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Trois habitants de Caumont ont fourni le même témoignage : ils ont vu un gros serpent roder autour du Pesquier, le cours d'eau qui traverse le village. Le reptile serait long de deux mètres. La gendarmerie a été saisie. Le reptile aurait été vu aux abords du Pesquier Thomas Séchier / Radio France Depuis une quinzaine de jours, trois personnes affirment avoir vu un gros serpent dans le Pesquier, le ruisseau qui parcourt le village. L'animal, rouge et noir, aurait même été vu en train d'avaler un ragondin. Info ou intox ? Les avis sont partagés, mais à Caumont, on ne parle plus que de ça. Le maire Joël Fouillet a fait fouiller les abords du cours d'eau, et une main courante a été déposée à la gendarmerie. Mais pour l'instant, le reptile joue les Arlésiennes. Le maire du village, Joël Fouillet, pense qu'il s'agit plutôt d'une grosse couleuvre. Source
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Réglementation concernant les pythons royaux SERPENT. Il y aura bientôt un an que deux enfants à Campbellton, au Nouveau-Brunswick, auront été morts, étouffés par un python de seba. Le 15 juillet dernier, un python jungle carpet de 7 pieds a été perdu dans Limoilou, retrouvé par la suite dans l’appartement du propriétaire. La réglementation concernant la possession de l’animal n’a pas changé. Négligence de la ville ou peur irrationnelle des citoyens? La conseillère en reptiles Édith Doyon, de l’animalerie Dyno, de Beauport, ne détient pas de pythons royaux. Elle les craint. «Je n’en vends pas. J’en ai peur, et je n’ai pas l’espace pour avoir de tels vivariums. Nous vendons seulement les plus petits serpents. Même les plus petits, c’est très rare qu’on en vende, peut-être un par année, ou des commandes spéciales.» Lorsqu’un serpent s’échappe ou cause du tort à autrui, c’est de la négligence de la part du propriétaire, soutient Mme Doyon. «Ils (les serpents) vont être affamés et vont se sauver dans l’espoir de trouver une proie. Ils vont tout faire pour sortir de leur vivarium, en poussant sur les parois vitrées. C’est pour ça qu’ils étouffent, dans l’espoir de tuer leur proie.» Au Québec, la loi interdit la possession des serpents venimeux, mais la longueur n’est pas précisée. «L’automne prochain, il faudra réévaluer avec la SPA et les vétérinaires comment préciser cette réglementation, et les races», indique le porte-parole de la Ville de Québec, Jacques Perron. Après l’incident à Limoilou et le tragique événement à Campbellton, rien n’a été changé dans le règlement concernant les reptiles. «La réglementation manque de précision», termine M. Perron. Québec Express, membre de Québec Hebdo Source
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La tortue géographique tient son nom de sa carapace qui rappelle une carte topographique. Montréal disposera vraisemblablement d’ici Noël de 6 hectares supplémentaires d’aires de conservation. Cela contribuerait à la protection d’une espèce de tortue vulnérable. C’est Noël avant l’heure pour les écologistes. En marge d’une réunion stratégique des membres de Conservation de la nature Canada (CNC), les responsables de l’organisme ont indiqué qu’une transaction était en cours en vue d’acquérir et de protéger 6 hectares le long du lac des Deux-Montagnes, sur un kilomètre de rive. «On trouve notamment dans cette zone un important site d’hivernage et de ponte de la tortue géographique, une espèce vulnérable», a indiqué Joël Bonin, biologiste et vice-président de l’organisme au Québec. En 1998, M. Bonin avait déjà écrit un rapport sur la situation de la tortue géographique au Québec. Il écrivait alors que la pose d’émetteurs sur les femelles avait permis de découvrir la présence d’un important site d’hivernage à l’embouchure de la rivière des Prairies. Comme les nouvelles terres à protéger seraient adjacentes à un écoterritoire existant, tout porte à croire qu’il s’agit des vastes terrains à l’ouest de L’Île-Bizard. L’organisme ne peut toutefois pas être plus précis avant que le financement de l’opération soit bouclé et que la transaction soit complétée, «probablement d’ici Noël». Du côté de la Ville, on indique qu’un projet de paysage humanisé est à l’étude pour l’ouest de L’Île-Bizard. «Il s’agit d’une catégorie d’aire protégée particulière, puisqu’elle reconnaît que l’interaction entre les hommes et la nature a produit un territoire avec des valeurs écologiques et culturelles remarquables et que le maintien des activités humaines est nécessaire à la protection de ce territoire», explique Renée Pageau en faisant référence aux terres agricoles de cette île du nord-ouest de Montréal. 5,75% Grâce à ses 10 écoterritoires, Montréal revendique 5,75% d’aires protégées sur son territoire. Le ministère de l’Environnement, qui utilise des critères différents, n’en recense de son côté que 3,8%. Ce ne serait pas la première acquisition de CNC au Québec. L’organisme qui gère une enveloppe fédérale au Canada a déjà permis l’acquisition et la sauvegarde de 38 600 hectares de forêts, milieux humides et littoraux en partenariat avec des donateurs privés et les municipalités de la province. Les zones de conservation québécoises de CNC ne représentent que 3,6% des 1,1 million d’hectares protégés par l’organisme depuis 50 ans au Canada. «C’est parce qu’au Québec, les terres que nous avons choisi de protéger sont situées dans le sud de la province, où elles sont plus petites et plus morcelées», explique John Lounds, président de CNC. À travers une quinzaine de transactions, CNC a ainsi récemment pu créer un corridor permettant entre autres aux lynx de passer entre le parc Forillon et le parc de la Gaspésie. Source
