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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Cédric Badin. - ECHO REPUBLICAIN Photo Les reptiles ont leurs défenseurs, mais leur élevage nécessite beaucoup de soins et de savoir-­faire. Installé depuis quelques années à Aunay-sous-Auneau, le magasin d'Alexandre Pageon ne commercialise pas de reptiles, même si ses propres spécimens sont en exposition. « Il faut savoir reproduire le milieu naturel du reptile qu'on a choisi d'adopter. Donc il faut connaître le biotope d'origine et utiliser les bons matériaux et le bon matériel, pour le fabriquer artificiellement », explique Alexandre Pageon, un passionné âgé de 28 ans, originaire des Yvelines, et plongé dans l'univers des reptiles depuis son adolescence. Obtenir des températures désertiques, mesurer le taux d'humidité, ou encore choisir le sol du terrarium, sont des étapes nécessaires à l'entretien des reptiles, famille dont il existe plus de 9.000 espèces connues, tous animaux à sang froid, dits ectothrmes. « Un marché émergent » « Les reptiles, c'est un marché émergent, qui s'est énormément démocratisé ces dix dernières années », observe Alexandre Pageon, président fondateur de Terra reptiles, une association âgée de 3 ans. Organisateur d'un événement public, le Reptile Show, programmé les 11 et 12 octobre prochains, au foyer culturel d'Auneau, il a recensé 2.500 entrées lors de la dernière édition, les 5 et 6 avril. Son penchant à lui, c'est les pythons, un animal qui, dans son milieu naturel, tue ses proies par constriction, en les étouffant entre ses anneaux. « Je les nourris avec des animaux congelés », indique le spécialiste. « Dans le jargon, on appelle ça du rosé de souris. Ce sont des foetus dont on nourrit les bébés pythons. » Pratique. Z'Animo E.xotic, Parc d'activités Le Camp, RD 130, 28.700 Aunay-sous-Auneau. Tél. 02.37.31.71.75. BONUS VIDEO Le varan des savanes d'Alexandre Pageon Alexandre Pageon présente son varan des savanes. Le python tapis adulte d'Alexandre Pageon Alexandre Pageon présente son python tapis adulte. Le python tapis juvénile d'Alexandre Pageon Alexandre Pageon présente son python tapis juvénile. Source
  2. Le premier crâne intact et fossilisé d'un amphisbène - un reptile, différents des serpents ou des lézards - a été découvert en Espagne. Reconstruction du crâne de Blanus cinereus. Bolet A, Delfino M, Fortuny J, Almécija S, Robles JM, et al. (2014) AMPHISBAENIA. Les amphisbènes appartiennent à l'ordre des squamates qui comprend aussi les lézards et les serpents. La seule espèce connue d'amphisbène en Méditerranée (il y en a ailleurs) est Blanus cinereus que l'on retrouve en Espagne et au Maroc. Mais d'autres espèces ont fréquenté cette zone, il y a fort longtemps comme en témoigne le fossile découvert. Un groupe mal connu Mesurant 11,3 mm et daté de 11,6 millions d'années, ce crâne correspond à une nouvelle espèce baptisée Blanus medenzi. Il représente le spécimen le plus ancien découvert dans la région de la Méditerranée occidentale. Des analyses et l'imagerie au scanner ont révélé des données inédites sur l'évolution et la structure de ces reptiles, dont la trajectoire évolutionnaire est encore mal connue. Reconstruction du crâne de Blanus cinereus à partir de clichés au CT-scan. Bolet A, Delfino M, Fortuny J, Almécija S, Robles JM, et al. (2014). SCISSION. Les spécialistes supposent que de nouvelles espèces sont apparues après la scission en deux groupes des amphisbènes : l'un à l'est de la Méditerranée, l'autre à l'ouest. "L'utilisation de techniques CT-scan appliquées à ce crâne superbement conservé a permis une description d'une précision inégalée pour un des premiers membres de la famille, offrant un aperçu de l'histoire de l'évolution de ce groupe mal connu de reptiles" conclut Arnau Bolet de l'université autonome de Barcelone. Source
  3. Des restes humains ont été retrouvés dimanche en Australie dans l'estomac d'un crocodile marin. L'animal a été abattu non loin du lieu où un sexagénaire avait été happé la veille sous les yeux de ses proches. Un homme de 62 ans a été happé samedi soir en Australie par un crocodile marin sous les yeux de ses proches dans le parc national de Kakadu (nord). Des restes humains ont été retrouvés dimanche dans l'estomac du saurien qui a été abattu. Des restes humains ont été retrouvés dimanche en Australie dans l'estomac d'un crocodile marin. L'animal a été abattu non loin du lieu où un sexagénaire avait été happé la veille sous les yeux de ses proches. L'homme âgé de 62 ans avait été emporté samedi soir alors qu'il se promenait en bateau sur la South Alligator River, dans le parc national du Kakadu (nord), avec son épouse, son fils et sa belle-fille. Des recherches ont aussitôt été lancées. Deux crocodiles marins (ou crocodiles d'eau salée) de grande taille ont été abattus par les "rangers" et leur estomac ouvert. "Un des deux crocodiles a été examiné et une certaine quantité de restes humains découverte" dans