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Les procureurs rejettent les accusations portées contre les Elevages Périgord Watkins Glen (États-Unis), 23 août 2007 - L'organisme de protection des animaux de ferme reconnue à l'échelle nationale, Farm Sanctuary, a exprimé sa grande déception alors que des procureurs de la couronne au Québec ont rejeté les accusations de cruauté envers les animaux qui ont été portées contre le célèbre producteur de foie gras Elevages Périgord, et ce, malgré les abus flagrants dénoncés devant la Cour le mois dernier par Farm Sanctuary et Global Action Network. Les images choquantes filmées clandestinement dans l'établissement révélaient des employés qui : arrachaient la tête de canards encore vivants, lançaient des canards et les frappaient des pieds et des mains, cognaient des canards contre les murs et les planchers, asphyxiaient et écrasaient des canetons encore vivants, abattaient des canards entièrement conscients. « La décision de ne pas intenter de poursuites représente une dégradation du système exécutif et ne soulève pas les questions d'ordre légal et moral des pratiques observées à Elevages Périgord », affirme Gene Baur, président de Farm Sanctuary. « L'inhumanité, la brutalité et la cruauté flagrante qui font partie du processus de production du foie gras, ne reçoivent l'appui de la majorité des citoyens d'aucun pays. La documentation démontre clairement les pratiques cruelles qui sévissent dans l'industrie du foie gras. » Les canards et les oies qui sont utilisés pour la production de foie gras se font couper le bec, les pieds et sont contraints à vivre dans un espace extrêmement réduit dans des cages crasseuses et mal entretenues. A l'aide d'un tuyau en métal, un gruau dont l'apport nutritionnel est incomplet est inséré dans leur gorge plusieurs fois par jour au moyen d'une pompe à injection. Ce gavage forcé est connu pour être la cause de contusions, de lacérations, de plaies, de trauma et peut même s'avérer mortel. Il est aussi la cause de foies de tailles surdimensionnées et malades que l'on nomme communément « foie gras ». Chaque jour et jusqu'à la fin de leur courte vie, les volailles suffoquent, vomissent et essaient en vain de se déplacer. Au sujet de Farm Sanctuary Farm Sanctuary est une organisation reconnue à l'échelle nationale qui se donne pour mission de protéger les animaux de ferme. Depuis sa constitution en 1986, Farm Sanctuary a travaillé dans le but d'exposer et de mettre fin aux pratiques cruelles de l'industrie de l'alimentation animale par le biais de recherches et d'enquêtes, de réformes légales et institutionnelles, de projets de conscientisation sociale, de programmes d'éducation pour les jeunes et des efforts directs pour sauver des animaux maltraités et leur trouver refuge. Les refuges de Farm Sanctuary à Watkins Glen, à N.Y., et à Orland, en Californie, qui offrent des soins de longue durée pour des centaines d'animaux ayant pu être sauvés, sont devenus des ambassadeurs en matière de protection des animaux de ferme grâce à leurs efforts pour conscientiser les visiteurs sur la réalité de l'exploitation agricole industrielle. Pour de plus amples renseignements, visitez le site http://www.farmsanctuary.org ou composez le 607-583-2225. http://www.lebulletin.com/informations/actualite/article.jsp?content=20070824_222109_6492

Info du 31/08/2007 Canada - Monteregie : Venez accompagner votre chien pour une bonne cause le 9 septembre L’histoire touchante de Hope Les résidants de L’Île-des-Soeurs traitant leurs animaux de compagnie comme un membre de leur famille peuvent parfois avoir peine à croire qu’ailleurs certains les maltraitent. C’est l’histoire de l’insulaire Angela Hunter, bénévole pour la SPCA en Montérégie, qui nous rappelle que les refuges pour animaux sont encore et toujours un besoin, car certains sont capables du pire envers ces derniers. L’histoire de Hope Le 19 janvier 2007, la SPCA Montérégie, le plus grand refuge pour animaux au Québec, rescape des chiens d’une usine à chiots de St-Mathieu-de-LaPrairie. Les chiens grelottaient dans un hangar non chauffé et sombre. Ils n’avaient ni bu ni mangé depuis plusieurs jours. «Les animaux ne connaissaient même pas la lumière du jour», précise Angela Hunter. Les employés de la SPCA Montérégie ont par la suite donné le nom de Hope (Espoir) à un grand danois retrouvé dans cette usine désaffectée. Hope était gravement blessée lorsqu’elle a été secourue. Elle souffrait de blessures multiples et saignait des yeux. C’était pourtant elle qui était utilisée pour la reproduction. Par chance, les bénévoles de la SPCA ont permis à Hope de goûter à une nouvelle vie. Venez parader avec votre chien pour une bonne cause Le dimanche 9 septembre, la SPCA Montérégie organise sa marche annuelle, «La Marche à Quatre Pattes», au parc de la Voie maritime à Saint-Lambert. Cette activité permet la plus importante collecte de fonds pour l’organisme. Tous les amateurs d’animaux sont donc invités à trouver des commanditaires pour la SPCA Montérégie. Avec 75$ et plus d’argent amassées grâce à des commanditaires, les participant pourront obtenir un t-shirt gratuit. Des fonds de 25$ permettront de participer gratuitement à toutes les activités de la journée. Les formulaires d’inscription se trouvent dans les cliniques vétérinaires, les magasins d’aliments pour animaux ou sur Internet au http://spcamonteregie.com . Des centaines d’amoureux d’animaux sont entendus au parc de la Voix maritime de Saint-Lambert, rue Riverside Drive, pour cette marche. Ils pourront profiter des conseils de l’éducateur canin et entraîneurs de chiens, Jean Lessard. «Je voudrais que les gens voient les photos «avant» et «après» de Hope afin qu’ils puissent comprendre pourquoi il nous faut absolument de l’argent pour aider les animaux comme Hope. En achetant leurs chiots dans les magasins, il est possible que les parents de leur animal si mignon ressemblent à Hope et, ce faisant et sans le savoir, on aurait alors encouragé l’industrie de la cruauté animale au Québec», souligne Angela Hunter. Pour des renseignements supplémentaires sur la SPCA Montérégie et sur «La Marche à Quatre Pattes», veuillez visiter le http://spcamonteregie.com . http://www.chien.com/index20.php?page=http://www.chien.com/Echos/actua.php?id_actua=1253&from=0

