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Max|mum-leterrarium

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  1. Les pompiers de Waremme ont récupéré, hier samedi, un serpent qui se baladait dans un arbre à Momalle... Surprenant découverte que celle faite par cet habitant de Momalle, hier en fin de journée. Un serpent se baladait sur une branche d’un arbre de son jardin. L’homme n’a pas hésité, il a pris un bâton et a réussi à la faire tomber dans une poubelle. Puis... il a appelé les pompiers de Waremme à la rescousse. Les pompiers l’ont récupéré puis l’ont placé dans un conteneur avant d’appeler le service adéquat. «C’est un Elaphe Guttata, explique-t-on chez les pompiers. Un serpent qui, visiblement, se vend couramment dans le commerce.» Celui-ci faisait un mètre de long. En captivité, il peut vivre jusqu’à 22 ans. Comment a-t-il atterri dans le jardin de cet habitant de Momalle, cela reste à vérifier. Car les pompiers sont allés frapper chez ses voisins et personne ne connaissait d’habitant, dans le coin, fan de ces étranges animaux de compagnie... «Il se sera sûrement échappé...» Si le propriétaire ne le détient pas légalement, il ne se fera certainement pas connaître... au risque de payer une amende pour détention illégale. Source
  2. Une nouvelle espèce découverte dans une forêt de Chine confirme la capacité des phasmes à se confondre avec leur environnement. Un mâle (en haut) et une femelle (en bas) de la nouvelle espèce découverte Sinophasma damingshanensis. Ho Wai-chun George Sinophasma damingshanensis est une espèce de phasme nouvellement découverte dans la Guangxi, en Chine. Elle se distingue par son corps particulièrement allongé à la coloration vert-brun qui ressemble à la tige d'une plante. Elle vit dans une forêt de conifères très dense et a été découverte par Ho Wai-chun George, de la société entomologique de Hong-Kong. Des recherches menées à la lampe Les phasmes ont toujours tenu le devant de la scène en matière de camouflage. Aussi partir à la découverte de nouvelles espèces est une aventure compliquée. Pour repérer les phasmes, les entomologistes ont travaillé de nuit en éclairant les plantes à la torche pour faire ressortir les insectes. "Si vous connaissez la plante dont ils se nourrissent vous pouvez trouver les espèces correspondantes raconte Ho Wai-chun George. "S. damingshanensis préfère les feuilles de fagacées et c'est la tactique que nous avons utilisé pour le trouver dans la nature". Si vous êtes un phasmatologiste vous devez étudier non seulement la taxonomie des insectes mais aussi la taxonomie des plantes ». Ho Wai-chun George. Poussant le mimétisme au maximum, quand ils sont au repos les phasmes S. damingshanensis oscillent légèrement d'un coté à l'autre pour imiter l'action du vent sur la végétation. Les entomologistes ont un sacré coup d'œil ! Ils ont aussi misé sur la bonne région puisque la province du Guangxi est l'une des provinces chinoises ayant la plus grande diversité d'insectes de la famille des phasmes. Un mâle (en haut) et une femelle (en bas) de la nouvelle espèce découverte Sinophasma damingshanensis. Ho Wai-chun George. Source
  3. Depuis quinze ans, le nombre d'essaims disparaît sur toute la planète, un phénomène baptisé Syndrome d'effondrement des colonies. Le taux de mortalité des abeilles est d'environ 30% chaque année depuis 2007. PHOTO LUKAS BARTH, REUTERS Les araignées au secours des abeilles? C'est le nouveau pesticide proposé par une équipe de l'Université britannique de Newcastle, à base de venin d'arachnide, qui épargnerait les précieux pollinisateurs dont les colonies sont en déclin. Le Hv1a/GNA, formule fabriquée à base de venin d'araignée et d'une protéine de perce-neige, «offre une alternative» aux très controversés insecticides néonicotinoïdes actuellement commercialisés dans le monde entier, assure le professeur Angharad Gatehouse, l'un des superviseurs du projet. Le venin a été prélevé sur des araignées du type hexathelidae, les mygales les plus venimeuses, qui tissent des toiles en forme de tunnel. Pour tester sa toxicité, les abeilles ont été nourries avec des doses de ce produit atteignant des niveaux bien supérieurs à ceux qu'elles pourraient rencontrer dans la nature. Or, les effets sont «très légers» sur leur taux de survie et «indétectables» sur leurs capacités d'apprentissage et de mémorisation. Ce dernier point est crucial, précise l'étude publiée mercredi dans la revue scientifique Proceedings of the Royal Society B. Tout dysfonctionnement de ces fonctions «a des conséquences graves pour la survie des colonies, car des abeilles qui ne peuvent pas apprendre ne seront pas capables de trouver de la nourriture et revenir à leur ruche». «Les larves sont aussi indemnes après avoir été exposées au Hv1a/GNA», précise Géraldine Wright, l'un des auteurs de l'article, qui a dirigé l'an dernier une étude prouvant les effets négatifs des pesticides neonicotinoïdes sur les capacités cognitives des abeilles. «Près de 90% des plantes sur la planète dépendent directement ou indirectement des pollinisateurs pour leur survie», souligne-t-elle. «Et si nous détruisons la biodiversité des pollinisateurs, alors l'efficacité de nos pesticides n'aura plus aucune importance puisque nous n'aurons plus de cultures à protéger», ajoute-t-elle. Depuis quinze ans, le nombre d'essaims disparaît sur toute la planète, un phénomène baptisé Syndrome d'effondrement des colonies. Le taux de mortalité des abeilles est d'environ 30% chaque année depuis 2007. Bruxelles a interdit en 2013 pour deux ans l'usage des trois pesticides néonicotinoïdes. Mais les causes de la mortalité des abeilles sont multiples, et parmi elles figurent le Varroa, un acarien, le Nosema, un champignon, ou encore la monoculture. Source
