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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. La Moselle est le seul territoire en France où le crapaud vert est présent. Le batracien s’est épanoui au temps de l’exploitation des mines de charbon. Cette activité industrielle, omniprésente dans le bassin houiller lorrain, a involontairement créé des paysages idylliques pour cette espèce, dont la Moselle-Est représente la limite occidentale de l’aire de répartition. De vastes espaces étaient en effet ouverts dans les carrières de sable et les gravières, avec de l’eau et sans trop de végétation. Les Houillères du Bassin de Lorraine (HBL) entretenaient mais n’urbanisaient pas ces espaces. Le crapaud vert se concentre en Moselle sur 300 km², répartis principalement en trois zones : le Massif du Warndt avec une extension jusqu’au Sud de Faulquemont, l’Est de Sarreguemines et une implantation plus récente dans la vallée de la Moselle à Cattenom. Il apprécie particulièrement les petites mares, flaques ou fossés, ainsi que les étangs. Entre 1975 et 2009, la régression de l’habitat du crapaud vert a automatiquement entraîné une baisse de la population du batracien. La nature a en effet entamé la reconquête des sites industriels délaissés par l’homme, ce qui paradoxalement nuit à l’espèce qui a besoin d’une végétation peu envahissante pour s’épanouir. De leurs côtés, les aménageurs sont peu enclins à créer et entretenir des mares pour un batracien noctambule quasi-invisible. Il existe cependant des exceptions. La carrière de sable de Freyming-Merlebach, sécurisée par Charbonnage de France avant son désengagement et aménagée en zone de promenade, constitue ainsi un havre de paix pour le crapaud vert. Le paysage y est étonnant avec de hautes falaises qui ressemblent à s’y méprendre à un canyon. Dans cette forêt frontalière entre la Lorraine et l’Allemagne, des millions de tonnes de sable ont été prélevées entre 2000 et 2005 pour combler le vide laissé par les couches de charbon extraites du sous-sol. Entre 2005 et 2013, 40 mares ont été réalisées. Les points d’eau sont en effet indispensables à la reproduction du crapaud vert qui intervient entre avril et juin. Une fois pondus, les têtards ont besoin d’un mois et demi d’immersion avant d’avoir les moyens physiologiques de s’extraire du milieu aquatique. Entre 5 000 et 7 000 individus ont été recensés entre 2004 et 2012. Les neuf sites les importants de Moselle abritent à eux seuls 2 400 crapauds verts. (Source : RL du 09/08/2014) Source
  2. Le Comité populaire du chef-lieu de Ha Tien, province de Kien Giang (Sud), a relâché jeudi en mer cinq tortues marines pesant de 19 à 33 kg. M. Giang Ngoc Ly, du quartier de To Chau, bourg de Ha Tien, a capturé ces tortues puis les a remises à l'administration compétente. La tortue marine est l'une des espèces aquatiques rares et précieuses qui figure sur la liste des interdictions de chasse. Le Vietnam abrite cinq des sept espèces de tortues de mer protégées à l'échelle mondiale. -VNA Source
  3. Après deux mois d’incubation dans des conditions optimums, des petites tortues terrestre viennent de voir le jour. La naissance de tortues terrestres à l’extérieur est assez rare sous nos latitudes, du fait du manque de chaleur. Cet été ne déroge donc pas à cette règle, avec des conditions encore plus froides qu’à l’accoutumée. Placés dans une sorte d’incubateur, dans un milieu chaud et humide, les œufs ont mis deux mois avant de commencer à se craqueler. « Quand on est proche de l’éclosion, un simple contact entre un doigt et l’œuf peut enclencher l’éclosion, explique Alex Lagoutte, responsable d’une animalerie. En tout cas, on a toutes les chances de voir les coquilles bouger. » Prenant la forme de l’œuf, la petite tortue a l’aspect d’une boule, alors qu’elle sort à la lumière. Une forme due au fait que la coquille est dure, alors que sa carapace est encore molle. Plusieurs jours sont nécessaires pour que les petits reptiles aient une carapace normale. Dès leur naissance, toutes ces tortues sont immédiatement autonomes et n’auront à aucun moment besoin de leur mère pour évoluer. Source
  4. L'araignée a été découverte par un riverain sur sa terrasse à Sanary. Elle a été capturée par les sapeurs-pompiers. Ce vendredi matin un nouveau locataire qui emménageait dans un appartement Clos de l’Huide a eu la désagréable surprise de retrouver une mygale sur sa terrasse. Les sapeurs-pompiers de Sanary, munis de gants, d’un bâton et d’une boîte ont récupéré cette araignée avant de la transporter à la clinique vétérinaire des Palmiers. Le lieutenant Antomarchi a expliqué le problème de ces nouveaux animaux domestiques : « on a une formation spécifique pour ce type d’intervention qui se multiplie. Là la mygale a pu s’échapper ou être abandonnée ». Une capture pas anodine puisque le vétérinaire spécifiait qu’outre le venin, l’animal pouvait projeter ses poils urticants. Des identifications sont en cours pour déterminer de quelle espèce il s’agit. Source