Le gouvernement McGuinty sévira contre les zoos au bord des routes Une loi et des sanctions plus sévères sont nécessaires pour protéger les animaux TORONTO, le 31 août /CNW/ - Le ministre de la Sécurité communautaire et des Services correctionnels, Monte Kwinter, a déclaré aujourd'hui que le gouvernement McGuinty prendra les mesures nécessaires pour mieux protéger les animaux en sévissant contre les personnes qui les font souffrir. "Les Ontariens et Ontariennes s'attendent à une meilleure protection des animaux contre les mauvais traitements et les actes de cruauté", a déclaré M. Kwinter. "Le gouvernement McGuinty est déterminé à travailler avec les experts sur les animaux de toutes les régions de l'Ontario pour élaborer certaines des normes de sécurité des animaux les plus sévères au pays en matière de sécurité des animaux." "Je suis très heureux de l'action prise par notre gouvernement sur la question des zoos au bord des routes", a expliqué David Zimmer, député provincial de Willowdale, qui a déposé plus tôt un projet de loi d'initiative parlementaire pour réglementer les zoos au bord des routes. "Ces nouvelles mesures protégeront davantage les animaux contre les actes de cruauté. Aujourd'hui est une belle journée pour les animaux, le public et les groupes de défense des droits des animaux." Le gouvernement augmentera immédiatement à 500 000 $ le financement annuel accordé à la Société de protection des animaux de l'Ontario (SPAO) pour appuyer la formation des inspecteurs et des agents. De plus, il versera une subvention unique de 100 000 $ à des agents de la SPAO pour qu'ils collaborent avec le ministère des Richesses naturelles afin de mettre en oeuvre un plan provisoire d'inspection des zoos. "Aujourd'hui est une journée importante pour le réseau des SPAO et un nombre incalculable d'animaux en Ontario qui ont besoin de protection", a déclaré Hugh Coghill, inspecteur en chef de la SPAO. "Avec cette annonce, la Société sera mieux préparée pour aider les animaux que nous devons protéger en vertu de la loi. Nous sommes reconnaissants au gouvernement McGuinty d'avoir tenu cet engagement." Le gouvernement reconnaît le besoin de moderniser la Loi sur la Société de protection des animaux de l'Ontario pour pouvoir réglementer les lieux comme les zoos au bord des routes, prévoir une infraction provinciale dans le cas de tout acte de cruauté qu'on fait subir à un animal et veiller à ce qu'il y ait des conséquences graves si des personnes infligent des mauvais traitements à des animaux. "L'Association des zoos et aquariums du Canada est ravie de la détermination de l'Ontario à aller de l'avant en adoptant une loi et des normes nouvelles et sévères qui régleront le problème des zoos au bord des routes", a déclaré Bill Peters, directeur national de l'Association des zoos et aquariums du Canada (AZAC). "Nous collaborerons pleinement avec cette importante initiative et nous mettrons nos experts à la disposition du gouvernement de l'Ontario pour élaborer des normes fondées sur notre programme d'agrément. Les membres de l'AZAC dans les quatre coins du pays se conforment déjà aux normes les plus élevées en matière de soins des animaux et nous prêterons main forte pour nous assurer que les mêmes normes s'appliquent dans tous les zoos de la province." "L'annonce d'aujourd'hui marque un moment historique pour les animaux en Ontario", affirme Melissa Tkachyk, agente des programmes à la Société mondiale pour la protection des animaux (SMPA). "Pour la première fois en 88 ans, le gouvernement a déclaré que les mauvais traitements infligés aux animaux, y compris ceux qui se trouvent dans des zoos le long des routes, ne seront pas tolérés et seront punis. La SMPA fait valoir depuis plus de 10 ans la nécessité de réglementer les zoos sur le bord des routes. Nous félicitons le gouvernement McGuinty d'avoir pris cet engagement et nous espérons que le changement surviendra sans tarder." Par ailleurs, le gouvernement McGuinty investira 80 000 $ sur une période de deux ans pour développer le programme SafePet de l'association des vétérinaires de l'Ontario. Ce programme aide les femmes à risque à délaisser une relation conjugale abusive en fournissant des logements provisoires à leurs animaux domestiques. Les études montrent que de nombreuses femmes retardent souvent leur départ d'une situation abusive car elles craignent pour la sécurité de leur animal domestique. En vertu du nouveau programme élargi, les cliniques vétérinaires participantes de toutes les régions de l'Ontario travailleront avec les foyers pour femmes battues pour trouver un logement temporaire pour les animaux de ces femmes avec l'aide des bénévoles locaux qui accueilleront les animaux. "Les vétérinaires exercent leur profession dans chacune des collectivités de la province", a déclaré docteur Reg Reed, président de l'association des vétérinaires de l'Ontario, et vétérinaire à Mitchell. "En tant que chefs de file dans nos collectivités, nous avons des liens étroits avec les gens et les animaux; les vétérinaires sont en mesure de gérer avec efficacité un programme important pour aider à améliorer la vie des femmes exposées à la violence, leurs enfants et les animaux domestiques et en fin de compte sauver des vies aussi. L'association des vétérinaires de l'Ontario est heureuse d'avoir le soutien de la province dans le développement du programme SafePet de l'association." << Available in English www.mcscs.jus.gov.on.ca Document d'information ------------------------------------------------------------------------- LE GOUVERNEMENT MCGUINTY RENFORCE LA PROTECTION DES ANIMAUX >> Le gouvernement McGuinty est déterminé à collaborer avec ses partenaires pour élaborer des options à long terme visant à améliorer le bien-être des animaux. Le gouvernement prend les mesures nécessaires pour mieux protéger les animaux en sévissant contre les personnes qui les exploitent. Les mesures provisoires annoncées aujourd'hui prévoient des moyens plus efficaces de protéger les animaux contre la cruauté. << Mesures provisoires - Financement annuel de 500 000 $ de la Société de protection des animaux de l'Ontario La Société de protection des animaux de l'Ontario (SPAO) applique toutes les lois relatives au bien-être des animaux, y compris les lois municipales, provinciales et fédérales. Depuis 2000, le gouvernement de l'Ontario verse à la SPAO une subvention annuelle de 119 000 $ pour appuyer la formation des enquêteurs. La majeure partie du financement de la SPAO provient de dons privés et de campagnes de collecte de fonds. L'importante augmentation du financement de 119 000 $ à 500 000 $ de la SPAO permettra à la Société de former un nombre supplémentaire d'agents et d'inspecteurs et de mieux surveiller la protection des animaux dans la province. - Subvention de 100 000 $ à la SPAO pour la mise en oeuvre du plan d'inspection du zoo Il existe 34 zoos autorisés en Ontario qui contiennent des animaux sauvages considérés comme du gibier ou des animaux sauvages bénéficiant d'une protection spéciale par la Loi sur la protection du poisson et de la faune, administrée par le ministère des Richesses naturelles. Il y aurait environ 40 autres installations non autorisées qui ne sont pas tenues d'avoir une licence car elles abritent seulement des animaux exotiques; ces installations comprennent notamment les zoos et des collections privés qui contiennent un nombre important d'animaux de toutes sortes. L'opération des zoos au bord de la route est devenue une préoccupation pour ce qui est du bien-être des animaux et de la sécurité publique. Le gouvernement versera une subvention unique de 100 000 $ aux agents de la SPAO pour qu'ils collaborent avec le ministère des Richesses naturelles et des experts de L'Association des zoos et aquariums du Canada, pour mettre en oeuvre un plan provisoire d'inspection des zoos à qui la province a octroyé une licence. - Subvention de 80 000 $ au programme de l'association des vétérinaires de l'Ontario qui prévoit un logement temporaire aux animaux domestiques de femmes qui fuient une relation conjugale violente Le gouvernement McGuinty investira aussi 80 000 $ sur une période de deux ans pour développer le programme SafePet de l'association des vétérinaires de l'Ontario. Ce programme aide les femmes à risque à délaisser une relation conjugale abusive en fournissant des logements provisoires à leurs animaux domestiques. Les études montrent que de nombreuses femmes retardent souvent leur départ d'une situation abusive car elles craignent pour la sécurité de leur animal domestique. En vertu du nouveau programme élargi, les cliniques vétérinaires participantes de toutes les régions de l'Ontario travailleront avec les foyers pour femmes battues pour trouver un logement temporaire pour les animaux de ces femmes avec les bénévoles locaux qui accueilleront les animaux. Available in English www.mcscs.jus.gov.on.ca >> -30- Renseignements: Annette Phillips, Bureau du ministre, (416) 326-8265, (647) 205-6598 (tél. cell.); Anthony Brown, Direction des communications, (416) 314-7772 http://ogov.newswire.ca/ontario/GPOF/2007/08/31/c4306.html?lmatch=&lang=_f.html

