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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium
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que les danseuses répétaient le morceau avant les MTV Video Music Awards, l'une d'elles a été attaquée par le reptile présent dans le show. Heureusement pour elle, le serpent n'était pas venimeux. N'est pas l'ami des bêtes qui veut. Alors que les danseuses de Nicki Minaj répétaient le morceau "Anaconda" pour les MTV Video Music Awards du dimanche 24 août, le serpent présent dans le show a mordu l'une d'entre elles. Cette dernière a dû être transportée d'urgence à l'hôpital. Selon le site TMZ, le reptile de près de deux mètres de long (il s'agissait en fait un boa constrictor) aurait été désorienté par la musique et les mouvements autour de lui. Mais, fort heureusement pour sa victime, la morsure n'est pas dangereuse. Toutefois, si boa constrictor n'est pas venimeux, il peut tout de même transmettre des bactéries et causer des infections. L'animal, nommé Rocky, était pourtant un vétéran de l'industrie Hollywoodienne. Pendant 15 ans, les plus grandes stars ont fait appel à lui pour animer leurs shows. Selon son propriétaire, c'est la première fois qu'un incident de ce genre survient. La fin d'une carrière ? Source
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Des insectes dans votre salade ? Un bar de Mouscron tente l’aventure
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Oh mon Dieu ! Il y a un insecte dans ma salade… Cela peut paraître peu ragoûtant, mais il faut franchir le cap. Chez Feeling Food où Alexandra vous concocte des salades hautes en couleurs et riches en goût. Avec ces derniers temps une salade au fromage de chèvre chaud avec quelques vers de farine et des grillons. En plus, il paraît qu’ils sont bons. C’est une idée folle ou lumineuse, c’est selon, qu’ont eu les gérants de la saladerie Feeling Food. Après avoir visionné un reportage sur la consommation d’insectes, Pascal et Alexandra se sont dit : « pourquoi on ne tenterait pas l’expérience chez nous ? » C’est chose faite depuis quelques semaines déjà. Et comme elle le fait pour ses salades traditionnelles, Alexandra y a mis de la couleur, du goût mais aussi du coeur. « Les insectes pourraient devenir la nourriture du futur », souligne-t-elle. Et puis, il faut parfois savoir surprendre ses clients. Ici, on commence soft avec des vers de farine et quelques grillons. « On le propose actuellement en suggestion. Les insectes sont accompagnés avec une salade de chèvre et un peu de miel, ils remplacent les lardons tout simplement. C’est surprenant visuellement, les gens sont quelque peu réticents mais une fois en bouche, cela se marie plutôt bien. Quant aux vers et grillons, la préparation est toute simple car il ne faut pas cacher le goût. Sinon cela ne sert à rien », précise-t-elle. Un peu de beurre, de l’huile d’olive, de la fleur de sel et quelques tours de moulin à poivre et le tour est joué. En plus de la salade, les petits insectes sont également proposés avec un hamburger. « Cela remplace les oignons frits, ils apportent également un peu de croquant à la préparation. » Des suggestions qui commencent à attirer les curieux mais aussi les fans de ce type de cuisine. « Au départ, certains clients ont cru à une blague, d’autres nous disent que c’est vraiment chouette d’innover et de faire découvrir des choses très différentes de la cuisine traditionnelle, dit Pascal. Puis il y a ceux qui ont entendu parler de ce qu’on proposait et qui ont voulu tenter l’expérience et qui ne laissent rien dans l’assiette. Jusqu’au dernier petit vers. Et il y a également des clients qui ne viennent que pour ça. C’était l’occasion de faire parler de nous et on peut dire que ça fonctionne plutôt pas mal. » À l’heure actuelle, les insectes en salade figurent en suggestion sur la carte. « On va voir comment le public réagit car comme pour n’importe quel autre produit, si cela ne fonctionne pas, il ne sert à rien de vouloir l’imposer aux gens. Mais si c’est un plat qui marche et qui est demandé, on le gardera c’est certain. » Source -
Des scientifiques sont parvenus à percer le secret de la queue du lézard, capable de repousser quand on la coupe. Encore une histoire de gènes... Ce n'est pas une découverte : la queue du lézard repousse quand on la coupe. Jusqu'à aujourd'hui, la science n'avait pas encore apporté d'explications à ce phénomène. Des chercheurs ont finalement compris le mécanisme de la régénération de ce membre. Leurs travaux, publiés le 20 août dans la revue Plos One, pourraient même ouvrir la voie à de nouveaux traitements thérapeutiques chez l'homme. Le secret de la queue des lézards se situe au niveau de leur ADN. Les scientifiques ont scanné les 23 000 gènes du Anolis carolinensis (un lézard d'une vingtaine de centimètres) pendant la repousse de son appendice, afin d'isoler ceux qui en sont responsables. Ils ont réussi à identifier pas moins de 326 gènes participant au phénomène ! Une nouvelle queue en 60 jours Il faut dire que le travail de régénérescence n'est pas une mince affaire et implique une bonne partie de l'organisme. « Nous pensions que la régénération était localisée au bout de la queue qui pousse. Au lieu de cela, les cellules sont divisées en plusieurs poches incluant les muscles, le cartilage, la moelle épinière et la peau. Et ça, tout au long de la queue », explique Kenro Ksumi, l'un des auteurs de l'étude et professeur de Science de la vie à l'université de l'Arizona (États-Unis) au Huffington Post (en anglais). Il faut en moyenne 60 jours à un lézard pour retrouver une queue digne de ce nom. L'étude précise que cette découverte pourrait être utile à l'homme. En effet, presque tous les 326 gènes identifiés chez le lézard sont présents dans l'ADN humain. Les chercheurs préviennent tout de suite qu'il ne sera pas possible de faire repousser un membre amputé, mais peut-être de développer des traitements thérapeutiques contre certaines malformations congénitales, les lésions de la moelle épinière ou encore l'inflammation des articulations. « Les lézards créent beaucoup de ce cartilage dans leurs queues en régénération, précise Kenro Kusumi. Nous espérons que ce procédé pourra être activé pour soigner l'arthrite chez l'être humain. » Source
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Nouvelles attaques de crocodiles en Australie et aux Salomon
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
