeté, dit-on. Mais on s'entend: ce monsieur-là fait pitié. On peut être révolté contre la conséquence de ses gestes. Mais on ne peut pas faire autrement que d'être désolé pour ce pauvre type. Ce que je trouve le plus ironique là-dedans, c'est qu'il y a une Société de protection des animaux qui est intervenue à temps dans ce cas-ci pour sauver la plupart des pitous. On est porté à se demander si un jour on ne verra pas une Société de protection des humains. Ce serait utile parfois. Cliquez sur les 8 commentaires http://www.blogue.canoe.com/?blog=13&cat=126&disp=posts&paged=4

C'est totalement ridicule ! À ce moment-là, aussi bien prendre n'importe quel jo blow carnivore et lui faire faire une annonce pour promouvoir le véganisme. Leurs campagnes perdent de plus en plus de crédibilité Oui et en voilà la preuve: Article: Elles ont retourné leur veste... Les top models changeraient-elles d'avis comme de manteaux? Il ne s'agit pas d'une enquête sociologique mais tout simplement d'un constat que l'on peut tirer en comparant la presse féminine actuelle à celle d'il y a une dizaine d'années. 1994 Nous sommes en 1994. A l'époque, Naomi Campbell est au top. On la voit dans tous les défilés mais pas uniquement. Naomi prête également son corps à une campagne antifourrure réalisée par l'association PETA, People for Ethical Treatment of Animals. La top entourée de quatre autres mannequins pose dans son plus simple appareil et déclare préférer " être nue plutôt que de porter la fourrure". La campagne dénonce l'exploitation animale dans une industrie de luxe telle que la vente de fourrure. 2007 13 années plus tard, la belle semble bien loin de ses revendications éthiques passées. celle-là même qui s'était dénudée pour dénoncer la torture et l'exploitation animale semble s'être ravisée. Naomi a été aperçue, à plusieurs rerises, vêtue de fourrure. Naomi Campbell n'est pas le seul modèle à avoir retourner sa veste. Sa collègue Cindy Crawford semble également avoir oublié ses bons principes d'antan! Après avoir posé, elle aussi, pour une campagne publicitaire de PETA, l'ex de Richard Gere vient de paraître toute de fourrure vêtue en couverture de l'édition russe du magazine Vogue. Fourrure le retour Cette saison, la fourrure semble faire son come-back. La plupart des grandes maisons de couture comme Dior, Yves Saint- Laurent ou encore Christian Lacroix ont décidé de faire revenir le renard, le lapin, le lynx, le vison, ou l'hermine sur les différents podiums malgré les protestations intensives d'associations pour la défense des animaux. Certains tops models semblent également bien décidées à faire leur come-back envers et contre leurs valeurs passées. (CB) http://www.7sur7.be/hlns/cache/det/art_665537.html?wt.bron=homeArt11

Souriez, un mouton vous regarde Affligé d’un caquètement exaspérant et d’une démarche grotesque, le poulet, avec ou sans tête, est considéré comme l’un des êtres les plus stupides au monde. A tort : cet animal est plutôt malin, révèlent de récentes recherches. L’humble poule peut réaliser des tours difficiles qui feraient la fierté de tout propriétaire de chien. C’est là la conclusion de l’une des très nombreuses études présentées fin mars à Londres, lors du plus grand congrès jamais organisé sur l’intelligence animale. Les résultats sont formels. Certains animaux que l’on croyait aussi bêtes que leurs pieds ressentent des émotions généralement associées à l’homme, telles que la jalousie, l’amour et le chagrin. Quelques-uns sont même capables d’ourdir des projets machiavéliques. Les moutons, dont on ridiculise l’instinct grégaire, sont en fait très physionomistes. Ils peuvent se rappeler au moins dix personnes et cinquante autres moutons pendant au moins deux ans. Les chercheurs du Babraham Institute, à Cambridge, ont aussi découvert que les moutons sont sensibles aux expressions du visage et que, comme les êtres humains, ils préfèrent les sourires aux grimaces. D’autres études viennent confirmer l’idée que les moutons nous ressemblent davantage que nous ne le pensions. Certains tests ont notamment montré qu’ils se languissent de leurs compagnons absents. Pour les spécialistes, ces conclusions ébranlent sérieusement la croyance selon laquelle ces animaux n’ont pas de “conscience d’eux-mêmes” et pourraient avoir des conséquences importantes sur les pratiques d’élevage. Les cochons, quant à eux, auraient un quotient intellectuel largement supérieur à l’intelligence qu’on prête d’ordinaire à un animal de basse-cour. Des chercheurs de l’université de Bristol ont en effet découvert que les cochons sont des faux jetons accomplis et n’hésitent pas à tromper leurs congénères pour pouvoir se goberger. En matière d’alimentation, les poulets, en revanche, sont des modèles de self-control : ils peuvent renoncer à une gratification immédiate s’ils pensent pouvoir obtenir une portion plus copieuse par la suite. Ces volatiles ont en outre une plus grande conscience de l’espace que les jeunes enfants. Les tests ont notamment montré qu’ils pouvaient apprendre à ouvrir des portes et à s’orienter dans un labyrinthe avec une rapidité que l’on croyait réservée aux chiens et aux chevaux. Ginger, la poule qui dans Chicken Run ouvre à ses congénères les portes de la liberté, n’est peut-être pas aussi loin de la réalité que l’imaginaient ses créateurs. Les résultats qui risquent le plus d’émouvoir les associations de protection des animaux sont ceux démontrant que les poulets sont sensibles à la douleur. Lors des expériences, les poulets souffrant d’une gêne ou d’une blessure quelconque optaient toujours pour les aliments auxquels on avait ajouté de la morphine. Les poulets en bonne santé choisissaient les aliments sans analgésique. Les scientifiques et délégués des gouvernements de quarante-trois pays venus discuter de la façon dont la société doit traiter les animaux ont appris, entre autres choses, que les mulots sylvestres fabriquent leurs propres panneaux indicateurs en utilisant des petites branches et des cailloux pour marquer les endroits où la nourriture abonde et qu’ils prennent des raccourcis pour regagner leur trou. Le perroquet, lui, s’est montré à la hauteur de sa réputation : un perroquet gris a assimilé 1 000 mots et a appris à communiquer avec une aisance qui ferait honte à certains adultes britanniques. Les perroquets auraient une intelligence comparable à celle d’un enfant de 5 ans. http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=50449

