Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Caro18

Membres
  • Compteur de contenus

    1 810
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Caro18

  1. AlxndrG Le Dimanche 7 Octobre 2007 “Talibans, végétariens militants, même combat. Tous contre le plaisir.” C’est quoi votre définition du plaisir? Le plaisir c’est de tuer des animaux pour ensuite les manger? Ou bien encore plus de plaisir, c’est de faire tuer les animaux par quelqu’un d’autre pour ensuite les manger? Ou encore plus plus plus de plaisir c’est de faire tuer l’animal par quelqu’un d’autre, le faire transporter jusqu’au resto, le faire cuisiner par quelqu’un d’autre et manger un organe d’animal mort (qui ne serait pas du tout savoureux sans compote de pomme ou autre assaisonnement/épices)? Puis pour tous ceux qui ont des histoires de carottes qui souffrent, laissez moi vous dire que la carotte est une racine et que l’hiver venu, la pauvre petite racine meurt et que si c’est pas les humains qui la mange, les autres animaux s’en régaleront, c’est du premier arrivé, premier servi, “survival of the fastest”. Puis une autre chose, les fruits et légumes sont succulents parce qu’ils sont fait pour être mangés. C’est une stratégie reproductive des plantes. Un animal x mange un fruit y et il laisse le trognon plus loin et une nouvelle plante poussera à partir des semences qui restaient dans le trognon… Tout le monde trouve ça génial et fascinant que les fleurs attire les abeilles et que ça participe au transport des gènes de plantes à plante, eh ben quand on mange une pomme et qu’on lance le trognon on fait pareil ou presque. Quand un agriculteur garde une partie des semences pour l’année suivante, c’est aussi un peu la même chose. Ok, c’est moins romantique. Mais nous on a appris à récolter et à semer pour survivre et probablement que oui, l’agriculture est pas aussi ancienne que la chasse, mais c’est drôlement plus intelligent! Que ce soit la cause des canards ou de tout autre animal, c’est du pareil au même, canard ou pas canard, la barabrie envers les animaux c’est indigne d’une personne dotée de raison. Je suis pas mal certain que quand vous voyez des reportages sur des chenils inslaubres, ça vous met le coeur à l’envers. Mais parce que le canard est moins affectueux envers les humains, peut-être aussi moins fidèle, et que vous êtes jaloux qu’ils partent dans le sud pour gratis durant l’hiver ou qu’il n’aie pas à s’inquiéter d’arriver en retard au travail, vous vous en foutez complètement!! Mais bon , comme je dis, laissons les canards tranquilles. Vous vous insurgez probablement des antibiotiques qu’on met dans la bouffe des bovins ou autre alors que l’animal n’en souffra pas, mais nourrir un canard avec un entonnoir, ça ne vous fait pas un pli… Come on!! Pour revenir sur le sujet du plaisir, parfois certaines personnes ont une définition tordue du plaisir et ne comprennent tout simplement pas que le plaisir des uns s’arrête là où le déplaisir des autres commence. Certains criminels(j’ai pas besoin d’énumérer ici une liste de pathologie antisociale, je vous laisse choisir) disent ressentir du plaisir en commettant leurs crimes. Le truc, c’est qu’ils ont une poussée d’adrénaline lorsqu’ils deviennent conscient(ou peut être même avant de l’être) qu’ils ont commis quelquechose d’horrible et de dangereux et qu’ils pourraient bien se faire prendre, mais cette poussée d’adrénaline, ils confondent ça avec le plaisir, parce que quand tu es plein de cette substance, tu ne ressens plus de douleur, tu te sens bien!!! Alors, si vous vous sentez bien quand vous avez mangé votre foie gras ou autre morceau d’animal mort, c’est peut-être un peu la même chose qui se produit. Oui je vous compare à des criminels, mais c’est une comparaison ce qui signifie qu’il y a le criminel et qu’il y a vous donc et que l’un n’est pas l’autre… La recherche du plaisir et une poursuite tout à fait louable, en autant que vous sachiez vraiment ce que c’est que le plaisir. Manger de la viande est-il un plaisir? J’ai personnellement jamais eu d’appétit pour cette chose et lorsque je suis parti de chez mes parents, j’ai enfin pu réaliser mon fantasme… devenir végétarien!! Alors permettez moi de ne pas comprendre quel plaisir vous prenez à manger de la viande. Un chance qu’il y avait la compote et du ketchup quand j’étais jeune et que je devais finir mon steak; parce que sinon, j’aurais pas pu, c’est vraiment trop dégueulasse!!! Fini pour le plaisir, revenons à nos moutons - oups - canards. Je réfléchissais hier soir, mais pour quelle raison quelqu’un peut-on bien vouloir écrire un tel article? Et est-ce que c’est vraiment une opinion? Ben justement peut-être que c’est pas un texte d’opinon… Et c’est mon opinion. Quand un journaliste parle de ses soupçons et et de son imagination vis-à-vis d’un groupe de personne ou un individu ça devient du potinage et des ragots. Si je disais: Qu’est-ce qui me dit que vous êtes pas végétarien? Se pourrait-il que vous soyez un végétarien qui veut seuelement qu’on parle de la cause mais que vous jouez le rôle du sans coeur pour nous faire parler? Tant qu’à potiner…. Voici un exemple de ce que vous écrivez :” Alors je doute. Je ne sais pas. Je ne sais pas si le végétarien qui a infiltré l’élevage a incité l’ado à blesser le canard. ” Si j’écrivais: Alors je doute. Je ne sais pas. Je ne sais pas si le chef de chez Toqué a incité Patrick à écrire cet article de la manière qu’il l’a fait en lui promettant un an de repas gratis? Et si j’écrivais: Alors je doute. Je ne sais pas. Je ne sais pas si IGA a incité Patrick à écrire cet article de la manière qu’il l’a fait en lui promettant un an d’épicerie gratuite? Est-ce que ce serait du potinage? des ragots? Bingo! C’est cheap et c’est même gratuit! Vous voyez comment ça peut-être malicieux d’écrire des niaiseries du genre? Si tu doutes, ben tu vas finir dans la catégorie douteux. Alors garde tes doutes pour toi même!!! Et quand un journaliste dit qu’il n’arrive pas à s’émouvoir devant telle ou telle chose, ben là, est-ce que c’est vraiment une opinion ou c’est juste du partage d’idées bébête et inutile? C’est pas le courrier du coeur et si tu n’arrives pas à t’émouvoir est-ce l’argument qui peut justifier cet article? Finalement vos textes sont plein de “name calling” et ça frise la diffamation… Je serai bref sur ce sujet et je vous propose un sobriquet sorti tout droit de ma cuisine: Patrick Lagacé : Ayatollah du foie gras ?? comment ça sonne? http://blogues.cyberpresse.ca/lagace/?p=70720460