HONIARA, dimanche 24 août 2014 (Flash d’Océanie) – Deux nouvelles attaques mortelles de crocodiles ont eu lieu au cours de la semaine dernière en Australie et aux îles Salomon, où une fillette de sept ans a été emportée par un de ces reptiles. Le week-end dernier, dans le petit village de Manita (île principale de Guadalcanal), la fillette a été happée par un crocodile alors qu’elle jouait au bord d’une rivière en compagnie d’un camarade, non loin de l’endroit où sa mère pêchait, rapporte le quotidien local Solomon Star. « Nous savons qu’il y a des crocodiles dans cette zone, mais c’est le premier accident que nous enregistrons », a confirmé le Sergent Peter Sitai, de la police de Kirakira. Une battue organisée dans les heures qui ont suivi a permis de localiser les restes du corps de la fillette ainsi que le crocodile présumé être à l’origine de la tragédie, qui a été abattu. Aux îles Salomon, de nombreuses attaques de crocodile sont eu lieu ces derniers mois, notamment sur l’île principale de Guadalcanal, ainsi que dans les provinces de l’Ouest, du Centre et de Malaïta. Le Sergent Sitai a lancé un appel aux populations locales afin qu’elles redoublent de vigilance et surveillent en particulier les enfants et les personnes âgées. « Ce sont des proies vulnérables face aux crocodiles et il faut être vigilant, surtout aux embouchures des rivières », a-t-il rappelé. En Australie, lundi 18 août 2014, c’est un pêcheur qui a succombé à une attaque d’un crocodile albinos de 4,5 mètres de long, connu localement sous le sobriquet de « Michael Jackson », rapporte la radio nationale publique ABC. L’accident a eu lieu sur la rivière Adelaïde, à une soixantaine de kilomètres de la ville de Darwin (État du Territoire du Nord, extrême Nord du pays), où sont organisées des excursions nautiques sur fond d’attraction de « crocodiles sauteurs » où les touristes peuvent observer les sauriens sauter hors de l’eau pour happer des morceaux de viande. C’est lors de l’une de ces excursions touristiques que le pêcheur, un homme de 57 ans, a été attrapé par le crocodile albinos alors qu’il était allé récupérer un morceau de viande au bout d’une ligne. L’épouse de la victime, qui se trouvait non loin de la scène, a ensuite alerté les autorités. « Michael Jackson » a ensuite été retrouvé et abattu quelques heures après l’accident. Quelques restes de la victime ont été retrouvés non loin de là. L’accident a eu lieu à une centaine de mètres de l’embarcadère qui sert de point de départ aux excursions touristiques des « crocodiles sauteurs ». Les acteurs de cette filière ont ensuite rapidement réagi et démenti tout lien entre cette activité et le dernier accident en date. « Cet endroit, la rivière Adelaïde, est probablement le plus sûr dans tout l’État pour une personne en bateau, car les crocodiles sont habitués à la présence humaine. Nous n’avons jamais eu d’incident », a affirmé Tony Blums, propriétaire de la société « Adelaïde River Queen Jumping Crocodile Cruises », spécialisée dans ce genre d’excursions, qui déplore aussi la perte de « Michael Jackson, un reptile très connu localement et qualifié de « très gentil » et « pas plus agressif qu’un autre En Australie, au cours des derniers mois, les attaques de crocodiles ont fait plusieurs victimes, dont un garçonnet de 12 ans emporté en janvier 2014 dans le parc national de Kakadu et un pêcheur de 62 ans dans la même région en juin. pad Source -
Belle frayeur pour un agriculteur de Lentillac samedi qui en coupant du bois est tombé sur un python. Le reptile a été assommé et remis aux gendarmes. Non loin de là, le cultivateur et son fils ont découvert un terrarium abandonné dans la nature. Les causses du Lot même écrasés de soleil, ce qui n'est pas arrivé souvent cet été, n'ont pas l'aridité de la savane africaine et pourtant on peut y faire de drôles de rencontres. Samedi, un agriculteur de Lentillac du Causse dans le canton de Lauzès décide d'aller faire du bois sur une de ses parcelles situées en bordure de la route menant à Orniac. L'exploitant agricole commence à débiter un arbre et c'est en soulevant un tronc qu'il tombe sur un serpent jaune et noir, enroulé sur lui-même. «Il faisait un bon mètre de longueur et avait le corps gros comme l'avant-bras» raconte le cultivateur qui dans un réflexe assomme le reptile. Un coup fatal pour le serpent. Surpris par sa découverte, l'homme alerte les gendarmes de la brigade de Saint-Géry qui se rendent sur les lieux. Le cadavre du serpent est photographié sous toutes les coutures avant d'être emporté par les militaires pour être présenté à un spécialiste des reptiles. Le serpent, que l'agriculteur avait pris pour une grosse couleuvre ou une vipère, était bel et bien un python royal, le plus commun de la famille et que les amateurs peuvent acheter dans des animaleries spécialisées. Un terrarium jeté dans la campagne Une quinzaine de jours auparavant, le cultivateur et son fils qui empruntaient la même route avaient été intrigués par la présence de ce qu'ils pensaient être un aquarium, jeté dans le bas-côté. Le bocal à moitié brisé, en fait un terrarium, était encore là hier. Le rapprochement avec la découverte du python semble évident. La gendarmerie a ouvert une enquête pour tenter de retrouver le propriétaire étourdi qui a «lâché» son reptile dans les bois… Le Lot et son bestiaire bizarre Ce n'est pas la première fois que la présence d'un animal étrange ou totalement anachronique dans le paysage Lotois est signalée. Dans les années 2000, un mystérieux puma hantait les combes de Mercuès. Le félin n'a jamais pu être ni attrapé ni même photographié. L'an dernier, c'est un curieux lémurien qui a nourri le feuilleton animalier de l'été 2013. Lynx ? Gros chat ? Toutes les hypothèses avaient été, alors, avancées pour cette bête au pelage épais, à la longue queue et au nez pointu. Un mystère qui fut levé, lorsqu'une voiture heurta l'animal un soir à Payrignac. Tué sur le coup, le coati venait de révéler son identité. Source
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Un cuisinier tué par la tête d'un serpent décapité
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Un chef de cuisine chinois s'est fait mordre par le cobra cracheur auquel il avait coupé la tête vingt minutes auparavant. L'homme est mort des suites de ses blessures. Un drame pour le moins rare s'est produit dernièrement dans un restaurant chinois situé dans la province de Guangdong (sud). Selon le rapport de police, le chef de cuisine Peng Fan voulait préparer une soupe de serpent. Pour cela, il avait décapité un cobra cracheur vivant, car seul le corps du reptile est utilisé dans cette recette. La viande de cet animal – hautement venimeux – est en effet considérée comme une délicatesse en Chine. Lorsque, une vingtaine de minutes plus tard, Peng Fan a voulu jeter la tête du cobra, il a été mordu à la main, relate le «Mirror». Plusieurs clients du restaurant affirment avoir entendu les cris du cuisinier. «Nous ne savions pas ce qui se passait. Après un certain temps, quelqu'un est venu nous dire que nous ne pourrions pas finir notre repas», raconte une femme de 44 ans. La police affirme que le chef de cuisine est décédé sur place avant que l'anti-venin puisse lui être injecté. Causes du décès: paralysie et asphyxie. Un expert a confirmé au « Mirror» que les cobras cracheurs pouvaient «faire preuve de réflexes nerveux jusqu'à une heure après leur décapitation». (ofu) Source -
