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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. C'est sûr qu'ils risquent de s'en servir comme pub. Par contre, débrouillard le vet
  2. Le Titanoboa a vécu sur notre planète il y a plus de 50 millions d'années. Pouvant mesurer jusqu'à 15 mètres pour une masse de 2 tonnes, c'est la plus grande espèce de serpents jamais découverte. Découvrez le Titanoboa, le plus gros serpent du monde par Gentside De son nom complet Titanoboa Cerrejonensis, le Titanoboa est une espèce fossile de serpents qui a été découverte en 2009 dans la mine de charbon de Cerrejón en Colombie. Grâce aux restes de vertèbres retrouvés sur place, on a pu estimer les mensurations du monstre : il mesurait entre 10 et 15 mètres et pesait entre une et deux tonnes, tandis qu'il pouvait atteindre un mètre de largeur. Non venimeux, il fait partie de la famille des serpents constricteurs. Comme les Boa ou les Pythons actuels, il tuait ses proies en les étouffant. De par sa taille gigantesque, il possédait une force phénoménale : avec ses anneaux, il était capable d'exercer une pression d'environ 280000 Kg/m². Selon la BBC, cela équivaut à ce que vous ressentiriez si vous étiez couché sous le pont de Brooklyn. Un colosse qui se nourrissait de crocodiles On ne sait pas précisément de quoi se nourrissait ce colosse, mais on suppose que son régime alimentaire se composait d'alligators, de crocodiles et de gros poissons. Ce serpent est apparu il y a approximativement 60 millions d'années, soit après la disparition des dinosaures. N'ayant pas de rival à sa mesure, il a été "le plus gros prédateur de la Terre pendant au moins dix millions d'années" selon le paléontologue Jonathan Bloch. A cette époque, la Terre était plus chaude qu'aujourd'hui. Ce climat était propice aux animaux à sang froid comme les serpents, qui voyaient leurs croissances favorisées. A l'inverse, les mammifères à sang chaud étaient plus petits à l'époque, à l'image des chevaux qui n'étaient pas plus grand que nos chats actuels. Mais du coup, le réchauffement de la planète que nous vivons actuellement pourrait-il favoriser un retour de ces serpents géants ? Techniquement oui mais rassurez-vous, ce n'est pas si simple dans les faits. Jason Head, directeur de l'équipe scientifique à l'origine de la découverte du Titanoboa, rappelle que "nous détruisons l'essentiel de leurs habitats avec le développement et la déforestation". Et même si nous arrivions à préserver ces habitats, le temps nécessaire au développement d'une nouvelle espèce est extrêmement long : "cela peut prendre un million d'années" précise son collègue Dr Carlos Jaramillo. Source
  3. On connaissait le massage à base de couteaux, de chatouilles ou encore le fish pédicure, qui consiste à se faire masser les pieds par des poissons. Mais celui-ci est d'un tout nouveau genre, il s'agit en effet d'un massage effectué par des serpents. C'est à Jakarta, en Indonésie, qu'un Spa a eu cette idée surprenante. Pour 47 dollars, soit environ 34 euros, il propose à ses clients un massage à base de serpents vivants. Plusieurs pythons, ces gros reptiles pouvant mesurer jusqu'à 9 mètres, sont déposés sur le dos des courageux venus se relaxer. Les bienfaits de cette technique, bien connue en Asie et au Moyen-Orient, ne sont paraît-il plus à démontrer. En effet, les mouvements du serpent sur le corps seraient relaxants et la montée d'adrénaline causée par la peur que l'animal engendre aurait un effet positif sur le métabolisme du client. Il permettrait en outre de soulager les douleurs musculaires en profondeur et de stimuler la circulation sanguine, la peur augmentant le rythme cardiaque et l'afflux sanguin. Les propriétaires du Spa à Jakarta assurent qu'ils prennent toutes les mesures nécessaires. Ils affirment que les serpents ne sont pas venimeux et qu'ils sont bien nourris 30 minutes avant chaque massage. Des soigneurs sont cependant présents pour des questions de sécurité évidentes et afin de s'assurer du bon fonctionnement de la séance. Si on peut légitimement se poser la question de l'intérêt d'une telle pratique, le directeur du Spa affirme que c'est une sensation incomparable, le mouvement du serpent glissant sur la peau étant quelque chose que les masseurs ne peuvent pas réaliser. Par ailleurs, dans une interview relayée par le Daily Mail, une cliente du Spa a déclaré avoir voulu "essayer quelque chose de nouveau et d'excitant". Et pour ceux qui seraient intéressés, le même Spa propose entre autres un massage d'une heure avec des balles de golf chaudes ou encore des bains à la bière ! Source
  4. Les araignées du monde entier ont-elles décidé de tenir congrès en Angleterre ? Déjà envahi par les dangereuses fausses veuves noires qui sèment la terreur puis victime d’une tentative de colonisation d’araignées banane mortelles venues du Brésil, le pays doit maintenant affronter une horrible Isopeda Isopedella, présentée comme « le cauchemar de tous les arachnophobes ». Le monstre velu a été découvert dans un entrepôt de l’Essex. La créature, large comme une assiette, serait arrivée de Taïwan en se glissant dans une cargaison de vélos BMX. De quoi perdre les pédales… Source
  5. La soie d'araignée consiste en une fibre de protéine filée par les araignées. Il s'agit d'un polymère dont la configuration moléculaire peut varier et rapidement s'adapter à la température et à l'humidité environnantes. La fibre est aussi solide que l'acier mais six fois plus légère que celui-ci, et 3 fois plus solide que les meilleures fibres synthétiques. Ses propriétés de solidité et d'extensibilité (étirable de 30 à 200% de sa longueur initiale) lui confèrent une résistance six fois supérieure à celle du Kevlar. Les applications de cette soie comprennent, entre autres, la production de fils biodégradables en chirurgie ou le tissage de textiles pour la balistique. Structure de la fibre de soie d'araignée : les feuillets, en jaune, sont reliées par des chaînes amorphes Crédits : Cdanish2 - Chen-Pan Liao Le Professeur Thomas Scheibel de la Faculté des sciences naturelles appliquées à l'Université de Bayreuth (Bavière) a reçu le prix de la Société de génie chimique et de biotechnologie (DECHEMA) [1] pour ses travaux de recherche sur la caractérisation des protéines de soie d'araignée. Thomas Scheibel et son équipe ont été capables de produire synthétiquement de la soie d'araignée à grande échelle. Ces travaux leur ont permis de développer des matériaux pour des applications très techniques (mousses, films,...) ou médicales (encapsulage, diagnostic,..). Le prix de 20.000 euros lui sera remis le 29 Novembre 2013, dans le cadre d'un colloque de la DECHEMA à Francfort- sur-le-Main (Hesse). -- [1] La DECHEMA, fondée en 1926, est une organisation à but non lucratif basée à Francfort-sur-le-Main (Hesse). Elle comprend plus de 5000 chimistes, biologistes et ingénieurs. L'objectif principal de cette organisation est de favoriser le développement en génie chimique, en biotechnologie ainsi qu'en protection de l'environnement. Le Prix DECHEMA de la Fondation de recherche Max Buchner est décerné chaque année depuis 1951. Il honore la recherche d'exception dans les domaines de la chimie industrielle, du génie des procédés et de la biotechnologie. Source