son estomac, a indiqué un officiel de la police du Territoire du Nord, Andrew Hocking. Le crocodile mesurait près de 5 mètres. Les restes humains doivent être identifiés mais l'animal a été tué à 1,5 kilomètre seulement de l'endroit où le promeneur a été attaqué. Une tonne, 7 mètres Le crocodile marin (Crocodylus porosus) vit dans les marais et les rivières des régions côtières du nord du pays, et tolère aussi bien l'eau salée que l'eau douce. Son poids peut atteindre une tonne et sa taille 7 mètres, ce qui en fait le plus gros reptile vivant. Espèce protégée depuis 1971, il n'est plus considéré comme menacé. Sa population oscillerait entre 75'000 et 100'000 individus. Des victimes chaque année Une à deux personnes succombent chaque année à une attaque de ces animaux. En janvier, un garçon de 12 ans a été emporté par un crocodile dans le même parc de Kakadu. Selon la base de données CrocBITE renseignée par l'université australienne Charles Darwin, 66 personnes ont été tuées par des crocodiles depuis le début de l'année dans le monde. Source
  4. La tortue serpentine, une espèce américaine très agressive, retrouvée à Caucalières (Tarn) a été envoyée près de Perpignan, dans un parc animalier spécialisé dans les tortues C'est un pêcheur qui avait découvert l'animal sur les bords du Thoré il y a trois semaines. Cet animal de près de 5kg particulièrement agressif originaire d'Amérique du nord appartient à une espèce non commercialisable en France. La tortue serpentine a été recueillie par 'La vallée des tortues" un parc animalier près de Perpignan. Très rare en France, elle a sûrement été relâchée par quelqu'un qui se l'était procurée plus ou moins légalement . Son propriétaire a dû être étonné par le caractère particulièrement dangereux de cet animal dont la morsure peut être très puissante. Ces animaux ne se nourrissent que de chair. Leur cou rétractile leur permet d'attraper des poissons et parfois aussi quelque oiseau que la tortue happe et noie. Source
  5. Pour préserver une espèce de lézard que l'on ne trouve que dans les Pyrénées, EDF met en place un système de protection de l'animal lors les travaux d'entretien du barrage d'Aubert dans le Néouvielle. Les reptiles rares sont capturés au début des travaux, puis relâchés. A plus de 2000 m d'altitude, dans la réserve du Néouvielle, les travaux d'entretien et de rénovation du barrage d'Aubert prennent en considération la présence du lézard de Bonnal, une espèce rare, pour éviter de les détruire. Depuis 1932, le lézard de Bonnal avait colonisé le barrage. Aujourd'hui, l'association Nature Midi-Pyrénées capture le plus de lézards possible et les relâche plus loin sur un éboulis à la demande d'EDF et suivant les préconiserions du Parc National des Pyrénées. Lorsque les travaux seront terminés, il faudra re-capturer tous les lézards pour les remettre à leur place sur les pierres du barrage. Le lézard de Bonnal C'est un lézard de petite taille à l'écaillure dorée et lisse et à queue lisse. Le corps mesure 60 mm et au total 180 mm avec la queue. Cette espèce est endémique des Pyrénées. Elle se rencontre dans entre 1 580 et 3 060 m2 du massif du pic du Midi d'Ossau au massif d'Aigüestortes : dans le sud des Pyrénées-Atlantiques, des Hautes-Pyrénées et de Haute-Garonne en France et dans le nord des provinces de Huesca et de Lérida en Espagne. Il vit dans les chaos rocheux, éboulis, les rochers fissurés et bien exposés, les falaises, les lits de torrents et de ruisseaux asséchés. Il ressemble fortement au lézard des murailles. Source
  6. ALIMENTATION - Ce devait être une parfaite opération de communication. Sur l'esplanade de la Défense à Paris, au milieu des cols blancs pressés et des badauds en quête de shopping, un food truck éphémère qui propose... des insectes à manger. Au même moment, ce 4 juin, à Bruxelles, à Londres, à Copenhague, à New York ou à Sidney, les mêmes petits camions proposaient aussi aux passants de déguster sauterelles, vers de farine et autres criquets. Cette opération organisée par l'entreprise Rentokil était autant l'occasion de faire déguster des échantillons de ces joyeuses petites choses que de parler des meilleurs moyens de s'en débarrasser. L'entreprise est en effet spécialisée dans la dératisation et la désinsectisation. Mais tout ne s'est pas passé comme prévu, la veille au soir du grand événement, la cellule française s'est vue interdire par la DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes) le fait même de proposer des insectes à manger. En arrivant sur le stand ce mercredi 4 juin, surprise, les vers de farine ont été remplacés par de simples bonbons en forme d'araignées. Les insectes eux sont toujours dans des cartons rangés à côté du food truck. Les quelques curieux qui ont bravé la pluie sont reçus par l'équipe de l'entreprise, "désolés" de ne pas pouvoir leur présenter les fameux "pest" (nuisibles en anglais). Les insectes seront finalement déballés et dévorés... des yeux. Vendre et servir des insectes