Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Max|mum-leterrarium

Membres
  • Compteur de contenus

    12 143
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Dire que cet homme a une peur bleue des araignées n'a rien d'exagéré. Alors, quand son amie lui demande de s'en débarrasser... La scène se déroule en Angleterre. Un homme, qui a découvert une grosse araignée sur le mur de sa salle de bain, n'a de choix que de s'en débarrasser. Une opération qui ne nécessite a priori rien de particulier sinon un balai ou tout autre objet permettant de neutraliser l'animal. Sauf que pour notre arachnophobe, il faudra également beaucoup, beaucoup de courage! Et avec une femme qui filme son "exploit" en s'étranglant de rire, il n'est pas aidé! Tétanisé, les mains crispées sur une barre métallique, il va tout de même finir par la faire tomber! Mais on est sans nouvelle de l'araignée, qui a dû prendre ses ( jambes à son cou après une telle rencontre! Homme effrayé par une araignée dans ses WC par Spi0n Source
  2. Deux golfeurs ont filmé une scène totalement hallucinante. En effet, ces deux alligators se lancent dans un duel sans merci ! Ces deux alligators se lancent dans un terrible duel. Une scène impressionnante ! par Ohmymag En Floride, ces deux alligators savent montrer à quel point leur rivalité est féroce. En effet, s'ils se battent avec une telle vigueur, c'est parce que chacun essaye de défendre son territoire et de montrer à l'autre qui est le patron. Une bataille dont le plus gros alligator sortira finalement vainqueur ! Source
  3. Au coeur du parc national Kruger, en Afrique du Sud, un boomslang, ou serpent des arbres cherche sa proie favorite : un caméléon. Et c'est au détour d'une route qu'il met enfin la main dessus. Mais le caméléon est bien décidé à ne pas finir dans l'assiette de ce serpent très venimeux... Un duel étonnant entre un serpent et un caméléon par Gentside Découverte Qui du caméléon ou du boomslang sera votre challenger ? A première vue, lors d'un combat entre les deux animaux, le premier est généralement perdant puisqu'il figure principalement au menu du second. Le boomslang est l'un des serpents les plus longs d'Afrique et sa peau camouflage fait de lui un chasseur expérimenté. Avec son venin puissant, sous forme d'hémotoxine, ses victimes n'ont pas une chance et finissent par perdre tout leur sang. Le caméléon, de son côté, n'est pas un animal inoffensif pour ses proies. Chez lui, langue protractile plus capacité à changer de couleur égal... déjeuner ! Son petit plus ? Des yeux qui peuvent repérer nourriture et danger dans à peu près toutes les directions. A gauche, nous avons donc le boomslang. Et à droite, le caméléon, qui malheureusement, ne fait pas le poids face au serpent, malgré sa taille. Retourné dans tous les sens par le boomslang et probablement mordu à plusieurs reprises, le caméléon semble désorienté, sans échappatoire. Il tente tout de même d'attraper le serpent par la queue, mais, tout à coup, apparaît sonné et cloué sur place alors que le boomslang s'éloigne. L'histoire ne dit pas qui du boomslang ou du caméléon a réellement remporté le combat. Toutefois, même si le venin du serpent n'est pas fulgurant, le caméléon a sûrement eu du mal à survivre. Source
  4. Dans notre édition du 25 juin dernier, nous alertions nos lecteurs sur les abandons des nouveaux animaux de compagnie, en prenant l'exemple d'une couleuvre et d'un caméléon trouvés en liberté. Sur la photo de notre article figurait le petit caméléon retrouvé à Desvres. Quelques jours après parution, le propriétaire dudit caméléon a contacté notre rédaction : « Votre article était illustré de la photo de mon caméléon, "Louis" ! J'ai immédiatement pris contact avec Opale Capture environnement, en leur expliquant que Louis, apprivoisé, avait l'habitude de rester en liberté chez moi. Mais la porte de ma véranda s'est malencontreusement ouverte. Louis s'est enfui... J'étais désemparé et je n'espérais plus le retrouver! Par bonheur, je l'ai récupéré au refuge des animaux et je tenais à vous remercier.» Quand on peut rendre service... Et tout est bien qui finit bien ! Source
  5. Tragique incident dans la ville ocre. Le 1er juillet, une bousculade provoque le décès de deux vieilles femmes et une dizaine de blessés. Le drame a eu lieu en soirée, lors des habituelles prières surérogatoires, « Tarrawih », dans une école qui fait office de mosquée dans le quartier de Sidi Youssef Ben Ali à Marrakech. Dans son bulletin d’information en français, Al Aoula est revenu sur l’affaire. On y apprend que la cause principale de l’incident est une piqûre de scorpion qu’une femme a ressenti, avant de courir en criant, faisant paniquer les dizaines de personnes qui étaient sur place pour prier. Source
