Caro18
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Butterball workers were documented punching and stomping on live turkeys, slamming them against walls, and worse during an undercover investigation at a Butterball slaughterhouse in Ozark, Arkansas. One Butterball employee stomped on a bird's head until her skull exploded, another swung a turkey against a metal handrail so hard that her spine popped out, and another was seen inserting his finger into a turkey's cloaca (vagina). One worker told an investigator: "If you jump on their stomachs right, they'll pop ... or their insides will come out of their [rectums]," and other Butterball workers frequently bragged about kicking and tormenting birds. Read more in the investigators' log notes. PETA's investigators discovered these horrors between April and July, 2006, during an undercover investigation at a Butterball plant that slaughters approximately 50,000 birds each day. VIDEO http://www.petatv.com/tvpopup/Prefs.asp?video=butterball_investigation
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Estivales 2008, lettre d'information no 1 Bonjour à tous et à toutes, Les Estivales de la question animale sont des rencontres organisées chaque été, dans une ambiance à la fois studieuse et détendue, et ouvertes à toute personne intéressée par la question animale. La septième édition des Estivales aura lieu du samedi 16 août au samedi 23 août 2008. Les réunions se dérouleront à Parménie, en Isère, aux environs de Grenoble. Le lieu pourra servir également d'hébergement ; plusieurs formules seront disponibles : chambres collectives et individuelles avec matelas ou lit. Un camping est également à proximité. D'autre part, le site des Estivales a été remis à jour. Il redéfinit le projet Estivales, a une interface en anglais et une en italien et donne accès aux informations sur les éditions précédentes. Si vous voulez aider les Estivales, vous pouvez télécharger la bannière directement sur le site et la poser sur votre propre site web. Vous pouvez également faire un don. Un système de paiement en ligne sera bientôt mis en place. Le programme des interventions est en cours d'élaboration. Nous vous tiendrons informés dans quelques semaines. En espérant vous voir nombreux aux Estivales 2008, L'équipe d'organisation des Estivales. http://question-animale.org
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Bonjour, cette année vont avoir lieu le 8 décembre, dans différentes villes de France (Paris, Marseille, Besançon, Clermont-Ferrand...), mais aussi au Québec, des actions "sang des bêtes" ; ce sont des actions antispécistes contre la consommation de viande et de poisson. Si vous êtes intéressé-e à participer, ou bien à en organiser une dans votre ville, n'hésitez pas à vous inscrire sur la liste conçue à cet effet : il suffit alors d'envoyer un message vide à sangdesbetes-subscribe@yahoogroupes.fr Si vous souhaitez en savoir plus sur ce type d'actions, voyez ci-dessous... Yves ================== Des actions pour le refus de la consommation de viande et de poissons, et de sensibilisation à la notion de spécisme, se préparent simultanément dans plusieurs villes pour le samedi 8 décembre 2007. Cette action s'est déjà déroulée à de nombreuses reprises les cinq années précédentes. Un compte-rendu parmi d'autres est disponible sur : http://www.animauzine.net/article.php3?id_article=211. Vous obtiendrez un bon nombre des comptes rendus des dernières années avec : http://www.animauzine.net/recherche.php3?recherche=sang+des++betes Idées directrices des actions « sang des bêtes » Il s'agit de répandre simultanément dans de nombreuses villes l'équivalent d'un gros sac poubelle plein de faux sang dans des rues passantes et piétonnes juste avant les fêtes de fin d'année, en distribuant des tracts aux passant-e-s, en expliquant pourquoi : argumentaire explicitement antispéciste, pour le refus de la consommation de viande et de poissons. Il est bien entendu important d'être visible, exemple : porter des panneaux (photos, slogans), voire en portant des masques d'animaux, passer des sons de cris d'animaux, etc. avec de l'imagination, il est possible de faire plein de choses sympathiques ! A noter que pour cette action, il n‚est pas nécessaire d'être nombreux et nombreuses, 3 ou 4 personnes peut être suffisant. Après, c‚est sûr que plus il y a de monde et plus nous sommes visibles... Le but est de faire cette action dans des rues passantes et piétonnes juste avant les fêtes de fin d'année, et d'ainsi toucher le plus possible de passant-e-s auxquel-le-s des tracts seront distribués. Il est surtout important d'arriver à faire une action médiatique, et d'autant plus attractive pour les médias qu'elle aura lieu dans le maximum de villes. Les médias régionaux et nationaux seront, bien entendu, contactés. Un tract est disponible http://www.animauzine.net/IMG/rtf/tract_sdb.rtf que nous proposons aussi ci-dessous (ce n'est qu‚une proposition qui peut être modifiée comme vous le souhaitez tout en gardant à l‚esprit que c'est une action antispéciste). Une présentation de l'action + tract + communiqué de presse + vidéo sur http://www.animauzine.net/article.php3?id_article=156. La vidéo montre ce qui se passait lorsque l'action se déroulait devant des boucheries (c'est parfois drôle, d'ailleurs), mais l'action est bien plus détendue en zone piétonne, où aucune personne ne se sent agressée personnellement... Ces actions s'intitulent « sang des bêtes », et sont ouvertes à toutes les personnes végétariennes qui souhaitent s'en revendiquer, pourvu que le discours soit explicitement antispéciste, centré sur les animaux et opposé à la consommation de viandes et de poissons. Elles sont basées sur la non-violence : leur but n'est pas d'agresser les gens, mais de faire passer l'information et les idées. L'idée aussi est de cesser de se cacher, et de ne plus hésiter à occuper la rue, comme pour tout autre militantisme : les actions se font à visage découvert, ce sont des actions publiques, de jour, en pleine rue. Elles sont autant dirigées vers les médias que vers les passant-e-s. Si un journaliste vous contacte, le message à faire passer est tout simplement celui de l'antispécisme et de l'importance centrale du végétarisme du « point de vue » des animaux. Pas besoin de tenir un langage théorique du tonnerre avec plein de chiffres ou de citations : simple et compréhensible, c'est très bien. Pour fabriquer le faux sang, il faut un colorant alimentaire vegan (qui s'achète dans des boutiques asiatiques) qu'on mélange avec de l'eau tiède et éventuellement un peu de maïzena, jusqu'à obtenir la quantité suffisante de jolie teinte rouge vif ; quand il s'agit de poudre, il faut environ 25 g par litre d'eau ; il faut le mettre dans un gros sac poubelle doublé ou triplé, à percer avec un couteau ou à dénouer - mieux vaut éviter d‚utiliser un outil tranchant durant l'action. Si vous êtes intéressé-e-s par cette action, que vous souhaitez l'organiser dans votre ville ou rejoindre un groupe déjà constitué, contactez-nous ! Contact : ou Une liste de discussion est ouverte à toutes personnes souhaitant participer à cette action. Pour s'inscrire, il suffit d'envoyer un message vide à sangdesbetes-subscribe@yahoogroupes.fr ================== Communiqué de Presse Réseau d'actions « le sang des bêtes» E-mail : lesangdesbetes@free.fr Tél.: 04 75 21 44 91 COMMUNIQUÉ Samedi 8 décembre 2007 : actions contre la consommation de viande et de poisson, et pour l'égalité animale En France et au Québec, des actions auront lieu dans les rues piétonnes : du (faux) sang sera déversé et des tracts explicatifs distribués pour inciter chacun-e à changer ses idées et ses comportements. Ces actions symboliques et non violentes dénoncent l'exploitation animale en s'élevant principalement contre la consommation de viande et de poisson, responsable d'un nombre incalculable de victimes chaque année, qui ont généralement souffert dans des conditions inimaginables. Nous pouvons fort bien refuser de manger de la viande sans conséquences fâcheuses (si ce n'est au niveau social) ; en France, 2% de la population ne participent déjà plus au massacre ; en Allemagne, 7%, en Angleterre, 16%. Nous pouvons le faire, et nous devons le faire. Les êtres sensibles éprouvent de la douleur et du plaisir. Leur vie leur importe, elle se passe bien ou mal, elle est affectée par les événements. Par conséquent, rien n'autorise les humain-es à ne pas prendre en compte les intérêts des autres animaux au même titre que les leurs propres. Le fait qu'ils n'appartiennent pas à notre espèce n'est en rien une justification aux souffrances que nous leur infligeons. Cette discrimination arbitraire s'appelle « spécisme », et nous la refusons comme nous refusons les discriminations intra-humaines comme le racisme ou le sexisme. Nous sommes pour l'égalité, humaine, mais aussi au-delà, animale. L'égalité, cela signifie simplement prendre en compte de façon similaire les intérêts des uns et des autres, sans privilégier les uns au détriment des autres. Le courant anti-spéciste existe dans les pays francophones depuis plus de quinze