10/10 Le 17 novembre 2007 à 16h31 Bernard Derty : « L’Ifaw s’occupe des animaux, donc des hommes » Par Jean-Luc Goudet - Futura-Sciences Ll’Ifaw se bat pour les animaux auprès des instances politiques, nationales et internationales. Ses actions sont ciblées et efficaces, parfois discrètes mais aussi tournées vers le public et les jeunes, comme la belle idée de la Semaine des animaux. Bernard Derty, son porte-parole, nous explique le fonctionnement de cette organisation. La condamnation internationale de la chasse aux bébés phoques a fait connaître l’Ifaw (prononcez « aïefo »). Le Fonds international pour la protection des animaux (en anglais, International Fund for Animal Welfare) mène de front plusieurs combats pour la défense des animaux, organisés en campagnes : contre l’abattage des bébés phoques, contre la reprise de la chasse à la baleine, pour la défense des orangs-outans, pour l’interdiction du commerce de l’ivoire… INTERVIEW: http://www.futura-sciences.com/fr/sinformer/actualites/news/t/developpement-durable-1/d/bernard-derty-lifaw-soccupe-des-animaux-donc-des-hommes_13607/

Christina Applegate : nue pour la PETA ! Christina Applegate fait décidément beaucoup parler d’elle en ce moment. Héroïne d’une des séries les plus regardées aux Etat-Unis, Samantha Who ? sur ABC, - renouvelée pour une seconde saison -, a dit oui à l’association qui dévêtit les stars pour la bonne cause : plutôt être nue que porter de la fourrure ! L’inoubliable Kelly Bundy de la série Mariés et deux enfants suit le magnifique exemple de Pamela Anderson, Dita Von Teese, etc. Vous pourrez donc envoyer une carte postale de Noël avec Christina en modèle vous recommandant de ne pas acheter des cadeaux en fourrure… sauf s’ils sont faux, of course. http://www.public.fr/blog-series/?p=582

Le Japon a lancé sa campagne de chasse à la baleine vers l'Océan Antarctique -------------------------------------------------------------------------------- Le Japon a lancé le 18 novembre comme prévu sa campagne de chasse à la baleine, les bateaux ayant quitté le port de Shimonoseki (ouest) vers l'Océan Antarctique où ils ont prévu cette année de chasser 50 baleines à bosse, ''une espèce protégée contre la chasse commerciale depuis plus de 40 ans'', souligne l'organisation environnementale IFAW (Fonds international pour la protection des animaux). Le Japon a l'intention de tuer plus de 1.000 baleines dans l'Océan Antarctique au cours des quatre prochains mois, qui suscite régulièrement des protestations en Australie et en Nouvelle-Zélande. Le Japon contourne chaque année le moratoire international en vigueur depuis 1986 en pêchant un millier de baleines à des fins ''scientifiques''. Plusieurs associations écologistes ont critiqué cette initiative et ont appelé à mener de nouvelles actions pour mettre un terme à la chasse ''scientifique'' des baleines par le Japon, indique l'IFAW. Tuer des baleines dont l’espèce est protégée en 2007 pour des produits dont personne n’a besoin est un affront à la dignité d’une grande nation telle que le Japon, a déclaré Patrick Ramage, Responsable du Programme de protection des baleines d'IFAW. Il est temps que le Japon remise ses harpons et se joigne au consensus global en faveur de la conservation des baleines. Une action internationale est nécessaire pour mettre fin à la chasse illégale des baleines par le Japon dans les eaux internationales, a-t-il ajouté. D'après l'IFAW, le Japon s’est auto-attribué un quota baleinier en 2007/2008, qui inclut plus de 1400 baleines. Elles seront prélevées dans le Pacifique Nord et dans les eaux du Sanctuaire baleinier de l’Océan Antarctique, instauré par la Commission baleinière internationale (CBI) en 1994. R. BOUGHRIET http://www.actu-environnement.com/ae/news/japon_lancement_campagne_chasse_baleine_baleine_a_bosse_ocean_antarctique_3909.php4

DES VOLS! 19 Novembre 2007 à 10h45 Une famille de Saint-Éphrem a eu une bien mauvaise nouvelle à leur retour de voyage. Leur maison a été vidée par des voleurs. La majorité des biens subtilisés, des appareils électroniques, valait pour près de 25 000 $. Il s’agit de l’un des plus importants vols dans un domicile depuis fort longtemps sur le territoire de Beauce-Sartigan. Absente du 11 au 16 novembre dernier, leur maison a été dépouillée de cinq ordinateurs, dont trois ordinateurs portables. D’autres items manquent à l’appel soit des téléviseurs, caméra vidéo, appareil photo, caméra webcam, jeux X-Box, etc. Le ou les malfaiteurs ont fait la razzia. Des bijoux ont aussi été volés. Vols de roues à Saint-Georges À l’approche de l’hiver ainsi que les récentes précipitations de neige ont incité un ou des malfaiteurs de se trouver des pneus d’hiver. Ils ont choisi de dégarnir en fin de semaine, un Chevrolet Venture d’Ébénisterie E.L. de ses roues et de ses pneus. Toutefois, le ou les malfaiteurs ont pris soin de laisser le véhicule sur des blocs de ciment. Deux vaches manquent disparues Un agriculteur du Rang 6 à Saint-Gédéon a rapporté deux vaches disparues. Il semblerait selon la Sûreté du Québec, des chasseurs seraient responsables de la disparition de ces animaux. Vol de véhicule Un Saturn 2002 bleu a été volé hier lors d’un tournoi de hockey à l’aréna de Saint-Côme. Le véhicule est d’une valeur de 7000 $. http://www.enbeauce.com/detail-actualite.asp?ID=7009