  5. Un reptile "made in" Normandie. Un bébé alligator est né dans la serre zoologique Biotropica de Val-de-Reuil (Eure), au sud de Rouen, après une opération de reproduction rarissime en Europe, a annoncé ce jeudi l'entreprise. La serre possédait jusqu'ici trois alligators, un mâle et deux femelles, issus de saillies réalisées chez des particuliers européens et plutôt en fin de vie. La plus âgée des femelles, a construit son premier nid pour y pondre début juin. Après 65 jours d'incubation à une température de 30 degrés, trois oeufs ont pu éclore. «Un bébé alligator est mort-né, un autre est né prématurément et on ne sait pas encore s'il va survivre mais le troisième est très vivace» a précisé Alain Le Heritte, directeur d'exploitation de la serre. Le bébé alligator, probablement une femelle, est actuellement minuscule mais devrait atteindre 100 à 200 kg à l'âge adulte. «Pour obtenir ce résultat, nous avons recréé un climat en baissant la température l'hiver et en stoppant la nourriture pendant quatre mois. Puis nous avons remonté les températures avec des lampes à bronzer pour atteindre une chaleur tropicale» a expliqué le directeur. Ainsi, dès que les chaleurs sont revenues, les animaux ont retrouvé leur vigueur sexuelle. Biotropica est une serre zoologique récente, qui présente des espèces rares. «Moins de deux ans après son ouverture, notre toute jeune entreprise compte désormais parmi la poignée de zoos européens ayant réussi la reproduction de cette espèce mythique» s'est félicité la serre, dans un communiqué. Les alligators sont des reptiles du groupe des crocodiliens. Ils vivent dans le sud des États-Unis et au Mexique, ainsi qu'en Chine, jusqu'à 50 ou 60 ans. Ils se distinguent notamment des crocodiles par une tête plus arrondie, mais leurs mâchoires sont aussi puissantes. Source
  6. Une course-poursuite entre une tortue qui a pris en grippe un jouet télécommandé en forme de camion. Des images attendrissantes ! Une tortue prend en chasse un voiture télécommandée. Une course-poursuite haletante ! par Ohmymag Qui a prétendu que les tortues étaient lentes ? A y regarder de plus près, il semblerait qu'une fois qu'elles ont pris quelque chose pour cible, elles ne le lâchent plus et passent la deuxième vitesse ! C'est en tous cas ce que nous dévoile cette tortue de terre filmée par son propriétaire, John Walkenbach. Ce dernier télécommandait un jouet en forme de camion. Immédiatement, l'intrusion de cet objet dans le champ de vision de la tortue a fortement déplu à cette dernière. En effet, comme on peut l'apercevoir, le reptile l'a coursé durant plusieurs secondes. Source
  7. Avec son corps flasque, ses 3 griffes noires et ses pieds palmés, le xénope n'est pas qu'une affreuse bestiole. Cette espèce de batracien menace l'équilibre écologique dans les zones humides et des habitants des Deux-Sèvres tentent de l'éradiquer. Les xénopes ont envahi les Deux-Sèvres depuis la fin des années 80, obligeant certaines collectivités, comme la communauté de communes de l'Argentonnais, à lutter contre leur prolifération. Cet amphibien, originaire d'Afrique australe, est nuisible et présente un danger pour les espèces de grenouilles classiques qu'il décime. Vorace, résistant tant à la sécheresse – il s'enterre au fond des mares grâce à ses griffes – qu'au froid, il est porté par une dynamique de reproduction impressionnante. On estime que 80 000 xénopes ont été capturés depuis 2011, année où des communes de l'Argentonnais ont décidé de l'éradiquer, mais la tâche s'avère ardue. Sans prédateur spécifique, le xénope est porteur sain d'un champignon parasite pour d'autres batraciens et des centaines de ces petites bêtes sont encore capturées chaque semaine. Source
  8. Un nouveau rapport révèle que lorsqu’un serpent grimpe à un arbre, il s’enroule autour du tronc en déployant cinq fois plus de force que ce dont il aurait besoin pour ne pas tomber. Pour mesurer la force des serpents, les biologistes de cette étude publiée dans la revue Biology Letters ont utilisé un tube vertical muni de détecteurs de pression et enveloppé dans du grip de tennis. Résultat : les 10 serpents étudiés se sont enroulés autour du tube avec beaucoup plus de force qu’il n’en fallait pour supporter leur propre poids. Cela voudrait dire que les serpents privilégient leur sécurité à l’efficacité. Les chercheurs s’attendaient pourtant à ce que les serpents économisent leur force en utilisant le minimum requis pour grimper à un arbre. En effet, les serpents sont généralement connus pour très bien contrôler leur force. Selon le Dr Greg Byrnes, qui a mené cette étude à l’Université de Cincinnati, "ce qui était intéressant avec cette expérience, c’est que l’animal a choisi de faire plus que ce qu’il a normalement besoin de faire". Cette expérience suggère que pour grimper à un arbre, les serpents auraient le même réflexe qu’un homme qui doit porter un objet lourd ou difficile à prendre en main. Dans ces cas-là, il a été démontré que les hommes utilisent également deux à quatre fois plus de force que ce dont ils auraient besoin. Source
