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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. C’est dans la revue Science que l’on apprend que le redoutable Spinosaurus aegyptiacus est le seul dinosaure connu à être adapté à la vie aquatique en ayant une forme mi-canard, mi-crocodile. Selon Wikipédia, le Spinosaurus est un genre de dinosaures théropodes ayant vécu il y a environ 97 millions d’années, dans ce qui est actuellement l’Afrique du Nord (Maroc). Les connaissances actuelles sur ce dinosaure reposent principalement sur les travaux du paléontologue allemand Ernst Stromer qui s’est appuyé sur des ossements crâniens et postcrâniens. Plus grand que le célèbre T.Rex, le Spinosaurus aegyptiacus était plus grand que tous les autres dinosaures carnivores. C’est grâce à de nouvelles recherches, notamment dirigée par le paléontologue Nizar Ibrahim (Université de Chicago), que des découvertes surprenantes sur le Spinosaurus aegyptiacus ont pu être faites, même une reproduction 3D numérique de son squelette. Alors que les vestiges de squelettes utilisés par Ernst Stromer ont été détruits dans un bombardement de Munich lors de la Seconde Guerre mondiale, les nouvelles recherches se sont appuyées sur de nouveaux éléments. C’est à partir de fossiles découverts dans les Kem Kem au Maroc, un vaste plateau rocheux tabulaire semi-désertique proche de la ville de Taouz, qu’un os long, une nervure en forme de lame avec une étrange ligne rouge, sort du lot. Peu de temps après, de passage au Museo Civico di Storia Naturale di Milano, Nizar Ibrahim a l’occasion d’observer quelques os de Spinosaurus. Oh, surprise, la même ligne rouge est présente. Partant du principe que l’os découvert au Maroc appartenait à un Spinosaurus aegyptiacus, le chercheur est retourné dans le Royaume pour tenter d’en trouver d’autres. C’est alors une véritable équipe de recherche qui découvre d’autres fossiles, tous de la même espèce. Cette importante découverte n’était en fait que le prélude à d’autres découvertes encore plus étonnantes. Si ce site a permis de récupérer de nombreux os du Spinosaurus aegyptiacus, ce qui est une importante découverte paléontologique, il a également permis de découvrir que les fossiles étaient étrangement denses vu qu’ils ne possèdent pas la cavité médullaire habituellement présente dans les os longs des bras et des jambes de la plupart des animaux. E genre d’os se retrouve habituellement dans les animaux marins pour pouvoir contrôler la flottabilité. En combinant les travaux d’Ernst Stromer aux découvertes faites au Maroc, en y ajoutant les éléments recensés dans différents musées du monde, il a été possible de prouver que le Spinosaurus aegyptiacus était en fait un dinosaure adapté à la vie aquatique. Des narines hautes sur le museau, une imbrication des dents idéales pour la chasse aquatique, de petites pattes arrière pouvant servir comme celle d’un canard, un système de canaux dans le museau comme les crocodiles modernes, autant de détails qui laisse à pense que ce spécimen était mi-canard, mi-crocodile. Grâce à la reconstruction numérique 3D réalisée sur la base de ces découvertes, il a également été démontré que son centre de gravité était très en avant, une configuration là encore parfaitement adaptée à la vie aquatique. Comme l’explique Paul Sereno, paléontologue des vertébrés à l’Université de Chicago, « vous ne voudriez pas rencontrer cet animal sur terre ! Une chimère mi-canard, mi-crocodile ! ». Si cette étude a permis de fournir beaucoup de réponses, d’autres questions se posent désormais, comme l’utilité de l’énorme voile que le Spinosaurus aegyptiacus avait sur le dos, comment il se déplaçait dans l’eau, etc… Mais le fait de savoir que ce dinosaure vivait dans l’eau est déjà une avancée énorme en soulevant un grand voile sur le mystère de son existence. Source
  2. Engagés en 2013 car la station d'épuration actuelle de Saint-Gilles était trop petite, les travaux de la future structure sont à l'arrêt. Une association de défense de la nature aurait trouvé sur le chantier deux cadavres de lézards ocellés, une espèce protégée Voilà 10 ans que le projet d'une nouvelle station d'épuration à Saint-Gilles dans le Gard a vu le jour. Après une recherche de terrains interminable et de nombreux recours, c'est finalement un lézard qui va stopper les travaux. Et pas n'importe quel lézard, un lézard ocellé : il est protégé car il fait partie des sept espèces de reptiles menacées d'extinction en France. L'association environnementale Nacicca dit avoir trouvé deux cadavres de lézards ocellés sur le terrain qui doit accueillir le chantier de la nouvelle station d'épuration. Source
  3. L'espèce se nomme "Belisarius xambeui" et on en trouve encore quelques rares spécimens dans plusieurs secteurs montagneux de Catalogne. Ce scorpion aveugle est unique en Europe mais il a des cousins dans la forêt amazonienne. Le scorpion aveugle est une espèce menacée. II a été répertorié pour la première fois par un arachnéologue parisen, Eugène Simon, en 1879. Cet insecte mesure 4 cm et ne possède pas d'yeux, d'où son nom de scorpion aveugle. On le trouve principalement en France, dans le Vallespir et le Conflent mais aussi... en Amérique-du-Sud. La disparition progressive de cet espèce, inquiète les scientifiques. Ils pensent qu'elle serait la conséquence de changements environnementaux. Source
