Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Max|mum-leterrarium

Membres
  • Compteur de contenus

    12 143
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. L'animal a disparu depuis une dizaine de jours et ses propriétaires, très tristes, espèrent pouvoir vite la retrouver Il est moins courant d'annoncer la perte d'une tortue que celle d'un chien familier, et pourtant c'est la mésaventure qui est arrivée à Brigitte et Claude Covet, dont le chagrin est tout aussi grand. Sophie, tortue d'Hermann, 800 grammes, une quinzaine d'années, est sortie de son hibernation le 15 avril et a redécouvert les limites de son parc attenant au garage de la maison, située à Dussac. Le 4 mai, elle a même repéré que Claude en avait laissé la porte entrouverte le temps de sortir quelques outils de maçonnerie. La curieuse en a eu tôt fait de franchir le seuil et le temps que Claude réalise, trop tard, plus de Sophie ! Même l'épagneul est parti à sa recherche, mais en vain. Claude a perçu le bruit d'une voiture qui stoppait et redémarrait très vite. Brigitte et lui sont inconsolables ! Brigitte et Claude Covet espèrent retrouver le plus vite possible leur animal préféré En arrivant à la retraite de leur Picardie d'origine, à La Reille, où ils ont restauré une jolie maison, ils avaient ramené Sophie dans leurs bagages. Si quelqu'un l'a trouvée ou "empruntée", ils le supplient de la leur ramener, même déposée anonymement dans une boîte devant leur porte, de nuit comme de jour. Pour les contacter, tél. 06 24 52 97 97. Source
  2. Les Portland Trailblazers ont fait une surprenante découverte dans leurs vestiaires... où s'était réfugié un serpent avant leur match de play-offs en NBA perdu (114-97) jeudi contre les Spurs à San Antonio. Le reptile – les Trailblazers pensent que c'était un serpent à sonnettes – a été retrouvé dans le casier de l'intérieur remplaçant Thomas Robinson, selon la chaîne de télévision. Robinson a confié qu'il n'avait vu des serpents que sur la chaîne Discovery Channel jusqu'à maintenant. « J'étais effrayé, a avoué le joueur. Je ne vais pas mentir, j'étais effrayé. » Il a expliqué qu'il avait hurlé et fait un bond d'« environ 1,50 m en hauteur et de... 6 mètres en arrière ». Robinson a noté avec humour que le reptile était noir et blanc, les couleurs de San Antonio. L'arrière remplaçant Will Barton, le voisin de Robinson dans le vestiaire, a dit qu'il avait gardé son calme tout en sautillant sur une chaise. C'est finalement les courageux membres du staff technique des Trailblazers qui se sont emparés de la créature. Un officiel des Spurs a indiqué que le serpent n'était pas venimeux et qu'il avait été relaché dans la nature. Selon ESPN, la rumeur veut que l'ailier des Spurs Danny Green soit un collectionneur de serpents. « C'est donc le suspect n° 1 », a estimé Barton en riant. (Source : AFP) Source
  3. Grillons, criquets et vers de farine...Lancée en avril dernier, la ferme Diminicrickets possède un "cheptel" de 800 000 têtes. Les grillons sont une des trois variétés d'insectes produits par la ferme Diminicrickets, avec les vers de farine et les criquets. Née en avril dernier, la société Diminicricket - clin d'oeil au personnage de Walt Disney - a été créée par Dimitriti et Nicolas, deux entrepreneurs qui ne viennent pas du monde agricole et qui ont dû se former "sur le tas". L' élevage d'insectes pour l'alimentation humaine est une activité novatrice, dans la mesure où il n'existe qu'un seul élevage en France, à Toulouse où la société Micronutris possède une unité de production de 650 m2 depuis mai 2012. Une dégustation organisée par Diminicrickets dans une jardinerie de Sens pour faire connaître ses produits Une production à haute valeur nutritionnelle qui respecte le principe du développement durable L'élevage d'insecte obéit à des règles d'hygiène et de fonctionnement bien particulières auxquelles les deux entrepreneurs se forment depuis deux ans. A l'issue de ces deux années de travail, la production de la ferme de Branches commence à augmenter : 5 kilos de grillons et près de 3 kilos de vers de farine par semaine. "Eduquer" le palais des consommateurs Pour garantir un débouché à leur production, Diminicrickets organise des dégustations d'insectes et de produits fabriqués avec les grillons et les vers de farine, notamment des gougères bien connues des consommateurs bourguignons. Les créateurs de Diminicrikets proposent aux consommateurs une dégustation de produits dérivés à base d'insectes de leur élevage. Source
  4. Voir un serpent en allant faire ses courses Un python et trois élaphes ont été trouvés hier vers 8 h 20 sur le parking du Super U de Saverne, provoquant quelques sueurs froides chez le personnel et les clients matinaux. Source
  5. Une tentative d'exportation illicite de 521 tortues a été déjouée ce samedi par la police malgache à l'aéroport international d'Ivato, près de Tananarive, indique un communiqué du ministère malgache de l'Environnement, de l'Ecologie et des Forêts. Astrochelys yniphora (ou Angonoka) es tune tortue endémique de Madagascar. Il s'agissait de neuf Angonoka, l'espèce la plus rare et la plus menacée au monde. En 2012, il n'y avait plus que 440 à 700 individus à l'état sauvage. Menacée par les feux de brousses qui visent à créer des zones de pâture pour le zébu, et par la collecte sauvage d'individus destinés au trafic, l'espèce est considérée comme en « en danger critique d'extinction » par l'Union internationale pour la conservation de la nature: Les 512 autres tortues saisies étaient des Radiata, appelées également tortues étoilées de Madagascar. C'est un passager en partance pour Nairobi (Kenya), sur un vol de la compagnie Kenya Airways, qui a tenté de les transporter dans ses bagages. Les tortues ont été placées sous séquestre auprès du responsable de l'Association "Turtle Survival Alliance" en présence de membres du cabinet du ministère de l'Environnement, de l'Ecologie et des Forêts. Source
  6. Cela fait maintenant trois ans que l’association Asso’lidaire auxiloise organise une bourse aux reptiles. Des nouveaux animaux de compagnie qui n’ont pas de mal à trouver leur place dans la maison de leurs «maîtres», à entendre les exposants que nous avons rencontrés ce dimanche. Parmi ces exposants, il y avait France et Joël Mallet-Millan, venus de Belgique. Sur l’état de ces derniers, on trouvait notamment des poganas. « C’est une race de lézards qui aime le contact humain, il n’y a aucune agressivité. C’est ce qui est le plus conseillé pour quelqu’un de débutant, qui commence à s’intéresser aux reptiles », souligne l’éleveur. Des reptiles d’élevage, donc, car cette race « vient d’Australie et cela fait maintenant 48 ans que l’on ne peut plus sortir les poganas de ce pays. » À côté de ces poganas, on trouve également de petits serpents, d’une grosse quinzaine de centimètres. « Des boas bébés », confie France. Va pour le bébé, mais sinon, à l’âge adulte, ça mesure combien, ce type de bestiole ? « Jusque deux mètres vingt… » Quand même ! Et pour s’en occuper, on fait comment ? « Finalement, c’est comme un poisson rouge, il faut nettoyer le terrarium où il vit, lui donner à manger… » Tout simple, donc., a priori. Mais lorsque l’on achète un reptile, quel qu’il soit, « avant, il faut se renseigner, poursuit France. Dans son environnement, il y a la température, le taux d’hydrométrie à respecter… Avant d’acheter, il faut faire son installation, vérifier que tout est correct. » À côté de nos poganas et bébés boas, on retrouve Yoran Tanghe, venu du Lot. Son truc, ce sont les pythons. Le jeune homme s’est lancé il y a quelques années, « par passion ». Mais sinon, ce n’est pas dangereux, comme passion ? Et les risques de morsures ? À écouter Yoran, posséder un python ne serait pas plus dangereux que d’avoir un chien. Car oui, un python peut mordre, « mais un chien aussi… ». Des reptiles qui en tout cas n’effrayaient pas les bambins venus hier à la bourse avec leurs parents. Car cette bourse peu commune qui a attiré quelques curieux, pas forcément venus pour acheter, mais plutôt pour découvrir… Un rendez-vous qui rappelons-le n’est pas le seul organisé par l’Asso’lidaire, qui récolte des fonds pour les personnes en difficulté. « En février-mars, on fait une brocante à Nœux-lès-Auxi, note la présidente Estelle Lautour. En octobre-novembre, on fait aussi un repas avec soirée dansante et on tient une buvette à la ducasse. Cette année, on va aussi essayer de faire une bourse aux jouets avant les fêtes. » Renseignements sur l’Asso’lidaire auxiloise au 06 69 95 41 39 ou assolidaire62@hotmail.fr Source