  4. BRUXELLES (belgique) Près de 25 ans après sa découverte, la "kierkogelspin" ou "théridiidé des fentes" est enfin officiellement reconnue comme nouvelle espèce. Il s'agit de la première découverte d'une nouvelle espèce d'araignée en Belgique, précise Koen Van Keer de la Société Arachnologique de Belgique (ARABEL) sur natuurbericht.be.La kierkogelspin est une petite araignée de 4 millimètres de long. Elle appartient à la famille des théridiidae. "Ces espèces ont un système de chasse assez ingénieux", reconnaît Koen Van Keer. Leur toile proprement dite est constituée de courts fils disposés en tous sens et seuls les fils extérieurs sont collants. Ces derniers facilitent la capture de petits insectes rampants. Les efforts de la proie pour se libérer du fil entraîne la cassure de la toile, mais cette dernière projette alors la "victime" vers d'autres fils, rendant toute fuite impossible. C'est en 1989, dans les environs de Namur, que le premier spécimen de cette espèce a été découvert par Herman Vanuytven. A cette époque, il n'était pas certain qu'il s'agissait d'une nouvelle espèce. La confirmation est tombée en 1993, il a ensuite fallu en rédiger la description. Ce n'est que maintenant, alors que cette dernière vient d'être publiée dans la revue scientifique "Arachnology" (British Arachnological Society) que l'espèce est officiellement reconnue. Le nom scientifique de cette nouvelle espèce, "Theridion asopi", se justifie comme suit: "Theridion" est le nom générique de ce genre de petites araignées et asopi vient de ASOP, le nom du projet de recherche. (Belga) Source
  5. Les agents de la brigade aéroportuaire de Moroni ont découvert 1014 tortues dans 8 valises, lors des fouilles préalables à l’embarquement à bord de l’appareil de la compagnie Précision Air. Le service de contrôle de l’aéroport de Moroni - Hahaya a saisi 1014 tortues radiées dans 8 valises, samedi dernier. Selon le communiqué du Ministère des Affaires Etrangères malgache, "le rapatriement des tortues saisies aux Comores est prévu ce jour. Mais comme leurs pattes griffées ont été scotchées une à une pour les immobiliser, il a fallu les libérer jusqu’à l’embarquement. Au cours de cette opération, certaines d’entre elles sont mortes". Ces tortues auraient quitté la Grande Ile depuis Majunga. Elles ont été acheminées vers Anjouan à bord d’un voilier avant de débarquer à Grande Comores, pour ensuite rallier la Tanzanie à bord de ce vol de la compagnie Précision Air. Pour le moment, aucune annonce n’a été faite quant à l’identité du présumé trafiquant, sa destination finale, ainsi que le sort que les autorités malgache et comorienne lui réserve. Selon une source citée par l’Express de Madagascar, "60.000 tortues, en moyenne, font l’objet de trafic chaque année. Faute de moyens, notamment le manque d’effectif des forces de l’ordre, beaucoup de braconniers et de trafiquants arrivent encore à échapper aux mailles de nos filets". A noter qu’à Madagascar, ce type de tortue « Geochelone radiata », communément appelé tortue radiée est une espèce en voie de disparition. Il figure d’ailleurs dans la liste rouge établie par l’Union Internationale de la Conservation de la Nature. Source
  6. [ANTANANARIVO] Selon les chercheurs, la présence du crapaud épineux (Duttaphrynus melanostictus), appelé aussi crapaud buffle, sur le territoire de Madagascar, constitue une menace pour la biodiversité de l’île. La peau du crapaud buffle adulte secrète en effet une toxine laiteuse ayant une odeur piquante et contenant des bioactifs susceptibles de provoquer des conséquences fatales au contact de l'être humain. Cette espèce terrestre et nocturne qui vient de l’Asie est en train d’envahir la ville portuaire de Toamasina et ses environs, sur le littoral est. Les chercheurs confirmaient sa présence à 30 km au sud de la ville fin mai, tandis qu'une expédition conduite par Roger Daniel Randrianiaina, chercheur au département de biologie animale de l’Université d’Antananarivo au mois de mars l’observait sur une aire de 100 km² aux alentours. Les recherches préliminaires ont toutefois indiqué que son introduction dans le pays aurait pu bien avoir lieu en 2011 dans des conditions qui restent encore à déterminer. Le B. melanostictus peut causer des démangeaisons dans les narines, les yeux et la peau exposée, lorsqu’il est manipulé par l’homme. Mais cet animal qui possède des vertus aphrodisiaques, est très apprécié dans les traditions culinaires thaïlandaises, même si, selon des scientifiques, sa consommation peut causer des maladies graves ou même la mort. Ses œufs aussi sont très dangereux pour l'être humain. "Aucun élément scientifique matériel ne prouve que cette espèce venimeuse tue les poissons qui la consomment. Dans la chaîne alimentaire, les poissons peuvent être des hôtes intermédiaires de ses poisons et les humains les hôtes définitifs", avertit Nirhy Rabibisoa, co-président de l’Amphibian Specialist Group. "Cette invasion constitue, à terme, un danger pour le pays si nous n’arrivons pas à l’éradiquer d’ici la prochaine saison pluvieuse en octobre", a confié à SciDev.Net Alitiana Rabemananjara, secrétaire exécutif de l’Amphibian Specialist Group Madagascar. En effet, le crapaud se reproduit au début de la saison des pluies dans les eaux stagnantes, permanentes ou temporaires, mais aussi près de la mer. Les têtards qui se nourrissent, entre autres, des espèces de grenouilles endémiques, peuvent tolérer de l’eau saumâtre jusqu’à 1 % de salinité. Un animal dangereux C’est donc une espèce opportuniste et quelque peu résistante. D’après les scientifiques, le B. melanostictus est trouvé dans les habitats tempérés, subtropicaux et tropicaux, à 2 000 m d’altitude. "L’ensemble du territoire de Madagascar est adapté à cette espèce", note Christian Randrianantoandro, coordonnateur de la cellule d’urgence contre l’alien Duttaphrynus melanostictus. L’animal occupe tous les micro-habitats mais préfère les milieux perturbés et ouverts tels que les forêts dégradées, les lisières des forêts, les zones riveraines et les zones agricoles et urbaines dominées par l’homme. Il est rare dans les forêts intactes. Les adultes se cachent pendant la journée sous les roches, les feuilles mortes et les structures artificielles telles que les égouts, les piles d’ordures et même des maisons. La nuit, ils se rassemblent souvent pour se nourrir autour des lampadaires. La reproduction a lieu dans les rivières tranquilles et à faible débit ainsi que dans des étangs et mares temporaires et permanents. Les conditions climatiques du pays sont dites favorables à la croissance rapide de l’espèce dont la ponte de l’adulte qui vit durant quatre ans en moyenne peut atteindre jusqu’à 80.000 œufs en une année. Les adultes de grande taille, mesurant entre 10 et 15 cm, intoxiquent beaucoup de prédateurs. Les médias locaux rapportent des cas d’empoisonnement entraînant la mort des animaux domestiques qui se nourrissent de spécimens dans la ville de Toamasina et ses environs. Selon des chercheurs, le crapaud buffle a déjà fait des ravages importants chez les prédateurs comme les oiseaux et les serpents endémiques. La survie du serpent