Selon un communiqué de la présidence, la tortue Ariti, relâchée fin mai à Teahupo'o, sur la Presqu'île, se situait dernièrement entre Tuvalu et Tokelau et se déplaçait doucement vers les Samoa. “Après quelques semaines de silence, l’administration américaine qui la suit, la NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration), a récemment transmis de nouvelles données concernant cette infatigable tortue.” Au 8 août dernier, Ariti avait très précisément parcouru 12 757 kilomètres en 441 jours. Selon le communiqué, “les scientifiques qui étudient son périple, à Tahiti comme dans toute la région Pacifique, espèrent encore obtenir de nombreuses données dans les semaines et les mois à venir. Ce qui leur permettra de mieux connaître les déplacements et les habitudes des intrépides tortues caouannes.” Source
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Mayotte : deux tortues vertes blessées, soignées et libérés
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Après la première opération chirurgicale de deux tortues vertes à Mayotte, le réseau échouage mahorais REMMAT les remettra à l'eau ce dimanche 17 août à 14 heures à Dzaoudi, indique le journale France Mayotte matin. Accrochée à une ligne de pêche dans le port de plaisance de Dzaoudi, une tortue verte a été signalée à la gendarmerie maritime il y a de cela trois semaines. Quelques échanges avec le vétérinaire du centre de soins de Kélonia à La Réunion ont suffi pour que Christian Schuler, vétérinaire à Mayott,e tente une opération chirurgicale. Une grande première à Mayotte. "L’opération fût un succès. La tortue avait deux hameçons de pêche accrochés profondément dans l’oesophage qui ont tous deux pu être retirés", écrit France Mayotte matin. La jeune tortue baptisée Georgette s’en sort "bien". Elle a été prise en charge par l’association Oulanga Na Nyamba. Georgette "pourra être relâchée dans son milieu naturel en fin de semaine", poursuit le quotidien mahorais. Le vendredi 8 août dernier, un deuxième cas similaire a été signalé. Deux pêcheurs ont été surpris par le service des douanes "en train d’embarquer deux tortues vivantes pêchées à la ligne", rapporte le journal. L’une a été relâchée en mer, tandis que l’autre a été confié à l’association Oulanga Na Nyamba. "Un gros hameçon a pu être retiré le soir même par le vétérinaire", décrit France Mayotte matin dans son édition de ce jeudi. La remise en liberté de Georgette et Léopold est prévue pour ce dimanche 17 août à 14 heures sur la petite plage de la douane à Dzaoudi, précédée d’un nettoyage de la plage. "Cette fin heureuse montre l’efficacité du fonctionnement du réseau actif comme le REMMAT", écrit le quotidien. Le cas de ces deux tortues rescapées ont alimenté les discussions sur la nécessité d’un centre de soins pour tortues marines à Mayotte. Une étude de faisabilité est actuellement menée par le Parc national marin et Kélonia. Source -
Un boa de 2,5 m disparaît d'un cirque à Roquestéron
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Depuis mercredi matin, les gendarmes de Roquestéron - village de 500 habitants niché dans la vallée de l'Estéron - enquêtent sur une affaire insolite. Ils tentent d'élucider la disparition d'un boa de 2,5 mètres de long, survenue sur le parking de la halle du bourg où stationnait temporairement un cirque ambulant. Le serpent, qui faisait partie des attractions, aurait été volé ou se serait échappé dans la nuit de mardi à mercredi. Selon les deux responsables du cirque Loyal, le boa tacheté de marron, de vert et de noir, n'a pu s'enfuir seul. La plaque de verre fermant le vivarium étant trop lourde pour que l'animal puisse la soulever. Reste que dérober un tel serpent en pleine nuit, dans le camion de la troupe et en trompant la vigilance des comédiens, paraît extrêmement ardu. C'est pourquoi une autre piste est envisagée : l'animal aurait profité d'un vivarium mal refermé pour goûter à la liberté. Les gendarmes de Roquestéron l'ont vainement cherché hier. Aujourd'hui, le service vétérinaire des pompiers pourrait prendre le relais. Un village inquiet Selon ses propriétaires, le boa n'est pas agressif. À condition de ne pas tenter de s'en saisir, auquel cas il peut attaquer. À la requête de la gendarmerie, le maire Danièle Chabaud a donc exhorté, en direct et par voie d'affichage, ses administrés à ne pas attraper le serpent s'ils le rencontrent mais à alerter immédiatement la brigade (ses coordonnées figurent sur les avis à la population). Nul doute que les habitants suivront le conseil. « On est quand même un peu inquiet même s'il n'y a pas de raison de craindre pour notre sécurité» glissait l'un d'eux. Mardi à 18 heures, le cirque Loyal avait donné une représentation avant que l'un de ses pensionnaires ne disparaisse entre 23 h 30 et 7 h 45 du matin. Mercredi, le cirque a quitté Roquestéron pour l'étape suivante de sa tournée estivale. Espérant récupérer le boa, il a laissé son numéro de téléphone aux gendarmes. Source -
Etats-Unis : un alligator s'invite dans un lycée du Texas
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Un alligator d'1,50 m de long s'est invité dans un lycée du Texas. Il a fallu plus de trois heures pour l'en déloger. | Capture d'écran/YouTube A l'occasion de la rentrée des professeurs, ces derniers ont eu le droit à une drôle de surprise mercredi, dans un lycée des Etats-Unis situé à Katy, près de Houston (Texas). Un alligator s'est en effet invité dans l'établissement scolaire. A moins que ce ne soit le lycée qui ait quelque peu empiété sur son territoire. .. L'animal a été trouvé à l'entrée de l’établissement et s’est ensuite réfugié derrière un climatiseur. Les enseignants ont alors fait appel aux secours. Les services de protection animale sont arrivés à la rescousse, afin de récupérer l'alligator un peu trop curieux. Il leur a fallu près de trois heures pour récupérer ce cousin du crocodile, d'une taille d'1,50 m tout de même. Il n’y avait aucun élève dans ce lycée à ce moment et personne n’a été blessé. Source -
Madagascar : des braconniers grillent 4 200 tortues
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
La chasse aux… braconniers est ouverte dans le district de Beloha, dans le sud de la Grande île. La tortue terrestre, qui est une espèce protégée est tuée pour sa viande. Les braconniers sévissent dans le district de Beloha, dans la partie sud de la région d’Androy, à l’extrême sud de la Grande île. L’Express de Madagascar rapporte dans son numéro d’aujourd’hui que les auteurs du carnage, car c’est bien de cela qu’il s’agit, sont basés dans la localité de Fotadrevo. Lundi 4 août, 16 suspects, dont deux femmes, ont été arrêtés pour avoir mis la main sur des tortues vivant dans les réserves naturelles de la région. Les malfaiteurs avaient déjà grillé plusieurs tonnes de la viande de ce reptile avant leur interpellation. Le nombre incroyable de 4 200 carapaces trouvés dans leur repaire atteste l’ampleur du trafic. « Les personnes qui se trouvent derrière ce crime contre l’environnement opèrent en réseau », affirme Sylvain Mahazotahy, membre d’une l’association œuvrant dans la protection de la tortue malgache. « Ils sont encore nombreux à sévir dans les forets », précise-t-il. Les villageois et la gendarmerie du district de Beloha se sont donné la main pour mettre fin à l’odieux commerce. Selon des sources locales, les quantités pharaoniques de viande de tortue grillée trouvent preneurs dans le district même. Ce seraient ces derniers mêmes qui organisent le trafic. Source -