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37°46’ Nord – 20°54’ Est, nous arrivons sur l’île de Zakynthos après une traversée un peu agitée au départ de Vlora, mais la mer s’est calmée et à son arrivée au port, Tara donne l’impression de glisser sur un miroir. Pendant que les marins envisagent la soirée en ville, Laurent Sourbès, le directeur du parc marin de Zakynthos vient nous chercher pour aller découvrir en bateau les tortues caouannes qui font des ronds dans l’eau en attendant la nuit pour aller pondre. Il y a peu de bateaux dans le port de Zakynthos. Hormis quelques gros yachts, plutôt de petits voiliers. L’île attire environ 650 000 touristes par an, mais ceux-ci arrivent par charters et les avions survolent la baie pour atterrir sur l’aéroport juste derrière la ville. Les touristes viennent en particulier l’été, pour apercevoir les tortues caouannes (Caretta caretta), en train de nager au large des plages où elles se préparent à pondre. Mais cet afflux touristique nécessite une régulation, afin que les tortues ne soient pas perturbées pendant leur période de reproduction, cruciale pour l’espèce, voire pour l’économie de l’île. Car si les tortues, qui sont sur la liste de l’UICN des espèces menacées, venaient à disparaître, les touristes aussi, probablement. Le parc marin de Zakynthos La création du parc marin de Zakynthos remonte à 1999. C’est la première zone protégée de Grèce qui ait fait l’objet d’une législation pour sa protection ainsi que d’une agence de l’Etat dédiée à sa gestion. L’un des arguments pour la protection de la zone est la présence de la principale aire de ponte des tortues caouannes en Méditerranée. Le principal objectif de ce parc d’environ 134 km2 (dont 90 km2 de mer et 31 km2 de zones périphériques) est de préserver l’environnement naturel et l’équilibre écologique en mer et sur le littoral de la baie de Laganas ainsi que sur les deux petites îles de Strophadia, à 30 km du sud de Zakynthos ; mais aussi de développer des activités visant à la protection de la nature sur l’ensemble de l’île. La tortue caouanne, reptile à mémoire vive On parle des tortues de Zakynthos parce que celles qui sont nées à Zakynthos y reviennent toujours, ce qui permet d’ailleurs d’observer les naissances et de contrôler que tout se passe bien. Les femelles sont matures vers 25 ans, c’est alors qu’elles commencent à retourner sur leur plage de naissance, tous les deux ans, pour se reproduire. Mais la tortue est l’animal marin par excellence et seules les femelles sortiront sur la plage pour pondre, les mâles, eux, resteront dans l’eau toute leur vie. Les emplacements des nids de tortues, signalisés par les gardes du Parc. RFI/Yann Chavance/Tara expéditions Zakynthos accueille tous les ans, entre mai et septembre, de 300 à 500 tortues femelles qui construisent de 1 000 à 1 200 nids. La ponte est un moment pénible. À la nuit tombée, la tortue traverse la plage de sable jusqu’en haut, pour que les œufs soient à l’abri de la marée. Elle creuse ensuite, avec ses nageoires antérieures, un trou d’environ 40 cm pour y enterrer une centaine d’œufs par ponte. Après la ponte, la tortue, exténuée, retourne à la mer. Attaques de prédateurs Quand les œufs écloront, de 40 à 60 jours plus tard, les bébés tortues (5cm de long pour 16g) devront à leur tour parcourir ce chemin de sable jusqu’à la mer, courant le risque de se faire attaquer par des prédateurs comme les chiens sauvages, les furets ou les oiseaux de proie. Ce chemin difficilement parcouru restera inscrit dans la mémoire des petites tortues qui sauront le retrouver 30 ans plus tard. On estime que seulement 1 à 2 petites tortues sur un millier vivront assez longtemps pour revenir sur leur lieu de naissance. En journée, les tortues nagent à faible profondeur dans la baie en attendant la soirée, où elles monteront pondre sur les plages. C’est là que les bateaux emmènent les touristes pour les observer dans l’eau claire. Si les bateaux s’approchent trop près d’elles ou vont trop vite, elles risquent de se faire heurter par la coque ou l’hélice. Protection des plages et surveillance Le second risque majeur, pour Laurent Sourbès, le directeur du parc de Zakynthos, c’est le harcèlement par les touristes qui peut les perturber et les pousser à fuir au lieu d’aller pondre. Mais le harcèlement est une notion difficile à caractériser : à partir de combien de passages de bateaux de touristes les tortues sont-elles dérangées ? Où commence le harcèlement ? Il y a 6 plages de nidification dans le parc marin, dont la plage la plus importante de nidification, la plage de Sekania, est intégralement protégée donc interdite au public. Les touristes sont admis sur les autres plages, avec l’obligation de restreindre leur temps de visite à 1h maximum, et sans sortir d’une bande littorale de 5 m de large, de façon à n’abimer en aucun cas les nids et les œufs. Ces plages sont surveillées 24h/24 pendant la période de ponte, par les gardiens du parc marin, chargés d’expliquer aux touristes les raisons de ces interdictions. Le parc s’étendant sur 90 km de mer, la vitesse des bateaux y est limitée et certaines zones sont interdites d’accès. Depuis plus de 10 ans, les gestionnaires du parc travaillent avec les autorités maritimes et font des patrouilles communes où le garde-côte assermenté peut verbaliser directement les contrevenants à la loi. Sensibilisation Pour le directeur du parc marin de Zakynthos Laurent Sourbès, la sensibilisation à la protection des tortues à beaucoup progressé. RFI/ Yann Chavance/Tara expéditions Laurent Sourbès estime qu’un long chemin de sensibilisation à la protection de l’environnement a déjà été parcouru depuis la naissance de l’aire protégée. En particulier dans la mise en commun des moyens et des connaissances avec les Affaires Maritimes, mais également dans les solutions innovantes et la communication avec la population de Zakynthos pour qui les tortues caouannes sont devenues aujourd’hui un patrimoine à protéger, au même titre que des ruines antiques. Mais le bon état de la population de tortues repose sur de nombreux paramètres qui peuvent rapidement se modifier : un équilibre fragile qui nécessite une veille et des réajustements continuels. Source