gravement menacé Acrantophis madagascarensis est ainsi jugée critique. De l’avis des spécialistes, l’introduction des espèces invasives est la deuxième cause de l’accélération de l’extinction des grenouilles dans différents pays. Ainsi les quelque 500 espèces de grenouilles de l’île, à 99 % endémiques et représentant 4 % de la diversité mondiale, sont-elles menacées de survie. Pourtant, 278 seulement d’entre elles sont décrites à ce jour. Cela dit, Madagascar est un des pays qui alimentent la banque génétique mondiale en matière de grenouilles. L’exportation des amphibiens en Amérique et en Europe principalement génère également une rente annuelle de plus de 3 millions de dollars pour le pays. Selon la Convention CITES, 3 % de la recette devrait revenir aux activités de recherche et au fonctionnement du bureau local de la Convention. Sous ce rapport, la présence du B. melanostictus à Madagascar pourrait compromettre sur le long terme la rentrée de devises et le développement de l’élevage de grenouilles en captivité. La réussite de la gestion économique durable de la filière, initiée à Andasibe Moramanga en 2011-2012, est en passe d’être copiée dans d’autres régions au profit de la population rurale. Menace sur l'écosystème En outre, les amphibiens ont leur place dans la mise en place du nouveau système des aires protégées à Madagascar. Leur endémisme a été pris en considération lorsque le pays a décidé d’accroître à partir de 2003 le volume de ses aires de 1,3 million à 6 millions d’hectares. L’initiative était destinée à enclencher la lutte contre le changement climatique et à promouvoir l’écotourisme au service du développement. "En tant qu’espèce-phare au même titre que les primates, les reptiles et les oiseaux, ils sont un bon indicateur de la santé de l’environnement. Leur conservation a permis de valoriser et de découvrir des espèces jadis non identifiées", estiment les spécialistes. Par ailleurs, un des soucis majeurs des chercheurs concerne le contrôle des maladies émergentes comme le chytride, un champignon néfaste pour les amphibiens. Le crapaud buffle pourrait être une porte d’entrée de cette maladie responsable de la mort d'un-tiers des amphibiens dans le monde, selon les experts. "Il vit dans les pays asiatiques où le chytride a décimé les populations de grenouilles", explique Falitiana Rabemananjara. Madagascar se tient tout de même prêt à faire face à toute éventualité bien que la maladie ne soit pas encore présente sur son territoire. L’île ambitionne même de devenir un modèle en matière de lutte contre le chytride. Cette année, un programme pro biotique (une détection rapide) a permis aux biologistes malgaches, en collaboration avec leurs pairs de James Madison University, aux Etats-Unis, d’isoler cinq types de bactéries de souche malgache à même d’annihiler la virulence du chytride. "Ces bactéries qui tuent le chytride vivent avec les grenouilles sur leur peau. Pour le moment, elles sont stockées aux Etats-Unis où elles sont en cours de multiplication dans le cadre d’un autre programme de bio-augmentation. Elles devraient être ramenées au pays. Mais l’absence d’infrastructures adéquates pose un problème pour nous", révèle Nirhy Rabibisoa. Quoi qu’il en soit, autorités gouvernementales, scientifiques et autres parties prenantes prennent au sérieux la menace liée à la présence du B. melanostictus. La lutte mécanique est envisagée car la lutte chimique est risquée pour toutes les espèces présentes dans la nature. "On incite les membres de la communauté à rattraper les crapauds, les tuer à l’aide de couteaux et bêches et enterrer les cadavres pour éviter la propagation des poisons à l’air libre", explique Christian Randrianantoandro. Un protocole de biosécurité pour éviter les erreurs et pour plus d’efficacité est en cours d’établissement à cette fin. La lutte s’annonce ardue en raison de sa complexité et du coût afférent. Une enveloppe de 250 000 dollars est nécessaire pour mener les opérations d’éradication prévues pour s’étaler sur 2 à 3 ans. "Les chercheurs indonésiens disent qu’il est difficile de stopper la croissance de ce genre de crapaud et, en Australie, un budget annuel de 4-5 millions de dollars est affecté à la lutte", Nirhy Rabibisoa tient à signaler. Des spécialistes se pencheront en novembre sur l’élaboration de la deuxième Stratégie pour la conservation des amphibiens de Madagascar (ACSAM). Source
  7. Les policiers de la MRC des Collines ont été occupés aujourd'hui. Ils ont perquisitionné une résidence du chemin Lesage à Val-des-Monts. 55 plants de cannabis ont été saisis. Et surprise pour les policiers qui se sont aussi retrouvés devant un serpent de type 'Taïwan Beauty'. Ce type de vipère est légal, donc il a été laissé sur place. Le propriétaire des lieux, un homme de 32 ans qui avait été arrêté quelques minutes auparavant alors qu'il circulait sur la route du Carrefour, fait maintenant face à des accusations de production et de possession de stupéfiants. Source
  8. MONDE - Mais le serpent n’a pas eu l’effet escompté... Un anaconda était utilisé par des trafiquants argentins pour protéger une cargaison de cocaïne et cannabis afin de dissuader la police en cas de perquisition, mais le reptile n'a pas eu l'effet escompté. Des policiers ont fait irruption dans une maison de Gonzalez Catan, une banlieue de l'ouest de Buenos Aires, et ont mis la main sur plusieurs kilos de cocaïne et de cannabis après avoir déplacé le serpent, qui dormait sur la drogue, selon la police argentine. Serpent non venimeux «Nous savions qu'il y avait de la drogue provenant du Paraguay à cet endroit, mais la présence du serpent nous a obligés à recourir à des experts en reptiles pour le maîtriser», a témoigné un policier. L'anaconda n'est pas venimeux, il étouffe sa proie en s'enroulant autour d'elle. Il peut atteindre 10 mètres de long et peser 200 kg. Source
