Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Max|mum-leterrarium

Membres
  • Compteur de contenus

    12 143
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Certains individus de cette espèce endémique des Galápagos blessent les Iguanes marins pour boire leur sang. Moqueur d'Española (Nesomimus macdonaldi) et Iguane marin des Galápagos (Amblyrhynchus cristatus), île d'Española, Galápagos (Équateur). Photographie : James Preston / Wikimedia Commons Les moqueurs (famille des Mimidés) peuvent être qualifiés d'opportunistes pour la recherche de leur nourriture. L'exemple le plus "extrême" s'observe dans l'archipel des Galápagos (Équateur) (lire Séjour ornithologique dans les îles Galápagos du 23 avril au 5 mai 2006), où certains individus se rapprochent d'oiseaux marins déjà blessés, en particulier des fous (Sulidés), pour consommer leur sang. Comme plusieurs espèces de pinsons de Darwin (genre Geospiza) (lire L'évolution des espèces : Darwin célébré, Wallace oublié), ils ont déjà été vus retirant des fragments de peaux mortes et des ectoparasites (tiques) sur les Iguanes marin des Galápagos (Amblyrhynchus cristatus) et terrestre des Galápagos (Conolophus subcristatus) et sur les Tortues géantes des Galápagos (genre Chelonoidis) de façon non invasive et a priori dans l'intérêt réciproque des deux parties. Aucun cas de prélèvement de tissus vivants n'avait été notée jusqu'à présent. Sur les îles Wolf et Darwin (aux deux extrémités de l'archipel des Galápagos), des pinsons des Galápagos ont été vus piquant la base de la queue des grands oiseaux marins couvant pour provoquer des blessures et boire leur sang. Les principales victimes sont les fous, et cette forme de parasitisme est considérée comme un cas extrême d'opportunisme imposé par les conditions de vie difficiles sur les îles océaniques. Très peu de vertébrés se nourrissent d'autres vertébrés sans les tuer : c'est le cas des chauves-souris vampires (genres Desmodus et Diphylla) (lire Spécial Halloween : les oiseaux et les vampires) du Nouveau Monde qui boivent le sang des grands mammifères et des oiseaux. Il existe d'autres cas qui résultent d'une impossibilité d'exploiter d'autres ressources alimentaires : un requin, le Squalelet féroce (Isistius brasiliensis), arrache ainsi des morceaux de peau et de tissus sous-cutanés à de grands poissons, aux manchots et aux cétacés grâce à leur dentition particulière. Les quantités retirées sont toutefois faibles par rapport à la taille des victimes. Plusieurs poissons d'eau douce, comme les piranhas (genre Serrasalmus) et d'autres Characidés, découpent régulièrement de fins fragments de tissus sur d'autres membres de leur communauté. Les poissons du genre Roeboides sont hautement spécialisés dans ce comportement opportuniste et ils ont évolué en développant une dent en forme de courte défense orientée vers l'avant qui dépasse de leur mâchoire supérieure et qui est utilisée pour retirer des morceaux de peau. Ces derniers constituent parfois la majorité de leur régime alimentaire, mais des insectes sont aussi capturés. Des poissons amazoniens de forme allongée, les Trichomycteridés, s'installent dans les branchies de poissons plus gros et boivent le sang des tissus très vascularisés de cette zone. Moqueur d'Española (Nesomimus macdonaldi) piquant l'extrémité de la queue d'un Iguane marin des Galápagos (Amblyrhynchus cristatus) pour boire du sang. Phootgraphie : Kelly Swing / Avances Kelly Swing, de l'Universidad San Francisco de Quito (Équateur), a observé pour la première fois des Moqueurs d'Española (Nesomimus macdonaldi) parasitant des Iguanes marins des Galápagos sur la Punta Suárez, sur l'île d'Española, à trois occasions (le 8 octobre 2007, le 17 octobre 2008 et le 28 février 2009) : ces oiseaux retiraient des tissus sur la queue des reptiles en provoquant des plaies pouvant dépasser une taille de 5 cm². Au cours de six visites de trois heures réalisées en février et en octobre entre 2008 et 2010, au moins 13 iguanes ont été vus portant des blessures fraîches ou récemment cicatrisées. Le pourcentage d'animaux concernés était faible (moins de 1 % du total). Curry et Anderson avaient noté sur l'île d'Española que 25 % de 100 reptiles examinés présentaient des blessures similaires à celles provoquées par des moqueurs. D'autres observations ont par ailleurs permis de constater que ces oiseaux attaquent fréquemment les oiseaux marins, parfois jusqu'à provoquer leur mort. L'impact du parasitisme sur les iguanes est finalement faible car la proportion de reptiles touchés est faible, que leur vitesse de cicatrisation est élevée et que les blessures sont essentiellement situées à l'extrémité de la queue, une zone peu sensible. Source
  2. (Trois-Rivières) Des dizaines d'espèces de serpents, de lézards, de tortues et même de crocodiles attendaient les visiteurs samedi aux 3e ExoDécouvertes présentées au Collège Laflèche par Monsieur Reptile et Repticlic.com. De nombreux organismes intéressés spécialisés en santé animale et en biodiversité étaient réunis sous le même toit pour faire découvrir plusieurs espèces de reptiles, mais aussi les écosystèmes dans lesquels ils vivent. Les jeunes visiteurs étaient fascinés d'observer et de toucher les animaux. Les enfants étaient souvent bien moins craintifs que leurs parents. Les visiteurs étaient particulièrement nombreux lors de la nuit exotique. Pendant une heure, les lumières s'éteignent ce qui donne une tout autre ambiance. Christopher Bouchard et Gabriel Lavoie-Drainville ont visité l'ExoDécouvertes. Ils ont profité de l'occasion pour poser avec Mongo, un imposant python de Birmanie. Les deux adolescents avouaient que la sensation d'avoir un si gros serpent autour de leur cou était pour le moins singulière. Évidemment impressionnés par Mongo le python, Christopher et Gabriel étaient aussi ravis d'avoir observé de très près des tortues, mais aussi des insectes comme des papillons. Les organisateurs de la 3e édition des ExoDécouvertes se disaient très satisfaits de la réponse du public. «C'est toujours de mieux en mieux, autant pour l'achalandage du public que la participation des exposants», précise Sophie Guillemette de l'entreprise Monsieur Reptile, une des organisatrices des l'ExoDécouvertes. Les ExoDécouvertes ont pu compter cette année sur la participation d'organismes comme Parc Canada, le ministère du Développement durable, de l'Environnement, de la Faune et des Parcs, le parc de la rivière Batiscan, la SPA Mauricie, du département en santé animale du Collège Laflèche ainsi que l'Association herpétologique de Montréal et celle de Québec. Rappelons que Monsieur Reptile, Mathieu Naud, donne plusieurs conférences dans les écoles du Québec et fait découvrir aux élèves, grâce à son zoo ainsi que son refuge pour reptiles, des espèces animales peu communes. Mathieu Naud est aussi le spécialiste en santé des reptiles du programme de santé animale du Collège Laflèche. Source