Le jaguar est l’un des rares félins à apprécier l’eau. Il chasse ses proies sur terre et jusque dans les rivières. Parfois, il risque le tout pour le tout et s’attaque à d’autres dangereux prédateurs : des crocodiles. Dans ce combat, qu’adviendra-t-il du plus grand et plus puissant félin du continent américain ? Source
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Photothèque L’élevage d’insectes est plus écoresponsable que les animaux bovins, affirme Marie-Loup Tremblay. L’aventure de Marie-Loup Tremblay La consommation d’insectes pour l’alimentation (entomophagie) est une pratique qui relève du tabou. Marie-Loup Tremblay a décidé en 2013 de non seulement sortir du placard pour admettre son plaisir à manger des insectes, mais aussi de lancer son entreprise de production à Salaberry-de-Valleyfield. « Je suis une épicurienne et j’ai l’esprit ouvert », explique l’entrepreneure lorsque questionnée sur les raisons qui l’ont incitée à l’entomophagie. Elle renchérit : « Je faisais du triathlon de haut niveau et je visais le Championnat du monde. J’avais des carences alimentaires et des voyages en Chine et au Mexique m’ont ouvert les yeux sur les bienfaits des insectes en alimentation. » Elle signale que les insectes sont une source riche en protéines, en vitamines et en oligo-éléments. Après mûre réflexion, des lectures et des expérimentations, Marie-Loup Tremblay a décidé de lancer son entreprise, uKa Protéine, en 2013 à Salaberry-de-Valleyfield. « De dire ouvertement que je consomme des insectes m’a pris du temps », admet celle qui a maintenant son centre d’opération à Vaudreuil-Dorion. Elle ne se le cache pas; l’entomophagie est un sujet tabou en Amérique du Nord. « Le tabou est très centralisé. La consommation d’insecte est répandue partout à travers le monde. Un rapport déposé par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture stipule que l’entomophagie pourrait une solution contre la famine mondiale », argue la femme d’affaires. Pour elle, inciter les Nord-Américains à la consommation d’insecte n’est pas bien différent de la popularisation des sushis en Amérique du Nord. « Il y a 20 ans, la consommation de poisson cru n’était pas normale ici, rappelle Marie-Loup Tremblay. Maintenant, des chaînes de restauration rapide en proposent. Je dis souvent aux gens que les insectes font partie de la même famille que les homards. Ce n’est pas si différent. » Un sauté de grillons? L’entreprise de Marie-Loup Tremblay, uKa Protéine, est la première du genre au Canada. La fondatrice prévoyait un développement lent, mais elle réalise que son projet attire les regards, d’un côté par la curiosité du public, mais aussi pour les bienfaits de l’entomophagie. Avec ses expériences personnelles et son désir d’offrir des produits de qualité à ses clients, l’entrepreneure vend, pour l’instant, des grillons et des ténébrions meuniers séchés au gramme qu’elle élève dans ses locaux de Vaudreuil-Dorion. « La demande est très bonne », signale Marie-Loup Tremblay. L’attention que génère actuellement l’entreprise ainsi que l’expertise de la jeune femme dans le domaine de l’entomophagie lui vaudront un rôle de conférencière lors du Future Food Salon de Montréal du 27 au 29 août à l’Espace de vie de l’Insectarium. Il s’agit d’une première initiative du genre en sol canadien à laquelle participera Marie-Loup Tremblay le 28 août. Elle conclut : « Manger un bon steak, c’est sûr que c’est agréable, mais j’aime diversifier mon alimentation. » Pour obtenir plus d’information sur l’entomophagie ou pour passer une commande, visitez le www.ukaproteine.com. Source
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La balise Argos, voilà un accessoire loin d'être futile : elle permet aux biologistes de suivre en temps quasi-réel le déplacement des animaux comme les trois tortues relâchées dans l'océan le 2 juillet 2014. Cette année encore, le Service Jeunesse et acteurs de l'Education du CNES a proposé aux classes le projet éducatif ArgoNimaux en collaboration avec des scientifiques du Centre d'Etudes et de Soins pour les Tortues Marines de l'Aquarium La Rochelle (CESTM). Il permet aux enseignants et aux établissements (primaire et secondaire) de participer à une formidable sensibilisation pédagogique à l'écologie polaire et aux préoccupations environnementales sur l'avenir des espèces. Relâcher de tortues Soignées au CESTM, 6 tortues marines ont rejoint l'Océan le mercredi 2 juillet à 10h30. Plage de la Conche des Baleines, dans le nord de l'Ile de Ré, Francesca, Flot, Flamme, Flute, Futé et Fossette, sont relâchées devant un millier de personnes. Trois d'entre elles sont munies d'une balise Argos. Elles présentaient toutes les capacités requises pour retourner dans le milieu naturel, les scientifiques ayant observé leurs aptitudes à chasser des proies vivantes et leurs bonnes capacités de plongée et d'apnée. Sur les traces de Flamme, Flot et Francesca Ces trois tortues marines retournent à l'Océan munies d'un émetteur satellitaire. Cet équipement permettra de suivre leur parcours quotidien. Ces précieuses données contribuent à l'amélioration des connaissances globales sur le comportement de ces espèces marines protégées et sur les facteurs qui influencent leur trajectoire. Pour la première fois une tortue verte sera suivie depuis les côtes atlantiques françaises. Cela permettra de mettre en place des mesures de protection plus appropriées à cette espèce. Il est possible de suivre le trajet de ces tortues reparties en mer le 2 juillet 2014 sur le site internet de l'Aquarium La Rochelle. Un événement bien orchestré Depuis 2009, l'Aquarium La Rochelle invite le grand public lors de la remise à l'eau des tortues marines. Cet événement est l'occasion d'informer le plus grand nombre sur la présence des tortues marines sur les côtes atlantiques françaises mais aussi de mettre en avant leur grande fragilité. Ainsi, le retour à l'océan des tortues marines s'accompagne d'un espace pédagogique où le public prend connaissance des différentes espèces qui fréquentent nos côtes, leur biologie, mais également les menaces qui pèsent sur les populations de tortues marines et les moyens développés pour les protéger. Le lieu et le moment de la remise à l'eau ont été choisis