  6. Nos Diables rouges n’iront certainement pas célébrer leur victoire sur l’île brésilienne de Queimada Grande. Elle n’est pourtant qu’à quelques encablures de Sao Paolo. Mais ce rocher verdoyant est interdit par le gouvernement brésilien. Car c’est là que vit une espèce de serpents au venin tellement puissant qu’il est capable de faire fondre la chair humaine. C’est sur l’île de Queimada Grande que vit l’espèce de serpents la plus dangereuse au monde, nous apprend le Daily Mail. La « vipère d’or » a fait pas mal de morts avant que le gouvernement brésilien interdise carrément l’accès à cet îlot au large de Sao Paolo. Le venin de ce serpent est non seulement mortel mais il est tellement puissant qu’il peut faire fondre la chair humaine. La vipère d’or se nourrit des petits animaux vivant sur l’île et des oiseaux qu’elle parvient à attraper. Les seuls visiteurs de l’endroit sont quelques scientifiques autorisés à s’y rendre afin d’étudier ces serpents car on ne sait toujours pas pourquoi ils sont tellement dangereux, bien plus encore que toutes les autres espèces. La marine brésilienne se rend aussi parfois à Queimada Grande pour entretenir le phare qui s’y trouve. Source
  7. Qui aurait cru qu'une petite araignée pouvait dévorer un gros poisson ? Voici un sujet fascinant à découvrir... sur la Toile : le mode de vie des araignées piscivores ! Car oui, les araignées sont très gloutonnes, parfois... Des chercheurs suisses et australiens, spécialisés dans l'étude de l'alimentation des araignées vivant près des cours d'eau, viennent de faire une découverte étonnante. Dans la revue scientifique en ligne Plos One, ces derniers mettent en lumière la façon dont certaines espèces semi-aquatiques, habituellement insectivores, peuvent se nourrir de poissons. Comment ces arachnides s'y prennent-ils ? Dépourvues de dents, les araignées n'ont pas la possibilité de mastiquer, ce qui rend impossible le fait d'avaler un poisson. Pourtant, grâce à un mode de digestion externe, elles peuvent manger des poissons bien plus imposants qu'eux. Pour ce faire, l'araignée paralyse sa proie avec son venin. Elle lui injecte, ensuite, des sucs gastriques pour la dissoudre. Devenu liquide, le poisson pourra facilement être aspiré. Comment les araignées parviennent-elles à capturer leurs proies ? Ce que l'on peut déjà dire, c'est qu'elles ne pêchent pas à la mouche et qu'elles ne jettent pas leur filet (ou plutôt leur toile) dans les étangs ! Dotées d'une infinie patience, qui est leur principal atout, elles guettent leur future victime. Cette pêche est rendue improbable par la taille imposante des poissons auxquels l'araignée s'attaque. Ces araignées ont, ainsi, parfaitement su s'adapter au milieu semi-aquatique : certaines marchent sur l'eau, quand d'autres se laissent, tout simplement, pendre au bout de leur fil, au-dessus des mares. De cette façon, quand un poisson passe à proximité, l'araignée s'en saisit et lui injecte son venin paralysant... avant d'entamer sa digestion si particulière. Voilà une info insolite qui ne devrait pas rassurer les plus arachnophobes d'entre vous ! Source
  8. Un épouvantable alligator doté de deux têtes à été découvert en Floride. La monstrueuse créature a été aperçue sur les bords de la rivière Hillsborough. Un corps couvert d'écailles et deux têtes dotées chacune d'une machoire terrorisante. Même dans le plus fou des scénarios, un réalisateur n'aurait osé imaginé une créature aussi épouvantable. A moins qu'il ne s'agisse d'une fake habile, c'est pourtant bien un alligator bicéphale qui a attiré l'attention de curieux sur une rivière de Floride à la fin de la semaine dernière. A l'origine du monstre, un phénomène aussi rare que naturel : en l'occurence un "bug" dans la duplication des cellules lorsque l'alligator, alors minuscule, logeait encore dans son oeuf. Source
  9. La réserve naturelle de la vallée de Chaudefour a lancé un suivi de la vipère péliade, une espèce dont la population se porte plutôt bien aujourd'hui mais que le réchauffement climatique menace. L' inventaire est fait par les naturalistes de la société d'histoire naturelle Alcide-d'Orbigny. La vallée de Chaudefour, est l'une des quatre réserves naturelles nationales du Parc naturel régional des Volcans d'Auvergne. La réserve a pour mission la sensibilisation du public, la protection du patrimoine naturel et sa gestion. C'est pour mieux gérer qu'elle a besoin de connaître les populations d'espèces qui vivent là. L'inventaire de la vipère péliade s'est donc imposé, mais avec un protocole particulier, mis en place avec l'expertise de la société d'histoire naturelle Alcide-d'Orbigny. Depuis un an que l'inventaire a commencé, la société d'histoire naturelle Alcide-d'Orbigny a déjà recensé plus de 150 specimens de vipères péliades sur les 1 000 hectares de la réserve naturelle. On voit la vipère péliade lorsqu'elle s'expose au soleil pour se réchauffer, on la trouve à une altitude plus élevée que l'autre espèce de vipère qui vit dans la réserve : l'aspic. Toutes les vipères péliades vivant sur seront donc recensées et elles feront ensuite l'objet d'un suivi annuel, pour voir l'évolution et les déplacements de la population. les données seront utiles à la gestion du site. Aujourd'hui les prédateurs pour ces vipères sont les rapaces, dont le circaète Jean-le-Blanc, et l'homme. Mais le danger principal pour l'espèce est le réchauffement climatique qui l'oblige à remonter en altitude. Dans la vallée de Chaudefour il lui reste 500 mètres avant le sommet. Source