  3. Dimanche soir, un homme a été découvert mort sur son lit à son domicile de Bailly-en-Rivière, près de Dieppe. Dans l'habitation, les secours ont trouvé une cinquantaine de grosses araignées (mygales et tarentules), raconte le site infonormandie.com. Certaines dans des boîtes, d'autres en liberté. Ces animaux ne sont habituellement pas dangereux pour l'homme, seule la mygale australienne a un venin mortel. L'homme doit être autopsié ce lundi afin de déterminer les causes de son décès. Source
  4. Voici les photos de l'expo Le mini Don Juan comme dirait Karine qui prend des couleurs Pour ceux qui se demandent, la gueule a du tape transparent alors tout est sécuritaire La nuit exotique Mon kiosque peut-être surchargé en lumière finalement puisqu'il était aveuglant Et ce que je voudrais dans mon salon
  5. Quelque 258 cas d'envenimation par piqûre de scorpion ont été enregistrés depuis le début de l’année en cours dans la wilaya d’Illizi, sans heureusement causer de décès, a-t-on appris dimanche auprès de la direction locale de la santé, de la population et de la réforme hospitalière (DSPRH). Le plus grand nombre de ces cas d’envenimation ont été constatés durant la période estival, avec 62 cas de piqûre pour le seul mois de juillet, a révélé le directeur du secteur M. Attik Bahous. Tous les cas ont été pris en charge au niveau des structures hospitalières ou est aussi assuré leur suivi médical, a indiqué la même source. Le secteur a mobilisé durant la période estivale des équipes médicales composées de médecins et de techniciens de la santé qui sillonnent les zones éloignées, surtout celles qui ne disposant pas de salle de soins, afin de prendre en charge à temps les cas de piqûres signalés. Les services de la DSPRH d’Illizi poursuit ses campagnes de sensibilisation sur les dangers du scorpion, à travers des émissions radiophoniques sur les précautions à prendre pour se prémunir des danger de cet insecte nuisible. Source
  6. Pour ceux qui se demandent, il s'agit d'un Pseudechis porphyriacus. Le Pseudechis porphyriacus est une espèce de serpents de la famille des Elapidae. Cette espèce est endémique d'Australie. Elle se rencontre en Australie-Méridionale, au Victoria, en Nouvelle-Galles du Sud et au Queensland. C'est un serpent commun en Australie où on le trouve dans les bois, les forêts et les marécages. On les rencontre souvent près des étangs, des rivières, des barrages, des billabongs et dans les parcs et bosquets de villes comme Melbourne, Brisbane, Sydney, Canberra et Adélaïde. Il mesure de 1,5 à 2,5 mètres de long et il est d'un noir brillant sur le dos, rouge sur le ventre. Son museau est souvent beige. Donc sur le vidéo, il n'a pas encore atteint sa taille maximale. Bien qu'il soit capable d'infliger des morsures graves, ses morsures ne sont généralement pas mortelles et il est considéré comme le moins dangereux des serpents venimeux australiens.
  7. En Australie, un homme conduit sa voiture quand il voit un serpent débarquer sur le pare-brise. Il va alors actionner l’essuie-glace afin de le faire tomber. Il s’agit d’un serpent noir à Collier rouge. Serpent sur un essuie-glace - Last Video FUN Source
  8. ANIMAUX - Jusqu'à présent, les tortues avaient réussi à éviter la torture de porter des vêtements, beaucoup plus chanceuses donc que les chiens notamment. Pour ceux qui possèdent une tortue et qui ont une soudaine envie de les déguiser, c'est maintenant possible grâce aux créations de Katie Bradley, une fan inconditionnelle de crochet. Et il y en a pour tous les goûts ! Du requin, au renne en passant par le cheeseburger, tout le monde devrait y trouver son bonheur, Katie faisant par ailleurs des costumes à la demande. Pour ne plus les perdre Katie Bradley propose ses créations originales sur un site de vente en ligne. 10% des bénéfices vont à l'"International Reptile Rescue" de Canby dans l'Oregon. La jeune femme de 32 ans a expliqué que ses costumes, au-delà de l'aspect esthétique, avaient également une utilité : "ils permettent de repérer plus facilement les tortues lors d'une promenade dans l'herbe", par exemple. Elle a également ajouté que les tortues ne semblaient pas être perturbées par le port de ces costumes. Pour tous les intéressés, ces petits vêtements coûtent entre 12 et 18 euros. Découvrez un aperçu des différents costumes pour tortues créés par Katie Bradley : Source
  9. 2013-11-22 20:03:06 GMT Dakar, 22 nov (APS) – La tortue sulcata, une espèce vivant dans le Ferlo, dans le Nord du Sénégal, est l'objet d'un programme portant son nom et censé veiller à sa protection, a appris l'APS vendredi à Dakar. "C’est une tortue que l’on retrouve au Sénégal, dans le Ferlo. Depuis une cinquante d’années, elle est en voie de disparition. Il n'en reste qu’une cinquante d’individus, sur plusieurs milliers d’hectares", a dit Anneline Grenouilleux du programme "SOS Sulcata". Le poids d'une tortue sulcata adulte peut varier entre 80 et 100 kilogrammes, selon Mme Grenouilleux. Cette espèce a une longévité qui peut atteindre 150 ans, a-t-elle dit dans un entretien avec l'APS, en marge d'une réunion du Réseau des aires marines protégées d’Afrique de l’Ouest (RAMPAO). "La tortue sulcata est la plus grosse des tortues d'Afrique. [...] C’est une tortue dont la vie est menacée. Pour cette raison, nous avons estimé qu’il faut réhabiliter cette espèce", a-t-elle plaidé. "En 2006 et 2011, nous avions introduit des individus de cette espèce dans un enclos. Et nous avons les mâles qui livrent des combats extrêmement violents qui peuvent entraîner la mort de certains d'entre eux parfois", a-t-elle expliqué. Elle signale que tortue "sulcata" est menacée par les "conditions climatiques" et l'action de "l'homme sur la nature". Selon Mme Grenouilleux, l'Etat du Sénégal a décidé depuis 1986 de veiller à la protection de cette espèce, en interdisant sa capture, sa commercialisation et sa consommation. Les populations vivant au Ferlo sont sensibilisées à la nécessité de sauvegarder la tortue sulcata, dans le cadre du programme "SOS Sulcata", a-t-elle dit. SBS/ESF/SAB Source