  7. Les monstrueux crocodiles de la préhistoire ridiculisaient certes les sauriens d'aujourd'hui, mais ils s'attaquaient aussi à des proies beaucoup plus imposantes. Au cœur de cette impressionnante chasse, la technique du roulement de la mort. Comment les crocodiles chassaient les dinosaures par Gentside Découverte Ils auraient pu chercher des proies plus faciles, mais les crocodiles préhistoriques avaient visiblement pris gout à la viande de dinosaure. Le Scientific American s’est posé la question de savoir comment ils pouvaient chasser de telles créatures et la réponse tient en une technique que les sauriens d’aujourd’hui utilisent encore : le roulement de la mort. Après avoir saisi leur proie, les crocodiles roulent sur eux-mêmes afin d’en déchirer les chairs et d’en arracher un bon gros morceau, comme on peut le voir dans la vidéo ci-dessus. Cette attaque impressionnante, appelée "gator roll" en anglais, a d’ailleurs donné son nom à des mouvements dans des sports tels que la lutte et le jiu-jitsu brésilien. Les géants du passé Si le crocodile actuel le plus grand, le crocodile marin, peut atteindre les sept mètres et une tonne, il fait pâle figure face à ses glorieux ancêtres. Le sarcosuchus dépassait les 11 mètres et pointait à 8 tonnes, tandis que le deinosuchus allait jusqu’à 12 mètres pour 8,5 tonnes. Enfin, le purussaurus régnait du haut de ses 13 mètres pour 10 tonnes. Divers traces de dents sur des fossiles indiquent que le deinosuchus et le sarcosuchus s’attaquaient bien à des dinosaures de bonne taille. L’imposant purussaurus préférait quant à lui les mammifères, les tortues et les poissons. Une étude comparative Le roulement de la mort parait la meilleure solution pour assurer une chasse victorieuse aux espèces les plus téméraires. Reste pourtant à vérifier s’ils en étaient capables. Cette torsion mortelle génère en effet une énorme pression au niveau du crâne du prédateur. Les paléontologues ont alors comparé les crânes de 16 espèces de crocodiles vivants et ceux des trois espèces fossiles mentionnées. Selon les résultats publiés le 16 avril dans la revue Historical Biology, le deinosuchus et le purussaurus semblaient bien être capables d’exécuter une telle manœuvre. Elle s’avérait par contre probablement trop délicate pour le sarcosuchus, dont le museau plus fin aurait mal résisté à la pression. Les individus jeunes, et donc moins lourds, auraient eu plus de facilités à utiliser ce fameux roulement. Roulement ou non ? "Il est possible que les spécimens les plus imposants aient utilisé d’autres approches pour arracher des morceaux de chair à de grands vertébrés, ajoute au Scientific American Ernesto Blanco de l’institut de physique de Montevideo. Mais nous étudions des crocodiles beaucoup plus grands que ceux qui vivent encore aujourd’hui, on ne peut donc pas complètement exclure l’utilisation du roulement de la mort chez le sarcosuchus". Source
  8. Ces crocodiles d'un parc Australien ont été filmés durant leur repas. L'effet en slow motion est très spectaculaire. De spectaculaires sauts de crocodiles filmés en slow motion par Gentside Ces images très spectaculaires nous proviennent d'Australie et plus particulièrement du parc à thème de Darwin, "Crocosaurus Cove". Ce dernier est spécialisé en crocodiles. Et l'une des particularité de ce parc à thème est que tous les visiteurs peuvent nourrir les crocodiles et même les approcher à seulement quelques centimètres. Comme on peut le voir sur la vidéo, des vétérinaires leur donnent à manger à l'aide d'une sorte de canne au bout de laquelle est attaché un morceau de viande. Au cœur du bassin, une sorte de tunnel est installé. A l'intérieur se trouve un visiteur qui voit alors jaillir à seulement quelques centimètres de lui le reptile. Alors quand toutes ces scènes sont filmées et diffusées en slow motion, l'effet est garanti et le spectacle au rendez-vous ! Source
  9. L'explication de cette peur est avant tout biologique, car l'araignée ne correspond pas du tout à nos critères de beauté. Atlantico : D'où vient cet effroi que peuvent nous inspirer les araignées ? Est-ce lié à notre entourage, où à l'araignée en elle-même ? Jean-Yves Nogret : L’effroi que peuvent produire sur certaines personnes les araignées doit être comparé à celui généré par les serpents. Il apparaît alors que c’est avant tout la capacité qu’ont ces animaux à pouvoir attaquer par surprise, en approchant lentement de leur victime et en fondant sur elle brusquement. Rien ne terrifie plus une personne, même protégée par une vitre, que l’attaque surprise d’une araignée ou d’un serpent. Il n’y a qu’à observer les visiteurs d’un vivarium pour s’en rendre compte. L’araignée, comme d’autres êtres vivants, ne correspond pas au schéma global d’un vertébré, groupe auquel nous appartenons. Or, nous avons une tendance naturelle à rechercher dans notre environnement des repères que nous connaissons, ceci afin de nous rassurer. Tout ce qui s’éloigne de ces repères entraîne une méfiance qui peut se transformer en peur. L’araignée possède huit pattes et se nourrit grâce à des crochets (les chélicères), qu’elle enfonce dans sa proie. Elle est venimeuse et n’a pas de bouche, ce qui l’oblige à digérer ses proies en dehors de son organisme (digestion extracorporelle). Si vous demandez à différentes personnes ce qui les horrifie chez l’araignée, les réponses sont multiples : pour certaines c’est l’aspect poilu, pour d’autres les nombreuses pattes, pour d’autres encore, la marche silencieuse qui leur permet de vous approcher de près, … Nous avons peur des araignées comme nous avons peur des serpents qui se meuvent sans pattes, qui sont venimeux et qui avalent leur proie sans les mâchées. Nous avons également peur des scolopendres (des milles pattes) et de nombreux insectes. Notre entourage joue un rôle primordial : il suffit de comparer les réactions des citadins et des campagnards pour se rendre compte que les premiers craignent plus les « êtres différents de nous » que les seconds, par peur tout simplement de l’inconnu. Dans une étude récemment publiée (voir ici), Le docteur John M. Hettema avance que l'araignée serait l'une des peurs instinctives des enfants, et ce même s'ils n'ont jamais été piqués. Comment l'expliquer ? N'y a-t-il pas besoin d'avoir été confronté à une araignée pour apprendre à les craindre ? Ne s'agit-il pas d'une peur nécessaire à la bonne construction d'un enfant ? Mon expérience personnelle va à l’encontre de cette affirmation de peur instinctive car j’ai pu observer de jeunes enfants jouer avec les araignées comme avec d’autres "objets animés" insolites, avant que leurs parents ne les mettent en garde et ne leur transmettent leur propre peur. Les jeunes enfants sont même de véritables persécuteurs d’araignées car ils jouent généralement à "l’arrache patte" avec la pauvre bestiole. Chez un enfant "non éduqué" par ses parents, la confrontation avec une araignée ne suscitera la crainte que si cette dernière pique suffisamment fort pour provoquer une douleur mémorable. Il n’y a qu’à regarder les jeunes enfants jouer avec les Faucheux, des arachnides non venimeux ressemblant à des araignées, pour s’en convaincre. La crainte des araignées permet à n’en pas douter à l’enfant de se construire, mais au même titre que la peur des guêpes, des abeilles, des bourdons ou des serpents. Apprendre à se protéger des êtres dangereux n’est pas l’apanage de l’Homme ; cela fait partie de la phase d’apprentissage chez de très nombreuses espèces animales (chez les autres primates et les félins par exemple). Que signifie, également, le fait que les enfants tendent à avoir naturellement peur des araignées ? Faut-il y voir la preuve qu'il s'agit d'une phobie particulièrement répandue ? Si elle l'est vraiment, n'y a-t-il pas un tant soit peu de raison ? Comme je l’ai