Réaliser ses vœux sur le Web Une chercheuse et professeure en multimédia de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT), Samuelle Ducroq-Henry, crée avec ses étudiants une Fontaine de Trévi virtuelle. Le site vise à réaliser les souhaits des internautes et fonctionne par une équation simple: répondre aux besoins des uns par les moyens des autres. L’idée lui est venue par hasard, en novembre 2006. «Je me demandais comment le Web pouvait aider les gens? Je me demandais quelle était la matière la plus connue sur terre, sans tenir compte des cultures ou de l’âge. Faire des vœux, c’est universel», relate la professeure, qui avait elle-même visité la vraie Fontaine de Trévi, à Rome, en 2005. Après avoir sondé ce qu’en pensaient ses étudiants, dont la plupart trouvaient l’idée géniale, ils se sont mis au boulot. «Il nous a fallu entre trois et quatre mois pour mettre le site Internet en place. La première vague de vœux s’est faite à l’UQAT à la fin de la session, en mai 2007, indique Mme Ducrocq-Henry. «Je suis super scientifique dans l’approche, ajoute-t-elle. L’idée de la Fontaine virtuelle était de rapprocher les gens avec la communication. Le germe derrière l’expérience est un idéaliste d’entraide, relier les gens et les aider gratuitement. «Il y a des vœux qui sont exaucés par le principe de réseaux et d’autres par pur hasard. Beaucoup de gens prennent au pied de la lettre les vertus magiques de la Fontaine. Certains vœux ne sont pas réalisables par les humains. Pour que les vœux se réalisent, les gens doivent penser au facteur humain et être précis dans la formulation de leurs souhaits», ajoute-t-elle. Des vœux de tout genre On retrouve toutes sortes de souhaits postés dans la Fontaine virtuelle. Des catégories ont été inscrites sur le site pour diriger les internautes qui veulent formuler leurs désirs: 911-cas urgents et désespérés, altruisme et vœux pour tous, emploi, événement, logements et immobilier, retrouvailles, vedettes, véhicules, amour et amitié, etc. Pour tester son site, la chercheuse a fait le vœu de trouver une personne fiable pour s’occuper de ses animaux (deux chevaux, deux chats et un chien) pendant son absence. En échange de cours d’équitation, une jeune femme a répondu à l’appel, réalisant ainsi la demande de Mme Ducrocq-Henri. Le site permet aussi les retrouvailles de vieilles connaissances. «Je veux retrouver John Browlie avec qui j’ai travaillé au Parc de Fundy, N.B. Canada. Mon ami - grand naturaliste, et yogiste ! Il déménageait en Ontario, il y a environ 8 ans. Où es-tu John», notait un Japonais. Deux dames se sont empressées d’inscrire des numéros de téléphone qui ont permis au demandeur de retrouver son ancien ami. VOIR LES VOEUX DANS LA SECTION ANIMAUX: http://www.lafontainedetrevi.com/softvoeux/index.php?catid=1&order=ad_id&way=0&do_search=&searchword=&user_ad_id=&user_id=0&offset=20

LAB Recherche investit 40M$ à Laval28 août 2007 | Denis Lalonde, LesAffaires.com La société pharmaceutique LAB Recherche compte doubler la superficie de ses installations de Laval d’ici la fin 2008. Le projet vise à faire passer la capacité d’hébergement de ses installations de 36 à 80 salles. La superficie totale des locaux passera de 87 000 pieds carrés à 170 000 pieds carrés. Le début des travaux, qui coûteront 40M$, est prévu pour le mois d’octobre. La direction de LAB Recherche soutient que ces travaux lui assureront une croissance organique jusqu’en 2011. La société est également sur le point de conclure l’agrandissement de ses locaux en Hongrie. Ces travaux devraient être finalisés d’ici la fin du mois de septembre et permettront de multiplier par cinq la capacité d'hébergement de grands animaux sur le site et de doubler la capacité de revenus de ces installations. LAB Recherche est une société globale de recherche sous contrat du domaine non clinique qui offre ses services de recherche contractuels aux sociétés des secteurs pharmaceutique, biotechnologique, agrochimique, pétrochimique et industriel. L’entreprise possède des bureaux au Canada, au Danemark et en Hongrie. Le titre de la société était stable à 7,80$ à la Bourse de Toronto en début de séance. http://www.lesaffaires.com/article/0/grande-entreprise/2007-08-28/463173/lab-recherche-investit-40mdollars-a-laval.fr.html

Avec sa collaboration avec la société Adidas, la styliste Stella McCartney est accusée de cruauté envers les animaux. Stella McCartney a été critiquée par des protecteurs des droits des animaux à propos de sa collaboration avec la société de sports Adidas, laquelle est accusée d'utiliser de la peau de kangourou. La designer végétarienne, qui condamne souvent l'industrie de la mode pour l'utilisation de fourrure, est devenue la cible des critiques concernant sa collaboration avec Adidas. Des protecteurs d'animaux affirment que le géant du sport utilise de la peau de kangourou pour faire certains modèles de souliers. Ces accusations surgissent seulement un mois avant que la collection Adidas by Stella McCartney ne fasse ses débuts dans les défilés durant la Semaine de la mode de Londres. Poursuivre la lecture: http://www.copines.ca/nouvelles/17371__la-collaboration-de-stella-mccartney-avec-adidas-critiquee.html

Après une première édition qui fut un beau succès en 2004, les quatre partenaires* du groupe Genibeq, au Québec (Canada), organise leur seconde vente cet automne. Bilan de la 1ere vente Genibeq Depuis la dernière vente Génibeq en 2004, parmi les animaux qui y ont été vendus: - 50 génisses ont été classifiées : 25 TB (dont 24 à 2 ans) / 21 BP / 4 B - 11 vaches ont amélioré leur pointage dont 1 vache Excellente - 26 vaches ont vendu des taureaux en I.A. et/ou des embryons à l'exportation C’est le dimanche 4 novembre 2007 que se tiendra la deuxième vente organisée par le Groupe Génibeq, de Saint-Patrice, au Québec (Canada). Facile d'accès, après l'EIHQ, avant la Royale Cette fois-ci, la vente se tiendra à Ferme Belli-Star, à Notre-Dame du Bon-Conseil, situé à 30 minutes de route seulement à l'Est de Saint-Hyacinthe. La visite des animaux sera possible le samedi soir 3 novembre 2007, après la jugement de l'Expo international Holstein Québec (EIHQ). 50 des meilleurs sujets provenant des lignées Splendor, Baler Twine, Champion Brittney (développées par les membres de Genibeq), plus de 30 consignations des meilleurs troupeaux et/ou familles en Amérique du Nord sont annoncées. "Vous retrouverez dans cet encan des bêtes provenant majoritairement des familles de vaches les plus en demande en Amérique : Gypsy Grand, Splendor, James Sidney, Laurie Sheik, Elegance, etc." explique Rober Chabot, un des partenaires. "Des femelles pour tous les goûts seront offertes : gagnantes d’expositions, hauts index, généalogies profondes et plusieurs contactées pour l’I.A." [...] "Les premières filles de Goldwyn, Salto, Modest et Mr Sam en lactation seront disponibles à la vente. C’est un évènement à ne pas manquer !" http://www.web-agri.fr/conduite-elevage/genetique-race/article-vente-genibeq-ii-1175-42053.html Cliquez sur le logo de la vente ci-dessous pour accéder site de Genibeq (catalogue en ligne prochainement) http://www.genibeq.com./index.htm