  10. Pro Natura vient en aide aux amphibiens dont la plupart des effectifs ont reculé de moitié en Suisse ces 20 dernières années. Selon Pro Natura, la protection légale dont bénéficient crapauds, grenouilles ou tritons ne suffit pas face à l'assèchement définitif de la plupart des zones humides. Image: ARCHIVES/Keystone L'organisation de protection de la nature Pro Natura entend créer elle-même au moins une centaine de nouvelles mares ces deux prochaines années et elle lance un appel aux communes romandes pour qu'elles en fassent de même. La protection légale dont bénéficient crapauds, grenouilles ou tritons ne suffit pas face à l'assèchement définitif de la plupart des zones humides. Ainsi, le crapaud vert a déjà disparu et 70% des 20 espèces d'amphibiens sont désormais inscrites sur liste rouge, constate vendredi dans un communiqué Pro Natura qui a décidé de réagir en reconstituant leur habitat. L'opération «gouilles pour les grenouilles», qui a débuté cette année avec l'appui des sections cantonales de l'association, a déjà aménagé 35 plans d'eau. D'autres de ces mares, qui s'assèchent chaque automne, se réaliseront ces prochains mois, lorsque les amphibiens sont en repos hivernal, précise Pro Natura. La mesure est efficace, à en croire l'exemple de la Sarine, cité par Pro Natura dont la section fribourgeoise a aménagé 14 mares entre 2001 et 2007. L'effectif de la rainette verte y a doublé depuis, écrit l'organisation. Au moins 80 communes La seconde opération, baptisée «Cités d'eau», fait appel aux autorités communales, de Suisse romande d'abord. Si l'accueil y est favorable, Pro Natura étendra le projet à toute la Suisse. L'organisation se fixe comme objectif la participation d'un dixième des 800 communes de Suisse romande à son opération visant à les faire aménager elles-mêmes sur leur territoire d'autres mares. Elles pourront s'appuyer sur le soutien technique de spécialistes des amphibiens. (ats/Newsnet) Source
  11. Le groupe de luxe a conclu un accord "pour la conservation du python". Le groupe de luxe français Kering (Gucci, Yves Saint Laurent, Balenciaga) a signé avec deux partenaires, dont l'IUCN (Union internationale pour la conservation de la nature) un accord visant à améliorer le commerce du python, selon un communiqué commun publié vendredi 22 novembre. Le "partenariat pour la conservation du python" a été lancé ce vendredi 22 novembre par Kering, le Centre du commerce international (ITC), qui dépend de l'OMC et de l'ONU, ainsi que par l'IUCN. Ce partenariat a pour objectif de "contribuer à améliorer le caractère durable du commerce du python". Danger pour la survie de l'espèce Il fait suite à un appel lancé il y a un an par l'IUCN à l'industrie de la mode à mettre en place un système de traçabilité de l'origine des peaux pour que le consommateur sache qu'elles ont une origine légale. Il y a un an, l'IUCN avait dénoncé dans un rapport les abus dans le commerce des peaux de python utilisées dans l'industrie de la mode européenne. Selon l'IUCN, ce commerce pourrait mettre en danger la survie de l'espèce en Asie du sud-est. "Une proportion importante des peaux vendues provient illégalement d'animaux sauvages, au-delà des quotas autorisés, avec l'utilisation de faux permis", avait affirmé Thomas Walle, de l'UICN . La France, un des principaux importateurs Ce commerce, suivi par la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES), concerne un demi-million de peaux chaque année et représente des ventes de l'ordre d'un milliard de dollars (771 millions d'euros) par an, selon le rapport réalisé avec l'aide du Centre international du commerce, une agence de l'ONU et TRAFFIC, un programme commun du World Wide Fund for Nature (WWF) et de l' UICN. D'après le document, les affirmations selon lesquelles plus de 20% des peaux exportées proviennent d'animaux d'élevage ne sont pas "crédibles" car les coûts d'élevage sont supérieurs aux prix de vente des peaux. Le recours à des pythons sauvages met l'espèce en danger car ils sont souvent capturés avant d'avoir eu le temps de se reproduire, selon le rapport. L'Indonésie, la Malaisie et le Vietnam sont les principaux pays fournisseurs d'un commerce qui passe à plus de 70% par Singapour à destination de l'Italie, l'Allemagne et la France. (avec AFP) Source
  12. Sur le site PLoS ONE, des spécialistes font le point de la situation des grenouilles du genre Rhinoderma, dont l’une des deux espèces a probablement déjà disparu. En cause, la perte de leur habitat, notamment en Amérique du Sud, mais aussi un agent pathogène qui décime les amphibiens du monde entier depuis plusieurs années. Les 'grenouilles de Darwin' sont-elles sur la voie de l'extinction ? par Gentside Découverte Une équipe de chercheurs de l’Université Andrés Bello (Chili) et de la Société zoologique de Londres (ZSL) a examiné la situation des deux seules espèces de grenouilles du genre Rhinoderma. Ils ont observé celle du nord, Rhinoderma rufum, endémique du Chili, et celle du sud, Rhinoderma darwinii, découverte par le naturaliste Charles Darwin et vivant au Chili et en Argentine. La première, présumée éteinte, n'a pas été vue depuis 1980. La seconde est elle toujours présente mais sa situation ne semble pas bien meilleure : aujourd'hui, elle est présente de façon inégale sur son aire de distribution et ses effectifs sont en forte baisse. Selon l'étude, la déforestation est la principale menace pesant sur cette grenouille. Mais les spécialistes estiment que ce phénomène ne peut à lui seul expliquer que la population de R. darwinii soit en chute libre. L’espèce de couleur marron verte et mesurant entre 2,5 et 3,5 cm, est endémique des forêts australes de Patagonie. Elle se rencontre ainsi au Chili (vidéo ci-dessus) et en Argentine dans des régions où son habitat n'est pas toujours perturbé. Or, les populations déclinent quand même. Une maladie fatale ? Une autre menace plane sur la tête des grenouilles : celle d'un agent pathogène. Des tests ont en effet révélé chez cette espèce la présence de Batrachochytrium dendrobatidis, un champignon responsable d’une maladie qui touche actuellement les amphibiens du monde entier, la chytridiomycose. Les taux d'infection, bien que moins importants chez R. darwinii que chez d’autres espèces, restent préoccupants, expliquent les auteurs. "Nous ne pouvons pas dire de façon concluante ce qui est à l'origine de la mort de toutes ces grenouilles mais nous mettons en place un dossier circonstanciel complet. Il est possible de traiter la chytridiomycose au niveau individuel. Ce n'est pas une solution à grande échelle, bien sûr, mais dans le cadre d'un programme d'élevage en captivité, cela pourrait être très important pour certaines de ces espèces extrêmement menacées", conclut le Dr Marcus Rowcliffe, de la ZSL. Source
  13. Vous vous demandez comment se passe la mue d'une mygale? Voici un petit vidéo dont vous voyez tout ce qui se passe. Source
  14. Deux bébés et une mère de famille sont décédés après avoir consommé de la viande de tortue de mer à Diégo-Suarez. 47 autres villageois sont toujours hospitalisés. La maladie des mers chaudes a fait de nouvelles victimes, à Madagascar. Cette fois-ci, sur la pointe nord de l’île, plus précisément à Antsiranana II. Dimanche, une cinquantaine de foyers se sont partagé la viande d’une tortue de mer pesant plus d’une vingtaine de kilo. Les premiers symptômes d’une intoxication sont apparus peu à peu : violents maux de tête, forte douleur abdominale accompagnée de vomissement et de diarrhée. Deux bébés, âgés de 9 mois et 2 ans, ainsi qu’une mère de famille d’une vingtaine d’années n’ont pas survécu aux malaises et ont péri lundi tandis que 47 autres villageois sont toujours hospitalisés, rapporte Express de Madagascar. « Nous avons affaire à une intoxication due à la consommation d’animaux marins », a expliqué au journal le docteur Thierry de Valois, chef du service de réanimation médicale et de toxicologie de l’hôpital principal de Diégo-Suarez. Le directeur de l’hôpital, le docteur pascal Honorat, est intervenu un peu plus tard sur les ondes des radios locales pour rappeler à la population les risques d’intoxication alimentaire liée à la saison chaude. « En cette période, la mer est chaude et le risque d’empoisonnement est quasi constant, sachant que certains poissons se nourrissent d’algues microscopiques contenant des toxines pouvant être mortelles pou celui qui mange le poisson », a-t-il martelé sur des propos recueillis par les Nouvelles. A son tour, le ministère de la pêche a réitéré sur le site d’actualité d’Orange Madagascar que « la consommation d’alimentation basée sur des poissons pélagiques, des poissons de grandes tailles comme les requins, les cabots et les thons, dont la pêche et la vente sont suspendues durant les saisons chaudes » est interdite. Rappelons que l’Est du pays est toujours endeuillé par la mort de 9 individus qui, après avoir consommé de la chair de requin, ont succombé à une intoxication. Les trois premiers décès ont été signalés le 13 novembre dernier et jusqu’à aujourd’hui, une dizaine de personnes sont toujours gardées en observation dans un centre hospitalier. Source
  15. Comment appréhender la situation quand ils sont confrontés à des reptiles ? C'est tout le sens d'une formation pour les sapeurs pompiers du Creusot. LE CREUSOT : Les reptiles et les pompiers par creusot-infos Jérôme Keyser est un spécialiste des reptiles installé au Creusot. Ils sont ses amis, mais il sait aussi s'en méfier. Car ce n'est pas parce que l'on connaît les reptiles qu'il faut agir avec eux sans observer quelques précautions. C'est tout le sens de la formation qui a été dispensée, ce jeudi, au centre de secours du Creusot où les sapeurs pompiers ont appris et intégré quelques règles élémentaires, avec des exercices pratiques. Jérôme Keyser avait amené avec lui des boas de la famille Constrictor Imperator. Au cours de ce stage qui était encadré par Stéphane Charleux, Jérôme Keyser a expliqué comment neutraliser un serpent avec de simples outils. Comment éviter de se faire mordre en le prenant au niveau de la tête et en n'hésitant pas à appuyer. Il a détaillé comment ouvrir une caisse susceptible de contenir un ou plusieurs reptiles. Mais aussi comment réagir en cas de morsure pour mieux se dégager des dents du reptile. Des conseils simples et efficaces que les sapeurs pompiers du Creusot ont parfaitement intégré en n'hésitant pas à se soumettre à des exercices pratiques. Non pas pour vaincre la peur, mais bien pour avoir le comportement adéquat en présence de reptiles. Source