en fonction des précédentes remises à l'eau. Les horaires et les marées ont été minutieusement décidés pour permettre aux tortues marines de gagner rapidement le large depuis la pointe Nord de l'île de Ré et ainsi trouver leur « route ». Les balises Argos, une technologie de pointe Voilà trente ans que les balises Argos ont vu le jour. Si elles ont toujours autant de succès, c'est qu'elles reposent sur une technologie bien rodée ! Ce système de localisation et de collecte de données, permet de repérer et de collecter des informations sur les animaux équipés. Cela, quel que soit le milieu dans lequel ils se trouvent: océan, désert, région polaire...Elles émettent des messages qui sont enregistrés par les satellites de la constellation Argos, puis retransmis à des centres de traitement dédiés. Unique au monde, ce système est opérationnel depuis 1978. Créé à l'initiative de la France et des Etats-Unis, il est exploité au niveau mondial par CLS (Collecte Localisation Satellite), filiale notamment du CNES et de l'Ifremer. Source
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L’Aquarium des lagons inaugure aujourd’hui sa nouvelle attraction : un bassin spécialement dédié aux tortues. Un événementtrès attendu par les Calédoniens, après dix années d’absence. Avec ses 200 000 litres, le nouveau bassin à tortues devient le deuxième plus grand bac de l’Aquarium des lagons. Photo Thierry Perron Voilà près de dix ans qu’elles avaient perdu leur quartier résidentiel. Et presqu’autant de temps que les visiteurs réclamaient leur retour. C’est désormais chose faite. Ce matin, l’Aquarium des lagons inaugure son tout nouveau bassin à tortues. « Ce sont des animaux maladroits et très goulus, qui avaient tendance à casser les coraux et à manger la nourriture des autres. La coexistence dans le grand bac n’était donc pas optimale », justifie Richard Farman, directeur de l’établissement. Avec ce bassin de douze mètres de diamètre, deux mètres de hauteur, et quelque 200 000 litres d’eau (soit plus de soixante-six camions-citernes de sapeurs pompiers, NDLR), les tortues auront tout l’espace qu’elles souhaitent. Avec une pergola en prime pour s’ombrager et une plage privée ! « Au cas où elles viendraient à pondre », souligne le directeur des lieux. N’ayant jamais eu de bassin en extérieur, l’aquarium préfère laisser dans un premier temps le bac vide, sans flore ni autre faune marine. « Laissons-les s’habituer à ce nouvel environnement. Nous verrons ensuite, selon l’évolution de la qualité de l’eau, s’il est possible d’ajouter d’autres espèces telles que des grosses raies ou des poissons herbivores comme compagnons de jeu des tortues », rappelle Richard Farman. Coutumier. Des tortues qui vont déjà devoir faire connaissance entre elles. Afin d’apporter une dimension pays à la nouvelle attraction, le directeur de l’aquarium a fait appel au sénat coutumier pour « recruter » son cheptel. « Chaque aire coutumière a été invitée à offrir une tortue, mais pour l’instant, nous n’avons pas réussi à en pêcher », constate avec humour Cyril Palene, secrétaire général de l’aire Nengone (Maré). Sur les huit aires coutumières, seules deux, Drehu (Lifou) et Paicî-Cèmuhi (province Nord, Poindimié) ont pour l’instant réalisé cette pêche. « Nous faisons ça pour le pays, pour que, plus tard, nos enfants puissent venir à l’aquarium et voient leur tortue nager aux côtés des autres, explique Charles Goropowmwan, en charge de la pêche pour l’aire Paicî-Cèmuhi. La symbolique est belle… Et la température la même pour toutes les tortues ! » Emblématiques. Avant que ces huit tortues emblématiques puissent se baigner ensemble, elles devront rester une vingtaine de jours en quarantaine, en prévention de contaminations externes. A la grande joie de quatre petites tortues qui vont pouvoir profiter de l’espace pour elles toutes seules. Car si l’intérêt, à terme, est de pouvoir présenter les plus grosses espèces possibles, le bassin permettra également de recueillir des tortues plus « classiques », en difficulté. Une démarche de sensibilisation auprès du public, mise en place par l’aquarium avant le début des travaux du nouveau bassin il y a huit mois. « Ma sœur et moi sommes les parrains depuis septembre dernier d’une tortue verte prénommée Céline, raconte Jérémy Allaigre, 10 ans. Elle a été relâchée en décembre et depuis, nous pouvons prendre de ses nouvelles par Internet. » Trois cents Calédoniens participent à cette action. En remerciement, ils ont eu la primeur de découvrir le nouveau bassin un peu avant les autres. L’ouverture au public est prévue, quant à elle, dès 10 heures aujourd’hui. Source
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INSOLITE. En voila une qui n'aurait pas pu faire mieux pour se faire remarquer : avec sa voiture, elle est entrée dans la caserne de pompiers... un serpent volé autour du cou. On vous rassure, la scène ne se passe pas en France, mais après tout, ça aurait pu. Sarah Espinosa a 22 ans et vient de se faire suspendre le permis après avoir conduit sous l'emprise de l'alcool, possession de marijuana, mise en danger de la vie d'autrui et vol Les faits se sont produits à New Hyde Park, Long Island et nous sont rapportés par CBS New-York. La jeune femme franchit la ligne continue avec son véhicule, percute une voiture avant de finir sa course dans la porte du garage de la caserne de pompiers du secteur, endommageant deux camions au passage. Un serpent autour du cou "Le véhicule était à moitié entré dans la caserne", racontent les occupants. Mais ce n'est pas tout -si, si- les pompiers, en se précipitant sur les lieux, découvrent un... python, enroulé autour du cou de la jeune femme. "Il faisait environ un mètre", raconte l'un des pompiers volontaires, pensant à ce moment qu'il s'agit de l'animal de compagnie de Sarah Espinosa. En réalité le serpent avait été volé peu de temps avant l'accident, dans une animalerie du secteur. Dans le véhicule se trouvait également... un chien. "Je pense que le chien était intrigué par le serpent et le serpent avait peur du chien", explique Josh Deutchman, de D&J Reptiles à CBS. Il se pourrait bien que ce soit un problème de cohabitation entre les animaux qui a provoqué l'accident. "En 22 ans de métier, c'est la première fois que je vois ça", a confié l'un des pompiers. ipt> Source
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Un homme teste la piqûre d'insecte la plus douloureuse
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