Des moteurs à «boeufs vapeur» en vue Les producteurs de boeuf du Québec veulent récupérer les restes de leurs animaux morts pour en extraire du biocarburant et des fertilisants. Une usine où l'on procéderait à cette opération coûterait 65 millions de dollars et pourrait fournir ses premiers litres de biodiesel dès le printemps 2010 Le président de la Fédération des producteurs de bovins du Québec (FPBQ), Michel Dessureault, a parlé hier de cette usine avant-gardiste devant la Commission sur l'avenir de l'agriculture et de l'agroalimentaire québécois, qui tient ses audiences nationales à Québec. Le projet, «très avancé», a déjà été soumis pour approbation au ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs. Les sous-produits d'abattage et les carcasses d'animaux morts à la ferme sont «totalement recyclables», a assuré M. Dessureault. Son organisation a conclu un partenariat avec une entreprise américaine, Changing World Technologies (CWT), qui convertit déjà des restes de dindes en biodiesel à Carthage, au Missouri. CWT serait prête à financer la moitié du projet. Une aide gouvernementale est également réclamée. Poursuivre la lecture: http://www.cyberpresse.ca/article/20070829/CPENVIRONNEMENT/708290523/6108/CPENVIRONNEMENT

Il rate le pittbull et frappe son ami au visage avec une masse Justine Mercier Le Droit Le mardi 28 août 2007 Attaqué au visage par son propre pitbull, un homme de Val-des-Monts qui était sous l'effet de stupéfiants a reçu en pleine face le coup de masse qu'un de ses amis voulait asséner au chien. En plus de ses blessures, la victime de 41 ans devra acquitter une amende de 200 $, plus les frais administratifs, puisqu'un règlement municipal interdit de posséder un pitbull sur le territoire de la MRC des Collines. L'incident est survenu dimanche soir, vers 19 h 30, à la résidence de la victime, située sur la route du Carrefour, dans le secteur Perkins de Val-des-Monts. Le porte-parole de la Police de la MRC des Collines, l'agent Martin Fournel, a expliqué que la victime se trouvait avec trois amis, et que les quatre comparses avaient consommé du crack, un dérivé de la cocaïne. "On pense que le propriétaire du chien a fait une overdose, a indiqué l'agent Fournel. Il s'est retrouvé au sol en convulsions, et en voyant cela, le chien a paniqué et a mordu son maître sur la joue gauche, tout près de l'oreille." L'agent Fournel soutient que l'homme a souffert d'une morsure sérieuse, qui lui a arraché un assez gros morceau de peau. Pris de panique et voyant que le chien ne lâchait pas prise, un des amis de la victime est allé chercher une masse pour frapper l'animal. Il a cependant mal visé, et c'est la victime qui a reçu le coup, en plein visage. L'homme souffre donc d'une morsure du côté gauche, et d'un oeil au beurre noir du côté droit. Il a été transporté à l'Hôpital de Gatineau, où on ne craint pas pour sa vie. La bête a été remise à la Société pour la prévention de la cruauté avec les animaux (SPCA) de l'Outaouais, qui l'a euthanasiée, hier, à la demande du propriétaire. Selon les responsables de la SPCA, l'animal d'âge adulte pesait au moins 80 livres. La MRC des Collines n'est pas la seule à interdire les pitbulls sur son territoire. Depuis le 29 août 2005, cette race est aussi interdite partout en Ontario. Le directeur général de la SPCA de l'Outaouais, Yves Geoffrion, précise cependant qu'à la base, "aucun chien n'est dangereux". "Ce n'est pas la race, mais bien comment on élève un chien qui peut le rendre dangereux, soutient M. Geoffrion. Mais ce qu'on dit aux gens qui ont des pitbulls, c'est de ne pas prendre de chance et de lui faire porter une muselière." Trouvé ici: http://www.cyberpresse.ca/article/20070828/CPDROIT/70827207/-1/CPDROIT

Montebello sous haute surveillance Le calme régnait dans les rues de Montebello, hier. Les habituels touristes du mois d'août avaient déserté les lieux, et pas nécessairement à cause de la brise fraîche qui a soufflé toute la journée. Le campement s'organise Les manifestants n'ont pas encore commencé à affluer à Montebello. Mais l'un deux, Nicolas, était déjà là, se baladant sur la route 148 avec son sac à dos. Un écusson anti-Bush y était accroché. «C'est plus mollo aujourd'hui, a constaté l'étudiant de 26 ans, arrivé le matin même de Gatineau. C'est demain (aujourd'hui) que ça commence.» À 22 km au nord, toutefois, une cinquantaine de jeunes et moins jeunes se préparaient pour les manifestations prévues aujourd'hui à Ottawa et demain à Montebello. Ils campent dans une ferme biologique à Notre-Dame-de-la-Paix, faisant ainsi coïncider leur «camping autogéré» du mois d'août avec la troisième rencontre du Partenariat nord-américain pour la sécurité et la prospérité. «Je suis venue dénoncer le faible rouage démocratique de notre société, qui est en train d'être encore plus bafoué, a dit Judith Cayer, travailleuse communautaire de Pointe-Saint-Charles. Je n'aime pas nécessairement manifester, mais ça me fait me sentir mieux.» Judith et tous les autres discutaient autour d'un feu de camp presque éteint. Certains étaient pieds nus. D'autres se coupaient les cheveux. Trois jeunes femmes couchées dans l'herbe peignaient une banderole de 5 m pour les manifestations à venir. Ici, les entrevues avec les médias ne se font pas en tête-à-tête, mais en groupe. «On est ici parce que ça nous redonne confiance, parce que notre société crève de vide», a dit calmement Olivier, un foulard indien noué au cou, le pantalon taché de peinture bleue. Marc, un jeune homme sans domicile fixe à barbe rousse, est venu expressément de Vancouver, où il distribuait de la nourriture végétarienne aux sans-abri. Il cautionne la violence lors des manifestations. «On ne s'attaque pas aux vieilles dames et au PME, mais aux symboles du capitalisme, comme les policiers et les clôtures», fait remarquer cet habitué des manifestations. http://www.cyberpresse.ca/article/20070819/CPACTUALITES/708190401/1019/CPACTUALITES

Le qualificatif d'"humain" est-il galvaudé aujourd'hui ou mérite-t-il encore d'être attribué aux membres de notre espèce ? The Humane Society of The United States (HSUS), organisme pour la protection des animaux, a réalisé une enquête comparative afin de classer les principales ville américaines en fonction de leur "Humanité vis à vis des animaux. 25 des plus grandes métropoles américaines ont donc été évaluées à travers différents critères statistiques comme le ratio entre les chasseurs et les observateurs écolos, les mentions de la protection animale dans les journaux, le nombre de revendeurs de fourrure animale, le nombre de restaurants végétariens, et bien d'autres. Les résultats sont diffusés à travers http://www.humaneindex.org/ un site viral assez original, en Flash. Et le vainqueur est...San Francisco !...élue donc plus humaine des grandes villes américaines. Si vous êtes sensible à la cause animale, le site de la HSUS diffuse de nombreuses vidéos http://video.hsus.org/ sur la maltraitance animale notamment http://www.emob.fr/dotclear/index.php?2007/08/14/1277-les-humains-a-l-index

