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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Michel Viau est en compagnie d'un résident de son animalerie, un python royal.L'Hebdo/Geneviève Beaulieu Veilleux Les élus révisent la réglementation entourant les animaux exotiques RÉGLEMENTATION. Michel Viau de l'animalerie Reptiles et Cie. a le cœur plus léger. C'est que la réglementation entourant les animaux exotiques, dont les reptiles et serpents, est en cours de révision. Le commerçant peut donc vendre à nouveau ses serpents qui constituent la majorité de l'inventaire de sa boutique sur l'avenue Saint-Marc. Présent à la séance du conseil du 13 mai dernier, Michel Viau avait plaidé en faveur d'une révision de la réglementation. «J'ai investi 80 000$ au total dans mon animalerie que j'ai ouverte en juillet à Shawinigan. On m'a dit à la Ville que tout était conforme lors de la réception de mon permis. Or, les serpents que j'avais étaient interdits par le règlement, mais ils représentent 60% de mon inventaire», raconte celui qui a alors dû se départir de ses bêtes. Il va sans dire que cette coupure de son inventaire a fait mal à son chiffre d'affaires puisque l'espace de son commerce, le chauffage et l'assurance était prévu en conséquence de ces résidents particuliers. Si son dossier a pris la poussière du côté du Service des incendies de Shawinigan pendant plusieurs mois, son intervention en séance publique le mois dernier a été entendue et M. Viau en est satisfait. «Après ma visite devant les élus, le greffier Yves Vincent a pris en charge mon dossier et je collabore même avec la Ville pour l'écriture détaillée du règlement», poursuit l'animalier qui est aussi infirmier de formation. «Vous savez, on a beaucoup de préjugés entourant les serpents. Pourtant, d'après une liste des appels pour morsures que j'ai obtenue, les cas répertoriés sont associés à des morsures de perroquets. Il faut qu'on prive un serpent de nourriture pendant des mois et des mois pour qu'il en vienne à mordre un humain!» Les serpents, plus populaires que jamais La popularité des serpents ne se dément pas, à tel point qu'on considère cet animal comme faisant partie des nouveaux animaux de compagnie (NAC). «Vous mettez votre serpent dans le vivarium, il mange une fois par semaine et ce n'est pas trop d'entretien! Je fais même de la représentation dans les écoles avec mes bêtes avec des centaines de jeunes et il n'y a rien de dangereux», mentionne Michel Viau. À preuve, depuis l'autorisation pour le Shawiniganais de pouvoir vendre à nouveau ses serpents, l'animalier a réalisé quatre ventes…en quatre jours! En gros, ce que M. Viau propose pour le règlement, c'est de défendre certaines races plus dangereuses comme le python réticulé ou le python de Birmanie, mais de laisser la place aux races qui ne causent qu'un danger minime. Michel Viau se veut collaboratif et se dit ouvert à la tenue d'un répertoire dans sa boutique. «Je suis prêt à signaler toutes les ventes de serpents sur le territoire de la Ville afin que les élus et la SPA aient une idée de qui les détient et d'où ils se trouvent.» Source
  2. Serpents, iguanes, caméléons… Les nouveaux animaux de compagnie (NAC) attirent toujours. Les animaux sont toujours à la mode. C’est en substance ce que suggère l’éleveur de Reptiland (magasin situé dans la zone Rouvroy-Morcourt), « Nico ». « Les reptiles ne concernent que 4 % du marché animalier. » Les Nouveaux animaux de compagnie (NAC) ont été à la mode pendant quelques années. « Mais le reptile n’est pas un phénomène de mode. » Mode ou pas, qu’ils attirent ou rebutent, les NAC savent faire parler d’eux. 1 Quels sont les soucis rencontrés avec les NAC ? Un serpent qui devient trop grand, un iguane qui s’échappe et un propriétaire dépassé. Le premier réflexe est d’appeler les autorités... qui se tournent vers Reptiland. L’éleveur est habilité à saisir les reptiles. Mais le phénomène reste rare dans le Saint-Quentinois. La semaine dernière, dans un appartement du centre-ville de Saint-Quentin, un boa a été saisi. En moyenne, Reptiland réalise deux saisies par an. « Nous nous déplaçons aussi sur la plage de l’étang d’Isle, l’été. Il y a quelques couleuvres à collier qui sont dans leur zone de nidification dans la réserve. Il n’y a rien de méchant. » Pour éviter les soucis, Reptiland préfère la prévention au moment de l’achat de l’animal. « Nous refusons trois ventes sur quatre », explique Laurine Garcia, terrariophile. Des refus liés au manque d’expérience ou à l’utilisation des animaux. « Quand nous avons une conversation avec un client, nous pouvons tout de suite l’orienter. Celui qui veut un iguane pour un combat de chien, nous refusons la vente. Celui qui n’a jamais touché un serpent et qui demande un boa, c’est la même chose. » 2 Les NAC sont-ils dangereux ? « À partir du moment où il y a une bouche et des dents, un animal peut mordre, explique Laurine Garcia. C’est comme un chien ou un chat. Mais à 99 %, ce sera de votre faute si vous êtes mordu. » Tous les NAC sont tendres et dociles ? « Il y a certaines espèces qui ont le coup de dent facile », en convient la spécialiste. Avant tout achat de NAC, mieux vaut bien se renseigner et rencontrer un éleveur. Les serpents juvéniles mesurent 60 cm. À l’âge adulte, un python mesure 1,10 mètre et un boa peut atteindre les 2 mètres. Sans parler des iguanes que la captivité rend plus agressifs. « Il faut savoir que si l’animal ne se sent pas attaquer, il n’attaquera pas », précise « Nico ». 3 Quels sont les NAC qui plaisent ? Les serpents ont la côte. Pas n’importe lesquels. Essentiellement, les « mutations », à savoir les serpents croisés. « Ce qui attire, ce sont les couleurs. » Le rouge et noir ou le rose et blanc. Côté lézard, la grande mode est au geckos léopard, un reptile blanchâtre avec des tâches noires. Le prix varie de 30 à 3 000 euros. Sans oublier le coût du terrarium. Non, vraiment, les NAC ne se démodent pas. De nouvelles espèces alimentent régulièrement les terrariums. 4 Qui sont les nouveaux NAC ? Les tortues de Floride, interdites en France mais pas en Belgique, se retrouvent régulièrement dans le magasin Reptiland : « Quand les propriétaires se rendent compte que c’est interdit, ils nous les ramènent. » Les autorités sont alors saisies pour retirer l’animal. Les grenouilles font aussi leur apparition dans les terrariums. « Ce qui est intéressant, c’est de recréer les biotopes », confirme Laurine Garcia. Pour les néophytes, le milieu ambiant. 5 Quels sont les conseils aux futurs acquéreurs de NAC ? « Pour un débutant, il faut un animal simple à maintenir et pas agressif, reprend Laurine Garcia. Pour se faire mordre, il faut le chercher. » « Nico », l’éleveur, confirme : « Ce qu’il faut avant tout, c’est bien réfléchir. Et surtout se déplacer chez des professionnels. Le J’ai vu sur internet ne suffit pas. » De la prévention pour que les NAC vivent des jours paisibles dans leurs terrariums. Source