La clientèle visée.... les enfants

http://www.happymeats.co.uk/ Des viandes froides agrémentées pour les enfants. Des tranches de viande souriante et heureuse http://www.treehugger.com/files/2007/04/finding_a_place.php http://www.thehealthybutcher.com/ http://www.cumbraes.com/ http://www.kingcorn.net/

Sam Naraina Poullé, un vétérinaire qui a du chien Les animaux, plutôt que les hommes, le terrain plutôt qu’un cabinet douillet, la discrétion plutôt que la notoriété. Tels sont les éléments du vétérinaire Sam Naraina Poullé, également président de PAWS, qui vient d’organiser son Flag Day. Sam Naraina Poullé a, dans le cadre du Flag Day de PAWS, donné des conseils aux enfants pour prendre soin des animaux. «Vous auriez voulu qu’on coupe deux doigts à votre fils? » Ce ne sont pas les mots d’un détraqué, mais ceux d’un vétérinaire qui ne mâche pas ses mots quand on lui demande de couper la queue d’un chien histoire de lui faire une petite beauté. Ce vétérinaire, c’est Sam Naraina Poullé, un homme qui a l’air réservé, posé mais qui s’enflamme dès qu’il s’agit d’un animal maltraité. Qu’est-ce qui fait courir ce médecin qui était à Super U hier, dans le cadre du Flag Day de Paws et qui distillait des conseils sur le bien-être des animaux? Le respect des besoins des animaux. « Si vous voulez un animal, traitez-le correctement », c’est son leitmotiv. Visiblement, il faut avoir un cœur gros comme ça pour être vétérinaire et surtout ne pas s’attendre à se faire plein d’argent. Son amour pour les bêtes commence chez ses parents, et c’est l’incompréhension devant la mort d’un de ses chiens qui le pousse à vouloir être vétérinaire. « C’est, quelque part, plus difficile que la médecine humaine. Quand vous êtes vétérinaire, vous n’avez pas qu’une anatomie à maîtriser. Vous devez connaître les chiens, les chats, les vaches, les singes… » Après six années d’études en ex-URSS, Sam est de retour au pays en 1993. Il a travaillé un an et demi à la MSPCA en tant que chirurgien vétérinaire, pour ensuite rejoindre le parc à crocodiles comme vétérinaire, puis chef vétérinaire. Il était un des membres fondateurs de PAWS en 1999. En 2005, il s’envole pour une université en Californie pour enseigner le métier. Soigner un crocodile blessé, un singe qui a la diarrhée, faire une césarienne sur une chienne, traiter la gale, enlever une tumeur, cela fait partie de son travail. Sam ne recule devant rien. En fait, pour faire ce métier, il ne faut pas avoir d’appréhension. Il faut être prêt à marcher dans la bouse de vache, à sortir un chien englué dans du goudron. Par ailleurs, le boulot de vétérinaire ne se limite pas qu’à soigner. Ce sont eux qui donnent leur aval pour toute la viande ou les œufs qui sont mis sur le marché. Un vétérinaire a aussi sa place aussi dans un abattoir, dans le seafood hub, ou au Mauritius Turf Club. « Un chien, c’est une vie, pas une décoration » Paradoxalement, il est beaucoup question du comportement des êtres humains avec Sam Naraina Poullé. De ceux qui accourent dans son cabinet en détresse avec, dans leurs bras, un animal malade. Mais aussi de ceux qui sont cruels, non par désir de faire du mal, mais par manque d’éducation. Comme, par exemple, donner à manger et un toit à un chien, mais le laisser seul une journée sans compagnie. « Les gens ne savent pas qu’à l’origine, le chien appartient à un groupe, et qu’on doit jouer avec lui car il a besoin d’interaction », explique le vétérinaire. Il s’insurge contre ces personnes qui laissent leur chien au soleil sur le toit de la maison ou qui l’enferment dans une petite niche en tôle, « un four à micro-ondes ». Il ne comprend pas qu’on puisse faire venir à Maurice des Saint-Bernard qui, en principe, vivent dans des climats froids. Il dénonce ceux qui ont des chiens pour être à la mode, pour pavoiser avec. « Un chien, c’est une vie, pas une décoration », insiste-t-il. Il n’accepte pas qu’on puisse dresser un animal et en faire un objet de spectacle pour le plaisir de l’homme. Et ce n’est pas fini. Sam croit plus dans les animaux qu’en ses congénères. Il fait bien plus confiance à la sincérité d’un chien qui remue sa queue quand il le voit, que dans quelqu’un qui lui sourit. Un hôpital cinq-étoiles pour les bêtes Mais il n’y a pas que lui. Toute sa famille est à fond la caisse dans la cause des animaux. D’abord sa femme, devenue une spécialiste en réanimation des gens qui tombent dans les pommes quand ils voient leurs animaux se faire soigner. Elle aide aussi au niveau des activités de PAWS. Et puis, il y a sa fille de huit ans à qui il vient d’offrir deux chiots. « C’est prouvé qu’un chien de compagnie aide au développement d’un enfant, le rend moins violent, lui inculque la compassion. » La petite a bien compris qu’un chien n’est pas une poupée, mais un être qui a besoin de manger, d’être soigné… « Si elle voulait d’un jouet, je lui aurais donné une peluche », avance le vétérinaire. Sam Naraina Poullé a du pain sur la planche et il voit grand. L’objectif de PAWS : ériger, fin 2008, un hôpital cinq-étoiles à Médine qui procurerait des soins, mais aussi des services de chenil et de refuge. Pas un éléphant blanc, un hôpital qui va tourner 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. « On n’a pas les moyens, mais on a la volonté. On cherchera donc les moyens. » Et s’il n’avait pas été vétérinaire, il aurait fait quoi? « J’aurais été malheureux », lâche-t-il sans une once de réflexion. Malheureux… un métier pas encore répertorié! Décidément, notre docteur raffole de tout ce qui est singulier. Corina JULIE http://www.lexpress.mu/display_news_dimanche.php?news_id=97855