ans. Ces actions ont lieu simultanément à Paris, Québec, Marseille, Besançon, Clermont-Ferrand. Le 8 novembre 2007 Voici le verso du tract qui sera distribué aux passant-e-s : ================== Texte du tract : Arrêtez de manger des animaux ! La viande ou " le " poisson n'est pas un produit banal : c'est la chair d'un être sensible, qui a éprouvé du plaisir et de la souffrance, et qu'on a fait tuer pour une raison dérisoire, entièrement évitable : simplement pour le manger. Pourquoi considérons-nous ainsi que la vie d'un animal, ce qu'il ressent, ses désirs et ses peurs, n'a pas d'importance ? Est-il si méprisable qu'on soit prêt à lui retirer l'unique bien qu'il possède, sa vie, pour le seul plaisir d'un repas ? Pourquoi si peu de considération ? On répond souvent : parce que les animaux sont bêtes, ils ne raisonnent pas, ils ne sont pas libres, ils sont " faits pour ça "… Est-ce que ce sont vraiment des raisons ? Doit-on traiter les gens différemment selon leur degré d'intelligence (ou de raison, ou de liberté, ou de faculté d'abstraction, etc.), selon qu'ils sont idiots, autistes ou demeurés, ou au contraire géniaux ? Pourquoi y aurait-il deux sortes de morales : une morale de l'égalité pour les humains, et une méritocratie pour les autres ? Nous devons prendre en compte les intérêts des animaux de façon égale aux nôtres ; accorder autant d'importance à leurs souffrances, à leurs plaisirs, à leur vie, qu'aux nôtres. Les arguments utilisés pour légitimer à nos propres yeux les malheurs qu'on leur fait subir ne tiennent pas la route. Les maltraiter est injuste, exactement pour les mêmes raisons qu'il est injuste de maltraiter des humains : parce que cela les fait souffrir et/ou les prive de leur vie. Il faut arrêter le carnage actuel : c'est d'autant plus urgent que le nombre de nos victimes est effroyable. Ce sont plus d'un milliard d'animaux vertébrés terrestres (veaux, poules, cochons, etc.) que les Français, à eux seuls, font massacrer chaque année pour les manger, ainsi que des dizaines de milliards de poissons, qui souffrent eux aussi intensément lors de la pêche ou dans les élevages. Si chaque animal pouvait crier avant sa " mise à mort ", le monde retentirait de toute part d'un vacarme épouvantable et incessant. C'est un vaste charnier qui s'expose sur les étals des boucheries et des poissonneries, et qu'on retrouve, de façon plus intime, au cœur des repas quotidiens, dans les estomacs de 98% de la population (les 2% restant ont déjà décidé de ne plus manger de viande ni de poisson, et ainsi ne participent plus au massacre). Ce mépris meurtrier n'est pas juste. Nous ne pouvons pas ainsi décider, si ce n'est par un acte de force pure, que ceux qui ne sont pas de notre espèce ne comptent pas. Il s'agit d'une discrimination aussi arbitraire que peut l'être, par exemple, le racisme. Cela s'appelle d'ailleurs du spécisme : la discrimination fondée sur l'espèce des individus, visant à nous donner le droit de les exploiter parce qu'ils ne font pas partie de l'espèce " supérieure ". Tout comme le racisme fonde sa discrimination sur l'appartenance de " race ", à l'encontre de ceux qui ne font pas partie de la race supérieure. Nous vous demandons de réfléchir à ce que vous faites ; aux conséquences de vos actes. Est-ce que la morale courante, spéciste, qui veut que les intérêts vitaux d'un animal ne sont rien auprès du plus dérisoire de nos propres intérêts, est justifiée ? Est-ce que " ça se défend " ? Et si non, pouvez-vous continuer ? Arrêtez le massacre !
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shaccanada@riseup.net Envoyé : 12 novembre 2007 15:29:01 À : shaccanada@riseup.net ChèrEs activistes, *english version follow 1-Retour sur la manif du 31 octobre 2-Nouvelles du procès du SHAC3 3-Prochaine manifestations 4-Prochaine soirée bénéfice 5-Besoin de bénévoles 6-Demande d’emploi (date limite le 25 novembre) 7-Dénoncez la cruauté appeler ce collaborateur de HLS 8-Soutien aux prisonniers --------------------------------------------------------------------------- 1- Manif du 31 octobre Après un calme plat depuis quelques mois, les profiteurs Montréalais de torture chez HLS croyaient pouvoir gagner leur argent sale en paix! Quelle innocence de leur part! Le soir même de l’Halloween, une vingtaine d’activistes se sont réunis pour un rallie non pas pour ramasser des bonbons mais pour aller informer les voisins de présidents de compagnies des liens que ceux-ci ont avec HLS. Le premier arrêt fut Ludwig Hantson, président Canadien de Novartis, un des plus gros clients de HLS. Ensuite ils se sont dirigés vers la demeure de Pierre Giorgio Fontana, directeur des relations gouvernementales chez Novartis. Peu de temps après leur arrivé, des policiers qui n’avaient pas trop l’esprit à rire, leur ont demandé de cesser leur activité sous menace d’arrestation. Les activistes de SHAC ont considéré que cette manif était complètement légale et que de leur demander de se taire contrevenait à la charte des droits et liberté Canadienne. De plus, les manifestants n’avaient même pas de mégaphone avec eux! Ceci étant dit, les policiers ont mis en détention (n’ayant aucune raison valable de mettre en état d’arrestation qui que ce soit) un mineur pour ne pas avoir coopéré avec les ordres des polices. Aucune arrestation n’a été faite et le manifestant a été libéré après une visite très brève au poste de police. Après cet événement, les autres manifestants se sont dispersés et le rallie a pris fin, épargnant pour le moment, les autres cibles prévues. Enfin, ce fut une manif très réussie, pleine d’action…éducative pour les voisins qui ne savaient pas encore qu’ils habitent près de résidences de gens qui ont les mains recouvertes de sang! Merci à tous les manifestants qui sont venus célébrer l’Halloween à la façon de SHAC et on vous donne rendez-vous l’année prochaine pour la troisièmes édition de la marche funèbre de SHAC! --------------------------------------------------------------------------- 2- Nouvelles du procès de SHAC3 Grâce à leurs avocats fiables, le procès des trois activistes a été refixé pour la première date disponible pour leur procès qui durera au moins 5 jours, soit le…15 septembre 2008!!! À part pour le fait qu’ils doivent encore respecter leurs conditions jusqu’à cette date (quadrilatère interdit au centre-ville, entre autre), ils auront plus de temps pour faire des activités bénéfices pour payer leurs frais légaux. Merci à tous les supporteurs qui sont venus assister à la soirée cinéma pour leurs soutiens. Pour ceux qui n’ont pas pu venir, il y aura plusieurs autres occasions de venir supporter SHAC3 au court des mois qui suivent (voir point 4) Qu’est ce que le SHAC 3 ? Le 31 octobre 2006 à Montréal, la police locale ainsi que des officiers de RCMP ont arrêtés 2 hommes à leur domicile et une femme à la clinique vétérinaire ou elle travaillait. Les 3 activistes sont accusés d’être les organisateurs de SHAC à Montréal. L’opération de surveillance et d’infiltration a durée plusieurs semaines. Leurs téléphones, maisons et voitures ont été mis sous écoute, des policiers undercover les ont suivie en voiture, observés leurs allés et venues à leur domicile et infiltrés par des faux activistes lors de tables d’information et de manifestationS. La même journée de leur arrestation, leurs maisons et voitures ont été fouillées et tous leurs effets personnels et le matériel relié de près ou de loin aux droits des animaux saisie. Les trois ont reçu entre 2 et 8 charges reliées à des manifestations légales tel méfait, troubler la paix et porter un bandeau dans l’intention de commettre un crime. Ils font présentement face à des peines d’emprisonnement pouvant aller jusqu‘à 6 ans! Le cas de SHAC3 est purement une atteinte à la liberté d’expression et c’est pour cette raison que TOUS les citoyens montréalais devraient se sentir persécuter par cet événement. Leur procès aura lieu du 15 au 19 septembre et tout le monde est appelé à venir assister aux audiences. Plus d’information sera diffusée peu avant le procès. --------------------------------------------------------------------------- 3- Prochaine manifestations MANIFESTATION AU BUREAU DE CLIENTS DE HLS Vous vous ennuyiez des manifs de bureaux ?! Eh bien voilà ! Lundi le 26 novembre à 15h nous irons manifester devant les bureaux d’une compagnie qui fait directement affaire avec Huntingdon Life Sciences. Rendez-vous au métro Square-Victoria, sortie St-Jacques, sur la rue St-Jacques à 15h. MANIF AUX DOMICILES DE PRÉSIDENTS Vous préférez aller directement dire ce que vous pensez des liens que les présidents de compagnies ont avec HLS à leur domicile privé ? Eh bien rendez-vous dimanche le 9 décembre à 18h au métro Berri sortie Ste-Catherine, sur la rue Ste-Catherine. Comme d’habitude portez des vêtements noir de préférence, couvrez votre visage avec un bandeau et votre tête avec une tuque ou un capuchon. --------------------------------------------------------------------------- 4- Prochaine soirée bénéfice pour le SHAC 3. Cinéma + party en soiree avec musique punk, tirages et bières VRAIMENT pas chère toute la soirée!!! Venez