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Il n’est pas rare d’apercevoir, en plein centre-ville de Saint-Bruno, de grosses tortues qui traversent les rues, à la grande surprise des automobilistes. «Il y a des milieux aquatiques au centre-ville et les tortues y sont présentes. Au Québec, il y a neuf espèces de tortues indigènes, dont la tortue Luth, qui vit dans le golfe du Saint-Laurent et qui est la tortue la plus grosse au monde, pouvant atteindre 900 kg», explique Denis Henri, garde-parc, technicien du milieu naturel au parc national du Mont-Saint-Bruno. À Saint-Bruno, la tortue serpentine est la plus répandue, mais on peut aussi observer la tortue peinte, la tortue à oreilles rouges et plus rarement la tortue géographique. De temps en temps, les reptiles s’éloignent un peu des lacs pour aller trouver des sites de ponte parfois étonnants. Il leur arrive de traverser des routes et de se faire écraser. En plein cœur du centre-ville, le centre de la petite enfance Les Mousses du Mont rapporte avoir vu une tortue dans l’aire de jeux de l’établissement. «Une tortue est venue pondre l’an dernier sur le terrain de la garderie, au grand bonheur des enfants. Nous avons ensuite appelé les gens du parc pour leur signaler l’événement afin qu’ils viennent récupérer les œufs», explique Julie Graton, éducatrice à la garderie. Quoi faire? Si vous croisez la route d’une tortue, que devez-vous faire? «Il faut la laisser faire. S’il faut la déplacer, il est préférable, à l’aide d’un bout de bois, de la mettre dans un carton. La tortue serpentine, avec son bec puissant, peut facilement sectionner un doigt. Si elle pond, il suffit d’assister au spectacle et d’attendre le mois de septembre que les oeufs éclosent», indique M. Henri. Les tortues du Québec sont protégées en vertu de la Loi sur la conservation et la mise en valeur de la faune. Cette loi interdit de les chasser, de les capturer, de les garder en captivité ou de les vendre. Ces espèces de tortues ne doivent donc pas se trouver en animalerie. Il va de soi que les espèces sauvages doivent être laissées dans la nature et que les espèces exotiques gardées en captivité ne doivent pas être relâchées dans la nature. Pourtant, de nombreuses tortues exotiques se retrouvent dans les lacs, et Saint-Bruno n’est pas épargnée. «Après avoir acheté une tortue en animalerie, les propriétaires s’en lassent et la relâche dans la nature. Malheureusement, elles dérangent les espèces indigènes dans leur habitat naturel. Nous avons le projet en 2015 de les capturer pour les éloigner des tortues de nos lacs», précise le garde-parc. Pas de nourriture Le nourrissage des tortues par les visiteurs est un autre problème auquel est confronté le parc. «Aux abords du lac du Moulin, beaucoup de promeneurs donnent à manger aux tortues. Si bien que l’an dernier, nous avons capturé une tortue serpentine de 33,5 livres, un record au Québec», conclut M. Henri. Source
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Enfants asphyxiés par un python: l'enquête est terminée
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Noah et Connor Barthe, âgés respectivement de quatre et six ans, sont morts en août dernier, à Campbellton, après qu'un python de 45 kilos se fut échappé de son enclos, dans un appartement où ils se trouvaient pour la nuit. PHOTO JOHN LEBLANC, ARCHIVES LA PRESSE CANADIENNE KEVIN BISSETT La Presse Canadienne FREDERICTON La GRC a annoncé mardi avoir terminé son enquête sur la mort de deux jeunes garçons qui ont été asphyxiés par un python, l'an dernier, au Nouveau-Brunswick. Le corps policier a mis l'affaire entre les mains de la Couronne, qui devra déterminer si des accusations seront portées ou non. Noah et Connor Barthe, âgés respectivement de quatre et six ans, sont morts en août dernier, à Campbellton, après qu'un python de 45 kilos se fut échappé de son enclos, dans un appartement où ils se trouvaient pour la nuit. L'appartement était celui de Jean-Claude Savoie, un ami de la famille. L'homme possédait aussi le magasin d'animaux exotiques Reptile Ocean, situé sous l'appartement. L'avocat de M. Savoie, Leslie Matchim, n'a pu être joint pour commenter mardi soir. En mai, M. Matchim avait déclaré que la GRC lui avait dit qu'aucune accusation ne serait portée contre son client. À ce moment, il avait indiqué que l'enquêteur principal lui avait expliqué, en décembre, qu'un agent de Halifax, un autre de Campbellton et un procureur de la Couronne du Nouveau-Brunswick avaient analysé le dossier et conclu qu'il n'était pas pertinent de porter des accusations criminelles. M. Matchim avait ajouté qu'un nouvel enquêteur avait été assigné au dossier au début de la nouvelle année. Personne, au bureau des procureurs de la Couronne de la province, n'a pu être joint pour commenter. La gendarme Jullie Rogers-Marsh a précisé que la GRC ne faisait pas de recommandation sur la pertinence de porter ou non des accusations et qu'un procureur pouvait demander à la police d'approfondir son enquête avant de prendre sa décision. Depuis 1992, le python de Séba est interdit au Nouveau-Brunswick à moins d'obtenir un permis spécial. Or seuls les zoos accrédités peuvent obtenir un tel permis. Un total de 23 reptiles interdits à moins d'avoir un permis dans la province ont été saisis dans l'animalerie après le décès des deux garçons. Quatre alligators ont aussi été saisis et euthanasiés. Source -