  4. Les trafiquants ne sont pas prêts d’abandonner leurs voies. Une nouvelle expédition de tortues vers Moroni a été effectuée, selon les informations émanant de l’Alliance Voahary Gasy. Ces tortues ont quitté Mahajanga par avion pour atteindre Moroni. Enveloppées dans des couches pour bébé dans six grandes valises, elles sont parties de Moroni en direction de Dar-es-Salam samedi mais la destination finale serait l’Indonésie. Faute de place sur le même vol, le trafiquant n’a pu prendre l’avion pour Dar es Salam que le lundi 8 septembre. Toujours d’après les détails avancés par cette plateforme, ce trafiquant est muni de trois passeports différents, malgache, comorien et indonésien. Informés sur la situation, des autorités ainsi que l’AVG ont contacté la Cites dans le but d’intercepter le trafiquant à Dar-es -Salam ou en Indonésie. Au mois de juin, la brigade aéroportuaire de Moroni–Hahaya, de l’Union des Comores, a saisi huit valises de 25 kg chacune et contenant 1 014 tortues radiées connues sous le nom de Geocheloneradiata ou Astrochelyradiata. Ce trajet, passant par les Comores, est nouveau et encore peu connu mais la destination finale est toujours l’Asie. Selon les estimations, en moyenne 60 000 tortues font l’objet de trafic chaque année. Les tortues radiées sont vendues jusqu’à 4 800 dollars l’unité sur le marché noir. Source
  5. Mardi 9 septembre, une automobiliste a perdu le contrôle de sa voiture dans l'agglomération d'Yssingeaux, vraisemblablement à cause d'une araignée qui se trouvait dans l'habitacle de sa voiture qui a terminé sa course contre un poteau. La conductrice a été transportée à l'hôpital Émile-Roux. Une automobiliste qui circulait, chemin de la Galoche à Yssingeaux, mardi 9 septembre, a perdu le contrôle de sa voiture vers 16h30. La conductrice, âgée de 65 ans, aurait paniqué après avoir découvert une araignée dans son habitacle. La voiture a terminé sa course contre un poteau en bois. Blessée, la sexagénaire a été prise en charge par les sapeurs-pompiers et transportée sur le centre hospitalier Émile-Roux du Puy-en-Velay. Source
  6. Dans le parc national Kruger en Afrique du Sud, des touristes ont assisté à un duel spectaculaire entre une mère léopard et un gros python, sous le regard des petits de la femelle. Un léopard affronte un python impressionnant sous les yeux de ses petits par Gentside Découverte Si les grands félins ont une réputation de redoutables prédateurs, ils ne sont pas les seuls à rôder dans la savane. Rampant parmi la végétation, des serpents de taille impressionnante s'y trouvent aussi. Mais que se passe t-il quand les premiers rencontrent les seconds ? Cela donne lieu à un duel spectaculaire comme celui qu'ont filmé des touristes en Afrique du Sud. Ils se trouvaient dans le parc national Kruger, plus grande réserve animalière du pays, quand ils ont aperçu les animaux. Le léopard, une femelle était accompagnée de ses petits, quand elle a aperçu un gros python serpenter dans les parages. Tandis que sa progéniture s'éloignait, la mère est partie au combat. S'approchant en douceur, elle a commencé à donner de rapides coups de pattes au reptile. Plutôt que de l'affronter, ce dernier a d'abord décidé de s'éloigner du félin mais il ne l'a pas laissé faire. Le suivant, la femelle a continué à lui donner des coups jusqu'à ce que les deux se retrouvent face à face pour un vrai duel. Malgré les assauts du serpent, le léopard d'une rapidité impressionnante a fini par venir à bout de son adversaire sous les yeux ébahis des touristes. Le danger écarté, les petits sont alors sortis de leur cachette pour retrouver leur mère. Ce n'est pas la première fois qu'un affrontement entre un léopard et un python est observé, néanmoins, ce n'est pas toujours les félins qui ont le dessus face à ces puissants reptiles. Source
  7. Pour l’Inspecteur Graindor, référent des Nouveaux Animaux de Compagnie au sein de la zone de police Basse-Meuse, intervenir pour maîtriser ce genre d’animal était une première. Quelle surprise pour ces cueilleurs de la plantation bio de Marc Ballat, située à Bombaye, dans la commune de Dalhem. Ce mardi matin, ils sont tombés nez à nez avec un iguane d’un mètre de long! L’animal se prélassait tranquillement au soleil, sur la branche d’un poirier. «La cueilleuse qui l’a vu la première a été surprise, elle ne s’attendait pas du tout à le voir! , raconte Mireille Ballat. C’était très surprenant car on ne s’attend pas du tout à trouver ce genre d’animal ici et on n’a pas l’habitude de voir des iguanes.» Vert et gris, long d’un mètre mais pesant à peine plus d’un kilo, si le reptile surprend les cueilleurs, il ne les effraie pas pour autant. «Nous n’avions pas peur car il ne bougeait pas du tout, mais