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Max|mum-leterrarium

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  1. MOOREA, le 22 octobre 2014. (COMMUNIQUE DE LA PRESIDENCE) Au cours de son déplacement à Moorea, essentiellement placé sous le signe des chantiers d’équipement, le président Edouard Fritch et sa délégation se sont longuement arrêtés à la clinique des tortues de l’association Te Mana o te moana, à l’invitation de sa présidente, le docteur Cécile Gaspar. La navigatrice Maud Fontenoy, très impliquée également dans l’éducation à l’environnement au travers de sa fondation, et qui séjourne régulièrement en Polynésie, était également présente pour accueillir Edouard Fritch. Pendant une heure, Cécile Gaspar a fait la présentation des actions de son association en faveur de l’éducation à l’environnement marin. Comme à l’accoutumée, de jeunes enfants étaient également présents sur le site pour apprendre, de manière très ludique, les gestes de la protection du milieu marin et notamment des tortues. Des kits de jeux ont en effet été fabriqués à cet effet. Kits qui peuvent d’ailleurs être acquis par les écoles, ce qu’envisage de faire Edouard Fritch pour sa commune de Pirae. Le président s’est également montré particulièrement attentif aux problèmes que rencontre l’association en matière de recherche sur les tortues en raison d’un réglementation locale inadaptée au développement des progrès scientifiques. Il a proposé d’organiser très prochainement une réunion à Papeete avec les ministères concernés et les représentants de l’association afin de faciliter le travail de cette dernière. Enfin, après avoir visité la clinique des tortues, le président a été invité à effectuer le baguage d’une tortue blessée qui a été transportée depuis Rangiroa pour être soignée. Tortue qui a également reçu le nom de son nouveau parrain, Tereori, le nom tahitien du président Fritch. Source
  2. Une toile d'araignéeDe nombreuses maisons sont infestées d'araignées à Calgary Photo : iStockphoto Les entreprises d'extermination de Calgary sont débordées depuis quelques semaines. Elles ont reçu une centaine d'appels concernant des infestations d'araignées. Avec les températures qui commencent à chuter, les insectes cherchent un endroit pour se mettre au chaud. Cette année, les araignées sont nombreuses à vouloir s'infiltrer un peu partout, dans les maisons de Calgary. Malgré leur aspect répugnant, la plupart des spécimens trouvés, des pholcidae, sorte d'araignées à longues pattes, sont inoffensifs, explique Nicholas Holland Peregrine, propriétaire de Peregrine General Pest Control. Il s'étonne toutefois de la quantité de toiles d'araignées qu'ils trouvent chez les clients. Le meilleur conseil pour éloigner les araignées selon l'exterminateur : garder sa maison propre! Source
  3. C’était bien un cobra! Le serpent qui a été repéré dans le parc Puget par plusieurs promeneurs en septembre n’était donc pas une couleuvre de Montpellier, et encore moins une chimère. L’alerte avait été lancée en septembre par un promeneur qui avait pris en photo le reptile. Malgré les battues, l’animal était resté introuvable. Au point que certains avaient émis des doutes sur l’existence du serpent. «Eh bien, ce n’était pas un canular», a lancé mardi Yves Moraine, le maire (UMP) du 4e secteur. Après avoir étudié la photo du reptile, les herpétologues du bureau d’études Ecomed sont formels. «La coiffe, que l’on voit sur la photo, est celle du type cobra», assure Julien Viglione, directeur général d’Ecomed. « Potentiellement mortel » L’animal, qui mesure entre 80 cm et un mètre, provient sans doute d’Afrique du Sud. Âgé de 3 à 4 ans, il est «potentiellement mortel». Pendant 10 jours, les herpétologues ont posé des pièges dans le parc Puget pour essayer de le capturer. Peine perdue. «La probabilité qu’il soit encore vivant aujourd’hui est assez mince», indique Grégory Deso d’Ecomed. Il est sans doute mort sous les roues d’une voiture, ou plus probablement victime d’une des battues organisées par les marins-pompiers, voire d’un prédateur (les rats par exemple). «On n’aura pas plus de certitude aujourd’hui, sauf à retrouver le cadavre», reprend Yves Moraine, qui a donc pris la décision de rouvrir le parc Puget vendredi. Trois gardiens seront présents pour rassurer les familles. Ils seront «armés» de gants, de crochets et d'un «effaroucheur», c'est-à-dire d'un bâton. 60 euros le jeune cobra Reste à savoir comment un cobra a pu arriver à Marseille. Pour posséder un tel animal, il faut le déclarer à la Direction des services vétérinaires qui délivre un certificat de capacité animalier. Selon les experts d'Ecomed, une dizaine de personnes seulement possèdent ce certificat à Marseille. Aucun d'entre eux n'a signalé de disparition. «Le serpent a sans doute été acheté illégalement, reprend Julien Viglione. Il y a des marchés européens, comme à Hamm en Allemagne, où l'on peut acheter facilement des jeunes cobras.» Leur prix: une soixantaine d'euros. «Ensuite, soit il s’est échappé de son terrarium, soit on l’a abandonné volontairement.» Source
  4. Une équipe internationale de chercheurs vient de démontrer que la longévité des reptiles dépend de leur environnement, de leur nourriture... et de leur activité sexuelle ! SEXE. Vivre vite et mourir jeune serait un adage qui s'applique aussi aux reptiles à écailles (Lepidosauria). C'est du moins la conclusion d'une étude récente menée sur la longévité de ces animaux. Selon les scientifiques, un reptile à écaille est susceptible de mourir jeune s'il atteint la maturité sexuelle plus tôt et s'il se reproduit plus souvent que ses congénères. En somme, plus un reptile a des rapports sexuels, plus sa vie est courte. Informations. Pour en arriver à ces conclusions, les chercheurs se sont intéressés à plus de 1000 espèces de reptiles à écailles dont 672 lézards et 336 serpents. Pour chaque espèce, ils ont compilé les informations sur la taille et la température du corps, le mode de reproduction et l'âge de la première reproduction. La taille des couvées, la fréquence de ponte, l'alimentation et le temps d'activité ont aussi été pris en compte. Les reptiles qui se reproduisent fréquemment ont une vie plus courte En fait, les espèces qui vivent le plus longtemps sont celles qui ont une reproduction peu fréquente et "retardée", ainsi qu'une température du corps moins élevée. Ces espèces ont également moins de petits ou des couvées moins importante. Mais des nouveaux-nés de plus grande taille. A l'opposé, les reptiles qui se reproduisent fréquemment et qui ont des couvées avec de nombreux petits ont une vie plus courte. Alimentation. Au cours de leurs recherches, les scientifiques ont aussi remarqué que les reptiles herbivores ou omnivores vivent plus longtemps que leurs congénères carnivores de taille équivalente. Ces derniers, de part leur régime alimentaire, grandissent plus vite et ont des rapports sexuels plus tôt et plus souvent. Tandis que les reptiles herbivores, qui mangent moins de protéines et d'aliments riches en nutriments, atteignent l'âge de la maturité plus tard et vivent donc plus longtemps. De nombreuses pistes de réflexion pour les études à venir Pour confirmer ces résultats, les scientifiques proposent que, dans le cadre de futures études, deux groupes de la même espèce reçoivent une nourriture différente. Le but est de voir comment cela affecte le temps de croissance et la maturité chez chaque animal. En définitive, les résultats montrent qu'il y a bien un lien entre l'âge de la première reproduction, le taux de reproduction et l'espérance de vie. Cette première étude comparative, à grande échelle, de la longévité chez les animaux à sang-froid permet donc d'ouvrir de nombreuses pistes de réflexion pour les études à venir. Source