Australie: un employé d'un zoo attaqué par un crocodile
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Trent Burton nourrit tous les jours le crocodile devant de nombreux visiteurs. Un employé d'un zoo australien s'est fait attaquer par un crocodile alors qu'il était en train de le nourrir. Il souffre de morsures aux mains. Trent Burton, un employé du zoo australien de Shoalhaven, assure le spectacle quotidiennement en nourrissant un crocodile à midi, devant de nombreux visiteurs. Lundi, le show a tourné au cauchemar. Trent Burton s'est fait attaquer par "John", un reptile long de 3,7 mètres. La main prisonnière des puissantes mâchoires du crocodile, l'homme a été traîné dans l'eau sous le regard effrayé et impuissant des visiteurs, rapporte le Daily Mail sur son site internet. Trent Burton a été transporté à l'hôpital de Shoalhaven pour soigner ses mains. Deux jours plus tard, le bras en écharpe, il donnait une interview sur une chaîne de télévision australienne. Source -
La formidable capacité de ce lézard à adhérer aux surfaces les plus planes est bien connue. Mais les forces qui l'y font tenir sont instables. SPATULES. Les geckos sont capables de marcher au plafond grâce aux lamelles qui recouvrent leurs pattes. Chacune de ces lamelles est composée de millions de sétules (des poils microscopiques) qui se terminent par des spatules d'environ 10 nanomètres d'épaisseur et 100 nm de largeur. Ce sont elles qui leur permettent de s'accrocher à n'importe quelle paroi en exploitant les forces d'attraction de Van Der Waals, qui s'exercent entre molécules au point de contact. Au bout du compte une perte d'adhérence Détail des lamelles de la patte d'un gecko. ARDEA/MARY EVANS/SIPA. Mais un Gecko peut-il rester indéfiniment perché au plafond ? (Notons au passage qu'il n'y a aucun intérêt à le faire). Des chercheurs de l'Université de Linköping, en Suède, ont étudié la question et plus particulièrement les mouvements moléculaires qui ont lieu au point de contact entre la spatule et la surface sur lequel il est accroché. Pour mimer la patte du gecko, ils ont fabriqué un film ultramince qui adhère à une surface inégale. Dans la revue Physical Review E, ils publient un article dans lequel ils montrent qu'au niveau nanométrique il règne une certaine agitation au point de contact. Les molécules y sont en mouvement de sorte que les deux surfaces en contact vibrent en permanence. Ce sont des déplacements minuscules mais au bout d'un certain temps les mouvements moléculaires se synchronisent ce qui entraine une perte d'adhérence. Ce temps dépend de la structure du substrat et de la rigidité du film (de la spatule). En pratique cela signifie que s'il reste longtemps immobile le gecko se décrochera forcément de son plafond entrainé par son propre poids. Une application industrielle Si la vie du gecko intéresse tant les chercheurs c'est qu'ils envisagent aussi des applications industrielles à leurs travaux. Si les recherches sur les colles visent à fabriquer des produits à adhérence forte, certains processus nécessitent au contraire des techniques réversibles. C'est le cas, par exemple, de la fabrication du graphène. Il est constitué d'une couche unique d'atomes qui doit pouvoir être facilement détachée du substrat sur lequel elle est réalisée. Source
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Dans la journée du mardi 15 juillet 2014, un citoyen de Kairouna a alerté le district de la garde nationale de Teben de la présence d’un imposant serpent aux alentours de son domicile situé à proximité d’une forêt. Le serpent avait déjà mangé plusieurs de ses poules et se dirigeait vers le domicile dans lequel se trouvait son bébé. Contacté dans la matinée du mercredi 16 juillet 2014 le chef du district de Teben a précisé que le reptile était un Cobra de plus de 3 mètres de long et qu’il a été tué. Source
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La salamandre tachetée : le "wolverine" du règne animal
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Cet amphibien aussi discret que fascinant est le sujet du Tour de France de la biodioversité, en partenariat avec le Museum national d'Histoire naturelle. NOIR ET JAUNE. Elle a beau être très répandue sur notre territoire, la salamandre tachetée est un amphibien très discret. Pourtant, sa coloration vive sur fond noir en fait un animal identifiable au premier coup d'œil. Comme nous l'explique Jean-Christophe De Massary, herpétologue au Service du patrimoine naturel du Muséum national d'Histoire naturelle, la salamandre a deux particularités. La première est que sa peau est pourvue de glandes qui sécrètent un alcaloïde toxique. Rares sont donc les prédateurs qui osent la gober. Mais ce qui fascine les scientifiques, ce sont ses incroyables capacités de régénération. Qu'elle vienne à perdre une patte, sa queue ou même un œil n'est pas dramatique pour la salamandre. En quelques jours, elle est capable de refaire pousser à l'identique et sans séquelle apparente, le membre ou l'organe manquant. La salamandre tachetée par sciencesetavenir SPOT TÉLÉ. À chaque étape, son espèce animale ou végétale. Pour la deuxième année consécutive, le Muséum national d’Histoire naturelle s'est associé à France Télévisions et au Tour de France pour sensibiliser les téléspectateurs à la richesse du patrimoine naturel. Ainsi, tous les jours pendant le Tour, à la prise d’antenne de chaque étape, un spot télévisé présentera une espèce animale ou végétale de la région traversée par les cyclistes. Retrouvez ce spot, ainsi que plus d'informations sur la salamandre tachetée sur le site du Muséum national d'Histoire naturelle. Source -