  10. Francesca, Flamme, Flot, Flûte, Futé et Fossette seront relâchées à 9h30 depuis la plage de la Conche des Baleines, dans l'île de Ré Francesca, tortue caouanne de 100 kilos, avait rejoint le Centre d'études et de soins pour les tortues marines de l'aquarium de La Rochelle le 14 avril "Francesca", la tortue caouanne de 100 kilos qui avait rejoint le Centre d'études et de soins pour les tortues marines (CESTM) de l'aquarium de La Rochelle le 14 avril, rejoindra le large ce mercredi, à 9 h 30, après plusieurs années passées à Océanopolis, à Brest. L'aquarium breton avait recueilli l'animal échoué sur une plage du Morbihan, en 2002. Les tortues "Flamme", "Flot", "Flûte", "Futé" et "Fossette" seront à ses côtés après plusieurs mois passés au CESTM de La Rochelle. Le relâcher a lieu depuis la plage de la Conche des Baleines, dans l'île de Ré. L'événement sera survolé et filmé pour la première fois par un drone. Depuis le début de la semaine, l'Aquarium de La Rochelle publie des nouvelles des tortues marines avant ce grand retour au large. En voici quelques unes, publiées sur Twitter : Flot première tortue verte à être remise à l'eau par l'#aquariumlarochelle baptisée par les enfants #Argonimaux Source
  11. Des scientifiques israéliens ont découvert que les terriers scorpion ont une plate-forme sur laquelle se réchauffer avant la chasse au soir. TERRIER. Les scorpions Maurus palmatus du désert du Néguev, en Israël, passent une partie de leur journée au frais dans leurs terriers. Le soir venu, ils sortent pour aller chasser mais pour ne pas prendre un coup de chaud, ils passent avant dans une plate-forme de chauffage pour augmenter leur température corporelle. Un terrier high-tech Pour comprendre la structure des terriers des scorpions, des scientifiques de l'université Ben Gourion ont capturé des spécimens puis ont coulé de l'aluminium dans leur habitat. Une fois le métal solidifié, ils ont récupéré les moulages pour les étudier à l'aide d'un scanner laser 3D. Leur étude révèle une conception très sophistiquée. Chaque terrier possède une entrée verticale qui aboutit quelques centimètres plus bas sur une plate-forme horizontale. Cette zone permet aux scorpions de se réchauffer avant de quitter leur terrier en quête de nourriture. Comme les autres animaux ectothermes, les scorpions utilisent l'énergie de l'environnement pour réguler leur température interne. GALERIE. Après la plate-forme, une galerie descendante conduit à une chambre sans issue conçue pour rester fraiche et humide. Les scorpions peuvent s'y protéger de la chaleur diurne sans perdre trop d'eau. Cette conception est commune à tous les terriers analysés, ce qui suggère que l'adoption de ce type de structure est le résultat d'un processus évolutif sélectionné au court du temps pour répondre aux besoins physiologiques des animaux. "On sait très peu de choses sur les terriers", explique Amanda Adams, qui a dirigé l'étude. "Nous prévoyons d'étendre nos études à plusieurs espèces de scorpions dans le monde pour vérifier si la structure des terriers est similaire" conclut-elle. Source
  12. Les araignées vous terrifient? Une exposition new-yorkaise devrait vous réconcilier avec ces prédatrices, brisant le mythe hollywoodien selon lequel elles sont dangereuses. L'arachnophobie, la peur irrationnelle des araignées, touche des dizaines de millions de personnes dans le monde, en particulier des femmes. C'est une des phobies les plus communes du monde occidental. Pourtant, selon les scientifiques, les aranéides à huit pattes, tarentules et scorpions inclus, ne sont pas dangereuses pour les humains, éloignent les insectes et peuvent même aider à soigner certaines maladies. Vingt espèces vivantes sont les stars de la nouvelle exposition du Musée d'histoire naturelle à New York, qui abrite déjà habituellement la plus grande collection d'araignées au monde. "Spiders Alive!" ("Araignées vivantes"!), qui s'ouvre le 4 juillet, jusqu'au 2 novembre, permet aux visiteurs d'approcher araignées, tarentules et scorpions, de poser des questions, et d'évoquer leurs peurs. Le conservateur de l'exposition, Norman Platnick, arachnologue de réputation mondiale, invite tout particulièrement ceux qui en ont peur à venir les découvrir. "Je pense que la peur est une chose apprise, et c'est irrationnel", explique-t-il à l'AFP, en imputant la faute aux parents et aux médias. - Aider à soigner l'épilepsie? - "Nous avons tous cette image d'Hollywood, d'une tarentule avançant sur la poitrine de James Bond, et on nous fait croire qu'il est en danger, alors que le seul danger, c'est qu'il ait des démangeaisons", ajoute-t-il. "Cet animal ne va absolument pas le blesser", s'amuse-t-il, en évoquant le film de 1962 "James Bond 007 contre Dr No", dans lequel Dr No ordonne que James Bond - interprété par Sean Connery - soit tué avec une tarantule. "Spiders Alive!" présente ses araignées comme des "créatures jolies et fascinantes, extrêmement utiles