  5. Lola, une tortue de Miami, souffrait de constipation depuis un mois, rapporte L'Obs. Il aura fallu lui faire passer une radio pour trouver l'explication à ses maux: la demoiselle de 10 ans avait avalé un pendentif... en forme de tortue! Le radiographe a d'abord cru à une blague des techniciens mais non, il y avait bien une petite tortue dans la grosse tortue. Depuis, Lola est traitée à la clinique avec des lavements et des laxatifs pour évacuer le bijou par elle-même. Sinon, elle devra être opérée. Source
  6. Pour passer le temps en dehors des heures de travail, Chris Stephens a trouvé un petit boulot plutôt original. Il est l’un des 83 chasseurs de crocodiles habilité à déloger les alligators nuisibles dans l’État du Texas. Loin d’être une corvée, pour le soignant, c’est une véritable passion. « J’aime les alligators, je suis passionné, donc j’aime aider dès que je peux », dit-il. Au Texas, les alligators sont nombreux. Ils sont considérés comme dangereux dès lors qu’ils adoptent un comportement agressif ou s’approchent trop près des zones résidentielles. Mais la plupart du temps, ce sont les reptiles eux-mêmes qui sont menacés. Très prisés pour leur viande et leur peau, ils sont les victimes des braconniers. Lorsqu’il est arrivé à Cullinan Park, Chris a aperçu cet alligator, la gueule attaché par une corde. Le reptile a eu de la chance de tomber sur Chris. Ce dernier lui a immédiatement trouvé une nouvelle maison, un zoo plein de crocodiles. Le chasseur a transmis sa passion pour les alligators à toute sa famille. Il leur enseigne comment capturer les reptiles, leur trouver un nouveau domicile mais aussi le comportement à adopter face à eux. La première des règles qu’il transmet à ceux qu’ils croise: ne jamais nourrir un crocodile sauvage. Source
  7. Un hôtel bien particulier vient de voir le jour dans le Boisé du Parc Marcel-Laurin. Ici, les chambres sont faites de boue, de paille et de briques, et sont construites spécialement pour attirer les insectes. Le 3 octobre, l'organisme VertCité a invité des étudiants du Collège Vanier à bâtir cette intrigante structure réalisée en bois non traité de pruche et de cèdre. L'objectif ? Favoriser la biodiversité en proposant à certains insectes utiles des habitats propices à leur survie, notamment durant la saison hivernale. « Les installations construites par les hommes ne sont souvent pas très favorables aux insectes, notamment parce qu'elles causent de la pollution et qu'elles envahissent les espaces verts, explique Simon Broquet, Coordonnateur de l'éco-quartier Saint-Laurent chez VertCité. On a donc essayé de leur redonner un petit peu de place pour les encourager à rester parmi nous. » L'hôtel du Parc Marcel-Laurin offre des habitats pour les carabes, les syrphes, les coccinelles, les abeilles solitaires, les chrysopes et les bourdons. Il est séparé en plusieurs chambres, propices à attirer un type d'insecte en particulier. « Les chambres de niveau inférieur, par exemple, sont accessibles aux insectes terrestres, qui peuvent facilement y grimper, indique M. Broquet. On choisit les matériaux et les végétaux qu'on y installe de manière à leur plaire et à les attirer. » Les carreaux réservés aux perce-oreilles sont donc remplis de pots de fleurs vides en argile dans lesquels on a déposé du foin, des feuilles et de l'herbe pour qu'ils puissent nicher à l'intérieur. Pour les abeilles solitaires, on installe des buches de bois trouées et de la terre pour leur permettre de se creuser une galerie et de s'y enfouir. « Les insectes vont mettre un certain temps avant de réaliser l'utilité de l'hôtel, explique Marc Cohen, professeur au Collège Vanier. Plusieurs d'entre eux font leur nid dans le sol, et ne parviennent plus à le retrouver lorsque la neige tombe. Comme notre hôtel est au-dessus du sol, ils pourront y loger durant toute la saison froide, en plus d'avoir une certaine protection contre le froid et le vent. Les étudiants du Collège Vanier mettent la main à la pâte Mark Cohen et Richard Klopp offrent chaque session aux étudiants du Collège Vanier un cours axé sur le développement durable, dans lesquels ils réalisent une multitude de projets. « Je voulais emmener mes étudiants dans un environnement naturel pour les exposer à la biodiversité, raconte Mark Cohen. La plupart d'entre eux ont grandi en ville, et ont eu très peu de contact avec la nature. J'ai découvert que le Parc Marcel-Laurin est un des seuls endroits à Montréal qui est un habitat naturel pour les espèces utiles. L'organisme VertCité m'a ensuite proposé l'idée de l'hôtel pour insectes. » Les étudiants ont donc pu trouver le matériel nécessaire et bâtir chaque chambre selon leur utilité respective. Selon l'enseignant, ils étaient vraiment excités par le projet. « Quelques étudiants hésitaient à se salir les mains, au début. Mais ils se sont vite retrouvés à quatre pattes dans la boue. Ils étaient fiers de construire quelque chose de concret, qu'ils pourront visiter l'année prochaine pour constater les résultats. » Source
  8. "Elle a bien toutes ses dents, on les a comptées!", explique Yveline Huguet en montrant l'imposante mâchoire de la momie de crocodile égyptienne, sous le regard ébahi de spectateurs venus au Louvre-Lens découvrir le travail des restauratrices. "On lui refait une beauté, elle était dans un état très empoussiéré et encrassé", confie l'experte de 48 ans dans les entrailles du musée ouvert en 2012, qui a décidé de faire découvrir ses coulisses aux visiteurs, dans un voeu de "démocratisation culturelle". "Dès la conception du Louvre-Lens, on a voulu montrer au public le fonctionnement du musée et faire découvrir l'ensemble des métiers qui sont à l'oeuvre", souligne Jeanne-Thérèse Bontinck, médiatrice de la visite. Au Louvre parisien, les ateliers de restauration sont fermés au public. La momie de crocodile, qui sera exposée du 5 décembre prochain au 9 mars 2015 lors de l'exposition "Des animaux et des pharaons", est parfaite pour montrer l'importance de ce travail d'orfèvre et impressionner les plus jeunes. Avec ses 2,49 m et ses écailles, l'animal en impose. "Il est mort de vieillesse s'il a 2000 ans, non?" interroge la petite Estelle, venue de Lyon et en vacances dans le Pas-de-Calais, à la restauratrice interloquée. "Il avait cette couleur bizarre depuis le début? Comment est-ce qu'il a fait pour perdre ses bandages?", demande-t-elle encore, suscitant des sourires amusés. Pendant une semaine, des groupes d'une quinzaine de personnes ont pu deux fois par jour contempler gratuitement le travail des deux expertes mais aussi leur poser des questions