déjà évoqué précédemment, je n’ai jamais observé de peur instinctive des araignées chez les jeunes enfants. Certes, dans la nature il existe des signaux de danger innés, comme les colorations aposématiques (coloration vives et contrastées ; rouge jaune et noir par exemple), mais nous n’y sommes plus sensibles. Par exemple un jeune oiseau ne touche que rarement à la coccinelle car elle porte une livrée comportant ces signaux. Mettez un jeune enfant devant cet insecte et vous pourrez constater qu’il le portera à sa bouche. Mais même chez les animaux, un apprentissage est souvent nécessaire. Je pense que l’arachnophobie est très répandue pour deux raisons : premièrement, l’humanité est de plus en plus citadine et de ce fait de plus en plus éloignée des réalités de la nature. Or, il faut être au contact de la nature pour pouvoir apprécier l’araignée à sa juste valeur (destruction d’un grand nombre de parasites comme les mouches et les moustiques par exemple). Deuxièmement, nombreux sont les films qui utilisent le ressort de la peur de l’araignée pour créer l’effroi dans les salles de projection. Lors de leur passage à la télévision, ces films peuvent transmettre cette phobie à des centaines de million d’individus. L’arachnophobie est une crainte bienfaitrice dans les pays tropicaux, où vivent des araignées extrêmement dangereuses. Dans notre pays, cette crainte n’est absolument pas justifiée (il y a peu de risque de croiser une Veuve noire). Depuis combien de temps avons-nous peur de l'araignée ? S'agit-il d'une crainte ancienne, ou au contraire est-ce quelque chose de récent ? Cette crainte est certainement très ancienne dans les pays tropicaux, où il s’agissait et il s’agit encore, d’une question de survie. En France, cette crainte est certainement plus récente et liée à l’urbanisation. Une simple observation permet de constater que les campagnards sont beaucoup moins craintifs que les citadins. En admettant que plus les gens sont éloignés de la nature et plus ils la craignent, il y a de forte chance que ce phénomène s’accentuera avec la croissance importante des villes. Quels sont les moyens de lutter contre cette phobie ? Pour lutter contre cette phobie, il faudrait que les parents arrêtent de la transmettre à leurs enfants. Mais cela semble tout à fait impossible, au vue de notre mode de vie actuel où la crainte domine de nombreux aspects de notre vie. Il faudrait aussi favoriser le contact tactile avec ces animaux ; c’est ce que font certains parcs ou zoos avec d’autres animaux comme les serpents. Mais si l’on se réfère à ce qui se passe actuellement pour le loup, force est de constater que les phobies ont la vie longue. Source
  10. Cinquante personnes sont tombées malades dans le village d’Antsahanitia, samedi, après avoir mangé de la viande de tortue de mer. Six enfants ont péri après cette intoxication alimentaire. Un drame inouï est survenu dans le centre hospitalier universitaire (CHU) d’Androva, district de Mahajanga I, et dans le fokontany d’Antsaha­nitia, commune rurale de Belobaka, district de Maha­janga II, depuis samedi. Un mets composé de viande de tortue de mer ou « fano » a envoyé cinquante personnes dans les centres de santé. Quarante-deux d’entre elles ont dû être hospitalisées d’urgence au CHU d’Androva, dont dix sont des enfants. « Les enfants et les bébés constituent les principales victimes de cette intoxication alimentaire massive. Un bébé de dix mois vient de mourir ce soir (hier) vers 18h45. Ce dernier décès a porté le nombre des enfants morts à six. Le plus âgé n’a que trois ans», a annoncé Luc Fabien Raoeliariseheno, attaché de presse auprès de la région Boeny. Ce bilan humain très lourd aurait été causé par un retard de prise en charge et l’éloignement du fokontany d’Antsahanitia du centre hospitalier. Les pêcheurs ont capturé les tortues de mer vendredi. Ils les auraient, ensuite, vendues à prix bradé aux villageois. Chaque ménage a préparé le plat le soir-même. Contaminations Quelques heures après le petit déjeuner, les premiers signes de l’intoxication, entre autres, le vomissement et la diarrhée, sont survenus. Mais aucun des villageois n’a pensé à consulter un médecin qu’une fois la maladie aggravée. Par ailleurs, les jeunes mères ont continué à allaiter leurs enfants. Quand la situation n’a plus été maîtrisée après la ruée des patients vers le centre de santé de base de Belobaka, les villageois ont enfin décidé de ramener les enfants au CHU d’Androva, à 25 km. « Deux enfants sont morts dans le village. Un autre bébé est décédé en cours de route. Deux autres enfants ont rendu l’âme suite à une déshydratation avancée quand ils sont arrivés à l’hôpital. Tandis que le dernier bébé, âgé de dix mois, n’a pas survécu à la toxine. Tous ces décès seraient dus à la contamination du lait maternel par la toxine », a ajouté l’attaché de presse. Jean Razafindramonjy, directeur de l’Agence de contrôle de la sécurité sanitaire et de la qualité des denrées alimentaires, a avancé, face à ce drame que la viande de tortue de mer constitue un danger potentiel pour l’être humain. C’est également une espèce protégée. « Les petits poissons mangent les algues toxiques. Ils sont ensuite avalés par gros poissons. (…) Mais il n’y a que l’homme qui mange les tortues ayant ingéré l’algue toxique », a-t-il éclairé. Source
  11. La cape de Harry Potter, l’anneau de Frodon Sacquet ou encore la potion de Wilhelm Storitz: l’invisibilité fait rêver. Et pas seulement dans la littérature. Dans les laboratoires des plus grandes universités, les scientifiques s’affairent à trouver le moyen d’acquérir ce don prodigieux. Notamment au Michigan, où, d’après le site Mashable, des jeunes doctorants américains auraient trouvé la clé pour changer la couleur des objets en fonction de ce qui les entoure. «Les couleurs d’une structure cristalline sont basées sur l’espace qui existe entre les particules, explique l'auteure de l'article, Melissa Goldin. Cet espace détermine quelle quantité de lumière les cristaux vont absorber, et celle qu’ils vont réfléchir. C’est ce processus qui donne aux cristaux leur couleur visible.» Les doctorants de l’université du Michigan ont supposé qu’en manipulant cet espace, ils parviendraient à contrôler la couleur des cristaux. Et à la changer. Pour ce faire, ils ont placé sous des micro-particules peintes au latex et plongées dans un liquide de type kérosène une solution solide transparente. Une fois la lumière allumée, un courant d’ions se forme. Lorsque leur charge est négative, les micro-particules sont attirées par la lumière. Dans le cas contraire, elles tentent de l’éviter. Si la lumière est éteinte, elles disparaissent. Les micro-particules s’ordonnent ainsi sous la forme des rayons ultraviolets émis par les scientifiques. Pour cette expérience, ils ont choisi la lettre M, logo de leur université. «En temps normal, pour obtenir une forme telle que ce bloc M, il aurait fallu construire le cristal sur un gabarit, explique le site de l’université. Un gabarit ne peut créer qu'une seule figure. La nouvelle méthode peut produire des cristaux de toutes les formes, du moment qu'elles sont diffusables par de la lumière.» Pour l’heure, il ne s’agit encore que d’une étude. Mais tout porte à croire que l’université du Michigan mettra à profit ces recherches: «La capacité de contrôler des cristaux grâce à la lumière et à la chimie pourrait mener à la création d’une tenue de camouflage inspirée des changements de couleurs du caméléon pour des corps animés ainsi que pour d’autres surfaces.» Outre la volonté de créer une sorte de cape d'invisibilité, ce que de nombreux chercheurs sont déjà en train d'étudier, les scientifiques à l’origine de cette étude envisagent d’utiliser ces résultats pour détecter des molécules ayant un intérêt médical. Source