en France est interdit mais toléré "Nous avons été prévenus hier à 19h par la répression des fraudes", déplore l'un des représentants de Rentokil. "Mais nous ne sommes pas du tout là pour relancer le débat sur la consommation d'insectes", ajoute-t-il avant d'enchaîner sur les nuisibles et les différentes manières d'en venir à bout, "le vrai enjeu de cette journée". Sur le stand, les passant sont déçus comme Romain Fessard, co-fondateur d'insectescomestibles.com, un site de vente d'insectes, recruté pour animer les cuisines du food truck et cantonné à faire des gâteaux au chocolat et des brochettes de fruits. Est-il interdit de déguster des insectes à Paris? A priori non, il existe même quelques restaurants parmi lesquels le Festin Nu qui propose à Paris depuis 2013 des tapas aux insectes. Et pourtant, si. Contactée par Le HuffPost, la DGCCRF qui a interdit cette opération nous renvoie vers une réglementation européenne datant de 1997 et bien connue de tous les amateurs de criquets de l'hexagone: la réglementation "novel food". Ce texte impose à toutes les sociétés commercialisant des aliments qui ne l'étaient pas avant 1997 de demander à l'Autorité européenne de sécurité des aliments une évaluation avant d'obtenir une autorisation de mise sur le marché (AMM) délivrée par la Commission européenne. La Belgique et la Royaume-Uni plus souples que la France Tous ceux qui se sont lancés dans ce marché en France ont eu à faire aux mêmes problèmes. Bastien Rasbatens, cofondateur de la marque de produits à base d'insectes Jimini's en sait quelque chose. Cet ancien juriste s'est plongé dans les textes de lois avant de lancer sa petite affaire. "Il y a un flou juridique, chaque pays de l'Union Européenne interprète la réglementation "novel food" comme il l'entend. Le texte de 1997 avait été voté principalement pour réglementer l'arrivée des OGM sur le marche, il ne concerne pas les aliments entiers, comme les insectes". C'est aussi de cette façon que les Pays-Bas ou le Royaume-Uni comprennent cette réglementation. La France, elle, applique plutôt le principe de précaution et interdit à tous les acteurs du marché la vente sauf s'ils ont eu une autorisation de mise sur le marché de la Commission européenne. "Cette procédure n'est pas gratuite, prévient Bastien Rasbatens de Jimini's, il faut compter au moins 100.000 euros". Un coût qu'une start-up de deux ans ne peut évidemment pas se permettre. En décembre 2013, la Belgique a autorisé la consommation de dix insectes sur son sol. Une première en Europe qui a réveillé les vélléités des entomophages français : "Nous souhaitons que les législateurs prennent leurs responsabilités et tranchent la question, réclamait Jean-Philippe Paillard, vice-président de la Fédération française des producteurs, importateurs et distributeurs d'insectes (FFPIDI) interrogé par Le Monde. Source
  7. Plus de 300 nouvelles espèces ont été découvertes en 2012 par des scientifiques. Tour d'horizon. Les scientifiques ont découvert une nouvelle espèce de grenouille géante. (5 juin 2014) Les scientifiques ont découvert une araignée aveugle (5 juin 2014) Image: Keystone D'un écureuil volant géant à un serpent «Zorro», les scientifiques ont identifié 367 nouvelles espèces animales et végétales dans la région du Grand Mékong depuis 2012. Mais elles sont déjà menacées, selon un rapport du Fonds mondial pour la nature (WWF). «Ces découvertes replacent le Mékong au rang des régions les plus riches en biodiversité de la planète», a déclaré jeudi Thomas Gray, expert pour le WWF dans cette région. «Si nous voulons éviter que ces nouvelles espèces en voie de disparition ne basculent dans l'extinction et si nous voulons garder l'espoir de découvrir d'autres créatures fascinantes dans les années à venir, il est primordial que les gouvernements investissent dans la conservation et les stratégies de croissance verte», a-t-il dit. Commerce illégal Le rapport dénonce notamment le commerce illégal d'espèces sauvages, qui atteint 16 milliards de dollars chaque année. La majorité des 367 nouvelles espèces identifiées en 2012 et 2013 sont végétales, mais il y a également 24 poissons, 21 amphibiens, 28 reptiles, un oiseau et trois mammifères. Parmi les animaux figurent notamment un écureuil volant géant à la fourrure rouge et blanche, découvert sur un marché de viande au Laos, et qui n'a jamais trouvé à l'état sauvage. Les scientifiques ont également découvert une chauve-souris particulière au nez charnu sur l'île de Cat Ba au Vietnam, ainsi qu'un gecko volant, un lézard arc-en-ciel, un serpent d'eau portant un masque à la Zorro, un poisson minuscule ayant ses organes sexuels juste derrière sa bouche, ou encore une araignée aveugle. La région du Grand Mékong qui comprend le Vietnam, le Cambodge, le Laos, la Thaïlande, la Birmanie et la province chinoise du Yunnan, fait partie de l'une des cinq réserves de biodiversité les plus menacées au monde, selon le WWF. (ats/Newsnet) Source