  6. Des paléontologues ont découvert le fossile de deux insectes en train de s’accoupler. Vieux de 165 millions d’années, il s’agit du plus ancien fossile de ce type jamais découvert. Le moment de romantisme s'est terminé tragiquement pour ses deux insectes. Il y a 165 millions d'années, les deux amants étaient en plein accouplement quand ils ont été surpris... par une éruption volcanique. Morts, ils ont ainsi été figés dans cette position avant de se fossiliser peu à peu au fil des années. C'est ainsi le fossile de cet amour d'antan qui vient d'être mis au jour en Chine. Comme l'expliquent les paléontologues, ce type de trouvaille est particulièrement rare. Seuls 40 fossiles d'insectes en plein accouplement, ont été retrouvés à travers le monde, d'après Chung Kun Shih, professeur à la Capital Normal University et co-auteur de l'étude. Et la plupart sont des spécimens qui ont été piégés dans de l'ambre. Si les estimations sont justes, ce couple d'insecte fossilisé serait ainsi le plus vieux jamais découvert, précise l'étude publiée dans la revue PLoS ONE. C'est en fouillant une zone riche en fossile située en Mongolie-Intérieure que les paléontologues ont mis la main sur le précieux fossile. Dans cette région, "les fossiles d'insectes sont tellement en bon état que nous pouvons voir leur structure détaillée, y compris les poils", a souligné Shih repris par LiveScience. Les deux spécimens parfaitement préservés appartiennent à l'espèce Anthocytina perpetua. Un aperçu de la sexualité des insectes Ces insectes qui sautaient de plante en plante se trouvent en position de face-à-face avec l'organe sexuel du mâle (l'édéage) clairement inséré dans celui de la femelle (l'ovipore). "Nous pouvons clairement voir les organe sexuels mâle et femelle. C'est très rare", a précisé le spécialiste. L'étude a ainsi permis de constater que la position des organes génitaux et les positions d'accouplement de ces insectes n'ont pas évolué pendant plus de 165 millions d'années, soit depuis le Jurassique moyen. Une observation précieuse au vu de la rareté des fossiles d'insectes s'accouplant. "Les connaissances sur les positions de copulation et l'orientation des organes sexuels au tout début de l'évolution sont limitées", a commenté Dong Ren, autre co-auteur des travaux. Ainsi, "ce fossile rare donne un éclairage sur la sexualité de ces insectes à cette période et fournit des informations importantes pour comprendre leurs positions pour se reproduire et l'orientation de leurs organes génitaux", a t-il ajouté. Une éruption volcanique ? Néanmoins, les chercheurs ne sont pas tout à fait surs de l'évènement qui a scellé le destin des deux amants. Selon eux, il pourrait s'agir d'une éruption volcanique qui aurait causé l'émission d'un gaz toxique tuant toute vie aux alentours y compris les bactéries qui auraient normalement décomposé le corps des insectes. Après cela, le couple a pu être poussé dans un lac voisin où il aurait été enterré sous les sédiments et préservés pendant des millions d'années. (crédits photo : Shu Li and Chungkun Shih) Source
  7. La cladistique permet entre autres de classer les crocodiles dans l’arbre généalogique des oiseaux Qui aurait imaginé que nous, humains, soyons plus apparentés à des champignons qu’à des fleurs, que les crocodiles aient des liens de parenté plus étroits avec les oiseaux qu’avec les lézards, et que xénoturbella, un petit ver à l’allure très primitive, soit un proche parent des vertébrés, des oursins et des étoiles de mer ? Pourtant, c’est ce qu’ont révélé les nouvelles méthodes de classification des êtres vivants, qui reposent entre autres sur le décryptage du génome des organismes. Le réexamen des plantes, des animaux et des bactéries à la lumière de ces nouvelles informations a ainsi mené à des découvertes surprenantes, dont certaines ont même bouleversé notre conception de l’évolution, affirme le professeur de biologie évolutive à l’Université Pierre-et-Marie-Curie à Paris Hervé Le Guyader, qui était invité à donner une conférence grand public mercredi au Jardin botanique de Montréal. La parenté plutôt que l’apparence Alors que la classification traditionnelle était fondée sur l’apparence globale des organismes vivants, la cladistique - aussi appelée systématique phylogénétique - classe les êtres vivants selon leurs relations de parenté, qui sont déterminées à partir de données moléculaires, cellulaires, osseuses et d’anatomie interne. « Apparue vers les années 1970 en même temps que la biologie moléculaire [technique d’analyse de l’ADN], cette méthode permet d’accéder à beaucoup plus de caractères nouveaux », précise en entrevue Hervé Le Guyader. « Par exemple, les oiseaux possèdent des plumes. Or, la plume a été une nouveauté, une innovation évolutive par rapport à l’écaille qu’on retrouve chez le crocodile. Quand on se sert des caractères évolués comme celui-là, on oublie la ressemblance globale sur laquelle était fondée la classification traditionnelle. Par exemple, le crocodile ressemble à un grand lézard, pourtant, il est évolutivement plus proche des oiseaux que des lézards car, comme les oiseaux, il possède un gésier qui est un caractère évolué dont sont dépourvus les lézards et les serpents. » Les données génétiques ont également permis de constater que les animaux et les champignons ont un ancêtre commun qui est beaucoup plus récent que celui des animaux et des plantes à fleurs. On se sert donc de ces caractères évolués pour retrouver des relations de parenté entre les différentes espèces et ensuite reconstruire l’histoire de l’évolution des espèces, souligne le chercheur. La classification des animaux et des plantes a donc été revue et corrigée, voire bouleversée à l’aide de cette méthode phylogénétique. On travaille actuellement à celle des algues et des organismes unicellulaires afin de remonter le fil de l’histoire évolutive de la vie… jusqu’à la