sur la manière de restaurer les oeuvres culturelles. Une grande baie vitrée, située en haut de l'atelier de restauration, permet également aux visiteurs de voir le travail minutieux des deux femmes au contact de l'animal reposant sur une grande civière. Cure de jouvence En cinq jours, nettoyant l'animal avec des outils chirurgicaux (scalpel, pinces à cran...), les deux restauratrices ont dépoussiéré le crocodile, avec un aspirateur spécial muni d'un petit filtre permettant de contrôler tout ce qui est aspiré. Puis s'est ouverte une seconde phase consacrée au nettoyage à l'aide d'une éponge sèche, de cotons tiges humidifiés et de dissolvants, de manière à redonner du lustre au cuir du spécimen antique. Selon Mme Huguet, moins de 10 personnes en France ont les compétences pour mener à bien ce travail de fourmi. "La principale qualité requise est la patience", note-t-elle. Au bout d'une semaine de travail, le crocodile, acquis en 1817 par le musée parisien et exposé habituellement au département des antiquités égyptiennes, sortira transformé de sa cure de jouvence. "Il a changé d'aspect mais je le reconnais, c'est bien mon crocodile", sourit Hélène Guichard, la conservatrice en chef de ce département et commissaire de l'exposition, alors que l'exercice n'en est encore qu'à mi-parcours. "Cette opération d'ouverture de la restauration est très importante car le public ignore ces métiers, avec des formations extrêmement exigeantes", se félicite-t-elle. Ainsi pour l'exposition "Des animaux et des pharaons. Le règne animal dans l'Egypte ancienne", les deux tiers des 430 oeuvres exposées auront bénéficié d'une restauration. Emeline Druelle, étudiante en licence d'histoire de l'art, est, elle aussi, ravie de sa visite. "C'est une chance de pouvoir voir ce travail et d'être à côté d'une momie vieille de 2.000 ans", dit-elle. Source
  9. Deux Américains du Missouri font une rencontre dont ils se souviendront toujours : une araignée-loup femelle transportant sur son dos un étrange chargement. Visiblement en train de chercher un refuge sûr et à la fois accueillant, cette araignée-loup (Lycosidae) a effrayé deux hommes vivants dans le Missouri aux Etats-Unis. D’autant plus que la femelle arachnide n’était pas toute seule, mais son abdomen fourmillait de ses petits à peine éclos et tout frétillants. Ne cédant pas à la panique, Bobby Brown, l’un des deux habitants a aussitôt filmé l’effrayant spécimen. Comme rapporté par le site maxisciences.com, "l’araignée présentait du haut de son corps jusqu’au bout de ses pattes une envergure d’environ 10 centimètres de diamètre. Des petits fixés sur le dos de leur mère Caméra en main, Bobby Brown a filmé la créature, jusqu’à être suffisamment proche pour pouvoir distinguer ses petits." Selon toujours nos sources, l’on sait que les espèces d’araignées-loups qui sont assez fréquentes dans le Missouri transportent leurs œufs logés dans un sac maintenu sous leur abdomen. Quand les dizaines de petits émergent de leur œuf, ils grimpent sur l’abdomen de leur mère et s’accrochent à l’aide de poils spécialisés. Cet abri de fortune leur permet d’échapper à l’attention des prédateurs et cela augmente leur chance de survie. Les araignées-loups ne ressemblent pas à la plupart des arachnides tissant des toiles pour attraper leurs victimes car elles les pourchassent immédiatement au sol. A titre de repère, elles se servent alors des vibrations émises par les pattes ou les ailes de leurs proies. Il peut arriver que ces créatures rôdent dans les habitations. Néanmoins, celles-ci ne mordent qu’exceptionnellement lorsqu’elles se sentent en danger. La morsure n’est pas dangereuse, mais provoque uniquement des rougeurs ou un gonflement. L'effrayante surprise d'une araignée-loup découverte dans une maison par Gentside Découverte Source
  10. Les serpents ont beau avoir une réputation de redoutables prédateurs, certains animaux n'hésitent pas à venir les titiller. C'est ensuite le plus agressif ou le plus ingénieux qui l'emporte. Un incroyable combat entre un écureuil et un serpent par Gentside Découverte Des Américains ont capturé un combat pour le moins inattendu en pleine nature. A quelques mètres d'eux, ils ont surpris un serpent se faire attaquer par... un écureuil ! Un duel tellement inhabituel que les hommes sont restés captivés et n'ont pas réussi à détacher leurs yeux de la scène qu'ils ont immortalisée avec une caméra. Malgré leur aspect de peluche, les écureuils ne sont pas aussi inoffensifs qu'on l'aurait cru. Et si on ne sait pas réellement qui a engagé le combat, il semblerait bien que ce soit, ce spécimen, sans doute un spermophile de Californie, qui en est à l'origine. D'environ une vingtaine de centimètres, l'animal ne se laisse pas impressionner et se montre très agile. Les pattes en avant, il tient tête au serpent, d'une espèce indéterminée, qui lui tente de mordre le rongeur. Mais ce dernier continue à avancer, se dressant même sur ses pattes arrières comme pour présenter ses poings. Au final, l'écureuil toujours aussi en forme malgré les assauts du serpent semble remporter le combat alors que le reptile finit la gueule en sang. Source
  11. SALON - Reptilyon accueille ce week-end à Lyon tout plein de bêtes que vous ne voyez sans doute pas tous les jours. Caméléons, serpents, tortues, lézards... il y en aura de toutes les tailles et de toutes les couleurs. Approcher au plus près des serpents et caméléons, observer des scorpions lumineux ou déguster des insectes… voici le menu du premier salon Reptilyon. Ce week-end, l’association pour la découverte de la nature (ADN) propose de rencontrer 200 espèces de reptiles, amphibiens et arthropodes (arachnides, crustacés, insectes, etc.) à la salle de la Ficelle, dans le IVe arrondissement de Lyon. "Lors du dernier Papillyon, que nous organisons depuis 30 ans, le stand reptile avait fait un carton. Cette fois-ci, quelques professionnels mais surtout beaucoup de passionnés mettent en commun leur collection et savoir-faire pour faire de la pédagogie", développe Yvan Oelschlager, président d’ADN. L’association regroupe une trentaine de passionnés de terrariophilie, discipline qui consiste à garder en vie des espèces végétales et animales insolites dans un milieu plus petit mais similaire à leur mode de vie naturel. Animations dignes de Koh-Lanta ou Fort Boyard Les personnes désirant débuter un élevage pourront donc obtenir des renseignements sur les caméléons, serpents, lézards, tortues et les amphibiens, dont des dendrobates (grenouilles colorées) et axolotls (salamandre qui vit sous forme de larve). Un stand accueillera les insectes, avec des mantes et des phasmes, et les plantes carnivores, orchidées et épiphytes. "Nous présenterons également des espèces de la faune française, notamment les scorpions et les serpents. En répondant par exemple aux questions du type ‘quelles différences entre vipères et couleuvres ?, ‘comment réagir quand on les rencontre ? ou ‘que faire en cas de morsure ?. Il ne sert à rien de tuer ces reptiles, car ce sont des alliés efficaces pour lutter contre les rongeurs, explique Yvan, éleveur de couleuvres. Elles mangent même plusieurs souris par semaine !" Enfin, certaines animations à la sauce Koh-Lanta ou Fort Boyard raviront autant les enfants que les parents. Qui osera manger des criquets et des grillons ou tremper sa main dans des bocaux remplis de surprises gluantes ? 1er Salon faune et flore insolites, salle de la Ficelle, boulevard des Canuts, Lyon 4e. Samedi de 9 heures 30 à 18 heures 30 et dimanche de 9 heures 30 à17 heures 30. Tarifs : 3-6 euros (gratuit – 12 ans). Infos : 06 65 08 01 62 ou contact@papillyon.info. Légende : Contrairement à Papillyon, les espèces vivantes, comme le caméléon, constitueront la majorité du salon. Source