  8. De moeurs discrètes, la Salamandre tachetée est facilement reconnaissable et impossible à confondre avec une autre espèce d’amphibiens. D’un aspect général boudiné, elle mesure en moyenne 15 à 20 cm et présente un dos noir avec deux bandes parallèles de taches jaunes ou orangées plutôt allongées et irrégulières. Les adultes consomment principalement de petits invertébrés terrestres, tels que des arthropodes, annélides ou mollusques, alors que les larves sont plutôt opportunistes, dévorant divers invertébrés aquatiques, voire même ses congénères. La Salamandre tachetée est essentiellement nocturne et très discrète. Elle est terrestre, mais elle retourne à l’eau pour pondre ses larves. On n’observe que très rarement les salamandres immatures. En période de reproduction, le cloaque du mâle est saillant. Ovovivipare, la salamandre ne « pond » pas d’œufs mais bien directement des larves. Elle va garder en effet les œufs dans son utérus jusqu’à ce qu’ils éclosent. Les larves se reconnaissent par la présence de taches claires à la base des pattes, face supérieure, et leur coloration gris marbré. Elles mesurent 20-30 mm à la naissance, et 55-66 mm vers la métamorphose. La destruction de son habitat est la principale cause de sa raréfaction; comme tous les amphibiens, elle a besoin de points d'eau pour se reproduire, mais ces dernières années, l'urbanisation de Haren a contribué à les faire disparaître. Toutefois, les mares amménagées dans les jardins constituent un excellent milieu de substitution, pour autant que celles-ci ne soient pas peuplées de poissons d'ornement. Mais une autre menace plane sur les populations de salamandres: il s'agit d'une maladie qui attaque la peau des salamandres (le batrachochytrium salamandrivorans). Cette maladie a pratiquement éteint l'espèce aux Pays-Bas et elle commence à apparaître en Belgique. Source
  9. L’animal baptisé Athracosuchus balrogus a été découvert dans une mine colombienne. C’est la troisième espèce découverte dans la région, riche en fossiles. D’origine africaine, notre brave crocodile migra il y a 75 millions d’années en Amérique du Sud. On pense souvent que les ancêtres de tel ou tel animal étaient plus imposants que leurs représentants actuels, mais ce n’est pas le cas ici. Cela dit, de là à avoir envie de le croiser… mais une chose est sûre, on croise justement J.R.R. Tolkien partout. Source
  10. Face à la sécheresse qui menace les élevages de reptiles ou d'amphibiens domestiques, des éleveurs du Nicaragua ont décidé de se lancer dans la production d'araignées destinées à l'exportation, ont annoncé jeudi des professionnels du secteur. "Si d'autres pays se consacrent à ce domaine (l'exportation d'araignées), nous aussi pouvons le faire. Ce dont nous avons besoin, c'est des capacités et de spécialiser nos techniques", a affirmé au site officiel www.el19digital.com Jessenia Talavera, représentante de l'exportateur Exoticfauna. Il existe au Nicaragua, l'un des pays les plus pauvres d'Amérique centrale, une douzaine d'élevages légaux d'animaux comme des serpents, des lézards ou des grenouilles, sous la supervision du ministère de l'Environnement et des ressources naturelles (Marena). Le secteur a proposé de développer également l'élevage d'araignées lors de réunions avec le gouvernement pour évaluer les mesures à prendre pour atténuer les conséquences de El Niño, un phénomène climatique s'accompagnant de baisse des précipitations et de hausse des températures. "Nous avons gouvernement qui nous accorde de l'importance. Et la vérité est que notre production a énormément d'importance, car en outre, nous prenons soin de notre faune sylvestre", a expliqué Ramon Mendieta, patron d'un élevage de grenouilles et lézards depuis six ans dans le département de Carazo (sud). Le vice-ministre de l'Environnement, Augusto Flores, avait affirmé en mai que la production en captivité d'animaux pour l'exportation avait suscité l'intérêt de nombreux entrepreneurs. Il avait ajouté qu'un groupe d'entre eux avait lancé en début d'année un projet de reproduction de papillons, d'amphibiens et de reptiles aux abords du lac de Apanas (nord). Le Marena estime que le Nicaragua exporte plus de 15.000 reptiles et 25.000 amphibiens chaque année, principalement à destination des Etats-Unis, d'Europe et d'Asie, destinés notamment à un usage domestique. Source
  11. Les lionnes sont peut-être de grandes chasseuses, mais cela ne les empêche pas de profiter de proies 'prêtes à l'emploi'. Cette lionne d'Afrique du Sud n'a pas hésité à voler son repas à un énorme serpent. Une lionne vole le repas d'un python par Gentside Découverte Pourquoi se fatiguer à courir après une proie, quand on peut s'en procurer une toute prête ? Cette lionne, filmée dans la réserve sud-africaine de Londolozi, ne s'est pas gênée pour voler à un python son repas. Alertée par des cris de singes, la lionne a découvert un python prêt à avaler un impala, après l'avoir étouffé grâce à sa puissante étreinte. Tout d'abord un peu craintif, le félin s'approche avec précaution du reptile. Elle finit par se saisir de l'impala, et il ne lui faut pas beaucoup de temps pour se débarrasser du python, qui abandonne sa proie au bout de quelques secondes et préfère s'éloigner. La lionne, de son côté, retourne vers ses congénères pour déguster un repas qui ne lui aura pas coûté beaucoup d'efforts ! Source