  2. Le samedi 06 octobre 2007 Maudits écureuils! Jacques Samson jsamson@lesoleil.com Le Soleil Québec Oui ! Maudits écureuils ! Maudits rats avec des manteaux de fourrure ! Oui, j’écris « maudit », mais je fais preuve de retenue, j’aurais plus le goût d’écrire « *$%&@%$ » de sales écureuils ! Il y a quelques mois, j’avais écrit que je détestais les écureuils qui brisaient mes mangeoires et qui volaient la nourriture des oiseaux. Aujourd’hui, je ne les déteste plus, avec ce qu’ils viennent de me faire, je les haïs ! Je vous raconte cette satanée histoire qui a commencé, il y a trois semaines. Nos voisins ont une magnifique chienne bouvier bernois qui s’appelle Jesse. Quand ils s’absentent, la chienne débarque automatiquement chez nous. Qui se priverait d’un bon os à moelle en l’absence de ses maîtres ? Jesse, par temps perdu, entre deux bouchées de moelle, pourchasse sans trop de succès les écureuils. Elle leur court après, mais ils ont toujours vite fait de la semer. Elle ne grimpe pas aux arbres, vous savez. Il y a une quinzaine de jours, la chienne était littéralement déchaînée autour du Grand Vitara de ma blonde. Elle faisait le tour du véhicule, elle gémissait, elle voulait grimper sur le capot. Ma blonde voit tout à coup sortir de sous l’auto un écureuil roux complètement affolé, et la chienne continue ses « sparages ». Ma blonde décide donc d’ouvrir le capot et c’est là qu’elle a eu une vision d’horreur. Près du moteur, du côté conducteur, des branches, des feuilles, de la mousse, des cocottes de pin et des glands de chêne en quantité. Un nid d’écureuil ! Et ne venez pas me dire qu’elle ne se sert pas de son auto souvent, elle s’en sert au minimum aux deux jours. Ma blonde défait le nid et prend bien soin d’enlever toutes les cochonneries laissées par l’écureuil. Deux ou trois jours passent et, question de vérifier si l’intrus n’a pas recommencé, un beau matin, je soulève à mon tour le capot. Encore une fois l’horreur ! Et cette fois, il y a des glands et des cocottes partout. Il y en a sur le moteur, il y en a entre le bac à lave-vitre et la paroi, il y en a le long de la batterie, partout, partout, partout. On fait encore une fois un grand ménage en prenant bien soin de tout nettoyer. Quand on a eu fini, j’ai eu l’idée de démarrer la voiture. Et c’est là que l’horreur a atteint son maximum : le maudit écureuil avait réussi à remplir de glands le ventilateur de la chaufferette. En faisant démarrer le « machin », on entendait les glands se promener à l’intérieur. Et là, c’est inaccessible ! Impossible de les enlever sans défaire une partie du recouvrement sous le capot. La solution ? Le concessionnaire ! Le résultat : 1,95 heure de travail à 79,95 $ l’heure, plus la TPS, la TVQ, pour un total de 169,84 $. Le mécanicien, le responsable du service et le propriétaire du garage n’en revenaient pas, ils ont sorti une cinquantaine de glands du ventilateur de la chaufferette. Je pense que je n’ai pas besoin de vous dire que l’écureuil et quelques-uns de ses congénères n’auront pas besoin de leurs provisions cet hiver. Un fléau ! Je pourrais vous raconter des dizaines d’histoires d’horreur qui concernent les écureuils qu’ils soient roux, gris ou noirs. Ils font partout d’énormes dégâts. Parlez-en aux propriétaires d’érablières quand ils remettent en marche leur système de tubulure pour la cueillette de l’eau d’érable et que ça pisse de partout. Ce sont les écureuils durant l’hiver qui viennent gruger les tuyaux à la recherche d’eau sucrée. Parlez-en aussi à ce propriétaire de maison qui avait des écureuils dans l’entretoit. Ils ont grugé des fils électriques et ç’a foutu le feu à la maison. Il y a aussi ce propriétaire d’un motorisé dans lequel se sont introduits des écureuils et qui ont arraché toute la mousse qui servait de rembourrure aux sièges. Des centaines de dollars de dégât ! Les écureuils sont pires que les rats et, en plus, c’est plus difficile de s’en débarrasser. Quand on a des rats, on met du poison et on les élimine assez rapidement. Contre les écureuils, ça ne marche pas. Ce foutu animal a un mécanisme de défense contre le poison. Dès qu’il en absorbe, il a la faculté de vomir et de l’éliminer. Pour se débarrasser des écureuils, reste la cage, le piège ou le fusil, mais attention avec le fusil, en ville et même souvent à la campagne, on n’a pas le droit de l’utiliser. Et si vous choisissez la cage, sachez que maintenant on ne considère pas comme une bonne idée d’aller relocaliser les écureuils ailleurs. De toute façon, si vous le faites, dites-vous qu’il faut aller très loin parce que l’écureuil reviendra sans aucun mal dans son territoire. Maudits écureuils ! Ça m’a fait du bien de vous en parler ! Cap Tourmente Aujourd’hui, demain et lundi, si vous avez le goût d’essayer des télescopes et des jumelles de toutes les sortes et de tous les prix, rendez-vous au cap Tourmente, le Magasin Latulippe y aura une tente (près du centre d’interprétation), et les représentants des grands fabricants seront là et vous pourrez essayer les modèles qu’ils proposent. Ce sera de 8 h 30 à 16 h 30. Le coût pour accéder à la réserve est de 6 $ pour les adultes, de 5 $ pour les étudiants et de 4 $ pour les aînés. Les enfants de moins de 12 ans accompagné d’un parent ne payent pas. http://www.cyberpresse.ca/article/20071006/CPSOLEIL/71005193/6939/CPSOLEIL Rédaction redaction@lesoleil.com Opinion des lecteurs Opinion@lesoleil.com
  3. Le Cachemire brûle des peaux d’animaux rares pour protéger la faune et la flore Les autorités de la faune et de la flore dans le Cachemire en Inde, ont commencé à détruire des centaines de peaux d’animaux et d’habits faits des peaux d’animaux rares saisis dans une campagne visant à protéger la faune et la flore de la région, ont déclaré les autorités lundi. « Nous avons détruit près de 10000 peaux et de vêtements en les brûlant hier… cela continuera pendant encore une semaine » a déclaré Rashid Y. Naqash, un garde-forestier du Cachemire. « En détruisant ces peaux d’animaux rares et ces vêtements nous envoyons un message clair aux braconniers et aux commerçants dans tout le pays. Je suis certain que cette initiative aidera la faune et la flore » a ajouté ce garde-forestier du Cachemire. Malgré le fait que le braconnage soit une pratique illégale au Cachemire, les animaux rares sont toujours tués pour leurs peaux. Parmi ces animaux on trouve les léopards des neiges, les tigres, les cerfs, les chacals, les renards, les loups et les chats sauvages, dont les fourrures se vendent à bon prix sur les marchés internationaux. Le Cachemire, où des dizaines de milliers de personnes ont été tuées pendant les 17 ans de révolte séparatiste, est célèbre pour son engouement pour la taxidermie et pour sa production de vêtements de fourrure. http://www.actualites-news-environnement.com/12195-cachemire-faune-flore-peaux.html