  12. Un champignon d'origine asiatique pourrait décimer ces amphibiens. Il progresse à travers l'Europe et touchera bientôt les Etats-Unis. PAYS-BAS. Depuis l'année dernière, au Pays-Bas, une épidémie mystérieuse a provoqué un déclin rapide des populations de salamandres et de tritons. Une équipe internationale a étudié le pathogène en cause et lance une alerte concernant sa probable introduction aux Etats-Unis. Ils appellent à prendre des mesures urgentes pour le contenir. Présent en Asie depuis des millions d'années Les investigations menées par les scientifiques sur plus de 5.000 amphibiens dans le monde ont permis d'identifier le responsable de cette épidémie. Il s'agit d'un champignon baptisé Batrachochytrium salamandrivorans. Il est originaire d'Asie du sud-est et y existe probablement depuis plusieurs millions d'années. Son existence est mentionnée pour la première fois en 1861 en Thaïlande, au Viet-nam et au Japon. Il n'est pas pathogène pour les espèces locales qui sont infectées sans contracter de maladie. 100%. En revanche, les espèces européennes et américaines, qui n'ont pas été en contact avec le champignon et n'ont donc pas pu fabriquer d'anticorps contre lui, développent une maladie mortelle une fois infectées. Selon les chercheurs, qui publient leurs résultats dans la revue Science, seules les salamandres et les tritons sont menacés, les autres amphibiens ne semblent pas sensibles à ce champignon. Il est très virulent avec une mortalité de 100% pour certaines espèces de tritons. Une mortalité de 100% pour le triton à taches rouge. Nicholas Caruso. Un risque d'extinction élevé Les analyses ont confirmé l'arrivée récente (l'année dernière) en Europe de Batrachochytrium. Actuellement il n'a été retrouvé qu'aux Pays-Bas et en Belgique mais l'épidémie continue de se propager. Une des premières victimes est la salamandre tachetée, dont l'extinction est évoquée. Les Etats-Unis et le reste du continent Nord-Américain sont pour l'heure indemnes mais le risque d'une introduction du champignon y est très élevé. Il a sans doute voyagé avec des animaux importés pour le commerce depuis l'Asie. Salamandres et tritons constituent en effet une part importante des ventes des animaleries depuis que les NAC (nouveaux animaux de compagnie) sont en vogue. ALERTE. Les scientifiques lancent une alerte afin d'établir d'urgence des mesures de surveillance des animaux importés même si la tâche apparait démesurée. Pour le seul triton à ventre de feu (Cynops orientalis), qui vient de Chine, les estimations indiquent que plus de 2 millions d'individus potentiellement porteurs sains du champignon ont été introduits aux Etats-Unis entre 2001 et 2009. Des tests en laboratoire ont montré que la mortalité était aussi de 100% pour de nombreuses espèces américaines volontairement infectées. Les chercheurs redoutent une épidémie majeure qui provoquerait l'extinction de plusieus amphibiens qui font par ailleurs face à de nombreuses autres menaces. Source
  13. Mordue au bras en pleine nuit par une araignée, le 20 octobre dernier, une jeune Anglaise de 21 ans s’est retrouvée confrontée à de violentes douleurs. Paralysée par la douleur, la demoiselle a dû être hospitalisée quatre jours. Le plus inquiétant est que la race de l’arachnide n’a pu être déterminée. Lauren Reid, 21 ans, de Birmingham, a récemment vécu dernier une expérience assez étrange, provoquée par une morsure d’araignée non identifiée... C’était le 20 octobre dernier, en pleine nuit. Alors que la demoiselle rechargeait ses batteries dans son lit, elle fut réveillée par une violente douleur au niveau du bras gauche. "J’ai frotté un coup sur mon bras et j’ai senti que quelque chose sortait de ma peau. On aurait dit un gros cheveu noir", a-t-elle expliqué au Birmingham Mail. "Je l’ai retiré puis je suis allée nettoyer la zone avant de me recoucher." C’est le lendemain matin, au réveil, que Lauren prendra conscience de la sévérité de la blessure. "La petite marque rouge que j’avais constatée durant la nuit s’était transformée en une sorte de gros bouton. Je me suis dès lors rendue chez le médecin, qui a comparé ça à un abcès." Armée d’antibiotiques prescrits par son médecin, Lauren rentre chez elle... avec la douleur. Une douleur atroce, qui s’accompagne d’étourdissements, de maux de tête et de nausées. "Mon bras était tout chaud et me procurait des lancements effroyables. La situation était si inquiétante que nous avons décidé, mon ami et moi, d’aller à l’hôpital." Un hôpital où elle restera finalement quatre jours en observation, soignée par des antibiotiques administrés en intraveineuses. "Je pense que si mon ami n’avait pas insisté pour aller aux urgences, j’aurais pu perdre mon bras", explique Lauren, qui attend le résultat des analyses avec fébrilité, paralysée à l’idée de retourner dormir dans ce lit. Paralysée par l’idée de se faire mordre à nouveau... Source
  14. Le docteur Hoskin, de l'université James Cook, a mis la main, dans une zone éloignée du Queensland, sur ces nouvelles espèces de lézards. INCONNUES. L'Australie abrite un grand nombre d'espèces dont certaines nous sont encore inconnues. Heureusement, des scientifiques n'hésitent pas à se rendre dans des zones reculées pour faire avancer la science. Le Dr Conrad Hoskin de l'université James Cook est de ceux là. Alors qu'il se trouvait dans la forêt tropicale humide du Queensland, dans la région du Cap Melville, il a pu découvrir deux nouvelles espèces de lézards. Sa première découverte est le scinque arc-en-ciel du Cap Melville (Carlia wundalthini). Il mesure environ 10 cm et est actif durant la journée. Le scinque à lèvres rayées du Cap Melville (Glaphyromorphus othelarrni) est la deuxième trouvaille du Dr. Hoskin. Ce lézard peut atteindre 20 cm de longueur et sort à l'air libre au crépuscule. Le Dr Hoskin n'en est pas à sa première découverte dans cette zone. L'an dernier, il avait révélé l'existence de trois autres espèces de reptiles vivant dans la région du Cap Melville : la grenouille rocher, le lézard doré, et le gecko à queue feuillue. Source