  9. Près de 2500 personnes sont venues côtoyer de près ces drôles de bêtes lors de cette 11e édition à la salle Dedecker. Avis aux amateurs, il faut bien une dizaine de mètres carrés pour éléver correctement un iguane adulte. Allez savoir pourquoi les reptiles, insectes, phasmes, tortues, lézards et autres araignées fascinent autant les jeunes et les adultes qu’ils les repoussent. Allez savoir également si ce n’est pas ce paradoxe qui explique l’engouement des visiteurs ce dimanche pour des animaux pas très ordinaires. Dix-sept exposants venus du Luxembourg, de la côte d’Opale, du Hainaut et de l’Ile de France ont répondu à l’appel de l’association Le Peuple de l’Ombre pour faire découvrir et partager leur passion pour ces animaux exotiques. Résultats, près de 2500 personnes sont venues côtoyer de près ces drôles de bêtes lors de cette 11e édition. « C’est aussi un rendez-vous pour rappeler que les reptiles ne sont pas des animaux de compagnie » indique Olivier Vuillemin. Autrement dit, le lézard, la tortue, le crocodile ou le serpent ne seront jamais apprivoisés. Le président wattrelosien de l’association ajoute : « Il n’existe pas de livre miracle qui apprenne tout ce qu’il faut savoir. Lorsque vous avez des doutes, il ne faut pas hésiter à en parler avec d’autres terrariophiles ». Pour sa deuxième apparition salle Gustave-Dedecker, Anne Stemper, présidente de l’association luxembourgeoise Tanalahy, a fait beaucoup de pédagogie autour du Caluma P. Parsonii, un caméléon originaire de Madagascar : « C’est un animal passionnant à différents égards. On connaît très peu de chose sur son mode de reproduction. Pour lui donner à boire, il faut simuler la pluie avec un vaporisateur. Selon les espèces, il faut plus ou moins d’humidité, de chaleur et de lumière ». Il mange des insectes et non des croquettes ! Source
  10. Pendant ce temps, Ottawa est interpellé pour renforcer la réglementation Un crocodile à la mâchoire bloquée semble hypnotiser les frères Ampleman. Alors que des visiteurs courageux prenaient sur leurs épaules l’impressionnant python africain exposé au Salon des animaux exotiques de Québec, des membres de la Fédération canadienne des municipalités demandaient au gouvernement conservateur de renforcer la réglementation sur la possession d’animaux exotiques. Cette intervention fait suite au décès tragique par asphyxie de deux jeunes garçons, a Campbellton au Nouveau-Brunswick, l’été dernier. Un Python de Seba aurait étouffé à mort les deux jeunes garçons, après s’être faufilé dans la pièce où ils se trouvaient. Selon Émilie Baudry, exposante au Salon et propriétaire de l’entreprise Repti-Zone, baliser la réglementation sur la possession de tels animaux pourrait s’avérer nécessaire, sans toutefois les interdire. «Il devrait peut-être y avoir des mesures, comme des enregistrements des animaux, des certificats de compétences des propriétaires ou des permis pour certaines espèces, estime-t-elle. Il faudrait [un contrôle] selon les espèces et l’expérience des propriétaires.» La passionnée de reptiles n’a pas oublié la terrible tragédie de Campbellton, mais, comme d’autres experts, elle s’interroge encore sur les circonstances de l’événement. Néanmoins, malgré l’allure peu sympathique des bêtes exposées, plusieurs curieux ont assisté au Salon. Source
  11. «Il était chez nous depuis un petit temps déjà car on l’avait déjà aperçu à quelques reprises.» Pierre Bonnechère, de Momalle, avait ainsi vu «son» serpent dans son jardin, dans un coin où il y a un tas de bois et de vieilles tuiles. «Il y a de véritables galeries sous ce tas. Il s’y réfugiait.» Autre indice de la présence d’un pareil serpent: «Chaque année, le jardin est plein de limaçons. Et cette année, aucun.» Le serpent en a-t-il fait son repas? Probablement. «Je suppose qu’il se nourrissait de ça.» Les essais pour l’attraper n’ont mené à rien. «Il entrait dans les galeries sous le tas de bois et de tuiles.» Pierre Bonnechère était cependant attentif à ses allers et venues car il a des petits-enfants, tout comme son voisin. Et sans savoir si le serpent était vénimeux… Samedi en fin de journée, «on a remarqué qu’il était sur une branche d’un arbre, au soleil». Pas facile cependant de prendre à bras-le-corps un serpent de plus d’un mètre de long, «gros comme le pouce» et peut-être méchant. «J’ai appelé mon beau-fils. Lorsqu’il s’en est approché, le serpent a eu une réaction brusque et s’est retourné.» Les deux hommes ont déniché un récipient avec un couvercle qu’ils ont placé sous la branche. Sécateur en mains, ils ont coupé les branches qui gênaient puis ont sectionné toute la branche… qui a atterri dans la poubelle. Le serpent entortillé autour d’elle. «J’ai alors téléphoné à l’aquarium de Liège, mais il n’avait pas de scientifique avant ce lundi matin. Ils m’ont dit de le laisser là où il était et de lui mettre de l’eau.» Mais pas question d’ouvrir encore la poubelle. Un coup de fil à la Protection civile les a renvoyés vers les pompiers et voilà les hommes du feu de Waremme, équipés pour affronter la bête. Aujourd’hui, Pierre Bonnechère est soulagé que le serpent ait quitté son jardin… Source
  12. Cette fois le maire de la commune de la Drôme porte plainte pour trouble à l'ordre public : un deuxième boa a été découvert lundi à Bourg-de-Péage dans la Drôme dans le même quartier que le premier serpent capturé il y a deux semaines. Ce second reptile a été trouvé chemin des monts du matin vers la Goubetière. Le boa a pu être récupéré immédiatement. C'est une promeneuse qui l'a vu vers 18h30 ce lundi soir à Bourg-de-Péage. Elle a alerté les pompiers de la Drôme et elle a gardé un oeil sur lui en attendant l'arrivée des secouristes. Ce second boa de 1,50 mètre a pu être capturé facilement car il avait froid et ne bougeait pas beaucoup. Dans la nuit de lundi à mardi, il a dormi au chaud dans la caserne et devrait être récupéré par le même éleveur isérois que le premier boa capturé il a deux semaines tout juste. À qui sont ces boas ? Malgré tout, deux boas en moins d'un mois en liberté dans la commune, cela semble plutôt suspect et une enquête devrait être ouverte pour découvrir d'où ces reptiles peuvent bien venir, et si les reptiles s'échappent de chez quelqu'un ou au contraire si une personne mal intentionnée s'amuse à les remettre en liberté. Le premier avait été vu le 8 mai pour la première fois et capturé le 18 mai dernier. Ce mardi matin la mairie de Bourg de Péage a décidé de porter plainte car l'affaire est plus que troublante pour la députée maire de la ville, Nathalie Niéson. Une plainte pour trouble à l'ordre public en espérant que la police découvre le propriétaire. Source