  4. Chenil de l'horreur Ils réapprennent à vivre Vincent Larouche Le Journal de Montréal 07/10/2007 06h46 Sassy Photo Journal de Montréal/Chantal Poirier Encore traumatisés près de deux ans après avoir été tirés du «chenil de l’horreur», à Blainville, la centaine de chiens qui auraient vécu l’enfer aux mains de Marc-André Laporte réapprennent tranquillement à vivre, grâce aux bons soins et à l’amour de dizaines de familles d’accueil. Le Journal a retracé cinq de ces fox-terriers qui avaient ému le Québec, en novembre 2005, lorsque la SPCA les avait tirés de l’enfer où ils étaient plongés depuis leur naissance. Certains chiens étaient en si mauvais état après avoir été confinés à l’intérieur de la maison parmi les immondices qu’ils avaient peine à marcher. Leur pelage était «cotonné» par l’urine et les excréments. Comme s’il était en cage «Quand on les a rasés, ils ont perdu les deux tiers de leur poids», rappelait cette semaine le directeur de la SPCA, Pierre Barnoti, au procès de Marc-André Laporte pour cruauté envers les animaux. Aujourd’hui, les chiens rescapés vivent dans des familles d’adoption ou des familles d’accueil temporaires, mais ils gardent encore des séquelles de leur passé. Aveuglée par le soleil «Cody ne peut pas monter ni descendre des escaliers, parce qu’il ne l’a pas appris quand il était jeune, raconte Eva Klima avec émotion. Parfois, s’il est nerveux, il se met à marcher en rond, comme s’il était encore en cage», dit la propriétaire et mère de famille. «Nous l’aimons comme il est, parce que ce n’est pas de sa faute, c’est comme ça, c’est tout», ajoute-t-elle. La plupart des chiens n’étaient jamais sortis à l’extérieur avant 2005, et sortir a été un choc lors de leur adoption. «Belle a dû tout apprendre, elle n’avait rien vu avant d’arriver ici, raconte Francine Bouchard. La lumière du jour l’aveuglait, car elle n’y était pas habituée. Elle a découvert les fleurs, les arbres, l’herbe, elle allait tout sentir lorsqu’on l’a emmenée dehors.» Charlie, le chien recueilli par Melissa Malkin, est enjoué et amical, mais il refuse toujours de baisser la tête devant les autres chiens, même les plus forts. «Au parc de chiens, il a même tenu tête à un bull-terrier, raconte la propriétaire. Il agit comme ça parce qu’au chenil où il a grandi, s’il s’était soumis aux autres, il serait devenu leur lunch.» ­ Le procès de Marc-André Laporte, l’ex-propriétaire du «chenil de l’horreur» a pris fin vendredi, au Palais de justice de Saint-Jérôme. L’homme de 54 ans est accusé de cruauté envers les animaux. On connaîtra le verdict le 27 novembre. http://www2.canoe.com/infos/societe/archives/2007/10/20071007-064624.html
  5. Du jamais-vu Pierre Richard Le Journal de Montréal 06/10/2007 14h22 SAINT-JÉRÔME | Si Marc-André Laporte, ce propriétaire d'un chenil pourri de Blainville fermé en 2005, est acquitté, la SPCA n'a plus qu'à fermer ses portes puisqu'elle n'aura plus aucune raison d'exister. C'est ce que le directeur général de la SPCA, M. Pierre Barnoti, a déclaré hier au terme du procès de Laporte. Ce dernier, qui a fait des études en psychologie mais qui n'a jamais exercé, vivait avec 97 fox-terriers dans sa maison de Blainville quand les policiers ont fait irruption dans sa résidence, le 10 novembre 2005. Certains chiens étaient tellement en mauvais état qu'ils avaient peine à marcher, leur pelage étant «cotonné» par leur urine et leurs excréments. Les policiers, pour procéder à la perquisition, ont dû se munir de masques au charbon tellement les odeurs dans la maison étaient insupportables. La maison de Laporte a ensuite été démolie, la Ville la jugeant trop insalubre. «Laporte affirme que ses chiens étaient bien nourris! Pourtant, certains d'entre eux ont perdu les deux tiers de leur poids après avoir été simplement rasés», disait hier le directeur général de la SPCA. Selon lui, il faut que Laporte soit reconnu coupable, d'autant plus que les sanctions, pour ce type de maltraitance, sont ridicules. «Ça fait cent ans que les sentences n'ont pas été modifiées. Il est passible d'une amende de 2000$ ou de six mois de prison. S'il doit être acquitté, on devra fermer les portes. Nous n'aurons plus aucune raison d'exister!» Hier, l'avocate du ministère public, Me Caroline Lafleur, faisait valoir qu'il était manifeste que Laporte, malgré «l'amour» qu'il vouait à ses chiens, n'a pas su leur prodiguer les soins nécessaires et qu'il doit donc être déclaré coupable. En défense, les avocats Claude F. Archambault et Luc Simard faisaient valoir que leur client devait être acquitté d'avoir «volontairement» fait du mal à des animaux. Or, soutenaient-ils, Laporte a simplement été débordé par le nombre d'animaux qu'il possédait et par son incapacité sentimentale à se défaire d'une partie de la meute. * * * D'autres histoires d'horreur ¸ Février 2007: La SPCA intervient chez un résidant du Vieux- Montréal qui garde des chats morts dans son réfrigérateur, à côté d'un bol de salade de pommes de terre, et qui néglige ses chats vivants. Janvier 2007: Perquisition à Saint-Mathieu dans un chenil où des chiens rachitiques sont abandonnés dans une écurie ou laissés dehors dans des barils en plastique. Mars 2005: Sauvetage de 23 chiens élevés sous une maison mobile de La Plaine. La puanteur y est si forte qu'elle brûle les yeux des inspecteurs. Avril 2001: Euthanasie de 101 chiens et 51 chats du refuge Miaouf, qu'on croit malades car gardés dans des conditions insalubres à Sainte-Justine-de-Newton. Février 1998: Découverte de 269 chiens affamés dans un chenil de Havelock, où les plus gros en sont rendus à manger les plus petits. Le propriétaire se suicide peu après. 1997: Perquisition dans une maison de Ville-Mont Royal où un résidant garde une centaine d'animaux (chats, chiens, mouettes) dans des conditions pitoyables. http://www2.canoe.com/infos/societe/archives/2007/10/20071006-142200.html
  6. Royaume-Uni - On ne peut plus acheter de foie gras à York ( Publié le 08/10/2007 à : 14H 20 min ) Qu’on se le dise : il est désormais interdit de vendre du foie gras dans la bonne ville de York (Angleterre). Non que la cité soit connue pour une consommation excessive de ce mets. C’est tout simplement contre le mode de production, « cruel et non nécessaire », que le conseil municipal travailliste s’est prononcé. L’organisation internationale PMAF (Protection mondiale des animaux de ferme) est ravie : une nouvelle collectivité vient de rejoindre les rangs des opposants au foie gras. « Dans le monde, plus d'une dizaine de pays, essentiellement en Europe, ont interdit la production de foie gras au motif de cruauté envers les canards et les oies (Danemark, Allemagne, Italie, Norvège, Autriche, Pologne, …) », se félicite-t-elle. L’un de ses chargés de formation, Dominic Hofbauer, rappelle à cette occasion le leitmotiv de la PMAF : « La production française de foie gras est un enfer pour plus de 30 millions de canards et d’oies chaque année ». Source : TV Agri Auteur : F. D. http://www.terre-net.fr/actualite-agricole/europe-international/article-204-43097.html Philadelphie: la bataille du foie gras fait rage Le 28 septembre 2007 - 09:25 | Presse Canadienne