  3. Il hantait les lacs du Jurassique et vidait les salamandres de leur sang. Un insecte unique en son genre ! LARVE. Le parasite découvert au nord-est de la Chine est en fait une larve de mouche qui vivait au Jurassique, il y a 165 millions d'années. Longue de deux centimètres environ, son corps a subi des modifications radicales au cours de l'évolution en la transformant en une véritable seringue. Aucun insecte vivant connu n'est ainsi équipé. Pauvres salamandres La larve de Jurassica Qiyia possède une toute petite tête, en comparaison de son corps, équipée de pièces buccales conçues pour percer la peau et d'une plaque de succion sur son thorax. Le reste du corps ressemble à celui d'une chenille. Elle vivait dans des lacs d'eau douce où évoluaient des animaux semblables aux salamandres actuelles. Pour se nourrir, elle s'accrochait aux amphibiens et pompait leur sang. "Aucun insecte n'a aujourd'hui une forme de corps comparable" explique Bo Wang qui a découvert des fossiles de salamandres parasités conservés dans de la boue. POISSONS. Apparemment, dans les lacs fréquenté par Jurassica Qiyia, il n'y avait pas de poissons mais uniquement des amphibiens dont des milliers de fossiles ont été retrouvés. "Cette écologie particulière explique pourquoi les parasites sont retrouvés en grand nombre : les poissons se nourrissent des larves de mouches et régulent habituellement leur population" explique Bo Wang. En l'absence de prédateurs, elles ont pu prospérer en toute tranquillité. Toutefois, elles n'ont pas pour autant causé la disparition des salamandres: "un parasite ne tue que rarement son hôte et uniquement quand il a atteint son objectif, la reproduction ou l'alimentation", précise le chercheur. L'aspect que prend l'insecte à l'âge adulte, après sa métamorphose, n'est pas connu, pas plus que son cycle de vie. Source
  4. Hugo Lorini Claude Ouellette de la patrouille animale de LaSalle Iguanes, chevreuils, castors, mouffettes, ratons laveurs «En huit ans à la patrouille animale, mon intervention la plus bizarre a été de recueillir un iguane de cinq pieds de long dans un logement. Le propriétaire m'a appelé parce que l'iguane venait de lui couper le pouce.» Responsable de la patrouille animale de LaSalle depuis huit ans, Claude Ouellette en a vu de toutes les couleurs, lui qui est le patrouilleur permanent, appuyé de deux étudiants en saison estivale. Si plusieurs arrondissements ont des patrouilles canines pour chiens et chats, la patrouille animale de LaSalle se démarque puisqu'elle s'occupe aussi des animaux sauvages (mouffettes, ratons laveurs, écureuils, chevreuils, castors). «L'an dernier, on a capturé près de 50 mouffettes On reçoit une centaine de demandes de cages par année, mais on n'installe pas 100 cages. On fait une inspection pour voir ce qu'il y a dans la cour car il faut qu'elle soit propre. On conseille souvent un grillage autour du cabanon et dans 80% des cas, le problème se règle. Les cages, c'est en dernier recours». La patrouille aide à capturer trois ou quatre chevreuils par année. «De l'autre côté, c'est Kahnawake, où ils sont chassés à longueur d'année. Ils se jettent à l'eau ou traversent par le chemin de fer. Il faut aussi «embrocher» certains arbres pour éviter que les castors les rongent». La patrouille animale offre le service de cueillette d'animaux malades ou morts, aide à retrouver les animaux perdus, contrôle et capture les chiens errants et dangereux et en dispose, installe des cages pour capturer certains animaux, répond aux plaintes relatives aux animaux domestiques et sauvages. Quelques statistiques En 2013, la patrouille a recueilli 449 animaux. «On a frôlé les 700 animaux il y a quelques années. On a eu aussi 330 plaintes pour des jappements, des excréments, trop d'animaux dans les logements, etc.» Pour formuler une plainte ou souligner un problème, vous composez le 311, 24 heures sur 24. Les animaux de LaSalle restent ici Les chiens et les chats perdus sont amenés au refuge de l'Hôpital vétérinaire (7755, Bouvier), plutôt que de se retrouver à l'extérieur (SPCA ou Berger blanc), ce qui aide les propriétaires à retrouver plus facilement leur animal, et facilite l'adoption des animaux abandonnés. «Je récupère entre 40 et 60 chats par mois», ajoute le patrouilleur. Clinique de «micropuçage» À la mi-septembre, l'arrondissement offrira une clinique de «micropuçage». Près de 200 chiens se feront implanter une «micropuce» gratuitement. Les détails seront divulgués en août, dans Le Messager et sur le site Internet de l'arrondissement. Tous les chiens reçus devront être vaccinés et détenir une médaille d'identification de l'arrondissement. La «micropuce» est un moyen additionnel et efficace de retrouver un chien perdu. Résident de Terrebonne, Claude Ouellette est à l'emploi de la Ville de Montréal depuis 27 ans. «L'été, on engage deux étudiants pour me donner un coup de main et me permettre de prendre des vacances. Nous sommes en place de 6h30 le matin jusqu'à 21h». Source
  5. Un serpent a été repéré par une hôtesse de l'air à bord d'un vol Paris-Fort de France le week-end dernier. C'est en plein vol que le "serpent des blés" a été localisé par le Personnel Naviguant Commercial. Le reptile qui mesure environ 30 cm de long n'est à priori pas dangereux pour l'homme, mais l'équipage ne le sait pas à ce moment du vol. Une hôtesse le capture et l'enferme dans une boîte hermétique, il sera ensuite remis aux sapeurs-pompiers à l'atterrissage du vol, à l'aéroport Martinique Aimé Césaire. Selon les spécialistes vétérinaires, ce type de serpent peut mordre s'il se sent en danger, mais il n'est pas venimeux. Philippe Daniel - DOMactu.com Source
  6. Le crocodile du fleuve de Beyrouth à sa découverte par des témoins. L’animal avait été repéré et photographié par une équipe du journal « al-Joumhouria », et cette photo a été publiée dans « L’Orient-Le Jour » le 25 juillet 2013. Le crocodile qui a longtemps fait les gros titres des journaux par sa présence insolite dans le fleuve de Beyrouth a été transporté hier vers Londres, où il devrait rejoindre bientôt un sanctuaire en Grande-Bretagne consacré à cette espèce menacée. C'est à l'initiative de l'ONG « Animals Lebanon » (AL) que ce transfert a pu avoir lieu, à bord d'un avion de la MEA. Le jeune crocodile de 135 centimètres de long, de l'espèce des crocodiles du Nil, avait été capturé en avril dernier par des pêcheurs locaux, après avoir trompé la vigilance des forces de l'ordre et des militants pour les droits des animaux durant des mois. Dans l'eau extrêmement polluée du fleuve de Beyrouth, près de l'embouchure de ce fleuve vers la mer, le jeune animal a survécu grâce à des déchets d'animaux, provenant de l'abattoir et d'une usine de produits à base de poissons, tout proches. AL pense que ce crocodile a été introduit par voie de contrebande au Liban, dans le cadre d'un trafic d'animaux exotiques très prisés. Le Liban, rappelle l'association, a signé récemment la convention de lutte contre le trafic international d'espèces en danger, mais de tels animaux continuent d'être introduits frauduleusement dans le pays. On peut toujours trouver des crocodiles, comme celui qui vient d'être sauvé, dans des petshops à moins de cent dollars, souligne le communiqué d'AL. « Alors que ce crocodile est à présent hors de danger, il faudrait faire plus d'efforts pour empêcher le trafic de contrebande d'animaux appartenant à de telles espèces menacées, introduits dans le pays pour y vivre dans des conditions misérables, ou être abandonnés par leurs propriétaires dès que ceux-ci réalisent que ce ne sont pas des animaux de compagnie », conclut le texte. Source