L'Australien Hamish Blake a voulu se mesurer à la morsure de la fourmi balle de fusil. Malheureusement pour lui, cette créature règne sur l'échelle des piqûres et morsures d'insectes les plus douloureuses. L'effet est instantané et terrifiant. Un homme teste la piqûre d'insecte la plus douloureuse par Gentside Découverte Il faut parfois savoir souffrir pour informer et divertir les gens, mais certains apprennent à leurs dépens qu’il y a des limites à ce genre de défis. Le comique australien Hamish Blake a ainsi fini à l’hôpital après avoir subi un rituel initiatique amazonien, dans le cadre de son émission Hamish and Andy's Gap Year South America. L’épreuve consistait à enfiler des gants remplis de fourmis balle de fusil et à en supporter le venin. Problème : Paraponera clavata possède la piqûre la plus douloureuse de tout le monde des insectes. Un défi qui se termine ... à l'hôpital Hamish Blake avait beau s'attendre au pire, il a tout de même nettement sous-estimé la violence du venin. Le montage et le ton humoristique de l’émission rendent l’épreuve un brin comique, mais il souffre bel et bien le martyre. Il hurle et tremble de tout son corps sous le coup d’une douleur qui dure des heures. Blake sera finalement hospitalisé. Il n’a pas réussi le rite de passage de la tribu Satere-Mawe, mais cet échec devait être le cadet de ses soucis quand 24 heures après, ses mains étaient toujours gonflées et paralysées. Tout en haut de l’échelle de douleur Paraponera clavata trône tout en haut de l’index Schmidt de pénibilité des piqûres d'hyménoptères. L'entomologiste Justin O. Schmidt a été accidentellement piqué par une foule d’insectes au cours de ses travaux de recherche, et il a décidé de se servir de ses malheureuses expériences pour former cette échelle relative. Elle va de 0, piqûre inoffensive, à 4. Outre cette espèce de fourmi, seules les guêpes du genre Pepsis peuvent se targuer d’atteindre le dernier niveau de douleur. Selon le site Myrmecos, dédié aux fourmis, la douleur de la morsure des fourmis balle de fusil est comparable à "marcher sur des charbons ardents avec un clou rouillé de 7 centimètres planté dans le talon". Justin O. Schmidt la décrit comme pure, brillante et intense. Malgré les souffrances horribles et durables qu’elles procurent, ces fourmis sont rarement la cause de décès chez les humains. Une espèce très ancienne Au-delà de sa morsure, Paraponera clavata intéresse les entomologistes pour diverses raisons. Tout d'abord, sa taille : les ouvrières peuvent mesurer jusqu’à trois centimètres de long et, comme chez les espèces de fourmis primitives, les différentes castes ne s’accompagnent pas de différences physiques marquantes. Même la reine n’est guère plus grande que ses sujets. De plus, cette espèce est la seule de son genre, et son dernier ancêtre commun avec les autres fourmis remonte à 90 millions d’années. Un candidat idéal pour étudier le monde fascinant des fourmis. Source -
Dans l'animalerie où des couleuvres d'Esculape naissent cette semaine sous les incubateurs, le nouveau véto de Chizé avoue son petit faible pour les reptiles, les serpents en particulier. - (dr) Le nouveau vétérinaire du parc animalier prend ses marques. A 29 ans, Pierre-Jean Albaret veille au quotidien sur les 70 espèces de Zoodyssée. L'anatomie des serpents a constitué son sujet de thèse. Le nouveau vétérinaire du zooparc de Chizé est un spécialiste des reptiles. Pierre-Jean Albaret avoue sa passion pour les serpents. Il est gâté, parce que dans le parc spécialisé en faune européenne, le serpent est plutôt bien représenté. Cette semaine encore, Zoodyssée a ajouté des petites couleuvres d'Asculape à son carnet rose annuel. Avec les quatre louveteaux nés le 1er juin, plus entre autres les sept faons, cinq daims, deux bouquetins, une chouette effraie, une chouette épervière et, extraordinaire, sept petites chouettes chevêches d'Athéna, tous nés cette année, la vie bat son plein. Ce qui montre que les 70 espèces se sentent bien sur leurs 75 hectares. " Cela a été très chaud avec les singes Magot… " Il faut dire que le parc du conseil général des Deux-Sèvres, son équipe soignante avec son vétérinaire et ses six animaliers, est bien pourvu pour veiller sur ses quelque 600 pensionnaires. Dernier arrivé, Pierre-Jean Albert, docteur vétérinaire âgé de 29 ans, originaire du Puy-de-Dôme, a officié dans le bocage bressuirais pendant près de deux ans. Formé à Nantes, puis à Maisons-Alfort, il a succédé au précédent praticien parti pour la Réserve africaine de Sigean (Aude). Première expérience en parc zoolgique, donc. « La grande particularité est évidemment la gamme étendue des espèces, confie le nouveau véto de Chizé. Le domaine d'intervention est très large ». Soins aux animaux, gestion de leur santé, alimentation, prévention des risques, conception de leurs enclos et des infrastructures, autopsies, mais aussi représentativité du parc, communication, encadrement… le champ est large en effet. Vétérinaire chez les sapeurs-pompiers « La nécessité de s'adapter à différentes techniques est importante. Je me suis formé notamment à l'utilisation du fusil hypodermique », ajoute le scientifique. Le danger des bisons qui ne supportent pas la contention, la difficulté d'intervenir auprès des singes font partie des risques du métier. Témoin, l'incident de mercredi dernier chez les macaques. « Cela a été très chaud avec les singes Magot. Nous sommes intervenus parce que l'un d'eux avait mordu gravement un de ses congénères. Je l'ai fléché (NDLR : une fléchette hypodermique pour anesthésier le blessé) mais quand il a fallu le sortir de l'enclos, les autres membres ont voulu le défendre. Ils ont attaqué. C'était très tendu, un singe a chargé un collègue et lui est tombé dessus, au sol. Chaud ! », confie le vétérinaire arrivé à Zoodyssée le 1er avril dernier, et déjà habitué à des situations extrêmes. Entre autres par ses fonctions de vétérinaire chez les sapeurs-pompiers, qu'il a rejoints peu après son arrivée en Deux-Sèvres. nr.niort@nrco.fr pratique > Où ? Centre touristique et pédagogique de Chizé, Villiers-en-Bois. En venant de Niort, direction Beauvoir-sur-Niort. Dans Beauvoir, direction Chizé. Puis Zoodyssée est indiqué à gauche après Beauvoir, sur la route de Chizé. Tél. 05.49.77.17.17. Courriel : accueil-zoodyssee@cg79.fr > Quand ? Zoodyssée est ouvert tous les jours du 1er avril au 7 septembre, fermé le mardi du 8 septembre au 31 mars (sauf pendant les vacances scolaires) et ouvert les jours fériés. Pendant la période estivale (du 1er mai au 31 août), c'est ouvert de 10 h à 19 h. > Combien ? L'entrée est fixée à : adultes, 11,50 €; adolescents (13-18 ans), 8,80 €; enfants (4-12 ans), 6,30 €; gratuite jusqu'à 3 ans. Forfait famille (2 adultes et 2 enfants), 31 €; calèche en famille (2 adultes et 2 enfants), 12,30 €. Des formules sont proposées également pour les anniversaires et en abonnement annuel, à découvrir sur le site Internet, rubrique « offres spéciales ». Internet : http://www.zoodyssee.org Sébastien Acker Source
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Un python royal mesurant un mètre vingt a été découvert vendredi après-midi par des promeneurs dans les alentours de Farvagny, dans le canton de Fribourg. Selon la police cantonale, qui a été contactée vendredi aux alentours de 15h15, le reptile a été abandonné par son propriétaire. Après avoir informé le Service vétérinaire, la patrouille de police a transporté l'animal auprès d'un spécialiste, à Sorens. Les éventuels témoins pouvant apporter des éléments permettant d'identifier le propriétaire du serpent sont priés de prendre contact avec les autorités. Source