nous n’osions pas le prendre nous-même car nous ne savions pas comment il allait réagir. Nous l’avons observé et au fur et à mesure que la chaleur arrivait sur lui, il bougeait un peu et on le voyait respirer. » Pour faire descendre l’animal, la police Basse-Meuse est prévenue. Assez rapidement, les policiers font appel à leur collègue responsable de la section des Nouveaux Animaux de Compagnie. Celui-ci prend en charge l’animal et le place dans une caisse adaptée. «Quand il a été dans la boîte, il a commencé à s’énerver un peu. Mais le policier nous a tout de suite rassurés en nous expliquant que l’iguane n’était pas un animal agressif», ajoute Mireille Ballat. Propriétaires identifiés Ce lundi après-midi, les propriétaires de l’iguane ont été identifiés par la police de Basse-Meuse. Ceux-ci habitent à proximité de la plantation de Marc Ballat. «L’animal était détenu dans d’excellentes conditions mais il y a quelques jours, les propriétaires ont reçu des amis chez eux et un enfant a ouvert l’enclos, laissant la porte ouverte à l’animal, détaille l’Inspecteur Graindor. Comme l’animal n’était pas dans son environnement naturel, il ne pouvait pas aller bien loin.» Source
  8. A Afuá au Brésil, un groupe a procédé à la remise à l'eau simultanée de milliers de petites tortues. Une opération spectaculaire qui a pu être filmée. Les premières minutes de la vie d'une tortue marine sont un véritable parcours du combattant. Et pour cause, les nouveaux-nés sont totalement laissés à eux-mêmes et n'ont que très peu de temps pour échapper aux éventuels prédateurs qui rôdent. Alors que plusieurs espèces de tortues marines sont aujourd'hui classés parmi les espèces menacées, certains s'appliquent à donner un petit coup de main aux tortues. C'est le cas notamment au Brésil, plus précisément dans la ville de Afuá. Là-bas, un projet, le Projeto Quelônios da Amazônia (PQA), a été mis spécialement en place pour sauvegarder les tortues tartaruga (Podocnemis expansa) et les tortues de l'Amazone à taches jaunes (Podocnemis unifilis). Le projet implique la sensibilisation de la population mais aussi et surtout des travaux sur le terrain, notamment la protection des œufs. En effet, outre les prédateurs qui raffolent des œufs de tortue, ces derniers sont aussi ramassés par l'homme. Pour éviter cela, chaque année, durant la saison de ponte, des travailleurs se rendent régulièrement sur les plages brésiliennes pour collecter les œufs. Ils sont ensuite placés dans des endroits spéciaux permettant leur incubation, ceci jusqu'à l'éclosion. Libération de masse Une fois les petites tortues nées et après quelques jours, celles-ci sont remises à l'eau par dizaines dans des lieux stratégiques. C'est ce qu'il s'est passé il y a peu dans la ville brésilienne de Afua. Entièrement filmée, l'opération a permis de libérer des centaines de tortues simultanément sous les yeux de nombreux Brésiliens. Et les images sont assez impressionnantes. Une tortue femelle pond en moyenne 50 à 200 œufs tous les deux à quatre ans. Le fait que les œufs soient si nombreux augmentent la survie de chaque nouveau-né. En 26 ans d'existence, le projet PQA aurait permis la remise à l'eau de plus de 300.000 petites tortues dans les rivières et fleuves de la région. Source
  9. Pendant quatre mois il est interdit de chasser l'iguane, particulièrement menacé en cette période de ponte comme l'affirme l'association de chasseurs Tchô Danbwa (DR) Officiellement, la chasse à l'iguane est interdite pendant sa période de reproduction, du 1er septembre au 31 décembre. Un arrêté préfectoral a été pris en ce sens en 2011, dans un souci de préservation de l'espèce. Tout contrevenant s'expose à une amende pouvant atteindre 750 euros. Une fois n'est pas coutume, cette réglementation satisfait les écologistes comme les chasseurs. Pour l'association de chasseurs Tchô Danbwa, c'est « une initiative intéressante » . « On assiste à une très forte diminution de l'espèce à cause de la chasse pendant la période de ponte, explique Philippe Lucenay, membre fondateur et vice-président de Tchô Danbwa. Il était nécessaire de mettre en place une réglementation pour protéger l'animal. » C'est d'ailleurs cette association qui a proposé la période d'interdiction : « On peut chasser les iguanes jusqu'en août. Après, on leur fout la paix pour qu'ils puissent se reproduire [...] Ce n'est pas parfait, mais on essaie, à tâtons. » L'association Maiouri Nature Guyane se félicite également de cette décision : « De nos jours, l'iguane subit une pression de chasse abusive, précisément durant cette période, pour sa chair et ses oeufs très appréciés [...]. Il est fondamental de respecter la période de reproduction afin de pérenniser l'espèce » , écrit-elle dans un communiqué. Pour répondre à la demande des consommateurs, Tchô Danbwa souhaite désormais que l'élevage d'iguanes - qui se trouve aujourd'hui à un stade « embryonnaire » - se développe. Source