Lassés des attaques et des menaces d'interdiction du foie gras, un groupe de chefs de Philadelphie a décidé de riposter en servant le mets controversé dans un menu à cinq dollars. Une vingtaine de restaurants participeront la semaine prochaine à cette campagne de promotion pour défendre le foie gras, menacé d'interdiction par un conseiller municipal qui voudrait suivre l'exemple de Chicago. Le foie gras est sur la sellette dans plusieurs pays, les associations de défense des droits des animaux dénonçant le gavage forcé des oies et canards. Michael McNally, du London Grill, proposera la semaine prochaine toute une série de plats à base de foie gras, bravant les protestations qui surviennent dès qu'il met le produit à sa carte. "Pour nous, c'est une question de liberté de choix. On ne veut pas que les gens nous disent ce qu'il faut faire", explique le restaurateur qui a déjà dépensé 20 000 dollars de frais de justice contre les manifestants. Reste que l'interdiction aiguiserait plutôt les appétits... Ariane Daguin, qui dirige D'Artagnan, compagnie de distribution alimentaire basée à Newark dans le New Jersey, explique que ses ventes de foie gras ont triplé à Chicago dans l'année suivant l'interdiction. L'arrêté interdit en effet aux restaurants de vendre du foie gras, mais pas d'en servir. Certains restaurants se sont donc engouffrés dans la brèche, et proposent des assiettes de toats à 21 dollars avec... supplément gratuit de foie gras. http://www.matin.qc.ca/articles/20070928092556/philadelphie_bataille_foie_gras_fait_rage.html
  7. Si le directeur du journal Lapresse ne demande pas à Lagacé de se rétracter, c'est que la direction ( l'éditeur ) approuve les écrits de son éditorialiste! Il me semble que Lagacé est un éditorialiste L’éditorial et le commentaire constituent des tribunes d’opinions réservées à l’éditeur. Traditionnellement, l’éditorial et le commentaire émanent de la direction d’un média et reflètent la position, les convictions ou l’orientation générale de l’éditeur ( Lapresse ) – ou de l’équipe éditoriale – quant aux questions qui y sont traitées. Les sujets et les contenus des éditoriaux relèvent de la discrétion de l’éditeur ( Lapresse ) qui est libre d’établir la politique du média en ces matières. Il est également de son ressort de déterminer, à tout moment, l’espace qu’il juge à propos pour prendre position, faire valoir ses points de vue ou exprimer ses critiques. En matière d’éditorial et de commentaire, l’éditeur ( Lapresse ) est libre d’exclure les points de vue qui s’écartent de la politique du média, sans qu’une telle exclusion puisse être considérée comme privant le public de l’information à laquelle il a droit. Je crois qu'on pourrait talonner Lapresse à ce sujet? L’éditorial et le commentaire http://www.conseildepresse.qc.ca/index.php?option=com_content&task=view&id=234&Itemid=158&lang=fr =============================================== Le « cyberjournalisme » http://www.conseildepresse.qc.ca/index.php?option=com_content&task=view&id=236&Itemid=160&lang=fr Je viens de constater que M. Lagacé est chroniqueur "d'après la réponse que nous avons reçue de Lapresse", voir ci-dessous: Donc Lapresse s'en lave les mains Ceci s'applique à lui: La chronique, le billet et la critique http://www.conseildepresse.qc.ca/index.php?option=com_content&task=view&id=235&Itemid=159&lang=fr Réponse de : Commentaires (Commentaires@cyberpresse.ca) Bonjour, Nous vous remercions d’avoir pris le temps de nous écrire et respectons votre point de vue concernant le texte de Patrick Lagacé que vous mentionnez. Les chroniqueurs ont le mandat particulier de partager leurs commentaires et leurs réflexions avec les lecteurs et nous sommes conscients que leurs opinions ne font pas toujours l’unanimité. Ils mettent en perspective une lecture personnelle de l’actualité et des questions qu’ils choisissent de traiter selon un angle particulier. À titre indicatif, Patrick Lagacé a reçu beaucoup de courrier au sujet de la chronique à laquelle vous faites référence et a répondu à ces commentaires sur son blogue, que nous vous invitons à visiter à l’adresse suivante : http://blogues.cyberpresse.ca/lagace/?p=70720460. Votre opinion est importante et nous transmettons votre courriel à Éric Trottier, directeur de l’Information. Salutations cordiales, L’équipe de La Presse
  8. Catou, Valou pour les deux adresses suivantes: eric.trottier@lapresse.ca commentaires@cyberpresse.ca dans le sujet "objet" de votre courriel, n'oubliez pas de mettre la mention "plainte"pour que votre lettre soit reçue comme une plainte! Pour Lagacé plagace@lapresse.ca
  9. AntoineDdeM Le Samedi 6 Octobre 2007 Sur quelles expériences basez-vous votre définition du canard comme bête vulgaire? Avez-vous déjà rencontré un canard Monsieur Lagacé? Plusieurs personnes ne peuvent s’émouvoir des enfants qui meurent en Afghanistan par ce qu’ils ne les voient pas. Ils peuvent imaginer que leurs souffrances n’existent pas. Nous vivons dans des villes et n’avons aucun contact direct avec les animaux qui nous nourrissent. Et si vous n’êtes pas convaincu Monsieur Lagacé faites vos recherches. Parler de quelque chose que l’on ne connaît pas, il n’y a qu’un seul mot pour ça: Ignorance. Au lieu de demeurer un ignare, Monsieur Lagacé vous pouvez choisir de vous éduquer. A propos de canards. de l’industrie du foie-gras. Et de la raison pour laquelle les canards existent. Les animaux n’existent pas pour vous servir, tout comme les noirs n’existent pas pour servir les blancs, ni la femme pour servir l’homme. Un esprit intelligent est un esprit qui consulte son cœur avant de faire une décision. Ils ne veulent pas mourir et ils ne veulent pas souffrir. De pense que quelqu’un existe pour soi, c’est de l’arrogance bien sûr, mais c’est surtout de la crainte, comme les nazis avaient peur des juifs, comme les hommes avaient peur du pouvoir de leurs femmes, pourquoi avez-vous Monsieur Lagacé si peur des animaux qui vous nourrissent? Ces animaux souffrent et meurent pour vous Monsieur Lagacé, ils saignent, ils pleurent, ils crient, ils ont peurs. Et la seule raison pour laquelle leurs souffrances ne vous dérangent pas c’est que vous avez décidé sans même les connaître que les canards ne valent rien. C’est triste. Je vous invite à avoir un contact direct avec les animaux, vaches, cochons, poulets, poissons, canards, à apprendre et à vous éduquer sur comment ils souffrent, et peut-être que cette éducation vous aidera à vous débarrasser de vos préjugés. Et ceux qui travaillent pour le droits des animaux, travaillent aussi pour le droits des travailleurs, des enfants, des femmes, l’égalité des races. Plusieurs qui représentent la lutte contre l’injustice à travers notre histoire humaine étaient aussi végétariens. Les suffragettes, les abolitionnistes. Gandhi, Jean-Jacques Rousseau, Tolstoy.