  7. Connaissez-vous Great Exuma? Il s’agit d’une des 700 îles situées dans l’archipel que compose les Bahamas. Ce morceau de terre de 60 kilomètres de long est connu pour être un sanctuaire pour la nature et les animaux. Peu habité, il permet à la faune et à la flore de se développer sans être gênées par la présence de l’homme. Parmi les espèces présentes, on y retrouve des tortues aquatiques ou tortue vertes. Elles mesurent jusqu’à 1m10, pèsent entre 80 et 100 kg et sont extrêmement curieuses, comme vous pouvez le voir sur ces superbes images tournées sur place avec une GoPro par notre journaliste François Genette. A noter également que les poissons qui se trouvent sur le ventre des tortues sont des rémoras ou poissons-pilotes. Mauvais nageurs, ils vivent en symbiose avec leur hôte et les débarrassent de leurs parasites. Source
  8. Le camouflage, un art de se rendre méconnaissable ou inapparent. Et chez les animaux, c’est également et surtout, une technique visant à créer une illusion d’optique pour chasser ou se protéger des prédateurs. LES ANIMAUX ROIS DU CAMOUFLAGE … 1/ La mante orchidée Cette mante religieuse, dont le nom scientifique est Hymenopus coronatus, est tout simplement capable de se fondre dans une orchidée pour piéger ses proies … 2/ Le podarge gris Le Podarge gris est une espèce de chouette originaire du continent australien, de Tasmanie, et du sud de la Nouvelle-Guinée. 3/ La grenouille feuille Originaire d’Amérique du Sud, cette espèce de grenouille se confond parfaitement avec le tapis de feuilles des sous bois. Elle est d’ailleurs essentiellement présente dans la foret amazonienne. 4/ Le poisson-pierre Le Poisson-pierre, ou Synancée, est réputé pour être le plus venimeux au monde. 5/ Le papillon kallima Lorsqu’il se pose et ferme ses ailes, le Kallima inachus a l’apparence d’une feuille morte. 6/ Le serpent liane Le serpent liane est un animal arboricole et diurne qui peu très facilement être confondu avec une liane. 7/ Le gecko Uroplatus phantasticus L’ uroplatus phantasticus appartient à la famille des geckos, il vit dans la forêt tropicale humide sur les troncs et branches des arbres à faible hauteur, et ne s’aventure que très rarement au sol. 8/ Le léopard des neiges Appelée irbis, panthère des neiges ou léopard des neiges ce félin vit dans les hautes montagnes. 9/ Le poulpe Il change de couleur et l’aspect de sa peau afin de se camoufler dans le décor environnant. 10/ Le caméléon Le caméléon, la star du camouflage ! Source
  9. En attendant que l'énigme du monstre du Loch Ness soit résolue, la Grande-Bretagne s'est trouvée une autre créature mystérieuse, un "crocodile" que des témoins assurent avoir repéré dans la rivière Avon, non loin de Bristol, en Angleterre | Tyler Lecka En attendant que l'énigme du monstre du Loch Ness soit résolue, la Grande-Bretagne s'est trouvée une autre créature mystérieuse, un "crocodile", que des témoins assurent avoir repéré dans la rivière Avon, non loin de Bristol, dans l'ouest de l'Angleterre. Un chauffeur de bus a été le premier à donner l'alerte en repérant, dans les eaux de la rivière, ce qu'il croyait être un crocodile. C'était en février, et la police de l'Avon et du Somerset a alors lancé de brèves recherches qui n'ont rien donné. Deux autres témoins se sont ensuite fait connaître mais sans qu'on leur accorde un crédit énorme. Jusqu'à cette photo prise cette semaine par Tamara Blanco lors de son jogging le long des berges et abondamment reprise par la presse vendredi. "Trop effrayée" pour s'approcher de plus près, elle n'a pu prendre qu'un cliché, très flou. Au milieu des flots brunâtres, on y distingue... quelque chose. Sac plastique ? Branche d'arbre ? Ou crocodile ? Impossible à dire tant la photo est de mauvaise qualité. Tamara Blanco sait seulement que "ça bougeait". Il n'en fallait pas plus pour déchaîner les passions autour de Bristol où des habitants sont allés jusqu'à dresser un panneau routier avec un crocodile la gueule grande ouverte pour avertir du danger. La presse, elle, s'interroge sur les chances de survie d'un reptile dans les eaux froides de l'Avon --un sujet sur lequel les experts sont divisés-- et de la provenance du crocodile, si crocodile il y a. Selon le Daily Telegraph, aucune disparition n'a été signalée dans les zoos. Reste l'hypothèse qu'un particulier aurait pu se débarrasser du reptile lorsqu'il commençait à devenir trop encombrant. Source
  10. Les scientifiques ont fait un découverte assez troublante au Mexique. En effet, ils ont trouvé une nouvelle espèce d'araignée capable de se camoufler ! Cette espèce appartient à la famille Paratropididae (qui ressemblent à des mygales) et se distingue donc par cette capacité pour le moins impressionnante. Comme toutes les espèces de cette famille, cette nouvelle espèce appelée Paratropis Tuxtlensis a développé une technique de camouflage propre. Celle-ci a des particules de sol incrustées dans tout son corps. Le sol incrusté dans son exosquelette peut lui octroyer une protection contre les prédateurs ou servir de camouflage pour tromper sa proie. Cette araignée a des pores glandulaires au niveau de la cuticule (une couche extérieure de sa peau) et c'est la sécrétion d'un fluide particulier qui permet de coller ces particules de sol sur sa peau. Cette araignée est très énigmatique car elle est très difficile à trouver. D'ailleurs, elle ne bouge pas du tout quand elle est exposée à ce qu'elle estime être un danger. Le nom de l'espèce (Paratropis Tuxtlensis) se réfère à sa localisation : Estación de Biología Tropical "Los Tuxtlas", Veracruz, Mexique. Elle est connue uniquement dans cette région. Cette espèce est la seule à ne pas faire de terrier, mais elle compte sur son camouflage pour se cacher sous des rochers et dans le sol. L'un des découvreurs, Alejandro Valdez-Mondragón explique que les spécimens ont été collectés dans des forêts tropicales humides, sous des rochers. Ils sont restés immobiles quand ils furent exposés au danger après que leur abri fut enlevé. C'est leur probable mécanisme de défense, incluant le fait qu'elles se camouflent avec le sol boueux. On finit avec une petite touche d'humour. En effet, ce ne sont pas toutes les araignées qui savent bien se camoufler. La preuve avec la tentative ratée de cette araignée ! Source
  11. FAITS DIVERS - Forcément, le reptile n'a pas apprécié et Glen Bonin s'en sort avec 80 points de suture... Alligator et alcool ne font pas bon ménage. L’Américain Glen Bonin en a fait l’expérience la semaine dernière en Louisiane. En état d’ébriété, il a entrepris avec trois de ses amis de déplacer un alligator de trois mètres de long qui restait au beau milieu de la route, gênant la circulation. Source