  16. Passée au scanner par une équipe internationale de scientifiques, dont deux chercheurs CNRS, cette "momie" de grenouille conservée dans les collections du Muséum national d'Histoire naturelle a révélé un crâne et un squelette en grande partie intacts. Une belle surprise qui a permis d'estimer l'âge du batracien - entre 34 et 40 millions d'années - et de résoudre une énigme paléontologique. Agée d'environ 40 millions d'années, cette "momie" de grenouille de l'espèce Thaumastosaurus gezei est vraisemblablement apparentée à un groupe africain de batraciens. Renaud Boistel C'est un magnifique caillou exposé dans la galerie de paléontologie du Muséum d'histoire naturelle. Trouvée au 19e siècle dans les Phosphorites du Quercy, cette "momie naturelle", ainsi qu'on a coutume d'appeler les fossiles préservant la forme externe de l'animal, restait muette quant à sa classification et à son âge exact. "A l'époque, les fossiles de différents gisements ont été mélangés, ce qui rendait impossible la datation", explique Jean-Claude Rage, chercheur CNRS au département Sciences de la Terre du Muséum d'Histoire naturelle. Il a donc été décidé d'utiliser un scanner à rayons X afin d'en savoir plus sur le batracien. "Personnellement, je craignais que l'intérieur soit complétement détruit, confie le chercheur, mais c'est au contraire un crâne et un squelette largement intacts qui sont apparus sur l'image en 3D." A la grande surprise des scientifiques, le crâne de la momie est identique à celui, déjà connu dans le registre fossile, d'une autre grenouille ancienne, Thaumastosaurus gezei, provenant également des Phosphorites du Quercy et datée entre 40 et 34 millions d'années. "On avait l'âge et l'espèce de la momie... Seul problème: sa ceinture pectorale et sa colonne vertébrale, typiques des ranoïdes, ou grenouilles communes, ne correspondaient pas au scénario précédemment élaboré sur Thaumastosaurus", raconte Jean-Claude Rage. Auparavant, seul le crâne de Thaumastosaurus gezei était connu, et sur cette base, les chercheurs avaient conclu que l'espèce était apparentée à un groupe de grenouilles typiquement sud-américain, les cératophryidés. Or, pour passer en Europeles grenouilles avaient forcément traversé l'Amérique du Nord, où l'on n'en trouve pourtant aucune trace fossile... "Grâce aux informations fournies par la momie, on sait désormais que Thaumastosaurus est plus certainement apparentée à un groupe africain de ranoïde", conclut le paléontologue. C'est la deuxième surprise de cette étude: car, si on connaissait l'existence d'échanges fauniques entre l'Afrique et l'Europe à cette période, on n'avait jamais établi que des grenouilles avaient fait le voyage... Source
  17. La chanteuse américaine n'en a pas cru ses yeux quand un prestidigitateur a sorti un alligator de son sac à main. Katy Perry a été piégée par David Blaine, un magicien américain, pour les besoins de l'émission «Real or Magic» sur la chaîne ABC. Le prestidigitateur a d'abord montré à la chanteuse qu'il était capable de manger du verre. Mais ce n'était qu'une mise en bouche avant le tour suivant. Blaine a demandé à Katy s'il pouvait ouvrir son petit sac à main et fouiller à l'intérieur. L'Américaine de 29 ans l'a naturellement laissé faire. Mais elle était loin de se douter que le magicien allait en sortir un alligator vivant! La réaction de la chanteuse? Un sourire crispé entre peur, dégoût et surprise. Source
  18. Caïmans, écureuils, boa arc-en-ciel, leur propriétaire venait de Hollande et s'est fait pincer par les douanes avant de rejoindre l'Angleterre. Dix caïmans, huit caméléons, dix hérissons blancs pygmées d’Afrique, six pythons royaux, un boa arc-en-ciel, neuf grenouilles dendrobates, dix souris africaines, quatre écureuils de Corée, dix escargots, deux cochons d’Inde nus et dix phasmes feuilles...cet inventaire à la Prévert n'est autre que le contenu de la "valise" d'un homme provenant de Hollande, rapporte "La voix du nord". Il souhaitait passer en Angleterre avec sa précieuse cargaison de "NAC" (nouveaux animaux de compagnie"), qu'il détenait sans autorisation, mais les douanes du Tunnel ne lui en ont pas laissé l'occasion. "Trafic illégal d'animaux" Les bebêtes ont été confiées dans la foulée à la LPA de Calais. « Il s’agit de nouveaux animaux de compagnie - les NAC - mais aussi de faune sauvage illégale, a commenté la LPA de Calais. Après les trafics d’armes et de drogue, le trafic illégal d’animaux est le troisième au monde ». D’après la LPA de Calais, ils étaient destinés au ravitaillement d’animaleries Outre-Manche. Source
  19. [18/11/2013] Parmi les futurs occupants du parc zoologique de Paris, 29 animaux d'espèces différentes cherchent un parrain. Que vous choisissiez une star comme Aramis le superbe jaguar d’Amérique du Sud ou, moins cotés, une mygale terrestre ou un boa de Madagascar, vous bénéficierez d'une relation privilégiée avec l'animal que vous aurez décidé de soutenir. Le Parc zoologique de Paris rouvrira ses portes en avril 2014, après une rénovation complète. Le nouveau zoo ne sera plus simplement exotique et récréatif mais plongera les visiteurs dans l’environnement naturel des animaux. Il offrira un voyage scientifique au cœur de la biodiversité. >>Le parc zoologique un an avant l'ouverture Parrainez un animal et contribuez à la préservation de son espèce En amont de cet événement, le zoo propose aux futurs visiteurs de parrainer un animal à partir du 15 novembre 2013. Vous pourrez choisir de parrainer, grâce à un don, un animal parmi une trentaine d’espèces présentes à l’ouverture du parc. Vous pourrez jeter votre dévolu sur des espèces très charismatiques comme Aramis le jaguar, Tinus, le lamantin , Adeline, la girafe, Indigo le ara...mais parmi les animaux à parrainer il y aussi des manchots, babouins, zèbres, loutres, pumas...Une fiche de présentation vous permettra de tout savoir sur votre protégé. Vous pourrez devenir parrain en remplissant un formulaire en ligne. >>Choisissez un animal à parrainer Le parrain bénéficiera d’une relation privilégiée avec l’animal de son choix et contribuera à sa conservation. Selon Thomas Grenon, Directeur général du Muséum national d’Histoire naturelle « Ce parrainage est une action positive, qui permettra à tous les bienfaiteurs des animaux d’agir et de se mobiliser pour la préservation des espèces menacées dans leurs milieux d’origine ». Petits ou gros moyens, chacun peut devenir parrain Afin d’offrir à tous la possibilité de parrainer un animal, plusieurs niveaux de dons sont proposés : 15 €, 30 €, 75€, 150 €, 300 € et 1 000 €. En remerciement de ce soutien et selon le don effectué, les parrains recevront des fiches d’information, des entrées pour le Parc zoologique de Paris, des abonnements annuels ou profiteront de rencontres avec les équipes du parc pour une immersion totale ! >>Contreparties du parrainage Original et utile, le parrainage peut être aussi un cadeau pas comme les autres à l’approche des fêtes de Noël. Source