à l'homme". En tuant de nombreux insectes, elles ont permis à l'homme de se développer, explique Norman Platnick. Sans elles, les populations humaines seraient moins nombreuses, voire inexistantes. Plus anciennes que les dinosaures, elles ont commencé à évoluer il y a plus de 300 millions d'années. Une des araignées exposée au Musée d'histoire naturelle de New York a été emprisonnée dans la résine il y a 20 millions d'années. Un fossile calcaire d'araignée date d'il y a 100 millions d'années. Si beaucoup d'espèces possèdent des glandes à venin, moins d'1% des 43.000 espèces connues sont dangereuses pour l'homme, selon le musée. Et elles ne sont pas non plus enclines à mordre ou à se battre. Selon Norman Platnick, beaucoup sont trop petites pour pénétrer la peau humaine, et les morsures de celles qui le peuvent n'auront quasiment pas d'effet. A quelques exceptions près: parmi les araignées de l'exposition, quatre veuves noires, araignée venimeuse endémique en Amérique du Nord, qu'on trouve au bord des routes ou dans les jardins. Elles mangent généralement les mâles après l'accouplement, d'où leur nom. Leur venin est très toxique. Mais les autres araignées sont plutôt bonnes pour la santé. Certaines composantes de certains venins sont ainsi utilisées pour la recherche neurologique, qui pourrait offrir des traitements potentiels de maladies telle l'épilepsie. Une protéine dans la tarantule rose du Chili peut aussi aider à réguler les battements du coeur. "Nous connaissons au mieux la moitié de ce qu'il y a" de possible, dit encore Norman Platnick. "Chaque matin je peux venir ici, regarder dans mon microscope, et voir quelque chose que je n'avais encore jamais vu. Et souvent je vois des choses que personne n'a encore jamais vues, ce qui les rend d'autant plus fascinantes". Source
  13. Comment garder son sang-froid lorsque l’on tombe nez à nez... avec un reptile au sang froid ? Il aurait fallu poser la question à la demoiselle qui, mercredi, a fait la découverte sur sa terrasse, en ouvrant sa baie vitrée. L’animal, un jeune python d’environ un mètre, aura déserté ses propriétaires auxilois pour se faufiler sur une propriété voisine, dans la résidence Papillon. Contactés dans la matinée, les sapeurs-pompiers d’Auxi ont pris les dispositions nécessaires. « On l’attrape avec une pince et on le met dans un sac de jute ou dans un seau avec un couvercle », explique l’un des secouristes. Transporté à la clinique vétérinaire, le python a depuis été retourné à ses maîtres. S’il avait été impossible de mettre la main dessus, ce dernier aurait été envoyé par Colissimo à la Ligue de protection des animaux à Calais. Mais, bien qu’il n’existe pas en la matière de registre d’identification, le domicile des propriétaires n’aura pas été difficile à retrouver : dans la commune, les serpents ça ne court pas les rues... normalement. Source
  14. Méfiez-vous de l'eau qui dort ! Alors qu'un kayakiste vogue sur des eaux paisibles en Floride, son embarcation est soudain attaquée par un alligator. Un kayakiste se fait attaquer par un alligator en Floride par Gentside Voyage Dans les eaux douces du sud des États-Unis, les alligators sont légion. Mais cela n'empêche pas les plus intrépides de pratiquer des activités nautiques qui ne sont pas sans risques. La preuve avec ce kayakiste, à Cassleberry, en Floride. Tranquillement installé dans son kayak et équipé d'une caméra fixée à sa casquette, il est soudainement attaqué par un alligator sorti des eaux sombres. Plus de peur que de mal pour le malheureux et son chien, qui se trouvait alors dans l'eau... Source
  15. DÉCOUVERTE - Des chercheurs ont compris comment les salamandres arrivent à faire repousser leurs membres perdus. Un espoir pour les personnes amputées ? Certains animaux de la famille des amphibiens comme le poisson-zèbre, l'étoile de mer ont la capacité de se régénérer après une blessure ou une perte de membre. Mais le champion de la régénérescence, c'est la salamandre. Elle est capable de se re-fabriquer une patte, un museau mais aussi un œil ou même de la moelle épinière. Cette capacité de se régénérer intéresse bien sûr les chercheurs car elle peut améliorer le traitement médical des blessures ou des amputations. Les résultats d'une étude portant sur la salamandre, menée par des scientifiques de la University College London et rapporté par le site Gentside Découvertes, a identifié un processus, nommé "Extracellular signal-regulated Kinases" (ERK) capable de reprogrammer des cellules en vue de se multiplier. Retour dans le passé. Lorsque la salamandre perd une patte, un amas de cellules se constitue à l'endroit même de l'amputation et ces dernières reconstruisent le membre. Le processus ERK s'actionne alors. À la base, les cellules sont différenciées, c'est-à-dire qu'il existe par exemple des cellules musculaires, des cellules de foie, des cellules d'articulation osseuse. Lors de la régénérescence, le processus ERK permet aux cellules de faire un retour dans le passé. Elles reviennent à l'état embryonnaire et perdent leur spécificité (musculaire, articulaire…) mais