RoCoLa

Les miens vivent à 700 mètres d'altitude sans problème, même par -15 / -20 ils restent dehors, bien qu'ils puissent se mettre à l'abri s'ils le veulent. Ils sont peu montés, donc pas tondus et n'ont pas besoin de couverture, les poils d'hiver suffisent. Je les brosse peu, pour ne pas enlever le "gras" qui imperméabilise les poils, juste le strict minimum afin d'éviter les dreadlocks Par contre, eau, sel et foin à volonté, car ils mangent beaucoup, beaucoup plus quand il fait froid - minimum une grosse botte de 400 kilos par semaine pour un irish cob, 1 merens et 1 poney type welsh... Depuis 2 ans, je ne donne plus de complément alimentaires genre granulés, car ça les engraissent trop. Je me faisais sermonner au printemps par le véto qui les trouvait obèses, il avait raison... Ce que j'ai pu constaté, c'est qu'ils craignent plus l'humidité que le froid et cherchent plus à se mettre à l'abri quand il pleut beaucoup, pendant plusieurs jours et que le vent se lève là-dessus.

Même déferré, selon la qualité de la neige, des boules de glace peuvent se former sous les sabots, c'est pas dangereux tant que l'on est dans la neige épaisse et terrain meuble, mais ça se complique dès que l'on revient sur la route et/ou chemin empierré/dégagé... Les sabots graissés, ça marche sur de courtes distances, mais pour une plus grande balade, la neige finit par s'agglutiner... Il existe un type de ferrage "spécial neige" qui consiste à glisser une sorte de boudin souple en caoutchouc entre le pied et le fer, genre "Huf Grip" ou semelle anti-neige en bon français, qui évacue la neige au fur et à mesure, cet équipement n'est pas trop cher à l'achat (environ 25 euros pour 4) mais surenchérit considérablement le prix du ferrage (en tout cas par chez nous), ce qui fait que ce n'est pas rentable pour de la neige occasionnelle. J'ai testé aussi les ressorts anti-neige fabrication maison, il faut du très gros fil de fer et un tuyau souple, genre tuyau pour aquarium, d'un diamètre beaucoup plus grand que le fil de fer, l'important étant que le tuyau garde sa souplesse pour évacuer la neige. Efficace si il n'y a que de la neige, car si les chemins/terrains sont boueux, on risque de le perdre avec l'effet "ventouse" de la boue. C'est l'inconvénient du bricolage... Je n'ai jamais testé la version originale de ces ressorts, ils sont certainement plus stables car il faut un outils pour les positionner...(voir http://www.michel-vaillant.com/fr/shop/6/118/ressort-anti-neige-amovible-huf-flex,1191.html pour la version originale).

En effet, il faut veiller à ne pas emprisonner l'humidité sous le goudron, sinon ça fera le contraire de l'effet recherché! Je suis dans le même coin que toi ( ) et mes chevaux pataugent dans 30 cm de boue autour de la mangeoire... Pour les pieds, je les passe à la douche de temps en temps, je sèche la sole avec une vieille serviette et je pulvérise du Silvetrasol

Version originale, version "castagnettes" ou les deux ?

Je pense que l'on a un peu trop tendance à utiliser rapidement l'Acadrex dès qu'un cheval se gratte...l'Acadrex est un acaricide et un insecticide principalement destiné au traitement des gales. Qui dit gale, dit chute des poils...mais pas raccourcissement consécutif au grattage. Qui dit grattage ne dit pas systématiquement gale. L'Acadrex m'avait été prescrit par mon véto pour traiter mon mérens, qui présentait des zones dépourvues de poil sur les jambes, notamment au printemps. On était bien en présence d'acariens et le traitement a été concluant. Ma jument IC est aussi sujette à démangeaison, mais dans son cas, je n'ai jamais constaté de chute de poil. J'ai aussi traité à l'Acadrex, mais je n'ai pas trouvé d'amélioration spectaculaire. Avec un peu de recul, j'ai constaté qu'un traitement de fond sur un mois au drainage cutané réduit considérablement les démangeaisons, ainsi qu'un entretien régulier des fanons - brossage minutieux pour éliminer les résidus de poussière/boue qui se logent sous les poils, près de la peau et qui, à mon avis, déclenchent les démangeaisons, lavage au savon noir.

J'ai un poney qui ne supporte absolument pas le contact de la main avec le mors...il faut avoir la main très légère, c'est le moins que l'on puisse dire, sinon, il tend son encolure vers l'avant, bascule la tête de haut en bas jusqu'à ce que la tension des rênes diminue, voire s'annule complètement (rênes pendantes) Finalement, après plusieurs années, diverses tentatives, on en est arrivé à la conclusion que lorsque le cavalier à la main un peu ferme, il vaut mieux le monter sans mors car il "cède" plus facilement aux pressions d'une muserole ajustée plutôt qu'au mors.