Après un an dans un centre de soins, une tortue aveugle retourne à l'eau sur WAT.tv Une tortue aveugle a été remise à l’eau mardi sur une plage de Caroline du Sud, aux Etats-Unis, après avoir passé un an dans un centre de soins. Des centaines de personnes s'étaient réunies pour dire au revoir à la tortue qu'ils avaient baptisée Briard. (Images : CBS) Source vidéo : Après un an dans un centre de soins, une tortue aveugle retourne à l'eau Source
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L'aquarium de Vannes héberge un crocodile du Nil trouvé dans les égouts de Paris, sous le Pont Neuf, en 1984. En quelques années c'est devenu la star des lieux ! C'est un peu la star des lieux. L'aquarium de Vannes qui fête ses 30 ans cette année accueille un crocodile du Nil trouvé dans les égouts de Paris, sous le Pont Neuf, en 1984. Trois mètres à l'âge adulte Mesurant moins d'un mètre à l'époque, Eleanore mesure 3 mètres à l'âge adulte pour un poids dépassant les 250 kg. Son habitat rappelle singulièrement les égouts où il a vécu avant d'être retrouvé par des égoutiers et capturés par les pompiers de Paris. Trois bassins Mais l'aquarium regroupe aussi plusieurs bassins autour de nombreux thèmes : les mers froides : le golfe du Morbihan, l'océan Atlantique et la mer Méditerranée ; les mers chaudes et tropicales ; les eaux douces chaudes : fleuves chauds d'Amérique latine ou d'Amazonie. Mission de sauvegarde de l'hippocampe L'aquarium de Vannes mène également une mission de sauvegarde de la faune du golfe du Morbihan. Il présente deux espèces menacées du golfe : l'hippocampe et la seiche. Tous les jours, de 9 h à 19 h 30, au parc du Golfe à Vannes. Tarifs : adultes (plus de 12 ans) : 13 € ; enfants (de 4 à 11 ans) : 8,90 € ; gratuit pour les moins de 4 ans. Source
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Ah non ! Stop ! Ne commencez pas à hurler et à dire «Pouah ! beurk ! un serpent ! Saloperie, va !» Eh oui, aujourd'hui, nous allons parler de serpents. Ben quoi, ils font partie du monde animal, comme les autres, et ils ne sont pas, quoi qu'on en pense, plus dangereux que les autres. Chaque année en France, le nombre de décès à cause d'une morsure de serpent est absolument dérisoire, de 0 à 1 pour les années les plus mauvaises. Combien de morts sur la route déjà ? Personne ne hurle contre la voiture pourtant et tout le monde monte dedans… Bref, si le serpent fait aussi peur, c'est qu'il a été assimilé par nombre de religions au diable. Dans d‘autres civilisations que la nôtre, il est sacré. Tout est donc question d'éducation ancestrale et surtout de méconnaissance profonde. Aucun serpent ne vous attaquera volontairement, ici: s'il mord, c'est parce qu'il se sent menacé, acculé par un danger imminent. Vous êtes sûrement passés, au cours de vos promenades, à quelques centimètres seulement d'un serpent sans même vous en rendre compte. La vipère aspic est du nombre. Elle ne mord qu'en dernière extrémité pour elle: quand on lui marche dessus par exemple ou qu'on a décidé de l'embêter à l'extrême, en la titillant avec un bâton par exemple. Cette courte vipère est très discrète, aime bien se chauffer au soleil sur les pierres, comme tous les animaux à sang froid. À cause de Cléopâtre, entre autres, elle a une réputation désastreuse. Elle ne vous sautera pas dessus au détour d'un sentier de montagne, sur les pierriers, mais s'enfuira bien avant votre arrivée, alertée par les vibrations du sol. Il se peut aussi qu'elle reste lovée sur place, tellement immobile qu'on ne la remarque même pas. Pour la reconnaître, facile: comme toutes les vipères, l'aspic a la pupille de l'œil verticale (contrairement aux couleuvres qui l'ont ronde), un grand nombre de petites écailles sur la tête et le nez retroussé. Bref, elle est chou comme tout. Elle se nourrit de lézards, mais surtout de campagnols, mulots, souris. Comme tous les serpents, elle est bien plus utile que nuisible. Elle fait également l'objet de rumeurs, toujours persistantes et complètement absurdes: «on» lâcherait ou «on» a lâché, des aspics par caisses entières par hélicoptère. C'est faux et archifaux. En tout cas, si vous croisez une, ne la tuez pas: d'abord elle ne vous a rien fait, sinon une peur irrationnelle, ensuite elle est protégée et enfin et elle est bien utile à son milieu. D'ailleurs, le symbole du médecin, celui qui soigne, n'est-il pas un serpent? Source
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Un python d’1 mètre 50 capturé par les sapeurs-pompiers de l’Etang-Salé-les-Hauts. Le serpent nichait dans un cabanon, sous des bottes de foin. Le propriétaire des lieux a découvert les reptile en allant nourrir ses cabris. Les sapeurs-pompiers sont applaudis à chaque défilé du 14 Juillet et pour cause. Après les chats dans les arbres, les chiens méchants ou les nids de « mouches à miel » squattant un faux plafond, ils doivent maintenant capturer des nac (Nouveaux animaux de compagnie). Mardi après-midi, un agriculteur de l’Etang-Salé-les-Hauts débarque à la caserne affolé. Alors qu’il donnait du foin à ses cabris, il est tombé nez à nez avec un serpent énorme. Un spécialiste pour capturer les nac Par chance, le spécialiste pour ce type d’intervention est de permanence avec l’équipe A du sergent-chef Dominique Grondin : « le python s’était réfugié dans un cabanon ou l’agriculteur entrepose la nourriture pour ses animaux. Il fallu que nous sortions toutes les bottes pour l’attraper. Le sapeur-spécialisé pour ce genre d’animaux est venu avec son 4x4 et ses pinces. A