  12. Ne se doutant de rien, une femme, résidant à Leoben en Styrie, ouvre sa benne à ordure et découvre avec frayeur un python royal d’1,2 mètre. Le reptile, non venimeux, a été mis à la poubelle, vivant, par son ancien propriétaire. Suite à cette découverte à vous glacer le sang, la femme prévient la police qui fait appel à un ophiologue vivant dans la région. Ce dernier avise une instance supérieure, l’association des reptiles et amphibiens de la ville de Graz ("Reptilien- und Amphibienverein"). Entre-temps, le serpent, qui malgré sa taille reste un prédateur extrêmement vif, a été placé dans un seau en plastique. Les experts de l’association ont constaté que ce bel exemplaire, de couleur jaune et noir, n’était pas en état d’hypothermie mais plutôt en bonne santé et l’ont, momentanément, pris sous leur aile. La police a, pour sa part, demandé des renseignements sur le propriétaire du python. Vu l’ampleur médiatique de cet incident, un jeune habitant de la même ville, âgé de 25 ans, s’est manifesté et a avoué s’être débarrassé du reptile. Croyant que l’animal était mort, car cela faisait des jours qu’il ne bougeait plus, il l’a abandonné le 31 mai dernier. Une plainte pour violation des lois sur la protection des animaux a été déposée contre cet homme, également propriétaire d’autres reptiles. Le python rescapé a, quant à lui, été confié à l’association. Source
  13. Hamburgers à la sauterelle et sucette au scorpion: les plus aventureux gourmets de Washington ont pu se régaler mercredi dans un très chic restaurant à deux pas de la Maison Blanche, pour la bonne cause. «C’est un peu croquant, c’est bon», déclare la jeune Erin Kolski en goûtant le hamburger à la sauterelle qui vient de lui être servi au restaurant l’Occidental Grill, sur la prestigieuse Pennsylvania Avenue. Le buffet cuisiné par le chef Rodney Scruggs -vers sauce mexicaine, sauterelles rôties, fourmis au chocolat, sucettes au scorpion, etc- était offert par Ehrlich Pest Control, une société spécialisée dans la lutte contre les nuisibles qui voulait célébrer la maison. Elle entendait également reverser, pour chaque courageux prêt à croquer dans les sauterelles, 5 dollars à DC Central Kitchen, une banque alimentaire pour démunis. Les insectes «sont le futur» pour nourrir le monde, ajoute Randolph Carter, l’un des responsables d’Ehrlich, «produire un kilogramme de cette nourriture gaspille dix fois moins d’énergie que produire un steak». Mary Than et Deth Khaiaphone, la quarantaine, sont venues en connaisseuses. Elles sont laotiennes et Mary Than gère un restaurant. «Nous avons l’habitude de mettre des insectes dans notre nourriture», disent-elle avant de se régaler d’une assiette de vers et de sauterelles frites. «C’est délicieux, nutritif, sain et ce n’est pas de la nourriture industrielle», s’amuse Deth. Source
  14. La population est toujours sans nouvelles du reptile échappé du vivarium de son propriétaire, il y a une semaine. L'animal, un élaphe, est une espèce pouvant mesurer jusqu'à 2 mètres. « Ici, nous sommes plutôt en présence d'un ovipare d'un mètre, qui peut effectuer 12 kilomètres par jour. Mais qui n'a rien de dangereux, sauf pour les souris », a rassuré le commandant de gendarmerie. Plus de peur que de mal pour la population de ce gros bourg de 2 000 habitants. « Avec les fortes chaleurs, les vipères sont plus nuisibles. » Pour sa part, le responsable de la piscine intercommunale, Anthony Legrand, a voulu apaiser les choses. « Il faut juste être vigilant, mais le public ne craint rien. A mon avis, il doit être loin. » Un constat partagé par el gendarme : « Ce genre d'animal peut parcourir 12 kilomètres par jour. » Source
  15. Le salon des animaux s'est récemment déroulé à la salle Fernan. Organisé par Copains câlins, association tarnaise d'éleveurs canins, il regroupait plus d'une douzaine d'éleveurs canins et deux éleveurs de reptiles. Une trentaine de races de chiens étaient représentées par de jeunes chiots nés et élevés avec amour par leurs éleveurs, soit 250 boules de poils qui ont fait craquer le public… Coté reptile, les conseils offerts par les deux éleveurs sont judicieux : «Il faut avoir envie d'un serpent, c'est très particulier. Ce n'est pas le même choix que pour un chien ou un chat. Il y a des règles à respecter : ne jamais laisser un serpent seul avec un enfant, le serpent ne doit sortir de son habitat qu'en présence de son soigneur… etc.». Chien ou reptiles, il y avait le choix. Mais les chats, alors ? «Avec la météo, les chaleurs des femelles ont été décalées. Du coup, les naissances ont lieu en ce moment. Et un éleveur respectueux ne laisse pas ses chattes mettre bas seules,» explique Marc Pautrat, président de l'association Copains câlins. La Dépêche du Midi Source