  12. Une photo, prise par un anonyme, a été envoyée à la police de Brasschaat. Sur le cliché des douves de la forteresse de la commune flamande, un crocodile prend le soleil. Les recherches menées par la police et la commune n'ont, pour l'instant, pas abouti. Les autorités invitent la population à rester vigilante. Le cliché du crocodile dans le fort de Brasschaat a fait le tour du web la semaine passée, rapporte Het Laatste Nieuws. C'est un habitant de la commune qui a envoyé la photographie à la police locale. La personne qui figure sur la photo et celle qui l'a prise ne sont pas encore connues des autorités. "Au départ, nous n'attachions pas beaucoup d'importance au cliché", admet Jan Jambon, bourgmestre N-VA de la commune. "Est-ce un vrai crocodile ou autre chose? Nous ne savons pas vraiment. Pour l'instant, nous pensons qu'il s'agit d'un farceur." Des vérifications du cliché sont en cours. Le chef de corps, Bart Van Cleuvenberg explique au journal: "Nous devons enquêter pour voir si la photo est vraie ou pas car de nous jours, on peut accomplir de vraies prouesses avec Photoshop. D'après les premières estimations, l'image ne serait pas trafiquée. La photo a été prise à Brasschaat, c'est pratiquement certain, mais nous ne somme spas sûrs à 100%. Le bâtiment présente toutefois des similitudes avec le Fort." Pour lui, il faut d'abord retrouver le photographe. "Nous connaissons la personne qui nous a envoyé la photo. La personne qui a capturé l'instant, en revanche, n'est pas encore identifiée. Une fois que nous saurons de qui il s'agit, il sera plus facile pour nous de savoir." Aucune mesure de sécurité supplémentaire n'est envisagée pour l'instant. "Nous avons la photo en notre possession depuis une semaine mais, depuis lors, nous n'avons rien reçu de plus!", ajoute le chef de la police. Mais les autorités restent vigilantes. "Parce qu'il est possible qu'un crocodile puisse survivre ici, nous ne pouvons pas fermer les yeux et classer l'affaire. C'est pourquoi nous demandons à chacun de bien regarder. Nous avons détaché une patrouille qui va régulièrement voir et nous avons aussi utilisé des jumelles de vision nocturne, sans résultat." Source
  13. Des propriétaires ont cédé une partie de leur terrain à Pro Natura pour préserver des espèces menacées, dont le lézard vert et la salamandre tachetée. Les lézards verts que l'on trouve à Corseaux peuvent atteindre jusqu'à plus de 35 cm et possèdent des couleurs presque fluorescentes. Image: Bastien Steinmann A le regarder, on croirait qu’il s’agit d’une espèce tropicale tant ses couleurs sont fluorescentes. Vert sur le dessus (et bleu sous la gorge des mâles). Pourtant, c'est bien sur terres vaudoises que l’on peut observer le lézard vert, espèce menacée et protégée. Quelques dizaines d’individus survivent en quatre endroits du canton: à l'embouchure de la Veveyse, à Corseaux, à Roche et dans le Chablais. La parcelle où ils se trouvent à Corseaux vient d’être cédée à Pro Natura par les propriétaires. Sauf oppositions durant la mise à l’enquête (qui dure jusqu’au 22 mai), l’endroit se transformera donc en réserve naturelle, «Mais attention, elle ne sera pas ouverte au public», précise Jacques Trüb, qui a suivi le dossier pour Pro Natura. Le terrain est de toute façon difficilement accessible, escarpé et rocailleux, à la frontière avec la commune de Chardonne au nord, délimitée par le lit canalisé du ruisseau des Gonelles à l’ouest et par la ligne de chemin de fer Vevey-Chexbres au sud. Sur le reste de la parcelle des propriétaires, trois logements devraient voir le jour. C'est beaucoup moins que la quinzaine d'appartements prévus en 1999, dans un projet alors refusé par le Conseil communal. (24 heures) Source
  14. Un élève a été hospitalisé pendant une semaine après avoir joué avec un serpent venimeux. La vipère aspic (photo) qui a mordu le jeune Bernois est aussi appelée vipère du Jura. Une promenade scolaire au pied du Jura, la semaine passée près de Bienne, a mal fini pour un élève de 9e année. En se baladant, il a découvert une vipère aspic. Au lieu de s’en éloigner, il l’a prise dans ses mains pour jouer avec. «Ça s’est passé près de la gare de Macolin. Comme il avait déjà de l’expérience avec des reptiles, il n’a pas fait de mouvements brusques et a laissé la vipère serpenter entre ses doigts», explique le prof de gym de l’élève, Pascal Georg. Selon lui, l’animal a pris peur et l’a mordu lorsque le jeune a voulu donner la vipère à un camarade de classe. L’ado, dont la main a immé­diatement enflé, a été emmené en urgence à l’hôpital, où il est resté une semaine. «Pendant deux jours, il n’avait plus de voix, raconte Pascal Georg. Il a pu revenir à l’école, mais son bras est toujours immobilisé avec une attelle.» Selon Christine Rauber-Lüthy, médecin-cheffe du centre d’information toxicologique de Zurich, un serpent est souvent venimeux s’il a des pupilles en fente verticale. Elle rassure néanmoins: aucun mort n’a été recensé en Suisse après une morsure de serpent ces quarante dernières années. Source
  15. Une faille dans la surveillance phytosanitaire a permis à cette araignée venimeuse d’entrer sur le territoire. L’introduction d’une autre espèce invasive, le serpent marron arboricole avait causé, après la seconde guerre mondiale, d’énormes dégâts à l’environnement de l’île. Les autorités portuaires et phytosanitaires du territoire américain de Guam (Pacifique Nord-ouest) sont confrontées depuis le mois dernier à une véritable invasion d’araignées de type veuves noires, qui ont apparemment été importées par inadvertance dans un chargement arrivé par voie maritime, rapporte hier le quotidien Pacific Daily News. Selon les employés des docks, qui se considèrent désormais menacés par d’éventuelles piqûres de ces araignées venimeuses, l’erreur aurait été de décider de faire passer à la fumigation un conteneur déjà identifié comme suspect, au lieu que de refouler purement et simplement le cargo pour des raisons phytosanitaires. Depuis, les araignées auraient commencé à trouver le moyen de s’échapper de la zone des quais, à tel point que certains spécimens ont déjà été retrouvés dans des maisons riveraines du quartier du port. L’un des dockers a ainsi reconnu avoir, à son insu, ramené chez lui l’une de ces araignées, qui avait trouvé refuge dans son sac à dos. Une autre de ces araignées a aussi été retrouvée dans les toilettes du wharf. Outre les dangers potentiels immédiatement posés par d’éventuelles piqûres sur des humains, à commencer par les employés du port, les associations de défense de l’environnement s’alarment d’ores et déjà sur les effets là aussi potentiellement dévastateurs d’une expansion des veuves noires dans la nature. L’introduction d’une autre espèce invasive, le serpent marron arboricole (Boiga irregularis), originaire des zones tropicales d’Australie et de Papouasie-Nouvelle-Guinée, avait causé, après la seconde guerre mondiale, d’énormes dégâts à l’environnement de l’île. La population s’était alors développée à grande vitesse, éliminant au passage des pans entiers de la faune, par prédation, mais aussi provoquant régulièrement de gros dégâts aux infrastructures : de fréquentes coupures du réseau électrique à chaque fois qu’un de ces reptiles provoquait un court circuit entre les fils de deux pylônes, où ils aimaient à se promener. Depuis quelques années, les autorités américaines intensifient leurs efforts afin d’éradiquer une fois pour toutes ce serpent arboricole. Dernière offensive en date dans cette guerre totale : début 2013, avec comme allié inattendu des souris empoisonnés, que les services parachutent en masse sur les zones les plus infestées. Hawaii menacée Le Boiga irregularis avait été introduit involontairement à Guam pendant à la fin de la seconde guerre mondiale guerre du Pacifique, en même temps que du matériel militaire ramené du front de Papouasie-Nouvelle-Guinée. Par voie d’introduction, cette espèce de serpent venimeux a aussi débarqué sur d’autres îles de la Micronésie. Depuis, le reptile n’a cessé de proliférer dans des proportions dépassant tout contrôle, causant au passage d’énormes dégâts aux cultures, mais aussi aux réseaux électriques (sur lesquels ils provoquent régulièrement des courts-circuits). Du fait d’une grande concentration de ces serpents aux alentours de l’aéroport militaire d’Andersen, base stratégique et avancée de l’US Air Force, en regard direct avec la Chine et la Corée du Nord, les incidents sur le tarmac et parfois en vol se sont multipliés ces dernières années. En raison des rotations fréquentes, militaires et civiles, entre Guam et Hawaii, les