passer une soirée avec vos activistes préférés pour visionner quelques films/documentaire sur l’animal Liberation Front (ALF). Nous visionnerons des films de courte durée sur ce mouvement accusé de terroristes par les autorités et de sauveurs de vies par des gens remplis de compassion. FILMS PRÉSENTÉS : 1- Winner takes all (Le nouveaux film de SHAC) 2- All my heroes still wear mask 3- Dutch ALF movie 4- UK hunt saboteur 5- ALF raid at University of Iowa, USA Quand : 30 décembre 2007, Déroulement de la soirée: 7pm:films / 10pm-3am:party Lieu : 2ième étage du Café Chaos, 2031 St-Denis Coût : donner selon vos moyens Tous les profits serviront aux fond légaux du SHAC3 *Veuillez noter que tous les films sont en anglais seulement. Par contre, ces films sont surtout basés sur les images, donc les dialogues sont secondaires. Désolé pour les inconvénients. --------------------------------------------------------------------------- 5-Besoin de bénévoles SHAC Canada organise des kiosques d’information au centre-ville et dans le métro de Montréal dans le but de récolter des signatures pour une pétition visant à faire fermer HLS. Toutes personnes, habituée ou non peut venir aider aux kiosques d’information. C’est une façon très efficace de rencontrer des personnes sympathisantes à la cause ou d’éduquer des gens sur différents sujets des droits des animaux. Horaire hebdomadaire : Il y a des kiosques d’informations à chaque jour entre 9am et 9pm. Veuillez nous contacter pour vos disponibilités et la location des kiosques: 778-554-7422 / shaccanada@riseup.net De plus… Breuvages et billets d’autobus GRATUITS vous seront offerts pour une demi-journée de bénévolat (4h). Breuvages, billets d’autobus et un lunch végétalien au Commensal GRATUITS vous seront offerts pour une journée complète de bénévolat (8h). --------------------------------------------------------------------------- 6- Offre d’emploi chez SHAC-date limite d’application le 25 novembre 2007 TITRE DE LEMPLOI : Agent de sensibilisation du public Description de l’emploi : Informer le public sur différents sujets des droits des animaux et faire signer des pétitions. Emploi à temps plein (peut-être possibilité de temps partiel), 40h/semaine, salaire : à discuter Nous recherchons : Personne végétalienne (ou au moins végétarienne), souriante, sociable, positive, passionnée pour la cause des droits des animaux, parle français (anglais un atout) et aime travailler en équipe. Envoyez votre C.V. par courriel, accompagné d’une lettre de présentation AVANT le 25 NOVEMBRE à : shaccanada@riseup.net --------------------------------------------------------------------------- 7- Dénoncez la cruauté - appelez UPS! UPS est au courant de ce qui se passe derrière les murs de HLS mais décide quand même de participer à la torture et au meurtre de 500 animaux par jour dans ce labo. En effet, HLS utilise UPS comme compagnie de livraison. Boycottez cette compagnie et appelez-les pour leur dire votre dégoût et les inciter à montrer de la compassion en arrêtant de faire affaire avec HLS. The UPS store tel: (514) 842-3337 (1-800-742-5877) fax: (514) 842-1953 email: store358@theupsstore.ca --------------------------------------------------------------------------- 8- Support aux prisonniers de SHAC internationaux La campagne de Stop Huntingdon Animal Cruelty est une campagne présente dans plus de 18 pays et comme vous le savez, cette campagne en est une d’action plutôt que de bureau. À cause d’actions légales efficaces mais dérangeantes pour les personnes visées, les autorités ne savent pas quoi faire pour arrêter les activistes et de ce fait, déploie des quantités immenses de ressources pour trouver une façon de les faire taire. Pour cette raison, plusieurs activistes de SHAC sont injustement emprisonnés sous des accusations bidon. Ces prisonniers ont besoin de votre support et apprécient grandement des mots d’encouragement ou des histoires de supporteurs d’outre mer. Une lettre, une simple carte postale ou bien un livre rendent leur séjour plus agréable. Voici nos prisonniers du mois: Mark Taylor #TT6636 HMP/YOI Onley Willoughby Rugby Warwickshire CV23 8AP UNITED KINGDOM Suzanne Taylor #TM7154 HMP Drake Hall Eccleshall Staffordshire ST21 6LQ UNITED KINGDOM Pour plus d'information sur leur cas, visitez directaction.info (ils parlent et écrivent seulement en anglais...pour écrire à une prisonnière qui lit et écrit en français, envoyez une lettre à: Natasha Avery #NR8987 HMP Bronzefield Woodthorpe Road Ashford Middlesex TW15 3JZ UNITED KINGDOM *Veuillez noter que toutes les lettres envoyées à des prisonniers sont préalablement lues par des agents et donc ne rien écrire d’incriminant à l’intérieur. Il est plus simple d’écrire en anglais car très peu de prisonniers maîtrisent le français. De plus, si vous voulez une réponse, n’oubliez pas d’inscrire votre adresse de retour et d’inclure une enveloppe préaffranchie; cela évite que le prisonnier n’ait à débourser son très peu d’argent en timbre. Si au contraire vous voulez rester dans l’anonymat le plus total, prenez soin de ne pas laisser vos empruntes digitales sur le papier, l’enveloppe et le timbre. *NOTICE LEGALE La nature de cette newsletter est pour informer et éduquer. Notre intention n’est pas d’inciter d’aucune façon des actions ou activités illégales peu importe leur nature et ce, même si ces actions nous font toujours sourire. Si vous avez des questions sur la légalité ou la sévérité de certaines actions, nous vous encourageons à consulter un avocat avant de faire quoi que ce soit. Merci de votre support! --------------------------------------------------------------------------- ---------------------------------------------------------------------------
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Jacques Lanctôt La faim Canoë 09/11/2007 04h00 Le 16 octobre dernier, on célébrait la Journée mondiale de l’alimentation. On a certes abordé cette question sous différents angles. On a évoqué le problème des mannequins anorexiques, qu’il faudrait absolument bannir des défilés de mode, de la mal bouffe dans les écoles et des mesures à prendre pour faire en sorte que les établissements scolaires ne soient plus un endroit où s’initier à manger mal. On a aussi annoncé que dans quelques mois, tous les produits alimentaires vendus dans les endroits publics devront afficher un tableau de leur valeur nutritive. On ne peut être contre la vertu et toutes ces mesures sont, en général, très bien accueillies. Laissez-moi maintenant vous raconter une histoire, je l’ai trouvée sur le site web de la BBC et elle concerne une girafe. Ce n’est pas une histoire de girafe qui a faim, mais d’une girafe qui a soif. Ladite girafe vivait heureuse dans une réserve naturelle du Zimbabwe, en Afrique, jusqu’à ce que l’extrême sécheresse qui sévit actuellement dans cette région la force à sortir de sa réserve à la recherche d’eau afin d’étancher sa soif. Mais la population des alentours avait, elle, énormément faim et la sécheresse, bien évidemment, l’affectait tout autant. En effet, les habitants de la banlieue de Harare, la capitale du Zimbabwe, étaient rendus au bout du rouleau et ils n’avaient sûrement pas le cœur à tirer à la courte paille «pour savoir qui qui qui serait mangé, ohé ohé». Ils ont aperçu cette girafe toute pimpante et un peu hautaine qui courait dans les champs asséchés et ils se sont mis à la pourchasser pour l’attraper, jusqu’à ce que la police, alertée par quelqu’un qui ne voyait pas ce festin appréhendé d’un bon œil, intervienne pour protéger l’animal en cavale. Celle-ci l’a remise ensuite aux agents protecteurs de la faune, qui l’ont emmenée dans un endroit plus sécuritaire. Et les gens sont restés sur leur faim, malheureusement. Que penser de cette histoire? Est-ce une bonne chose qu’on ait sauvé la vie de cette girafe? Les âmes sensibles répondront sûrement oui. Mais a-t-on pensé que cette girafe aurait pu nourrir la population affamée de ce village? Comme on dit souvent, la girafe aurait permis d’en boucher un coin, en attendant des jours meilleurs. Cette histoire ressemble fort à ce qui se passe avec la chasse aux phoques aux Îles de la Madeleine. De nombreux militants pour la libération animale crient chaque année au massacre alors que cette récolte est tout à fait contrôlée et bien encadrée, et elle permet aux Madelinots de s’en sortir un peu mieux. J’ai un ami, grand voyageur, qui un jour avait décidé de s’installer à la campagne. Il croyait énormément aux vertus de l’autosuffisance, à tel point qu’il avait construit lui-même sa maison, au sommet d’une petite montagne, dans la belle région de Gatineau. Il voulait également vivre en harmonie avec tout ce qui l’entourait dans la nature, et il s’était promis de goûter à tous les animaux sauvages, à quatre pattes et à deux pattes, qu’il réussirait à capturer, non pas par pur plaisir ou par méchanceté, mais bien pour s’alimenter et apprendre à vivre en autarcie et en harmonie avec son milieu. C’est ainsi qu’il a goûté à tous ces petits animaux qui vivent près des fermes, de l’écureuil au renard, en passant par plusieurs variétés d’oiseaux. Il n’a