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Gard : une incroyable idylle de 3 jours entre un oiseau et une tortue
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Dame tortue et son ami le “Piaf”. MIDI LIBRE L 'amitié entre un oiseau et une tortue était tellement forte qu'ils ne se sont pas quittés pendant trois jours. Par une belle matinée d'été, à Fourques, Dame tortue se promenait dans une herbe haute et fraîche, attirée par la vision et l'odeur de sympathiques escargots blancs. "On a toujours besoin d'un plus petit que soi" Après s'être éloignée de son port d'attache et s'être remplie correctement l'estomac, elle décide que le temps est venu pour un retour au bercail, mais, dans cette herbe verte et haute, il est difficile de s'orienter alors elle fait appel à son ami le Piaf qui, perché sur son dos, va la conduire et la ramener à la maison confirmant ainsi le proverbe "On a toujours besoin d'un plus petit que soi." Source -
Les tortues marines, grandes navigatrices de l'océan Indien
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Une tortue verte dans l'océan Indien équipée d'une balise Argos. | IFREMER / J. BOURJEA Germaine joue l’échappée belle. Un peu plus de 54 kg, 72 cm de long, cette jeune tortue caouanne (Caretta caretta) approche des côtes d’Oman. Son congénère Gustin la talonne, tandis que Solange et Angélique musardent du côté de la Réunion, d’où elles sont parties. Toutes sont des rescapées récupérées par des pêcheurs qui les ont conduites au centre de soins et d'observation Kélonia, à Saint-Leu sur la côte ouest de l’île. Elles y sont bichonnées, opérées pour être débarrassées des hameçons qu'elles ont avalés, avant d’être équipées d’une balise Argos par les biologistes de l’Institut français d’exploitation de la mer (Ifremer). Ces derniers vous proposent de suivre quasiment en temps réel sur leur site, le périple de ces gros animaux marins migrateurs, capables de parcourir 4 500 km dans l’Océan Indien. L'objectif de ce traçage n'est pas une petite révision géographique toujours bienvenue, c'est notamment une façon de sensibiliser le grand public au sort des tortues de l’hémisphère sud. Luth, verte, imbriquée, olivâtre et caouanne : toutes ces espèces sont menacées et inscrites sur la liste rouge de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). UN PETIT PELOTON QUI INTRIGUE Le petit peloton autour de Germaine, intrigue : ces animaux presque adultes retournent-ils à Oman – qui abrite un des plus importants sites de ponte du monde - pour s’y reproduire ? Possible, mais les chercheurs de la station Ifremer de la Réunion n’en sont pas sûrs. Eux qui se sont fixés pour objectif d’équiper 200 tortues marines de balises Argos entre 2007 et 2015, connaissent surtout les comportements des tortues vertes, des habituées du Canal du Mozambique. Des voisines en somme. Voilà même trente ans qu’ils l’observent cette espèce qui aime à déposer ses oeufs à Mayotte et sur d’autres petits bouts de territoires français, en particulier sur l’île Europa qui fait partie des Eparses. Plus de 10 000 femelles viennent y pondre chaque année avant de s’éparpiller le long de l’Afrique orientale : Madagascar, les Seychelles, jusqu’au Kenya et en Tanzanie, comme le montrent les courtes animations de l’Ifremer sur son site. «C’est à ce moment-là qu’elles se font décimer, rapporte Jérôme Bourjea, responsable du projet Tortues marines à la Réunion. Alors que la France consacre beaucoup de moyens pour les protéger, 10 000 sont capturées chaque année rien que sur la côte ouest de Madagascar. Celles qui remontent le long des côtes africaines sont aussi victimes de braconnage, ce qui les tue bien davantage que les thoniers-senneurs et les grandes palangriers », assure-t-il. Bien connaître les trajectoires et les aires d’alimentation de ces gros reptiles permet aux scientifiques d’alerter les gouvernements et les ONG des Etats concernés. Ce savoir-là peut inciter à la vigilance, voire aider les pays à définir les emplacements les plus judicieux pour la création d’aires marines protégées. Mais la science ne peut rien contre les morceaux de plastique que Germaine et sa cohorte ingurgitent immanquablement, comme le constatent leurs soigneurs de Kélonia. Source -
Lavoûte-sur-Loire. Le Centre permanent d’initiation à l’environnement (CPIE) organise des sessions d’étude sur les batraciens, d’Issarlès (Ardèche) à Chamalières-sur-Loire. Le CPIE (Centre permanent d’initiation à l’environnement) du Velay organise cet été une prospection des amphibiens des Gorges de la Loire ! Le but est de savoir comment les crapauds, grenouilles, tritons utilisent certains milieux humides associés au fleuve. Ceci permettra de compléter la connaissance sur un petit crapaud emblématique des Gorges de la Loire, le sonneur à ventre jaune. Lundi, une vingtaine de personnes étaient présentes au « Cros », près du Pont Vieux pour une journée de formation sur ces petits batraciens à ventre jaune, très présents dans les vasques rocheuses des bords du fleuve, alors que la tendance est plutôt à sa disparition dans d’autres régions de France. Dix-sept bénévoles dont un groupe important de jeunes scouts de la région parisienne a suivi avec intérêt cette formation. En effet, le groupe a une mission immédiate, à savoir repérer les sonneurs et les autres batraciens, en longeant la Loire à pied sur 70 km pendant neuf jours. Cette expédition se déroule jusqu’au 21 août d’Issarlès à Chamalières-sur-Loire. Source
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Decouverte de fossiles d’une espèce inconnue de reptiles volants