  16. Des chercheurs travaillent sur la mise au point d'un antivenin universel, sous forme de spray nasal. Un antipoison universel, pratique et peu cher contre le venin des serpents. Ils sont nombreux à y rêver depuis longtemps, et pas seulement ceux qui portent un caducée sur lequel s'enroule un serpent. Une équipe de chercheurs de la California Academy of Sciences tient peut-être la bonne solution. C'est en tout cas la conclusion de leurs travaux publiés dans le Journal of Tropical Medicine. Pour leur expérience, ils ont injecté à plusieurs groupes de souris du venin du cobra indien (Naja naja) à différentes doses, toutes létales. Chaque souris, sauf un groupe témoin, a reçu le traitement antiparalytique, soit dans les 2 minutes suivant l'injection de venin, soit 10 minutes après. Les animaux n'ayant pas reçu le traitement ont tous succombé. Parmi les souris traitées, celles ayant reçu les plus fortes doses de venin (2 à 5 fois la dose létale) sont mortes mais ont résisté plus longtemps que les premières. Sur les 15 souris ayant reçu les plus faibles doses de venin et le traitement, 10 ont survécu sans montrer de séquelles. L'antiparalytique est à base de neostigmine, une molécule utilisée pour traiter les myasténies (maladie neuromusculaire auto-immune) ou dans les sorties d'anesthésie générale. Elle est aussi déjà utilisée dans certains cas d'empoisonnement par du venin, mais nécessite des injections par intraveineuses. Le traitement mis au point par ces chercheurs est, lui, dispensé par voie nasale, dans un spray. Donc aisément transportable et administrable, à moindre coût. Les chercheurs espèrent améliorer son efficacité en y adjoignant par exemple des antidotes plus spécifiques à tel ou tel type de venin. Les morsures de serpents venimeux font 94 000 à 125 000 morts chaque année. Source
  17. L’affaire commence à tourner à la psychose dans le bourg de Noyant. Depuis cinq jours, un boa femelle d’un mètre soixante-dix est dans la nature. Le reptile a disparu du vivarium d’un particulier qui en posséderait trois. « Il n’y a que lui qui n’est pas inquiet », relève Gabriel Quignon, le maire de Noyant qui, dans un premier temps, a souhaité rester discret sur le sujet. La disparition s’est produite dans une résidence qui jouxte le stade et le collège de Noyant, lequel accueille 250 enfants. Dans l’absolu, un tel animal n’est dangereux que s’il se sent menacé. En revanche, sa taille et sa force lui permettent de neutraliser de petits animaux (rats ou lapins) par étouffement. Source
  18. Ce qui devait certainement être une couleuvre a été vue hier, jeudi, devant l'école maternelle de la route de la Plage. Les pompiers sont venus pour rassurer parents et enfants Un petit vent de panique a soufflé hier, jeudi, devant l'école maternelle Bel Air de Mimizan où les pompiers ont été priés d'intervenir à l'heure de la sortie des petits. En cause : un serpent vu par les parents juste devant le groupe scolaire de l'avenue de la Plage. Les pompiers se sont déplacés, sans toutefois parvenir à localiser le reptile passé par la quelques minutes plus tôt. Et la sortie des élèves s'est évidemment passée sans encombre. Comme chaque année, la montée du mercure fait sortir les serpents dans les campagnes comme dans les villes. Les pompiers précisent qu'il s'agit la plupart du temps de couleuvres qui, à la différence des vipères, sont parfaitement inoffensives. Source
  19. Philippe Pandolfi, photographe amateur castriote, nous invite grâce à ses clichés exceptionnels, à découvrir chaque semaine, nos insectes méditerranéens. La mante religieuse est un insecte diurne de 5 à 8 centimètres de long. Les deux sexes sont aptes au vol ; néanmoins, la femelle alourdie à l'approche de la ponte ne peut se déplacer que grâce à ses pattes postérieures qualifiées de déambulatoires. Le mâle est plus petit que la femelle de 2 ou 3 cm, mais son caractère très fluet donne souvent l'impression d'une disparité allant du simple au double. Ses antennes sont plus longues, son abdomen est plus fin, et on compte huit sternites pour le mâle contre six pour la femelle. L'extrémité de l'abdomen est différente car, si le mâle porte deux cerques comme la femelle, on observe, entre ceux-ci, deux styles et l'absence d'oviscapte. Ses pattes avant, appelées « ravisseuses », portent des piques et sont capables de se replier et se détendre vivement. Elles servent à attraper les proies parfois volumineuses (jusqu'à de petits oiseaux et des chauve-souris. Source