Un midi nu! Les employés de LUSH se mettent à nu pour sauver la planète ce 18 août 2007 Campagne nationale contre le suremballage pour inciter les clients à choisir des produits "nus" VANCOUVER, le 16 août /CNW/ - Les employés de LUSH Cosmétiques frais faits à la main se déshabillent (les plus audacieux retireront tout) à l'extérieur de leur boutique ce samedi 18 août à midi pour inciter les consommateurs à se mettre à nu en choisissant des produits non emballés. Ces employés courageux souhaitent que ce geste envoie un message important aux Canadiens sur les impacts dévastateurs du suremballage des produits cosmétiques, des aliments et de tous les produits de consommation. L'environnement est l'une des plus grandes préoccupations mondiales à ce jour. Les Canadiens produisent plus de 25,2 millions de tonnes de déchets chaque année(1). Nous générons donc tous entre 2 et 2,5 kg de déchets chaque jour(2), nous rendant l'un des plus importants pays émetteurs de gaz à effet de serre sur la planète. LUSH souhaite que ses clients soient conséquents dans leurs efforts pour combattre les changements climatiques et pour protéger les ressources naturelles de la terre et demande à sa clientèle d'agir en bannissant les produits emballés. Le temps est donc venu de se mettre "à nu" en évitant l'utilisation des sacs de plastiques, des tasses de café jetables et des bouteilles utilisées dans les cosmétiques qui contribuent à la crise environnementale grandissante. Depuis que LUSH est arrivé dans le décor il y a 12 ans, sa philosophie a toujours été basée sur l'éthique d'un impact minimum sur l'environnement tout en produisant des produits cosmétiques efficaces. LUSH prend la tête dans l'industrie pour éliminer le suremballage en offrant des produits "nus" qui ne nécessitent pas de bouteilles de plastique. En retirant l'eau des produits, les shampooings solides, les revitalisants solides, les pains de massage, les beurres corporels, les pains moussants et les savons innovateurs de LUSH sont vendus sans emballage, comme dans un marché public. De cette façon, environ trois millions de bouteilles de plastique n'ont pas été produites, transportées et jetées l'année dernière parce que des clients ont choisi les shampooings solides de LUSH. La campagne "A nu!" fait partie de l'effort conjoint des boutiques LUSH partout dans le monde. Mark Constantine, fondateur de LUSH croit que "l'emballage est inutile et que nous souffrons de sa sur utilisation depuis trop longtemps. Maintenant que les véritables coûts financiers et environnementaux sont devenus évidents, les consommateurs exigent des manufacturiers et des détaillants de réduire l'emballage. Les compagnies comme la nôtre doivent voir encore plus loin et offrir de véritables produits nus." Notes à l'éditeur : (1) total des déchets produits au Canada en 2004. Source : Statistiques Canada, Division des comptes et de la statistique de l'environnement - http://www40.statcan.ca/l02/cst01/envir25a_f.htm (2) thecanadianencyclopedia.com - Tous les sacs de papier, les boîtes de carton et les contenants réutilisables de LUSH sont faits de matériaux recyclés. - Les produits nus sont meilleurs pour l'environnement. Ils n'ont pas d'emballage, ils sont concentrés, ils durent plus longtemps et pèsent moins que les bouteilles remplies de liquide qui demandent donc plus d'énergie à transporter. Par exemple, le chargement d'un seul camion rempli de pains shampooings de LUSH durerait 800 000 utilisations alors qu'il faudrait 15 chargements en shampooing liquide pour en faire tout autant. Cela signifie plus de pollution et plus de carbone. - LUSH supporte les programmes d'achats équitables et se procure localement ses ingrédients bruts lorsque cela est possible. LUSH supporte les fermes de la Colombie-Britannique en récoltant ses algues sur la côte de l'Ile de Vancouver. LUSH s'approvisionne en bière d'une brasserie biologique et achète son miel à de petits apiculteurs locaux. - 58 % de nos produits n'ont aucun emballage, 65 % de nos produits ne contiennent aucun agent de conservation et 100 % de nos produits conviennent aux végétariens. LUSH a une politique stricte contre les tests sur les animaux et récompense ses clients qui réutilisent et recyclent leurs sacs d'achat LUSH. - Pour encourager l'achat de produits nus, LUSH distribuera des échantillons du beurre corporel Buffy et un coupon qui permettra au client de recevoir un produit nu gratuit entre le 18 août et le 30 septembre. Faits intéressants sur le gaspillage et l'environnement : - Bien que le pétrole s'épuise, nous le gaspillons toujours sur l'emballage. La production du plastique utiliserait 8 % des réserves de pétrole mondiales; 4 % pour le créer et 4 % dans le processus de fabrication. (source : www.foe.co.uk) - Le recyclage de tous nos déchets domestiques (papiers, cartons, verre et métaux) peut réduire les émissions de dioxyde de carbone d'environ 400 kg par année. (source : Earth Care). Bonne nouvelle, les Canadiens recyclent 22 % de leurs déchets. (source : www.readersdigest.ca) - Dès l'âge de 6 mois, un Canadien moyen a consommé la même quantité de ressources qu'une personne vivant dans un pays en développement en consommera pendant toute sa vie. (source : Recycling Council of Ontario) - Durant toute sa vie, un Nord-américain moyen produira 600 fois son poids adulte en déchets. Un adulte de 68 kg léguera 40 825 kg de déchets. (source : Ressources Naturelles Canada) >> ------------------------------------------------------------------------- Les cosmétiques frais faits à la main de LUSH sont offerts dans plus de 400 emplacements à travers le monde dont 29 points de vente LUSH au Canada et 45 aux Etats-Unis, en ligne au www.lush.com ou en nous téléphonant au 1 888 733-LUSH. Renseignements: Pour de plus amples renseignements, des images numériques ou des échantillons de produits, veuillez communiquer avec le Service de presse LUSH: Erika Edwards, Tél: 1-800-521-9622, erika@lush.com; Liz Chapman, Tél: 1-800-521-9622, lchapman@lush.com Montréal 4067, rue Saint-Denis H2W2M7 (514) 849-5333 Montréal 1196A, rue Sainte-Catherine Ouest H3B1K1 (514) 875-5877 Québec 102, rue du Petit-Champlain G1K4H4 (418) 694-9559 http://www.newswire.ca/en/releases/archive/August2007/16/c7444.html

Élevages Périgord : Aucune accusation retenue Une vidéo tournée l'été dernier par des activistes de la défense des animaux et qui voulait prouver que le producteur de foie gras Élevages Périgord maltraitait des canards n'a finalement pas été retenue par la Couronne. Les procureurs du gouvernement ont estimé que la vidéo, largement diffusée par les médias québécois, ne permettait pas de porter des accusations criminelles contre les cinq employés d'Élevages Périgord. Le propriétaire de l'entreprise montérégienne, Emmanuel Nassans, se dit soulagé du dénouement. Le Réseau d'action globale et l'organisation américaine de défense des droits animaux Farm Sanctuary estiment que les autorités québécoises envoient un mauvais message aux éleveurs. http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2007/08/24/001-perigord-foie-gras.shtml Canards maltraités : aucune accusation contre Élevages Périgord (INFO690) - Soulagement chez Élevages Périgord. Aucune accusation ne sera portée à la suite de la vidéo d'un groupe de défense des animaux. Le Réseau action globale avait montré en juillet des images de canards maltraités dans le but de lutter contre la production de foie gras. L'entreprise de Saint-Louis-de-Gonzague avait par la suite congédié un employé, mais se questionne toujours sur la provenance de certaines images. En audio, le directeur général des Élevages Périgord, Emmanuel Nassans. http://www.corusnouvelles.com/nouvelle-canards_maltraites_aucune-399472-27.html L'entreprise affirme sa clientèle lui est demeurée fidèle malgré la tourmente. Il n'y a pas eu de perte du chiffre d'affaires. Julie Héroux / Info690