Je n'utilise pas le beurre à l'ail...je ne pense pas que l'idée de base soit de "graisser" le plat, mais plutôt d'apporter un arôme supplémentaire. Personnellement, j'écrase la gousse d'ail avec une fourchette, juste pour faire sortir la pulpe, pas en charpie, et je frotte le plat. C'est tout. Je ne peux pas te dire le goût que ça a, car je n'en mange pas, je n'aime pas le fromage - ou plutôt le fromage ne m'aime pas - mais ma petite famille adore, j'en conclue donc que c'est bon comme ça. Bon app'

Vin blanc sec et lardons fumés...

Je ne sais dans quel périmètre tu habites...mais voici 2 CE que je connais, ou dont on m'a parlé en bien... Les Ecuries du Foron à Cornier (je ne l'ai pas fréquenté, mais il m'a été recommandé par un maréchal-ferrant) Centre Equestre le Domino à La Chapelle Rambaud (Ma fille y a été pendant 3 ou 4 ans... Francis, le moniteur, est très sympa, le cadre est très agréable et il a de superbes chemins pour les balades, et tu peux même y faire du ski de fond l'hiver ) Tu trouveras tous les CE répertoriés en Haute-Savoie sur http://www.cheval-rhone-alpes.com/equestre/index.ph

Il faut du REblochon , des oignons, des lardons, un peu de vin blanc et des pommes de terre à chair ferme de préférence... Emincer les oignons, les faire rissoler avec un peu d'huile. Déglacer avec un peu de vin blanc. Ajouter les lardons et les pommes de terre coupées en petits dés, laisser cuire à feu très doux avec un couvercle et remuer souvent. Disposer le tout dans un plat à gratin préalablement frotté à l'ail, recouvrir de reblochon et enfourner 20 minutes environ...

Je me suis inscrite sur le site et fait une simulation de commande, en espérant avoir le montant des frais de port...peine perdue. Il faut valider la commande et le montant des frais de port est communiqué séparément...Bref ! J'aime pas trop ce genre de pratiques. Etonnant, voici la composition d'un bloc "spécial chevaux" que j'ai trouvé sur le net... chlorure de sodium, carbonate de calcium et de magnésium, orthophosphate dicalcique Ingrédients: sodium 19%, calcium 13%, phosphore 5%, magnésium 3%, mélasse de canne à sucre 0,7%, zinc extrait de l’oxyde de zinc 3000 mg/kg, fer extrait du carbonate de fer (II) 1500 mg/kg, cuivre extrait de l’oxyde de cuivre 1000 mg/kg, manganèse extrait de l’oxyde de manganèse (ll)- 200 mg/kg, iode extrait de l’iodate de calcium 10 mg/kg, iode extrait de l’iodate de calcium (ll) 10 mg/kg, sélénium extrait du sélénite de sodium 10 mg/kg Je crois que c'est l'excès de calcium qui perturbe l'assimilation des oligo-éléments. Par contre j'ai lu quelque part que le sel gemme gris "brut" n'est apparemment constitué que de chlorure de sodium, donc pas plus "riche" que les blocs de sel pur blancs (je pense que l'intérêt de le distribuer au gibier n'est que purement logistique car il peut durer jusqu'à 1 an...) et que dans l'optique d'un apport de minéraux, il vaut mieux opter pour un autre type de sel. Bien que le séchage altère un peu les qualités nutritives de l'herbe, je pense qu'un "bon foin qui sent bon" distribué à volonté avec bloc de sel et eau à proximité apporte "tout ce qu'il faut" - au printemps dernier, j'ai eu droit à une réprimande de la part de mon véto concernant l'état de mes chevaux, à la limite de l'obésité. Bien sur, un poulain en croissance a des besoins différents d'un cheval adulte et il faut en tenir compte. Mais je pense qu'il ne faut vraiment penser qu'en terme de "complément" au foin et ne pas tomber dans le piège du "tout aliment spécialisé". Quand ma jument était "pouliche", je lui ai donné un floconné spécial poulain pendant quelques temps et de l'alpha-a, avec une base de foin à volonté, puisqu'elle vivait en troupeau avec 2 autres chevaux.