  10. L'UPRA tiens une activité de financement, une table de vente de divers articles provenant des membres! Quand: dimanche le 7 octobre à partir de 8h Ou: au marché aux puces Carignan au 2375 Chambly à Carignan (région de Montréal) Venez nous encourager! Amenez vos amis, votre famille...quelques sous pour une cause qui nous tiens tous à coeur. http://www.upra.ca/ http://actions-animaux-qc.actifforum.com/index.htm
  11. Caro18

    Les «sans-porc»

    Les «sans-porc» Paris -- Dès la rentrée de 2008, la ville de Lyon offrira des repas sans viande aux 16 400 écoliers qui fréquentent ses cantines scolaires. S'agit-il de se prêter aux caprices des familles végétariennes? Pas le moins du monde! La décision a été prise après de longues discussions avec les représentants des organisations protestantes, catholiques, musulmanes, juives, bouddhistes, arméniennes et laïques. http://www.ledevoir.com/2007/10/05/159472.html
  12. ALIMENTATION : Manger et boire avec retenue font partie des « secrets de la longévité » Manger et boire avec retenue font partie de l’une des plus importantes recettes de longévité, estime Liu Zhencai, un auteur chinois qui a publié aux Editions en langues étrangères un ouvrage intitulé les « Les secrets de la longévité ». Selon l’auteur, pour vivre longtemps, il faut « manger peu, observer un régime principalement végétarien, boire du thé, respecter les tabous alimentaires et prendre des aliments à valeur ajoutée ». Catégorique, il déclare : l’alimentation modérée peut prolonger la vie, l’alimentation excessive nuit à l’estomac et aux intestins. S’appuyant sur le « Livre de sciences naturelles » d’un autre écrivain, Liu Zhencai relève que « quand on mange peu, l’estomac se trouve dilaté et la vie est favorisée, mais plus on mange, plus l’estomac est bouché et plus la vie en est affectée ». D’après lui, les gloutons sont hantés par cinq maux : la fréquence des selles, la fréquence des urines, les troubles du sommeil, la lourdeur du corps et l’indigestion. « La suralimentation augmente le poids du corps et la corpulence attire les maladies », souligne l’auteur avant d’inviter à une alimentation restreinte pour espérer être centenaire. Mais, jusqu’à quel point ? Pour Gong Yanxian, médecin du Palais impérial cité dans l’ouvrage, « on doit manger pour moitié ce dont on a envie et boire le tiers de son soûl ». Les livres classiques parlent beaucoup de longévité due à la « tempérance alimentaire » ou encore de la « limitation régulière de l’appétit », rapporte Liu Zhencai avant d’ajouter que d’après ses sources « la saturation ne profite jamais », là où manger peu et à plusieurs reprises chaque jour est utile aux personnes âgées. Pour ces dernières, les excès de table sont nuisibles. Les spécialistes de la santé ont toujours recommandé « la consommation de denrées légèrement épicées et l’exclusion de nourritures grasses et corsées », souligne Liu Zhencai d’après qui on doit consommer des produits provenant pour l’essentiel du règne végétal. http://www.lesoleil.sn/article.php3?id_article=29454
  13. Caro18

    Phoques- URGENT

    Le jeudi 04 octobre 2007 Chasse aux blanchons: Ottawa souhaite bloquer les opposants trop bruyants Raymond Giroux Le Soleil Ottawa Le fé­dé­ral ­veut éloi­gner en­co­re ­plus les fau­teurs de trou­bles des chas­seurs de blan­chons sur la ban­qui­se du gol­fe du ­Saint-Lau­rent, et les dé­fen­seurs des ani­maux s’in­sur­gent ­contre ce pro­jet. Le mi­nis­tè­re des Pê­ches et ­Océans af­fi­che pré­sen­te­ment sur son si­te In­ter­net une consul­ta­tion de prin­ci­pe ­dans le but de « cla­ri­fier » les pou­voirs du mi­nis­tre con­cer­né, qui dé­li­vre les per­mis d’obs­er­va­tion ­pour la pê­che au pho­que. Le mi­nis­tè­re dit en­cou­ra­ger les obs­er­va­teurs, ­mais non ­ceux qui trou­blent la ­paix ­sous le pré­tex­te d’obs­er­ver la chas­se. Dé­jà, un or­ga­nis­me com­me ­l’IFAW, l’In­ter­na­tio­nal ­Fund for Ani­mal Wel­fa­re, a lan­cé une pé­ti­tion en li­gne ­contre ce qu’il ap­pel­le « des chan­ge­ments anti­cons­ti­tu­tion­nels qui pour­raient blo­quer tou­tes les ob­­­ser­va­tions in­dé­pen­dan­tes de la chas­se aux pho­ques ». « Il est ou­tra­geant de cons­ta­ter qu’au ­lieu d’ar­rê­ter la cruau­té ­lors de la chas­se aux pho­ques, le gou­ver­ne­ment ca­na­dien ­veut sim­ple­ment ten­ter de la ca­cher en blo­quant tou­te obs­er­va­tion », lit-on sur le si­te de ­l’IFAW. Di­rec­te­ment tou­ché par ce dos­sier, le vi­ce-pré­si­dent du co­mi­té par­le­men­tai­re des pê­ches, qui a ­émis des re­com­man­da­tions net­te­ment dif­fé­ren­tes le prin­temps der­nier, le blo­quis­te Ray­nald ­Blais, n’en­tre­tient au­cu­ne sym­pa­thie ­pour un tel grou­pe « mal in­ten­tion­né », se­lon lui, à qui il at­tri­bue des cam­pa­gnes de dé­ma­go­gie et de dés­in­for­ma­tion. Pour écrire à Ray­nald ­Blais: blaisr1@parl.gc.ca Blais.R@parl.gc.ca Mieux encadrer ­Joint à Chand­ler, ­dans sa cir­cons­crip­tion de Gas­pé­sie—­Îles-de-la-Ma­de­lei­ne, M. Blais re­con­naît qu’il ­faut ­mieux en­ca­drer l’obs­er­va­tion de la chas­se aux pho­ques, ­mais ­sans tom­ber ­dans des me­su­res anti­dé­mo­cra­ti­ques. Sur le ­fond, le dé­pu­té es­ti­me que le pro­jet en dis­cus­sion « n’ajou­te ab­so­lu­ment ­rien au dos­sier de l’obs­er­va­tion (car) sus­pen­dre un dé­lin­quant de­vrait cou­ler de sour­ce », dit-il. « Ce qui est an­non­cé est ­loin ­d’être sa­tis­fai­sant, sou­tient M. ­Blais. À la li­mi­te, c’est ri­di­cu­le d’une cer­tai­ne fa­çon. » Le co­mi­té par­le­men­tai­re pro­po­sait d’élar­gir la zo­ne pro­té­gée, non de lais­ser ­pleins pou­voirs au mi­nis­tre. « Je ne pen­se pas qu’il ­faut car­ré­ment in­ter­di­re l’obs­er­va­tion, dit-il, ­mais il ­faut l’en­ca­drer ­pour qu’el­le per­met­te un com­por­te­ment ­plus sé­rieux et pro­fes­sion­nel » de la ­part de ces ­gens. Moins de restrictions au pouvoir Es­sen­tiel­le­ment, la nou­vel­le ré­gle­men­ta­tion ­veut éli­mi­ner les res­tric­tions ac­tuel­les au pou­voir du mi­nis­tre ­pour trou­ver un jus­te équi­li­bre en­tre les ­droits des chas­seurs et ­ceux des obs­er­va­teurs, pré­ci­se en en­tre­vue un por­te-pa­ro­le du mi­nis­tè­re, ­Phil Jen­kins. Ces mo­di­fi­ca­tions, ­dont le tex­te pré­cis se­ra pu­blié ­dans la Ga­zet­te of­fi­ciel­le à une da­te en­co­re in­dé­ter­mi­née et se­ra su­jet à une nou­vel­le