elles gardent en mémoire ce qu'elles étaient. Ensuite, en se multipliant, elles reconstruisent le membre manquant et retrouvent leur identité. Régénérer de l'humain. L'être humain a une capacité de régénérescence limitée. En cas de blessure superficielle, il peut certes fabriquer de la nouvelle peau sans laisser de marques. Mais en cas de blessures plus graves ou d'amputation, une matière solide apparaît, composée de protéines de collagène, qui se recouvre de peau : c'est ce qu'on appelle les cicatrices. J'ai un bras qui pousse. Si les chercheurs vont expérimenter l'ERK sur des souris, il existe des obstacles pour de possibles applications futures sur l'humain. D'abord, le processus de l'ERK existe seulement de manière éphémère chez les mammifères. Une stimulation sur l'ADN des cellules au niveau de la blessure permettrait cependant de renforcer ce processus ERK. Le deuxième obstacle concerne la durée de régénérescence. La salamandre met plus d'une année à régénérer un membre perdu. Au vu de la taille plus importante des membres humains, un amputé du bras, par exemple, devrait attendre 20 ans pour avoir son nouveau membre. En fait, le processus ERK pourrait au mieux permettre de guérir plus vite d'une blessure, sans laisser de cicatrices. Source
  16. Jeudi, vers 16h30, les pompiers de Dour ont été appelés à la place Verte pour une intervention quelque peu spéciale. Une dame, qui revenait de chez une amie, a retrouvé une mygale dans son sac! Jeudi, vers 16h30, les pompiers de Dour ont été appelés à la place Verte pour une intervention quelque peu spéciale. Une dame, qui revenait de chez une amie, a retrouvé une mygale dans son sac (son amie en possède). «Quand elle s’en est rendu compte, elle a tout jeté en l’air. À notre arrivée, la mygale était morte, sur la route», nous expliquent les pompiers. Source
  17. Vendredi matin, la police et les pompiers ont été alertés sur la présence d'un serpent, au croisement de la rue du Nouveau Monde et de la rue Winston Churchill. Repéré en fin de matinée, le serpent de 70 centimètres de long, au comportement agressif, a été capturé par les sapeurs pompiers. Il a ensuite été transféré dans un cabinet vétérinaire. Il s'agirait d'un N.A.C, "nouvel animal de compagnie". Á l'heure actuelle, l'identité du propriétaire de l'animal n'est pas connue. Source
  18. A Manitoba se trouve le nid de serpents le plus dense du monde. Appelé le Narcisse Snake Dens, il se situe précisément dans cette région du Canada en raison du climat que les serpents apprécient tout particulièrement. DGS vous explique tout sur ce rassemblement spectaculaire de reptiles.A Manitoba, au Canada, existe une réserve protégée dans laquelle se logent plusieurs dizaines de milliers de serpents. Bien que ce ne soit pas si surprenant que ça, comme l’explique Bob Mason, un scientifique en charge du programme de biologie de l’université d’Etat de l’Oregon.Selon le National Geographic : « Chaque année, des milliers de serpents se regroupent au Narcisse Snake Dens, à Manitoba, Canada. L’endroit est connu pour accueillir la plus grosse concentration de serpents au monde. Le climat de Manitoba et sa géologie en font l’endroit parfait pour les couleuvres rayées. Le lieu est devenu une attraction touristique mais c’est à réserver à ceux qui ont le cœur bien accroché. » Les raisons pour lesquelles ces reptiles se concentrent à cet endroit sont en partie dues à la zone géographique. Le nid est situé dans une région très froide du Canada, celle-ci entourée de différents lacs. En hiver, les températures atteignent jusqu’à -45 °C ! Des températures excessivement froides que les serpents ne peuvent pas supporter. En revanche, la réserve est construite de telle sorte que les reptiles peuvent se cacher sous la surface afin de se protéger du gel. Le Narcisse Snake Dens est le seul endroit de la région à offrir ce confort, tous les serpents s’y réunissent donc. Brrr, cet océan de serpents nous a donné la chair de poule ! Bien que certains soient fascinés par ces reptiles et qu’ils se verraient bien aller faire un tour près de leur nid, d’autres sont beaucoup plus réticents… En tout cas, nous sommes heureux de savoir qu’il existe un endroit spécialement pour eux dans lequel ils se sentent bien. Aimeriez-vous vous balader dans un paysage infesté de serpents ? Source