  15. Le varan des savanes fait partie de la catégorie des sauriens, dans la famille des varanus. Le Varanus exanthematicus est soumis à l'annexe 2 de la Cites. Ce qui signifie qu'il doit obligatoirement avoir un papier appelé CITES indiquant des numéros et lettres. Ce document prouve sa provenance et sa légalité. Le varan exanthématicus est un des varans les plus dociles. C'est l'espèce la plus commune en terrarium. Il est également utilisés pour de nombreux produits en cuir de peau de lézards. LeVaranus exanthematicus est répertorié comme une espèce menacée depuis1998. En Afrique, il est persécuté pour sa peau et comme une source de nourriture par les indigènes. Selon la litérature, le varan des savanes auraient cinq sous-espèces. Voilà le pourquoi il existe tant de différence dans les descriptions et la taille des spécimens. Le varan des savanes est un petit varan, il mesure entre 80 et 100 cm.un gros mâle peut parfois atteindre 120 cm. La femelle dépasse rarement les 90 cm. Il s'agit d'un varan large, trapu mais bien proportionné. Il a une tête longue et un cou court. De petites écailles recouvrent la boîte cranienne. La langue est bleue. Sa queue va en rétrécissant et possède une crête à double denture. La coloration de la queue est constituée d'une alternance d'anneaux brunet jaunâtre. Sa peau est marron clair ou grise avec des tâches blanches sur le dos plus visibles chez les juvéniles, les adultes étant par la suite un peu plus ternes. L´espérence de vie tourne autour de 12 ans. Il est préférable de choisir en priorité un spécimen jeune et né en captivité lorsque c'est possible. L'animal ne doit pas être agressif ni envers vous ni envers ses congénères. Il doit manger avec entrain, les varans sont très "goulus", vérifiez donc sa voracité. Il faut ensuite observer et détecter toutes déformations, plaies, infections, cloaque, parasites,... si vous repérez un de ces signes, ne prenez pas l'animal. De plus, observez l'aspect général du varan, il ne doit pas être maigre, ses os ne doivent pas être apparents aux niveau du croisement du bassin et de la queue. Cette espèce se rencontre en Mauritanie, au Sénégal, en Gambie, en Guinée-Bissau, en Guinée, au Sierra Leone, au Liberia, au Mali, en Côte d'Ivoire, au Burkina Faso, au Ghana, au Togo, au Bénin, au Niger, au Nigeria, au Tchad, au Cameroun, en République centrafricaine, au Soudan, au Soudan du Sud, en Éthiopie, en Érythrée, au Kenya, en Ouganda, dans le Nord de la République démocratique du Congo et au Zimbabwe. Elle a été introduite en Floride aux États-Unis. Le varan des savanes est terrestre, son mode de vie est diurne. Les juvéniles ont cependant un comportement semi-arboricole lorsqu'ils se déplacent à la recherche de proies. Le Varanus exanthematicus occupe une variété d'habitats en Afrique. Son habitat préféré est la savane, mais ils se sont adaptés à d'autres habitats aussi. Les lézards sont adaptés à des habitats tels que les zones de type désert rocheux, les forêts et les terres boisées ouvertes. Ils ne sont pas trouvés dans la forêt tropicale ou dans les déserts. Les varans des savanes sont très territoriaux et défendent leur territoire de façon très agressive. Si deux mâles viennent un à l'autre, ils vont essayer d'intimider l'autre en proférant des menaces. Si cela ne fonctionne pas, ils vont se battre et se mordent les uns des autres. Ils peuvent infliger des blessures graves à l'autre. Lorsque acculé, le varan des savanes peut être très agressif. Il sifflera fort, et peut fouetter très fort avec sa queue. Si tout cela ne fait pas peur d'un prédateur, certains ont été connus pour faire le mort. Les varans des savanes sont plus actifs pendant la journée. Ils cherchent souvent refuge dans des terriers durant les périodes les plus chaudes de la journée. Le terrarium doit être de type aride et spacieux. Un terrarium de 200 de longueur, 60 de profondeur et 70 de hauteur est un minimum pour un varan des savanes. L'enceinte doit être capable de résister à des niveaux élevés d'humidité sans se détériorer dans un court laps de temps. Beaucoup de gens utilisent polyuréthane, peinture époxy, ou encore la peinture d'étanchéité destinés à des produits de maçonnerie. Ci-dessous le niveau du substrat, il est préférable d'aligner avec FRP (fibre de verre renforcé de panneaux) appliquer silicone sur les coutures, ou l'avoir recouvert de fibre de verre. Cette couche supplémentaire de matière sera le protéger des griffes d'un varan, grattage de creusement. Le sol peut être constitué de copeaux de bois, de sable préalablement lavé, voir désinfecté mais ce n'est pas ce qui est le plus recommandé. Le substrat doit être un mélange sol / sable (tassé fermement), assez humide pour se tenir un terrier, et environ 18 à 24 + pouces de profondeur. Les avantages de substrat profond sont nombreux, il permet de creuser pour atteindre des niveaux d'humidité plus élevés (en aidant à prévenir la déshydratation), la sécurité à être en mesure de creuser des terriers dit de la vie privée, etc. Des pierres et des branches doivent être disposés, ainsi qu'un tronc d'arbre creux. Il faut également lui proposer un bac d'eau occupant 1/4 de la surface du terrarium. Une lampe solaire ou néon doit être proposé au dessus de la branche, le terrarium peut être chauffé avec un cordon chauffant (voir la partie terrarium du site), un éclairage intense doit être également fourni. La température ambiante du terrarium pendant la journée doit être comprise entre 30° et 32°C, mais peut atteindre beaucoup plus sous la lampe UV. La nuit, la température est abaissée à 22° C. Le taux d'humidité se situera entre 50 et 70%. Un grand bassin d'eau lui permettant de se baigner sera essentiel. Il sera aussi important de tenir l'eau toujours propre. C'est un carnivore, principalement insectivore. Dans la nature, il peut aussi avoir un habitude charognard. Il chasse de nombreux insectes, mais également à l'occasion des gastéropodes, de petits mammifères (rongeurs) comme les souris, ainsi que des œufs. Les repas sont proposés 2 fois par semaine. Le varan des savanes se nourrit exclusivement d'insectes et d'invertébrés dans la nature. Cependant, en terrarium il accepte les rongeurs qui lui procure toutes les vitamines et éléments essentiels. Les varans exanthematicus se nourrissent : - coléoptères, orthoptères, escargots, chenilles, grillons, sauterelles, blattes, vers de farine,... - gastéropodes, oeufs, souris,... - patée pour chien selon certains spécialistes La patée pour chien n'est pas toujours perçue comme nourriture par les varans car elle est statique. Personnellement, je considère que la nourriture pour chien, c'est pour les chiens. Ils se reproduisent durant la saison des pluie. Quand le mâle trouve une compagne, il la suit sans relâche tentant de la gratter dans le cou avec ses pattes et aussi de la mordre dans le cou. Si la femelle est réceptive, elle permettra au mâle de l'accoupler. En captivité, on leur fera un hibernation. Pendant l'hivernage, il se montre très vorace, surtout de juillet à novembre. Les accouplements ont lieu en janvier. Les femelles pondent une vingtaine d'œufs environ qui sont enterrés ou simplement déposés dans un arbre creux ou une termitière. Les pontes peuvent parfois atteindre jusqu'à 50 oeufs. Ils sont de forme ovale et mesurent environ 66 mm sur 35 mm. Ils doivent être incubés à une température variant de 26° à 35°C. L'éclosion a lieu environ 170 jours après, et les petits mesurent environ 15 cm à la naissance. Une nourriture quotidienne doit leur être proposée, puis la fréquence des repas diminuera avec l'âge ; jusqu'à 2 repas par semaine pour un varan adulte. Les juvéniles se développemt le plus rapidement lors de leur deux premiers mois de vie.