autorités américaines redoutaient aussi, tôt ou tard, une introduction involontaire de cette espèce à Honolulu et plus loin encore, sur la cote Ouest du continent Nord-américain. Les associations de défense de l'environnement à Guam leurs reprochent aussi d'être la cause de la disparition de plusieurs espèces d'oiseaux rares et endémiques, dont les reptiles sont friands. Les serpents sont aussi des vecteurs potentiels de maladies comme la leptospirose. Chaque année, des dizaines de milliers d’individus sont capturés, sans réussir à faire chuter la population, estimée à près de deux millions d’individus. Afin de lutter contre ce fléau, la dernière idée en date vient du département de l’agriculture et de la nature pour les territoires insulaires du Pacifique américain, basé à Honolulu. Il s’agit de préparer de grandes quantités de souris mortes, mais truffées d’un poison fatal aux serpents, et ensuite de les lâcher sur les zones infestées, par hélicoptère. Cette stratégie de parachutage de souris mortes se base sur deux failles de cette espèce de serpent : tout d’abord, et contrairement à la plupart des autres reptiles, il ne répugne pas à ingurgiter des proies non vivantes, mais il est aussi particulièrement vulnérable à certaines substances, comme l’acétaminophène (qui entre dans la composition de médicaments analgésiques à base de paracétamol). Pour éviter l’écrasement des cadavres piégés de ces rongeurs, il a aussi été prévu de doter chacun de ces appâts d’un petit parachute, en tissu tendu de carton, a expliqué le directeur adjoint de ce service américain, Daniel Vice. Objectif : faire en sorte que les souris gorgées d’acétaminophène (dosé à 80 milligrammes par appât, une dose mortelle pour les serpents, mais inoffensive pour l’homme) et ainsi équipées, ne tombent pas au sol, mais se retrouvent prises en hauteur, dans la canopée, à portée la plus directe possible des serpents, qui y vivent. La première vague de parachutages a débuté en avril-mai 2013. Depuis, les autorités observent une pause afin d’évaluer l’efficacité de cette nouvelle technique, pour ensuite décider de poursuivre et d’étendre l’opération. Source
  16. Depuis jeudi dernier, un boa de plus de deux mètres de long a été aperçu à Bourg-de-Péage. Si les recherches se poursuivent dans le secteur, aujourd’hui un autre serpent a été capturé à un dizaine de kilomètres de Romans. C’est à Triors que les pompiers du centre de Romans/Bourg-de-Péage sont intervenus pour déloger un spécimen de près d’1m50 niché dans une roue. En attendant, le fameux boa (photo) reste toujours introuvable… Source
  17. CAUCHEMAR - A Singapour, une femme au foyer a senti une violente douleur alors qu'elle était aux toilettes. Un serpent venait de surgir par le tuyau d'évacuation et de la mordre. Cela fait partie des phobies largement répandues dans le monde : le serpent qui remonte dans les toilettes et vient vous mordre au moment où vous êtes le plus exposé. A Singapour, une femme au foyer a eu la désagréable surprise d'en faire les frais, indique MSN. Noraslinda Asat, 34 ans, était confortablement installée sur ses toilettes le 1er mai 2014 quand elle a senti une violente morsure en haut de la cuisse. Se levant précipitamment, elle a découvert à sa plus grande stupéfaction qu'un serpent avait surgi par le tuyau d'évacuation et venait de la mordre profondément. Un serpent rôdeur amateur de WC Elle a finalement réussi à s'en saisir après une lutte contre l'animal, un Python marron clair avec des tâches marron foncé, sur le sol de sa salle de bain mais celui-ci s'est finalement enfui du domicile par une ouverture. La femme estime que le serpent mesurait dans les 6 pieds (1,8 mètres) de long et était aussi épais que l'avant-bras de son mari. Elle a été hospitalisée brièvement, le temps de recevoir une injection pour éviter toute infection après la morsure du reptile. Cependant, cette histoire abracadabrantesque a laissé des traces. Et pas que sur sa cuisse. Profondément traumatisée, la jeune femme refuse désormais d'utiliser ses toilettes et préfère se rendre dans des WC publics. Il est vrai que sa mère avait déjà aperçu, deux semaine plus tôt, un serpent dans cette salle de bain. Ce dernier s'était enfui rapidement par la cuvette. Visiblement, il sait soigner ses come-back. Source
  18. Rhacodactylus auriculatus est une espèce de geckos de la famille des Diplodactylidae. Même si il est un peu moins populaire que son cousin le gecko à crête, le gecko gargouille gagne actuellement en popularité dans le monde de la terrariophilie. Son comportement sociable, son look particulier et sa facilité d'entretien ne le rende que plus sympathique. Décrit pour la première fois en 1869, il fût le premier des Rhacodactylus à être élevé de manière significative pour la garde en captivité. Toutefois, c'est en 1994 qui fut "redécouvert" par les herpétologues et popularisé afin d'en faire l'animal que l'on connait aujourd'hui. Le Rhacodactylus auriculatus ressemble de près à son cousin le Correlophus ciliatus, avec une tête un peu moins massive proportionnellement, mais plus grand. L'auriculatus n'en est pas moins mignon que son cousin. Il développe une palette de couleur assez incroyable sur lui mais on ne distingue pas de phases aussi précises que chez d'autres espèces. Il tient son surnom de "Gecko Gargouille" de par ses couleurs et motifs "pierre" blanches et grises, et de par son immobilité (c'est un grand timide). C'est un gecko de relativement grande taille pour une moyenne autour du 25 cm. La majorité de mes gargouilles sortent autour de 50-60 grammes. La peau a un aspect granuleux. Les couleurs sont le gris, le beige et le marron plus ou moins marqué, alternées sous forme de bandes très irrégulières. Sa livrée est un motif cryptique rappelant le lichen, qui peut varier de couleur et qui est ponctuée de points rouges. Des excroissances sont présentes sur la tête, au niveau des yeux, formant des sortes de cils. Ses yeux sont dépourvus de paupières. Sa langue étant très longue et souple, cette dernière lui permet de laver ses yeux et de les humidifier. Une pupille fine placé au centre de l'oeil est particulièrement adapté à son mode de vie nocturne, lui donnant une bonne vision même la nuit. Les mâles présentent un renflement de chaque côté de la base de la queue, logeant des hémipénis. La queue de l'auriculatus repousse, contrairement à celle de son cousin. Tout comme le gecko à crête, le gecko gargouille dispose d'une queue préhensible qui agit à titre de cinquième pattes. Le bout de sa queue présente les mêmes poils "velcro" que les pattes. Il ne faut donc jamais retenir un gecko gargouille par la queue sous peine de la voir vous restez entre les mains. Vous pourrez entendre ses vocalises la nuit ! Ce petit est doté de lamelles adhésives sous les pattes, donc pas de lampe chauffante à l'intérieur du terra pour pas qu'il se les brule !!! Comme il est arboricole, se sont ses pattes qui lui donne la faculté de grimper à sa guise. Les pattes arrières du gecko gargouille sont aussi très puissante. Lorsqu'il les contracte, il arrive à faire des bonds impressionnants, lui permettant de sauter de branches en branches avec facilité. Attention, cet animal saute loin (arboricole oblige !) Sa longévité est d’environ 15 ans. Cette espèce est endémique de Nouvelle-Calédonie. Il se retrouve uniquement dans la région à l'extrémité sud de l'île de la Nouvelle-Calédonie. Elle se rencontre du Nord au Sud de la Grande Terre. Cette espèce vit dans la forêt tropicale humide. Cette espèce se trouve plus près du sol que les autres espèces de Rhacodactylus, geckos gargouille se trouvent généralement sur les niveaux inférieurs de troncs d'arbres et de broussailles de la végétation. Ils peuvent être considérés comme semi-arboricole. Son habitat étant menacé par la déforestation de l'île, plusieurs mesures de protection pour la préservation de l'espèce sont actuellement mit sur pieds. Il est donc envisagé de mettre ce gecko CITES. En terrariophilie, il y a une règle de base, pas de mélange d'espèce. Ne prenez donc pas le risque de garder votre gargouille avec d'autre espèce. Il est possible de garder plusieurs femelles gecko gargouille dans un même terrarium