  20. =(Photo)= Tallinn, 29 mai 2014 (AFP) - Des milliers de grenouilles en Estonie ont pu traverser des routes à grande circulation en toute sécurité pour rejoindre leurs lieux de reproduction grâce à un bataillon de volontaires qui leur sont venus en aide, ont annoncé jeudi les organisateurs de cette opération. Après avoir hiberné de longs mois pour survivre aux températures polaires de l'hiver dans cet Etat balte, les grenouilles reviennent à la vie au printemps et se précipitent alors en grand nombre sur les routes pour rejoindre leurs lieux de ponte. "C'est alors que les ennuis commencent et nous, les humains, devons les aider parce qu'elles traversent souvent des voies très fréquentées et beaucoup d'entre elles se font écraser par les voitures", explique à l'AFP le biologiste Piret Pappel de l'ONG Grenouilles à Tallinn. "Nous avons utilisé des seaux pour transporter 15.677 grenouilles en toute sécurité d'un côté à l'autre côté des axes routiers ou près de l'endroit où elles pondent", a précisé Mariliis Tago du Fonds Estonien pour la Nature. Environ 200 bénévoles ont installé des filets dans 79 lieux à travers l'Estonie pour attraper ces amphibiens mesurant de 8 à 11 centimètres, là où l'on sait qu'ils doivent traverser des routes. Source
  21. Découverte inhabituelle que celle qui a été effectuée tout récemment par des gendarmes chez un particulier en Casinca. Ils ont en effet saisi 28 tortues juvéniles dans la propriété de cette personne. Des tortues dans un jardin même en grand nombre, qu'y a-t-il d'anormal, nous direz-vous? Le hic est qu'il s'agit de tortues d'Hermann, une espèce protégée. D'où leur saisie par les gendarmes du groupe de lutte contre le travail illégal du groupement de gendarmerie de Haute-Corse et de la brigade nautique et côtière de Bastia. L'enquête, qu'ils ont menée dans le cadre de la mission de police de l'environnement, a démontré qu'il n'y avait pas de vente illicite de ces tortues. La personne qui les conservait chez elle les avait trouvées dans la nature. Amoureuse des animaux, elle ne cherchait pas à les revendre. Sa bonne foi a convaincu les gendarmes mais cette dame est néanmoins en infraction avec la législation et a commis, sans le savoir, des délits étant donné le statut dont bénéficie cette espèce. Les tortues devraient être confiées à l'un des deux parcs spécialisés sur les tortues existant en Corse. Une espèce protégée La tortue d'Hermann est présente dans l'arc méditerranéen, de l'Espagne à la Turquie. En France, où elle est la seule tortue de terre à vivre à l'état sauvage, on ne la trouve que dans le Var et en Corse (sous-espèce répondant au nom scientifique : testudo hermanii hermanii). C'est une espèce en fort déclin notamment en France où elle est concernée par deux arrêtés en date de 2004 réglementant la détention de certaines espèces d'animaux non domestiques et visant en particulier à préserver la biodiversité et à prévenir les risques écologiques pour la faune (trafic, braconnage, prélèvement sauvage). Considérée comme espèce vulnérable et figurant à ce titre sur la liste rouge du comité français de l'Union internationale pour la conservation de la nature, la tortue d'Hermann bénéficie d'une protection. La détention, l'élevage et la commercialisation de la tortue d'Hermann sont donc réglementés et soumis à des conditions très précises. Seule est autorisée la vente d'individus issus de parents nés en captivité et celle-ci ne revêt un caractère légal que si elle donne lieu à la délivrance d'un CIC (certificat intracommunautaire) et d'un bon de cession. Et avant d'acquérir un spécimen, un particulier doit adresser une demande d'autorisation de détention à l'administration (services vétérinaires). Par conséquent, toute présence d'un spécimen sauvage chez soi est interdite et il faut savoir que s'il y a plus six adultes, c'est considéré comme un élevage... Nul n'étant censé ignorer la loi, un amoureux des tortues averti en vaut deux. Source
  22. Le PEPS de l'Université Laval s'est transformé en véritable zoo la fin de semaine du 30 juin. Alligator, hibou et kangourou se sont donnés rendez-vous au Salon des animaux exotiques pour épater tous ceux qui sont venus les rencontrer. Le Salon présentait une grande variété de reptiles. Une surprise de taille a attiré bien des curieux. Son cousin éloigné, plus petit mais bien plus coloré. La tortue est sortie de sa carapace, le temps de prendre la pose pour notre photographe. La gueule bien fermée, l'alligator paraissait beaucoup plus amical. L'iguane se laissait paresseusement toucher par les visiteurs. Du côté des mammifères, on y retrouvait quelques cochons. Certains dodus... ... et d'autres plus petits. Source