première cellule. « Justement, il n’y a vraisemblablement pas de première cellule ! », réplique tout de go le biologiste avant d’expliquer que « très vraisemblablement, au début, les bactéries s’échangeaient énormément de matériel génétique par l’intermédiaire de virus » selon un mode de transfert horizontal, d’un organisme à un autre, contrairement à un transfert vertical, de génération en génération, par le truchement de la sexualité. « Le signal du transfert vertical s’est alors perdu, c’est pourquoi on ne peut reconstituer l’histoire des bactéries. » Le fait qu’il devient donc impossible de trouver la racine de l’arbre évolutif est « la cause de grandes bagarres » entre experts, confie M. Le Guyader. « Certains croient qu’il existe une racine mais qu’on ne la voit pas. Nous, à Paris, et des chercheurs de Montréal avec lesquels nous collaborons, affirmons qu’il n’y a pas de racine unique et que c’est la notion de réseauqui est importante. » Les ours polaires en sécurité ? Par ailleurs, sur une échelle de temps plus petite, la phylogénétique a aussi permis de retrouver la trace des épisodes d’hybridation qui sont survenus entre des ours grizzly (qui constituent une sous-espèce d’ours brun) et des ours blancs (ou polaires), et qui ont conduit à l’apparition des pizzlys (contraction de polar bear et de grizzly), ces ours au pelage blanc parsemé de zones jaunes. La fonte de la banquise a incité les ours blancs à descendre vers le Sud, où ils ont rencontré les grizzlys, explique le biologiste avant de relater des résultats obtenus par des laboratoires américains indiquant, dans un premier temps, que les grizzlys et les ours blancs sont devenus deux espèces distinctes il y a environ 600 000 ans. « Mais depuis que les ours blancs et les ours bruns se sont séparés, cinq glaciations ont eu lieu. Cela veut donc dire que les ours blancs ont survécu à quatre fontes de la banquise. On dit aujourd’hui que les ours blancs sont en voie de disparition. Mais pourquoi disparaîtraient-ils s’ils ont déjà survécu à ces réchauffements ? », lance-t-il, tout en ajoutant que les chercheurs américains ont également trouvé chez les ours bruns et les ours blancs des marqueurs génétiques identiques indiquant qu’une forte hybridation aurait eu lieu entre ces deux espèces il y a 120 000 ans, soit au moment de la dernière période interglaciaire durant laquelle les températures étaient relativement élevées. « Cette hybridation a permis de sauvegarder les gènes particuliers des ours blancs », et ceux-ci sontvraisemblablement réapparus au gré des accouplements entre pizzlys lors de la dernière glaciation. « Ces nouveaux ours blancs ne sont sans doute pas tout à fait les mêmes que les précédents. Mais tout cela est le résultat de l’évolution », affirme le chercheur. M. Le Guyader souligne aussi le fait que la cladistique nous a permis de découvrir que « parfois l’évolution va vers des simplifications plutôt que vers des complexifications ». Lorsqu’on est face à un animal très simple, comme un petit ver, on imagine qu’il s’agit d’une espèce ancestrale car les premiers animaux étaient très simples, rappelle le chercheur. « Or, il y a cinq ans, on a eu la surprise de trouver qu’un petit ver d’une simplicité colossale était proche parent d’organismes complexes, comme les vertébrés et les échinodermes (oursins, étoiles de mer). On a trouvé dans le génome de ce petit ver des caractères très évolués, comme des gènes de développement qu’il a hérités d’ancêtres plus complexes que lui. Cet animal, dénommé xénoturbella, avait été découvert en 1920, à 300 mètres de profondeur, près de la Norvège. De par sa position phylogénétique, il a acquis tout à coup un statut intéressant alors que c’est une petite cochonnerie », raconte le biologiste tout en rappelant que « cette idée de progrès croissant au cours de l’évolution qui nous vient du siècle des Lumières s’effondre avec l’exemple de xénoturbella, qui s’est simplifié en perdant plein de caractères anatomiques, comme le système nerveux et le tube digestif, au cours de l’évolution ». Source
  8. Le groupe Kering (ex-PPR) ne déménagera pas de Périers sa tannerie de peaux de crocodiles. Au contraire, il prévoit d'augmenter la production et d'embaucher 150 personnes. « C'est une bonne nouvelle ! » Et c'est un euphémisme. mardi, le maire de Périers, Gabriel Daube, a confirmé cette information. Après plusieurs mois d'hésitation entre Périers et un autre site près de Rennes, le groupe Kering a pris sa décision. Anciennement Pinault-Printemps-Redoute, la holding parisienne (1) dirigée par François Pinault et spécialisée dans le luxe conservera sa tannerie de peaux de crocodiles dans la Manche. (1) et ses marques Gucci, Saint-Laurent, Alexander McQueen, Puma... Plus exactement, le site actuel de Saint-Martin-d'Aubigny sera fermé et transféré à quelques kilomètres de là, dans la zone d'activité communautaire de Périers. Actuellement, 55 personnes travaillent dans la tannerie. « Dont beaucoup de femmes », précise Gabriel Daube. Des femmes dont la mobilité géographique n'est pas toujours évidente. « Je pense que cela a joué dans la décision de Kering. Il doit y avoir 4 ou 5 tanneries de ce type dans le monde. Donc des salariées qui savent tanner la peau de crocodile, cela ne court pas les rues. » Ce savoir-faire local a été « un atout » en faveur de Périers. Les 150 emplois projetés par Kering s'ajouteraient aux 55 actuels. « Des entreprises de transformation, dans le secteur de la maroquinerie, viendraient dans un deuxième temps », ajoute Gabriel Daube. Le temps de faire les études, les travaux pourraient débuter d'ici un an. Kering investirait 15 millions d'euros pour ce nouveau site. Pour sa part, la communauté de communes de Périers mettra la main à la poche pour financer une station d'épuration. « Une tannerie consomme beaucoup d'eau, l'équivalent d'une commune de 4 000 habitants. » Son coût est évalué à 1,8 million d'euros, financé avec des subventions de l'Agence de l'eau et un emprunt. Secret bien gardé « Tout est prêt », termine Gabriel Daube. Nous travaillons avec Pôle emploi à Coutances pour le recrutement. » Le département de la Manche et la Région devraient être aussi de la partie. Cette nouvelle devrait en surprendre plus d'un, tout simplement parce que peu de monde connaît l'existence de cette tannerie, très secrète, au-delà de la région de Périers. Fondée entre les deux guerres, elle a été détruite en juin 44 et transférée à Saint-Martin-d'Aubigny, au bord de la rivière La Taute. Le traitement de peaux exotiques (crocodile, autruche, lézard) arrive avec la société France Croco et son patron Jacques Lewkowicz, qui a racheté l'usine en 1974, pour la fabrication d'accessoires de luxe en maroquinerie. En mars dernier, le groupe Kering devenait actionnaire majoritaire de la société France Croco. Ce poids lourd mondial de l'habillement voulait ainsi « renforcer l'approvisionnement durable en peaux de crocodiles de haute qualité ». Et augmenter sa capacité de production. Ce sera donc à Périers. Source