Canada: questions sur l'utilisation des pistolets électroniques après une vidéo choc Sans aucun doute, on va encore tester ce pistolet sur les animaux Il y a 15 heures VANCOUVER (AFP) — Le Canada va réévaluer l'utilisation des pistolets électriques Taser, à la suite de la diffusion d'une vidéo choc montrant la mort d'un immigrant polonais touché par une arme de ce type à l'aéroport de Vancouver, qui a provoqué une vive réaction de la Pologne. "J'ai demandé un examen de l'utilisation des Taser. C'est un incident tragique et douloureux", a déclaré le ministre de la Sécurité publique, Stockwell Day, devant la Chambre des Communes, à Ottawa. Il réagissait à la diffusion par les télévisions canadiennes d'une vidéo montrant la mort de Robert Dziekanski, le 14 octobre à l'aéroport de Vancouver, après avoir été maîtrisé par des policiers de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) qui lui ont administré deux décharges de Taser. "Nous voulons trouver les réponses pour éviter que cela puisse se reproduire", a ajouté M. Day en précisant que plusieurs enquêtes étaient en cours sur cette affaire. Poursuivre la lecture: http://afp.google.com/article/ALeqM5jUzcxObDjlEdn4DaysMbg9UVg7UQ

Pas surprenant venant d'elle

Canada Taser Death Shows Pointlessness of Animal Tests Robert Dziekanski was killed http://www.canada.com/nationalpost/news/story.html?id=721fdf1e-a60a-49dd-997a-a16c366d146b by a Taser stun gun in a Canadian airport late last night. Dziekanski’s death, which has been widely reported after a video of the incident was posted on YouTube, is one in a long list of fatalities that have been caused by Taser stun guns. And yet Taser International continues to claim that these weapons are safe, practical tools for law-enforcement. How are they able to do this and get away with it? The strategy’s pretty simple, actually. For years, Taser International has been funding and performing crude experiments on pigs, horses, and other animals that serve no other purpose than to provide them with “evidence” that their weapons are safe for humans. And yet as Robert Dziekanski’s death shows, the information that Taser International has been able to gather from shocking pigs is utterly useless—except insofar as it serves to protect Taser CEO Rick Smith from mounting public opposition to the use of his dangerous weapons. The Taser situation is a perfect example of a problem that is endemic to all such animal experimentation. As is the case with so many drugs that go to market after animal testing only to be pulled from the shelves when they’re shown to be dangerous to humans, the results of these experiments have no relevance whatever to how humans will be affected, because (as should be obvious to a first-grader) pigs and horses have fundamentally different physiologies to humans. We just don’t work the same way. And the inevitable result—as we’ve seen time and again—is that companies like Taser International manipulate the data from their meaningless experiments to justify whatever argument they care to make. And people like Robert Dziekanski pay the price. This video shows one of the hideously cruel experiments that Taser International has been performing on bulls, pigs, and other animals since they first tried to rush their weapon to market. Do we really want to stake our safety on the word of a man who does this? La vidéo http://blog.peta.org/