  20. Depuis peu, une société américaine, Backyard Brains, propose à la vente des kits permettant de prendre le contrôle de cafards vivants à partir de son iPhone. Le téléphone envoie des signaux électriques qui permettent de diriger l’insecte. Le but affiché c’est de mettre la neuroscience à la portée de tous. Mais le concept fait débat… Plongez le cafard dans l’eau glacée. Poncez-lui la tête au papier de verre. Collez-lui un connecteur sur la tête. Perforez-lui le thorax. Coupez-lui les antennes. Cette liste de supplices, c’est le mode d’emploi qui accompagne le cafard télécommandé en kit. Dans la boite : des connecteurs, une petite valise à fixer sur le dos de l’insecte et bien sûr une poignée de cafards vivants. Une fois la blatte équipée, l’utilisateur n’a qu’à faire glisser son doigt vers la gauche ou la droite de l’écran de son iPhone. Deux impulsions électriques sont envoyées simultanément au cafard, via la liaison bluetooth du téléphone. La première sur ses antennes, ce qui lui fait croire qu’il y a un obstacle devant lui, et l’autre à l’extrémité de son abdomen. L’insecte s’imagine alors qu’il est poursuivi par un prédateur... Et pour éviter ces deux menaces, le cafard change immédiatement de trajectoire. L’expérience fonctionne, ça n’est pas de la science-fiction et elle est d’ailleurs développée depuis plusieurs mois par des chercheurs. Le but initial, c’est d’utiliser les cafards, qui sont des insectes particulièrement résistants aux milieux hostiles, pour rechercher des victimes de tremblements de terre. En fixant une caméra miniature sur leur dos. Utiliser des animaux pour la recherche scientifique, ça n’est pas une nouveauté. Mais c’est la première fois qu’une société privée commercialise l’une de ces expériences pour divertir le grand public. Et bien sûr le sujet soulève de nombreuses questions éthiques. Il y a tout d’abord la réaction des associations de défense des animaux qui s’inquiètent de cette souffrance gratuite infligée au cafard. La société se défend : l'insecte ne ressent aucune douleur et peut reprendre une vie normale après l’expérience. Et puis de toute façon, d’habitude les gens n’ont aucun scrupule à tuer ces insectes quand ils les croisent chez eux. Mais certains scientifiques américains jugent eux aussi le message inquiétant : ce kit démocratise les expérimentations animales, il pousse à considérer des organismes vivants complexes comme de simples outils. Et puis il y a aussi la réaction de beaucoup de parents inquiets... Pourquoi enseigner aux jeunes tant de sadisme ? Et si vous pensez tout de même offrir ce kit à votre bambin pour la Saint Nicolas, le prix va sans doute vous en dissuader. 100 dollars rien que pour le matériel, la boîte de cafards vivants elle, ne pourra pas être livrée en Belgique. Source
  21. Une Néerlandaise de 22 ans a eu une désagréable surprise en achevant des vacances en Italie. Elle s’est réveillée avec une douleur atroce de son oreille. Sont état n’a pas tardé à empirer… Les vacances italiennes se sont terminées de la pire façon pour une Néerlandaise. Cette dernière s’est réveillée en pleine nuit à cause d’une douleur atroce irradiant depuis son oreille gauche, selon les informations du site LiveScience. D’après les médecins qui l’ont immédiatement traitée, elle aurait été mordue par une espèce d’araignée méditerranéenne surnommée « recluse brune », dont le venin pourrait provoquer une nécrose des tissus touchés, voire une défiguration à vie. Son oreille devenue noire et à moitié dissoute, la jeune femme de 22 ans a dû avoir recours à la chirurgie plastique pour reconstituer l’oreille, grâce à du cartilage prélevé sur les côtes de la victime. Source
  22. La marque Kobja s'est lancée dans la confection d'accessoires en peau de crapaud-buffle. Succès mondial. Des fois le crapaud, il fait prince charmant, des fois il fait espèce protégée (l’auteur de ces lignes a participé à une fascinante nuit du crapaud près de Chantilly, où il fallait sortir les crapauds de la forêt pour ne pas qu’ils se fassent écraser en traversant la route et les déposer, en voiture, au lac), des fois les crapauds finissent en sac à main ou en gants, vendus aux quatre coins de la planète. C’est vrai, pourquoi seuls les agneaux auraient le privilège de finir en bracelet, ceinture, sautoir, porte-monnaie, sac ou minaudière? C’est l’histoire de Kobja, une collection d’accessoires mise au point par Monika Jarosz, 35 ans, arrivée en France il y a douze ans de Pologne et installée aujourd’hui avec ses peaux de crapauds dans une ancienne laiterie de Belleville. D’abord mannequin, elle devient ensuite styliste et puis reçoit un cadeau inattendu, qui d’abord la débecte, puis la fascine: une petite grenouille néo-zélandaise porte-bonheur empaillée, qui l’inspire apparemment. «Plus je touchais la grenouille et plus l’idée de créer quelque chose de très fort comme un bijou a pris forme. Mais j’adore les animaux et il fallait que ce soit de la récupération», déclare-t-elle à l’AFP. Où trouver des crapauds suffisamment nuisibles pour que l’humain les extermine? Pas dans les restaurants à cuisse de grenouille, ça n’a pas marché. Mais la styliste découvre opportunément l’existence d’un crapaud buffle venimeux provenant d’Amérique du sud, introduit en Océanie il y a plusieurs décennies pour y détruire les coléoptères. Sauf qu’il a tellement proliféré et muté que les défenseurs de l’environnement et l’armée australienne tentent de capturer et tuer le batracien devenu nuisible à l’écosystème. L’écolo-correct étant sauf, Monika récupère les dépouilles des crapauds exterminés avant de les traiter. Elle obtient des sortes de mini-carpettes de 10 à 20 cm de long, gris pâle, ornées de têtes ressemblant à des têtes de tigres. Qui vont devenir dans l’atelier de Belleville des sacs, porte-monnaie et autres accessoires, faits à la main, made in France, que le monde entier s’arrache: entre 220 et 250 euros selon le pays (Japon, Etats-Unis, Chine, France, Allemagne), jusqu’à 1200 euros pour un grand sac. Il faut dire que chaque pièce est unique, car, est-il expliqué, sans rire sur le site Kobja, «chaque pièce est absolument unique, puisque chaque crapaud est unique. De ce constat, découlent bien d’autres choses, comme, la singularité de sa personnalité, de ses traits, de sa taille, de ses qualités et de ses défauts». Un porte-monnaie avec de la personnalité, je prends de suite. Sans compter qu’il y a toute la symbolique du crapaud, poursuit-on sur le site : «de prospérité, de fertilité, de chance, de succès, de force, de courage, de richesse et de luxure. En Chine il est considéré comme la divinité de la lune. En Occident, il a été un symbole royal et solaire avant la fleur de lys et il figure sur l’étendard de Clovis» etc. C’est quand même plus fascinant que ce pauvre agneau, sans grand intérêt. Les couleurs? Fushia, bleu turquoise, jaune curry ou vert vif, avec de l’or et des perles pour les yeux, des cristaux Swarovski, voire. Elles sont obtenues dans une mégisserie de Millau dans l’Aveyron, spécialisée dans la coloration des peaux d’agneau, dont le patron «a cru à une blague» quand elle l’a appelé, raconte Monika. Jean-Charles Duchêne qui travaille avec les maisons de luxe françaises et européennes, comprend qu’il va devoir «apprivoiser la bête: le crapaud est plus dense que l’agneau, le colorant se fixe plus vite et il en faut moins». Après un galop d’essai dans une galerie d’art, Monika a lancé sa marque, Kobja et ses grenouilles magiques sont vendues dans des boutiques de luxe ou concept stores à Tokyo, Pékin, New York, Paris et Berlin. Un vrai conte de fées. Source
  23. Une tortue marine, dont la nageoire était enserrée dans un morceau de filet, a été secourue samedi 16 novembre par les équipes du service mixte de police de l'environnement (ONCFS/ONEMA) et de la brigade nautique de la gendarmerie. Nos photos Une tortue marine, dont la nageoire était enserrée dans un morceau de filet, a été secourue samedi 16 novembre par les équipes du service mixte de police de l'environnement (ONCFS/ONEMA) et de la brigade nautique de la gendarmerie. La tortue verte avait également ingéré une partie du filet, qui a été retirée de sa gueule. Cette tortue était connue comme étant le numéro 59, elle avait été marquée lors de la récente mission de capture en mer. Remise à l'eau, elle ne semble pas trop avoir souffert de cet épisode malheureux. Source
  24. Les Uromastyx sont de la famille des Agamidés et de la sous famille des Uromastycinae il y a 16 espèces et 9 sous-espèces. Ils sont appelés couramment Fouette-queue (ou Dob en arabe) cette appellation est due au fait qu’ils se défendent avec leur queue qui est trapue et épineuse. Le générique nom ( Uromastyx ) est dérivé du grec ancien mots Oura (οὐρά) qui signifie «queue» et mastigo (Μαστίχα) qui signifie «fouet» ou «fléau», d’après la queue épaisse pointue, caractéristique de tous les espèces d’Uromastyx. Uromastyx geyri, communément connu sous le nom Uromastyx saharienne ou lézard fouette-queue saharien, est une espèce de lézard appartenant à la famille Agamidae. Cette espèce a été décrite par Müller en 1922 et est nommée en l'honneur de Hans Geyr von Schweppenburg. Il s'agit de l’un des plus petits pour le genre, avec une grandeur moyenne d'environ 34 à 40 cm. L’Uromastyx geyri est un lézard relativement petit, mince et à longue queue. La peau beige clair à orangé est légèrement tachetée. Il s’agit d’une espèce parmi les plus colorées. Il existe, chez les mâles, qui sont beaucoup plus coloré que les femelles, deux patrons de coloration, jaune et orange fluo. Les femelles peuvent avoir le ventre pratiquement blanc. Originaire des régions montagneuses du nord-est du Mali, du nord-ouest du Niger et du sud de l’Algérie. C’est un lézard désertique, terrestre, herbivore, diurne, sédentaire et héliophile. Il occupe les milieux pierreux et rocheux des contours désertiques. Toutes les espèces d’Uromastyx sont classées en annexe II de la convention de Washington, tous les individus prélevés dans la nature doivent donc être vendus avec un N° de C.I.T.E.S Les espèces d'Uromastyx en général ne doivent pas être considérées comme un animal de compagnie pour les débutants amateurs de reptiles en raison de leurs besoins alimentaires et environnementaux plutôt complexes. Bien que leur popularité a augmenté depuis qu'ils ont été introduits dans le commerce des animaux, de nombreux spécimens trouvés dans les animaleries seront capturés dans la nature et peut prendre du temps et des efforts pour s'acclimater à la vie en captivité. Il est possible de trouver Uromastyx élevés en captivité, mais la plupart d'entre eux viendra des éleveurs expérimentés. Lorsqu'il est conservé correctement, lézards uromastyx peuvent faire de beaux et fascinants animaux de compagnie. Les uros sont diurnes. Contrairement à la plupart des autres l’Uromastyx geyri vit très bien en couple, il paraîtrait même se comporter aussi bien en groupe comprenant plusieurs males ou femelles. Il s’agit sinon d’un lézard placide qui peut être même assez craintif, par contre il ne mord pas et se laisse assez facilement manipuler (bien que des fois il nous rappelle son nom de fouette queue). Il faut un terrarium plutôt de grande taille, avec si possible de la profondeur, ce qui leurs permettent de prendre du recul et de moins stresser (il semblerait aussi qu’un terrarium tout en verre aurait tendance à les stresser plus également). Un terrarium de 100 / 60 / 55 Cm ce qui parait suffisant pour un couple, avoir une hauteur importante n’est pas requis car ce ne sont pas de grand grimpeur, l’aération bien que moins importante que dans un terrarium tropical, doit être malgré tout suffisante, pour un bon échange d’air il est préconisé d’avoir au moins une aération basse et une aération haute. Le taux d’humidité ne doit pas dépasser 45 % l’idéal est de 30 % environ. L’aménagement intérieur doit se faire dans le respect des besoins de l’Uromastyx, et de son mode de vie dans la nature, pour cela il faut respecter les points suivants ; la température, l’éclairage et l’aménagement. Il faut impérativement créer un coté chaud et un coté moindre, pour le coté chaud j’emplois une ampoule chauffante (ou une lampe céramique qui a le désavantage d’être chère mais qui dure beaucoup plus longtemps) sous laquelle je place quelques grosses pierres ce qui leurs crée un endroit idéal à 38-45°C où ils viennent très régulièrement pour se chauffer et ainsi faciliter leur digestion, ces paramètres m’amène aux environs de 30°C coté frais, il est inutile voire très superflu de rajouter Câbles ou Tapis chauffants si vous atteignez ces températures. Beaucoup de personnes ont tendance a trop surchauffer les terras de leurs Uromastyx sous prétexte qu’ils viennent des contreforts du Sahara, alors que dans leur milieu naturel ils creusent (ou bien volent à des rongeurs) de longs tunnels (parfois même jusqu'à 2 mètres) pour se mètre au frais. Et étant donné leurs habitudes à creuser ils atteindraient aisément ces appareils et se trouveraient en contact direct avec. Ce qui en plus des risques de brûlures va complètement à l’encontre de leurs mécanismes de thermorégulation naturels. La nuit la température ambiante d’une habitation est idéale (soit 18 – 22°C). Le cycle jour/nuit en pleine saison est de 14h/10h (14 heures de chauffage et d'éclairage pour 10 heures d'obscurité). Un néon UV 10.0 est nécessaire, voir c’est le minimum obligatoire, et ils doivent pouvoir s’en approcher à moins de 30 cm. Les UV permettent de synthétiser la vitamine D et ainsi de fixer le calcium sur les os (c’est donc vital pour eux car sans ça les apports de calcium dans la nourriture serais perdus). On peut également si on en a la possibilité leurs faire prendre des bains de vrai soleil (en prenant soin à ce qu’il n’y a aucun risque d’évasion et qu’ils aient la possibilité de se mètre au frais). L'aménagement du terrarium doit répondre aux besoins des lézards, être décoratif, et être facilement nettoyé. Il est impératif d’aménager un maximum de cachettes avec des roches et des branches (qu’il faut absolument siliconer pour éviter les éboulements) le geyri à la faculté contrairement à beaucoup d’espèces de grimper sur des branches pas trop hautes, il se sert même parfois de sa queue pour s’accrocher. Le sol sera garni de sable, pour ma part ils ont du walnut shell vendu par Zilla. L’uromastyx est avant tout herbivore, mais il est important de leurs donner des aliments plutôt riches en calcium, ainsi on évitera les salades vertes du genre laitues etc.… pour préférer les aliments suivants ; Endives, mâche, chicorée, cresson, la frisée, blettes, les feuilles de navet, haricots verts, petits pois, courgettes, carottes, choux de Bruxelles, lentilles (réhydratées), pois chiches (réhydratés), pois cassés (réhydratés) Et aussi pissenlit (feuilles et fleurs) trèfle (feuilles et fleurs) luzerne (feuilles et fleurs). Pour un alimentation équilibrés, voici ce qui serait l’idéal de leur donner : 60 à 80% de légumes feuillus : Dandelions, scaroles, chicorée frisée, rapini, kale, radicchio, endives, pissenlits, collard, bok choy, fanes de carottes, feuilles de navet, feuilles de radis, feuilles de céleri, persil, cresson, mâche, roquette/arugula, luzerne, épinards, feuille de kolhrabi, feuille d’amarante/vlita, pousses de toutes sortes, mélanges printaniers. 10 à 15% de graines et légumineuses : GRAINES : Chia, lin, quinoa, chanvre, sarrasin, moutarde, fenouil, sésame, amarante, tournesol écaillé, etc. LÉGUMINEUSES : Lentilles de toutes sortes, pois mange-tout, pois sucrés, petits pois verts, pois chiches, etc. 10 à 15% de fleurs comestibles : Pissenlits, hibiscus, capucines, trèfles, mauves, roses, pensés et tous autres fleurs comestibles. 5 à 10% de légumes autres : Courges de toutes sortes, carottes, poivrons, courgettes, fenouil, céleri, etc. Moins de 5% de fruits : Bleuets, pommes grenades, framboises, mûres, fraises, cerises de terre, pommes, poires, kiwis, papayes, mangues, figues, dattes, cerises, raisins, groseilles, myrtilles, cassis, etc. Tous ces aliments doivent être de taille adapté à la bouche de l’animal. L’eau n’est pas indispensable ils puisent l’humidité nécessaire dans leurs aliments, personnellement je ne leurs en donne pas mais certains préconisent de vaporiser légèrement de temps en temps dans un coin du terrarium (attention cependant a ne pas faire trop monter le taux d’hygrométrie). Des insectes (grillons, criquets, morios ou vers de farine) peuvent être donnés de temps en temps mais pas en trop grande quantité car trop de protéines animales peuvent leurs causer des problèmes hépatiques voir causer la mort. Même si vous n'avez pas l'intention de reproduire votre Uromastyx, l’hibernation peut encore se produire, pendant les mois d'hiver, lorsque votre animal de compagnie peut détecter un changement dans leur photopériode habituelle. L’hibernation peut durer de un à trois mois et si votre Uromastyx sera éveillé pendant ce temps, ils seront beaucoup moins actif que d'habitude et consommera très peu ou pas de nourriture. Ce comportement est tout à fait normal et lorsque vous êtes prêt, votre animal va sortir de son hibernation. Essayez de ne pas les déranger pendant cette période de repos. L’uromastyx est un lézard ovipare. La femelle pond entre 5 et 16 œufs qui prendront entre 75 à 90 jours si incubés à 30°C.
  25. 1 Tableau d'utilisation de l'enrofloxacine chez les reptiles de petite taille (I.M ou P.O) (d'après Schilliger, 1999) Poids (g) BAYTRIL 5% N.D 50 2 U.I 75 3 U.I 100 4 U.I 125 5 U.I 150 6 U.I 175 7 U.I 200 8 U.I 250 10 U.I 300 12 U.I *Ce tableau fournit des quantités de BAYTRIL 5% N.D dilué à 0,5% (après mélange de 0,1 ml de BAYTRIL 5% N;D dans 0,9 ml de sérum physiologique). 2 Tableau d'utilisation de l'enrofloxacine chez les reptiles de moyenne et grande taille POIDS (kg) BAYTRIL 5% N.D 0,5 10 U.I 1 20 U.I 1,5 30 U.I 2 40 U.I 2,5 50 U.I 3 60 U.I 4 80 U.i 5 1ml 6 1,2 ml 7 1,4 ml 8 1,6 ml 9 1,8 ml 10 2 ml *Ce tableau fournit des quantités de BAYTRIL 5% N.D que l'on divisera par 2 pour les Phelsuma ssp. et les tortues boîtes.
×
×
  • Créer...