  23. La couleuvre verte et jaune (hierophis viridiflavus), c’est ainsi qu’on la nomme, est très répandue en Corse. Lorsqu’elle est jeune, elle peut être totalement grise parfois gris/marron. Il arrive de rencontrer des spécimens entièrement noirs. C’est un magnifique serpent pouvant atteindre 1,50m voire plus et très craintif lorsqu’il est surpris à découvert. Généralement, il file à la moindre alerte mais peut se dresser et chercher à mordre s’il se sent en danger. Sa morsure est douloureuse mais l’animal n’a pas de crochets et ne pas de venin. Il se nourrit de batraciens lorsqu’il rôde autour des points d’eaux, de petits rongeurs qu’il chasse parfois près des maisons. Il s’attaque également à des oiseaux voire à ses congénères pour compléter son régime alimentaire. Les petits lézards et les insectes font également partie des proies favorites des jeunes serpents. La femelle pond ses œufs sous des pierres ou dans des terriers, les petits naissent dès la mi-août. L’espèce est protégée. Il est interdit de capturer, blesser ou tuer « i sarpi di i nosci lochi » et de détruire sa ponte. Voici un spécimen qui vit dans mon jardin et que je rencontre régulièrement le matin par temps ensoleillé non loin du tas de pierres qui lui sert de refuge. Un bel animal que je regarde passer ou cherche à photographier sans le déranger dans son mode de vie. Appelée serpe ou sarpi en Alta Rocca, un nom générique qui signifie « serpent » sans autre précision, sans doute parce qu’on ne rencontre que des couleuvres chez nous. Il n’est donc pas besoin de spécifier (?) Simon Dominati Source
  24. On peut être doté d’un corps froid et d’une langue sifflante et être une star de télé. La preuve : une couleuvre faux corail a joué avec Mimie Mathy. Elle est longue, rouge, blanche et noire et est de sexe masculin. Qui ? La bête qui fait peur a Mimie Mathy dans la série Joséphine ange gardien. L'animal appartient à Jeziel Carvalho, du magasin Snake and co à Blois. « J'ai été contacté par la production de la série qui cherchait un serpent " qui fasse peur " pour un épisode de la série " Joséphine ange gardien ". C'était début mai, j'ai eu une dizaine de jours pour trouver l'animal adapté. La première partie du tournage a été réalisée mercredi 21 mai, une deuxième partie aura lieu en juin. » La personne de la production qui l'a contacté l'avait déjà rencontré dix ans plus tôt sans avoir eu recours à ses services et se souvenait de lui. « Il m'a retrouvé sur Internet et m'a appelé. » Jeziel Carvalho a proposé un serpent particulier : une couleuvre faux corail, de couleur rouge, blanche et noire. « C'est l'espèce qui convenait le mieux à la demande. Ses couleurs très vives provoquent un sentiment de peur, d'appréhension souhaité par la production. Pourtant, c'est un animal inoffensif, contrairement à la couleuvre corail qui, elle, est dangereuse. » Mimie Mathy a peur des serpents La tâche de Jeziel Carvalho sur le tournage était de placer l'animal en situation et de faire en sorte qu'il bouge ou pas. Et de rassurer les acteurs et l'équipe technique. Il a, bien sûr, croisé Mimie Mathy qui, elle, n'apprécie pas vraiment les serpents ! « C'est une femme très sympathique et très professionnelle et proche de toute l'équipe. Elle fait la bise à tout le monde et même à ma fille, qui était venue avec moi. » Le tournage de la première partie s'est bien passé, il ne reste plus qu'à recommencer pour la deuxième partie. La couleuvre sera visible lors de l'épisode 71 « Le Sourire de la momie » qui sera diffusé à la Toussaint. En attendant, Jeziel Carvalho est prêt à retourner sur les plateaux avec ses animaux à sang-froid. Source
  25. Deux enfants sont morts durant leur sommeil lorsque le serpent de plus de 45 kilos est tombé sur eux. NIAGARA FALLS, Ontario – La Fédération canadienne des municipalités (FCM) a exhorté, samedi, les autorités fédérales à resserrer la réglementation concernant la possession d’animaux exotiques, à la suite de la mort de deux garçons de Campbellton, au Nouveau-Brunswick, asphyxiés par un python de Seba, en août dernier. Noah Barthe, quatre ans, et Connor Barthe, six ans, sont morts durant leur sommeil lorsque le serpent de plus de 45 kilos (100 lb), échappé d’une animalerie située dans l’immeuble où ils dormaient, est tombé sur eux. À l’occasion de leur conférence annuelle, les membres de la FCM ont voté en faveur d’une résolution d’urgence demandant au gouvernement fédéral de «jouer un rôle de premier plan en vue d’une approche pancanadienne sur la réglementation visant les animaux exotiques». «Au Canada, les gouvernements provinciaux sont responsables des règlements concernant la possession d’animaux exotiques, mais plusieurs ont été portés à laisser aux municipalités l’application de la loi», a dit la FCM, samedi, dans un communiqué. «Le gouvernement a la responsabilité restante du déplacement des animaux exotiques entre les provinces et de l’autre côté de la frontière, ainsi que des questions environnementales et de santé publique reliées à ce type d’animaux», a ajouté la FCM. «Les maires et conseillers municipaux connaissent bien les problèmes de sécurité publique ou d’environnement qui peuvent surgir lorsque les animaux exotiques ne reçoivent pas la surveillance ni les soins appropriés», a dit Massimo Bergamini, directeur général d’Aquariums et zoos accrédités du Canada. «Ils savent tout aussi bien qu’en ce qui concerne les animaux exotiques, les administrations municipales n’ont pas les ressources nécessaires en matière d’inspection et d’application de la loi», a-t-il conclu. Source
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