  9. Cet après-midi, les pompiers sont intervenus pour récupérer sur la route...un anaconda. Les pompiers de Bourges ont récupéré un serpent d'environ 1m80 ce mercredi après-midi, route Savigny-en-Septaine, à Nohant-en-Goût. Le reptile était au milieu de la chaussée et avait été aperçu par un agriculteur, vers 13 h 20. Il s'agirait d'un anaconda jaune. Une espèce qui ne vit évidemment pas dans la nature, en Berry. L'animal aurait donc été relâché volontairement par son propriétaire ou se serait échappé. Le reptile va être placé au muséum d'histoire naturelle de Tours (Indre-et-Loire) dans les prochaines heures. Le muséum s'est manifesté pour prendre l'animal. L'anaconda évite ainsi l'euthanasie, qui aurait été l'ultime recours si personne ne l'avait récupéré. Source
  10. REIMS (51). Un pont, et puis plus rien. Les travaux de liaison entre le boulevard des Belges et la rue Léon-Faucher ont enfin repris, après un léger contretemps dû… à la présence d’un lézard protégé. À quand la liaison boulevard des Belges/rue Léon-Faucher ? La question, encore récemment posée en conseil de quartier, a animé, ces derniers temps, nombre de discussions chez les habitants des rues de Brimontel et de la 12e Escadre-d’Aviation. Des habitants interpellés par la présence, sous leurs fenêtres, au milieu d’un terrain vague, d’un pont flambant neuf sorti de terre, il y a plusieurs mois déjà, au-dessus des voies de chemin de fer… mais jamais raccordé à leurs rues. L’ouvrage d’art avait même l’air abandonné à son triste sort… jusqu’à lundi, où les premiers signes d’une reprise de chantier se sont fait sentir. Une nouvelle confirmée par Sylvain Sachau, directeur des déplacements et des études sur les espaces publics à Reims Métropole, qui rappelle que ces travaux de liaison, de « rocade médiane », s’inscrivent dans le cadre du plan de déplacement urbain rémois ; et viennent compléter le raccordement Léon-Faucher/boulevard des Tondeurs – rebaptisé avenue du Berceau-de-l’Aviation – créé il y a deux ans. Mais pourquoi diantre avoir attendu si longtemps pour venir à bout de ce chantier intercommunal qui permettra aux automobilistes venant des Faubourgs de Laon, de rejoindre directement Bétheny ? Y aurait-il eu un lézard ? On ne croyait pas si bien dire ! « Le pont a été achevé début 2013, rappelle M. Sachau. Mais nous n’avons pas pu intervenir tout de suite. Car il y avait une espèce protégée sur le site. » Précisément, un lézard des murailles, décelé lors de l’enquête publique de la loi sur l’eau… « Il fallait attendre la fin de sa période de reproduction, d’avril à septembre, pour poursuivre les travaux. » Ainsi, ce n’est qu’en début de semaine que les engins ont pu reprendre le travail. À la clé, un giratoire desservant le boulevard des Belges, les rues de Brimontel et de la 12e Escadre-d’Aviation, et cette nouvelle voie, à rebaptiser, qui rejoindra le pont, puis la rue Léon-Faucher. « On a décidé de reprendre tout le carrefour, qui n’est pas dans l’axe du pont, et pour des raisons de sécurité », note encore Sylvain Sachau. Le chantier devrait s’achever en avril 2014, pour une mise en service de la liaison à la fin du premier semestre. À moins que la nature n’en décide encore autrement… Source
  11. Petites, elles sont adorables avec leurs trognes vertes bien au chaud dans leur vivarium. Au point que bon nombre de parents ont cédé aux supplications de leurs enfants afin d’acquérir le tant convoité animal. Adultes, une fois relâchées dans la nature, elles peuvent se transformer en véritables fléaux pour nos écosystèmes. Il s’agit bien sûr des tortues de Floride. Pour autant que nous le sachions, les climats de la Floride et de Vieux-Condé sont pour le moins différents. Tropical pour la première, et tempéré à tendance pluvieuse pour la seconde. Rien ou presque ne semble les rapprocher. À un détail près : la prolifération de tortues. Si le sujet prête à sourire parfois, le problème risque bien de se transformer en nuisance majeure dans les années à venir. Heureusement, à l’heure actuelle, il n’y a pas grand-chose à craindre. Mais David Swaenepoel, responsable de la gestion des parties naturelles de la commune, qui a déjà pu observer la bête, est formel : l’impact sur la faune et la flore risque de se faire ressentir. « Actuellement, je n’ai vu que six ou sept spécimens, en été, à l’étang d’Amaury. Nous ne pouvons encore mesurer l’impact sur l’écosystème, et nous ne savons pas si elles se reproduisent. Mais ce qui est sûr, c’est qu’il faut rester vigilant, car la tortue de Floride s’acclimate bien ». En réalité, les origines du problème remonteraient à plusieurs années, puisque les riverains sont habitués à observer la présence des reptiles sur le site. Comment ces bestioles ont-elles pu se retrouver là ? Si plusieurs pistes sont exploitables, celle de propriétaires peu scrupuleux se débarrassant de l’animal dans la nature semble la plus prometteuses. Vendue en masse depuis les années 1970, la tortue de Floride vit environ 50 ans, et grossit facilement pour atteindre les 20 à 30 cm à l’âge adulte. Un fardeau que beaucoup ne sont pas prêts à assumer. « Nous en sommes encore au conditionnel. Mais si nous constatons une prolifération sur Vieux-Condé, notamment dans le Jard, nous devrons prendre des mesures. Les gens doivent comprendre que l’on ne relâche pas ainsi une tortue dans la nature ! Il ne faut pas surtout pas en acheter une sur un coup de tête. D’autant que l’animal est carnivore, ce qui est terrible pour les poissons et amphibiens du secteur… ». Source
  12. Un vétérinaire a trouvé un moyen original de pallier le manque de prothèses adaptées pour remplacer la patte arrachée d'une tortue. Un vétérinaire allemand a déployé tout son talent et sa créativité pour soigner une tortue retrouvée la patte arrachée dans le jardin d'un retraité de Stuttgart, dans le sud de l'Allemagne. Vu qu'il n'existait pas de prothèse adaptée pour remplacer le membre perdu, le soignant a choisi de lui greffer… une roue Lego, rapporte la chaîne allemand N24. Le jouet du célèbre fabricant danois appartiendrait à la fille de l'assistante du vétérinaire. La solution précédemment envisagée consistait à greffer à la tortue baptisée Schildi – tortue se traduit "Schildkröte" en allemand – une prothèse incluant deux roues. Ce qui posait apparemment quelques problèmes à l'animal au moment de changer de direction. Schildi semble avoir déjà adopté son nouveau "jouet", mais devra attendre d'être complètement rétablie pour hiberner cette année. "La tortue est trop maigre et ne passerait pas l'hiver", a expliqué Monika Ehrlacher, de l'antenne locale de la société de protection des animaux, à N24. Source