  9. FAUNE SAUVAGE — La vidéo d'un insecte prédateur attaquant un petit oiseau grâce à ses pattes acérées fait le tour du Net. On savait les mantes religieuses agressives, surtout les femelles qui décapitent leur mâle après accouplement pour s'en nourrir. Ce qu'on savait un peu moins, c'est que leurs pattes avant sont si puissantes qu'elles peuvent attaquer les colibris. Le site IFLScience, rapportant un article de Popular Science, raconte que Youtube regorge de vidéo où l'on voit ces insectes prédateurs s'attaquer aux oiseaux-mouches. Les mantes religieuses, qui peuvent mesurer jusqu'à 10 centimètres se posent sur la mangeoire et attendent qu'un oiseau veuille bien s'approcher d'assez près. Et là... clac! C'est l'attaque. Ensuite... on ne sait pas. Les témoignages manquent pour savoir ce qu'il advient de la proie et si elle est mangée. Un seul témoin est cité par les médias: dans le Bird Watcher's Digest un homme raconte qu'il aurait vu l'insecte dévorer son colibri. Source
  10. Si on ne cesse de nous répéter que la petite bête n’a jamais mangé la grosse, il existe tout de même des bestioles qui feraient frissonner les plus téméraires. C’est le cas de ces 5 insectes qui sont répertoriés comme étant les plus gros du monde. On vous en dit plus sur ces créatures insolites ! 1. Le scarabée goliath Muni de mandibules incurvées et tranchantes, ce scarabée d’Afrique est notamment capable de couper un crayon en deux et d’entailler la chair humaine. Il tient son nom du célèbre titan Goliath, vaincu d’un coup de fronde par David dans la Bible. Cet insecte géant peut dépasser les 15 centimètres de long, et malgré son importante corpulence, est même capable de voler. 2. Le phasme Les phasmes normaux peuvent mesurer jusqu’à 30 centimètres de long. Cela dit, cet étrange insecte en forme de branche, peut parfois s’avérer bien plus gros. Ainsi, la femelle Phobaeticus chani peut atteindre plus de 55 centimètres de long (les pattes dépliées). Dans la même veine, le poids des femelles de l’espèce Heteropteryx dilatata avoisine les 65 grammes… Impressionnant ! 3. Le papillon Atlas Dans le cas de ce papillon géant, c’est le titan Atlas, de la mythologie grecque, qui a prêté son nom. Et pour cause : ses mensurations sont tout simplement titanesques. Considéré comme le plus grand papillon du monde, il mesure entre 20 et 30 centimètres de long pour une envergure totale avoisinant les 25 centimètres. Enfin, c’est dans les forêts d’Inde que vous pourrez croiser l’Attacus atlas. 4. La guêpe Pepsis Accrochez-vous : cette guêpe gigantesque chasse les mygales pour pouvoir nourrir ses larves. La femelle Pepsis pique et paralyse l’araignée avant de la trainer dans son terrier. Une fois paralysée et transportée dans le nid, la guêpe Pepsis pond un oeuf à l’intérieur de l’abdomen de la mygale. Lorsque les larves sortent de l’oeuf, elles creusent un trou dans l’abdomen de la tarentule, y pénètrent et se nourrissent voracement tout en évitant les organes vitaux pour la maintenir en vie le plus longtemps possible.Enfin, côté mensurations, la guêpe Pepsis peut atteindre plus de 5 centimètres de long avec un dard avoisinant les 7 centimètres. Sa piqûre est d’ailleurs considérée comme la seconde plus douloureuse au monde. Si vous souhaitez vous retrouver en tête à tête avec cette adorable créature, rendez-vous en Indonésie, bien qu’on vous conseille fortement de ne pas vous en approcher . 5. La blatte rhinocéros Malgré son apparence un tant soit peu répugnante, cet énorme cafard joue un rôle important dans son écosystème en se nourrissant principalement de feuilles mortes. Originaire des régions tropicales du Queensland en Australie, cette blatte rhinocéros peut mesurer jusqu’à 8 centimètres de long pour un poids total pouvant atteindre 35 grammes. Ce cafard géant est considéré comme le plus lourd du monde. Ces insectes géants donnent la chair de poule ! A la rédac’, même si certaines sont inoffensives, personne n’aimerait croiser la route d’une de ces 5 impressionnantes bestioles ! La guêpe chasseuse de mygales nous fait tout particulièrement frissonner… Lequel de ces insectes vous effraie le plus ? Source