jamais manqué de nourriture, croyez-moi. J’imagine que nos ancêtres amérindiens vivaient ainsi, sans se plaindre, avant l’arrivée des colons blancs. Uniquement à Montréal, il existe 500 organismes qui œuvrent dans le domaine de l’aide alimentaire. Ils distribuent des «paniers de Noël» chaque semaine à des centaines de familles dans le besoin. Triste constat pour une société pourtant riche. Moi, je n’aime pas la viande de cheval, d’autruche, d’ours, ni celle de tortue et de crocodile (que j’ai déjà mangées à Cuba), ni celle de requin, ni celle de loup-marin que j’ai déjà goûtée aux Îles de la Madeleine. Je n’ai jamais croqué d’insectes à l’insectarium de Montréal, mais peut-être en ai-je déjà avalé en marchant, courant, pédalant. Mais de la girafe?... Bref, si jamais vous voyez une girafe un peu hautaine gambadant dans votre cour, avisez-moi, j’ai un ami boucher qui se fera un plaisir de la capturer et de la dépecer et on ira faire la distribution ensemble à toutes ces familles qui n’ont pas eu la possibilité de manger de la dinde à la fête des récoltes ou à l’Action de grâces. La Journée mondiale de l’alimentation, c’est aussi un temps pour réfléchir, à nos méthodes de culture, à notre autonomie alimentaire, au gaspillage immense. Vous imaginez tout ce qu’on aurait pu faire, dans le seul domaine de l’alimentation (mais aussi de la santé et de l’éducation, rêvons un peu) avec les 615 milliards de dollars qu’a coûtés à ce jour la guerre en Irak? http://www2.canoe.com/infos/chroniques/jacqueslanctot/archives/2007/11/20071108-091646.html
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Le samedi 10 novembre 2007 Les homards sentiraient la douleur La Presse Pince alors! Les homards ressentent la douleur, après tout! Une nouvelle étude menée par des chercheurs irlandais vient de contredire les recherches précédentes, qui concluaient que ces crustacés n'ont pas un cerveau assez développé pour souffrir lorsqu'on les plonge dans l'eau bouillante. Expert en comportement animal à l'Université Queen's, à Belfast, Robert Elwood a enduit d'acide acétique de vinaigre les antennes de 144 homards. Les bêtes ont aussitôt réagi en frottant les membres touchés, ne portant aucune attention à ceux qui étaient restés au sec. Le professeur estime que ce comportement est «conforme à une expérience de douleur». Il conclut que le homard, le crabe et tous les crustacés sont donc sensibles. La recherche contredit celle qu'a menée une équipe de chercheurs norvégiens, il y a deux ans. Leur conclusion était simple: pas de cerveau, pas de douleur. Puisque le cerveau d'un homard est à peu près de la même taille de celui d'une sauterelle, les chercheurs estimaient que l'animal n'a tout simplement pas la capacité cérébrale de souffrir, et ce, même s'il a le réflexe de se débattre lorsqu'il est plongé dans l'eau bouillante. Pas concluant Cette nouvelle étude est donc accueillie avec scepticisme. Joint au Maine, où la pêche au homard est une industrie florissante, le professeur Michael Loughlin juge ces conclusions «intéressantes», mais peu concluantes. «Comparons la situation à celle d'un être humain, explique-t-il. Si l'on vous verse une tasse de vinaigre sur la main, vous voudrez probablement l'essuyer. Vous penserez que ça sent mauvais, vous sentirez peut-être de l'irritation, mais on ne peut pas dire que vous ressentirez de la douleur.» L'étude pourrait toutefois donner de nouvelles armes aux défenseurs des droits des animaux, qui militent depuis des années contre la consommation des crustacés. Aux États-Unis, People for the Ethical Treatment of Animals (PETA) fait d'ailleurs campagne depuis des années. C'est ce qui soulève l'inquiétude des pêcheurs, qui craignent de faire l'objet de la même publicité négative que les chasseurs de phoques. «Il y a beaucoup de désinformation qui a circulé, notamment à propos de la chasse aux phoques, indique Léonard Poirier, directeur de l'Association des pêcheurs des Îles-de-la-Madeleine. On n'est pas indifférents à ce mouvement.» L'industrie se conforme à des règles strictes afin de préserver et d'augmenter les populations de crustacés dans le golfe du Saint-Laurent, fait valoir M. Poirier. De toute façon, même s'il est préoccupé par les campagnes anti-homard, il a pour le moment bien d'autres chats à fouetter. Avec l'augmentation vertigineuse du dollar canadien, les pêcheurs craignent de ne plus pouvoir exporter leurs produits. http://www.cyberpresse.ca/article/20071110/CPSCIENCES/711100542/5144/CPSCIENCES
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Boycott du nouvel album de Céline Dion Par Rédaction, mardi 13 novembre 2007 à 15:36 :: People :: #2678 :: rss A cause d'un clip qui fait polémique, son nouvel album est appelé au boycott ! Sorti dans les bacs depuis seulement quelques jours, le dernier album de Céline Dion, "Taking Chances", fait l'objet d'un débat public. Selon Le Parisien, le toreador Matias Teleja apparaît dans un clip de la chanteuse, habillé en matador et mimant des mouvements de tauromachie. Une vidéo inacceptable pour les membres de l'Alliance Anticorrida de Nîmes qui appelé au boycott de l'album de la canadienne. Le résultat ne s'est pas fait attendre : une forte mobilisation s'est mise en place sur Internet et en seulement deux jours, l'Alliance a reçu plus de 1 000 e-mails ! Quant à Céline Dion, elle est désormais surnommée la "voix de la barbarie" ! 12345Note : 5.0/5 pour 1 vote http://blog.choc.fr/index.php/2007/11/13/2678-boycott-du-nouvel-album-de-celine-dion
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CELINE DION NOUS A ENTENDUS RAPPEL DES FAITS À la recherche d'un torero pour sa tournée mondiale 2008- 2009, Céline Dion a réalisé un casting et retenu Matias Tejela, 25 ans, pour son "esthétique" et son "physique". Le matador mimera la corrida, torse nu et cape à la main, sur un écran géant pendant l'une des compositions de la chanteuse sur un vidéo clip qui devarit voir le jour en 2008. Pendant leur entrevue, la méga star aurait confié au Madrilène qu'elle projetait même de financer une réplique des arènes de Mexico à Las Vegas. Au cours de la conversation téléphonique de ce jour, l'un des directeurs de Sony Music France a donné l'assurance à Claire Starozinski que les choses allait évoluer et que "de toute façon, le clip ne sera pas diffusé en l'état" en ajoutant que : "même s'il ne s'agit que de la chorégraphie d'un torero sur un plan d'eau, nous avons entendu vos nombreuses protestations et les images vont être retravaillées en ajoutant, pourquoi pas, d'autres éléments et personnages à l'intérieur du vidéo-clip". Des images que Sony France a demandé à visionner face au tollé provoqué par la campagne de l'Alliance anticorrida lancée le mercredi 7 septembre auprès de 17 000 internautes. Dans les jours qui viennent, pour évoquer et traiter la quetion, se tiendra une visio-conférence entre Sony Music France et les dirigeants Canadiens, seuls décisionnaires et notamment René Angeli, impresario et époux de Céline Dion.... Alliance Anticorrida http://www.anticorrida.org
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La SPA attaque Céline Dion La SPA n’aime pas le nouvel album de Céline Dion ! L’enjeu de la discorde concerne un vidéoclip, extrait de l’album de la chanteuse, « Taking Chances » où l’on voit un célèbre toréador en action. Céline Dion devra t-elle changer son vidéoclip ? La SPA va-t-elle avoir la peau de Céline Dion ? La société protectrice des animaux et des groupes anti-corridas appellent au boycott du nouvel album de Céline Dion (sorti la semaine dernière). La raison : il semblerait qu’un célèbre toréador espagnol aurait tourné dans l’un des vidéoclips du nouvel album. Ce sont ses propres fans qui ont trahi la chanteuse puisqu’ils ont alerté des associations anti-corridas basées dans le sud de la France « se disant surpris et déçus que leur idole, dont on connaît la sensibilité, puisse ainsi mettre en scène la souffrance animale. » Sans vouloir prendre position, rappelons que la corrida est très populaire dans certains hispaniques comme l’Espagne ou le Mexique. La SPA demande à Céline Dion de « rejoindre le combat des anti corridas. » A défaut de voir le vidéoclip accusateur, voici le premier extrait du nouvel album de Céline Dion. On y voit la chanteuse arriver en hélicoptère, monter dans un gros 4X4, puis foncer dans Las Vegas avec une grosse moto. Après les défenseurs des animaux, Céline Dion aura-t-elle les défenseurs de l’environnement sur le dos ? Voir la vidéo où l'on voit Céline Dion débarquer d'un hélicoptère avec un manteau de fourrure http://www.surftheinfo.com/spip.php?page=article&article=298&lang=fr VOS RÉACTIONS http://www.surftheinfo.com/spip.php?page=article&article=298&lang=fr