  10. Une vidéo tournée au Mexique dans laquelle des bébés tortues sont surveillés en train de rejoindre le large depuis leur nid. Impressionnant ! Un drôle de groupe s'active sur la plage. Vous ne devinerez jamais de quoi il s'agit par Ohmymag Un certain Jordy chantait à l'époque que c'était "Dur dur d'être un bébé". Aujourd'hui, on peut certifier que c'est également "dur dur d'être un bébé...tortue !". En effet, cette vidéo nous dévoile la terrible épreuve que doivent surmonter ces bébés tortues pour rejoindre le large. Ce sont plusieurs mètres qui les séparent de leur nid au bout du sable à la première vague. Et ce n'est plus un secret, cette épreuve est une véritable péripétie tant elles se mettent en danger en s'exposant en victimes innocentes face aux volatiles. Toutefois, certains volontaires aident nos amies les tortues en protégeant le couloir vers leur nouvelle vie et en s'assurant qu'aucun prédateur ne daigne se présenter. Source
  11. Une mystérieuse secte gabonaise sévirait à Owendo autour d’une déférence à un étrange reptile noir. Fait rocambolesque que celui observé depuis deux semaines déjà à Petit-Village, un quartier de la commune d’Owendo, au sud de Libreville dans la province de l’Estuaire. Quarante-un hommes, tous Gabonais, réunis au sein d’une secte dénommée Sagesse Amour Lumière (SAL) font des séances de prières avec un mystérieux python. Le reptile, long de 3,5m, vit dans leur temple. Les membres de celle-ci l’auraient capturé à la poubelle de la cité Octra lors d’une opération de nettoyage du quartier organisée par leur association baptisée "Rassemblement des jeunes pour le progrès et l’excellence" (RJPEX). Selon une source sûre, le python aurait d’abord passé quatre dans la chambre du chef du temple, Patrick Makaya, alias prophète Sky, avant que ce dernier ne le mette dans la pièce réservée aux séances de prières. Les membres de la nébuleuse déclarent que ce python est leur Dieu. Ils font de l’adoration avec le mystérieux python avant d’organiser des danses chaque vendredi à la gloire de la bête devant laquelle les visiteurs font des offrandes. Le sujet alimente les conversations à Petit-Village. Nombreux sont ceux qui ne comprennent pas la nature de ce python ni sa provenance. Le fait qu’il est apparu près des habitations, dans une zone non marécageuse ne fait qu’intriguer les riverains. Source : Jonas Moulenda Source
  12. Une maman de 30 ans a eu la peur de sa vie : elle a découvert, dans l’une des bananes qu’elle venait d’acheter au supermarché du coin, des œufs de phoneutria, une araignée brésilienne dont le venin est mortel. Elle a dû… brûler l’aspirateur qu’elle avait utilisé pour nettoyer sa cuisine et éviter la propagation de ces œufs. Dans le Daily Mail, Abby Woodgate, jeune maman de 30 ans, a ainsi expliqué qu’elle avait acheté ces bananes dans un supermarché de la marque Tesco la semaine dernière, à Colchester, en Grande-Bretagne. C’est quand elle a mordu dans une banane pour l’ouvrir qu’elle a découvert un cocon s’ouvrir, révélant des dizaines d’œufs d’araignées. Elle a rapidement jeté la banane à la poubelle et a aspiré les quelques œufs tombés sur le sol de la cuisine. « Je ne croyais pas qu’il s’agissait d’un cocon », explique Abby Woodgate. « Je pensais qu’il s’agissait juste de pourriture et j’essayais donc de l’enlever pour pouvoir manger le reste de la banane. (…) Je ne pensais pas au pire. Mais quand j’ai réalisé, j’ai directement jeté (la banane) dans la poubelle ». Abby a alors appelé le magasin Tesco pour avoir des explications. Mais rapidement, la jeune maman a reçu l’appel de spécialistes des animaux tropicaux… « Ils m’ont demandé d’où venaient les œufs (…) et si quelque chose avait été en contact avec les œufs. Je leur ai répondu l’aspirateur et ils m’ont dit qu’ils allaient le prendre, ainsi que la poubelle. Tout ce qu’ils m’ont dit, c’est qu’ils pensaient qu’il s’agissait d’œufs d’une araignée tropicale », continue-t-elle. Les experts ont alors recommandé de… brûler l’aspirateur et la poubelle pour éviter la propagation des œufs. Et le magasin Tesco a proposé de les remplacer gratuitement. Source
  13. L’araignée aquatique Argyroneta aquatica est capable de survivre de nombreuses heures sous l’eau en vivant à l’intérieur d’une bulle d’air emprisonnée sous sa toile. Le mécanisme qu’elle construit est très similaire à celle de la cloche de plongée utilisée par l’homme pour explorer les fonds marins. Pour survivre sous l’eau, cette araignée se fabrique... une cloche de plongée par Gentside Découverte Bien avant l’avènement des bouteilles à air comprimé, les hommes utilisaient des cloches de plongée pour explorer les fonds marins. Le dispositif était constitué d’une large chambre ouverte, descendue dans l’eau à la verticale à l’aide d’un câble. De cette manière, un volume d’air était emprisonné sous la surface permettant à une ou deux personnes de respirer sous l’eau. Difficilement maniables à l’époque, ces mécanismes ont aujourd’hui bien évolué. Munis de vitres et approvisionnés constamment en oxygène grâce à des tonneaux, ils permettent d’effectuer des sorties dans les profondeurs océaniques. Les hommes ne sont d’ailleurs pas les seuls à manier l’art d’emprisonner l’air sous l’eau. Dans le monde animal, un organisme vit depuis très longtemps en utilisant ces principes : l’araignée aquatique Argyroneta aquatica. Une toile en forme de cloche de plongée 