Leader de l’opposition L’honorable Céline Hervieux-Payette , c.p.(Bedford, Québec) CANADA Ottawa, le mercredi 3 octobre 2007 Je la déteste Monsieur le Président de la République Palais de l'Elysée 55, rue du faubourg Saint-Honoré 75008 Paris FranceMonsieur le Président,Dans une lettre datée du 25 avril 2007 adressée aux responsables de la Société Protectrice des Animaux (SPA) et de l’International Fund for Animal Welfare (IFAW), MonsieurAlain Auvé, Conseiller Technique de Madame Nelly Olin, alors Ministre de l’Écologie et du Développement Durable, confirmait la volonté du Président de la République, Monsieur Jacques Chirac, d’interdire en France le commerce des produits issus desphoques chassés au Canada.Le Président de la République, Monsieur Jacques Chirac, m’écrivait le 10 mai dernierpour me confirmer cette intention afin de « préserver l’espèce dans un contexte marquépar des modifications de l’habitat dues au réchauffement climatique ».Or, il appert que, malgré de continuelles modifications apportées à la législation, aurèglement canadien sur les mammifères marins, aux techniques d’abattage, malgré lesrapports successifs du groupe d’experts sur la gestion des phoques ou de l’associationcanadienne des médecins vétérinaires, malgré les précautions prises par nos scientifiques et la mise en conformité de nos méthodes de chasse, malgré la transparence souhaitée par le Canada en permettant à des observateurs étrangers d’être présents sur notre territoirependant la période de chasse, des organisations non gouvernementales manipulentl’information, l’image et l’émotion des citoyens et des parlementaires de tous les pays et en particulier d’Europe.Tout d’abord, permettez-moi de dire que le Canada, signataire de la Convention desNations Unies sur la diversité biologique, ne fait peser aucune menace sur les populations de phoques. Le nombre de phoques du Groenland, l’espèce la plus chassée, a même triplé en trente ans pour atteindre quelques 5,5 millions de têtes aujourd’hui. La CommissionEuropéenne a d’ailleurs reconnu la prudence de notre gestion en refusant, le 26 janvier.../... -------------------------------------------------------------------------------- Page 2 SENATELeader of the OppositionThe Honourable Céline Hervieux-Payette, P.C.(Bedford, Quebec)SÉNATLeader de l’oppositionL’honorable Céline Hervieux-Payette, c.p.(Bedford, Québec)CANADAdernier, de donner suite à la déclaration écrite du Parlement européen qui réclamait unboycott européen des produits canadiens du phoque. Permettez-moi ensuite d’ajouter que j’ai sollicité une étude, par les services du Parlement canadien, portant sur l’influence des changements climatiques sur les populations dephoques au Canada. S’il s’avère que, selon le Groupe d’experts intergouvernemental surl’évolution du climat (GIEC), l’Arctique est très vulnérable au changement climatique etsubira des transformations physiques, écologiques et économiques majeures, il reste que« le changement climatique aura de nombreux effets positifs et négatifs sur l’écologie des phoques et l’effet net sur chaque espèce sera le résultat d’une pondération complexe des divers effets1».Ainsi, sans vouloir minimiser l’importance de l’impact des perturbations climatiques surla population de phoques, affirmer que l’espèce est menacée relève d’un raccourciqu’aucun scientifique ne prend aujourd’hui. Cela est sans compter sur le fait que toutesles espèces de phoques, dont les comportements alimentaires, migratoires ou dereproduction diffèrent, ne seront pas affectées de la même manière.Je sais, Monsieur le Président, que vous êtes sensible au discours de raison, basé sur lascience. Je salue, à ce titre, votre position exprimée dans votre lettre adressée à MadameBrigitte Bardot le 18 avril 2007 dans laquelle vous dites vouloir vous engager « à ce que la gestion des espèces soit désormais scientifique » ajoutant que « seul compte l’état deconservation des espèces ».A ce sujet, le Canada définit ses quotas de chasse au phoque en fonction d’étudesscientifiques, gouvernementales et indépendantes, disponibles sur le site Internet duMinistère des Pêches et Océans Canada et consultables par le grand public au :www.dfo-mpo.gc.ca/seal-phoque/report-rapport_f.htmJe ne peux que me féliciter également lorsque vous écrivez à Madame Bardot vouloir« cesser une idée fausse [...] qui consiste à opposer les chasseurs ou les pêcheurs auxprotecteurs de la nature ». Qui peut croire, en effet, que ces Acadiens, ces Québécois ou ces Inuit qui vivent toute l’année au contact du milieu naturel, et dont dépendent leurculture, leur communauté et leur prospérité, ne soient pas des connaisseurs et desprotecteurs de l’écosystème ?Toutefois, je suis convaincue, Monsieur le Président, que ce discours de raison ne trouve aucun écho chez ceux qui discrédite l’image du Canada et que les media appellent non1Kelly, Brendan P., « Climate change and ice breeding pinnipeds », in Walther, G.-R, Conradin A. Burga, and Peter J. Edwards (eds.), “Fingerprints” of Climate Change: Adapted Behaviour and Shifting Species Ranges, Kluwer Academic/Plenum Publishers, New York, 2001, pp. 43-55. Tynan et DeMaster (1997). .../... -------------------------------------------------------------------------------- Page 3 SENATELeader of the OppositionThe Honourable Céline Hervieux-Payette, P.C.(Bedford, Quebec)SÉNATLeader de l’oppositionL’honorable Céline Hervieux-Payette, c.p.(Bedford, Québec)CANADAplus des écologistes mais des « animalistes » c’est-à-dire des fondamentalistes de la cause animale.Aussi, j’aimerais, pour conclure, vous exprimer mes préoccupations.Premièrement, je crois que les organisations animalistes manipulent les émotions dans un but lucratif. L’utilisation permanente de l’image du blanchon ou « bébé phoque », pourtant interdit de chasse depuis 1987, est une de leurs principales armes pour entretenir un apitoiement et une compassion artificiels. Ainsi, quand John Hoyt a pris la présidence en 1970 de la Humane Society of the United States (HSUS), l’une des plus influentesorganisations animalistes, celle-ci comptait 30000 membres et un budget annueld’environ 500000 dollars américains. A partir de 1994, le revenu annuel moyen de laHSUS s’est accru de 22 millions $ US. En 2003 ce chiffre est passé à 123 millions $ US.Quand la HSUS a fusionné en 2004 avec le Fonds pour les Animaux (Fund For Animals), le groupe a annoncé dégager 95 millions $ US uniquement pour son budget d’opération2.Deuxièmement, je crois que l’objectif de ces groupes dits de défense des animaux n’estpas la protection animale mais la volonté d’imposer à terme leur vision morale de lasociété qui passe inéluctablement par le végétarisme. Tous les sites Internet de cesorganisations font la promotion du végétarisme à commencer par celui de MadameBardot où l’on peut trouver une rubrique sur la cuisine végétarienne. Madame Bardot a,par ailleurs, annoncé sa dernière croisade : faire interdire la viande de cheval. J’ajouterais que ces organisations sont passées de la « protection des animaux » aux « droits desanimaux ».Le discours de la Humane Society of the United States et ses alliés propose donc uneautre vision morale de l’Homme dont il convient de s’interroger sur ses caractèressectaire et religieux : « souligner qu’il existe un avantage économique ne constitue pasune justification morale suffisante [...] » écrivait le révérend Andrew Linzay au sujet dela chasse au phoque, dans un document publié en 2005 par la HSUS, « Public Moralityand the Canadian Seal Hunt ». Également PhD et membre de la faculté de Théologie àl’Université d’Oxford, le révérend ajoute : « il n’existe aucune justification morale pourla chasse aux phoques. »Dans ce nouvel ordre moral, l’animal a des droits et étonnamment pas de devoirs car, comme le dit le révérend : « sur le plan moral, les animaux sont innocents ». Dans lavision des animalistes, la pureté de l’animal s’oppose à l’Homme, auteur du péchéoriginel, corrupteur du Jardin d’Éden. Il n’est donc pas moralement acceptable quel’Homme puisse froidement enlever la vie pour subvenir à ses besoins. « Parler des2D’après the Center for Consumer Freedom, www.activistcash.com/organization_overview.cfm?oid=136.../... -------------------------------------------------------------------------------- Page 4 SENATELeader of the OppositionThe Honourable Céline Hervieux-Payette, P.C.(Bedford, Quebec)SÉNATLeader de l’oppositionL’honorable Céline Hervieux-Payette, c.p.(Bedford, Québec)CANADAphoques comme d’une ressource est sous-éthique » précise le révérend Linzay, ajoutant : « l’instrumentalisation des animaux prévaut toujours dans le monde d’aujourd’hui ».Cette logique qui consiste à penser que l’animal est l’égal de l’homme et ne peut doncêtre « instrumentalisé », c’est-à-dire consommé, par lui aboutit à ce double conceptdéfendu par les animalistes d’ « animal-humain » et d’ « animal-non-humain ». Oncomprend donc que Madame Ingrid Newkirk, Présidente fondatrice de People for theEthical Treatment of Animals (PETA) se soit exprimée ainsi : « six millions de Juifs ontété tués dans des camps de concentration, mais six milliards de poulets sont tués chaque année dans des abattoirs.3» Ainsi, après que Madame Bardot ait parlé de la chasse auphoque comme d’un « génocide animalier », nous ne sommes donc plus loin de voir secréer le « crime contre l’animalité ».Enfin, troisièmement, ces groupes animalistes ne sont pas réputés pour leur ouvertured’esprit. Les menaces de poursuites que la HSUS a fait peser sur Radio-Canada et leréalisateur Raoul Jomphe, ce printemps dernier, pour empêcher la diffusion dudocumentaire « phoques, le film », qui ne les présentait pas favorablement, en dit long.En outre, une branche plus radicale sévit aux États-Unis et en Europe que l’on appelle des « écoterroristes » emmenés par le « Animal Liberation Front » (ALF) et le « Animal Right Militia ». La France a d’ailleurs eu à subir leurs agissements le 31 août dernier avec la contamination délibérée de produits Novartis.À ma connaissance, ni la HSUS, ni Madame Bardot ni aucun groupe de défense desdroits des animaux n’ont condamné ces actes. Pire : PETA avait déjà réagi de la manière suivante face aux actes de violence commis par le « Animal Liberation Front » : « Nous ne condamnons pas les membres de l’ALF… ils sont courageux, et risquent leur liberté et leur carrière pour tenter de mettre fin à la terreur que subissent, chaque jour, lesanimaux de laboratoire. Les activités de l’ALF font partie du mouvement de protectiondes animaux d’aujourd’hui.4»Par conséquent, Monsieur le Président, vous constaterez que défendre la chasse auphoque ne revient pas seulement à défendre une chasse, une culture, un mode et un lieude vie ou un moyen de subsistance pour des populations modestes. C’est aussi défendrela vérité contre la manipulation et la désinformation. C’est aussi défendre l’esprit de ladémocratie et la liberté contre l’imposition d’un ordre moral. C’est aussi défendre lelangage de la science contre l’extrémisme et l’anthropomorphisme. 3D’après « Droits des animaux : citations des leaders du mouvement », Conseil canadien de la fourrure, www.furcouncil.com/french/fr_industry/animalrights_fr.htm4ibid.../... -------------------------------------------------------------------------------- Page 5 SENATELeader of the OppositionThe Honourable Céline Hervieux-Payette, P.C.(Bedford, Quebec)SÉNATLeader de l’oppositionL’honorable Céline Hervieux-Payette, c.p.(Bedford, Québec)CANADAA ce sujet, la rumeur veut que vous ayez rencontré Madame Brigitte Bardot récemment.Suite à cette rencontre, vous auriez pris l’engagement de bannir les produits dérivés duphoque en France d’ici la fin de l’année. Permettez-moi de douter de cette informationtellement Madame Bardot, qui vient de temps à autre relancer sa notoriété sur la banquise canadienne, est contraire à l’archétype du scientifique, au discours basé sur la raison, que vous affectionnez tant. Un exemple : lors de sa conférence de presse à Ottawa l’annéedernière, Madame Bardot s’est présentée aux journalistes devant une immense affichemontrant un morse – et non un phoque – un gourdin dans la gueule au pied d’un jeuneenfant gisant dans son sang. Difficile de faire plus caricatural, plus anthropomorphique et plus grotesque. Je suis donc convaincue que vous conviendrez avec moi que lacompétence scientifique de Madame Bardot sur le sujet est probablement aussi élevéeque celle de Sir Paul McCartney ou de Pamela Anderson qui se sont également prononcés sur la question récemment. Je garde en mémoire ce que vous écriviez à Madame Bardotle 18 avril 2007, faisant référence à l’Observatoire de la faune sauvage : « s’il y adivergence de points de vue avec d’autres institutions, c’est aux experts de se mettred’accord ». Monsieur le Président, la chasse au phoque est une activité durable, pratiquée avecsensibilité pour l’espèce animale, sous contrôle de notre gouvernement et de nosscientifiques, par des Canadiens qui travaillent durement dans des conditions difficilesmais avec respect pour leur environnement.Voilà le message que je souhaite transmettre à la France par votre entremise et que je me suis engagée à porter haut, dans et hors du Canada.Je vous prie de croire, Monsieur le Président, à ma plus haute considération.L’honorable Céline Hervieux-Payette, c.p.Leader de l’opposition au Sénat http://www.sealsandsealing.net/world/canadaresources/Hervieux07Fr.pdf