  13. L'araignée Cyclosa ginnaga doit parvenir à attirer des proies sur sa toile tout en restant cachée de ses prédateurs. Pour cela elle ajoute une décoration blanche à sa toile : lorsqu'elle se tient dessus, les guêpes qui la chassent n'arrivent pas à la différencier d'une vulgaire crotte d'oiseau ! Pour se camoufler, cette étonnante araignée se déguise en crotte d'oiseau par Gentside Découverte Si au prochain Halloween votre costume de crotte de moineau fait effet, vous pourrez dire que c’est une araignée qui vous a soufflé l’idée. Originaire de l’Asie de l’Est, Cyclosa ginnaga tisse en effet sa toile de manière à imiter une déjection aviaire, une illusion renforcée par la couleur naturelle de l’araignée. Une équipe de chercheurs taïwanais a étudié en détail ces animaux fascinants et publié ces résultats le 29 mai dans la revue Nature. Dans leur environnement, les araignées tisseuses sont confrontées à un sérieux dilemme : parvenir à attirer leurs proies sans se rendre trop visibles des prédateurs. Cyclosa ginnaga semble avoir trouvé le compromis idéal selon l’équipe de I-Min Tso, de l’université nationale Chung-Hsin de Taiwan. L’arachnide tisse un disque blanc sur sa toile qui tape dans l’œil de ses proies. Vu la forme particulière de l’araignée et sa couleur, le tout ressemble à s’y méprendre à une banale crotte d’oiseau lorsqu’elle reste immobile à sa surface. Un camouflage impressionnant Ainsi cela n’attire pas l’attention des guêpes prédatrices, friandes de la petite araignée, qui préfèrent passer leur chemin. Il faut dire que les chercheurs ont comparé 125 toiles avec 27 excréments d’oiseaux de Wu-Shy-Keng, une forêt taïwanaise, et n’ont trouvé aucune différence statistique quant à leur taille. L’illusion est parfaite. L’équipe a ensuite isolé dix araignées afin d’examiner leur réflectance, c’est-à-dire le rapport entre la lumière qu’elles réfléchissent et celle qu’elles reçoivent, ainsi que la différence de contraste entre leur corps et leur toile. Le résultat est hors de portée de la vue des guêpes, elles ne sont donc pas en mesure de distinguer une araignée qui se trouverait sur une fausse déjection d’oiseau. Certaines araignées ont plus tard été peintes en noir par les chercheurs, tandis que leurs toiles ont été foncées à la poudre de carbone. Au total 156 araignées ont été placées dans divers conditions et filmées. Lorsque les décors de la toile étaient les seuls à être foncés, les guêpes ont attaqué considérablement plus souvent. Si l’araignée et la toiles étaient toutes deux noires, l’animal pouvait encore se camoufler. La vidéo ci-dessus illustre cette technique de camouflage avec une espèce d'araignée proche de Cyclosa ginnaga. Source
  14. Parfois, il est difficile de savoir si on a affaire à un homme ou à un animal tant les transformations sont impressionnantes. C’est le cas d’Erik Sprague, plus connu sous le nom de l’homme lézard. Musicien, Erik Sprague consacre sa vie à se transformer en homme-lézard par Gentside Né en 1972, c’est à l’âge de 21 ans qu’il commence sa transformation. Un projet qu’il avait longuement réfléchi. Diplômé en philosophie après un baccalauréat d’art, l’homme a fait de son propre corps son espace de travail. Il travaille en tant qu’artiste de cirque et participe également à des exhibitions dans le monde entier tant son apparence fascine. Devenu une véritable star, Erik Sprague a même eu la chance de faire quelques apparitions au cinéma mais son activité principale reste d’être un musicien. En effet, le lézard est le leader d’un groupe de rock qui après la sortie d'un album en 2010 s'est payé une tournée mondiale. Sa particularité ? La langue fourchue qu’il est l’un des premiers à avoir arboré et des implants au niveau des sourcils. Sans enfant, l’homme lézard vit avec sa femme au Texas et continue régulièrement de modifier son corps. Source
  15. Mauvaise surprise pour une cliente de la Coop de la Servette. Une couleuvre logeait dans son bouquet de fleurs. Grosse frayeur, mercredi, pour une cliente de la Coop de la Servette. Alors qu’elle s’éloignait du magasin, chargée de sacs, elle s’est aperçue qu’une couleuvre logeait dans le bouquet de gerberas qu’elle venait d’acheter. Elle l’a aussitôt lâché, selon 20 minutes, et un attroupement s’est formé dans la rue. Un jeune homme, probablement le propriétaire de la bête, est sorti à son tour du magasin et aurait mis le serpent dans sa poche, selon un témoin. Il se serait éclipsé discrètement, sans dire un mot. L’animal était un serpent des blés, une espèce non venimeuse, endémique des Etats-Unis. Les fleurs venaient de Hollande et rien ne permet d’affirmer que la couleuvre a voyagé avec elles, d’après la Coop. En dédommagement, la cliente a tout de même reçu du champagne. (TDG) Source
  16. Jolie rencontre, il y a quelques, pour Pascal, photographe amateur sur Saint-Fraigne. Autour de la zone humide, une salamandre a montré le bout de son nez et de son dos jaune et noir. "La salamandre, avec toutes ses croyances possibles, emblématique sous le roi François Ier, était devenue très discrète", nous dit-il. "Ce petit amphibien, d’une douzaine de centimètres, prouve par sa présence que la nature reprend ses droits", écrit Pascal. "C’est la seconde salamandre que je rencontre en huit années de présence à Saint-Fraigne". TAGS Saint-Fraigne, Insolite, Faune et Flore Source
  17. La salamandre tachetée (ou salamandre terrestre) risque bien de disparaître de la capitale dans les années qui viennent. Actuellement, elle vit surtout dans les mares des jardins privés. Parmi les risques qu'elle court : l'urbanisation et la destruction de son milieu de vie. Mais ce ne sont pas les seuls. Avec son corps noir tacheté de jaune, la salamandre est un animal emblématique de nos sous-bois. "Elle a des couleurs vives pour signaler que c’est une espèce toxique." Luc Gesché est un passionné. Il a d’ailleurs créé l'asbl Erpétolia, notamment pour préserver les amphibiens qui vivent dans nos mares. "C’est vraiment le premier vertébré – les amphibiens – qui est en déclin au niveau mondial." Pollution, urbanisation, circulation routière... sont les principales causes de leur disparition. Mais la salamandre fait face à un nouveau problème qui pourrait décimer l'espèce. "Il y a une maladie qui attaque la peau des salamandres (le batrachochytrium salamandrivorans, de son petit nom). C’est une maladie qui a pratiquement éteint toute la population de salamandres aux Pays-Bas. Et on a découvert cette année-ci plusieurs cas de mort également chez nous. Si l’on ne fait rien, il est possible que dans quelques années, la salamandre terrestre soit purement et simplement rayée de la carte." Sans cette maladie, la salamandre tachetée peut atteindre l'âge de 30 ans. Hélène Maquet Source