  12. Les crocodiles du Nil ont longtemps été un simple présentoir de la ferme de Djibélor, à quelques kilomètres de Ziguinchor. Mais depuis 1998, le propriétaire de la ferme, connu dans la région comme le « loup blanc », a décidé de transformer cet héritage en un élevage de crocodiles. L’histoire de Gérard est celle d’un agriculteur « toubab » qui s’est fait une place en Casamance avec finesse et originalité. Un reportage Au départ de la gare routière de Ziguinchor, le chauffeur de taxi connaît parfaitement la route qui mène à Djibélor. « Gérard est une célébrité locale ici ! », lance-t-il les yeux rieurs dans le rétroviseur. En effet, Gérard est connu depuis Ziguinchor aux contrées alentours. Son nom, c’est Wartraux, prononcé « Ouartro ». Tous les enfants de Casamance (devenus grands) ont au moins une fois gambadé dans cet espace de liberté, où le chant des oiseaux est perturbé par le « boum » des mangues savoureuses qui se détachent de l’arbre et percutent violemment le sol. Sur la terrasse ombragée de sa maison, enfoncée dans 30 hectares d’exploitation verdoyante de Djibélor, au milieu des papayes, des plantations d’ananas et d’un impressionnant élevage de crocodiles du Nil, Gérard cale sa « clope Malboro » entre le majeur et l’index, le torse nu cuivré par des années de plein air, les pieds chaussés dans de vieilles tongues et les cheveux poivre sel rassemblés dans une queue de cheval négligée. En devenant le propriétaire de la plantation le 1er juillet 1977, il a réalisé son « rêve de devenir un jour propriétaire d’une exploitation agricole ». Mais il ne se doutait pas du potentiel qu’il y avait là. « En vendant la moitié de mon terrain, je pourrais encaisser aujourd’hui 1,5 milliard de FCfa. A l’époque, j’ai payé cette ferme 15 millions de FCfa ». Dans le lot, il y avait notamment « un gros stock de crocodiles du Nil, une espèce protégée présente dans la ferme depuis de nombreuses années en âge de reproduction ». C’est avec cela qu’il a démarré l’élevage, vingt ans plus tard, en 1998. Les braconniers, passibles d’une amende allant jusqu’à 5 millions de FCfa, sont aujourd’hui très sévèrement punis par la loi. Mais étant propriétaire d’un élevage, Gérard n’a jamais été concerné par cette législation. Il est autorisé à récupérer les peaux de ses reptiles, il les conserve dans du sel et les vend à des maroquiniers qui en font des sacs, des chaussures et des ceintures. De même, pour la viande de crocodile, cet agriculteur a longtemps été le seul fournisseur des plus grands hôtels de Ziguinchor : « C’est très rentable », reconnaît-il sobrement entre deux gorgées de bière. Il a fini par ouvrir, il y a quelques années, son propre « Restaurant de la plantation », où l’on peut déguster de la viande de crocodile en civet ou en brochettes. Mais toute cette entreprise ne serait pas possible sans Georges Yata, casquette vissée sur la tête et bottes trouées, l’éleveur de crocodiles en personne. Le spécialiste, c’est lui. Il passe ses journées ici et vit à Djibélor. Il est originaire de Ziguinchor. « J’étais là quand Gérard a racheté la ferme en 1977 », confie l’homme discret au milieu d’une cacophonie d’oiseaux. Autour de lui, des crocodiles de toutes les tailles se figent sous le soleil. Les plus gros, qui servent à la reproduction, ont jusqu’à 45 ans et peuvent mesurer jusqu’à 7 mètres de long. Ils se nourrissent, une fois par semaine, de sole fraîche. Quant aux autres crocodiles, leur destin sera moins glorieux : « Ils sont bons à être mangés entre 5 et 7 ans, quand ils pèsent une quinzaine de kilos, vendus 10.000 FCfa/kg », explique l’éleveur. Mais méfiance tant qu’ils sont vivants, à tout âge, « les crocodiles sont redoutables. Il faut les connaître. Au moment de récupérer les œufs, ils attaquent de façon violente. Si nous ne sommes pas plusieurs dans le parc à ce moment-là, pour détourner l’attention des reptiles, nous mettons notre vie en danger ». Un gros stock de crocodiles du Nil Une vingtaine d’employés travaillent aux côtés de Gérard depuis des années. Mais Georges pour les crocodiles et Siméon pour la pépinière de plantes ornementales sont les seuls à être spécialisés. « Lorsqu’on est exploitant agricole en Casamance, il faut sans cesse anticiper la demande pour ne pas se laisser dépasser », explique-t-il. « Tout est extrêmement fluctuant. Rien n’est jamais sûr. » Ces dernières années, par exemple, des mangues ont été acheminées depuis la Mauritanie vers Dakar grâce à la nouvelle route transmauritanienne. « Il est devenu plus facile de faire la route depuis la Mauritanie que depuis la Casamance », constate-t-il. Cette concurrence l’a poussé à trouver une nouvelle trajectoire. Il a donc déraciné un grand nombre de manguiers et les a remplacés par d’autres arbres plus rentables. Déjà en 1980, il avait une exploitation de 25.000 bananiers qu’il a transformés en une plantation fruitière plus diverse. Gérard, amoureux de la chasse, de la pêche et… des défis, le regard tendre derrière ses lunettes dorées d’un style des années 1980, n’a jamais cessé de diversifier son activité et d’anticiper les tendances. Dans la ville voisine, Edmond, prêtre de Ziguichor d’une quarantaine d’années, se souvient parfaitement que dans les années 1990, Gérard avait des lions, des boas, des antilopes et de nombreuses autres espèces : « Il a marqué notre enfance avec son parc animalier. Maintenant, il n'a plus que les crocodiles parce que le parc n’était pas rentable ». Le domaine comprend aujourd’hui une ferme d’élevage où cohabitent 280 crocodiles du Nil, une plantation de fruits tropicaux, des bananes, des papayes, des mangues, des ananas, des mandarines, des pamplemousses, etc., et plus de 500 espèces différentes de plantes ornementales. Nous sommes en juin, l’hivernage commence. Au moment de rencontrer Gérard, une pluie s’est soudainement abattue sur Ziguinchor. Les plus petits bambins de la capitale casamançaise, pieds nus dans les rues boueuses, dansaient sous l’eau tombée du ciel, savon en main. Gérard, ému, raconte : « Pendant longtemps, j’ai pris mon gel douche et je me suis savonné sous les premières pluies de la saison d’hivernage, dans mon jardin de Djibélor. C’est une sorte de tradition ici ». Les premières pluies ont en effet quelque-chose de délivrant dans cette région. Ce « toubab » de 70 ans, qui maîtrise le wolof pour ses négociations avec les « bana-banas », marié à une femme Diola, a tout d’un Sénégalais. Loin du tumulte et de « l’esprit négatif » des Français, Gérard a épousé Djibélor. Après avoir étudié à Bordeaux à l’Ecole nationale d’ingénieurs des travaux agricoles, et avoir activement participé au mouvement de mai 68, le jeune baroudeur est parti faire sa coopération à Ziguinchor, dans le sud du Sénégal, comme professeur. Il s’est installé en Casamance en 1969. Il n’est plus jamais rentré chez lui. De cette vie originale qu’il a choisie, il n’a pas seulement été témoin du mouvement de mai 68. En 1998, sur la route d’Oussouye, il entendait tous les soirs à partir 18 heures les tirs saccadés des armes à feu à quelques dizaines de mètres de chez lui. « Tous les touristes avaient levé le camp. Les rebelles indépendantistes de Casamance s’affrontaient avec l’armée sénégalaise, là, tout près ». Malgré tout, Gérard est resté : « A sept reprises, pendant la guerre, le village a été malmené par les rebelles venus piller les 100 habitants de Djibélor. Tout le monde savait que j’étais bien armé et prêt à me défendre. Personne ne m’a jamais attaqué ». A se demander qui, entre le crocodile et l’agriculteur, est le plus redoutable de Djibélor. Fanny CHEYROU (stagiaire) Source