Pour supporter l'agent Tre Smith: http://www.torontohumanesociety.com/

Une manifestation de soutien à un employé Suspendu pour avoir sauvé un chien Bravo M. Tre Smith Tre Smith speaks with reporters outside the Toronto Humane Society on Wednesday, Aug. 15, 2007. Mise à jour le mercredi 15 août 2007, 17 h 02 . De défenseurs des animaux ont manifesté mercredi dans les rues du centre-ville de Toronto. Ils se portent à la défense d'un ex-employé de la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux, suspendu la semaine dernière pour ne pas avoir respecté le protocole d'enquête officiel dans une affaire de chien laissé dans une voiture. Le 31 juillet dernier, Tre Smith, en fonction, reçoit un appel lui disant qu'un rottweiler a été laissé à lui-même dans l'habitacle d'une voiture et qu'il suffoque sous la chaleur. L'employé se rend sur place, brise la vitre de la voiture et libère le chien. Alors que le propriétaire de la voiture arrive et constate avec mécontentement et agressivité le bris de sa fenêtre, Tre Smith décide de le menotter à la voiture. VOICI LE PAUVRE CHIEN This image taken from cell phone video shows Cyrus after being rescued. Les manifestants réclament maintenant que la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux de Toronto réintègre Tre Smith. Ils demandent également des lois plus sévères pour lutter contre la cruauté envers les animaux, notamment en permettant plus d'accusations criminelles et en augmentant la peine maximale pour ce délit, qui est de six mois de prison ou de 2000 $ d'amende. En 2006, sur les 15 000 plaintes qu'a reçues la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux, seulement 500 cas se sont traduits par des accusations criminelles. VIDEO: Un reportage de Louis Lessard http://www.radio-canada.ca/regions/Ontario/2007/08/15/003-manifestants-chien-menotte.shtml POUR EN SAVOIR PLUS: Activists rally behind Humane Society officer http://toronto.ctv.ca/servlet/an/local/CTVNews/20070815/animal_rally_070815/20070815/?hub=TorontoHome

Cruauté contre les animaux en Egypte De tous côtés me reviennent des récits d'actes de cruauté commis envers les animaux dans la République arabe d'Egypte. Il y a peu de temps, en mai 2007, une campagne d'extermination barbabre des chiens du Caire était engagée. Les animaux tués d'une seule balle (par souci d'économie) ou empoisonnés étaient abandonnés, souvent encore agonisant dans d'indicibles souffrances, puis pourrissaient en pleine rue, au milieu des immondices. Un autre touriste vient de me raconter que, l'année dernière, il avait vu avec horreur des animaux (vaches, ânes etc) attachés à des pieux jusqu'à ce que mort s'ensuive, près de son hôtel cairote. On lui a expliqué que, faute de moyens financiers, les propriétaires abandonnaient tout simplement leurs bêtes jusqu'à ce qu'elles meurent d'inanition et tombent dans le canal. Personne ne songe, bien entendu, à boycotter l'Egypte. Chacun sait que le tourisme est l'une des principales sources de revenus de ce pays. Je connais l'Egypte et je l'aime ; j'y ai vécu l'hospitalité de son peuple, et souvent celle des fellahin et des populations semi-nomades les plus misérables. Mais nous ne pouvons, nous ne devons pas nous y rendre avant d'avoir protesté contre de telles pratiques, de même qu'il ne fallait pas agir autrement quand les droits de l'homme les plus élémentaires y étaient bafoués (emprisonnement et condamnation à mort pour homosexualité, etc.). Le boycott est inutile car il ne fait qu'augmenter la pauvreté. Mais voyager en touriste béat, sans rien dire, c'est ce rendre complice de ces actes inqualifiables. POURSUIVRE LA LECTURE: http://lecarnetdelaurentdingli.blog.20minutes.fr/archive/2007/08/13/cruaut%C3%A9-contre-les-animaux-en-egypte.html

Prison ferme requise pour quatre hommes accusés de cruauté envers des animaux Le parquet de Meaux a requis jeudi des peines allant de 8 mois à un an ferme à l'encontre de quatre hommes accusés d'avoir maltraité à mort deux chiens à la suite d'une banal différend entre voisins en nomvembre à Mouroux (Seine-et-Marne), a-t-on appris vendredi auprès du tribunal. Le substitut du procureur a requis des peines de deux ans de prison dont un an avec sursis à l'encontre de trois des accusés, et une peine plus légère de deux ans dont seize mois avec sursis à l'encontre du quatrième, qui avait reconnu les faits. Il a en outre requis un mandat de dépôt. Tous comparaissaient pour sévices graves ou actes de cruauté envers un animal. Le jugement a été mis en délibéré au 29 août. Dans la nuit du 13 au 14 novembre, les quatre hommes, âgés de 23 à 26 ans, avaient passablement bu pour fêter la naissance du fils de l'un d'eux, chez un autre à Mouroux. A l'issue de la beuverie, ils avaient décidé d'en finir avec les deux chiens des voisins, deux gros Saint-Bernard baptisés Raoul et Voxan, accusés de trop aboyer et d'avoir fait leurs besoins dans la cour commune des deux familles. Ils avaient attaché les deux chiens au pare-choc d'une voiture, et les avaient traînés sur quelque 5 km à plus de 100 Km/h. Puis l'un des hommes avaient pris une batte de base-ball pour achever les bêtes. Voxan, découvert agonisant par un promeneur, avait dû être euthanasié par un vétérinaire. Cinq associations de défense des animaux, dont la Société protectrice des animaux (SPA) et la Fondation Brigitte Bardot, se sont constituées parties civiles, et ont demandé des dizaines de milliers d'euros de dommages et intérêts. http://www.rtlinfo.be/news/article/24725/--Prison+ferme+requise+pour+quatre+hommes+accus%C3%A9s+de+cruaut%C3%A9+envers+des+animaux