consul­ta­tion de 30 ­jours, « n’aug­men­tent en ­rien les pou­voirs mi­nis­té­riels », pré­ci­se-t-il. Le mi­nis­tè­re sou­hai­te que la nou­vel­le ré­gle­men­ta­tion en­tre en vi­gueur à ­temps ­pour la pro­chai­ne sai­son de chas­se, au prin­temps 2008. Aux cri­tè­res ac­tuels, ­soit le nom­bre de per­mis d’obs­er­va­tion dé­jà dé­li­vrés et le nom­bre de pê­cheurs ac­cré­di­tés ­dans une ré­gion don­née ­pour la mê­me pé­rio­de, en ­plus des in­ten­tions et du pas­sé cri­mi­nel du de­man­deur, s’ajou­te­raient « des consi­dé­ra­tions per­ti­nen­tes » nul­le ­part pré­ci­sées. ­Niant qu’il s’agis­se là d’un pro­ces­sus qui lais­se la por­te gran­de ou­ver­te à l’ar­bi­trai­re mi­nis­té­riel, M. Jen­kins in­sis­te sur la né­ces­si­té de la « per­ti­nen­ce » des dé­ci­sions. Ces dé­ci­sions, ajou­te-t-il, se­ront su­jet­tes à l’au­to­ri­té de la ­Cour fé­dé­ra­le, si des ­gens se sen­tent éven­tuel­le­ment lé­sés. http://www.cyberpresse.ca/article/20071004/CPSOLEIL/71003224/6584/CPSOLEIL
  14. Chenil de l'horreur: le verdict attendu à la fin novembre Le 5 octobre 2007 - 17:24 | Presse Canadienne Marc-André Laporte, l'ex-propriétaire de ce que l'on a appelé le Chenil de l'horreur, à Blainville, dans les Laurentides, connaîtra le verdict du tribunal le 27 novembre prochain. Son procès s'est terminé, vendredi matin, au palais de justice de Saint-Jérome. L'homme de 59 ans fait face à deux chefs d'accusation de cruauté envers les animaux. Il est passible de six mois d'emprisonnement et d'amendes de 2000 $ par chef d'accusation. L'avocat de la défense a plaidé que son client n'avait pas d'intention criminelle au moment où il a posé les gestes qu'on lui reproche. Selon Me Claude F. Archambault, M. Laporte devrait être acquitté puisqu'il aimait vraiment ses chiens, et que c'est pour cette raison qu'il était incapable de s'en départir et de les faire euthanasier. La Couronne estime, qu'au contraire, l'accusé savait ce qu'il faisait et qu'il devrait être reconnu coupable par le juge Jean Sirois de la Cour du Québec. Le 10 novembre 2005, les policiers avaient fait une perquisition dans la résidence de Marc-André Laporte où étaientt entassés une centaine de chiens dans des conditions d'hygiène exécrables. Depuis ce temps, les lieux ont été détruits. Une vingtaine de chiens ont dû être euthanasiés et une soixantaine ont été adoptés. M. Laporte refuse de se départir d'une vingtaine de chiens qui sont actuellement en famille d'accueil. http://www.matin.qc.ca/articles/20071005172409/chenil_lhorreur_verdict_attendu_fin_novembre.html
  15. Voici un commentaire sur l'intégrisme AlxndrG Le Samedi 6 Octobre 2007 Je suis désolé de voir à quel point les journalistes utilisent toutes sortes de Buzz Words sans pour autant connaître la définition des mots qu’Ils emploient. N’importe qui peut être journaliste de nos jours… Le mot intégrisme n’est même pas dans le grand dictionnaire de lOffice de la langue française du Québec. C’est vous dire!! Un intégriste (Selon le Robert) c’est quelqu’un qui s’oppose à toute évolution d’une doctrine, d’une société. Le changement c’est le mal… Alors, je crois que vous vous trompez royalement en traitant les végétariens militants d’intégristes. Les végétariens sont des progessistes, et on arrête pas le progrès…. Plusieurs pays ont înterdit la pratique du gavage des canards, et le Québec fait figure de “Petit Canard à la patte cassée” dans ce dossier. La vente de foie gras est maintenant interdite dans plusieurs villes américaines, le pays du steak… Puis le réseau d’action globale n’est pas un organisme de promotion du végétarisme qui utilise la cause animale pour venir à ses fins. C’est un organisme de défense des animaux qui incidemment prône le végétarisme. Si j’avais à faire un résumé de votre article, cela se lirait probablement comme suit: Canard écrit sur le dos des canards, dans un canard de Montréal, par un vilain petit canard…. http://blogues.cyberpresse.ca/lagace/?p=70720460
  16. Une bonne chose, Lapresse a reçu plusieurs courriers de plainte
  17. Voici la bonne adresse de courriel : eric.trottier@lapresse.ca J'avais mal entendu peut-être! Réponse de : Commentaires (Commentaires@cyberpresse.ca) Bonjour, Nous vous remercions d’avoir pris le temps de nous écrire et respectons votre point de vue concernant le texte de Patrick Lagacé que vous mentionnez. Les chroniqueurs ont le mandat particulier de partager leurs commentaires et leurs réflexions avec les lecteurs et nous sommes conscients que leurs opinions ne font pas toujours l’unanimité. Ils mettent en perspective une lecture personnelle de l’actualité et des questions qu’ils choisissent de traiter selon un angle particulier. Est-ce une raison pour dire n'importe quoi? À titre indicatif, Patrick Lagacé a reçu beaucoup de courrier au sujet de la chronique à laquelle vous faites référence et a répondu à ces commentaires sur son blogue, que nous vous invitons à visiter à l’adresse suivante : http://blogues.cyberpresse.ca/lagace/?p=70720460. Votre opinion est importante et nous transmettons votre courriel à Éric Trottier, directeur de l’Information. Salutations cordiales, L’équipe de La Presse
  18. Le Vendredi 5 Octobre 2007 Parlons un peu des canards… PATRICK LAGACÉ Beaucoup, beaucoup de courriels à propos de mes mots sur les canards, dans ma dernière chronique. J’ai souligné avoir peu de sympathie pour les canards d’élevage, destiné à la consommation humaine. Depuis, tout ce qu’il y a de végétarien joue aux fléchettes avec ma photo. Quelques réflexions, à ce sujet… Je n’arrive pas à m’émouvoir du sort d’un canard. Il vit dans un espace minuscule ? Il est rudement manipulé quand on le gave ? Il est gavé, point ? Je m’en balance. Faire de la bouffe, de tout temps, n’a jamais été un acte de beauté. C’est dérangeant. C’est salissant. C’est saignant. Faut-il, comme le jeune nono l’a fait, égorger un canard vivant ? Absolument pas. C’est ignoble. C’est inutile. Mais deux trucs, là-dessus : 1) je ne suis absolument pas convaincu, contrairement à ce que le Réseau action globale prétend, que ce soit là une pratique répandue et 2) je suis allé au RAG pour voir les minutes de film non-diffusées, afin de voir la conversation entre l’« enquêteur » du RAG et le jeune tortionnaire. Pour voir si l’« enquêteur » incite, de