  13. Plusieurs jours après son apparition dans le fleuve Bouregreg (entre Rabat la capitale et Salé), les autorités civiles et militaires de Rabat-Salé sont aux aguets, mais n'arrivent toujours pas à mettre la main sur le crocodile qui mesurerait plus de 1,5 mètre. C'est une présence qui fait planer un danger sur les habitants et qui risque de mettre en péril la faune des eaux douces du fleuve Bouregreg, surtout si le crocodile en question est une femelle fécondée, sa progéniture pourrait envahir le fleuve. La catastrophe ! Tout cela a suscité de nombreux commentaires, surtout que cette espèce n'existe pas au Maroc. Il y a ceux qui avancent que l'animal aurait été relâché par un propriétaire de yacht amarré dans la Marina de Salé. D'autres rétorquent: «à voir la taille de ce prédateur très dangereux, on ne peut pas imaginer qu'il était à bord d'un yacht». D'autres encore avancent que la seule possibilité de l'introduire sur le sol marocain, ce serait qu'il aurait été rapporté au pays, quand il était encore tout petit. Et seul un diplomate aurait donc pu l'apporter dans ses valises, sans risque d'être fouillé par les autorités de contrôle au niveau des frontières... Peut-être que la personne qui l'a introduit a été perturbée par son comportement lorsque ce dernier est devenu grand... En attendant de voir plus clair, ce crocodile nage toujours dans les eaux du Bouregreg. A quand renvoyer cette bête d'où elle vient, ou transformer sa peau en jolies chaussures ? Source
  14. Les grenouilles à cornes auraient-elles les yeux plus gros que le ventre ? Une récente étude démontre qu'elles sont capables d'attraper et d'attirer dans leur bouche des proies jusqu'à 3 fois plus lourdes qu'elles. Cette grenouille peut tracter trois fois son poids grâce à sa langue collante par Gentside Découverte Dissimulées dans la boue ou tout autre environnement humide, les grenouilles à cornes n’ont pas l’air de se donner beaucoup de mal pour chasser. Il leur suffit d’étendre leur langue vers leur victime avant de la ramener vers leur gueule : furtif et efficace. Très voraces et munies d’une bouche très large, les grenouilles à cornes sont connues pour leur tendance à s’attaquer à des animaux presque aussi gros qu’elles. Mais jusqu’à quel point ? Pour le savoir, des zoologistes allemands de la Christian-Albrechts-Universität de Kiel ont installé des grenouilles à cornes (Ceratophrys ornata) devant une appétissante sauterelle, séparée par un petit bout de verre équipé de capteurs de pression. Ils ont pu mesurer la force de l’impact de leur langue contre le morceau de verre, ainsi que la quantité de mucus laissée par la grenouille sur la petite surface. Une langue très puissante Ils ont découvert que la langue des grenouilles est un fantastique outil de chasse : elle permet non seulement aux amphibiens d’attraper des proies rapides, mais aussi de capturer des repas bien plus gros qu’eux. En moyenne, la force adhésive de la langue excède la masse corporelle de la grenouille de 50%, rapporte l'étude publiée dans la revue Scientific Reports. Une jeune grenouille a même projeté sa langue sur le bout de verre avec une force 3,4 fois plus importante que son poids. Chaque grenouille a été testée une vingtaine de fois pour obtenir une moyenne réaliste. “Je savais que ces grenouilles étaient capables de manger de grosses proies, mais je ne m’attendais pas à ce que leur force soit aussi élevée”, s’étonne Thomas Kleinteich, l’auteur principal de l’étude, cité par le Los Angeles Times. Un mécanisme similaire à celui des notes adhésives Mais comment fonctionne cette puissante et très collante arme de chasse ? Pour le savoir, les chercheurs ont mis en relation la force d’impact, la force adhésive et la quantité de mucus restante sur le verre. “L’opinion commune veut que le mucus soit une sorte de super glu qui colle à n’importe quoi de manière immédiate”, explique Thomas Kleintech. A sa grande surprise, il a constaté qu'une moindre quantité de mucus implique une meilleure adhésion. Selon lui, il s’agirait plutôt d’un modèle semblable à celui des notes adhésives : le mucus serait une substance assez fluide pour permettre à la langue de se coller à une surface, mais assez élastique pour se décoller sans se briser. De sorte que quand la grenouille décolle sa langue, elle ne laisse presque pas de trace. Mais Thomas Kleintech et son équipe ne se sont pas encore parvenus à déterminer ce qui rend la langue des grenouilles collantes. Ce qui est certain, c’est que cela permet aux grenouilles à cornes d’attraper des proies de toutes sortes : avec des poils, des plumes ou même des épines : “leurs langues collent à tout”, contrairement aux bandes adhésives que l’on peut trouver dans le commerce, ajoute Thomas Kleinthech. Le ruban adhésif du futur pourrait donc bien être inspiré de la langue des grenouilles. Source
  15. L'association La Vaillante de Sampigny organise dans les rue du village, dimanche 29 juin 2014, sa huitième fête de la grenouille. En Lorraine, dans le village meusien de Sampigny, les habitants sont autorisés à chasser la grenouille toute l'année. La légende raconte que ce privilège aurait été donné par Henriette de Lorraine, dont les vestiges du château local porte aujourd'hui le même nom. En effet, le village étant très fréquenté par ces batraciens, la princesse qui n'arrivait plus à trouver le sommeil la nuit, faute de leurs coassements incessants, aurait ordonné aux habitants du village de les chasser toute l'année pour s'en débarrasser. Aujourd'hui, il n'est pas rare de croiser quelques grenouilles dans son jardin, ou par temps de pluie dans les rues du village. Cependant, la grenouille est plutôt devenue l'emblème du village que la proie de ses habitants ! La Vaillante L'association la Vaillante, organisatrice de la Grenouillade, est constituée de 200 membres, tous bénévoles. Cette grande manifestation familiale, qui a pour thème cette année le cirque, s'étend du matin jusqu'au soir. Le programme de la Grenouillade a pour but de divertir les petits et les grands par le biais d'une multitude d'activités et bien sûr de dégustation de cuisses de grenouilles. Elle se clora par un spectacle pyrotechnique d'une durée de 11 minutes intenses. La Grenouillade Après une première apparition en 1992, La Grenouillade, organisée par l'équipe municipale de l'époque, a connue un vif succès mais ne fut pas réitéré. En 2007, tout juste 15 ans après, La Vaillante, une association du village, a décidé de relancer l'événement dans l'espoir de le pérenniser. Source