Michael Vick ne pourrait jouer au Canada s'il est suspendu par les Falcons Oubliez cela: Michael Vick ne jouera pas dans la Ligue canadienne de football. La rapidité de Vick et son style semblent faits sur mesure pour la LCF, mais le quart-arrière des Falcons d'Atlanta, qui est impliqué dans un scandale de combats de chiens, n'aura pas le droit de jouer au Canada s'il est suspendu dans la NFL, comme on s'y attend. Un nouveau règlement adopté par la Ligue canadienne au cours de la saison morte défend à ses équipes de mettre sous contrat un joueur qui est sous le coup d'une suspension dans la NFL. Le règlement a été adopté à la suite de la mise sous contrat par les Argonauts de Toronto du porteur de ballon Ricky Williams, qui était sous le coup d'une suspension dans la NFL pour usage de drogues. Roger Goodell, commissaire de la NFL, devrait attendre à lundi quand Vick soumettra son plaidoyer de culpabilité pour lui infliger une suspension. Il a déjà été empêché de participer au camp des Falcons et Goodell a demandé aux dirigeants de l'équipe d'attendre sa décision avant de prendre action contre Vick. On ne sait pas encore si la suspension de la NFL allait s'ajouter à la peine d'emprisonnement. Si c'était le cas, il pourrait rater les saisons 2007 et 2008. Vick a accepté de plaider coupable pour ses activités dans les opérations du Bad Newz Kennels en Virginie. Les procureurs américains ont réclamé une sentence d'un an à 18 mois d'emprisonnement. Un procureur de Richmond en Virginie a dit cette semaine que l'État pourrait également le poursuivre pour avoir organisé des combats de chiens et pour cruauté envers les animaux, deux offenses qui peuvent mener à un emprisonnement de cinq ans chacune. Le commissaire Mark Cohon, de la LCF, n'a pas pas voulu commenter au sujet de Vick. Le directeur général et entraîneur des Alouettes, Jim Popp, a dit qu'il ne croyait pas que le nom de Vick soit sur la liste de négociations d'aucune équipe canadienne. Mike (Pinball) Clemons, des Argonauts de Toronto, abondait dans le même sens. "Personne n'aurait cru qu'il pouvait se retrouver ici un jour. C'est la raison pour laquelle aucune équipe ne détient ses droits ici. Enfin, c'est ce que je crois." Clemons n'a pas voulu lui non plus commenter cette affaire. "Je crois qu'il doit faire le ménage, a dit Clemons. Il y a des choses plus importantes que le football dans la vie de Michael Vick présentement et il doit y voir." L'histoire de Vick a semé la rage dans les rangs des défenseurs des droits des animaux et auprès du grand public. Trois de ses associés ont plaidé coupable et on dit que Vick avait fourni les fonds nécessaires pour les opérations et les paris entourant le Bad Newz Kennels. Deux d'entre eux ont participé à la mise à mort de huit chiens qui n'offraient pas les performances souhaitées. Marbury défend Vick; selon lui, les combats de chiens sont un sport Stephon Marbury des Knicks de New York a défendu Michael Vick cette semaine, alors qu'il a dit considérer les combats de chiens comme un sport comparable à la chasse. Marbury a parlé des accusations déposées à l'endroit de Vick, lundi, alors qu'il faisait la promotion de sa marque de souliers de basketball à Albany, New York. "Ce n'est pas une situation facile, a déclaré Marbury à la station de télé d'Albany Capital News 9. Pourtant, nous ne disons rien à propos des gens qui tirent sur des chevreuils ou d'autres animaux. Vous savez, à ce qu'on me dit, les combats de chiens sont un sport. C'est juste que ça se passe derrière des portes closes. "Ce n'est pas une situation facile quand on fait tout pour promouvoir Michael Vick, puis on cherche à le descendre, a ajouté Marbury. Il est l'un de ces superbes athlètes, et il est une bonne personne. Je pense simplement qu'il s'est retrouvé malgré lui dans un contexte problématique." http://www.matin.qc.ca/articles/20070822174938/nfl_michael_vick_pourrait_jouer_canada_sil_est_suspendu_par_les_falcons.html

Il MANGE des CHIENS Et des CHATS VIVANTS Il croit que le sang des animaux vivants lui donne force. La Société Mondiale pour la protection animale l'a dénoncé. 29 juillet 2007. Douglas Barahona ne déjeune pas de toasts ni café, mais des animaux vivants. "Je me lève et déjeune toute chose qui marche par là, une colombe, un poulet, un chat, je les saisis, je lui extrais la tête, je bois le sang ", a expliqué ensuite Douglas Barahona. Il a commencé ce régime inhabituel il y a quatre ans par hazard, en cherchant une arme pour être fort sentis plus avant toute somme, parce que sa passion est de dominer au plus courageux des taureaux, et il a découvert que boire le sang d'un animal vivant lui donnait cette force. Selon Barahona, ce secret lui a permis d'avoir davantage de force pour dominer à tout taureau et c'est pourquoi il continuera à le faire toujours, et comme il consigne que ce type viande et sang est très sain, il a décidé de les faire il part de son alimentation quotidienne. Il attrape un petit poussin, d'une bouchée il a détaché la tête. Tandis que son corps se déplaçait encore il a levé pour boire le sang puis il lui a ensuite enlevé les plumes . En trois bouchées le poulet complet a été dévoré par Barahona, les jambes se les a absorbées et il les a ensuite lancées, mais tout le reste, jusqu'aux yeux, est passé par sa gorge. La Société Mondiale pour la protection animale l'a dénoncé. 29 juillet 2007 IMAGES CHOQUANTES http://www.kisa.fr/Douglas_Barahona_8201289374.html

Les images chocs d'un transport illégal de porcelets TF1: http://tf1.lci.fr/infos/media/jt/0,,3528332,00-images-chocs-transport-illegal-porcelets-.html Une association hollandaise de défense des animaux a pu filmer le convoyage de porcelets

Ottawa ne veut pas renoncer à chasser les phoques Montréal LUDOVIC HIRTZMANN. Publié le 04 août 2007 En dépit des protestations internationales de plus en plus nombreuses, le Canada ne peut se résoudre à la mort d'une industrie déjà sur le déclin. « CETTE pratique inhumaine n'est pas digne du peuple canadien. Il n'y a aucune bonne raison pour laisser cette boucherie absurde continuer », affirme le démocrate Tom Lantos. Président de la commission des affaires étrangères de la Chambre des représentants, il est à l'origine de la résolution américaine, approuvée lundi dernier et demandant à Ottawa de mettre fin à la chasse aux bébés phoques. Depuis, les médias et le gouvernement canadien ne parlent plus que de la « trahison » américaine. « Le gouvernement du Canada luttera contre les interdictions de ce type sur tous les fronts. C'est le moyen de subsistance de nombreuses personnes qui est en jeu », tonne le ministre des Affaires étrangères, Peter McKay. Les premières campagnes contre l'extermination des bébés phoques ont commencé à la fin des années 1960. Depuis le milieu des années 1970, tant Greenpeace que Brigitte Bardot ou Paul McCartney ont multiplié les voyages dans les provinces maritimes du Canada pour dénoncer cette chasse. La fourrure des blanchons Les Canadiens sont conscients de l'ombre jetée par ces campagnes sur leur image à l'étranger, mais leur gouvernement affirme que l'interdiction de chasser les « blanchons », les bébés phoques, est respectée depuis une loi de 1987. Les organisations de défense des animaux clament le contraire et montrent des photos de bébés phoques agonisant sur la glace. Ottawa jure ses grands dieux que ces clichés ont été pris avant 1987. Les Canadiens jouent habilement sur les mots. Le ministère des Pêches et Océans ne mentionne pas que, passé l'âge de 12 jours et à partir du moment où il perd sa fourrure blanche, un phoque n'est plus considéré comme un bébé. Il peut dès lors être chassé, au même titre que le sont les 5,8 millions de phoques du Canada. L'Américain Tom Lantos assure, lui, que 95 % des 300 000 phoques abattus chaque année le sont avant l'âge de trois mois. Récemment, la Belgique, les Pays-Bas et l'Italie ont interdit l'importation et la commercialisation des produits dérivés du phoque. Les autres pays de l'Union européenne étudient des mesures similaires. Le Mexique s'est joint au concert des protestations. Si la chasse aux phoques a longtemps été une activité économique importante pour le Canada, en 2006, les exportations canadiennes de peaux de phoque n'ont été que de 16,4 millions de dollars. La résolution américaine pourrait donner le coup de grâce à une industrie sur le déclin, mais il y aura un dernier baroud d'honneur. En milieu de semaine, les Canadiens se sont tournés vers l'Organisation mondiale du commerce (OMC). Ils demandent la tenue de consultations officielles dans le cadre du processus de règlement des différends commerciaux de l'OMC afin de trouver une solution. Les Canadiens n'en démordent pas : l'interdit belge relève de l'atteinte au commerce international. Cette année, les autorités canadiennes ont autorisé la chasse de 270 000 phoques, soit 65 000 de moins que l'an dernier. Ottawa estime à 5,5 millions le troupeau de phoques du Groenland dans ses eaux et affirme que la chasse ne menace pas sa survie. http://www.lefigaro.fr/international/20070804.FIG000000889_ottawa_ne_veut_pas_renoncer_a_chasser_les_phoques.html