mains nues ou avec des gants, il aurait été plus difficile à saisir ». Le serpent mesure tout de même 1m50 et pèse une dizaine de kilos. Il a été remis à un vétérinaire spécialiste des reptiles. Déjà, un python et un iguane en liberté Ces interventions surprenantes se multiplient sur La Réunion. Le département n’est pas épargné par la mode des nouveaux animaux de compagnie au grand damne des personnes phobiques. L’année dernière déjà à moins d’un kilomètre de cette intervention, les sapeurs-pompiers de l’Etang-Salé-les-Hauts étaient appelés pour un python en liberté : « Il était un peu moins gros, mais il était aussi long. Il y a un mois, nous avons été appelés par les agents de la mairie. Un iguane vert se baladait dans la rue », confie le sergent-chef Dominique Grondin. Une enquête de gendarmerie a été ouverte pour retrouver au plus vite l’importateur de ces reptiles dont les vivariums ferment mal. Source
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Python en liberté: une révision prochaine du règlement municipal
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
QUÉBEC - La brève disparition d'un python hier dans un appartement du quartier Limoilou remet en question le règlement sur les animaux de compagnie de la Ville de Québec. Même si le reptile d'une longueur d'environ 7 pieds n'était pas dangereux pour les humains aux dires de son propriétaire, et qu'il n'a pas sorti de l'appartement, l'événement à soulevé la crainte de plusieurs résidents. Marjorie Potvin, porte-parole à la Ville de Québec, explique que le règlement, qui stipule que les citoyens peuvent conserver un petit reptile non venimeux, ni dangereux, sera précisé... Ce règlement devait pourtant être modifié à la suite de la tragédie de Campbellton, au Nouveau-Brunswick, qui a fait deux jeunes victimes. On nous explique cependant à la Ville que d'autres dossiers prioritaires ont forcé à remettre à plus tard cette révision. Ailleurs, la loi est beaucoup plus stricte, comme à Lévis où il est interdit de posséder un serpent de plus de un mètre, ou même dans la MRC de Portneuf où il est totalement interdit d'en avoir un en sa possession. Source -
Observés depuis quelques années à la maison des buis, Alytes obstetricans, nom scientifique du crapaud accoucheur, y squatte un tas de gravier et quelques récipients de récupération d’eau de pluie. Ce crapaud est présent dans toute la France, mais avec une implantation morcelée dans les zones humides. Il est très sensible à la pollution chimique (pesticides, insecticides, etc.) et a donc dû trouver là un terrain adapté à son développement. Sept mâles ont été répertoriés ce printemps. C’est bien sûr une espèce protégée. A partir de mars dès le crépuscule, pour attirer les femelles, les mâles chantent une petite note mélancolique et flûtée, tüt répété 20 à 40 fois par minute et ressemblant au chant du hibou petit duc. L'accouplement des crapauds accoucheurs se passe sur la terre ferme. Le mâle aide sa partenaire à pondre un chapelet de 15 à 80 œufs en lui massant le ventre grâce à un mouvement de ses pattes arrières et fixe ces œufs sur ses pattes postérieures. Le mâle se réfugie alors pendant plus de trois semaines dans un terrier humide où les œufs ne sèchent pas. Dans des conditions sèches, il se rend tous les soirs, au point d’eau pour les faire tremper. Il déposera ensuite les oeufs dans une mare, en général celle où il est né, où sous l'effet de l'eau les oeufs écloreront, donnant naissance à des têtards vigoureux et carnivores dixit la Science ! Ceux de Rully se gavent également de feuilles de salades, de trognons de pommes et autres végétaux Le mâle adulte passe au maximum sept heures dans l'eau chaque année, et la femelle pas une minute ! Source
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Une nouvelle espèce d'araignée découverte en Moravie
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Une nouvelle espèce d'araignée a été découverte en Moravie, dans le gouffre de Macocha, par le Dr Milan Rezac de l'Institut de Recherche Céréalière. Le gouffre de Macocha est le plus profond de la République tchèque, avec 138 m de profondeur, et l'un des plus profonds d'Europe Centrale. Baptisée "araignée à six yeux de Moravie", cette nouvelle espèce est de taille relativement importante et de couleur marron. Elle a élaboré une stratégie spéciale pour la capture de petits insectes dont elle se nourrit, et se caractérise par le fait que contrairement à d'autres espèces, la femelle ne dévore pas le mâle après l'accouplement, qui peut donc se reproduire plusieurs fois au cours de sa vie. Selon le Dr Rezac, les plus proches parents de cette nouvelle espèce d'araignée se trouvent dans le nord de l'Italie. Il prévoit de publier sa description complète dans la revue spécialisée "Zoological Journal of the Linnean Society". L'Institut de Recherche Céréalière est le plus important établissement de recherche sous tutelle du Ministère de l'Agriculture de la République tchèque. Il est en charge de la recherche fondamentale et appliquée, dans des domaines allant de l'étude du génome des plantes, de la culture, ou du stockage des céréales à la biologie moléculaire, aux biotechnologies ou encore à l'utilisation de la biomasse ou de ses résidus pour la production d'énergie. Source -
Un plongeur sauve la vie d’une tortue coincée dans un filet
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Le scarabée girafe, un étonnant insecte guerrier et architecte