  16. C’est officiel, l’un des plus grands serpents du monde animal a donné naissance à six bébés sans jamais avoir été fécondé ! meltyDiscovery vous en dit plus sur cet événement insolite Après l’histoire insolite d’une invasion d’araignées venimeuses aux États-Unis, c’est une histoire concernant l’un des plus grands serpents du monde qui nous a interpellée. En effet, depuis plusieurs années, une femelle de l'espèce malayopython reticulatus du nom de Thelma vit en captivité dans le zoo de Louisville aux États-Unis. Sa seule colocataire est une autre femelle nommée Louise. En été 2012, Thelma a pondu une soixantaine d'œufs, ce qui n’est pas si rare lorsque des femelles sont seules dans un vivarium. Mais voilà, normalement, ces œufs sont vides. Pourtant, à la grande surprise des employés du zoo, ceux de Thelma renfermaient bien de petits serpents. Après en avoir mis quelques-uns en incubation, six œufs ont alors éclos. S’agirait-il d’une intervention divine ? Source
  17. ENVIRONNEMENT - A la suite de la découverte d’un cobra dans le parc Puget du 6ème arrondissement, le site avait été fermé au public. Après plusieurs semaines de recherches, le serpent n’a pas été retrouvé. La mairie de Marseille estime que le reptile est mort. Même si son cadavre n’a pas été retrouvé, personne ne redoute l’hypothétique présence du cobra. Comme si de rien n’était. Fermé depuis plus d’un mois après la découverte d’un cobra, le parc Puget dans le 6ème arrondissement de Marseille a rouvert ses portes ce week-end. Sur les bancs publics, les amoureux profitent d'un dimanche d'automne et se prélassent devant le paysage. Dans les aires de jeux, les enfants gambadent sous le regard bienveillant de leurs parents. La peur du dangereux serpent est balayée par la joie d'un moment bucolique et familial. "Quel cobra ?", nous rétorque d’ailleurs Julien, un jeune père de famille. "Je croyais que c’était du flan cette histoire", réagit-il. Et bien non. Après une période de flottement, la photo du serpent prise par un passant était bien réelle. Pire, après expertise d’un herpétologue (un spécialiste des reptiles), il s’agissait probablement d’un cobra d’Afrique du Sud, une espèce très venimeuse et potentiellement mortelle. "Faut pas s’inquiéter" Après des semaines de battues, le reptile n’a jamais été retrouvé. Conclusion en a été faite que le serpent était bel et bien mort. Mais son cadavre, lui, n’a jamais été découvert. "Jamais, jamais ?", nous demande l’air étonnée Rebah, accompagnée de son mari et de sa petite Massilya. "C’est inquiétant cette histoire, poursuit-elle, je vais peut-être me méfier des herbes hautes", prévient la mère de famille. "La mairie pourrait nous le dire quand même", peste une autre maman. "Parfois, le serpent est revenu et on ne le sait pas", souligne-t-elle. Du côté des agents du parc, c’est motus et bouche cousue. "Pas de commentaires à la presse", nous indique-t-on. "Mais faut pas s’inquiéter", dit avec assurance Fabien, un habitué du parc qui se relaxe. "C’est comme tous les serpents. S’il est encore vivant, il aura peur des vibrations", assure-t-il en tapant du pied. Source
  18. Deux virus détectés en Espagne déciment les populations d’amphibiens et commencent à se propager en Europe. VICTIMES. Au moins trois espèces d’amphibiens ont quasiment été rayées de la carte au nord de l’Espagne, dans la réserve nationale de Picos de Europa (le pic de l’Europe). En cause : deux virus étroitement apparentés qui provoquent des hémorragies généralisées et des nécroses des membres. Plus grave encore des foyers épidémiques apparaissent dans d’autres parties de l’Europe laissant présager un sombre avenir pour les amphibiens dont les populations étaient déjà décroissantes depuis de nombreuses années. Mortalité de masse Il faudra beaucoup de chances aux visiteurs du Pic de l’Europe pour apercevoir un crapaud accoucheur commun, un crapaud commun ou un triton alpestre. Les trois espèces décimées par les virus identifiés en Espagne dès 2005. Trois autres espèces ont été sévèrement touchées aussi mais leurs effectifs restent viables. Un triton alpestre. Stephen Price. Les virus en question appartiennent à la famille des Iridoviridés. Ils sont connus pour causer des maladies chez les poissons et les reptiles et chez de nombreuses espèces d’amphibiens dans le monde. L’étude, publiée dans la revue Current Biology, est la première à documenter une infection d’une telle ampleur et avec de telles conséquences. Les scientifiques y notent l’émergence de virus connexes dans plusieurs parties d’Europe et s’inquiètent du fait qu’ils puissent affecter plusieurs espèces en même temps. Une mauvaise nouvelle "La capacité de ces virus à infecter plusieurs espèces signifie que certaines populations d’hôtes peuvent disparaître mais le virus persister car il y a un autre hôte sensible disponible” explique Stephen Price de l’université Catholique de Louvain. Les chercheurs ont même observé le cas d’un serpent infecté après avoir consommé un amphibien contaminé. Cela signifie qu’il sera très difficile de réguler l’épidémie. ADAPTATION. Autre facteur d’inquiétude : les populations affectées ne semblent pas capables de s’adapter aux virus même après plusieurs années. En effet, aucun rebond n’a été observé dans les effectifs des espèces du Pic de l’Europe. ”Les virus ont des conséquences massives et parfois définitives sur leurs communautés d’accueil” écrivent les chercheurs. Une surveillance étroite des populations d’amphibiens en Europe est donc nécessaire pour suivre l’évolution des virus et prendre des mesures de préservation le cas échéant. Source