  16. CHRONIQUE - Pour savoir si une eau est polluée, une chercheuse du Muséum national d'Histoire naturelle a mis au point des têtards fluorescents. Plus la pollution est importante, plus ils s'éclairent. Pour savoir si une eau est polluée, une chercheuse du Muséum national d'Histoire naturelle a mis au point des têtards fluorescents. Plus la pollution est importante, plus ils s'éclairent. Ils sont très utiles pour surveiller la qualité de l'eau potable ou de baignades sur les plages. Un gène de méduse pour éclairer la nuit Pour obtenir ces têtards, il a d'abord fallu créer des grenouilles transgéniques auxquelles on a ajouté un petit bout de gène de méduse qui permet à la méduse de s'éclairer la nuit. Puis, ces grenouilles font des têtards qui une fois placés dans l'eau produisent une lumière verte dès l'instant où ils rencontrent un polluant. Plus l'eau est polluée, plus la lumière est forte. Ça permet de détecter ce qu'on appelle les perturbateurs endocriniens, toutes ces molécules chimiques qu'on trouve dans les cosmétiques, les médicaments ou les pesticides et qui peuvent nous rendre malade. La boîte à grenouille Ces têtards très pratiques, c'est le professeur Barbara Dememeix, du Museum d'Histoire naturelle qui les a inventés. Ses recherches ont abouti a de vraies applications industrielles ; elle a notamment créé une PME, en région parisienne. Elle y emploie 15 personnes qui élèvent des batraciens et qui travaillent déjà pour plusieurs villes (Meulin, Corbeille, Pau) pour surveiller la qualité de l'eau dans les stations d'épuration. Ça marche très bien aussi pour contrôler l'eau potable ou les eaux de baignades près des plages. Au départ, sa technique consistait à prélever de l'eau dans une éprouvette, à mettre les têtards et les observer dans le noir. Aujourd'hui, elle a mis au point une machine qui fait tout toute seule, remplie de têtards en permanence, elle permet de contrôler l'eau 24 heures sur 24. Elle s'appelle Frogbox, ou "boîte à grenouille" ; elle est testée en ce moment à Bruxelles. Dès que les têtards s'éclairent, les techniciens de la ville sont alertés, ils savent que l'eau est polluée et qu'ils doivent la traiter. Source
  17. Des résidents de Florida City, en Floride ont réussi à capturer un immense python de 3,65 mètres de long, dans leur cour, jeudi. Pour arriver à coincer l'immense reptile, ils ont dû utiliser leur barbecue, le seul objet dans lequel ils ont été capables de l'enfermer, rapporte ABC. Les pompiers du comté de Miami-Dade ont été appelés par les résidents autour de 22h jeudi soir, alors que l'animal avait déjà été capturé, indique le porte-parole des pompiers, Arnold Piedrahita Jr. Le serpent sera remis à la Commission des poisons et de la vie sauvage de Floride, a indiqué le responsable. Le python birman, originaire de l'Asie du Sud-Est, est devenu une espèce envahissante en Floride. En raison de sa grande taille, il ne possède que deux prédateurs: l'homme et l'alligator. L'introduction de ces serpents dans les marécages de la Floride remonte à une vingtaine d'années, où ils ont été relâchés volontairement dans la nature par l'homme. Des experts estiment aussi que le problème pourrait remonter au passage de l'ouragan Andrew en 1992, puis à celui de Katrina au nord de Miami en 2005, dont les dégâts ont permis à de nombreux serpents de s'échapper des animaleries. Source
  18. Chaque espèce de grenouille a sa façon bien à elle de sauter. SAUT. Une grenouille qui saute, c'est une image familière. Mais elle n'est pas forcément bien représentée : toutes les grenouilles ne sautent pas à la même hauteur. Ainsi les grenouilles de la famille des Myobatrachidae sautent très haut mais couvre une petite distance. À l'inverse, les grenouilles asiatiques font des sauts peu élevés mais sur de grandes longueurs. Et les variations sont nombreuses selon les espèces. Les formes et sauts changent selon le milieu Pour étudier les sauts de ces amphibiens, une équipe de l'université nationale d'Australie a étudié environ 230 sauts de grenouilles appartenant à 30 espèces différentes. Ils ont été filmés avec deux caméras grande vitesse afin d'obtenir une vue tridimensionnelle. Les vidéos ont ensuite été analysées image par image par un logiciel informatique et différentes variables, dont la hauteur, la distance et la vitesse ont été mesurées. Les rainettes sautent haut mais sur une petite distance. Marta Vidal-Garcia. DISTINCTIF. Les résultats ont bien montré que les grenouilles de différents habitats adoptent des styles de sauts distincts. Cela s'explique en partie parce qu'elles ont des formes de corps spécifiques à leur milieu de vie. "Les grenouilles fouisseuses ont par exemple un corps très trapus et des membres courts", explique Marta Vidal-Garcia, principale auteure de l'étude. "C'est parce qu'elles occupent les milieux arides ce qui aide à minimiser les pertes d'eau par leur peau perméable". Les grenouilles fouisseuses ont des membres courts et trapus corps, limitant leur capacité de saut. Marta Vidal-Garcia. Les grenouilles aquatiques, elles, ont un corps plus affiné avec des membres plus longs pour améliorer la capacité de nager. La scientifique va poursuivre ses investigations sur le terrain afin d'évaluer plus d'espèces et de découvrir un lien formel entre morphologie, environnement et aptitude au saut. Source
  19. A la découverte des alligators dans les bayous de Louisiane avec Jo Mc Clarck... Pour fêter ses 25 ans, l'Aquarium du Périgord Noir a créé un immense espace d'animation de 1000 m2, baptisé Alligator Park. L'objectif : recrééer dans les moindres détails, l'univers de la Louisiane avec ses bayous, ses cabanes en bois, ses lianes et surtout ses mystérieux habitants : les alligators ! 5 à 6 bébés, 2 alligators de taille moyenne et 2 alligators adultes de 2.5 à 3 mètres. Allez hop c'est parti pour l'aventure sur les eaux du Mississipi avec Jo Mc CLack, célèbre chasseur d'alligators repenti ... L'Aquarium du Périgord noir est le plus grand aquarium d'eau douce à ciel ouvert d'Europe, c'est aussi 130 espèces de poissons représentant 6000 spécimens et 50 espèces de reptiles représentant 150 spécimens. 7 zones de découverte pour apprécier la biodiversité du monde aquatique Contact presse : Catherine Barberot - Tél : 01 34 08 22 47 com.enchant@orange.fr A 1h45 de Bordeaux et de Tulle, à 45min de Périgueux et à 2h d'Angoulême. www.alligator-perigordnoir.com Source
  20. Quelle surprise hier, quand une famille qui réside à Gond-Poutonvre a aperçu un serpent sur le bord de la fenêtre de la maison de la grand-mère. Alors qu’ils jouaient au football dans la cour, le petit-fils de notre lectrice et son papa ont aperçu ce qui ressemble à une couleuvre. L’animal mesurait entre 1 mètre et 1 mètre 10, de couleur jaune dessous et noir strié sur le dessus. Alertée, la mère de famille raconte qu’elle connaît les animaux et qu’elle n’a pas été effrayée du tout. Pas même des serpents. “Vous savez, les animaux ils sentent si vous avez peur”, précise-t-elle. Qu’à cela ne tienne, elle s’est alors saisie d’un morceau de bois, a attrapé l’animal puis l’a mis dans une boîte, avant de le relâcher. Et d'ajouter “Quand on le tient la tête on peut même les caresser”. Tout cela sous les yeux de son fils pour qui les serpents ne sont: “vraiment pas sa tasse de thé”. Source