  19. Des chercheurs militaires ont développé une technologie permettant de grimper aux murs très facilement. Ce système est inspiré des geckos, de petits lézards capables de se déplacer sur des parois verticales. DGS vous explique tout sur Z-Man, le programme qui défie les lois de la gravité.L’exploit d’un homme réussissant à escalader une paroi verticale en verre uniquement équipé de petites palettes date de 2012, mais il n’a été annoncé que très récemment par la DARPA, une agence militaire américaine spécialisée dans la conception de projets innovants. Cette fois, l’inspiration n’est pas venue des grands auteurs de science-fiction, mais de la nature. D’un lézard plus particulièrement : le gecko.Ce reptile escalade les parois sans aucun problème grâce à ses pattes. Les doigts se terminent par de minuscules poils (quelques dizaines de microns) présents par millions et composés de kératine. Au bout, les poils sont divisés en plusieurs fibres encore plus petites (quelques centaines de nanomètres) dont l’extrémité a une forme de spatule. Appelé adhérence sèche par les chercheurs, ce phénomène permet aux geckos de courir sur les murs et les autorise à poser la patte jusqu’à 10 fois par seconde. Le dispositif mis au point par la DARPA (anciennement appelé « geckskin) est composé essentiellement d’un polymère très répandu, le polydiméthylsiloxane, que l’on trouve dans des shampooings ou des aliments. Si on fabrique une surface de 40 cm² recouverte de ce matériau, il est possible de suspendre une charge de 317 kg sur une paroi verticale. C’est donc en février 2012 qu’un homme a réussi à grimper sur un mur de verre, équipé des palettes créées sous le nom de Z-Man. Une véritable prouesse technologique !Cette innovation a été conçue dans un premier temps pour aider les soldats à franchir de grands obstacles sans avoir besoin d’installer d’échelles ou de cordes. Elle pourrait pourtant servir aussi dans des domaines du quotidien absolument pas liés à la guerre. On imagine facilement l’industrie et même la médecine utiliser ce genre de technologie. Nous sommes très impressionnés par le système Z-Man et nous aimerions beaucoup le tester nous-mêmes. Espérons que cette innovation se démocratise et se répande dans tous les secteurs où elle pourrait être utile. Nous félicitons les chercheurs qui ont mis au point ces accessoires adhésifs et nous remercions les geckos de nous avoir inspirés pour développer un tel dispositif . Aimeriez-vous escalader les murs à volonté aussi facilement qu’un lézard ? Source
  20. Un serpent a semé l’émoi, hier après-midi, au siège du gouvernorat de Kairouan. Faisant environ un mètre de long, le serpent a été trouvé par un fonctionnaire dans l’un des couloirs du gouvernorat. Ce qui n’a pas été sans susciter une grande terreur au point d'acculer le gouverneur à interrompre son séminaire régional des délégués pour comprendre ce qui se passait dans son administration. A noter que le siège du gouvernorat a retrouvé son calme après avoir tué la bête. Source
  21. Un boa constrictor de 2m40. La famille Camacho a importé quelques spécimens rares de son reptilarium des Landes (photos V.B.) Même pas peur ! C’est ce que vous disent les passionnés de reptiles. Il en existe bien plus qu’on ne le croit à la Réunion, des détenteurs de serpents, couleuvres et autres iguanes sauvages. Pas facile pourtant pour les amateurs de se procurer ces nouveaux animaux de compagnie, comme on les appelle communément. Leur vente est en effet soumise à une réglementation très encadrée. Pour les serpents par exemple, seules les spécimens de moins de trois mètres, non venimeux, peuvent être commercialisés. Dans la famille des lézards, l’introduction des agames (geckos, caméléons) est prohibée en raison du risque de prolifération. Ces reptiles, la majorité des animaleries de l’île n’en vendent plus, à l’exception de quelques adresses, dont une bien connue à Saint-Denis. « Je propose encore quelques espèces de serpent comme des pythons ou des lampros mais je les expose dans mon bureau car ça fait peur à certains clients, indique François Cheng, patron de l’animalerie éponyme. Le spécialiste affirme que la demande locale pour ces animaux est moins forte qu’auparavant ». La faute aux contraintes de détention, la faute aussi à l’émoi suscité par quelques échappées non maîtrisées...Souvenez-vous, il est arrivé que les pompiers interviennent pour capturer des pythons de deux mètres retrouvés dans les égouts ou sur la voie publique. Impressionnants mais sans danger Boa constrictor, python à queue courte, couleuvre d’amour, autant de spécimens rares actuellement visibles dans une exposition à Saint-Paul. La famille Camacho, herpédologue depuis trois générations, a affrété une partie de son reptilarium des Landes pour une exposition itinérante à la Réunion. « Nos animaux sont impressionnants mais sans danger, souligne Désiré Camacho. Lorsque l’on voyage dans les îles, on n’emporte jamais des spécimens réputés dangereux. Question de sécurité, de repères et contraintes sanitaires ». Parmi les quelques 200 kilos de reptiles acheminés par avion, certains spécimens sont proposés à la vente. Comptez 60 euros pour un lézard, 450 euros pour un python royal et jusqu’à 750 euros le boa constrictor de 2m40 qu’il faut nourrir avec des rats ou des cochons dinde ! Y a-t-il des candidats pour des espèces de cette taille ? « Oui, certains visiteurs se montrent intéressés. Un amateur a mis une option sur notre grand boa constrictor. C’est quelqu’un qui s’y connaît. Tant mieux car j’évite de vendre ce type d’animal aux débutants », assure Désiré Camacho, dont le reptilarium ambulant s’installera à Saint-Benoît du 7 au 22 juin. Entre fascination et répulsion, les reptiles ne laissent pas indifférents, notamment les enfants. Mais avant de céder à la curiosité pour un serpent ou un lézard de petite taille, moyennant 80 ou 100 euros, mieux vaut effectivement bien se renseigner sur la nature de l’animal, son mode d’alimentation, ses conditions de détention, etc. Sûr que vos voisins vous en voudraient en cas d’intrusion malencontreuse... dans leur baignoire ou leur placard. V.B. - Vente sur autorisation Si la détention d’un reptile est réglementée, l’ouverture d’une animalerie l’est tout autant. Le commerçant doit faire valoir un certificat de vente d’animaux et, en plus, justifier d’une autorisation de la préfecture s’il souhaite vendre des espèces non domestiques. Toute infraction en la matière est passible d’un an de prison ou de 15 000 euros d’amende. Source