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Des paléontologues ont découvert au Brésil des ossements fossilisés d’au moins 47 Ptérosaures d’une nouvelle espèce, des reptiles volants contemporains des dinosaures. Baptisés «Caiuajara dobruskii», ces ptérosaures vivaient dans ce qui est aujourd’hui le sud du Brésil à l’époque du crétacé (-145 à -65,5 millions d’années), précisent ces scientifiques dont la découverte est publiée mercredi dans la revue scientifique américaine PLOS ONE. Ces ptérosaures comptaient des individus jeunes et adultes avec une envergure d’ailes allant de 65 centimètres à 2,35 mètres. Cela a permis aux scientifiques de déterminer qu’il s’agissait d’une nouvelle espèce dans ce groupe d’animaux préhistoriques, mais aussi de voir comment ils se développaient. Ces chercheurs, menés par Paulo Manzig de l’Université de Contestado au Brésil, ont notamment constaté que plusieurs caractéristiques de la tête du «Caiuajara dobruskii» différaient de tous les autres membres du groupe des ptérosaures. Ils mentionnent entre autres la présence d’une importante protubérance osseuse sur le crâne au niveau des yeux. Les jeunes et les reptiles plus vieux se distinguaient surtout par la taille et l’angle de leur crête osseuse sur le dessus de leur tête. Des groupes de ptérosaures Cette crête était petite et inclinée chez les individus jeunes et développée et droite chez les adultes. L’analyse de ces ossements fossilisés suggère que ces ptérosaures vivaient en groupe autour d’un lac situé dans un désert. Ces reptiles pourraient aussi avoir été capables de voler très jeunes. Tous les os formant un squelette ont été retrouvés et ces chercheurs estiment ainsi que le site contient au moins 47 de ces reptiles mais il pourrait y en avoir plusieurs centaines vu la masse d’ossements fossilisés présents. Les causes de la mort de ces ptérosaures n’ont pas pu être déterminées bien qu’il semblerait y avoir de grandes similarités avec la mortalité de certains dinosaures ayant résulté de la sécheresse, expliquent ces paléontologues. Il est toutefois possible que des tempêtes de sable dans le désert près duquel ils vivaient pourraient leur avoir été fatales, notent-ils. Différents des dinosaures, les ptérosaures sont considérés comme les premiers vertébrés volants. Source -
La Moselle est la seule région de France où le crapaud vert est présent. Le batracien s’est épanoui au temps des mines de charbon. Aujourd’hui son habitat régresse, lui aussi. A son chevet, élus et écologistes s’affrontent. Si le crapaud vert était capable de nostalgie, il penserait avec émotion au temps béni de l’exploitation des mines de charbon. Cette activité industrielle qui régnait sans partage dans le bassin houiller lorrain créait involontairement des paysages taillés sur mesure pour ce batracien qui a choisi l’Est de la Moselle comme limite occidentale de son aire de répartition. De vastes espaces étaient ouverts dans les carrières de sable et les gravières, avec de l’eau et sans trop de végétation. « Les Houillères entretenaient mais n’urbanisaient pas ces espaces. Aujourd’hui c’est bien plus compliqué », relève Jean– Baptiste Lusson, président du Gecnal (Groupement d’Étude et de Conservation de la NAture en Lorraine). Depuis sa protection par arrêté ministériel en 2007, l’amphibien, fond rosé, gris ou brun, tacheté d’un beau vert cerclé et dont la pupille ovale et horizontale lui donne un air faussement blasé, fait parler de lui, au même titre que le grand hamster en Alsace. Il est au cœur de discussions souvent et de conflits parfois. Ils opposent défenseurs de la nature, qui se battent bec et ongle pour la préservation de son habitat, et les élus révulsés par des contraintes qu’ils jugent disproportionnées dans un contexte de crise économique où les projets d’aménagements et de développement ne sont pas légion. Régression en marche L’espèce a vécu sa période faste dans les années 90. Elle est en Moselle sur une aire de 300 km² en trois noyaux : le Warndt avec extension jusqu’au sud de Faulquemont, l’est de Sarreguemines et une implantation plus récente dans la vallée de la Moselle à Cattenom. Le crapaud vert aime par-dessus tout les petites mares, flaques ou fossés mais ne dédaigne pas les étangs. Ses habitats terrestres de prédilection doivent être ouverts et peu végétalisées que sont les zones industrielles ou commerciales, les terrils, les anciens carreaux de mines… Mais les comptages effectués sont formels. Entre 1975 et 2009, la régression est en marche avec un habitat qui se défausse. La nature trop abondante grignote sites industriels délaissés par l’homme tandis que les aménageurs sont peu enclins à créer et entretenir des mares pour un batracien noctambule et quasi-invisible. La carrière de sable de Freyming-Merlebach, sécurisée par Charbonnage de France avant son désengagement et aménagée en zone de promenade est un havre de paix pour le crapaud vert. Le paysage est étonnant avec de hautes falaises, façon canyon. Dans cette forêt frontalière entre la France et l’Allemagne, des millions de tonnes de sable ont été prélevées entre les années 2000 et 2005 pour combler le vide laissé par les couches de charbon extraites du sous-sol. Tous les critères d’épanouissement du crapaud vert sont là, une végétation peu envahissante et des points d’eau, indispensables pour la reproduction entre avril et juin. Une fois pondus, les têtards ont besoin d’un mois et demi d’immersion avant d’avoir les moyens physiologiques de s’extraire du milieu aquatique. L’espèce n’est finalement pas très exigeante, à condition d’être prise en compte. Jean-Baptiste Lusson y veille. « Avec pragmatisme », assure-t-il. La carrière de sable de Freyming-Merlebach est un havre de paix pour le crapaud vert. En mai 2012, le tribunal correctionnel de Sarreguemines a débouté l’Onema (office national de l’eau et des milieux aquatiques) qui reprochait à la communauté de communes de Freyming-Merlebach d’avoir mis à mal la préservation du crapaud vert dans l’aménagement d’une zone d’activité sur des friches industrielles à Béning-les-Saint-Avold. Le tribunal a prononcé une relaxe, mais l’hôpital qui devait s’implanter sur ce site ne se fera pas et le crapaud vert n’y est pour rien. Mais le bras de fer n’est pas une fatalité. Entre 2005 et 2013, 40 mares ont été réalisées. Entre 5 000 et 7 000 individus ont été recensés entre 2004 et 2012. Neuf sites, les plus importants, abritent à eux seuls 2 400 crapauds verts. Source
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Pas moins de 1.178 cas de piqûres de scorpion ont été enregistrés dans la wilaya de Djelfa entre les mois de janvier et juin 2014, a-t-on appris auprès de la Direction de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière. Pas moins de 1.178 cas de piqûres de scorpion ont été enregistrés dans la wilaya de Djelfa entre les mois de janvier et juin 2014, a-t-on appris auprès de la Direction de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière. Sur ce total de piqûres, quatre ont été mortelles pour des enfants âgés entre 2 à 12 ans, a-t-on déploré au service prévention relevant de la DSPRH, dont les responsables estiment que ces décès sont dus au fait que les concernés "ont été évacués tardivement aux centres de santé" de la wilaya. D’autre part, la même source a affirmé la "disponibilité du vaccin antiscorpionique au niveau de tous les hôpitaux et centres de santé de la wilaya", observant que la seule manière de réduire les cas de décès, "est d’évacuer immédiatement la victime vers les services médicaux compétents et d’éviter les méthodes de traitement traditionnelles, qui pourraient aggraver la situation, comme constaté sur le terrain". La DSPRH a élaboré, en collaboration avec la Direction de l’Action sociale de la wilaya, 61 fiches techniques relatives aux régions ayant enregistré le plus grand nombre de cas d’atteintes par les piqûres de scorpion en 2013, a-t-on ajouté de même source. Source