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Hubert Reeves et son équipe Coordination : Nelly (Ligue Roc) Le statut de l'animal 11/11/2007 09h43 Le statut juridique de l'animal varie selon les pays et les époques. Il varie selon que l'animal est sauvage ou domestique. Au Québec, pour être reconnu coupable de cruauté envers un animal, il faut avoir eu l'intention d'être cruel. Cependant, la Loi sur la protection sanitaire des animaux a le mérite de prévenir la maltraitance au moyen d'inspections et du retrait des animaux maltraités. Une juriste, Martine Lachance, professeure au département des sciences juridiques de l'UQAM, présentera ses travaux lors d'un colloque international sur le droit animal au printemps 2008. Il s'agira du premier colloque consacré à la question au Canada. Parlera-t-on de l'animal sauvage? En Autriche (1986), en Allemagne (1990) et en Suisse (2004), dans le code civil, les animaux ne sont plus des choses et sont protégés par des lois spécifiques. En Pologne, la loi sur la protection animale précise que l'animal est une «créature vivante, capable de souffrance. Ce n'est pas une chose». Dans aucun de ces pays la faune sauvage n'est concernée. En Espagne, dans la région catalane, par exemple, les animaux vivant sous la domination de l'homme bénéficient d'une loi précisant que les animaux sont des «êtres vivants dotés de sensibilité physique et psychique». Assurer le bien-être de l'animal domestique est un souci partagé. En France, la loi du 10 juillet 1976 généralise le statut de l'animal. C'est un tournant décisif puisque l'animal n'est plus considéré comme une chose mais comme un être sensible. C'est une avancée indéniable parce qu'il n'y a plus de distinction entre le domestique et le sauvage: «Art. 9. - Tout animal étant un être sensible...». Mais la distinction resurgit dans la fin de la phrase: «Tout animal étant un être sensible doit être placé par son propriétaire dans des conditions compatibles avec les impératifs biologiques de son espèce.» Conséquence: «Il est interdit d'exercer des mauvais traitements envers les animaux domestiques ainsi qu'envers les animaux sauvages apprivoisés ou tenus en captivité. » Être sensible L'animal sauvage n'ayant pas de propriétaire ne jouit pas du bénéfice de la reconnaissance d'«être sensible». La loi se préoccupe donc du bien-être des seuls animaux qui vivent sous la dépendance de l'homme. L'appréciation de leur bien-être dépend de leurs conditions de détention pour les animaux sauvages captifs, des conditions de leur élevage pour les animaux destinés à l'alimentation, des conditions de leur travail (chevaux de trait ou de course), et plus généralement du respect des besoins de tous ceux qui vivent sous la dépendance des humains... Bien sûr, subvenir aux besoins alimentaires des animaux dont on a la charge est la première des obligations, et les soins en cas de blessure ou de maladie en est une autre. La difficulté vient du fait qu'il faut évaluer objectivement le bienêtre dont l'espèce, voire l'individu, a besoin. Ainsi l'habitat doit permettre l'expression des comportements. Le bien-être s'apprécie au travers d'un ensemble de critères. Le Farm Animal Welfare Council en a déterminé cinq: l'absence de faim, de soif ; la présence d'abris appropriés; l'absence de maladie et de blessure; l'absence de peur et d'anxiété; la libre expression des comportements normaux de l'espèce. Question: L'animal sauvage vivant libre, mammifère ou oiseau, serait-il moins susceptible de souffrir qu'un animal domestique? http://www.canoe.com/techno/chroniques/hubertreeves/archives/2007/11/20071111-094303.html
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Notre distribution à Ottawa contre la fourrure
Caro18 a répondu à un(e) sujet de linda lachapelle dans Annonces
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Régime déchétarien. Des altermondialistes new-yorkais font la chasse au gâchis jusqu’à fouiller les poubelles, au côté des SDF, en quête de nourriture récupérable. Libération a suivi ces «freegans» dans une de leurs virées nocturnes. on arrivée est spectaculaire : à fond sur ses rollers, clé USB autour du cou, Adam Weissman, un barbu de 29 ans, se rétablit à grand-peine après un freinage qui manque déquiller la dizaine de militants rassemblés en cette fraîche nuit new-yorkaise. Plutôt Pierre Richard que Che Guevara malgré la vague ressemblance, le porte-parole des freegans ne se démonte pas. Dégaine des mots savants. Cite Henry David Thoreau ou Abbie Hoffman, l’auteur du pamphlet anar Steal This Book . Il est 22 h 50, et il va expliquer ce que font là, sur ce trottoir de la 8e avenue, cette poignée d’adeptes du freeganism . Une nouvelle forme d’activisme qui tire son nom d’une contraction des mots free («gratuit») et veganism , les vegans étant ces végétaliens opposés à toute forme d’exploitation animale. «Le mot décrit cette idée d’utiliser un produit qui n’est pas nécessairement végétalien , explique Adam, mais qui, étant récupéré dans les poubelles, n’entraîne pas une exploitation supplémentaire» . La philosophie des freegans : non-consommer, afin de «court-circuiter le capitalisme, système basé sur le profit, l’exploitation et l’injustice». Parti de New York en 2002, le mouvement, qui compte aujourd’hui quelques centaines de membres, dispose de toute une panoplie d’armes environnementalement correctes aux noms guerriers. Il y a par exemple le guerrilla gardening (occupation sauvage de friches pour y cultiver des légumes) ou le regifting , dont le principe est aussi éprouvé que les noëls chez quelque vieille tante aux goûts atroces : offrir à quelqu’un d’autre un cadeau dont on ne fera rien. Consacrer ses journées à non-consommer Mais l’activité qui a fait connaître les freegans, c’est ce qu’ils appellent l’urban foraging ou encore le dumpster diving («plongée en containers»). En fait, de la fouille nocturne de poubelles à la recherche de nourriture parfaitement consommable. Mais pas n’importe comment. Démonstration in situ, sur la 8e avenue donc. Devant un monceau de sacs poubelle noirs aux portes d’un supermarché fermé, Janet, briscarde d’âge mûr à la chevelure grisonnante, détaille les grandes lignes de la mission du jour : fouiller cinq lieux du quartier. Les nouveaux venus écoutent doctement. «La pile derrière moi, ce sont les invendus, les produits dont la date de péremption était fixée à aujourd’hui. Il est très important de bien refermer les sacs que nous ouvrons et de laisser l’endroit aussi propre, voire plus, que quand nous sommes arrivés. Ainsi les gérants du magasin n’ont pas d’amende et continuent à nous laisser faire.» Rompez. D’emblée éclate la différence de style entre pros et néophytes. Une plongeuse au sweat-shirt à capuche floqué «Evergreen», tête à demi rasée, et sa copine Anita, la vingtaine alterno-aguerrie, trient franchement, et avec méthode. De leur côté, Sean et Cathy n’y vont que du bout des doigts. Le premier, étudiant en relations internationales venu de Long Island, est tombé par hasard sur les freegans , en faisant «des recherches sur l’anarchie sur Wikipedia». La seconde est rédactrice du blog Not eating out in NY, dont le mot d’ordre est d’arrêter de manger mal et cher dans les restaurants ou les take-away. Soudain Sean déniche un trésor : “une baguette farine complète emballée”. Il la soupèse, relit l’étiquette, n’en revient toujours pas. Voilà Cathy encouragée à fourrager plus hardiment. Elle l’avouera à la fin de la soirée : «Je pensais que ce serait beaucoup plus sale, et aussi que les gens prêteraient beaucoup plus d’attention à notre activité.» Peu des freegans rencontrés ont la dégaine du homeless moyen, même si, modère Adam, «certains le font par militantisme, d’autres pour des raisons économiques». Sur les trottoirs new-yorkais, «les réactions sont généralement neutres» , commente Madeline Nelson, 51 ans, munie d’un sac à dos et d’un chariot. Lunettes et petit air professoral, elle raconte qu’elle a plaqué son job dans la communication pour consacrer ses journées à non-consommer. «Pourtant nous sommes très visibles, souligne-t-elle. Les magasins ici n’ont généralement pas leur propre container. Ils déposent leurs invendus le soir dans des sacs devant leur vitrine. Les éboueurs nous encouragent ! Une seule fois, je me suis fait héler alors que je récupérais des pains magnifiques dans le bac à ordures d’une épicerie fine. Le manager est sorti me demander ce que je faisais. Quand j’ai répondu que je prenais ce qu’ils avaient jeté, il m’a répliqué sèchement qu’ils donnaient leurs invendus à des œuvres et… il a rembarqué tous les pains dans son magasin ! Mais c’est un cas marginal». La preuve à l’étape suivante, devant chez Daniel’s Bagels. Onze sacs, pas moins, remplis de délicieux pains ronds par un commerçant plus ou moins complice. Madeline, maligne, s’en doutait, c’est pour cela qu’elle n’en a pas pris au premier supermarché. Freegan mais épicurienne, elle connaît tous les bons plans et pourrait rédiger le Gault et Millau des poubelles new-yorkaises. «Vous voulez de la junk food ?», lance-t-elle à la cantonade. La foule : “Ouaaaais !” Madeline : «Bon, on essaiera d’aller au Dunkin’ Donuts, même si leurs bagels sont moins bons qu’ici» . Mais avant, gros morceau, le supermarché Gristedes. Première exhumation prometteuse : un cageot d’oranges parfaites. «C’est juste qu’elles n’étaient pas aussi belles qu’au magasin d’à côté; les patrons préfèrent jeter que perdre des clients» , soupire Madeline. Pourquoi les magasins ne donnent-ils pas cette nourriture aux