Pour enlever l'ardillon, difficile à dire sans avoir la sangle sous les yeux, mais je pense qu'il faut faire levier avec un gros tournevis plat à la jointure de la pièce (partie arrondie) - Attention à ne pas te transpercer la main ! Moins dangereux, la scie à métaux - faire gaffe à ne pas couper les cordes ! Dans les deux cas, mieux vaut bloquer la boucle et l'ardillon dans un étaux pour éviter qu'il ne bouge. Tu peux aussi appeler chez Baude et leur demander si c'est eux qui enlèvent l'ardillon à la demande des clients

Ben...si ça sent la champignonnière ou le compost à l'intérieur du camion, c'est pas bon signe Plus sérieusement, contrôler le châssis, la rouille, la présence ou l'absence de renforts sous le plancher, leur état, ramper sous le camion/van, ne pas hésiter à "gratter" les points de rouille pour voir si c'est superficiel ou plus. Pour un véhicule équipé de tapis, c'est facile, on soulève. Pour les planchers bois, ou les revêtements caoutchouc collés, c'est plus délicats. Autre point à contrôler, les marques de "grattage" de sol Bien évidemment, rien de tel que l'avis d'un carrossier.

je ne sais pas si j'ai bien compris ton problème, mais si c'est l'ardillon côté noeud de cravate qui pose problème, il est amovible sur la sangle "Baude", du coup, tu as un côté "anneau seul" et de l'autre une boucle

Je te conseille la Sellerie Baude à Roman (Isère), commande possible sur internet Prix raisonnable, maison sérieuse, tu y trouveras certainement ce que tu cherches... http://www.sellerie-baude.com/equipement-cheval-equipement-selles-colliers-bricoles-croupieres/688-collier-de-chasse-western-sb.html http://www.sellerie-baude.com/equipement-cheval-equipement-selles-sangles-fourreaux-western/479-equipement-cheval-equipement-selles-sangles-fourreaux-western-coton.html Il y a aussi la sellerie KVal vers Thonon...

Je ne sais pas si tu fais allusion au sel gemme...si c'est le cas, on en trouve sur certains sites internet vendu par 25 kg (c'est déjà plus gérable!) comme par exemple http://www.act-nature.com/sels/sel-gemme-p-71.html Eventuellement prendre contact avec la société de chasse locale...il y a plein de points de nourrissage dans mon coin (les Voirons), je n'ai pas fait attention s'il y avait du sel, mais on ne sait jamais...

Moi j'ai fait faire le débourrage de ma jument au Lycée Agricole de Contamine sur Arve, et j'en suis satisfaite. Le coût est raisonnable (de mémoire équivalent au prix d'une pension sur place, à vérifier avec eux, ça date un peu pour moi) http://www.epl.contamine.educagri.fr/redir/centre-hippique.php

Ce type de véhicule, permis VL, est très recherché, ce qui explique le prix relativement élevé pour un véhicule "hors d'âge". Bien sûr, il vaut mieux avoir l'âme d'un bricoleur, quelques notions de mécanique pour les petits pépins qui peuvent survenir, et avoir un casse auto pas trop loin pour l'approvisionnement en pièces détachées ! Les vans d'occasion, même très anciens, se vendent cher aussi Et puis il faut le permis remorque... La location, j'ai expérimenté. C'est bien pour des déplacements prévus à l'avance, mais pas de place à l'imprévu ou la balade improvisée de dernière minute. Personnellement, je privilégie l'autonomie.

Si c'est un diesel, un moteur à 200 000 km peut encore durer...quelle est la version 1500 ou 1900 ? 1900 serait mieux... Bien évidemment, on ne peut pas demander à un véhicule qui a plus de 25 ans d'avoir l'air neuf ! Concernant la rouille, bien faire attention tout de même. Comment est le sol bois ? tapis caoutchouc ? granilastic ? L'humidité qui stagne sur le sol peut le fragiliser et le faire céder sans préavis sous le poids d'un cheval ! Ne pas hésiter à "ramper" sous le chassis pour en vérifier l'état... l'idéal serait de le mettre sur un pont et de le faire vérifier par un professionnel. De toute façon, elle devrait avoir en main un contrôle technique... Plus généralement, est-ce qu'elle a le carnet d'entretien ?

A noter que le cheval a un point commun avec l'hippopotame, ce sont les deux seuls animaux à posséder une poche gutturale... Fin de la parenthèse anatomique...