  21. Les bouchons génitaux déposés sur la femelle après l'accouplement par les araignées mâles d'Oedothorax retusus sont-ils efficaces ? C'est la question à laquelle ont répondu des zoologistes allemands après un long travail d'observation au microscope électronique. Conclusion pratique (puisque la réponse est oui) : il y a peut-être moyen de s'en inspirer pour inventer une colle forte... D'une longueur d'environ trois millimètres, Oedothorax retusus est une araignée très commune en Europe vivant dans des habitats humides, comme les marais salants et les berges. Ici, on observe au centre les deux conduits de copulation sur la face ventrale d'un individu femelle. Melanie Witthuhn Sceller sa relation amoureuse avec sa compagne, le mâle de l'araignée Oedothorax retusus sait faire. Après avoir séduit sa dame, il dépose sa semence dans les deux conduits du réceptacle féminin, à l'aide de bulbes copulateurs placés au bout de sa première paire de pattes appelées pédipalpes. Puis, il referme l'orifice avec un produit durcissant. Cependant, cette stratégie n'empêche pas toujours d'autres prétendants de s'octroyer les faveurs de sa belle. Katrin Kunz, biologiste à l'université de Greifswald, en Allemagne, et ses collègues ont donc mené une étude méticuleuse sur l'efficacité réelle de la méthode du bouchon, publiée dans la revue Behavioral Ecology and Sociobiology. Les zoologistes ont observé les faits suivants : après avoir noté la durée de l'accouplement de mâles avec des femelles, ils ont présenté d'autres partenaires aux futures pondeuses. La seconde vague de mâles a tenté de s'accoupler avec elles dans 82 % des cas. Mais avec un succès bien moindre. Photographies au microscope électronique à balayage sur des femelles d'Oedothorax retusus d'un petit bouchon génital mâle (A), de bouchons plus larges et plus ou moins homogènes (B), (C), (E), abîmé après 67 tentatives de copulation par un mâle secondaire (D), en présence de spermatozoïdes de 3 micromètres environ (cercles rouges) (F) et (G). Katrin Kunz et al. Les bouchons génitaux font office de barrière mécanique aux rivaux En effet, seulement 32,5 % ont finalisé une véritable copulation, ce qui démontre l'efficacité mécanique des bouchons des précédents reproducteurs. La relation sexuelle avait plus de chances de se produire si elles succédaient à de courtes plutôt qu'à de longues premières copulations génératrices de bouchons plus épais, plus anciens et donc plus résistants. Les bouchons vieux de plus d'un jour se sont aussi révélés être un barrière plus forte. Toutefois, « l'accouplement n°2 » ne se traduit pas nécessairement par un dépôt de sperme, celui-ci ayant été observé au microscope électronique parfois réparti à l'extérieur des conduits, sur la région génitale femelle. Aussi, si le premier mâle à courtiser la femelle réussit à obstruer ses deux conduits sexuels, il augmente significativement le succès de la transmission de ses gènes à sa progéniture. Si Katrin Kunz et ses collègues ont découvert la glande qui sécrète la substance occlusive, ils souhaitent poursuivre l'étude des bouchons d'accouplement, notamment sur leur nature chimique en vue de s'en inspirer peut-être un jour pour synthétiser une colle performante. Source
  22. INTERVIEW - Samuel Martin, vétérinaire et directeur de la Ferme aux crocodiles, dans la Drôme, alerte sur la disparition des reptiles… Des sacs à main, des ceintures, des chaussures… Les crocodiles ont souffert de la chasse mais aujourd’hui c’est la destruction de leurs milieux naturels qui les menace de disparition. Des parcs zoologiques mènent des programmes scientifiques pour mieux connaître ces animaux et pouvoir, à terme, sauver quelques espèces de la disparition. Parmi eux, la Ferme aux crocodiles, dans la Drôme, dont le vétérinaire et directeur, Samuel Martin, nous explique comment on peut venir en aide aux crocodiles. Pourquoi les crocodiles sont-ils menacés de disparition? Sur les 23 espèces de crocodiles, une dizaine est menacée de disparition. Le gavial du Gange notamment, est classé en danger critique d’extinction par l’Union internationale pour la conservation de la nature. L’activité humaine joue un rôle majeur dans leur disparition, même si la chasse est aujourd’hui très contrôlée, mais c’est surtout l’érosion de leurs milieux naturels qui pose problème. Par exemple, en Indonésie, les plantations de palmiers remplacent les mangroves et les forêts à un rythme exponentiel et des espèces encore méconnues comme toutes les variétés de varans macrei risquent de disparaître avant même d’être caractérisées. Quelles actions sont mises en œuvre pour sauver les reptiles? Protéger les crocodiles sans protéger les marais et les rivières n’a pas de sens. Les projets de conservation doivent viser la préservation des milieux naturels et même s’ils s’appuient sur une espèce emblématique comme le crocodile, ils vont bénéficier à beaucoup d’espèces comme les libellules ou les vers d’eau qui n’attirent pas l’attention mais qui sont importantes dans les écosystèmes. Par exemple, au Bénin, nous travaillons avec une association locale qui agit à tous les niveaux: environnemental, social et culturel. Elle agit pour un meilleur accès à la santé des populations, une meilleure éducation à l’environnement et a financé un musée de la chasse pour que les chasseurs soient fiers de leurs activités tout en acceptant de prélever moins d’animaux sauvages. Ils font changer les points de vue peu à peu avec une approche transversale, et c’est ce qui marche le mieux. Des animaux qui séjournent chez vous sont-ils parfois réintroduits dans la nature? Cela peut arriver, en fonction des espèces, des contacts que l’on a sur place, de la qualité du milieu naturel… Pour l’instant, nous ne l’avons encore jamais fait avec des espèces exotiques, mais nous avons participé à la réintroduction de la cistude d’Europe menée dans le cadre du programme national de conservation de cette espèce de tortue. Nous avons récupéré des œufs prélevés dans la Brenne que nous avons mis dans notre centre de grossissement et environ cinq ans après, nous les avons relâchés dans le lac du Bourget, en Savoie. Source
  23. Le sort d'une minuscule grenouille à La Prairie, sur la Rive-Sud de Montréal, provoque des remous jusque dans la capitale fédérale. La ministre de l'Environnement est passée bien près de recommander un décret d'urgence pour protéger la rainette faux-grillon, menacée par un projet immobilier qui a cependant obtenu le feu vert du gouvernement provincial. Des documents obtenus en exclusivité par La Presse montrent en effet que les fonctionnaires d'Environnement Canada ont d'abord recommandé à la ministre Leona Aglukkaq de faire adopter un tel décret avant d'effectuer un virage à 180 degrés et de conclure que la rainette n'était pas menacée dans cette municipalité. Au même moment, Ottawa s'apprêtait également à dévoiler son plan de rétablissement, dans lequel La Prairie était identifiée comme un « habitat essentiel » pour la rainette. Parmi les quelque 500 espèces menacées au Canada, seules quelques-unes ont un plan de rétablissement, une mesure pourtant prévue par une loi fédérale. UN DÉCRET D'URGENCE REFUSÉ La rainette faux-grillon, une grenouille mesurant moins de 4 cm, est menacée par un projet immobilier évalué à 300 millions de dollars à La Prairie. Les travaux, qui ont obtenu toutes les autorisations du ministère québécois de l'Environnement, peuvent commencer dès aujourd'hui. La Ville affirme avoir répondu à toutes les exigences de Québec dans ce dossier et prévoit dépenser 5,3 millions pour un parc de conservation adjacent au lotissement où on aménagera des étangs de reproduction pour la rainette. Mais des groupes environnementaux contestent le projet, jugeant qu'il provoquera plutôt la disparition de l'espèce à La Prairie, qui abrite l'une des dernières populations de rainettes au Québec. En dernier recours, Nature Québec a demandé l'an dernier au ministre fédéral de l'Environnement de recommander un décret d'urgence pour protéger la rainette à La Prairie. Cette mesure exceptionnelle est prévue dans la loi fédérale sur les espèces en péril. La rainette faux-grillon est entrée dans ce triste palmarès fédéral en 2010. Au Québec, elle a le statut d'espèce vulnérable. Le dossier est maintenant devant la Cour fédérale où Nature Québec et le Centre québécois du droit