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Un drôle de charançon au long cou vit sur les feuilles de Madagascar. Après s'être accouplée avec le mâle dominant, la femelle scarabée girafe va plier et façonner une feuille afin d'en faire un nid pour son œuf unique. Le scarabée girafe, un étonnant insecte guerrier et architecte par Gentside Découverte L’insularité de Madagascar a permis à d’étranges créatures de prospérer sur ses terres. Outre les fameux lémuriens, un insecte hors du commun mérite que l’on se penche sur son cas : le scarabée girafe. Ce coléoptère noir et rouge est endémique de la Grande Ile, cela signifie qu’on ne le trouve nulle part ailleurs. Selon la BBC, les mâles présentent un cou extrêmement long par rapport au reste de leur corps qui mesure à peine 2,5 centimètres. Trachelophorus giraffa a ainsi été nommé pour ce point commun flagrant avec les girafes. Malgré son nom français de scarabée, il s’agit en fait d’un charançon. Les mâles se servent de leur long cou pour se battre et obtenir les faveurs des femelles. Ils peuvent ainsi percuter et faire tomber leurs concurrents, même s’il reste rare que l’un d’eux décède. Un origami végétal Les femelles ont également besoin d’un cou long, car la flexibilité est essentielle lorsqu’elles construisent un nid après s’être accouplées avec le vainqueur du combat. Madame scarabée girafe procède en effet de façon très technique et spectaculaire. Elle plie et enroule une feuille de l’arbre Dichaetanthera arborea, dont elle se nourrit également, afin de fabriquer un abri pour l’œuf unique qu’elle va pondre. La femelle transforme en rouleau une feuille considérablement plus grande qu’elle grâce à la force de ses pattes et de ses mandibules. Elle va également poinçonner des encoches à la surface de la feuille pour former un véritable velcro, ce qui va empêcher son travail de se défaire. Une fois l’origami terminé et la ponte effectuée, la femelle sectionne la base de la feuille et la laisse chuter au sol. Ce nid végétal va fournir à la fois un abri et de la nourriture pendent plusieurs jours pour la larve qui va éclore. Une île sous pression Ce coléoptère fascinant reste très méconnu en raison de sa répartition limitée et du fait qu’il n’a été découvert qu’en 2008. L’espèce n’est pas pour autant considérée comme menacée, même si la déforestation fait des ravages sur l’écosystème fragile et unique de Madagascar. Cette ile de l’Océan Indien s’est séparée de l’Inde il y a 88 millions d’années et plus de 90% de sa faune y est endémique. Source -
Envie d'un squelette à 500 000$? Rendez-vous à Paris
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Fossiles de dinosaures, reptiles et autres «créatures d'exception» vieilles de plusieurs dizaines de millions d'années seront proposés à la vente à Paris le 30 septembre par la maison Sotheby's. Cette vente, catégorie histoire naturelle, comprendra notamment un ornitholestes, ou «voleur d'oiseaux» : ce petit dinosaure carnivore, d'une longueur de 2,20 m, vivait il y a plus de 150 millions d'années, vers la fin du Jurassique. Son squelette est estimé entre 350 000 et 450 000 euros (entre 500 000 et 700 000$ environ), a indiqué mardi Sotheby's dans un communiqué. L'ornitholestes était friand de petits mammifères, de lézards et d'oiseaux. «Ses longs membres inférieurs lui conféraient une vélocité et une agilité sans pareil, faisant de lui un chasseur redoutable», souligne la maison de vente. Parmi les autres «créatures d'exception» proposées à la vente, un fossile d'Ichtyosaure Stenopterygius quadricius du début du Jurassique, estimé entre 50 000 à 70 000 euros. Il s'agit d'un reptile marin armé d'un long bec dotée d'une rangée de dents acérées. Ce fossile d'une longueur de 1,90 m «a conservé les quatre pattes de son squelette», précise Sotheby's. Sera également proposé (estimation : 75 000 - 95 000 euros) un groupe de trois élégants lys de mer (Seirocrinus subangularis, Lias) «enlacés depuis 180 millions d'années». Les lys, des animaux marins tentaculaires, sont fixés sur un panneau de pierre naturelle et recouvert d'une fine couche de pyrite. Autre pièce d'importance, une rare ammonite (mollusque fossile à coquille) de 135 à 65 millions d'années, dont la surface est recouverte d'ammolite, matière considérée comme une gemme précieuse. Estimée entre 45 000 et 55 000 euros, elle se distingue par «l'intensité de ses couleurs, extrêmement vives et par son éclat irisé incomparable», souligne Sotheby's. La vente comprendra également un ensemble de 130 gemmes (estimation : 5000 - 6000 euros) : tourmaline, topaze, agate, émeraude, rubis, saphir, etc. Source -
Des femmes transformées en animaux grâce au body painting
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L’artiste anglaise Emma Fay s’est amusée à peindre le corps de contorsionnistes. Les transformant ainsi en araignée, girafe ou encore en hippocampe. Le résultat est bluffant. Cinq heures. C’est le temps qu’il a fallu à Emma Fay, une artiste originaire de Leicester, pour peindre le corps de Lowri Thomas, contorsionniste, en créature mouvante et, pour beaucoup, effrayante. La tarentule géante a été réalisée grâce à de la peinture à l’eau. C’est ensuite le photographe Jonathan Macauley qui a immortalisé les scènes. Et il a dû faire vite. Emma Fay explique ainsi au «MailOnline»: «Les contorsionnistes ne peuvent tenir la pose que cinq secondes, je dois donc travailler vite». La preuve dans la vidéo suivante: Source -