  11. Jeudi, août 21, 2014, 8:41 - Vous cherchez un aliment à haute teneur en protéines, qui contient une importante quantité de vitamines et qui en prime est respectueux de l’environnement? Les insectes représentent la solution. Marie-Loup Tremblay a d’ailleurs un élevage bien particulier. Celui des ténébrions meuniers, ou vers de farine, pour consommation humaine. L’entomophagie, la pratique qui consiste à manger des insectes, déjà bien implantée dans la plupart des cultures mondiales, gagne lentement en popularité au Québec. Marie-Loup Tremblay, interviewée sur les ondes de MétéoMédia, est néanmoins encore la seule à élever des insectes au Canada avec son entreprise uKa protéine à Vaudreuil. Cette ancienne triathlonienne professionnelle raconte que c’est en cherchant à améliorer son alimentation et son apport protéinique qu’elle a découvert l’entomophagie. Les insectes contiennent effectivement de nombreux nutriments, dont les vitamines B, le calcium et le potassium, en plus de contribuer à réduire le cholestérol. L’aliment du futur Selon l’Organisation des Nations-Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), qui a récemment publié un rapport favorable à l’entomophagie, la consommation d’insectes représenterait un excellent moyen de réduire l’insécurité alimentaire. Comme l’explique Mario Bonneau, entomologue à l’Insectarium de Montréal, l’élevage d’insectes a un impact écologique nettement moindre que celui du bétail par exemple, qui se veut très polluant. Élever des insectes requiert évidemment beaucoup moins d’espace que l’élevage du bétail (cela peut se faire dans un entrepôt) et ne contribue pas à la déforestation, pouvant se nourrir de restes de table. Les insectes émettent également moins de Co2 que le bétail ou la volaille et polluent moins les eaux. Il existe plus de 1000 insectes comestibles et autant de recettes pour les apprêter. uKa protéine propose notamment des barres tendres et du chocolat. Du côté de L’Insectarium de Montréal, on suggère les sushis et les tacos. Il est possible de les déguster tous les jeudis du mois d’août sur la terrasse du Jardin botanique. Vous laisserez-vous tenter? Source
  12. Une vidéo choquante montrant une tortue de mer égorgée, gisant dans son sang dans le marché au poisson de la ville de Sfax, fait le tour de Facebook depuis deux jours. En Tunisie, 4000 à 5000 tortues étaient tuées chaque année, en vue de revendre leurs viandes dont le prix demeure très élevé, dans les marchés aux poissons situés à Gabès, Sfax et quelques villes du Sahel. Sur les Iles de Kerkennah, cette pratique semble même être de tradition. La tortue de mer est une espèce migratrice dont la protection ne se limite pas aux frontières des pays. C'est ainsi que les pays méditerranéens membres de la convention de Barcelone et en particulier de son Protocole relatif aux aires spécialement protégées et de la diversité biologique, ont établi un plan d'action pour la conservation des tortues marines dans cette région. Depuis des années, la Tunisie a interdit la chasse aux tortues marines, classées en espèces menacées d'extinction ou espèces en danger. Les pêcheurs devront donc s’engager à protéger les tortues et leurs nids. Mais la principale menace qui plane sur les tortues reste le commerce illégal de carapaces de tortures. Où est l'Etat et ses contrôleurs ? Où sont les associations de protection de la nature et des espèces en voie de disparition ? Source
  13. La tortue Ariti, relâchée le 24 mai 2013 à Teahupoo, sur la presqu’île de Tahiti, ne cesse de voyager dans l’Océan Pacifique. Après quelques semaines de silence, l’administration américaine qui la suit, la NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration), a récemment transmis de nouvelles données concernant cette infatigable tortue. Continuant ses visites dans les différents états et territoires de la région, la tortue caouanne se situait dernièrement entre Tuvalu et Tokelau et se déplaçait doucement vers les Samoa plus au sud. Au 8 août dernier, elle avait très précisément parcouru 12 757 kilomètres en 441 jours. Les scientifiques qui étudient son périple, à Tahiti comme dans toute la région Pacifique, espèrent encore obtenir de nombreuses données dans les semaines et les mois à venir. Ce qui leur permettra de mieux connaître les déplacements et les habitudes des intrépides tortues caouannes. Source