 Également connue sous le nom d’Argyronète, cette espèce est la seule de son groupe à passer toute sa vie sous l’eau. Elle évolue principalement dans les plans d’eau d’Europe et du nord de l’Asie où elle se nourrit de petits poissons. Son organisme, doté d’un système respiratoire adapté pour le monde terrestre, ne lui permet pas de respirer sous l’eau. Aussi, pour survivre en milieu aquatique, elle est obligée de construire sa propre cloche de plongée. Pour ce faire, Argyroneta aquatica tisse d’abord une toile en forme de dôme qu’elle accroche à des plantes aquatiques. Elle remonte ensuite à la surface pour y piéger des petites bulles d’air à l'aide des poils de ses pattes et de son abdomen et les achemine sous la cloche. Au bout de quelques voyages, la quantité d’air emprisonnée est suffisante pour former une grande bulle dans laquelle l’araignée peut s’isoler. Une maison bulle La bulle représente ainsi pour les arachnides une sorte de petite maison. L’espace leur permet de respirer à l’aide de leurs trachées et d’effectuer l’ensemble de leurs activités subaquatiques. Toute la vie des araignées se passe dans cette couche d’air : chasse, accouplement et ponte. Bien sûr, les araignées ont besoin de réapprovisionner régulièrement l’oxygène contenu à l'intérieur de la bulle et effectuent ainsi des voyages ponctuels à la surface pour renouveler leur air. Ces voyages peuvent même parfois s’effectuer toutes les 20 à 40 minutes même si la bulle est capable de garantir environ une journée d’oxygène. Cette faculté à rester sous l'eau pendant une si longue période représente des avantages. Les araignées se montrent en effet moins souvent aux prédateurs rôdant près de la surface et peuvent attendre discrètement une proie sans les faire fuir en se déplaçant. Source
  14. Le chef des postes de secours, Jean-Marc Deschamps, n'avait jamais vu ça , une tortue de 20kg s'est échouée dans l'une des criques bordant le Cap Nègre. Celle-ci était déjà morte lorsque les nageurs sauveteurs du poste de secours de la Coudoulière, alertés par un couple de kayakistes, se sont rendus sur place. "Nous avons déjà secouru des dauphins échoués mais des tortues, nous n'avons jamais vu ça!" s'exclame Jean-Marc Deschamps. A 10h45 ce matin les secouristes du poste de la Coudoulière ont été alertés par un couple qui naviguait aux abords du Cap Nègre. Ces derniers voguaient tranquillement sur les eaux plates de notre belle bleue quand, longeant le Cap Nègre, ils ont aperçu une masse insolite. En se rapprochant ils ont découvert le pauvre animal couché sur le dos. Ils ont alors tout de suite alerté les sauveteurs du poste de secours qui se sont rendus sur place en pensant que la tortue était blessée mais ont malheureusement dû constater qu'elle était morte. Aussitôt ramenée au poste de secours puis entreposée dans les locaux du service sécurité plages de Jaumard, Jean Marc Deschamps a alerté l'Institut Océanographique des Embiez qui probablement dirigera l'animal vers les services compétents. On ignore pour le moment les causes du décès, l 'animal ne présentait pas de blessures apparentes. A.I, le 06 septembre 2014 Source
  15. BRABANT WALLON Le python royal s’était offert un mois de vacances… dans la cave de son propriétaire. Au début du mois d’août, la nouvelle avait fait sensation et la zone de police Nivelles-Genappe s’était même fendue d’une mise en garde adressée aux habitants de la cité des Aclots : un python royal détenu par un habitant de l’Allée des Roses venait de se faire la malle et risquait de se promener en rue. Le propriétaire, David Lombaerts, se montrait de son côté plutôt rassurant. Son animal, mesurant un peu plus d’un mètre, n’avait rien d’agressif. Il avait profité d’une petite ouverture de son terrarium pour aller explorer du pays mais ne présentait guère de danger pour les humains, à en croire son maître. Qui n’avait en réalité qu’une crainte : qu’un indélicat, au lieu de signaler le python, le garde pour lui. Voisins, policiers et propriétaire sont aujourd’hui rassurés : Kouba le python royal est rentré au bercail, après un mois de vacances. On ne peut pas dire qu’il ait beaucoup profité de sa liberté puisque David Lombaerts l’a découvert… dans sa cave. Par hasard, le serpent était sorti de la cachette où il se terrait depuis un mois : un trou très étroit, sous un escalier en sous-sol. "C’est en tentant de le rattraper que j’ai compris où il se cachait, confirmait hier le propriétaire soulagé. J’avais pourtant fouillé partout, et même les pompiers avaient inspecté la cave. Heureusement, il n’était pas sorti à l’extérieur de la maison, sinon il serait mort : il faut que la température moyenne avoisine les 20 degrés pour qu’il survive." Dans la cave, le serpent semble n’avoir pas souffert. Même pas d’un jeûne d’un mois. D’après David Lombaerts, le python peut tenir bien plus longtemps sans manger. Il a dévoré une souris dès son retour dans son terrarium, lequel a été renforcé d’un solide lien Colson pour éviter une nouvelle évasion. Source