  13. Un Britannique de 24 ans a semé la panique à bord d'un avion en sortant Milky, son animal de compagnie, en plein vol. Milky n'était autre qu'un serpent. L'incident s'est produit la semaine dernière à bord d'un avion de la compagnie EasyJet qui faisait la liaison entre Tel Aviv en Israël et Londres au Royaume-Uni. Adam Gubbay, un chauffeur de bus de 24 ans, a effrayé de nombreux passagers en sortant Milky, son serpent des blés de son sac en plein vol. "J'avais mis Milky dans une boîte en carton dans laquelle j'avais percé des trous et que j'avais mise dans mon sac", explique-t-il en précisant que le sac en question avait sonné lors de son passage au contrôle de sécurité de l'aéroport mais qu'on l'avait laissé repartir. Au beau milieu du vol, Adam Gubbay a voulu donner de l'eau à l'animal mais en le sortant de sa boîte, il a fortement effrayé les autres passagers. "Une femme s'est mise à hurler: 'Il y a un serpent à bord'", se souvient-il. "Certaines personnes étaient consternées mais d'autres restaient calmes", tient-il à préciser. Face à ce chaos, le pilote de l'avion a menacé d'atterrir d'urgence. Mais Adam Gubbay a remis Milky dans sa boîte et le reste du vol s'est passé sans incident. Adam Gubbay et Milky ont été interpellés à leur sortie de l'avion. Le jeune homme a reçu un avertissement mais a finalement pu rentrer chez lui avec le reptile. "Tout cela n'était qu'un malentendu", indique-t-il. "Je suis un amoureux des animaux et c'était vraiment très stressant". La porte-parole de la compagnie aérienne EasyJet a tenu à rassurer les passagers en affirmant que leur vie n'avait jamais été mise en danger. "Le serpent est inoffensif et il est resté dans sa boîte durant tout le vol", dit-elle. "Les passagers n'étaient pas en danger". Une enquête a toutefois été ouverte pour tenter de comprendre comment le serpent n'a pas été détecté lors des contrôles de sécurité. Source
  14. L'événement ExoDécouvertes sera de retour pour une troisième année le 23 novembre prochain au Collège Laflèche. Cet évènement, présenté par Monsieur Reptile et Repticlic.com, propose aux visiteurs une exposition de reptiles vivants de 8000 pieds carrés. Des spécialistes de la faune et de la biodiversité québécoise ainsi que des organismes locaux et de développement durable seront également sur place afin de mieux faire connaître les reptiles de toutes tailles et couleurs venant de partout à travers le monde. Source
  15. Tambopata, Péru Une nuée de papillons aux couleurs vives recouvre la tête d’une tortue pour s’abreuver de ses larmes. Les papillons orange Julia et les papillons jaunes Piéride ont besoin de sel dans leur alimentation. Le photographe Jeff Cremer a saisi cette image au Pérou, dans la forêt tropicale amazonienne «Habituellement, il n’y a qu’un ou deux papillons sur une tortue, pas 15! La bête semble complètement étouffée.» – Jeff Cremer, 35 ans, voyageur et photographe de Pueblo, au Colorado, aux États-Unis. Seule source de sel dans la forêt Les yeux de tortue sont les seules sources de sel dans la forêt amazonienne. Certains animaux sont contraints de boire leurs larmes en raison de l’éloignement des sources salines. La sueur des tortues, à l’instar de la sueur humaine, contient beaucoup de sodium. «Les papillons s’attirent entre eux. S’il y en a un qui se nourrit, les autres vont accourir», explique le biologiste Phil Torres. Nuée de papillons Définition. L’expression est utilisée quand des animaux se regroupent pour se nourrir de nutriments comme le sel et les acides aminés. Mesures extrêmes. Le papillon de nuit Hemiceratoides hieroglyphica, de Madagascar, attaque des oiseaux endormis en enfonçant sa trompe dans leurs yeux fermés. Vampire. Le papillon de nuit Calyptra suce le sang d’animaux endormis pour se nourrir. Sans danger pour les tortues Étonnamment, les tortues d’eau douce ne semblent pas du tout importunées par les nuées de papillons. Cependant, elles ne sont pas aussi accueillantes quand des abeilles cherchent à boire le sel de leurs larmes. «Quand des abeilles viennent boire, les tortues semblent agitées et elles secouent leur tête pour essayer de les chasser», dit M. Torres. Commensalisme Définition. Relation entre deux animaux où l’un d’entre eux bénéficie de l’autre, sans que ce dernier soit blessé ni qu’il en bénéficie. Exemple. Le poisson-clown s’abrite parmi les tentacules des anémones. Le poisson est couvert d’un mucus qui le protège des nématocystes urticants des anémones. Source
  16. Grosse surprise pour ce jardinier en ouvrant sa cabane, où se cachait un python d'une taille conséquente ! Un habitant de Loupian (au nord du Bassin de Thau) a eu assurément la surprise de sa vie mardi après-midi. Alors qu'il se rendait dans son cabanon de jardin, il est tombé sur un python de 2 m. Le reptile (un python moulure albinos femelle) a été pris en charge par les hommes de l'ONCFS et rapatrié dans une clinique vétérinaire. Source
  17. À Rimouski, un scorpion s'est retrouvé dans un contenant de framboises. Samedi dernier, une consommatrice a fait l'achat de ces petits fruits, en provenance du Mexique. Le scorpion mort découvert à Rimouski (Capture d'écran TVA Nouvelles) Le lendemain, en préparant une salade de fruits, elle a fait la découverte d'un petit scorpion mort, mesurant 2 centimètres. Les framboises provenaient du Mexique (Capture d'écran TVA Nouvelles) La direction du supermarché Métro où elle a acheté ses fruits affirme que cette situation peut toujours se produire et que personne n'est à l'abri d'une telle découverte. Un avis sera transmis au fournisseur des framboises pour rappeler l'importance de la vigilance des employés. La découverte d'insectes exotiques dans des contenants de fruits ou de légumes en provenance des pays du sud crée toujours un effet de surprise. À Londres, une famille a dû quitter son logement à cause d'un régime de bananes infesté d'araignées. Et les cas d'araignées de type veuve noire retrouvées dans des raisins il y a quelques années avaient semé l'émoi. Source