Le jeudi 15 novembre 2007 La fourrure, une ten­dan­ce au poil! Photo: http://www.cyberpresse.ca/article/20071115/CPSOLEIL/71114263/6690/CPACTUEL07 Veste à capuchon tricotée avec du castor et du renard rasés. Collection Paula Lishman, disponible aux Fourrures du Vieux-Port. Annie Lafrance Le Soleil Collaboration spéciale Québec Com­plè­te­ment re­des­si­née de­puis quel­ques sai­sons, la four­ru­re est une ma­tiè­re pha­re des dif­fé­ren­tes col­lec­tions cet hi­ver. Vue sur les po­diums des ­grands cou­tu­riers, el­le trou­ve éga­le­ment une pla­ce ­dans le ves­tiai­re des Qué­bé­cois. Cet­te an­née, ­deux sty­les do­mi­nent : les man­teaux de four­ru­re XXL et la four­ru­re por­tée au quo­ti­dien. La four­ru­re a re­tro­uvé ses let­tres de no­bles­se il y a quel­ques an­nées. El­le s’est éga­le­ment dé­mo­cra­ti­sée, élar­gis­sant sa clien­tè­le. Ou­bliez le ­long man­teau de ­grand-ma­man, ­lourd et peu pra­ti­que. La four­ru­re est tan­tôt ra­sée, co­lo­rée, tri­co­tée, lé­gè­re et mé­lan­gée à d’au­tres ma­tiè­res. ­Vraie, faus­se ou re­cy­clée, el­le est pri­sée des de­si­gners qué­bé­cois, qui ont ajou­té des ac­cents ou des ­items en four­­ru­re ­dans ­leurs col­lec­tions au­tom­ne-hi­ver 2007-2008. Les An­dy Thê-Anh, Ma­rie ­Saint Pier­re, Har­ri­ca­na, ­Jean-Fran­çois Mo­ris­set­te et au­tres grif­fes d’ici ­font la com­pé­ti­tion aux créa­teurs eu­ro­péens, en­co­re lea­ders mon­diaux ­dans le do­mai­ne. «­Nous ­avons de ­très bel­les ­peaux ici, ­mais le de­sign eu­ro­péen des Fen­di, Mar­ni et com­pa­gnie est beau­coup ­plus no­va­teur», sou­tient Ma­riou­che Ga­gné, de­si­gner d’Har­ri­ca­na. ­Pour cet hi­ver, les ten­dan­ces de la four­ru­re s’in­spi­rent des cou­pes du ­prêt-à-por­ter. Le man­teau bou­le ou co­con, ­court et ­très am­ple, a été re­vi­si­té et se re­tro­uve ­dans la plu­part des bou­ti­ques. Le ­poil ­long se mé­lan­ge au ­court, ­créant ain­si dif­fé­ren­tes for­mes et sil­houet­tes. La four­ru­re se col­le au ­cuir, au de­nim et au lai­na­ge sur les gros­ses piè­ces. ­Mais ­l’item pré­fé­ré cet­te sai­son est la ves­te ­sans man­ches de four­ru­re, sim­ple et sty­li­sée, qui se por­te sur un chan­dail de tri­cot. La four­ru­re se­ra éga­le­ment uti­li­sée en ac­cent sur les poi­gnets, le ­long de la bor­du­re ou sur le col des ves­tons et des blou­sons de ­tous gen­res. http://www.cyberpresse.ca/article/20071115/CPSOLEIL/71114263/6690/CPACTUEL07 L'équipe de Cyberpresse vous suggère : Le man­teau de four­ru­re ­fait ­peau neu­ve! http://www.cyberpresse.ca/article/20071115/CPSOLEIL/71114261/6690/CPACTUEL07