  16. Par La Voix de la Russie | Une petite municipalité du sud des Pays-Bas était en alerte vendredi après qu'un cobra à la morsure mortelle se soit échappé, les autorités enjoignant les habitants à garder leurs fenêtres fermées et ne pas laisser sortir leurs enfants. "Le cobra a des crochets et une simple morsure peut être mortelle pour l'homme", a indiqué la municipalité de Drimmelen sur son site internet. Son propriétaire, un collectionneur d'une petite ville de la municipalité, a vu son cobra du Cap mercredi pour la dernière fois et pense que l'animal s'est échappé jeudi soir de son terrarium. Le cobra du Cap a la réputation de mordre rapidement lorsqu'il se sent menacé, informe l'AFP. "Il a été conseillé aux habitants de cette zone de garder leurs portes et fenêtres fermées", a précisé la municipalité: "les parents ne devraient pas laisser leurs enfants jouer dehors, mais devraient les emmener à l'intérieur tout de suite". Deux spécialistes des reptiles tentaient vendredi de retrouver le cobra, a indiqué la municipalité à la télévision publique NOS. Aucune espèce indigène de serpent n'est mortelle aux Pays-Bas. Seule la vipère, rarement rencontrée, à une morsure venimeuse. Les cobras du Cap, qui vivent principalement dans le sud-ouest de l'Afrique du Sud, possède un venin neurotoxique mortel dans la majorité des cas si la morsure n'est pas traitée immédiatement. Le cobra du Cap est l'un des cobras les plus nerveux et agressifs. S'il se sent menacé, il se dressera, gonflera son cou, ou "capuchon", avant de mordre. Source
  17. Début août, on apprenait qu’un python s'était fait la malle, allée des Roses à Nivelles. L’animal aurait faussé compagnie à son propriétaire. Finalement, il n’en était rien ! D’après la police, l’animal s’était logé sous l’escalier de la maison, un mois durant, trouvant sans doute l’espace plus confortable que dans son vivarium. Le propriétaire s’en est rendu compte lorsqu’il a vu bouger quelque chose sous ses pieds en montant à l’étage. Cette découverte met fin à la "cavale" du serpent. Voilà sûrement de quoi rassurer les voisins. Reste que la bête n’a plus rien "avalé" depuis quatre semaines… RTBF Source
  18. Pour démontrer leur virilité, les serpents à sonnette n'hésitent pas à se décoller du sol pour s'élever le plus haut possible face à leur rival. Cette danse de combat a été photographiée dans un parc naturel de Californie, et a bloqué un sentier pendant cinq bonnes minutes. Deux serpents à sonnette surpris en pleine danse de combat par Gentside Découverte Quand deux serpents à sonnette s’engagent dans une danse de combat, mieux vaut ne pas les interrompre. Dimanche dernier, deux de ces serpents, de la famille des vipères, ont ainsi bloqué un sentier de promenade pendant quelques minutes dans le Santa Monica Mountains Park, en Californie. Des bénévoles du parc sont tombés sur les deux reptiles, en train d’accomplir un étrange rituel. Pensant au départ qu’il s’agissait d’un mâle courtisant une femelle, ils ont photographié la scène. Mais en y regardant de plus près, le spécialiste des serpents Greg Pauly, du Museum d’histoire naturelle de Los Angeles, affirme qu’il s’agit en fait de deux mâles en pleine danse de combat. Durant la saison de reproduction, les mâles entrent en compétition et se départagent grâce à une démonstration de force. Deux mâles pour une femelle “Les crotales mâles passent souvent plusieurs jours avec une femelle jusqu’à ce qu’elle soit prête à s’accoupler. Si un autre mâle arrive, les deux vont d’engager dans ce combat”, explique Greg Pauly. Comme on peut le voir dans la vidéo ci-dessus, les serpents “s’élèvent dans les airs en essayant de pousser l’autre vers le sol. Habituellement, le plus gros mâle gagner et l’autre quitte la zone”, ajoute l’herpétologue. Les deux serpents à sonnette photographiés en Californie ont choisi de mener leur petite danse au milieu d’un chemin, et d’après les bénévoles du parc, ils n’avaient absolument pas l’air dérangés par la présence des humains. Au bout de quelques minutes, ils ont fini par se séparer et partir chacun de leur côté, l’un vers sa femelle, l’autre à la recherche d’une nouvelle partenaire. Attention aux morsures S’il vous avez un jour la chance de pouvoir observer cette scène de vos propres yeux, n’oubliez donc pas qu’une femelle doit se trouver non loin de vous. Si les morsures de serpents à sonnette sont rarement fatales, elles sont assez courantes aux États-Unis. L’administration d’un anti-venin dans les 2 heures suivant la morsure assure une guérison dans plus de 99% des cas. Source
  19. Le reptile a été attrapé par les sapeurs-pompiers de la ville jeudi après-midi L es sapeurs-pompiers de Sarlat ont été appelés, jeudi après-midi, dans un magasin de prêt-à-porter de la cité médiévale de Sarlat, en Périgord noir. Ils devaient y attraper… un serpent ! Il s'agissait en fait d'une couleuvre. Elle a suscité quelques émois sur son passage. Le reptile baladeur, vraisemblablement amateur de frous-frous, a été aussitôt relâché dans son milieu naturel. Source