  14. C'est un combat difficile que mènent les défenseurs des tortues Olive Ridley sur la côte de l'Orissa, dans l'est de l'Inde. Sur ces côtes, la pêche intensive menace en effet le reptile marin de disparition. Chaque année, des milliers d'animaux, venus pour pondre, meurent sur ces plages, à cause des filets de pêche. "Cette tortue était venue pondre ici. Mais elle a été prise dans des filets et elle est morte, alors qu'en théorie, la pêche est interdite ici. (...) Les pêcheurs n'ont aucune idée de l'importance de ces tortues pour tout l'écosystème", déplore Rabindranath Sahoo, membre d'une association de protection des tortues de mer. "Comment voulez-vous qu'on survive ?" Chaque nuit, ce bénévole surveille la plage et les lieux de ponte où grouillent des centaines de petites tortues. Au matin, il vient libérer celles qui se sont coincées dans les filets de pêche. De son côté, le gouvernement a interdit la pêche cinq mois par an. Des mesures qui ne plaisent pas vraiment aux pêcheurs. "Comment voulez-vous qu'on survive ? Ils nous empêchent de pêcher et, en plus, ils coupent nos filets quand les tortues se prennent dedans", regrette l'un d'eux. Source
  15. Des tortues, des caïmans, des iguanes et des serpents habitent à la ferme des reptiles, à La Bastide-de-Sérou. Chaque année, ils font le show devant des milliers de visiteurs. Et surtout en été. Un python à queue courte bouge pour la première fois depuis trois ans. D'habitude, il se dore tranquillement l'écaille dans son vivarium de la ferme des reptiles, à La Bastide-de-Sérou. Tout à coup, l'animal se dresse contre la vitre sur une bonne partie de sa longueur, comme pour faire un pied de nez aux visiteurs : vous voulez me voir ? Vous êtes servis. À côté de lui, les caïmans s'agitent : il est bientôt l'heure de manger. La ferme de Pierre Banzept abrite une multitude d'espèces, et plus de 200 reptiles. Depuis quatre ans, les tortues sont montées en grade, et promènent leur carapace dans un jardin royal. Les tortues géantes d'Afrique évoluent lentement dans un parc de 600 m² et à côté, 150 m² de verdure sont donnés aux tortues méditerranéennes. Pas de jaloux : les iguanes ont également leur parcours extérieur. Visiter la ferme des reptiles est une activité qui ne nécessite pas forcément un temps beau et chaud. Il est d'ailleurs déconseillé de venir en pull : une chaleur ambiante règne dans le vivarium, la maison des animaux à écailles habitués à se nourrir de soleil. De la couleuvre inoffensive au serpent à sonnette : une étonnante palette de couleurs et de tailles. Pierre possède deux serpents blancs : «ce sont des albinos». Une paire de minuscules écailles grise les trahit. Pralin a cinquante ans, elle n'est qu'au tiers de sa croissance. La tortue est la doyenne des reptiles de Pierre. Starksy sans Hutch De l'autre côté du grillage, une tortue cabossée d'une autre espèce est bien esseulée. Depuis que Hutch est mort, Starsky gambade seule dans l'herbe verte. Au terme de la visite, les jeunes guides saisonniers attrapent un serpent et l'amènent dehors. Le toucher, se faire tirer le portrait avec un serpent autour du cou, lui faire un bisou : tout est possible pour les plus courageux. Une petite fille semble se sentir particulièrement à l'aise enroulée par l'animal au sang froid. D'un commun accord silencieux, les parents se tiennent à l'écart, comme si les enfants constituent la cible exclusive de l'activité. À la ferme des reptiles, tous les animaux sont nés en captivité. La ferme assure un programme de reproduction en vivarium des reptiles présentés. «Je croise des serpents de différentes couleurs», ce qui donne un teint unique à leur progéniture. Un côté du vivarium est réservé aux serpents venimeux. Un pictogramme d'une tête de mort rouge collé sur la vitre contraste avec le vert intense du crotale des bambous. En pratique Jusqu'au 15 septembre, la ferme des reptiles est ouverte tous les jours, de 10 heures à 12 heures et de 14 heures à 19 heures. Le site se trouve à 3 km de La Bastide-de-Sérou. Pour s'y rendre depuis Foix, prendre la D117 en direction de Saint-Girons. 3 km après La Bastide-de-Sérou, tourner à droite sur la route d'Allières. Source
  16. Bernard Delanchy a eu le coup de foudre il y a douze ans pour Théo, une tortue mâle terrestre, qui s’est parfaitement acclimatée à la Picardie. Bernard Delanchy a toujours eu un faible depuis de nombreuses années pour les NAC (les nouveaux animaux de compagnie). Il y a 12 ans, lui et son épouse, de passage dans une animalerie en Belgique, ont eu le coup de foudre en faisant l’acquisition d’une tortue mâle terrestre d’Afrique subsaharienne. « Je me souviens, elle tenait dans ma main », se rappelle Bernard. Avec tout le confort nécessaire dans le vivarium, les années ont passé et il a fallu s’adapter au bien être de l’animal. La tortue Sulcata centrochelys d’Afrique est considérée comme l’une des plus grosses espèces, juste après celle des Galapagos, avec un poids avoisinant les 80kg et