  18. Avis de santé publique : Éclosion de salmonellose associée au contact avec des serpents et des rongeurs servant à les nourrir OTTAWA, le 2 juin 2014 /CNW/ - Pourquoi tenir compte du présent avis L'Agence de la santé publique du Canada collabore avec ses partenaires provinciaux en santé publique pour faire enquête sur une éclosion de salmonellose associée au contact avec des serpents et des rongeurs servant à nourrir des reptiles, comme des souris. Le risque pour les Canadiens est faible, mais toute personne qui en contact avec des serpents et leur nourriture est à risque si elle ne prend pas les précautions adéquates pour protéger sa santé. L'Agence continuera de fournir des mises à jour aux Canadiens à mesure que de nouveaux renseignements seront connus. Des éclosions associées aux reptiles et aux rongeurs servant à les nourrir ont été observées au Canada, aux États-Unis et dans de multiples pays européens. Les reptiles et les rongeurs servant à les nourrir peuvent être porteurs de salmonelles tout en conservant une apparence saine et propre, sans symptômes de maladie. Même un contact indirect avec ces animaux ou leur environnement (p. ex. enfants jouant dans une pièce où un reptile a auparavant été laissé en liberté) peut vous mettre à risque de contracter la salmonellose. Enquête en cours L'Agence et ses partenaires provinciaux en santé publique font enquête sur des cas d'infection à Salmonella typhimurium ayant la même empreinte génétique. En 2014, 20 cas ont été déclarés en Colombie-Britannique (1), en Ontario (16) et au Québec (3). Trois personnes atteintes ont été hospitalisées et se sont rétablies. Aucun décès n'a été signalé. L'enquête se poursuit, mais à ce jour, 12 des 15 personnes touchées interviewées ont rapporté des contacts avec des serpents et des rongeurs servant à les nourrir. L'Agence fait régulièrement enquête sur des éclosions multiprovinciales de maladies gastro­intestinales, y compris différentes souches de salmonelles, afin de déterminer si les maladies ont la même cause. Salmonella typhimurium est une souche de salmonelles commune au Canada; 750 cas en moyenne sont signalés à l'Agence chaque année. Qui est le plus à risque? Les Canadiens les plus à risque d'être infectés incluent les bébés, les enfants âgés de cinq ans et moins, les femmes enceintes, les personnes âgées et les personnes dont le système immunitaire est affaibli. Les jeunes enfants ont un risque d'infection accru parce qu'ils aiment bien souvent manipuler et interagir avec les reptiles et qu'ils ne se lavent pas toujours les mains avant de mettre leurs doigts ou d'autres objets contaminés dans leur bouche ou près de leur bouche. Les jeunes enfants sont aussi à risque d'être rendus gravement malades parce que leur système immunitaire n'est pas entièrement développé. Les nourrissons et les jeunes enfants peuvent même être infectés sans avoir de contact direct avec un reptile. Il suffit qu'un jeune enfant se trouve dans un environnement où un reptile est gardé ou laissé en liberté, ou qu'il se fasse nourrir ou toucher par une personne qui a manipulé un reptile sans s'être lavé les mains. Ce que vous devriez faire Le meilleur moyen de vous protéger contre la salmonellose est d'adopter de bonnes pratiques d'hygiène lorsque vous prenez soin de votre reptile et que vous vous occupez du nettoyage connexe. Les rongeurs et les reptiles sont normalement porteurs de salmonelles dans leurs intestins et peuvent excréter ces bactéries dans leur environnement. Lavez-vous toujours bien les mains avec de l'eau et du savon immédiatement avoir manipulé des rongeurs, des reptiles ou tout élément qui se trouve dans les lieux où ils vivent ou sont manipulés. Il est recommandé que les parents supervisent le lavage des mains des jeunes enfants. Toutes les surfaces touchées par un reptile ou un rongeur (vivant ou congelé) sont considérées comme contaminées et doivent donc être lavées avec du savon ou désinfectées avec du javellisant. L'habitat et le contenu du terrarium d'un reptile doivent toujours être nettoyés soigneusement à l'extérieur du logis. Portez des gants jetables pour le nettoyage et ne jetez pas l'eau dans un évier utilisé pour la cuisine ou pour de l'eau potable. La nourriture pour reptiles ne devrait pas être gardée dans la cuisine ni dans une pièce où des gens mangent ou boivent. Les rongeurs morts ne devraient pas être conservés dans le même réfrigérateur que les aliments destinés aux humains, et les rongeurs congelés devraient être décongelés et préparés hors de la cuisine avec des ustensiles et des contenants réservés exclusivement à cet usage. Ne faites pas décongeler de rongeurs servant à nourrir des reptiles dans des fours à micro-ondes utilisés pour des aliments destinés aux humains. Il ne faut pas garder de reptile dans un logis où demeure une femme enceinte, une personne âgée, une personne dont le système immunitaire est affaibli, un bébé ou un enfant âgé de moins de cinq ans. Il ne faut pas garder de reptile dans une garderie, une école ou tout autre lieu où se trouvent des enfants âgés de moins de cinq ans. Si des enfants entrent en contact avec des reptiles, il faut veiller à ce qu'ils le fassent sous surveillance, pour éviter qu'ils mettent les reptiles ou des objets contaminés par des reptiles près de leur bouche. Les enfants doivent se laver les mains sous la surveillance d'un adulte immédiatement après toute interaction avec un reptile ou un amphibien. Symptômes Les symptômes de la salmonellose (infection à salmonelles) apparaissent habituellement dans les 6 à 72 heures suivant l'exposition à un produit contaminé. Les symptômes incluent : diarrhée; fièvre; crampes abdominales; nausées; vomissements; frissons; maux de tête. Ces symptômes durent habituellement de quatre à sept jours. Les personnes en santé qui contractent la salmonellose se rétablissent souvent sans traitement. Les personnes qui ont des symptômes graves ou des problèmes médicaux sous-jacents devraient communiquer avec un professionnel de la santé si elles pensent avoir contracté la salmonellose. Ce que fait l'Agence de la santé publique du Canada L'Agence de la santé publique du Canada communique régulièrement avec ses partenaires fédéraux et provinciaux en santé dans le cadre de cette enquête. L'Agence travaillera de concert avec ses partenaires et prendra les mesures adéquates pour protéger les Canadiens dans l'éventualité où la situation s'aggravait et que le risque pour la santé de la population canadienne augmentait. Renseignements supplémentaires Renseignements de l'Agence de la santé publique du Canada sur les salmonelles et les reptiles SOURCE Agence de la santé publique du Canada Source