Nous avons notre réponse: Parmi les autres sites du CCF on compte AnimalScam.com http://www.animalscam.com/ , CSPIscam.com http://www.cspiscam.com/ , PhysicianScam http://www.physicianscam.com/ , et le site primé ActivistCash.com http://www.activistcash.com/

Il faudrait enquêter sur le "Center for Consumer Freedom" pour savoir qui se cache réellement derrière l'organisme!

Mettez de l'éthique dans vos cosmétiques La Protection suisse des animaux a lancé hier la campagne «Cosmétiques avec coeur». L'association a dressé une liste des fabricants qui ne recourent pas à la vivisection. En Suisse, la loi interdit les expériences sur les animaux pour les produits de beauté. Mais leurs composants, eux, continuent à être testés de cette manière… Pour le consommateur soucieux du bien-être des animaux, il n'est pas toujours facile de s'y retrouver en matière de produits cosmétiques. Les emballages de rouges à lèvre ou autres mousses à raser ne disent souvent rien des expériences menées sur les animaux. «Contrairement aux denrées alimentaires, des directives de déclaration homogènes font défaut pour les produits de beauté et de toilettes», souligne Lolita Morena, membre du comité de l'association Protection Suisse des Animaux (PSA). L'animatrice de télévision vient elle-même de créer sa propre ligne de cosmétiques. Avec Le baiser de la rose, elle s'est engagée à ne pas utiliser de nouveaux composants ou matières premières testées sur les animaux. Interdiction générale Car si, officiellement, les expériences sur les animaux pour les produits de beauté ne sont pas autorisées en Suisse, leurs composants, en revanche, continuent à être testés de la sorte. Ainsi, les laboratoires n'appliquent plus les mascaras ou les ombres à paupières tels quels sur les yeux des lapins, mais testent de nouveaux colorants, conservateurs ou encore parfums qui entrent dans la composition du produit. La loi exige en effet un test d'innocuité de toute nouvelle substance lancée sur le marché. «Au nom de la sécurité du consommateur, plus de 50 000 animaux en Suisse ont payé de leur vie pour des expériences toxicologiques», dénonce Heinz Lienhard, président de la PSA. Or, l'association juge inutile ces nouvelles expériences. «Les fabricants peuvent recourir aujourd'hui à une palette de 8 000 composants et matières premières déjà testés, poursuit Lydia Baumgarten, vétérinaire conseil auprès de la PSA. De plus, la validité de ces expériences est de plus en plus contestée, puisque les animaux ne réagissent souvent pas de la même manière que les humains.» Pour ces raisons, laProtection Suisse des Animaux demande une interdiction générale des expériences sur les animaux, y compris pour les composants. Prise de conscience Sachant le chemin long et difficile jusqu'à une telle interdiction, la PSA encourage le consommateur à s'informer sur les produits qu'il achète. Pour s'y retrouver, une liste recense les fabricants qui renoncent d'eux-mêmes à utiliser des substances issues d'expériences animales ou qui utilisent des matières premières qui n'ont plus été testées depuis 2000 au plus tard (lire le texte ci-contre). «C'est une approche pragmatique qui offre un large choix de produits», estime Bianca Sissing, Miss Suisse 2002 et marraine de la campagne Cosmétiques avec coeur. Une enquête menée parla PSA auprès des parfumeries et des drogueries montre quela sensibilisation des clients a nettement augmenté dans cedomaine ces dernières années. «Mais, jusqu'ici, l'industrie a encore trop peu tiré parti de cette prise de conscience du consommateur», regrette Lolita Morena. A nos lecteurs: en raison de l'actualité la publication de la troisième et dernière partie de notre série sur les économies d'électricité(partie qui porte sur l'étiquette énergie des ampoules et des appareils électroménagers, est reportée au mercredi 21 novembre. Une liste pour mieux choisir Les fabricants mentionnés sur cette liste (non exhaustive) se sont engagés à ne tester sur les animaux ni leurs produits «finis» ni les ingrédients les composant, à ne pas mandater d’autres laboratoires pour le faire et à ne pas intégrer dans leurs produits des substances qui ont été testées sur les animaux depuis moins de cinq ans. - The Body Shop - Biokosma - Comptoir Provençal des Argiles (Naturado, Rosalia) - Coop (Coop Naturaline, Coop Beldam, Coop Tonga) - Estée Lauder - Farfalla essentials - Dr. Hauschka, Wala - Korres - Lavera - Li cosmetic - Logona - Louis Widmer - L’Occitane - Lush - Nacos-Natural Beauty - Nuxe - Primavera Life - Rentsch (Athanor, Himalaya, Catherine Rentsch, Risana) - Sanoflore - Saint Clou Cosmetics - Trybol Plus d’infos Sur le Net - www.protection-animaux.com - www.lscv.ch/pages/cosmetiques.html http://www.tdg.ch/pages/home/tribune_de_geneve/l_actu/pratique/detail_pratique/(contenu)/158907