associations charitables ? Re-soupir. «Cela demande un effort : il faut stocker ces marchandises, ça empiète sur l’espace commercial. Et puis le transport est à la charge des bonnes œuvres, qui ne sont pas toujours équipées. Alors on jette…» Sur leur site www.freegan.info, ces ennemis de la société d’opulence ont répertorié, dans une douzaine de villes américaines, les meilleures adresses de dumpster diving , dans quelles poubelles trouver des plats cuisinés chinois, du chocolat, des journaux, et même, parfois, du foie gras. Face aux débutants, Janet la joue pédago. Elle brandit chaque trouvaille, et s’exclame d’une voix forte comme un camelot : “Non mais regardez-moi ces muffins ! Ils sont encore bons pendant un an et une semaine ! Je les sens à travers l’emballage, ils sont moëlleux, ils sont riches, ce sont des Uncle Wally et en plus ils sont cascher, pour 3,30 dollars les trois !» Au fil de sa pêche, elle tisse un terrifiant tableau de la planète : cueilleurs de bananes exploités au Costa Rica, océans de plastoc qui étouffent les baleines, vaches droguées au cocktail antibiotiques/hormones… Clochards, grippe-sous ou altermondialistes Par la tirade attiré, un passant en costume jette un œil faussement absent sur le butin que les freegans amoncellent dans des cageots, “pour montrer le gaspillage” . Il tourne autour. Et finit par embarquer dans son attaché-case un pot de crème et une baguette, brouillant la frontière ténue qui peut exister entre acte militant de sauvetage de la planète et radinisme ordinaire… Pas grave, chariots et sacs se remplissent. Demain, grand repas communautaire aux confins du Bronx, chez la jeune «Evergreen». Au fil des enseignes, les compagnons de route habituels apparaissent. Jim, chauffeur de tax i : “Vous avez l’air d’avoir trouvé des bons trucs ce soir, on dirait… Moi ? Je le fais depuis deux ans, pour m’amuser”. Bilan de sa soirée : “Une conserve de thon enfoncée à au moins un dollar et une boîte de café au couvercle fendu” . Vient ensuite un clochard qui a dégoté un pot de confiture à 4,95 dollars, puis Charlie, qui se risque sur une boîte d’œufs, ou encore Michel, 39 ans, graphiste classe tout de noir vêtu dont c’est la troisième sortie… SDF, grippe-sous ou altermondialistes, il n’y a pas de concurrence entre eux. Il y en a, hélas, pour tout le monde : une étude de l’anthropologiste Timothy Jones (université d’Arizona) réalisée sur les huit dernières années pour le compte du département de l’Agriculture américain, montre par exemple que 40 à 50 % du produit des récoltes ne finit… jamais mangé. De son côté, le New York Times dévoilait en juin que les Américains, particuliers, entreprises et institutions confondus, ont jeté 245 millions de tonnes de déchets en 2005, soit 2 kg par jour par habitant. Dans la Grosse Pomme, ce chiffre atteint 2,7 kg… Dans la lignée du mouvement des années 80 Food Not Bombs (qui n’intervient que sur les pays en guerre) ou des anarcho-théâtreux Diggers des années 60, les freegans ont décidé de “secourir” cette nourriture gâchée. Mais pour Adam Weissman, «le freeganism n’est pas qu’une critique de la surconsommation» . «Descendant de victimes de l’Holocauste, j’ai réalisé très jeune qu’il n’était pas le seul fait des nazis. Le peuple qui a laissé faire porte sa part de responsabilité. Depuis, je refuse de soutenir tout système basé sur l’exploitation des hommes ou de la vie en général». Le capitalisme, une «machine de violence, de mort et d’exploitation» Sombrant dans une grandiloquence un peu poignante, il voit le freeganism jeter à terre le capitalisme en «montrant aux masses qu’elles peuvent reconnecter avec un sens communautaire, en faisant par exemple appel au freecyclage [troc, ndlr] plutôt qu’à l’échange monétaire». Devenu végétarien à 9 ans, végétalien à 12, Adam n’a pas d’emploi, considérant le travail à la fois comme une aliénation et une collaboration à «la machine de violence, de mort et d’exploitation», qu’est le système capitaliste. Depuis que les freegans sont apparus à New York vers 2002, le mouvement s’exporte gentiment. Angleterre, Australie, Japon… Et en France ? Pour l’instant, il se concentre autour d’une poignée d’activistes tentant de sortir de leur isolement via le site www.freegan.fr. Outre Djo ou Le Radin Masqué, il y a Triskell, qui officie à Aix-en-Provence et explique au téléphone, à 9 heures et pas encore couché de sa mission du petit matin, les soucis bien français de sa chasse au trésor à lui. «Les fast-foods ne balancent plus leurs poubelles le soir comme avant, mais attendent le matin, se désole-t-il d’une voix éraillée. Et puis ici, c’est encore très zonard, les mecs arrivent avec leurs chiens, croient faire leurs rebelles, explosent les sacs et la mairie dépose plainte contre le magasin. En France, c’est plus une question de timing, je sais que si je vais à tel supermarché à 4 h 30, ça me laisse une demi-heure avant que les poubelles passent.» Moins facile apparemment que sur les trottoirs de Manhattan où le butin n’attend que d’être ramassé par un leader crypto-marxiste barbu en rollers… Trouvé ici: http://www.liberation.fr/transversales/grandsangles/289661.FR.php
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L'ALLIANCE ANTICORRIDA LANCE UN APPEL AU BOYCOTT DU PROCHAIN ALBUM DE CELINE DION. La chanteuse a choisi le matador Tejela pour illuster son prochain album et projette même de faire réaliser et financer la réplique des arènes de Mexico à Vegas ! Pendant les concerts de Céline Dion le tueur apparaîtra dans ses oeuvres sur un écran géant ! Merci de diffuser cette information à toutes vos sources. Nous tenons l'article à votre disposition à allianceanticorridaadmin@orange.fr Cordialement, Claire Starozinski Fondatrice ALLIANCE ANTICORRIDA http://www.anticorrida.org
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Palawan Animal Welfare Foundation Monsieur, Madame, «Palawan Animal Welfare Foundation, Inc. » est une organisation sans but lucratif basée à Palawan (Philippines). Depuis 1999, nous pratiquons (entre autres) la stérilisation chiens et des chats. Cette réalisation en l'état actuel coûte environ 375 euros par mois pour une moyenne de 60 femelles chiennes et chattes confondues. Nous pratiquons cette activité une fois par semaine en fonction de la disponibilité du chirurgien. Nous pouvons augmenter le score en fonction de nos capacités financières. Cette association philippino-belge a été créée pour : - promouvoir et protéger le bien-être de tous les animaux aux îles Philippines, - apporter une assistance à la fourrière dans le but d'améliorer autant que possible le séjour des chiens, - développer un programme d'adoption pour les chiens sociables en bonne santé, - réaliser la stérilisation et la castration de la population canine dans le but de la régulariser humainement . Dans un futur proche, nous voulons : - recevoir et soigner en fonction de leurs besoins et de leur nature, les animaux sauvages détenus illégalement, - les réhabiliter et les renvoyer dans leur biotope, - empêcher, avec l'assistance des autorités, la chasse et la capture illégale des animaux sauvages. Jackie Baut Fondatrice -- Palawan Animal Welfare Association, Inc. PO box 362 Puerto Princesa City5300 Palawan http://users.swing.be/PAWA cell +63 928 5034395 Banking account in the PHILIPPINES: BPI Branch Puerto Princesa # 3486 0701 59 SW/BIC BOPIPHMM (Jacqueline L Baut, Treasurer) Banking account in BELGIUM: 000-1437964-36 (IBAN BE46 0001 4379 6436) BIC BPOTBEB1 Swift: GEBABEBB. Banque de la Poste 56 rue des Colonies 1000 Bruxelles
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Le site de Réseau Contact est fermé Bonjour, J'ai décidé de fermer le site de réseautage du Réseau Contact.VG, car j'estime qu'il n'était pas suffisamment axé sur le monde réel, de par son concept fortement inspiré des sites de rencontre, dont l'efficacité est contestable. Il n'est pas à exclure que le Réseau renaisse un jour sous une nouvelle forme. Mais ce ne sera certainement pas dans un avenir rapproché car je dois maintenant retourner sur le marché du travail pour gagner ma vie. Pour rester en contact avec les membres du site, utilisez le forum en vous connectant avec les mêmes pseudo et mot de passe que sur le site. En guise d'alternatives au Réseau Contact.VG, j'encourage celles et ceux qui souhaitent faire des nouvelles rencontres à adhérer aux associations VG de leur région et à participer aux activités qu'elles proposent. Pour les personnes qui préfèrent s'en tenir au virtuel je propose, outre les différents forums sur le végétarisme, de se joindre aux groupes VG du réseau Facebook de leur région. Facebook est un outil de réseautage puissant et gratuit. Vous pouvez aussi, moyennant certains frais, utiliser VeggieConnection.com. Bien qu'anglophone, ce site me semble être, actuellement, la meilleure alternative au Réseau Contact.VG, car c'est un des rares qui permette de faire des recherches selon les régions géographiques des pays francophones. Merci de votre compréhension. Julien, alias ekko
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Espagne : acheter des ruches pour sauver l’ours !