si ce dernier est adapté. Toutefois, il n'est pas recommander de garder un couple ensemble. Votre mâle risque de vouloir accoupler votre femelle plusieurs fois par jour. Ce stress constant peut grandement nuire à la santé de votre femelle. De plus, accouplement égale ponte et la ponte demande beaucoup d'énergie et trop de ponte à répétition peut épuiser votre femelle, la rendant très malade, risquant même la mort. Une femelle accouplée trop jeune, prendra ses réserves de calcium pour ses oeufs et non pour la formation de son propre squelette. Elle risque donc de grandes carences physique, pouvant grandement nuire à son développement. Les geckos gargouilles ont souvent la fâcheuse tendance à "arracher" la queue de leur partenaire. Cette particularité n'est donc pas à prendre à la légère si vous voulez gardez plus d'un spécimen ensemble. Les mâles ne doivent jamais être gardés ensemble. D'un naturel territorial, ils auront tôt fait de procéder à de violente bataille pouvant blesser un des deux combattants. De plus, la domination du plus fort exercera une grande source de stress au plus faible pouvant nuire à sa santé et même à sa vie. C'est un gecko relativement placide et peu farouche, facilement manipulable, mais des spécimens observés en captivité ont démontré des comportements territoriaux voire violents dans plusieurs situations. Comme il est arboricole, il est essentiel de donner à votre gecko, un terrarium en hauteur, garnis généreusement de branches et de feuilles. Les feuilles lui serviront également à se cacher pendant le jour, puisqu'il est nocturne, mais aussi afin de boire l'eau qui s’y déposera lors de la vaporisation. Vous pouvez agrémenter de plantes naturelles type ficus, pothos, bromélia, tyllandsia,...Ces plantes formeront autant de cachettes naturelles, toutefois, des noix de coco percées et posées au sol ainsi que des morceaux d'écorces de chêne liège seront très appréciés. Afin de garder un bon taux d'humidité, vaporisez le terrarium avec une eau température pièce le soir, ou deux fois par jour si vous ne réussissez pas à maintenir un bon taux d’humidité, sinon un brumisateur type "pluie" sera bien. Il faut que l'humidité vienne du plafond et non du sol. Attention à ne pas détremper le terrarium. Il faudra donc vous équiper d'un vivarium de taille minimum 60cm de haut, 45 de long et 45 de large pour un à deux spécimens adultes, où se trouvera un substrat de type tropical (le humus de coco est très bien pour ça, minimum 7cm dans le fond), quelques branches traitées pour l'humidité et beaucoup de feuillages pour qu'il(s) puisse(nt) se cacher pour dormir. C'est un gecko nocturne qui s'expose peu au soleil. Les températures vont de 23 à 27 °C durant la journée (au delà de ces températures, il devient amorphe), et chutent d'environ 5 °C durant la nuit. Vous pouvez lui donnez un néon UV de 5% qui l'aidera à bien assimiler son calcium. Ce lézard a besoin de 60% d'hygrométrie en journée et un pic de 80% d'hygro le matin et le soir. Le Rhacodactylus auriculatus aura une activité naturellement moins élevée en hiver. Comme le gargouille est insectivore, frugivore. Vous pourrez lui donnez de la purée de fruit et des insectes variés. Le mieux ce sont les fruits exotiques et fruits rouges ! Il existe plusieurs nourritures conçu pour eux également comme le Repashy, le Clark’s diet, le Pangea, etc. Ces nourritures ont chacune leur propriétés avantageuses propres à elle-même mais ne peuvent constitués la seule nourriture de l’animal. Le grillon étant la base de son alimentation insectivore. Rajouter à son alimentation de la poudre de calcium deux fois par semaine et des vitamines une fois par semaine. Vous trouvez le tout en animalerie. Il faudra nourrir votre gargouille tous les jours lorsqu'il est bébé. Un fois adulte, vous pouvez espacer graduellement les repas et le nourrir au 3 jours environ. Il mange environ 10 grillons par semaine (2 à 4 tous les deux jours). Il accepte aisément d'une part les grillons, blattes, vers, souriceaux. Assurez vous de fournir à votre gecko une source d'eau fraiche tous les jours dans une coupole placé dans le terrarium. Avant de penser à reproduire vos gargouilles, prenez de l'expérience. Commencer par garder des spécimens adultes dans de parfaite condition, puis tentez l'expérience avec un bébé de quelques mois. Assurez-vous qu'ils se développent bien et qu'il ne présente pas de retard de croissance ou de carence alimentaire. Prenez votre temps. Plusieurs mois, voir même année sont nécessaire afin de bien connaître votre animal. Lisez, faites des recherches. Lorsque vous connaitrez par coeur les détails de la garde en captivité d'un gecko gargouille, pour pourrez penser à tenter l'expérience de la reproduction. La maturité sexuelle apparait vers un an, mais des reproductions trop précoces chez les femelles peuvent perturber la fin de la croissance. Bien que la maturité sexuel du gargouille ne se fait pas avant 12 à 18 mois, il est possible de sexer un gargouille vers l'âge de 6 mois. Les mâles présentent des bosses apparentent à la base de la queue, cachant ses hémipénis. Bien que la femelle puis quelques fois présenter un léger renflement au même endroit, celui du mâle est beaucoup plus apparent. Vous pouvez faire reproduire vos femelles à partir de 1 an et demi, il est déconseillé avant pour des problèmes de croissance. C'est une espèce relativement facile à reproduire. La reproduction est quasi automatique dès que l'on a mis un mâle adulte en présence d'une femelle adulte. Il faudra séparer le mâle de la ou des femelles 4 mois minimum l'hiver à partir des premiers accouplements afin de les laisser se reposer et de leur "donner envie" / favoriser, les reproductions à venir. Le mâle courtise la femelle durant environ deux à trois jours. Ensuite l'accouplement en lui même ne dure que quelque seconde et celui-ci se répétera autant de fois que possible pendant deux mois. En effet, l'accouplement se déroule de nuit, vous pourrez entendre votre mâle vocaliser afin "d'amadouer" votre femelle en la poursuivant, celle-ci lui répondra, alors le mâle lui mordra la queue puis la nuque. Il placera ensuite son cloaque face à celui de sa partenaire et la fécondation commencera, l'acte reproducteur prend rarement plus de 3 minutes. Si l'accouplement est profitable, vous pourrez avoir 2 oeufs tous les mois jusqu'à 12 oeufs par an. Veillez à avoir toujours une cachette au sol assez grande pour une femelle par femelle afin qu'elle puisse pondre. Il est impératif qu'elle ponde dans un substrat idéal pour elle (ex : humus de coco ou terreau non traité). Environ 20 jours après l'accouplement, la femelle déposera 1à 2 oeufs dans le substrat, enterrés à environ 5 cm de profondeur. Un indice pour les trouver: la femelle restera à proximité du site ponte pendant la journée qui suit celle-ci. Les oeufs seront placés dans un incubateur à une température de 24-26°C, au dessus les oeufs se développeraient trop vite ce qui entrainerait la mort des jeunes, pendant environ 60 jours. Il est important de préciser que le taux d'éclosion le plus important est obtenu en incubant les oeufs sur de l'humus de coco, sur de la vermiculite les oeufs pourrissent rapidement même s'ils sont féconds. Après l'éclosion, il est conseillé de garder les jeunes une journée dans l'incubateur enfermé dans une boite en plastique percée de petits trous (type boite à grillons) garnie de papier essuie-tout. L'incubation peut également se faire dans le terrarium des parents, toutefois dans la nature les Rhacodactylus chassent d'autres lézards, ce qui, dans le cas d'une éclosion surprise, amène à un fort risque de prédation des parents sur les jeunes. Les jeunes seront maintenus dans les mêmes conditions que leurs parents, vous pourrez même les placer dans une "fauna-box" dans le terrarium de leurs parents. Les jeunes ne prendront leur premier repas qu'après avoir terminé leur première mue, vous pourrez alors leur proposer des micro grillons, des drosophiles, des purées de fruits. Durant la croissance de vos jeunes, pour vous donner un repère simple pour la taille des proies, celles-ci doivent toujours être de taille légèrement inférieure à la taille de la tête de votre lézard.