plus. L’animal a une espérance de vie de 100 ans, ce qui fait dire à Bernard, un brin pessimiste, « Je dois envisager son avenir ! ». Autorisation préfectorale obligatoire Plus sérieusement, l’Holnonais met en garde les personnes qui s’engagent avec un animal de cette taille ou tous autres. « Il faut obtenir un certificat de capacité pour l’entretien d’animaux protégés non domestique, ainsi qu’une autorisation préfectorale pour sa détention », prévient-il. Théo, très à l’aise, bénéficie d’un environnement extérieur qu’il partage avec les oies et les poules. Son alimentation se compose de foin, d’eau, ainsi que d’autres friandises que son propriétaire distribue largement. Sous le soleil d’été, l’animal se sent bien. Quand le froid arrive, le gîte et le couvert, avec une bonne litière, sont assurés. Du trois-étoiles avec le chauffage 24 heures sur 24, indispensable pour la survie de cette espèce africaine. Source
  17. Des terrariums des particuliers, elles sont passées aux étangs. Achetées dans des animaleries, leurs propriétaires peu scrupuleux les ont rejetées dans la nature. Et cela fait maintenant trente ans que les tortues de Floride se sont acclimatées au bois de la Bâtie de Saint-Ismier. Seul problème, ce lieu est un Espace naturel sensible (ENS), c’est-à-dire un site protégé par le conseil général de l’Isère pour la richesse de sa faune et de sa flore. Et cette espèce qui n’a rien de local, pourrait perturber l’écosystème du lieu. Une trentaine d’individus adultes vivent au bois de la Bâtie « Heureusement, il n’y a pas de tortue cistude – espèce locale – dans cet étang, souligne Ingrid Robinet, coordinatrice des guides nature au Département, les tortues de Floride concurrencent indirectement les tortues cistudes, car elles ont le même habitat. Sauf que la cistude est une espèce fragile, avec une croissance lente, contrairement à la tortue de Floride. » Une trentaine d’individus adultes vivent au bois de la Bâtie, une population conséquente, mais pas alarmante : « Quand elles sont en petits groupes, ce n’est pas un problème, cela en devient un si la population explose et qu’il n’y a pas de régulation », explique Quentin Revel, guide nature au bois de la Bâtie. « Cela va prendre des années à réguler » Pour l’heure, des prélèvements sont effectués par l’Office national de la chasse et de la faune sauvage pour limiter la population, mais les mesures restent sporadiques. « On joue avec le vivant, donc cela va prendre des années à réguler », précise Ingrid Robinet. En attendant, au quotidien, il reste aux guides nature la sensibilisation du public lors des visites du site. Alors, si vous souhaitez vous séparer de votre tortue de compagnie, ne vous tournez pas vers les étangs, mais plus vers des associations de récupération habilitées à lui trouver un nouvel habitat. Source
  18. Le serpent s'est échappé du vivarium d'un locataire qui était parti en congés. Le reptile a été transporté dans une ferme spécialisée à Combs-la-Ville en attendant le retour de son propriétaire. “Heureusement que ce n’était qu’un bébé!” La déclaration vient du gérant de la Fnac de Melun qui a capturé un python d’une cinquantaine de centimètres, samedi 30 août dans son magasin. Le reptile – un python royal - se serait échappé du vivarium d’un locataire de l’immeuble, parti en congés. Un autre serpent s’était également échappé mais avait déjà été récupéré. Ferme spécialisée “L’affaire est insolite mais elle a été réglée, poursuit le gérant, je lui ai immobilisé la tête pour le capturer, il n’y a eu aucun problème.” L’animal a été transporté dans une ferme spécialisée à Combs-la-Ville en attendant le retour de son propriétaire. Source
  19. Cet été encore, le Parc naturel régional (PNR) Périgord-Limousin a mené une campagne d'éradication de la grenouille taureau (lire « Sud Ouest » du 28 août). Les agents étaient à Saint-Estèphe, jeudi. Cette espèce invasive, venue d'Amérique, aime se nourrir de poissons, écrevisses, oiseaux, amphibiens, souris et limaces. La grenouille taureau est porteuse saine de champignon appelé chytride qui cause de fortes mortalités chez les amphibiens. Elle est donc une véritable menace pour la biodiversité. Pour lutter contre cette espèce, deux fois par semaine, les deux agents du PNR, Kévin Dupuy et Jérémy Boy, sont à l'œuvre. « Accompagnés de 11 gardes-chasses et de bénévoles, nous avons examiné les étangs de Thiviers, Saint-Saud et Piégut-Pluviers, à la recherche de batraciens », explique Jérémy Boy. De nuit, par binôme, un agent joue le rôle d'éclaireur et un garde celui de tireur. Au final, plus de 3 000 individus ont été exterminés en 2014 contre 12 000 l'an dernier, ce qui signifie que ces opérations s'avèrent fructueuses. J. H.