C'est tout le problème de la polyvalence, très (trop?) souvent mise en avant au sujet des IC/GC. Ce sont d'excellents chevaux d'attelage, de bon chevaux de randonnées, voire de TREC, peuvent s'essayer au dressage - après avoir vaincu les préjugés liés à leur pilosité abondante, mais ne sont pas adaptés au saut, même s'il y a des exceptions. A mon humble avis, la polyvalence se fait au détriment du type "originel", un cheval de taille moyenne +/- 1,50, voire plus petit, court, rond, plutôt "lourd". On peut voir le cheval - et le marché qui en découle - de deux façons: 1) un cheval est un produit comme un autre. l'expression peut être choquante mais elle est volontaire. On détermine les besoins du client et on adapte le produit en conséquence. C'est du marketing. Cf le mérens, estampillé "poney" dans les années 70 parce que cheval de trait 4a faisait "péquenot" et qu'il y avait de la demande pour les poneys, puis à nouveau "cheval" vers 1995 (parce que "poney" était un peu réducteur et limitait le marché aux enfants), mais avec des modèles de plus en plus légers pour coller à la demande. 2) un IC/GC a un type bien défini, voir plus haut, on s'y tient et on accepte que le marché soit plus limité. J'ai volontairement fait le choix d'acheter un poulain pour les mêmes raisons. Même si j'ai confié le débourrage à la monte à un professionnel parce que je ne m'en sentais pas l'aptitude et pour ne pas faire d'erreur, j'ai pris un soin tout particulier à m'occuper du poulain pendant les deux ans où il "n'a servi à rien" pour lui enseigner les rudiments de bonnes manières - donner les pieds, marcher en longe, ne pas bousculer, se laisser soigner...etc...- histoire de ne pas avoir une furie totalement désociabilisée ! Je pense que cette façon de faire est relativement marginale. Et encore plus si on souhaite toucher des clients qui ne font pas partie du milieu équestre à la base, c'est à dire le plus grand nombre. Le problème de la vente des poulains, même de grande qualité au sens où un éleveur - fidèle au standard - l'entend, est lié au fait que l'achat d'un cheval, de surcroit de loisir, obéit aux mêmes règles que n'importe quel achat. Le client souhaite un produit clé en main, prêt à l'emploi, ce qui n'est pas le cas d'un poulain.

Je ne sais pas si la communication intuitive est comme le brain reinstatement ou kinésiologie... Pour ma part, il y a quelques années, j'ai expérimenté un peu "à l'issue de mon plein gré" la kinésiologie avec mon mérens. J'avais fait la connaissance d'une personne qui pratiquait cette "technique" notamment avec ses animaux - elle avait soulagé un âne qui s'était empoisonné avec des plantes toxiques - et elle l'a appliquée sur mon mérens, qui était particulièrement brutal avec ma fille alors agée de 12 ans (modèle crevette). C'est mon mari qui a servi de "vecteur" entre le cheval et elle, et elle a déterminé que le cheval avait eu une expérience malheureuse avec un femme, ce qui expliquait son comportement... Toujours est-il qu'après cette séance, tout s'est mieux passé...la question est de savoir si elle a vraiment agi sur le comportement du cheval ou si ma fille - rassurée - s'est senti plus à l'aise face à lui et a pris le dessus... Mais, bon, au mieux on constate une amélioration, au pire ça fait rien... En tapant "kinésiologie animale" sur internet, on trouve des gens qui pratiquent et des infos.

Oui, oui, j'ai bien compris..., j'ai bien dit qu'on ne pouvais pas les considérer comme gitans...(l'heure tardive sans doute ) tout comme on sait qu'ils étaient présents sur le sol irlandais à l'arrivée des anglo-normands au 13ème siècle, et avaient une vie nomade (ils étaient peut-être aussi artisans) L'allusion à leur langue spécifique atteste simplement qu'il s'agit bien d'un groupe distinct des gitans, ce qui accrédite la thèse de leur présence depuis le moyen âge, voire bien avant (d'ailleurs, cette langue est proche du "old irish", qui se parlait avant 1200) C'est un fait qu'il y a peu d'informations détaillées à leur sujet, peut-être parce qu'ils ont eux-mêmes perdu trace de leur propre histoire...problème des cultures orales. Quelques infos sur http://www.travellerheritage.ie/history_and_language.asp D'autres liens http://www3.ul.ie/~library/travellers/irishtravellers.htm Bon courage

D'un côté, une étude génétique a été effectuée il y a peu pour déterminer l'origine des Irish Travellers. La conclusion est qu'on ne peut pas les considérer comme des gitans ou des roms, originaires d'Inde. Ils seraient les descendants de ménestrels et de poètes (druidiques) ou encore des nobles irlandais "pure souche" dépossédés de leurs terres, idée renforcée par le fait qu'ils parlent une langue proche de l'irlandais ancien, sheldroo ou sheldra, et que souvent leurs noms sont ceux de très vieilles familles irlandaises. De l'autre, ceux qui pensent que le nomadisme est simplement la conséquence de l'extrême pauvreté. Le tout sur fond de polémique au sujet de la reconnaissance de minorités... Mais là n'est pas le débat...d'autant plus que pour un spectacle, l'idée des ménestrels et poètes est plus séduisante que celle de pauvres gens poussés sur les routes par la faim !!!

Pour un cheval pied nu, c'est plutôt bon signe que les pieds soient durs...