  19. Pour sauver son chien, pris dans les anneaux d'un python, une femme attaque le reptile avec son canif. Une femme a sauvé son chien pris dans les anneaux d'un python en attaquant le reptile avec un canif. L'incident s'est produit au cours d'une promenade dans un parc forestier à Hong Kong, a-t-elle révélé sur sa page Facebook. Courtney Link a raconté comment un python birman de cinq mètres avait mordu Dexter, un chien croisé de 24 kilos, avant de s'enrouler autour de lui, le condamnant à l'asphyxie. "Dexter commençait à faiblir, il s'était même arrêté de lutter. Nous pensions l'avoir perdu. Mais quand j'ai vu la tête du serpent, j'ai commencé à le poignarder furieusement", a-t-elle expliqué en publiant une photo de son chien et des morsures apparentes du reptile. Le python a finalement lâché prise et s'est enfui. Une semaine après sa mésaventure, Dexter est totalement rétabli, selon Courtney Link. Une porte-parole du ministère de l'Agriculture a confirmé l'incident. Les pythons birmans font partie des plus grands reptiles connus. Ils peuvent atteindre 6 mètres de long et peser 100 kilos. Ce sont les plus grands prédateurs de Hong Kong où ils protégés. Source
  20. Vendredi, nous avons pu assister à l’opération d’un python birman de plus de trois mètres dans un cabinet vétérinaire d’Autreppe, dans les Hauts-Pays. La femelle serpent de 30 kilos ne parvenait pas à expulser ses œufs de manière naturelle. Le docteur David Leduc et son assistant, Guillaume Michel, tous deux spécialistes des reptiles, ont opéré la bête pendant plus de trois heures. Ils ont retiré 29 œufs de son corps ! 9h30 du matin, Guillaume Michel, l’assistant-vétérinaire du docteur Leduc, nous présente son patient du jour : un python birman de 30 kilos. « Enceinte », l’animal souffre d’infection respiratoire et ne parvient pas à pondre naturellement. « Nous lui avons administré plusieurs médicaments pour qu’elle ponde naturellement, explique l’assistant, elle n’est parvenue à expulser qu’un seul œuf avec cette méthode douce. L’opération était inévitable. À cause de son infection respiratoire, l’anesthésie comporte certains risques, nous avons d’ailleurs déjà prévenu le propriétaire. » Après avoir injecté une dose de sédatif au python, le vétérinaire et son assistant transportent l’animal sur la table d’opération et incise le ventre à l’endroit où se trouve une partie des œufs. Deux heures plus tard, le docteur enlève le 29 e et dernier œuf. « Nous les avons déposés dans une boîte car le propriétaire voulait les récupérer », dit le docteur. « Néanmoins, il y a peu de chance qu’il en sorte des petits » Après avoir recousu l’animal, les deux passionnés massent le serpent pour le stimuler. Retour au vivarium, avec 5 kilos de moins, soit le poids d’un gros bébé humain. Oeuf Python Birman par sudpresse Source
  21. Découvrez cette grenouille qui a de quoi mettre le feu à une piste de danse. Découverte en Inde, cette espèce rare de grenouille est pourtant déjà en voie de disparition. ''Grenouille-danseuse'' : une nouvelle espèce de grenouille découverte par Gentside Des scientifiques ont fait une très récente découverte, en trouvant une nouvelle espèce d'amphibien très particulier. Cette grenouille va vous plaire à tous les coups, notamment pour vos sorties en boîte du samedi soir. La "grenouille danseuse" risque d'en étonner plus d'un à travers le monde ! Une découverte récente Ce sont des biologistes de l'université de New Delhi (Inde) qui ont réussi à mettre la main sur cette espèce de grenouille pour le moins surprenante dont les gesticulations sont absolument comiques. Découverte dans le sud de l'Inde, dans le région montagneuse de l'Etat du Kerala, la "grenouille danseuse" nous prouve une fois de plus que la nature a énormément de choses à nous offrir. Son étonnante danse peut vous surprendre mais c'est en réalité une sorte de parade nuptiale orchestrée par le mâle. Celui-ci gesticule de manière à attirer la femelle vers lui. Das Biju est un herpétologiste indien, ce qui signifie qu'il s'intéresse aux reptiles ainsi qu'aux amphibiens. Le professeur de l'université de Delhi est chargé du projet de protection de la grenouille. C'est ainsi qu'il la décrit: "La grenouille danse vraiment, c'est une chose difficile à croire, mais c'est de cette manière que le mâle attire la femelle, en bougeant les membres postérieurs" Une grenouille en voie de disparition Les scientifiques indiens ne manquent pas de souligner la rareté de cette "grenouille danseuse" : celle-ci serait d'ores et déjà en voie de disparition. Le professeur Sathyabhama Das Biju protège donc cette grenouille plus qu'intrigante et en prend le plus grand soin. La disparition annoncée de la grenouille la rend d'autant plus fascinante. Le gouvernement indien devrait prochainement mettre en oeuvre plusieurs mesures afin de protéger le spécimen. Les activités polluantes et la présence humaine seront de ce fait limitées sur certains lieux. Selon toute vraisemblance, la "grenouille danseuse" se trouverait également en Amérique Centrale ainsi qu'en Asie du Sud-Est. Si malgré tout, celle-ci disparaît, les grenouilles n'auront alors plus qu'à se trouver un nouveau roi de la nuit... Source
  22. Il continue d’alimenter toutes les discussions. Et pour cause, le boa aperçu jeudi soir par un riverain du quartier de la Goubetière n’a toujours pas été retrouvé. « Quand nous avons été avertis, nous avons dépêché sur place une équipe de sauvetage et soins animaliers », précise le capitaine Guillan du centre d’incendie et de secours de Romans/Bourg-de-Péage. « Mais nous ne pouvons malheureusement pas mobiliser des hommes 24 heures/24 à cet effet. Nos missions quotidiennes se poursuivent par ailleurs. Nous sommes donc comme tout le monde, dans l’attente… » poursuit le soldat du feu. Une situation d’expectative loin de rassurer tous les riverains. Prévenus par les élus durant tout le week-end, les habitants du quartier savent désormais qu’un boa de plus de 2 mètres de long rôde dans les parages… De quoi entretenir la psychose qui semble s’installer. C’est ainsi par exemple qu’une Péageoise a contacté la police après avoir entendu ses chiens « aboyer différemment… » Sur place, les fonctionnaires n’ont rien trouvé. Demain, une réunion publique pour rassurer les Péageois Par ailleurs, la mairie avait même décidé de fermer le Bois des Naix jusqu’à hier après-midi. Car l’environnement végétal du plus grand jardin de ville de la Drôme pourrait bien servir de lieu de prédilection au reptile. « C’est un animal qui fonctionne à l’instinct. Par conséquent, il cherche à se nourrir et à maintenir sa température. Concrètement, s’il fait chaud il s’installera à l’ombre, et s’il fait froid à proximité d’un endroit exposé à la chaleur », détaille le sapeur-pompier. Pour autant, il faut raison garder et c’est pour cela que la municipalité a décidé d’organiser demain soir à 20 heures, une réunion publique à l’Espace François-Mitterrand. Le maire Nathalie Nieson, son adjoint David Buisson en charge de la sécurité, des représentants du corps des pompiers et un spécialiste des reptiles Frédéric Vouhé répondront aux inquiétudes des Péageois. D’où vient l’animal ? A qui appartient-il ? Pour l’heure, ni la mairie, ni les forces de secours et d’investigations n’ont d’indication sur l’origine du reptile. Une chose est sûre, si vous croisez le boa, ne l’approchez pas et contactez immédiatement le 18. Source