  19. Philippe Pandolfi, photographe amateur castriote, nous invite grâce à ses clichés exceptionnels, à découvrir chaque semaine, nos insectes méditerranéens. La mante religieuse est un insecte diurne de 5 à 8 centimètres de long. Les deux sexes sont aptes au vol ; néanmoins, la femelle alourdie à l'approche de la ponte ne peut se déplacer que grâce à ses pattes postérieures qualifiées de déambulatoires. Le mâle est plus petit que la femelle de 2 ou 3 cm, mais son caractère très fluet donne souvent l'impression d'une disparité allant du simple au double. Ses antennes sont plus longues, son abdomen est plus fin, et on compte huit sternites pour le mâle contre six pour la femelle. L'extrémité de l'abdomen est différente car, si le mâle porte deux cerques comme la femelle, on observe, entre ceux-ci, deux styles et l'absence d'oviscapte. Ses pattes avant, appelées « ravisseuses », portent des piques et sont capables de se replier et se détendre vivement. Elles servent à attraper les proies parfois volumineuses (jusqu'à de petits oiseaux et des chauve-souris. Source
  20. Belle surprise pour les baigneurs de la plage de Dizac, au Diamant lorsqu'en pleine journée, aux environs de 14h, une énorme tortue Luth est venue pondre ses œufs. Nullement impressionnée par les curieux, la bête assez énorme, est repartie tranquillement, devant un public très discipliné et très respectueux de cette merveille de la nature. Les gendarmes, alertés, ont juste demandé aux curieux de s'éloigner de la tortue au moment où elle regagnait l'eau, sous les applaudissement des touristes et des martiniquais, complètement sous le charme. Source
  21. Le boa, repéré il y a quinze jours quartier de la Goubetière à Bourg-de-Péage (lire Drôme Hebdo du 15 mai en page 3) a finalement été retrouvé (lire ci-dessous). Mais pas son propriétaire. Parce que l’animal, plutôt habitué à vivre dans les régions tropicales, a forcément été importé. C’est un Nac (« Nouvel animal de compagnie ») qui a été acheté par quelqu’un. Un Péageois ? Un Drômois ? Difficile de savoir. « En Drôme et en Isère, on ne connaît pas le chiffre exact de propriétaires de reptiles, encore moins en France », avance Frédéric Vouhé, terrariophile* spécialiste de ce type d’animal et qui travaille pour la préfecture de l’Isère. Lui-même éleveur déclaré de serpents à Sardieu, non loin de La côte-Saint-André, à une quarantaine de kilomètres de l’agglomération romano-péageoise, il constate qu’il n’y a qu’une vingtaine de particuliers répertoriés en France, au niveau des préfectures, alors que ceux qui possèdent des serpents sont en réalité probablement plusieurs milliers. « Si vous achetez un serpent dans une animalerie, c’est légal ; vous n’avez pas besoin de remplir des papiers pour un dossier de demande d’autorisation à déposer en préfecture », précise Frédéric Vouhé. « Un certificat de capacité, avec examen d’aptitude est nécessaire pour un lézard de plus 50 centimètres, des tortues avec une bouche de plus de 4 centimètres, des venimeux de plus de trois mètres et des plus petits serpents à partir du moment où il y a reproduction à plus de trois unités. Dans le cas du boa d’1,80 mètre de Bourg-de-Péage, il n’y a nullement eu besoin de certificat. En posséder un sans le déclarer officiellement n’est donc pas illégal. Mais il est clair que la plupart du temps, les gens ne veulent pas faire de démarches administratives qui les ennuient et qui en plus, pourraient leur interdire d’acheter un reptile s’il est vérifié qu’ils n’ont pas l’aptitude ni l’équipement nécessaire pour les élever. Eux ne sont pas toujours dans la légalité ». Personne n’aurait de serpent venimeux chez soi… D’après le terrariophile, les gens n’aiment ni les contraintes, ni le formalisme. En tant que membre de l’association BSA (Banque de sérum antivenimeux), il fait parvenir des questionnaires anonymes aux éleveurs qu’il a rencontrés çà et là, où n’est stipulé que le département où ils résident. Résultat : zéro réponse, personne n’aurait de serpent venimeux chez soi… Formateur pour les sapeurs-pompiers isérois et drômois pour les opérations de secours liées à la présence de reptiles, serpents venimeux ou crocodiliens, Frédéric Vouhé déplore à la fois un manque d’information sur ce type d’animaux, une défaillance de compétences des animaleries qui les vendent et souvent de l’inconséquence chez les acheteurs qui veulent « se procurer des sensations ». Selon le spécialiste, la vogue des « Nac » est dangereuse. « Le serpent n’est pas un animal de compagnie » « Il y a dix ans, un salon du reptile drainait quelques centaines de visiteurs », assure Frédéric Vouhé. « Aujourd’hui, c’est plusieurs milliers, et les gens ne font pas que regarder, ils achètent. Sauf qu’au final, on n’est pas plus, en France, qu’une vingtaine d’éleveurs officiels ! » La mode des Nac est en plein essor, sans doute en Drôme comme ailleurs, mais difficile donc à contrôler, et dont l’attrait supposé n’est pas toujours évident à expliquer. « Je suis formel, le terme inventé, récemment, de Nac, est impropre », réfute Frédéric Vouhé. « Le serpent n’est pas un animal de compagnie, c’est un animal sauvage, qui peut avoir des comportements violents comme tout autre animal. Même chez les bêtes domestiques, peut se produire brusquement des changements de comportement. Il faut toujours être vigilant ». Cyril Lehembre * La terrariophilie est une activité qui consiste à maintenir, voire à faire se reproduire des espèces animales ou végétales, en imitant leur biotope dans un milieu confiné, le terrarium (aquarium dont l’eau est remplacée par de la terre). Le boa capturé dimanche après-midi Il n’était finalement pas très loin de l’endroit où on l’avait aperçu et photographié, jeudi 8 mai. Au quartier de la Goubetière. Dimanche 18 mai, en fin d’après-midi, le boa activement recherché, a été capturé par les sapeurs-pompiers du centre d’incendie et de secours de Romans-Bourg-de-Péage, et plus exactement par un groupe spécialisé en opérations animalières. Ce sont des particuliers qui sont tombés nez-à-nez avec l’animal, sorti de sa cachette pour profiter un peu mieux d’une chaleur plus conforme à ce qui lui plaît naturellement : le serpent était enroulé autour de l’un des arbres de leur jardin. Ces Péageois ont alors eu le bon réflexe : téléphoner au 18, ainsi que la mairie l’avait stipulé à plusieurs reprises lors de ces dix derniers jours et à l’occasion d’une réunion publique (lire ci-dessous). Le boa est resté une soirée et une journée au sein du centre de secours de Romans-Bourg-de-Péage, avant d’être récupéré le terrariophile Frédéric Vouhé pour quelques jours. Soit l’éleveur le gardera dans son vivarium isérois, soit il l’emmènera ensuite dans un zoo. Source