  20. Le chien d'une famille de Port-Leucate est tombé nez à nez avec une vipère inconnue dans la région. Véronique n'est pas près d'oublier l'été 2014 et cela n'a rien à voir avec la météo. Propriétaire d'un appartement dans la résidence Les Leucatines à Port-Leucate où elle vient depuis une vingtaine d'années, elle est tombée nez à nez, où plutôt son chien, avec un serpent qui s'est avéré être une vipère. "Dans la cour de la résidence, on a vu ce serpent. Le chien a immédiatement été droit sur lui, mais on n'a pas vu tout de suite qu'il était mordu", raconte-elle encore sous le choc. La vacancière n'était pas au bout de ses surprises. "On ne savait pas quoi faire de ce serpent. On a tout d'abord appelé la gendarmerie pour prendre conseil. Ils nous ont répondu, sur un ton très jovial, qu'ils ne pouvaient rien faire et qu'on pouvait la relâcher", confie-t-elle. Désemparée, elle a alors contacté la police municipale. "Ils devaient venir, mais comme ils étaient occupés, ils ne sont pas venus", reprend-elle. Quinze minutes plus tard, leur chien, un beagle, a commencé à présenter des signes de faiblesse. "On n'a pas vu tout de suite où il avait été mordu, alors on a foncé chez le vétérinaire", explique-t-elle. Entre-temps, la famille a la présence d'esprit de mettre le serpent d'une belle taille dans un récipient. "On n'allait quand même le relâcher au milieu des habitations", souligne Véronique. Le temps d'arriver chez le vétérinaire de Leucate, la tête du chien a doublé de volume. Le beagle, mordu sur la truffe, se voit administrer cortisone et antibiotique. Après une nuit d'observation à la clinique, son état s'était amélioré lundi après-midi. Le serpent a lui aussi été amené chez le vétérinaire pour être identifié. Et là, surprise, c'est une vipère originaire du nord de la France. Le docteur Patricia Bamas s'est fait confirmer son diagnostic par le docteur Péricard, ancien vétérinaire de la Réserve africaine à Sigean, qui a été formel. "En 25 ans de carrière, on n'en avait jamais vu ici. C'est une vipère du nord de la France qui a été placée en attendant chez un spécialiste", confie-t-on à la clinique vétérinaire. À priori, la bête assez impressionnante en taille et plutôt grosse devait être pleine de petits. "On pense qu'elle a dû venir dans une roue de secours, le soubassement d'une remorque ou d'un camping-car où elle avait fait son nid et elle s'est retrouvée sur le parking de la résidence à plusieurs centaines de kilomètre de son lieu d'origine", précise la clinique. Et le professionnel de rappeler : "Il faut toujours prendre des précautions avec les serpents et ne pas les tuer. On peut saluer le sang-froid de cette famille qui a l'a capturé sans lui faire de mal pour qu'on puisse l'identifier". Source
  21. C’est un shooting photos un peu particulier qui se déroule au sein du laboratoire de recherches Alpha Biotoxine. Depuis jeudi soir, l’éleveur de serpents venimeux Rudy Fourmy accueille dans ses installations de Montrœul-au-Bois un photographe animalier de renom. Pour les Tournaisiens qui ont eu l’occasion d’admirer la magnifique exposition «Des serpents et des hommes», visible l’an dernier au musée d’histoire naturelle, ils ont pu se rendre compte du talent de Daniel Heuclin lorsqu’il capte les reptiles sous toutes ses coutures. Celui qui a vécu pendant 40 ans sur Paris mais qui habite désormais dans le Poitou s’est forgé une sacrée réputation dans ce milieu très fermé. «Vous savez, on se connaît depuis vingt-cinq ans, précise le Frasnois Rudy Fourmy, qui dispose d’un élevage évolutif de plus d’une centaine de serpents ainsi que de nombreuses espèces d’araignées et de scorpions. Entre amateurs de reptiles, il est finalement incontournable de tomber, un jour ou l’autre, sur les clichés pris par Daniel et publiés dans des ouvrages de référence. On s’est d’ailleurs rencontré à de multiples reprises chez moi quand il s’agissait de mettre en lumière de nouvelles espèces». Une renommée internationale C’est précisément pour immortaliser de nouveaux spécimens de serpents, sud-américains pour la plupart, que le professionnel s’était déplacé en terres frasnoises. Des animaux que l’éleveur et concepteur de la société Alpha Biotoxine a pu acquérir via ses sources habituelles, que ce soit les éleveurs des parcs zoologiques ou les importateurs agréés. Il va de soi qu’au moment où Daniel Heuclin effectue les derniers réglages, son ami Rudy Fourmy manipule avec la plus grande précaution les serpents, dont le venin de certains peut s’avérer mortel en cas de morsure. «Ce sont des animaux que je connais bien et de fait, je sais comment ils réagissent, leur distance d’attaque… Mais de toute manière, le local est sécurisé et je garde toujours près de moi une pince ou un crochet pour un éventuel problème». Derrière son appareil photo, Daniel Heuclin, qui a voyagé aux quatre coins du globe pour observer les reptiles dans leur milieu naturel, ne joue pas dans la médiocrité. Il n’hésite d’ailleurs