Après les piqûres de méduse et de moustique, intéressons-nous aux araignées. Douloureuses, leurs piqûres peuvent être soulagées assez simplement. Après une piqûre d'araignée, pensez à bien identifier l'espèce qui vous a piqué. Getty Images/iStockphoto Araignée du soir, espoir, mais surtout risque de piqûre. Souvent irritantes, les piqûres d'araignées, notamment en France, sont assez simples à soigner. Les précautions à prendre Comme pour une morsure de serpent, il est conseillé de contacter les secours si vous souffrez de fièvre ou que vous avez du mal à respirer suite à une piqûre d'araignée. Pensez également à identifier l'araignée et si possible à la conserver pour facilité son identification. Nausée, fièvre, plaie purulente, lèvres et yeux enflés sont des signes alarmants à ne pas prendre à la légère. Les premiers soins Dans un premier temps, nettoyez la plaie avec de l'eau tiède et du savon pour limiter les risques d'infection. Appliquez une poche de glace et essayez également de limiter la propagation du venin en posant un bandage ou un surélevant la partie du corps qui a été piquée. Ne négligez pas une piqûre d'araignée et pensez à bien vérifier l'évolution de la plaie. Si la zone enfle ou s'infecte dans les 24 heures, consultez d'urgence un médecin. Enfin, pour soulager la douleur, il est possible de prendre des analgésiques, des antibiotiques ou des antihistaminiques. En France, les risques de piqûre viennent principalement de la Lycose de Narbonne et de la veuve noire, deux espèces essentiellement présentes dans le sud du pays. Source
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Mexique : le maire du village épouse un crocodile
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Dans le palmarès des unions les plus étranges, celle du maire du village mexicain de San Pedro Huamelula est en bonne place. Cet homme politique a en effet décidé de se marier avec... un crocodile. Le petit saurien a été recouvert d'un voile blanc et est porté par une femme parée de ses plus beaux atours. La cérémonie du mariage, absolument surréaliste, est censée apporter la chance et la prospérité à tous les habitants du village. Source -
Une salamandre géante se balade en rue et effraye les passants
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Etonnante bêbète vue sur les bords de la rivière Kamo à Kyoto au Japon. Les habitants ont été surpris par la taille et l’aspect étrange de l’animal. Cela n’a pas empêché un curieux de le filmer. Il s’agit en fait d’une salamandre géante japonaise qui se promenait tranquillement après être sorti de la rivière. L’aspect gluant de la créature a suffi à effrayer les passants. Cette amphibien de taille imposante séjourne habituellement dans les rivières et ruisseaux mais de temps en temps décide de sortir prendre le grand air. Après son petit tour l’animal a regagné tout aussi tranquillement son habitat normal. Cette salamandre géante vient d'une rivière... par Gentside Source -
" Victimes de la route les serpents disparaissent "
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L'une de ces couleuvres verte et jaune que l'on retrouve très souvent écrasée sur les routes. André nous invite à préserver et à compter les serpents venant se réchauffer, l’été, sur le bitume. Les vipères sont en voie de disparition en Indre-et-Loire. Comme chaque année, d'avril à septembre, beaucoup de serpents se font écraser sur les routes. « C'est juste après la pluie, lors des journées chaudes et orageuses, que les couleuvres principalement viennent se réchauffer sur le bitume, nous écrit André Dutertre, membre de la société herpétologique de Touraine. Certains conducteurs n'hésitent pas à faire un écart pour les écraser, car les serpents ont toujours mauvaise réputation et faute de les connaître, les gens se disent que ce sont des vipères dangereuses pour l'homme. » Et de mettre en garde : « Ce n'est pas parce qu'on ne sait pas différencier les espèces de serpents, qu'il faut tous les exterminer. Les abeilles et les bourdons si utiles à la pollinisation, ne sont pas des guêpes, ni des frelons carnivores ! Moins de dix vipères mordent des gens chaque année en France (peut-être plus en essayant de les capturer qu'accidentellement), alors retenez que les frelons font plus de 20 morts par an. » En Indre-et-Loire, les vipères, qui étaient nombreuses jusqu'en 1970-1980, sont aujourd'hui en voie de disparition. « Principalement du fait de la mécanisation agricole, du broyage des friches et des ronciers, du nettoyage presque excessif des bords de routes et autres lisières. » Mieux adaptées à la diversité des biotopes, les couleuvres survivent mieux. « Il n'est pas rare d'en voir jusque sur les terrasses des habitations et même en ville. » La couleuvre à collier est ainsi présente partout en Indre-et-Loire. « Plutôt dans les zones humides et à proximité des plans d'eau où elle capture des grenouilles. » La couleuvre d'esculape préfère le nord de la Loire, la couleuvre verte et jaune, souvent appelée « cent yard », le sud. « C'est aussi celle que l'on trouve très régulièrement écrasée sur les routes. » Les couleuvres se nourrissent de petits rongeurs (campagnols, mulots, souris) de lézards des murailles (lisettes) et de batraciens. « Quand certains disent que l'on peut vivre sans les serpents, répondez-leurs que l'on peut vivre sans bon nombre de petits oiseaux et de chauves-souris, il faudra juste répandre davantage d'insecticides pour les moustiques, les araignées et autres insectes désagréables pour l'homme, lequel se croit capable de décider de l'utilité de telle ou telle espèce sur la planète ! S'il y a autant d'espèces, c'est qu'elles ont toutes leur place sur notre Terre. » Participez à l'inventaire des reptiles et bactériens Un inventaire des amphibiens et des reptiles est en cours sur le département d'Indre-et-Loire. Pour participer, il suffit d'envoyer ses observations par mail à l'adresse « contact@sht37.fr ». « Plus il y aura de données de répartition, plus précis sera le premier atlas départemental des amphibiens et reptiles d'Indre-et-Loire », assure André Dutertre en charge de ce projet. Plus de renseignements sur le site SHT37.fr. Source