quelque façon, le ti-cul à égorger le canard en question. Et tout ce qui existe, comme film, c’est 15 secondes où le canard est déjà pendu par les pieds. On ne voit rien de ce qui se passe avant. Alors je doute. Je ne sais pas. Je ne sais pas si le végétarien qui a infiltré l’élevage a incité l’ado à blesser le canard. Bien sûr, les gens du RAG disent que ce serait contraire à l’éthique. Mais sorry, quand on est un intégriste, comme les gens du RAG, qui sont de gentils intégristes mais des intégristes quand même, on est généralement prêt à sacrifier un homme (ou un canard), pour sauver les intérêts supérieurs d’une cause… Quand je parle d’intégrisme : de gentils végétariens m’ont écrit pour me dire que l’abattage de bêtes pour nourrir l’humanité est – tenez-vous bien – un holocauste. Oui, un holocauste. Rien que ça… Une hystérique m’a tancé : « Penses-tu qu’en tant qu’humain, tu vaux plus qu’un canard ? » Réponse : Oui. Et vous aussi, Madame… Bon, coin-coin, bon début de long week-end. En passant, le foie gras avec de la compote de poires, c’est délicieux. Vous désirez commenter cet article? Connectez-vous au Visa Cyberpresse. 27 commentaires VOS COMMENTAIRES EN LIGNE, INSCRIVEZ-VOUS http://blogues.cyberpresse.ca/lagace/?p=70720460
  19. Beau service à la clientèle à LaPresse l'adresse ne fonctionne pas Je vais rappeler demain
  20. La femme au téléphone m'a dit que les commentaires ou plaintes concernant un journaliste doivent être adressés à M. Ecric Thibault je crois qu'il est directeur J'envoie mon commentaire aux trois adresses suivantes : À Lagacé également pour qu'il comprenne bien qu'il y a des personnes au Québec qui s'insurgent du torchon qu'il a pondu! plagace@lapresse.ca commentaires@cyberpresse.ca eric.thibault@lapresse.ca
  21. J'ai rejoins le service à la clientèle de la Presse et nous devons faire une plainte (plutôt un commentaire ) à Écric Thibault: eric.thibault@lapresse.ca concernant l'article inacceptable de Lagacé pour que nos commentaires soient pris en considération contre ce journaliste! À vos claviers
  22. Je suis tombé en bas de ma chaise en lisant cet article Blainville C'était comme ses bébés Pierre Richard Le Journal de Montréal 05/10/2007 08h43 Parce que ses chiens étaient «comme ses bébés» et qu'il ne parvenait pas à les vendre, l'éleveur Marc-André Laporte s'est retrouvé avec 97 fox-terriers dans sa résidence de Blainville avant qu'on ne condamne sa maison, en novembre 2005. Le psychologue de 59 ans se retrouvait hier devant le juge Jean Sirois pour se défendre d'une accusation de cruauté envers les animaux. La maison dans laquelle les animaux ont été retrouvés avait été transformée en véritable chenil et était dans un tel état d'insalubrité que la Ville de Blainville a choisi de la démolir. D'ailleurs, hier, l'inspecteur en bâtiment de la ville, M. Normand Racine, a dit qu'il avait fallu placer les objets retrouvés sur place dans un conteneur de 40 verges cubes. Des négligés «Ça dégageait une odeur intolérable», a-t-il dit au juge en expliquant qu'il avait eu l'impression que Laporte n'habitait pas l'endroit. Pourtant, ce n'était pas le cas. Mais Laporte, lors de son témoignage, a expliqué qu'il n'avait pas le temps de faire le ménage. «Ma priorité, c'était de nourrir les chiens.» Et aussi de faire leur toilette, dit-il, tout en mentionnant qu'il pouvait faire un toilettage par semaine. Mais comme il avait 97 chiens, ça explique que certains avaient l'air «négligé» lors de la perquisition policière. Croissance incontrôlée Le problème, a-t-il encore expliqué, c'est qu'il n'a pas réussi, au fil des ans, à vendre suffisamment de chiots, ce que les gens recherchent le plus. Alors, le nombre de chiens s'est mis à croître. Et à croître. À tel point qu'il leur consacrait dix-huit heures par jour et qu'il a emprunté 32 000 $ à sa soeur pour les nourrir, se nourrir, payer une partie de son hypothèque et les factures d'électricité. «Je n'arrivais pas à faire tout l'ouvrage nécessaire.» Pourquoi ne pas avoir envisagé l'euthanasie, lui a demandé le tribunal. «Ils avaient tous un nom et une personnalité propre», de dire l'accusé, qui soutient que dans les circonstances, il a fait «un choix raisonnable». http://www2.canoe.com/infos/societe/archives/2007/10/20071005-084300.html Imaginez-vous qu'il commence à faire pitié aux yeux de la population, ça fait dur comme peuple
  23. Le procès du propriétaire du «chenil de l'horreur» débute Au nouvelle de TVA ce soir Le bourreau plaide, "j'aimais trop mes animaux", il ne se résignait pas les faire euthanasiés. Devinez qui est son avocat? C'est nul autre que Me Claude F. Archambault. Archambault est payé avec le sang de ces pauvres chiens reproduits dans un chenil ignoble où plusieurs chiens sont morts dans des souffrances atroces, je ne sais pas si son amie Michelle Richard est d'accord avec l'implication d'Archambault dans cette affaire Il va s'en sortir avec une petite amende de 50.00 $ Presse Canadienne Saint-Jérôme Le procès de Marc-André Laporte, l'ex-propriétaire de ce que l'on a appelé le «chenil de l'horreur», à Blainville, dans les Laurentides, s'est amorcé jeudi matin au palais de justice de Saint-Jérôme. Le 10 novembre 2005, les policiers avaient fait une perquisition dans la résidence de M. Laporte où étaient entassés une centaine de chiens dans des conditions d'hygiène exécrables. Il y avait une quantité incroyable d'excréments au niveau du sol. Les policiers de Blainville avaient appelé en renfort la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA). Inspectrice à la SPCA, Nathalie Bouillé a raconté au tribunal que les chiens étaient cotonnés, et dans des cages sales, ajoutant que l'odeur dans la résidence était insupportable. Depuis ce temps, les lieux ont été détruits. Une vingtaine de chiens ont dû être euthanasiés et une soixantaine ont été adoptés. M. Laporte refuse de se départir d'une vingtaine de chiens qui sont actuellement en «famille d'accueil». Jeudi après-midi, M. Lapointe devait témoigner dans son propre procès. http://www.cyberpresse.ca/article/20071004/CPACTUALITES/71004156/6730/CPACTUALITES