Caro18 a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
Espagne : acheter des ruches pour sauver l’ours ! lundi 5 novembre 2007 L’association espagnole FAPAS (Fond pour la protection des animaux sauvages) a débuté une campagne encourageant les citoyens à acheter des ruches afin de garantir l’alimentation et la survie de l’ours brun. Les abeilles garantissent l’existence de miel et une bonne polinisation des plantes qui produisent les fruits sauvages que mange l’ours. La campagne "Ruches pour les ours" (Colmenas para los osos) permet la possibilité de finacer une ruche pour 57 € et de contribuer ainsi à la conservation de l’ours brun. Les ruches seront placées sur une surface de 500 km² entre les provinces des Asturies et de Leon là où se situe le noyau oriental de la population d’ours des Cantabriques avec quelque 30 individus (le noyau occidental compte une centaine d’animaux). Chaque ruche sera numérotée et correspondra à la personne ou à l’institution qui l’aura financée. Source : ABC.es Le site du FAPAS www.fapas.es http://ours-loup-lynx.info/spip.php?article1094 -
Pour que cette barbarie cesse enfin, JE DIS NON A L'HIPPOPHAGIE ! Je ne mange pas de viande de cheval ! Le cheval, la plus noble conquête de l'homme ne doit plus finir dans nos assiettes. Honte à l'Italie, la France et la Belgique, principaux consommateurs de viande de cheval en Europe ! "Ceux qui aiment les chevaux , les aiment vivants et libres dans les prés, pas dans leur assiette" Brigitte Bardot. Je me joints également à la Fondation Brigitte Bardot pour lutter contre les longs transports d'animaux Pétition en ligne contre l'hippophagie http://www.fondationbrigittebardot.fr/site/petition.php?Id=349
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Chasse aux dauphins au Japon: Brigitte Bardot en appelle à Al Gore La Presse Canadienne. PARIS - L'ancienne actrice française Brigitte Bardot a écrit lundi à l'ancien vice-président démocrate américain et récent lauréat du prix Nobel de la paix Al Gore pour lui demander son soutien, notamment contre la chasse "traditionnelle" aux dauphins au Japon, dont des images ont été diffusées la semaine dernière en France. "De mon côté, depuis plus de 30 ans, je me bats. Mais ce combat-là ne bénéficie pas d'une telle reconnaissance", écrit B.B, après avoir félicité Al Gore pour sa "distinction suprême et prestigieuse". La présidente de la fondation de protection des animaux qui porte son nom évoque "de nouvelles images insoutenables (...) parvenues du Japon sur la tuerie 'traditionnelle' de milliers de dauphins", images entre autres diffusées dans le journal télévisé de France-2. "Ces animaux, si proches des hommes qu'ils sauvent souvent, sont rabattus vers des criques où ils sont massacrés avec une violence, une cruauté qu'il est humainement impossible d'accepter", poursuit-elle, avant de demander l'aide du Prix Nobel, lui "dont la voix est entendue, reconnue et respectée". Brigitte Bardot prie Al Gore d'être à ses côtés pour l'"aider dans ce combat difficile pour lequel elle a donné (sa) vie", et pour "dénoncer toute l'horreur des génocides animaliers", évoquant autant les dauphins que la chasse à la baleine, ou la chasse aux phoques au Canada. En fin de semaine dernière, plusieurs médias avaient diffusé des images de scènes de chasse aux dauphins se déroulant sur les côtes japonaises. Quelque 14 000 dauphins sont ainsi tués chaque année http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5gI_tCXs4lOkPXC22fephr8GVdqdw
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Greenpeace escalade un pont en Alberta Canoë Virginie Roy 05/11/2007 18h50 Quatre militants de Greenpeace sont présentement suspendus au pont High Level d’Edmonton à plus de 40 mètres au-dessus de la rivière Saskatchewan Nord pour protester contre l’exploitation des sables bitumineux. «Ils y sont depuis 13h30. Deux activistes de Greenpeace sont suspendus de chaque côté du pont et ont accroché deux bannières géantes de 7 mètres par 15 mètres qui sont visibles depuis le Parlement de l’Alberta», explique Jocelyn Desjardins de Greenpeace. Les membres du gouvernement et les députés peuvent donc observer sur ces bannières une carte des projets d’exploitation de sables bitumineux ainsi que l’inscription «Stop the Tar Sands». Ce nouveau coup d’éclat de Greenpeace marque l’ouverture de la session parlementaire en Alberta. Au moment de l’entrevue, M. Desjardins recevait la validation que les corps policiers venaient d’arriver. «Nous resterons là tant et aussi longtemps que le gouvernement et les citoyens auront été alertés et que nous aurons senti qu’ils ont tous bien compris le message de Greenpeace», fait savoir M. Desjardins. Si toutefois les policiers demandaient aux quatre activistes de descendre du pont, M. Desjardins affirme qu’ils obéiraient. «Nous sommes habitués à ce genre d’événement. Ce n’est pas la première fois que Greenpeace escalade des ponts. La police connaît notre mode de fonctionnement. Ils savent que nous sommes professionnels, prudents, réfléchis et non violents», dit-il. Si ce sont les automobilistes qui sont souvent les victimes de ce genre de protestation, M. Desjardins estime que c’est aux policiers qu’il faudrait se plaindre: «Nous ne sommes pas comme ces hurluberlus qui grimpent un pont sans être attachés, ce qui est effectivement très dangereux pour la circulation. Notre dernier objectif est de déranger la population. Nous ne bloquons pas le pont. C’est la police qui prend la décision de fermer le pont ou non». Revendications Greenpeace demande au gouvernement albertain d’imposer immédiatement un moratoire sur tout nouveau projet d’exploitation des sables bitumineux, d’abandonner progressivement les sites actuels et d’investir massivement dans le développement des énergies renouvelables. «Si nous n’agissons pas rapidement, l’exploitation des sables bitumineux va complètement dévaster les ressources d’eau potable de la région, détruire le quart du paysage de la province et nous enlever toute chance de combattre les changements climatiques», lance Mike Hudema, de Greenpeace. L’organisme explique que le coût environnemental de l’exploitation des sables bitumineux est extrêmement élevé. Selon l’organisation, pour chaque litre de pétrole produit, il faut compter de trois à cinq litres d’eau. Ces eaux usées seraient ensuite accumulées dans d’immenses bassins si toxiques qu’il faut éloigner les oiseaux avec des canons pneumatiques. Greenpeace poursuit en affirmant que pour atteindre le sol et permettre le passage des excavatrices géantes, les industriels détruisent des forêts anciennes qui constituent d’importants habitats pour les animaux sauvages. De plus, la production de ce pétrole utiliserait deux à cinq fois plus d’énergie que pour tout autre mode de production, émettant ainsi d’importantes quantités de gaz à effet de serre. Les quatre militants ayant escaladé le pont High Level d’Edmonton risquent l’arrestation policière en plus de charges civiles ou criminelles. «Tous nos activistes reçoivent l’appui financier de Greenpeace pour leur défense. C’est toujours comme ça que notre organisation fonctionne», conclut M. Desjardins. http://www2.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2007/11/20071105-185022.html
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La douleur muette des animaux doit être décodée Gilles Crevier Le Journal de Montréal 05/11/2007 09h01 Comme les humains, les chats et les chiens peuvent énormément souffrir lorsqu'ils sont atteints d'un cancer. Malheureusement, leur douleur est muette. Elle se manifeste par des comportements que doit décoder le propriétaire de l'animal de compagnie. Au Congrès international des vétérinaires qui se terminait ce week-end à Montréal sous le thème «Unis contre la douleur», le Dr Louis-Philippe de Lorimier, oncologue vétérinaire, a fait remarquer à ses confrères que 50% et plus des animaux domestiques cancéreux pouvaient ressentir une douleur de plus en plus forte à mesure que la maladie progresse. Les chats et les chiens atteints d'un cancer le développent surtout entre l'âge de 8 et 12 ans. «Chez les humains ayant cette maladie, a-t-il rappelé, la douleur est fréquente dans 30% à 90% des cas. Cette douleur est de plus en plus forte à mesure que le cancer progresse.» Il est démontré que 70% des humains peuvent être soulagés par des médicaments opiacés (codéine, morphine), alors qu'une donnée similaire n'existe pas chez les animaux de compagnie. «Si on ne traite pas directement la tumeur (par une opération, la chimio ou la radiothérapie), a noté le Dr de Lorimier, on soulage l'animal avec une thérapie analgésique. Mais encore faut-il identifier correctement la douleur.» Des comportements évidents Pour identifier la souffrance que ressent un animal, il y a différents signes que le propriétaire doit observer. Ceux-ci permettent, en clinique, d'évaluer plus ou moins objectivement le degré où elle se situe afin d'établir un protocole thérapeutique. «On peut voir, par exemple, si un quadrupède ne marche que sur trois pattes pour éviter la douleur liée au déclenchement», a souligné le Drde Lorimier. La posture, le mouvement, le comportement de nettoyage, l'appétit et la soif, le léchage des régions douloureuses, les cris, les plaintes et les grognements sont autant d'indications d'une douleur prononcée. http://www2.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2007/11/20071105-090102.html