  18. Le tégu argentin rouge, (Tupinambis rufescens), souvent appelée simplement tégu rouge, est l'une des plus grandes espèces de lézards du genre Tupinambis. Comme son nom l'indique, le tégu argentin rouge se trouve dans l'ouest de l'Argentine et du Paraguay. Ce reptile est soumis aux réglementations : convention de Washington et communauté européenne, donc annexe II/B obligation de citées ou de facture précisant la provenance ou le numéro de citées. Avec des soins appropriés, vous pouvez voir votre tégu vivre au moins 15 ans. Chez les nouveau-nés, les tégus affichent peu de rouge. Ils sont généralement vert brunâtre avec des bandes noires sur leur largeur et plusieurs bandes blanches sur la longueur. Physiquement, ce tégu est superbe étant juvénile, avec des stries rouges, grises et noires, et des points blancs. Ils ont alors un corps long et élancé. A l’âge adulte ce lézard est beaucoup plus massif. Ils développent une coloration rouge à mesure qu'ils vieillissent, les mâles généralement plus rouge vif que les femelles avec une coloration plus, généralement, dans les tons rouge-brun, et des lignes plus claires un peu dissimulées. Une femelle adulte peut atteindre 1,10 m de longueur. Les mâles sont nettement plus imposants, atteignant jusqu'à 1,30 m avec un développement de grandes bajoues. Les jeunes tégus mâles peuvent être sexés par la présence de deux écailles à la base de la queue. Tous ceux qui possèdent ou ont possédé ce lézard disent de lui que c’est un animal "de compagnie" fantastique, très docile et vraiment simple. Cette espèce se rencontre dans les forêts tropicales, en Argentine dans les provinces du Chaco, de La Rioja, de San Juan, de Mendoza, de Córdoba, de San Luis et de La Pampa ; au Paraguay ; en Bolivie dans les départements de Santa Cruz, de Beni et de Tarija ; au Brésil dans l'État du Paraná. Il a des territoires communs avec le Tupinambis Merianae, dans l’est du Paraguay, Chaco, Formosa, Santiago Del Estero. On trouve cette espèce dans les zones arides. En terrarium, prévoyez 2mx1mx1m pour un seul individu, car cet animal imposant a besoin de place ! Ce lézard est terricole, généralement très visible et assez actif, mais surtout quand il a faim. Notre recommandation pour la litière est l’écorce, la terre ou un certain type de paillis. Ces types de substrat retient l'humidité très bien, ce qui permet un taux d'humidité élevé. La litière doit être assez épaisse pour permettre à votre tégu à creuser et enterrer lui-même. Pour les conditions : 20°C la nuit, ce qui vous dispense généralement de chauffer, et 25 à 30°C le jour, mais avec un point très chaud à 35-40°C, au moins pendant quelques heures. L’hygrométrie quant à elle sera moyenne, à environ 50-60%. Il lui faudra un bon 12 heures d’éclairage avec un néon UVb qui est indispensables. En outre, il est très important de changer votre lumière UVB tous les 6-8 mois, après ce temps, la quantité de UV dégagé par la lumière a faibli considérablement. Il est très important de lui offrir un terrarium vaste, car il se déplace beaucoup et reste peu de temps immobile. C’est un lézard diurne, C’est vraiment un lézard intéressant, aussi docile qu’actif. Cette espèce ayant besoin d’une période fraiche dans l’année, en général en automne-hiver, pendant laquelle il va dormir et au cours de laquelle vous pouvez faire descendre les températures autour de 15°C. Si vous avez l'intention de mettre en hibernation votre tégu, les températures doivent rester entre 8-15 degrés. Ces lézards peuvent gérer une brève exposition à des températures inférieures à 10 degrés, mais ce n'est pas recommandé. En terrarium, vous le verrez quand il est prêt car il se met à creuser dans le terrarium, ou dans son enclos, pour s’enterrer et dormir. Son activité reviendra lorsque les températures remonteront autour de 18-20°C. Si vous le maintenez en terrarium toute l’année, il est donc conseillé de placer ce terrarium dans une pièce froide, ou dans la cave, en maintenant ou non une période d’éclairage. Quand les températures remonteront dans la cave, vous le remettez au chaud en remettant les spots en fonctionnement, et il repart naturellement à sa vie quotidienne habituelle. L’hibernation est nécessaire pour la reproduction. Beaucoup de spécimens meurent en captivité lors de cette étape cruciale et délicate. Les gens mettent les tégus en hibernation dès qu’ils perçoivent les premiers signes. Mais, dans la plupart des cas, les tégus ne sont pas prêt. De ce fait, ils restent encore de la nourriture dans leur estomac qui pourrira et les feront mourir quelques mois plus tard. Pour cette raison, la reproduction est assez difficile en captivité. Le tégu rouge est un lézard à croissance très rapide, atteignant généralement maturité dans 2-3 ans. Il n'est pas rare qu’un jeune tégu rouge bien nourris a des poussées de croissance de plus de 2 ou 3 cm par semaine. Il sera moins prolifique que le T. Marianae. Les femelles pondront une vingtaine d’oeufs, lesquels, incubés à 28°C, ils mettront environ 60 à 70 jours pour éclore et donner le jour à des bébés d’une vingtaine de centimètres. N'ayant jamais reproduis cette espèce, c'est tout ce que je peux dire sur cette partie. C’est un omnivore. Le tégu rouge est un mangeur très opportuniste. Les spécimens sauvages vont manger une variété de matières végétales et animales: les fruits, les légumes, les insectes, les rongeurs, les oiseaux et les poissons. Les tégus rouges élevés en captivité seront souvent plus pointilleux mangeurs, surtout de juvéniles, et peuvent préférer un régime de surtout de la viande. Il mangera plus de fruits et légumes que son cousin Merianae. Vraiment très facile à nourrir ! On peut donner au tégus rouges des souris, des rats, des poissons, des escargots, des oeufs durs, des grillons, des vers, coeur de boeuf, des fruits et des légumes. Un régime mixte de ces produits alimentaires, quatre à cinq fois par semaine, est idéal et permettra d'assurer la croissance et la bonne santé. Les tégus exigent également un supplément de calcium et de vitamine. Ce supplément fonctionne avec la lumière UVB permettant le lézard de recevoir les quantités adéquates de calcium et de vitamines. Cela devrait être utilisé tous les jours chez des bébés et réduit à 1-2 fois par semaine chez les adultes. Le calcium est vendu dans une forme de poudre et est saupoudré sur les grillons, les fruits et légumes que vous nourrissez votre tégu. Si vous nourrissez votre tégu de rongeurs, aucun supplément n’est nécessaire. Vous devez appliquer un revêtement très léger pour les produits alimentaires, en faisant attention de ne pas perdre l'excédent de poudre.