  20. La petite veste qui va avec est aussi tissée avec la soie d'un ver génétiquement modifié, produisant la protéine d'une araignée. FASHION. La soie d'araignée, matériaux miracle ? On en parle beaucoup, et depuis des années, notamment pour la solidité à toute épreuve des fibres tissées par la bestiole à 8 pattes. Problème : il est très difficile de produire ces fils en grandes quantités. Des chercheurs japonais semblent avoir trouvé la parade pour produire de longs fils prêts à être tissés. L'équipe de Yoshihiko Kuwana emploie des vers à soie génétiquement modifiés : ils produisent une protéine de l'araignée Araneus ventricosus. Résultat, un fil dont la solidité est 53% plus importante que celui classiquement produit par les vers à soie. Source
  21. Symbole de la conservation animale sur l'archipel équatorien des Galapagos, la tortue centenaire morte en 2012 "Georges le solitaire" va être exposée au Musée américain d'histoire naturelle de New York. Elle retournera ensuite dans les îles paradisiaques. Transportée dans un caisson spécial aux Etats-Unis, la tortue a subi une opération de taxidermie qui a duré plus d'un an. Après l'exposition, prévue à partir du 18 septembre à New York, "Georges le solitaire" reprendra le chemin des Galapagos, où il constituera le clou d'un musée consacré aux tortues. La mort de l'animal avait soulevé une vive émotion. Elle avait sonné le glas de l'espèce "Geochelone Abigdoni", avant que d'autres spécimens ne soient découverts dans cette réserve naturelle isolée dans l'océan Pacifique, à 1000 kilomètres des côtes de l'Equateur. Entre 30'000 et 40'000 tortues d'une dizaine d'espèces différentes, dont certaines peuvent atteindre 1,80 m et vivre jusqu'à 180 ans, peuplent ces îles paradisiaques. Source
  22. Le monde des insectes a depuis toujours fasciné petits et grands… Mais avez-vous déjà contemplé une de ces petites bêtes en train de se nourrir ? Avec cette vidéo d’une qualité remarquable, DGS vous place aux premières loges pour assister au festin d’une mante transparente. À ne pas manquer !Les mantes sont réputées pour être extrêmement carnassières, en effet, leurs pattes avant dentelées sont une arme des plus efficaces ! Parmi elles, l’espèce Sinomantis denticulata se caractérise par sa petite taille de 4 cm et son corps articulé transparent. On la trouve dans le sud de la Chine, plus précisément dans le centre de la province de Fujian.La prédatrice immobilise la mouche avec ses redoutables pattes avant dentelées. Elle détache ensuite les pattes du reste du corps de la mouche avant de les avaler. Le corps longiligne de la mante lui permet de se dissimuler aisément parmi les herbes. On remarque que la mante découpe la mouche en petits morceaux à l’aide de ses mandibules. On peut distinguer, au travers de son corps transparent, le parcours de sa victime dans son système digestif. On aperçoit également les petits trous appelés stigmates qui permettent à l’insecte de respirer. Source
  23. CHARLEROI-CENTRE Au lendemain d’une cuite, un habitant de Fontaine-Valmont retrouve deux serpents dans sa voiture Les pompiers ont sans doute cru à une farce, le week-end dernier, lorsqu’un habitant de Fontaine-Valmont a requis leur service pour signaler la présence de deux serpents de belle taille dans sa voiture. Il faut dire que les explications de l’intéressé étaient plutôt invraisemblables : au lendemain d’une biture, l’homme dit avoir trouvé un python molure albinos de 2,50 m de long et un boa de 1,50 m dans son coffre, sans savoir d’où ils pouvaient provenir. Les a-t-il achetés ? Les a-t-il trouvés ? L’intéressé à la sévère gueule de bois affirme ne plus s’en souvenir… à moins qu’il ne cherche à faire avaler des couleuvres aux autorités. Bref, les deux reptiles, très dociles malgré leur taille imposante, ont été capturés par les pompiers et ramenés à la SPA de Charleroi, qui dispose de terrariums d’attente pouvant les accueillir. Pour l’heure, on ignore encore dans quelle catégorie classer ces trouvailles : saisie judiciaire, abandon volontaire ou découverte ? En attendant d’être transférés vers Pairi Daiza, le boa et le python se reposent dans les locaux du refuge carolo qui, cet été, a accueilli un véritable bestiaire. "Comme chaque année, on nous a confié des animaux en tous genres", explique le directeur, Franck Goffaux. "Nous avons recueilli des tortues, des hérissons, des fouines, des canaris, des inséparables et bien sûr, plusieurs serpents. Ces trois derniers mois, 755 chiens sont aussi entrés dans nos chenils, soit 120 de moins qu’en 2013, à la même période. Malheureusement, les abandons sont toujours nombreux durant les vacances et parfois, certains maîtres font preuve de lâcheté en jetant leur chien dans une benne à ordure comme un vulgaire déchet. Le point positif, c’est que 566 toutous ont retrouvé un foyer, ce qui équivaut à un taux de replacement de 75 %." Pour les chats, la situation est moins réjouissante. En période de reproduction, ce sont des cartons entiers de chatons non sevrés qui aboutissent à la SPA. Ainsi, 1.250 félins ont été recueillis cet été, mais 200 ont retrouvé un maître, ce qui constitue une amélioration par rapport à l’an dernier. Du côté de l’écurie, le bilan est aussi positif : il y a eu plus d’adoptions que de rentrées ! Mais en ce qui concerne les équidés, on sait que l’hiver reste la période la plus critique. Source