de l'environnement (CQDE) ont déposé une demande de contrôle judiciaire pour contester le refus de la ministre de recommander un décret d'urgence. UN VIRAGE À 180 DEGRÉS La Presse a obtenu les documents déposés à la cour par Environnement Canada. Dans une note de 10 pages à la ministre Aglukkaq, le sous-ministre de l'Environnement, Bob Hamilton, recommande d'envisager l'adoption d'un décret d'urgence. « Notre évaluation a aussi permis de découvrir qu'il y a des signes évidents d'un danger imminent pour l'espèce et ses habitats et qu'il n'y a aucune mesure d'atténuation en place face à cette menace pour l'espèce. » La note critique aussi Québec dans ce dossier. « Le gouvernement du Québec dispose des outils légaux pour protéger la rainette faux-grillon à La Prairie, mais la province n'a pas démontré la volonté de les utiliser ». Le sous-ministre conclut alors que la ministre a l'obligation légale de recommander un décret d'urgence si elle juge que l'espèce fait face à une « menace à sa survie ou à son rétablissement ». Dans une note suivante, Bob Hamilton propose plutôt à sa patronne un virage à 180 degrés. Il recommande de faire parvenir une lettre aux demandeurs du décret d'urgence indiquant que le projet de lotissement immobilier à La Prairie ne menace pas la survie de l'espèce ailleurs au Québec et en Ontario. UN PLAN DE RÉTABLISSEMENT EN RETARD DE DEUX ANS Parmi les documents déposés en Cour fédérale se trouve aussi le plan de rétablissement pour la rainette faux-grillon proposé par Ottawa. Celui-ci identifie entre autres la trentaine d'habitats jugés essentiels pour l'espèce au Canada, dont celui de La Prairie. Les documents confirment aussi qu'Ottawa était prêt à rendre public son plan. Selon un fonctionnaire qui travaille dans la région de la Capitale nationale, le plan avait franchi toutes les étapes au Ministère, « mais on a décidé de le retourner à la case départ, sans aucune explication ». Selon la loi sur les espèces en péril, le plan de rétablissement pour la rainette faux-grillon aurait dû être publié en 2012. Récemment, le commissaire fédéral à l'environnement, Neil Maxwell, concluait que le gouvernement Harper manquait à ses obligations légales et que, sur les quelque 500 espèces menacées au Canada, seulement quelques-unes avaient un plan de rétablissement. Interrogé par La Presse, Environnement Canada a finalement annoncé il y a une douzaine de jours que le plan de rétablissement sera disponible en juillet pour une période de consultation publique de 60 jours. QUÉBEC S'INQUIÈTE POUR LA RAINETTE Par ailleurs, des fonctionnaires provinciaux s'inquiètent de l'avenir de la rainette à La Prairie même si le projet a obtenu le feu vert de Québec. Dans un courriel obtenu par La Presse, daté du 14 février dernier, la coordonnatrice des espèces menacées pour l'Estrie, Montréal et la Montérégie au ministère de l'Environnement reconnaît que les certificats d'autorisation délivrés par son Ministère ne permettront pas le « rétablissement de l'espèce ». « On se rend bien compte maintenant que ce plan de conservation va au mieux permettre le maintien de cette population, mais ne favorisera probablement pas pas son rétablissement. [...] J'espère aussi qu'on pourra faire mieux pour la rainette dans les prochains projets », admet-elle. Le gouvernement du Québec savait pourtant depuis au moins 12 ans qu'un éventuel développement immobilier dans le Bois de la commune, à La Prairie, constituait un risque majeur pour l'espèce. Un plan de conservation préparé par la Société de la faune et des parcs, en 2002, concluait alors qu'« il est nécessaire d'assurer la conservation des habitats naturels en tout premier lieu ». Le document précisait aussi que des mesures de compensation, comme l'aménagement d'étangs de reproduction pour la rainette, ne devaient pas « constituer une alternative valable pour compenser le remblayage de sites naturels d'une espèce en difficulté dans un secteur donné ». Source
  24. Afin de savoir de quelle façon et à quelle fréquence les tortues utilisent le soleil, des chercheurs ont disposé des puces électroniques sur les carapaces des reptiles pour enregistrer leur température interne Après avoir accueilli des écoliers dans le cadre de leurs sorties scolaires ou encore des familles visitant le parc pour se détendre le week-end, le centre zoologique A Cupulatta a reçu deux chercheurs venus des États-Unis. Pendant deux jours, Elenia Chiari, professeur à l'université de South Alabama, et le scientifique Scott Glaberman se sont intéressés de plus près à quatre-vingt-six tortues réparties parmi sept espèces différentes. Pourquoi venir exprès des États-Unis pour étudier les tortues en Corse ? « C'est le seul parc où on peut trouver autant d'espèces », explique joyeusement Elenia Chiari. Comme chacun sait, la température interne des reptiles dépend du milieu dans lequel ils évoluent. Ainsi, les tortues se servent d'un phénomène extérieur pour réguler leur température. Pas de contraintes Pour savoir de quelle façon et à quelle fréquence ces animaux utilisent le soleil, les scientifiques avaient en leur possession des « data log ». Ces puces électroniques à peine plus grandes qu'un ongle qui permettent d'enregistrer la température interne des tortues ainsi que celle du milieu dans lequel elles évoluent. Les données sont enregistrées toutes les vingt minutes. Disposées sur le haut de la carapace, grâce à de la résine préalablement malaxée, les puces n'entravent en rien le quotidien de l'animal. Si par hasard l'une d'elles tombe, les scientifiques pourront tout de même exploiter son contenu car les « data log » sont numérotées en fonction du reptile sur lequel elles sont installées. À la fin de la période d'observation, prévue à l'issue du mois de septembre, les puces électroniques seront lues sur un ordinateur grâce à un logiciel et à un adaptateur spécial. À la suite de quoi, les chercheurs seront en mesure d'expliquer comment les tortues s'adaptent à leur environnement. Recherchent-elles ardemment le soleil ? Les espèces tropicales sont-elles aussi à l'aise que les espèces locales ? Les scientifiques espèrent avoir la réponse d'ici la fin de l'année. L'occasion aussi pour A Cupulatta,premier parc zoologique de cet acabit en Europe, de s'adapter aux besoins de ses invités et de leur procurer le meilleur environnement possible. D'autre part, cette étude précisera peut-être si la température des tortues mâles augmente de manière considérable en cette période estivale aussi synonyme de reproduction. Source
  25. Ginny M. Griffith est une américaine de 34 ans vivant à Hutchinson (Kansas, Etats-Unis), elle a été arrêtée pour avoir mis le feu à son appartement, son crime : être arachnophobe. A l’aide d’un briquet, elle a enflammé des serviettes pour tuer une araignée mais malheureusement, un incendie s’est déclaré. D’autres personnes qui habitaient le duplex ont été secourus par les pompiers. J’ai voulu tuer l’araignée pour éviter qu’elle ne revienne un jour dans l’appartement. [...] Je voulais m’assurer que d’éventuels œufs ne puissent pas éclore chez moi. — Ginny M. Griffith Grâce à l’intervention rapide des pompiers, le drame a été évité. Ginny est actuellement en prison jusqu’à son passage devant le juge. Source
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