Ottawa outré par les défenseurs des phoques CANADA. Les représentants américains demandent l'interdiction de la chasse des bébés phoques. Ludovic Hirtzmann, Montréal Samedi 4 août 2007 «Cette pratique inhumaine (ndlr: la chasse aux bébés phoques) est en dessous de la dignité du peuple du Canada. Il n'y a aucune bonne raison pour laisser ce massacre continuer», a déclaré Tom Lantos, président du Comité des affaires étrangères de la Chambre des représentants, à l'origine d'une résolution américaine votée lundi. Tant les médias que le gouvernement canadiens ne parlent plus que de la «trahison» américaine. Ottawa a rappelé à Washington qu'il était son principal allié et que le Canada achetait l'essentiel de ses biens aux Etats-Unis. La chasse aux bébés phoques est l'un des sujets les plus sensibles qui soient au Canada. «Le gouvernement luttera contre les interdictions de ce type sur tous les fronts», a tonné le ministre canadien des Affaires étrangères, Peter McKay. Depuis le milieu des années 1970, tant Greenpeace que Brigitte Bardot ou Paul McCartney ont multiplié les voyages sur la banquise pour dénoncer la chasse aux bébés phoques. Les autorités canadiennes affirment que l'interdiction de chasser les «blanchons», les bébés phoques, est respectée depuis l'adoption d'une loi en 1987. Les organisations de défense des animaux montrent régulièrement des photos de bébés phoques agonisant sur la glace. Ottawa assure que ces clichés ont été pris avant 1987. Le Ministère des pêches et océans ne mentionne pas que, passé l'âge de 12 jours, dès qu'il perd sa fourrure blanche, un phoque n'est plus considéré comme un bébé. Il peut être chassé au même titre que le sont les 5,8 millions de phoques du Canada. 300000 animaux abattus Tom Lantos assure que 95% des 300000 phoques abattus chaque année le sont avant l'âge de 3 mois. La Belgique, les Pays-Bas et l'Italie ont récemment interdit l'importation des produits dérivés du phoque. Les autres pays européens étudient des mesures similaires. Le Mexique s'est joint au concert des protestations. En 2006, les exportations canadiennes de peaux de phoque n'ont été que de 16,4 millions de dollars (18,6 millions de francs). La résolution américaine pourrait sonner le glas d'une industrie moribonde, mais il y aura un baroud d'honneur. En milieu de semaine, les Canadiens se sont tournés vers l'Organisation mondiale du commerce (OMC) pour demander des consultations sur l'interdiction belge d'importer des produits dérivés du phoque, ce qu'Ottawa considère comme une atteinte au commerce international. http://www.letemps.ch/template/international.asp?page=4&article=212331

ça promet pour l'avenir Une belle génération de sans qui s'en vient pour les animaux

Un projet d'abattage de kangourous fait bondir en Australie L'armée australienne, qui s'est attiré les foudres de l'opinion publique en projetant d'éliminer des milliers de kangourous sur ses bases de Canberra, envisage maintenant de les transférer ailleurs au prix de 3.000 dollars (américains) par individu. L'armée australienne, qui s'est attiré les foudres de l'opinion publique en projetant d'éliminer des milliers de kangourous sur ses bases de Canberra, envisage maintenant de les transférer ailleurs au prix de 3.000 dollars (américains) par individu. Selon des informations de presse, certains des 3.200 kangourous gris concernés seraient acheminés en camionnettes dans un village situé à une heure de route de la capitale, à la suite de manifestations contre un projet aux termes duquel des chasseurs professionnels auraient été chargés de les abattre. En mai dernier, le département de la Défense avait annoncé que ces kangourous causaient de sérieuses dégradations en broutant sans retenue sur les terrains de deux bases militaires frappées par la sécheresse, notamment sur un champ de tir, et mettaient en péril des espèces de lézards et de phalènes. Poursuivre la lecture: http://www.lepoint.fr/content/a_la_une/article?id=195076

Boeuf de Kobe: le steak de luxe arrive en épicerie Laurie Richard Le Soleil Considéré comme de la plus haute qualité au monde, le bœuf de Kobe fait son entrée en épicerie dans la région. Résultat d’un cheptel de vaches japonaises Wagyu savamment dorloté, cette viande recherchée ravit les amateurs de produits carnés. « Le bœuf est élevé sans stress », illustre Camil Lacroix, propriétaire du magasin d’alimentation Bouche-Rit Pasta Déli, à Lévis, qui vient tout juste de recevoir cette denrée de luxe. Son nom provient de la ville de Kobe, au Japon, où les bœufs étaient jadis traités aux petits oignons… et à la bière. Soignées comme des chevaux par les fermiers japonais, les vaches Wagyu étaient brossées, massées et nourries d’aliments parfois additionnés de cervoise. Les animaux développaient ainsi une chair tendre et juteuse. Élevé à Calgary Le bœuf « de Kobe » de M. Lacroix ne provient toutefois pas d’Asie. Le bétail a été élevé « à la japonaise », à Calgary, par le producteur Kobe Classic Beef. Les bêtes profitent de l’air frais et aucune hormone n’est utilisée. Leur alimentation est notamment composée d’orge et de résidus issus de la fabrication de la bière. « Un bœuf régulier est nourri de 250 à 300 jours. Le bœuf de Kobe est nourri environ 500 jours », note M. Lacroix. « Comme un grand cru : ça prend du temps », appuie Patrick McCarthy, président de Kobe Classic Beef, le plus important producteur de bœuf Wagyu au Canada. La méthode d’élevage confère un aspect persillé à la viande. Le gras s’y répartit également, rappelant ainsi la texture du beurre, au dire des gastronomes. « Il a une teneur plus élevée en huile que le bœuf ordinaire, comme un thon de haute qualité », fait valoir M. McCarthy. À Québec, le restaurant Panache de l’Auberge Saint-Antoine sert le faux-filet et la calotte de ce fameux animal depuis mars. Son Café Artefact offre également, dans son menu plus léger, un hamburger au Kobe. La réputation du bœuf de Kobe se reflète forcément dans son prix au détail. Pour son premier « test », M. Lacroix propose trois coupes : le filet mignon, le faux-filet et la côte. Les amateurs de viande devront débourser autour de 25 $ pour pouvoir déguster un filet mignon de cette chair prisée. Poursuivre la lecture: http://www.cyberpresse.ca/article/20070803/CPSOLEIL/70802190/6693/CPACTUEL