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Végétaliens vs végétariens: quel est le meilleur régime pour l'environnement? Végétarien depuis longtemps, j’ai toujours été persuadé que mon régime alimentaire était meilleur pour la planète que votre régime de carnivore classique. Mais un de mes copains végétaliens me dit que je pourrais faire bien plus, en me passant de tous les produits d’origine animale – finis les œufs, le lait, et même le bol occasionnel de mac and cheese (macaronis au fromage)… Etre végétalien, c’est vraiment mieux pour l’environnement? Il n’y a pas beaucoup de données disponibles sur les conséquences du végétalisme pour l’environnement: peu d’Américains ont en effet suivi l’exemple d’Alicia Silverstone et ont renoncé à l’ensemble des produits animaux. Environ 2 à 5% des mangeurs du pays se disent végétariens. Parmi eux, 5% peut-être sont strictement végétaliens. C’est pourquoi la plupart des recherches sur les régimes sans viande se sont concentrées sur les végétariens qui consomment des œufs et du lait, car ce sont eux les plus nombreux. Selon une étude publiée par l’Université de Chicago en 2005, un végétarien qui consomme du lait et des œufs émet beaucoup moins de gaz à effet de serre qu’un compatriote standard – un Américain avec une alimentation riche en viande. La différence : l’équivalent à peu près de 1,5 tonnes de dioxyde de carbone par an, pour le même apport calorifique journalier. Selon les auteurs de l’étude, devenir végétarien a le même impact sur les émissions de dioxyde de carbone que changer sa Chevrolet Suburban pour une Toyota Camry. C’est surtout parce qu’il faut moins d’énergie fossile pour produire une calorie de céréales que pour produire une calorie de bœuf: les céréales sont pratiquement 12 fois plus efficaces à cet égard. Les troupeaux sont également d’importantes sources de méthane, un gaz à effet de serre particulièrement nocif. On estime que les bovins sont responsables d’environ trois fois les émissions de méthane de l’industrie du charbon américaine. Les végétariens qui consomment lait et œufs puisent toutefois toujours à peu près 14% de leurs calories des produits animaux. Rapportez ce chiffre à zéro, comme le font les végétaliens, et vous aurez certainement diminué vos émissions de carbone de quelques centaines de kilos supplémentaires chaque année. «Si vous prenez comme critère les émissions de gaz à effet de serre, le végétalisme l’emporte haut la main sur le végétarisme», explique Gidon Eshel, co-auteur de l’étude de l’Université de Chicago. «Aucun doute: c’est clair et sans équivoque». Mais Eshel s’empresse d’ajouter, et je suis entièrement d’accord, que votre ami végétalien n’est pas forcément un saint pour l’environnement. Parce que les émissions de dioxyde de carbone directes ne représentent qu’une partie de l’éco-impact de la nourriture. Il faut aussi considérer la question de l’utilisation des sols – notamment combien et quel type de terrain il faut pour l’agriculture. Dans une région au sol pauvre par exemple, il peut être préférable de produire des œufs plutôt que d’essayer de planter des légumes qui ne peuvent pas pousser dans ces conditions. Et les animaux sont pratiques parce qu’ils mangent des céréales de mauvaise qualité qui ne sont pas forcément adaptées aux humains. Plutôt que de les gaspiller, ces céréales aident à fabriquer des produits laitiers riches. En fait, une étude récente de l’Université Cornell conclut que manger un petit peu de viande peut s’avérer meilleur pour l’environnement que le végétalisme, puisque les troupeaux peuvent brouter sur de la terre pauvre, qui ne convient pas à la culture. Et tirer plus de calories de la terre revient à importer moins de nourriture d’ailleurs, et donc à réduire les dépenses en énergies fossiles. Une bonne nouvelle pour moi qui suis un gros mangeur de viande – je pleure rien qu’à l’idée d’une vie sans cheeseburgers au bacon et currys de cabri. Mais il fait être prudent vis-à-vis de l’étude de Cornell. D’abord, les calculs supposent que toute la viande est élevée localement, plutôt que congelée et transportée en camion à travers le pays. Ensuite, pour optimiser l’utilisation des sols, l’étude recommande aux résidents de l’état de New York (à l’époque de ces recherches) de ne pas consommer plus de deux onces (57 grammes) d’œufs et de viande cuisinés par jour : c’est 3,8 onces (108 grammes) de moins que la moyenne nationale. Bien que j’admire le courage ascétique des végétariens et végétaliens, il est tout à fait irréaliste de penser qu’une majorité d’adultes américains puissent se priver de steak pour l’intérêt de la planète. Mais d’un autre côté, l’agriculture est responsable de 17 à 20% de la consommation d’énergie du monde. Au lieu de harceler les gens pour qu’ils se mettent au végétarisme – ce qui a le don d’énerver les Américains – il faudrait peut-être commencer par pousser les consommateurs à faire plus attention à la quantité exacte d’énergie que nécessitent la production et le transport d’un Cheesesteak extra-long bacon et cheddar. http://www.foodfacts.info/blog/2007/10/sonics-xl-bacon-cheddar-cheesesteak.html Et ce serait pas mal si les gens pigeaient que la viande n’a pas forcément à être au coeur de tous les repas. Un défi de taille pourtant: la consommation de viande par personne aux Etats-Unis a augmenté de 40% entre 1961 et 2002. Il faut espérer que les Chinois ne deviennent pas aussi gloutons que nous. Mais de ce côté les nouvelles ne sont pas très encourageantes: la consommation de viande en Chine a déjà doublé durant la dernière décennie. Posté le mardi 23 octobre DR ¦ Un panier de légumes bio Brendam I. Koerner. Traduction 20 Minutes vos réactions http://www.20minutes.fr/article/191803/Monde-Vegetaliens-vs-vegetariens-quel-est-le-meilleur-regime-pour-l-environnement.php
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Etats-Unis: 15.000 canards tués dans l'incendie suspect d'une entreprise de foie gras Les enquêteurs américains essaient de déterminer la cause d'un incendie qui a tué 15.000 canards appartenant au plus gros producteur de foie gras des Etats-Unis. Le feu a pris dans la nuit de mardi à mercredi dans un entrepôt de deux étages loué par l'entreprise Hudson Valley Foie Gras, l'un des trois producteurs de foie gras des Etats-Unis. L'incendie a entièrement détruit la structure. Les pompiers ont dû acheminer de l'eau par camion parce qu'il n'y en avait pas à disposition dans cette propriété rurale du comté de Sullivan. Selon les enquêteurs, le feu a pris dans un garage et a gagné le bâtiment principal où se trouvaient des milliers de canards d'élevage. Tous ont péri dans l'incendie dont le propriétaire, Izzy Yanay, estime qu'il est accidentel. BIZZARE Est-ce que cette entreprise était rentable, c'est la première question à se poser Toutefois, l'entreprise était la cible d'une plainte déposée par des militants des droits des animaux pour qui le gavage des canards pour agrandir leur foie est un traitement cruel. Un juge avait rejeté la plainte en mai. La Californie prévoit d'interdire la production de foie gras par gavage à partir de 2012 et Chicago a interdit en août les ventes de foie gras. D'autres villes et Etats américains ont proposé d'instaurer de semblables interdictions. AP ca/v667/ma/v193 http://www.latribune.fr/info/Etats-Unis--15-000-canards-tues-dans-l-incendie-suspect-d-une-entreprise-de-foie-gras-505-~-AP-USA-FOIE-GRAS-INCENDIE-$Db=News/News.nsf-$Channel=Monde
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Novembre qui débute aujourd’hui est le mois des morts, évidemment, si on se fie aux anciennes croyances catholiques de notre bonne société québécoise, mais c’est aussi le mois de l’épilepsie, le mois des patriotes et le mois du poisson, si on se fie au Répertoire des journées, des semaines et des mois thématiques, publié par le ministère des Communications du Québec. Et cette première semaine de novembre, celle qui débutera demain, est considérée comme la Semaine de la fourrure au Canada. Oui, à qui le dites-vous, c'est vraiment le mois des morts qui débute pour les animaux à fourrure! Poursuivre la lecture: http://www.cyberpresse.ca/article/20071101/CPSOLEIL/71031210/5216/CPSOLEIL