  22. Grossie par l'objectif du photographe, nemesia caementeria impressionne. Pourtant, elle ne dépasse pas 2 cm.(Photo par Jean Roig) Le terrier de l'araignée est tapissé de soie(Photo par Jean Roig) Retraité aujourd'hui, Jean-Yves Bodiou avait mené cette observation en 2000.(Photo par Jean Roig) C'est peu connu, mais les Albères abritent en grand nombre une espèce d'araignée dont le nom seul réveille effroi et fantasmes : la mygale. Insoupçonnable, son habitat se trouve là, sous les yeux. Au bord des routes. Nemesia caermenteria, c'est le petit nom de baptême de cette espèce poilue, mais pas trop, chasseuse, mais méfiante, mygale, mais petite. Allez, soyons tout de suite rassurant : l'espèce locale n'est pas dangereuse pour l'homme. Pour trouver l'animal, point n'est besoin d'être Indiana Jones et de marcher durant des heures à travers une jungle à la végétation luxuriante et urticante. Non. On gare sa voiture sur un parking, on fait, en étant large, trois mètres à pied et on force sur ses yeux. « Il faut repérer l'opercule et voilà », résume Jean-Yves Bodiou, biologiste retraité du laboratoire Arago de Banyuls-sur-Mer. C'est au cours d'une excursion estivale dans les années 90 que Philippe Cals, un biologiste de ses amis a repéré le terrain de jeu favori de la Nemesia. Un bête talus... « Ce sont des tombants frais où la terre est meuble. La mygale peut y creuser son terrier d'une quarantaine de centimètres de profondeur », décrit Jean-Yves Bodiou. Son nid ressemble étrangement à une chaussette. Il est tapissé de soie et son diamètre n'excède pas celui d'une pièce de 10 centimes. Ce boyau, à la forme ciruclaire parfaite, est fermé par un opercule de soie et de terre. « L'araignée est lucifuge (elle craint la lumière). Elle chasse la nuit. Elle entrouvre le clapet de son terrier et reste à l'affût. Elle repère les insectes, surtout les fourmis, grâce aux vibrations qu'ils émettent. Alors elle sort de son trou et course sa proie. Elle la mord avec ces chélicères (crochets) et lui injecte son venin », détaille le scientifique retraité. Le processus de chasse est barbare et ne rendra pas la bestiole sympathique ce dont, sans doute, elle n'avait pas besoin. Pourtant, la voir évoluer émerveille. Dérangée par le couteau du biologiste venu violer sa demeure, elle n'attaque pas. Son seul souci est de refermer la porte de son repaire et d'attendre la nuit pour repaître sa fringale de mygale. « Contrairement à une idée reçue, l'espèce des mygales est répandue partout. Il y en a tout autour du bassin méditerranéen européen. Seulement, elles sont discrètes, nocturnes et petites. Les mygales, dans les Albères, ne dépassent pas les 2 cm de long », rassure Jean-Yves Bodiou. La quasi invisibilité de l'animal lui vaut certainement de n'être point menacé par l'homme. Sans réels prédateurs, la mygale n'a à craindre que la bêtise humaine. C'est certainement pour cela que l'ancien biologiste du laboratoire Arago enjoint ceux qu'il met dans la confidence : « Ne révélez pas l'endroit exact où nous sommes, sinon on viendra l'embêter. » Dont acte. Source
  23. Appelés à midi pour un serpent découvert au SUN PARC, les pompiers de vielsalm sont intervenus, d’abord pour un python de 3 mètres, annoncés par un employé du Sun Parc, pour finalement découvrir une couleuvre d’environ 1,40m qui a été relâchée dans un endroit approprié à son environnement. Source
  24. La soie d'araignée transmet des vibrations à travers une large gamme de fréquences de sorte que, quand pincées comme une corde de guitare, le son comporte des informations sur la proie prise au piège, les intentions d'un éventuel compagnon et même sur l'intégrité structurale de l'ensemble de la toile. La découverte a été faite par des chercheurs des universités d'Oxford, de Strathclyde, et Sheffield qui ont étudié les vibrations de la toile d'araignée. Ils ont constaté que, de façon unique, par rapport à d'autres matériaux, la soie d'araignée peut être accordée sur une large gamme d'harmoniques. Les résultats, qui seront publiés dans le magazine Advanced Materials , révèlent non seulement plus au sujet des araignées, mais pourraient aussi inspirer un large éventail de nouvelles technologies, telles que les capteurs légers minuscules. "La plupart des araignées ont une mauvaise vue et dépendent presque exclusivement de la vibration de la soie sur leur toile pour l'information