  19. Le Centre régional d'initiation à la rivière lance une nouvelle campagne régionale autour des amphibiens de Bretagne. À travers cette opération, l'association Eau & Rivières de Bretagne souhaite lancer une action de recensement des zones d'écrasement et de mortalité routière. « Participer à la préservation de la faune ne nécessite pas forcément de grands moyens. Tout le monde peut agir ! », expliquent les membres de l'association. Pour ce faire, il suffit d'indiquer à l'association, les zones d'écrasement que chacun peut observer sur son trajet. Expositions, livrets, vidéos... Les amphibiens locaux se nomment salamandres, tritons, rainettes, grenouilles ou encore crapauds. Certains sont très communs comme la grenouille ou le crapaud commun qui porte ainsi bien son nom, d'autres, au contraire, sont assez rares, comme le triton ponctué. Pour permettre de les identifier avec aisance, l'association a développé de nombreux supports comme un petit livret téléchargeable gratuitement sur son site internet mais aussi deux expositions visibles, en ce moment, autour du château Lady Mond et dans l'aquarium des curieux de nature. Pour découvrir leur biologie en image, Eau et rivières vient de réaliser deux petits courts métrages, également visibles sur Internet. Pour les plus motivés, l'association organise des animations et conférences dans toute la Bretagne. La prochaine se déroulera le mardi 5 novembre, à 20 h, à l'université de Guingamp. Elle sera animée par Pierre Quistinic, du terrarium de Kerdanet. Quand et comment les voir ? Le meilleur moment s'étale sur les six premiers mois de l'année (période de reproduction) lors d'une période douce et humide. La plupart des espèces ont une activité nocturne, la prospection sera donc beaucoup plus riche si elle est faite à la nuit tombée. En s'armant de patience, de bottes et d'une bonne lampe ! Le calme est également de rigueur, car la plupart des espèces sont craintives et cessent toute activité s'il y a du bruit. L'écoute des mâles chanteurs est aussi un bon moyen de repérer certaines espèces comme la rainette... extrêmement démonstrative ! Contact : 02 96 43 08 39 - http://educatif.eau-et-rivieres.asso.fr - crir@eau-et-rivieres.asso.fr Source
  20. ROYAUME-UNI Une famille britannique a dû fuir sa maison après qu'une douzaine d'araignées venimeuses se sont échappées d'un lot de bananes ramené du supermarché. Consi Taylor, 29 ans, mangeait une banane lorsque de petits points blancs sur la peau du fruit ont attiré son attention. Elle s'est rendue compte qu'il s'agissait d'une douzaine de minuscules araignées qui se sont ensuite répandues sur la table de la cuisine avant d'envahir la moquette (voir les photos). "J'étais à la moitié de ma banane lorsque j'ai vu quelque chose de blanc sur la peau. Je pensais que c'était de la moisissure mais en me rapprochant, j'ai constaté qu'il s'agissait d'araignées", raconte Consi Taylor au Sun. La famille, inquiète, a fait venir un expert en animaux nuisibles qui a identifié les araignées comme des Phoneutria nigriventer, une espèce mortelle d'Amérique du Sud et a conseillé à la famille Taylor de quitter momentanément sa maison d'Hampton, dans le sud-ouest de Londres. Consi, son mari Richard, Benjamin leur fils de trois ans et Annabel, âgée de quatre mois ont séjourné à l'hôtel le temps que leur maison soit désinfectée. Intervention du supermarché Mr et Mme Taylor ont ramené les bananes chez Sainsbury's, le supermarché dans lequel ils les avaient achetés et se sont vus d'abord offrir un bon d'achat de 10 livres (12 euros) en compensation. Leur maison a dû être ensuite désinfectée à l'aide de fumigènes et tous leurs vêtements nettoyés par une société spécialisée. Sainsbury's est donc également intervenu à hauteur de 1.000 livres (1.200 euros) pour la facture d'hôtel, le nettoyage de la maison et des vêtements. La famille a ensuite pu regagner son domicile. La chaîne de supermarchés a présenté ses excuses à la famille et a assuré que des contrôles rigoureux sur les produits importés étaient opérés à tous les stades de l'importation, ce qui rend ce genre de mésaventure assez rare. Toutefois, ce n'est pas la première fois que ce cas de figure se présente. L'espèce, une des plus venimeuses parmi toutes les araignées, est également connue sous le nom d'araignée banane car elle a l'habitude de se loger dans les régimes de bananes. Les spécimens découverts par la famille Taylor étaient encore à leur premier stade de développement mais l'araignée banane peut atteindre de 17 à 48 mm avec des pattes de 130 à 150 mm. Source
  21. L’écaille transparente qui protège l’œil des serpents abriterait un réseau de vaisseaux sanguins. Le constat est tout à fait surprenant puisque les capillaires peuvent obstruer la vue de l’animal. Une étude révèle que les serpents seraient toutefois capables de réguler l’afflux sanguin s’ils se sentent menacés… Les Coluber flagellum vivent dans le nord du Mexique et dans le sud des États-Unis. Ils sont inoffensifs et, comme tous les serpents, n’ont pas de paupières. L’espèce dispose de pupilles rondes, mais certaines ont les pupilles verticales (typiques des espèces nocturnes), ou plus rarement horizontales. Kevin van Doorn Le clin d’œil d’un serpent ne pourra jamais être observé car ce reptile ne dispose pas de paupière. La plupart des reptiles en ont trois, mais les serpents et les geckos ont décidé d’évoluer différemment. Les paupières permettent pourtant de protéger le globe oculaire des projections de poussières, de réduire l’afflux de lumière et de réhydrater la cornée. Chez les serpents, seule une écaille transparente protège leurs yeux. Si elle est translucide, elle est semble-t-il couverte de vaisseaux sanguins. La vascularisation de cette écaille avait déjà été remarquée et commentée brièvement lors de précédents travaux, dont les plus récents dateraient des années 1970. Pourtant une telle observation est étrange, puisque les vaisseaux sanguins pourraient bien obstruer la vue des serpents. Le doctorant Kevin van Doorn commençait sa thèse (dont la problématique était l’étude de la capacité de focalisation des serpents) lorsqu’il a redécouvert ce véritable réseau sanguin caché dans l’écaille transparente. Il s’est alors interrogé de l’effet que pouvaient avoir ces vaisseaux sanguins sur la vue du serpent, l’empêchaient-ils réellement de voir correctement ? Ne trouvant que peu de réponses dans la littérature, Kevin van Doorn a réalisé sa propre expérience, en étudiant les yeux du Coluber flagellum. Ce serpent est non-venimeux, on le rencontre couramment dans le sud des États-Unis ou dans le nord du Mexique. Afin de déterminer les effets de