  22. Une spécialiste présente la vie des araignées. Samedi, en soirée, au centre éden de Cuisery, Christine Rollard, spécialiste en connaissance des araignées et enseignante chercheuse au muséum national de Paris, animait une conférence afin de montrer sous d’autres angles la diversité des araignées. Plus de 60 personnes étaient présentes et intéressées de découvrir ce monde un peu spécial. Il existe 44 000 espèces dans le monde et seulement 1 700 en métropole. « Les gens craignent ces insectes, mais il faut savoir que dans nos maisons, elles ne sont pas néfastes », dixit Christine Rollard. Quant à l’adage « Une maison où il y a des araignées est saine », elle dit oui, l’araignée assainit la maison en détruisanmt insectes et diverses bactéries. Source
  23. Cela se passera ce dimanche. Ce sera la onzième édition de ce rendez-vous improbable avec des animaux pas très ordinaires. De ceux que l’on ne croise pas fréquemment. Ce qui explique peut-être l’engouement qui attire chaque année 2 à 3 000 personnes à la salle Dedecker en une journée, pour s’offrir quelques frissons… Dix-sept exposants triés sur le volet ont répondu à l’appel de l’association Le Peuple de l’Ombre, qui compte une quinzaine de membres. Leur credo, c’est avant tout la pédagogie. Ils interviennent d’ailleurs parfois dans les écoles. Parce que tous les animaux « exotiques » ne sont pas faits pour terminer au milieu de votre salon. Quoi qu’on en dise pour faire marcher le commerce… Et la proximité de la Belgique, où la loi est beaucoup plus laxiste, n’arrange pas les choses. Pas d’achat coup de tête ! Et puis n’est pas éleveur non plus qui veut. « Cela revient cher et il ne faut pas faire n’importe quoi » explique comme chaque année Olivier Vuillemin, le président wattrelosien de l’asso. L’exposition est gratuite, tant pour les exposants que pour les visiteurs. Histoire de permettre à tout un chacun d’avoir accès aux bons conseils. Ici, on ne sortira pas un serpent de son vivarium, ni une mygale pour la photo souvenir. C’est un peu le contraire : on regarde, on écoute, et on réfléchit. Il ne s’agit en aucun cas d’une exposition-vente. Les achats mi-coup de tête, mi-coup de folie pour faire plaisir au petit dernier qui a envie d’épater les copains, vous y réfléchirez à deux fois avant de les décider. Pour vous et pour les animaux ! Autant on peut craquer devant un chaton, autant, devant un reptile, les motivations sont différentes… On assistera cette année au grand retour des tortues après 3 années d’absence. Deux stands leur seront consacrés et vous pourrez également découvrir des tortues géantes. Alors, on regarde, on écoute, et on admire ces drôles de bêtes : reptiles, insectes, phasmes, tortues, lézards, araignées... etc. C’est sympa, instructif et gratuit ! Dimanche 1er Juin, à la salle Gustave-Dedecker, rue Jean-Jaurès à Croix. Métro Croix centre. Ouvert de 10 h à 18 h. Entrée gratuite Source
  24. Trouvée par un pêcheur au bord du Thoré du côté de Caucalières il y a quelques jours, la mystérieuse tortue d'eau recueillie par le cabinet vétérinaire du Siala à Castres était bien une «tortue serpentine» comme le pressentait le docteur vétérinaire Petra Seltensperger dans nos colonnes dimanche. Un beau spécimen mâle de 4,5 kg qui a été recueilli ce week-end par la Vallée des Tortues dans le Roussillon, près de Perpignan. Le responsable de ce parc animalier, Julien Quief, explique en effet : «C'est une variété assez rare en France, qui ne peut être commercialisée et pour laquelle il faut disposer d'un certificat de capacité pour la conserver. C'est en effet un animal reconnu comme dangereux, qui peut mordre avec la puissance d'un chien. Nous en avons quelques-unes dans le parc. Il y a une dizaine d'années, nous en avions même récupéré une dans la Garonne qui pesait 50 kg !» Ce spécialiste des tortues explique en effet qu'il est assez difficile de s'en procurer mais la législation est plus souple en Belgique ou en Espagne : «Il est possible que ce soit quelqu'un de la région qui souhaitait posséder un tel animal et qui l'a relâchée dans la nature. On en trouve parfois mais c'est très rare.» La tortue serpentine, appelée aussi tortue hargneuse est agressive et peut se retourner avec son long cou si on la tient par la carapace. Bref : c'est un animal originaire d'Amérique du Nord et encore méconnu chez nous mais qui s'adapte plutôt bien, même en milieu naturel où il doit pouvoir se reproduire sans difficulté et on ne lui connaît pas de prédateur. En revanche, la tortue serpentine a besoin de se nourrir de chair fraîche. Elle peut donc dévorer des poissons et parvient même à noyer de malheureux oiseaux qui se poseraient à la surface de l'eau où elle vit terrée au fond, sans trop se montrer. Autant dire qu'elle sera beaucoup mieux placée dans les bassins de la Vallée des Tortues avec ses congénères plutôt qu'au fond du Thoré... Jean-Marc Guilbert Source
  25. le 26 mai 2014. (COMMUNIQUE) Relâchée le 24 mai 2013, par des enfants, à Teahupoo, sur la presqu’île de Tahiti, la tortue Ariti ne cesse de voyager et de livrer ainsi des données précieuses aux scientifiques et au public sur les tortues caouannes, leur itinéraire dans le Pacifique et leur mode de vie. Avec déjà précisément 11 278 Kms au compteur au 24 mai, soit un an jour pour jour après le début de son odyssée, la tortue Ariti sera suivie tant que les émetteurs dont elle est équipée continueront à fonctionner. Ariti qui s’était, depuis les îles Marshall, dirigée vers le Sud-Est, a fait une pause dans la zone des monts sous-marins des Kiribati car, selon les scientifiques qui la suivent, elle profite de l’abondance de nourriture engendrée par le phénomène d’ « upwelling » (remontée d’eau profonde riche en sels nutritifs) qui se produit à cet endroit là. L’infatigable tortue devrait ensuite continuer à se déplacer en direction du Sud Est. Elle pourrait ainsi croiser prochainement le chemin de la pirogue traditionnelle Hokule’a qui a quitté Hawaii dernièrement pour se rendre à Tahiti. Source
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