sensorielle, dit Beth Mortimer d'Oxford Silk Group at Oxford University, who led the research, qui a dirigé la recherche. "Le son de la soie peut leur dire le type de repas qui est empêtré dans leur filet ou sur les intentions et la qualité d'un partenaire éventuel. En pinçant la soie comme une corde de guitare et en écoute des échos, l'araignée peut également évaluer l'état de son habitat". Cette qualité est utilisée par l'araignée dans sa toile pour commander et régler à la fois les propriétés inhérentes de la soie, les tensions et les inter-connectivités des fils de soie qui composent la nappe. Pour étudier les propriétés sonores des fils, les chercheurs ont utilisé des caméras ultra-haute vitesse pour filmer les sons qui ont été émis à l'impact des projectiles. En outre, les lasers ont été utilisés pour effectuer des mesures détaillées de la moindre vibration. "Le fait que les araignées peuvent recevoir ces vibrations nanométriques avec des organes sur chacune de leurs jambes, appelés sensilles, illustre bien l'impact de nos recherches sur les propriétés de la soie découverte dans notre étude," a déclaré le Dr Shira Gordon de l'Université de Strathclyde, un des auteurs qui à participé à la recherche. "Ces résultats démontrent en outre les propriétés exceptionnelles de nombreuses soies d'araignée qui sont en mesure de combiner une résistance exceptionnelle à la possibilité de transférer des informations sensibles, a déclaré le professeur Fritz Vollrath de la Soie Groupe Oxford à l'Université d'Oxford, auteur de l'article. "Ce sont des traits qui seraient très utiles dans l'ingénierie légère et pourraient conduire à réaliser de nouveaux capteurs et actionneurs "intelligents". Le Dr Chris Holland de l'Université de Sheffield, un des auteurs de l'étude, a déclaré: "les soies d'araignée sont bien connus pour leurs propriétés mécaniques impressionnantes, mais les propriétés vibratoires ont été relativement négligées et maintenant nous constatons que c'est aussi un outil de communication. Encore une fois, les araignées continuent de nous impressionner de plus de manières que nous pouvons l'imaginer. Beth Mortimer dit: "Il se peut même que les araignées créent une toile qui"sonne juste", comme ses propriétés sonores sont intimement liées à des facteurs tels que la force et la souplesse. L'étude a été menée par des chercheurs de la Soie Groupe Oxford, avec des collaborateurs du Département d'Oxford des sciences de l'ingénieur, Centre de Strathclyde de génie ultrasons, et le Ministère de Sheffield de science et en génie des matériaux. La recherche a été soutenue par le Leverhulme Trust, EPSRC, et BBSRC. . Un rapport de la recherche, intitulé " The Speed of Sound in Silk: Linking Material Performance to Biological Function ", a été publié en ligne dans la revue Advanced Materials. Source
  25. Planète Charmilles accueille une vingtaine de terrariums jusqu’à samedi. Frissons assurés. Genève le 06.06.2014, Planète Charmilles, expo de reptiles, un python birman. Vous êtes arachnophobe, herpétophobe ou les deux? Tournez la page. Vous avez toujours rêvé de découvrir les «grands prédateurs de la jungle»? Foncez à Planète Charmilles. Jusqu’à samedi, mygales, scorpions, serpents et autres reptiles sont enfermés à l’intérieur du centre commercial... dans des vivariums, évidemment. Parmi les bêtes les plus impressionnantes: un énorme python molure, un petit caïman nommé Wilbur, des piranhas carnivores et les fameuses mygales. Difficile de ne pas ressentir un léger frisson en apercevant leurs grosses pattes velues. Sur place, ceux qui s’approchent des boîtes en verre restent rarement indifférents. Entre dégoût et fascination, les réactions sont parfois imprévisibles. «Les 99% des gens réagissent bien, rassure toutefois Malory Siegenthaler, naturaliste et coresponsable de l’exposition. Il y a aussi ceux qui préfèrent regarder les animaux de loin.» Devant chaque vivarium, une fiche explicative renseigne les visiteurs sur le mode de vie de son locataire. Que les plus hésitants soient rassurés, tous les serpents présents sont inoffensifs, affirme le naturaliste. Les mygales et les scorpions sont en revanche venimeux. Le Centre a-t-il pris des mesures au cas où une vitre se briserait? «Certains vivariums sont en verre blindé, répond Malory Siegenthaler. Et soit moi soit mon associé sommes toujours présents dans l’exposition au cas où il y aurait un problème et pour répondre aux questions.» Le naturaliste connaît bien les bêtes de Planète Charmilles. La majorité d’entre elles font partie de sa collection personnelle, les autres appartiennent à son associé, Louis Champod. «Je suis passionné par les animaux et en particulier par les reptiles», confie-t-il. Chez lui, à Saint-Cergue (Vaud), il ne possède pas moins de cinq cents bestioles dont «90% sont des reptiles.» D’ailleurs, si vous cherchez à vous débarrasser de votre boa ou de votre tortue, c’est le moment. Les naturalistes récupèrent les animaux dont les gens ne veulent plus. «On préfère cela à ce qu’ils les relâchent dans la nature.» Source
×
×
  • Créer...