  19. Une famille qui habite près de Régina a eu la surprise de découvrir plus d'une centaine de couleuvres des Plaines dans sa maison. Certaines des couleuvres s'étaient même installées dans les chambres et la cuisine, ce qui a poussé la famille à vouloir s'en débarrasser. La directrice de la réhabilitation du Centre d'éducation et de réhabilitation des espèces sauvages Salthaven West, Megan Lawrence, affirme que la famille l'a contactée pour déménager les bêtes. Les couleuvres avaient déjà commencé leur hibernation et bougeaient lentement. « La plupart étaient dans des espaces restreints : dans des fissures dans le plancher et dans les murs, entre les boîtes et sous certains objets. Pas mal n'importe où elles pouvaient se glisser. » — Megan Lawrence, directrice de la réhabilitation au Centre d'éducation et de réhabilitation des espèces sauvages Salthaven West La plus grosse couleuvre mesurait près d'un mètre de long alors que la plus petite ne faisait que 22 cm. Les couleuvres des Plaines sont inoffensives, selon un spécialiste des serpents, le Dr Ray Poulin. Megan Lawrence affirme que la famille sait qu'il reste encore des couleuvres dans sa demeure. Elle dit que les membres de la famille sont conscients des besoins des couleuvres et du danger que le froid représente pour elles. Elle croit qu'ils prendront soin des autres couleuvres des Plaines qu'ils pourraient trouver. Précautions à prendre Vérifier les fissures et les trous dans les fondations par où ils pourraient s'infiltrer Mettre une barrière de gravier autour de la maison Utiliser des gants pour les attraper, peu importe la sorte puisque leur mâchoire n'est pas très forte Ne pas les libérer près de la maison pour éviter qu'elles reviennent Appeler un professionnel si attraper des couleuvres c'est trop pour vous Un cas rare Selon le Dr Ray Poulin, il est rare de voir un rassemblement d'une centaine de couleuvres ou de serpents au même endroit. Il croit toutefois qu'il est commun d'en retrouver dans les maisons lorsque l'hiver approche. En effet, les couleuvres doivent se réfugier sous la ligne de congélation et les fondations des maisons représentent des lieux très bien adaptés. C'est d'ailleurs une des rares options pour les couleuvres dans les Prairies. Ray Poulin note aussi que les serpents et couleuvres en général retournent au même endroit chaque année. Il est donc peu probable que des couleuvres s'installent dans un édifice si elles n'y vont pas déjà. « S'ils ont trouvé votre sous-sol et s'y sont installés, ils vont vouloir y retourner année après année. » — Dr Ray Poulin, spécialiste des serpents Source
  20. Quatre ans. C’est la durée du moratoire sur le commerce des produits fabriqués en peau de crocodiles, imposé à Madagascar. Cette décision de la CITES (Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction) fut basée sur le manque de surveillance adéquate de la population sauvage de crocodiles du Nil. En juillet, la levée de cette suspension a été recommandée, mais plusieurs actions doivent être réalisées auparavant. Il s’agit du suivi de la population sauvage, la surveillance des conflits entre l’homme et le crocodile, et le développement de stratégies pour l’atténuation du conflit, l’amélioration de la gestion et la surveillance continue du commerce de crocodile. La création d’une Unité de gestion de crocodile ou «Crocodile Management Unit» fait partie des initiatives envisagées par les autorités malgaches pour éviter d’être de nouveau frappé d’un embargo. Commerce solide les informations émanant d’une source du Service de la Gestion de la Faune et de la Flore, cette structure sera basée au niveau de la Direction Générale des Forêts, relevant du ministère de l’Environnement, de l’écologie et des forêts. Celle-ci a pour mission d’assurer que les informations sur les populations sauvages, la collectes d’œufs, le conflit homme-crocodile, le suivi et contrôle de l’élevage et la filière artisanale en cuir de crocodile, restent centralisées au niveau de l’Organe de Gestion CITES Madagascar. « Cette unité de gestion sera fondamentale pour l’excellente gestion du commerce, le suivi sur les mouvements d’exportation de peau. Ce sera également une aide pour satisfaire l’obligation de Madagascar envers la CITES, et assurerait un commerce solide qui soutient le développement économique, les moyens de subsistance de la communauté locale et la conservation de la biodiversité », explique-t-elle. La mise en place de cette unité de gestion entre dans le cadre d’un programme sur la conservation et l’utilisation durable du crocodile à Madagascar, lancé la semaine dernière au Carlton. Le programme porte sur les meilleures pratiques dans la gestion du commerce de la peau de crocodile, la conservation, Recherche et Surveillance et les moyens de subsistance et l’utilisation durable. L’objet de ce programme, qui s’étale de 2014 à 2018, est de promouvoir la conservation des populations de crocodiles du Nil de Madagascar, en soutenant l’utilisation durable par les communautés locales, ainsi que le commerce national et international aussi solide que durable des peaux. Il vise également à faciliter des activités à Madagascar, pour répondre aux obligations du pays envers la CITES pour la conservation et la gestion des crocodiles. Source
  21. Kélonia et Réunion des Musées Régionaux organisent Les Journées réunionnaises des tortues marines ce samedi 25 et dimanche 26 octobre prochains à Saint-Leu, de 9h à 18h. Toute l’équipe de l’Observatoire des tortues marines attend petits et grands afin de les sensibiliser à la protection des différentes espèces et de leurs habitats. Tarif unique à 5€. Entrée gratuite pour toute personne portant un vêtement avec une tortue ou présentant un timbre avec une tortue (en rapport avec l’expo temporaire Tortue & Philatélie). Au programme de ces deux jours •Exposition philatélique temporaire « Tortue et philatélie » •Jeu de piste organisé par le service pédagogique de Kélonia avec de nombreux lots à gagner, notamment des places pour de prochaines remises en liberté des tortues soignées. •Atelier maquillage pour les enfants sur le thème "la tortue et l’océan" •Atelier Art-mailing : décoration d’enveloppes sur le thème "la tortue et l’océan" •Structure gonflable pour les plus petits •Présence de la mascotte tortue en peluche pour annoncer chaque animation •Conférence présentée par Mayeul Dalleau sur les connaissances acquises grâce aux programmes de suivis des tortues par balises Argos. Les samedi et dimanche à 17h. Sur réservation au 0262 34 81 10 ou par mail à contact@kelonia.org Equiper 200 tortues marines de l’Océan indien de balises Argos, c’est le défi que tentent de relever depuis 2007, les chercheurs de la station Ifremer de La Réunion et leurs collègues de Kélonia, l’Observatoire des Tortues Marines. Les balises Argos permettent aux scientifiques de suivre à la trace les tortues qui sont capables de parcourir jusqu’à 4 500 km et traverser les mers de 9 pays ! Ce suivi est un outil indispensable pour mieux comprendre leurs migrations, les menaces qui pèsent sur elles et ainsi assurer un suivi et une meilleure gestion internationale de ces espèces migratrices. Mayeul Dalleau, 30 ans, est chercheur au Centre d’Etude et de Découverte des Tortues Marines de la Réunion. Docteur en biologie marine, il est spécialiste de l’étude du déplacement animal par télémétrie satellitaire. Depuis 5 ans, il étudie l’écologie spatiale des tortues marines dans l’ouest de l’océan Indien. Source