  24. Les victimes doivent se rendre aux urgences du CHU de Sig Oran n’avait pas reçu de quota de sérums et autres vaccins dans les cas de piqûre de scorpion et de morsure de serpent, qui ne sont pas rares, notamment dans les bidonvilles et les zones rurales. C’est par des messages d’informations laconiques de la direction de la santé d’Oran, diffusés sur les ondes de la radio locale El-Bahia, que les auditeurs et citoyens oranais ont appris qu’en cas de piqûre de scorpion ou de morsure de serpent, leur salut ne se trouvera qu’au CHU de Sig. Les éventuelles victimes doivent parcourir une trentaine de kilomètres pour pouvoir bénéficier des indispensables et salutaires sérums contre ce type de piqûres dont elles pourraient être victimes à Oran. Une situation inique à laquelle ont déjà été confrontés des citoyens ayant fait le tour des EPSP pour se procurer ces fameux sérums, en vain. Ce qui n’a pas manqué de soulever la colère des proches des victimes sur les réseaux sociaux. La cellule de communication de la direction de la santé nous a précisé qu’Oran n’avait pas reçu de quota de sérums et autres vaccins dans les cas de piqûre de scorpion et de morsure de serpent, qui ne sont pas rares à Oran, notamment dans les bidonvilles et les zones rurales. Et d’ajouter : “Au lieu de faire le tour des centres de santé à la recherche de sérums, nous préférons en informer les citoyens qu’ils doivent se rendre immédiatement aux urgences du CHU de Sig.” L’Institut Pasteur, avons-nous encore appris, a fourni en quantités suffisantes le CHU de Sig, pensant peut-être qu’à Oran il n’y avait pas lieu d’en envoyer. Pourtant, s’il est commun de croire que les piqûres de scorpion ou les morsures de serpent ne sont l’apanage que des villes du Sud ou des Hauts-Plateaux, c’est se tromper lourdement. Les statistiques qui devraient être prises en compte par l’Institut Pasteur sont là pour le démontrer. En effet, durant les six premiers mois de l’année, ce sont plus d’une quinzaine de piqûres et de morsures qui ont été enregistrées à Oran. En 2010, deux décès ont été enregistrés à Misserghine, à l’ouest d’Oran. Si ces cas se sont déjà produits et pourraient se reproduire, c’est parce que des facteurs environnementaux et d’hygiène se sont conjugués, comme l’accroissement des bidonvilles autour d’Oran, des zones rurales de plus en plus urbanisées anarchiquement, la dégradation de l’environnement avec un état d’hygiène publique déplorable, sans oublier les facteurs climatiques. La saison d’été est de plus en plus chaude, et la proximité est de plus en plus grande entre citoyens et lieux de vie des scorpions et des serpents. Quant à devoir se rendre jusqu’à Sig pour bénéficier d’un sérum, c’est tout de même une situation difficilement acceptable et encore plus incompréhensible. Source
  25. Plusieurs fossiles d'insectes particulièrement bien conservés ont été découverts dans la vallée du Rhône. AFFLEUREMENT. C'est dans l'affleurement d'Orbagnoux, dans l'Ain, que des chercheurs français assistés de scientifiques amateurs ont découvert des insectes fossilisés datant du Jurassique supérieur (-161 à 145 Ma). Parmi eux, la plus ancienne araignée d'eau connue. En savoir plus sur les plantes à fleurs Cette araignée, Gallomesovelia grioti, qui mesure 6 mm de long représente le plus ancien fossile d'insecte aquatique de l'infra-ordre des Gerromorpha, qui comprend les araignées d'eau et les hydromètres. On n'en sait pas beaucoup plus mais les scientifiques qui en font la description, dans un article publié dans la revue Peer J, supposent qu'elle vivait peut-être dans des environnements saumâtres comme certains de ses descendants actuels. PLANTES. En outre, des fossiles montrant des traces de l'activité sur des plantes ont été trouvées. Il y apparait par exemple sur des zamites, les feuilles fossilisées, des insectes en train de se nourrir, une rareté paléontologique. Les roches d'Orbagnoux témoignent ainsi "de la présence d'insectes strictement terrestres sur les terres émergées de ces lagunes de l'époque Jurassique". Traces d’insectes sur des Zamites (feuilles fossilisées). (A) coloration; (B) contre-coloration (échelle 10 mm). André Nel. D'autres découvertes sont à venir, estiment les auteurs qui notent la bonne conservation des fossiles. En savoir plus sur les insectes du Jurassique supérieur, permettra en analysant leur alimentation de mieux comprendre l'évolution sur terre des végétaux et notamment la diversification des plantes à fleur. Source
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