La chasse à l’orignal fut bonne dans l’est du Québec en 2007 L’automne 2007 restera gravé longtemps dans la mémoire de nombreux chasseurs d’orignal de la Gaspésie et du Bas-Saint-Laurent. En effet, ces derniers ont tué 3200 orignaux. C’est 300 de plus qu’en 2006, une augmentation de presque 10%. Ces deux régions comptaient cet automne un total de 22 600 chasseurs, rapporte Radio-Canada. Près de 25% de ces chasseurs ont réussi à tuer un orignal selon la société d’état. Bon, je ne suis pas très bon en mathématique, mais 3200 ÷ 22 600 X 100 = 14.16%. C’est très bien comparé à la moyenne du Québec qui est de 12%, mais il me semble qu’on est plutôt loin de 25%. Enfin, peu importe les chiffres, le nombre de prises de 3200, lui, est calculé. La chasse n’est pas terminée puisqu’elle continue jusqu’au 21 décembre 2007 dans la réserve faunique de Matane. La raison en est bien simple, c’est dans cette réserve que l’on trouve la plus forte concentration d’orignaux par kilomètre carré au Québec. Pour contrôler la population d’animaux, le contremaître Serge Lévesque a affirmé à Radio-Canada : « [Il] faut se dépêcher à ralentir la croissance, dit-il, car c'est rendu dangereux. L'habitat d'hiver s'est vraiment détérioré, ce qui va arriver c'est une épidémie... » Les chasseurs qui chassent sur ce territoire sont, selon ses dires, quasiment assuré de tuer. http://www.la-vie-rurale.ca/contenu/15832

Ce n'est pas PETA qui est responsable des abandons, c'est les propriétaires qui abandonnent les animaux qui sont "les responsables", les propriétaires sont les premiers complices des euthanasies ! 14 nov. 2007 02h00 HE CCF lance une campagne mondiale pour dénoncer l’historique des massacres d’animaux à l’actif de PETA "PETA tue des animaux" lance un site Web en cinq langues WASHINGTON, DC--(Marketwire - November 14, 2007) - Tout en se plaignant à voix haute du traitement "non-éthique" affligé aux animaux par les propriétaires de restaurants, les magasins d'alimentation, les agriculteurs, les scientifiques, et les détaillants de vêtements, la PETA (People for the Ethical Treatment of Animals ; personnes pour le traitement éthique des animaux), dissimule son sale petit secret depuis longtemps. Les archives publiques de l'État de Virginie montrent que la PETA a tué, à son siège social, au moins 14 479 chiens, chats et autres "animaux de compagnie". Aujourd'hui, Le CCF, organisation à but non lucratif, centre pour la liberté des consommateurs (Center for Consumer Freedom), relance son Site Web très populaire, en se concentrant sur cette hypocrisie -- www.PetaKillsAnimals.com -- en langues anglaise, français, italienne, allemande et russe. "PETA n’est pas ce que les apparences donnent à penser", a déclaré David Martosko, directeur de recherche au CCF. "Le groupe tue environ 90% des animaux en bonne santé qu’il recueille. Alors que PETA essaie de mondialiser ses détestables messages de "libération animale", les gens à travers le monde se doivent de connaître l’énorme hypocrisie du groupe". Les collectes de fonds de PETA s’élèvent à plus de 30 millions de dollars américains chaque année, provenant en grande partie des propriétaires d’animaux de compagnie, qui croient faussement que leurs dons aident au bien-être des animaux. En réalité, PETA tue des animaux depuis de nombreuses années. Entre-temps, PETA a dépensé des dizaines de millions de dollars dans des programmes assimilant les carnivores à des nazis, s’opposant à la recherche médicale qui vise à sauver des vies, effrayant les jeunes enfants en vue de les décourager à boire du lait, et même défendant des incendiaires et autres extrémistes violents. "Quelqu'un doit dire la vérité au monde à propos de PETA", a ajouté Martosko. "PETA accepte les donations des amoureux des animaux d’une main, tout en administrant avec l’autre, une injection létale aux chiots et chatons". Les documents et les photos se rapportant au massacre de masse des animaux sont maintenant disponible en ligne sur : Anglais : www.PetaKillsAnimals.com Français : www.PetaTueAnimaux.fr Allemand : www.PetaTotetTiere.de Italien : www.PetaUccideAnimali.it Russe : www.PetaKillsAnimals.ru En 2007, lors d'un procès pénal aux États-Unis, un employé de PETA a reconnu avoir tué des animaux domestiques et de s’être débarrassé de leurs corps en les jetant dans une benne à ordures. Un autre employé de PETA a témoigné que PETA possède une chambre de congélation pour le stockage des animaux morts, et que chaque mois, PETA utilise un service de crémation pour éliminer plus d'une tonne d'animaux morts. Pour une entrevue ou des renseignements supplémentaires, contactez : Tim Miller États-Unis 1-202-463-7112 miller@consumerfreedom.com SOURCE: Center for Consumer Freedom POUR ENVOYER VOS COMMENTAIRES http://www.petatueanimaux.fr/contact.cfm http://www.marketwire.com/mw/release.do?id=792543&lang=F5