  23. Connaissez-vous la chenille du papillon de nuit Hemeroplanes tripolemus ? Cette chenille a une particularité assez unique en son genre. Elle a la capacité de se transformer en serpent si elle se sent menacée par un prédateur. Encore mieux que le pouvoir d'un caméléon ! Chaque être vivant qui parcoure notre planète a sa particularité. Certains disposent de capacités leur permettant de survivre dans leur milieu naturel. C'est le cas de la chenille du papillon de nuit Hemeroplanes tripolemus que l'on peut trouver en Afrique, ainsi que dans les pays d'Amérique du Sud et d'Amérique Centrale. Cette larve, qui appartient à la famille des Spingidae, a la capacité de se transformer en réplique de serpent pour se protéger d'éventuels prédateurs. Des capacités de métamorphose plutôt impressionnantes. La chenille prend la forme de la tête, mais aussi les couleurs vives du reptile. Seule la taille ne change pas, mais cela est plutôt logique. Pour permettre cette transformation, elle étend sa partie antérieure pour coller à l'aspect d'un serpent puis elle reproduit une peau écailleuse avec des yeux exorbitants. C'est un vrai metamorph jusqu'au bout car la chenille imite même la morsure du serpent. Rassurez-vous, la chenille n'est pas venimeuse. Observer un tel spécimen est assez rare. Une guide au Costa Rica raconte sur son site Internet sa rencontre extraordinaire avec cette larve : "A première vue, cette chenille semblait tout à fait ordinaire". C'est au moment où la guide a touché la branche où se trouvait l'animal que la transformation a commencé. "Ce qui semblait être des yeux, des narines et des écailles ont commencé lentement à se matérialiser, cette chenille était en train de se transformer en serpent sous nos yeux". C'est dans ces cas-là qu'on se dit que l'on aimerait bien pouvoir être des mutants avec des pouvoirs un peu comme ceux des X-Men. Source
  24. Un photographe a capturé une scène fascinante en Australie : une araignée Nephila de 5 centimètres s'attaque à un serpent d'un demi mètre de long tombé dans sa toile. Une araignée s'attaque à un serpent tombé dans sa toile en Australie par Gentside Découverte Pour l’araignée Nephila, pas question de se contenter de petits insectes : en Australie, un photographe a filmé une femelle néphile en plein combat avec un serpent. Tombé d’un arbre, le serpent brun arboricole s’est retrouvé prisonnier de la toile, et n’a pas pu résister aux attaques de l’araignée, pourtant bien moins grande que lui. Cette famille d’araignées est particulièrement connue pour la taille de ses toiles dont certaines peuvent atteindre un mètre de diamètre. Les fils de soie produits par la néphile sont reconnaissables à leur couleur dorée, et s’avèrent redoutables pour les animaux piégés dans la toile. Ils sont tellement collants que des petits oiseaux, comme les colibris, peuvent se retrouver au menu de l’araignée, tout comme de gros insectes comme les papillons, criquets ou scarabées. Une heure pour tuer un serpent de 50 centimètres Cette fois-ci, c’est un serpent d’environ 50 centimètres de long qui est tombé dans le piège d’une néphile dorée (Nephila inaurata). Les images capturées par le photographe sont impressionnantes : on y voit l’araignée aux longues pattes s’affairer autour du reptile encore vivant. Pour tuer le serpent, elle lui injecte tout d’abord son venin, avant de l’enrouler dans son fil de soie pour le déguster plus tard. Au bout d'une heure, le serpent finira par succomber à cette araignée qui mesure environ 5 centimètres, sans les pattes. Certains spécimens femelles peuvent toutefois atteindre des tailles encore plus importantes. C’est dans le Queensland, en Australie, que la plus grande néphile a été observée, sa taille : 6,9cm. En revanche, les mâles sont beaucoup moins imposants. Ils mesurent généralement moins de 2,5 cm. Les prédateurs jamais à l'abri Le serpent brun arboricole peut de son côté atteindre les 2 mètres de long à l’âge adulte. Se nourrissant d’oiseaux, lézards, chauves-souris et rongeurs, ce serpent fait partie du régime alimentaire de deux autres animaux seulement : le serpent noir à collier rouge, et le crapaud buffle. Mais en Australie, même les prédateurs peuvent se transformer en proies improbables, à l’image du crocodile victime d’un python dans le Queensland, en mars dernier. Après un combat de plusieurs heures, le python avait fini par étouffer sa proie, bien plus grande que lui, avant de l’avaler en un quart d’heure. Source
  25. Une tortue morte s'est échouée ce vendredi matin sur une plage du bourg de Sainte-Luce. L'occasion de rappeler les consignes en la matière. Une tortue imbriquée a été découverte échouée hier matin, dans le bourg de Sainte-Luce, en face du restaurant La Marée. Il s'agit d'une tortue adulte femelle, visiblement morte depuis quelques jours. Aucun signe apparent n'a permis de définir les causes de la mort. Les équipes municipales l'ont récupérée et emmenée à la décharge. Comme il est d'usage, les cadavres de tortues échouées sont gérés par les services communaux. Celles faisant moins de 40 kilos sont enfouies sous la plage. Celles dont le poids dépasse les 40 kg sont vouées à l'équarrissage par la société Evéa. Pour rappel, en cas d'échouages, le premier réflexe doit être de contacter l'Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage (ONCFS) ou le réseau tortues marines. Une alerte qui permet aux spécialistes, dans la mesure du possible, de se déplacer avant que la tortue ne soit prise en charge. Ils recueillent ainsi différentes informations : l'espèce de tortue, sa taille, son sexe; les causes de mortalité; si elle est munie de bagues, balise ou d'émetteur d'identification qui renseigneraient sur sa provenance. √ Pour toute découverte de tortues échouées, contacter le réseau tortues marines au 0696 23 42 35 ou l'Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage (ONCFS) au 0696 234 234 Source
×
×
  • Créer...