  24. Je sais pas, croyez-vous qu'il y a matière à porter plainte contre Patrick Lagacé, il y a des limites à dire n'importe quoi et de banaliser ainsi la cruauté envers les animaux et de nous traiter d'intégristes et de Talibans végétariens militants? Conseil de presse du Québec - Comité des plaintes et de l'éthique ... http://www.conseildepresse.qc.ca/ Les canards Patrick Lagacé La Presse Ainsi donc, le Réseau action globale a infiltré un autre élevage de canards engraissés pour en faire du foie gras. On a vu d'autres images de volatiles en détresse. Des images insoutenables, bien sûr. Sauf que Sauf que je m'en balance totalement. C'est un canard. Un simple, vulgaire et banal canard. Il existe pour me nourrir. Surtout le canard d'élevage, qui n'existerait pas autrement. Voilà. C'est dit. Suis-je un monstre, docteur? Quant au RAG, il faut le dire: il s'agit d'un groupe qui fait la promotion du végétarisme. C'est essentiel au contexte, non? Peut-on s'attendre à ce qu'un groupe d'intégristes infiltre un élevage de canards et n'y trouve rien? Bref, ces gens-là ne sont pas objectifs. Ils me font bien rire, en parlant de leur «enquêteur», qui fait des «enquêtes» L'été dernier, après l'«enquête» du RAG dans un autre élevage, la SQ en a fait une, enquête. Résultat: pas d'accusations. Zéro. Le but ultime du RAG, c'est de dégoûter le public de la viande. «That's it.» Le foie gras, c'est un prétexte. Et le canard, c'est une mascotte adorable. Je veux dire que pour faire pleurer les matantes, le canard d'élevage est plus efficace que le cochon de la porcherie, plein de merde, bien sûr L'autre jour, Andrew Plumbly, du RAG, un garçon sympathique qui ne ressemble pas du tout à un ayatollah de la viande, m'a dit que le combat contre le foie gras ne faisait que commencer. Le RAG songe à manifester devant le IGÀ du centre-ville, et devant le Toqué, probablement le meilleur resto en ville, parce qu'on y trouve du foie gras. «Normand Laprise (chef du Toqué) a déjà dit qu'il est fan du foie gras» Il a dit «fan» comme on dit «syphilis» Talibans, végétariens militants, même combat. Tous contre le plaisir. POUR ÉCRIRE à Patrick Lagacé plagace@lapresse.ca Faire une plainte à cyberpresse concernant l'article commentaires@cyberpresse.ca http://www.cyberpresse.ca/article/20071004/CPOPINIONS05/710040702/6741/CPOPINIONS
  25. Politiques à poils Alors que le Parti des animaux hollandais a vu son premier représentant pénétrer au Parlement en juin dernier, les politiciens du continent rechignent à faire de la cause animale leur leitmotiv. L'affiche du PvdD et sa leader Marianne Thieme (Guuskrahe/flickr) Les petites victoires forment parfois les grandes ambitions. A peine nommé sénateur du PvdD [le parti des animaux hollandais] au sein du Parlement hollandais, Niko Koffeman veut voir voir plus loin : « nous croyons qu’il y a une possibilité de former une coalition pan-européenne pour les animaux. Il y a une chance de réussir ensemble, en Europe ». A défaut d’être éclatants, les résultats obtenus par le Parti pour les Animaux (PvdD) semblent significatifs aux yeux de nombreux citoyens hollandais. « Une formation comme celle-ci ne pourrait certes pas diriger le pays », confie Evertjan, étudiant à Amsterdam, « mais il est nécessaire que le monde politique comprenne que le destin des animaux ne laisse pas les Hollandais indifférents ». Ailleurs, les autres pays européens sont-il prêts à suivre le lévrier batave ? Le moucheron contre le loup Les animaux ne sont pas totalement absents des formations nationales au sein des Vingt Sept. Le parti des Verts apparaît ainsi souvent comme le principal défenseur des espèces animales. Avec 42 sièges au Parlement européen, le groupe des Verts / Alliance libre européenne est le cinquième plus grand parti de l’hémicycle strasbourgeois, une position quasi-constante depuis 1989. Son action en faveur des bêtes s’inscrit dans un projet politique plus large. De la poudre aux yeux ? Curieusement, ce sont souvent les formations qui se réfèrent le plus explicitement aux animaux qui leurs sont le moins favorables : le parti français ‘Chasse, Pêche, Nature et Tradition’ (CPNT) s’oppose par exemple au gavage industriel des oies mais non à la dégustation de leur foie gras, refuse les abattoirs hors-sol mais encourage la ‘battue champêtre’ avec cor de chasse et fleur au fusil. Le principal problème que rencontre l’idée d’une mobilisation politique pour la cause animale vient de la nature mono-revendicative des partis. En clair, leur stratégie est limitée au monde animal. Pas de quoi susciter l’enthousiasme délirant des électeurs. Les pays qui, comme la France ou l’Italie, montrent une forte tendance à privilégier les sujets de politique générale et, de facto, les coalitions les plus puissantes. « Les gros partis s’emparent et monopolisent les questions de société », confie Michèle André, la vice-présidente du Sénat. Une vision confirmée par Niko Koffeman : « la plupart des pays européens se heurtent à la réticence des citoyens lorsqu’il s’agit de faire élire des députés issus de petites formations aux parlements nationaux ou européens » Rat des villes, rat des champs Ce n’est pas que les Européens se désintéressent de la cause animale, mais beaucoup tiennent à conserver la distinction entre les problèmes proprement politiques et les combats du monde associatif. Des associations qui, souvent, ne manquent pas d’efficacité : la ‘PETA’ [People for the Ethical Treatment of animals] est notamment la plus puissante association au monde pour le soutien des animaux. Nul doute que la présence d’ambassadrices de la plus ‘belle espèce’ y soit pour quelque chose : la chanteuse de Jefferson Airplane, Grace Slick, ou encore Zara Whites, actrice pornographique hollandaise qui, militant pour le végétalisme lors du dernier Salon de l’Agriculture de Paris, n’a pas hésité à s’emballer presque nue et couverte de faux sang dans une barquette géante de cellophane. Si la défense de la cause animale traduit un refus de la violence et de la souffrance infligées sur autrui - un refus qui incarne la profonde humanité du militant - son implication en politique reste difficile et idéologiquement discutable. Car elle pourrait mener à certaines aberrations. Comme le résume l’historien Jean-Pierre Arthur Bernard, ce principe d’égalitarisation à tous crins pourrait être étendu « aux végétaux et aux minéraux, au nom d’une planète totalement démocratique. » http://www.cafebabel.com/fr/article.asp?T=A&Id=2771
×
×
  • Créer...