pas à attiser l’agressivité de certains spécimens, quitte à se faire charger, afin d’obtenir des clichés inédits. «Une bonne photo doit se vendre et s’il y avait des critères, je serais plus riche, sourit le photographe. Maintenant, les crotales, les cobras et les pythons sont plus convoités car les clichés sont plus spectaculaires. Et de mon côté, je m’arrange à faire ressortir l’essentiel en jouant sur un éclairage à contre-jour qui permettra aux contours d’être plus brillants». À l’époque de ses débuts, voici 40 ans, il était l’un des premiers à «s’être frotté» aux serpents venimeux. Aujourd’hui encore, les agences de documentation en France, au Japon ou en Italie utilisent ses photos pour les magazines spécialisés ou pour l’édition. Sa renommée dépasse donc largement les frontières françaises, ce qui lui a d’ailleurs valu des publications dans le prestigieux magazine américain «National Geographic». Source
  22. INSOLITE - Le reptile a été abattu quelques heures plus tard… Michael Jackson a sévi en Australie le 18 août. Ce crocodile albinos, vivant sur la rivière Adélaïde -à 60 kilomètres de Darwin- a dévoré un pêcheur de 57 ans, relate le site Internet ABC. Grand de 4,5 mètres L’homme en question se trouvait dans la rivière -réputée pour ses reptiles et la présence de Michael Jackson- pour décrocher sa ligne. Il a alors été attaqué par le fameux crocodile. Sa femme, qui a assisté à la scène, a immédiatement couru pour prévenir les secours. Arrivés sur place, les policiers et agents du site naturel sont partis à la recherche de Michael Jackson à bord de plusieurs bateaux, mentionne ABC. Quelques heures plus tard, ils ont finalement localisé le reptile, grand de 4,5 mètres, et l’ont abattu. Le corps de l’homme a lui été retrouvé dans la nuit, à plusieurs mètres des embarcations pour touristes. Source
  23. Si vous avez une peur bleue des araignées, vous devriez sans nul doute passer votre chemin. Dans le cas contraire, vous pouvez admirer de très près l'une des araignées les plus mortelles qui puissent exister sur la planète, une mygale qui sévit en Australie, et notamment dans la banlieue de Sydney. L’« atrax robustus » est très certainement la plus célèbre des mygales. Si son seul aspect suffit à en faire fuir plus d’uns, c’est assurément par son poison – et encore davantage celui du mâle -, qu’elle est à craindre. Selon le National Geographic, elle possède « les dents les plus dangereuses du monde ». Et n’espérez pas pouvoir vous protéger de la morsure facilement, elles seraient capables de percer un ongle. Depuis l’introduction de l’antivenin – à base d’anticorps de lapin – sur le territoire australien en 1981, aucune mort n’a été déclarée (il faut cependant qu’il soit injecté dans l’heure qui suit la blessure). L’entomologiste Alex Wild est aussi un photographe de renom, ses clichés montrent ces créatures sous leur « plus beau jour ». C’est au cours d’une visite au laboratoire de chimie spécialisé en venins et toxines animales de David Wilson qu’il a pu réaliser ces photos. Impressionnant, superbe, terrifiant, à vous de choisir ! Source
  24. Des chasseurs de l'Alabama ont célébré la prise de leur vie ce week-end : un alligator d'un peu plus de 4,5 mètres de long et pesant plus de 450 kilos. Al.com rapporte que la bête a été retirée des eaux du sud de l'Alabama tôt samedi. La saison de la chasse à l'alligator est actuellement en cours dans cet État américain. Des biologistes de l'Alabama Wildlife and Freshwater Fisheries sont arrivés à mesurer l'animal, mais ont eu de la difficulté à le peser. Une première tentative s'est terminée avec la destruction de l'appareil généralement utilisé pour peser les alligators moyens. Ils ont donc utilisé une rétrocaveuse pour lever l'alligator. Cet alligator est le plus gros à avoir été tué par un chasseur de l'Alabama. Il a été pris par Mandy et John Stokes, Kevin Jenkins et ses enfants, Savannah et Parker. Source
  25. MANAGUA, 18 août 2014 (AFP) - Les 2.500 premières tortues olivâtres de la saison sont arrivés sur la côte Pacifique du Nicaragua pour pondre, protégées par l'armée afin d'empêcher les habitants de manger les oeufs de cette espèce en voie d'extinction. Jeudi, 1.434 tortues sont arrivées sur les plages de Chacocente, dans la région de Carazo (sud), suivies par 910 autres reptiles vendredi et 197 supplémentaires samedi, a précisé le colonel José Larios, responsable du détachement militaire de la zone, au journal El Nuevo Diario. C'est la première arrivée massive de tortues dans la région cette année. Depuis 1992, l'armée assure une surveillance pendant la période de ponte, pour éviter les vols d'oeufs. "Ici il y a beaucoup de gens qui adorent manger les oeufs de tortue", a expliqué à l'AFP Jaime Incer, conseiller en environnement du gouvernement. Plus de 120.000 tortues viennent pondre chaque année sur les plages du Nicaragua, généralement entre juillet et janvier. Source
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