  22. Un trafic de tortues de mer, une espèce protégée, a été démantelé à Maurice. C’est grâce à l’intervention d’une patrouille de police de la Terre-Rouge que ces braconniers ont été arrêtés. Jeudi dernier, trois trafiquants de tortues de mer dont un mineur de 15 ans, ont été pris en train de vendre ces animaux protégés à Bois Pignolet. La police n’a pu interpeller que l’adolescent, ses deux complices ont pris la fuite à l’arrivée des forces de l’ordre. Les animaux étaient emprisonnés dans un sac en raphia. Dès que les deux hommes qui tenaient les sacs se sont aperçus de la présence des policiers, ils ont immédiatement détalé, laissant derrière eux l’adolescent. En ouvrant les sacs, grande fut la stupéfaction des policiers en découvrant deux tortues de mer vivantes. Elles pesaient respectivement 35 et 25 kg. Dans le second sac se trouvait une troisième tortue moins chanceuse qui avait été déjà découpée par les braconniers. Mis en examen par le constable Seeboruth, le jeune garçon avoue que le trafic depuis un bon moment. Les complices de l’adolescent seraient originaires de Poudre d’Or. Les tortues de mer proviendraient des eaux de la localité. Il y avait d’après lui quatre tortues de mer découvertes en tout. « Nous avons découpé deux tortues chez un ami, et gardé deux autres en vie ». Par ailleurs, il affirme ne pas savoir que la tortue de mer était une espèce protégée. Ils faisaient du porte-à-porte pour vendre les chairs de tortues à Rs 250 la livre. Les tortues vivantes ont été relâchées. Le jeune garçon a été relâché par la police. Une enquête a cependant été ouverte menée par le sergent Derochoonee du poste de police de Terre-Rouge. Source
  23. Plus grosse araignée du monde par Spi0n VIDÉO L'araignée Goliath, surnommée "mangeuse d'oiseaux" ou "la mygale de Leblond", est la plus grosse araignée du monde. Elle peut mesurer jusqu'à 30 cm d'envergure et peser entre 130 et 170 grammes. Le chercheur Piotr Naskrecki a rencontré cette drôle de bestiole sur son chemin en Amazonie. Piotr Naskrecki.. "Mon attention a été attirée par un bruit étrange sur des feuilles séchées. J'ai pensé dans un premier temps qu'il s'agissait d'un petit mammifère", raconte Piotr Naskrecki sur son blog. A l'instar de nombreuses espèces d'araignées, le mâle Theraphosa blondi est notablement plus petit que sa compagne. On retrouve cette araignée au Brésil, en Guyane et au Venezuela. Une araignée très agressive Son venin est neurotoxique mais peu dangereux pour l'homme. Cependant, ses crochets de deux centimètres peuvent lui infliger une forte douleur, tandis que les poils urticants qu'elle peut lancer, peuvent engendrer de vives et douloureuses démangeaisons, une cécité passagère et des problèmes respiratoires. L'araignée Goliath, appelée aussi "la mygale de Leblond", est l'héroïne du célèbre film Arachnophobie sortie en 1990. Très agressive, elle n'hésite pas à mordre lorsqu'elle se sent menacée. Elle est capable de s'attaquer aux petits mammifères, aux gros insectes, et même aux serpents. Elle possède peu de prédateurs naturels hormis la guête qui paralyse généralement l'araignée avant d'y pondre ses oeufs. Elle referme ensuite la plaie afin que l'araignée encore vivante serve de nourriture à ses hôtes. Source
  24. Voici certainement l’araignée la plus dangereuse découverte à quelques centaines de kilomètres de la frontière belge… Vivant dans le sud de Londres, cette famille britannique a découvert l’horreur en déballant des bananes achetées via le supermarché en ligne, Waitrose, comme l’explique le Daily Mail. Tim, le père de la famille, a été le premier surpris par cette découverte. En souhaitant déballer les bannes qu’il venait de commander, Tim a surpris… une araignée d’une grande taille dans l’emballage. Sous le choc, il a jeté le tout dans un pot, coinçant l’arachnide avec une de ses pattes. Il a pris des photos de l’araignée et a été sur Internet pour l’identifier. Il a finalement découvert qu’il s’agissait… de l’araignée la plus venimeuse connue à ce jour. L’arachnide faisait en effet plus de 20 centimètres et vient des espaces confinés des forêts tropicales d’Amérique du Sud. Tim a appelé directement le service après-vente du supermarché qui a proposé d’appeler la police. Les secours ont indiqué qu’ils ne pouvaient pas prendre en charge l’araignée malgré sa dangerosité : il peut en effet tuer un adulte en deux heures, avec son venin. Le supermarché a finalement proposé d’amener un spécialiste des espèces tropicales. Mais lorsque ce dernier est arrivé, l’araignée avait laissé sa patte coincée dans le pot pour essayer de fuir. Dans le pot, il restait toutefois des centaines d’œufs d’araignée dans l’emballage des bananes ! L’araignée a finalement été rattrapée par la suite et, comme l’a confirmé, l’expert, il s’agissait bien d’une Phoneutria, une espèce très dangereuse pour l’homme, d’une taille imposante. Le supermarché a proposé un bon d’achat de 150 livres et une journée gratuite de shopping comme compensation face à ce nouveau problème sanitaire. Source
  25. La vidéo ci-dessous montre un évènement incroyable : la naissance d'une portée de mambas noirs. Des serpents venimeux qui font partie des plus grands d'Afrique, pouvant atteindre les 4,5 mètres à l'âge adulte. Assistez à la naissance de 14 mambas noirs avec ces images exceptionnelles par Gentside Découverte Il y a des animaux qu'il vaut mieux observer en vidéo qu'en vrai, et le mamba noir en fait partie. De son nom scientifique Dendroaspis polylepis, ce serpent est présent dans de nombreux d'Afrique. Reconnaissable à sa peau jaune-vert ou grise, et à sa bouche noire, c'est l'un des plus grands serpents du continent avec une taille maximale de 4,5 mètres à l'âge adulte. Mais c'est aussi un serpent venimeux qui possède une grande agilité au sol et dans les arbres de la savane arborée où il vit. En observer est tout sauf une tâche aisée. Aussi, c'est une scène assez rare que propose la vidéo ci-dessus : la venue au monde d'une portée de petits mambas noirs, sortant de leurs œufs. A peine sortis, les serpents disposent déjà de l'arsenal venimeux nécessaire pour se défendre et entrer dans la vie de "plain-pied". Le mamba noir possède une grande longévité, et peut vivre jusqu'à 20 ans. Source
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