ces capillaires sanguins sur sa vision, Kevin van Doorn a placé un individu dans une petite boîte de verre Perspex, dans laquelle il semble se sentir suffisamment à l’aise pour courber l’échine et se laisser observer. Le plus grand Coluber flagellum observé mesurait 259 cm, mais la taille des mâles varie généralement entre 163 et 235 cm. Fjguyote, Wikipédia, cc by sa 3.0 Contraction des vaisseaux sanguins : une réponse nerveuse ? Le biologiste a d’abord fixé une caméra à une lampe éclairant l’œil de l’animal puis s’est caché durant une demi-heure. Le dispositif vidéo a enregistré la dilatation et la contraction des capillaires, processus qui permettent ou empêchent l’afflux sanguin dans l’écaille protectrice de l’œil. Les résultats, publiés dans le Journal of Experimental Biology, révèlent que le temps de contraction dure en moyenne 115 secondes, puis les vaisseaux se dilatent et laissent l’afflux sanguin réoxygéner l’œil. Une demi-heure plus tard, le doctorant a réapparu un peu brutalement, ce qui a provoqué chez le serpent une réaction. Le reptile a dû percevoir cette intrusion comme une menace. Durant les huit minutes suivantes, il a réduit le temps de dilation des vaisseaux, passant de 57 à 33,5 secondes. Lorsque Kevin van Doorn a quitté une seconde fois les lieux, le serpent est revenu à son rythme normal de contraction. Les serpents n’utilisent que très peu la vue pour chasser leurs proies. Ils ont une mauvaise vue, et sont souvent incapables de détecter une proie lorsqu’elle est immobile. Ils ont de puissants détecteurs infrarouges, les fossettes sensorielles et repèrent donc plutôt la chaleur que leur proie dégage. Ainsi, on ne peut dire si le Coluber flagellum a volontairement réduit son afflux sanguin à l’arrivée du doctorant, ou s’il s’agit plutôt d’une réponse à l’activation de son système nerveux sympathique. Quoi qu’il en soit, il est certain que cette réaction permet au serpent de mieux voir, et donc peut-être de mieux discerner la menace que le doctorant représentait. Source
  22. Un fossile d'insecte vieux de 365 millions d'années a été découvert par le Muséum national d'histoire naturelle en Belgique. ROMAIN GARROUSTE/MNHN SCIENCES - Des chercheurs français vont partir un mois en Australie pour reconstituer l'arbre généalogique d'insectes australiens... Faire l’arbre généalogique d’un insecte est plus compliqué que de retrouver la trace de ses propres ancêtres. C’est pourtant à cette tâche minutieuse que des scientifiques français vont se dédier durant un mois: du 11 novembre au 5 décembre 2013, des chercheurs du Muséum national d’histoire naturelle et du CNRS partiront en Australie pour y collecter des insectes dont les racines sont à chercher du côté du Gondwana, cet immense continent qui regroupait Amérique du Sud, Afrique, Inde, Australie et Antarctique avant que les continents ne se séparent il y a 140 millions d’années. Etudes de l’ADN des insectes «L’objectif est de ramasser différents insectes, punaises, collemboles, moucherons, et coléoptères coprophages, pour retracer l’évolution de ces groupes au fil de la dérive des continents», explique Eric Guilbert, entomologiste au Muséum, qui partira avec cinq autres chercheurs. Les échantillons collectés permettront de mesurer les effets de la vicariance, c’est-à-dire l’émergence d’une barrière géographique entre deux populations d’une même espèce, sur leur évolution. «Lorsqu’elles se séparent, deux espèces sœurs peuvent évoluer complètement différemment, explique Eric Guilbert. Nous allons donc rechercher les liens de parenté entre des espèces australiennes et des espèces d’Afrique du sud, par exemple.» Durant un mois, les chercheurs vont lancer leurs filets avant de rapporter tout ce microcosme australien en France, où il sera méticuleusement étudié. «Sur place, nous observons le comportement et l’environnement, mais la vraie étude est en laboratoire. Un mois de terrain c’est onze mois de paillasse», explique Eric Guilbert. Les techniques pour reconstituer l’arbre généalogique des insectes sont en effet pointues: la phylogénie moléculaire permet, en comparant les séquences d’ADN des insectes, d’estimer les divergences entre les espèces et la vitesse de mutation des gènes. Après la Patagonie en 2011 et l’Afrique du Sud en 2012, cette dernière mission en Australie pourrait permettre de reformer la grande famille des insectes du Gondwana. Audrey Chauvet Source
  23. Chez la nymphe de la « cigale bossue », un engrenage assure la synchronisation du mouvement des deux pattes postérieures lors du saut. La nymphe de la cigale bossue, Issus coleoptratus. Le mouvement de ses deux pattes postérieures, responsables du saut, met en jeu un mécanisme d'engrenage, qui implique les trochanters (un élément de la patte précédant le fémur et situé sous le corps de l'insecte). La bio-ingénierie consiste à s’inspirer du monde vivant pour concevoir des dispositifs techniques innovants. Inversement, les organismes vivants s’inspireraient-ils des inventions de l’homme ? L’idée est bien sûr absurde, mais elle vient à l’esprit quand on apprend la découverte faite par Malcolm Burrows, de l’Université de Cambridge au Royaume-Uni, et son collègue Gregory Sutton. Ces deux zoologistes ont mis au jour un mécanisme à engrenage impliqué dans le saut d’une petite cigale sauteuse, la « cigale bossue » Issus coleoptratus (appartenant à l’ordre des Hémiptères, famille des Issidés). L’engrenage est donc une technique mécanique dont l’humanité n’a pas la paternité... Une vue agrandie du dessous de l'insecte montre, au premier plan, les deux trochanters avec leur rangée de dents sur le côté interne. Chez les insectes sauteurs (criquets, puces, cercopes, cicadelles, etc.), le saut est provoqué par une détente rapide et puissante des deux pattes postérieures. On trouve deux configurations de ces dernières. Chez les criquets et les puces, les deux pattes bougent dans des plans verticaux distincts de chaque côté du corps de l’insecte. Chez les très bons sauteurs tels que les cercopes et les cicadelles, les bases des pattes postérieures, sous le corps de l’insecte, tournent en sens inverses et dans un même plan à peu près horizontal. Mais cette seconde configuration exige une synchronisation précise des mouvements des deux pattes : sinon, en sautant, l’insecte subirait une rotation rapide sur lui-même dans le plan horizontal. Une vue prise au microscope électronique à balayage montrant les deux rangées de dents imbriquées. Comment cette synchronisation est-elle assurée ? Chez la cigale bossue, les influx nerveux sont envoyés aux muscles correspondants par deux paires indépendantes de neurones moteurs, ce qui ne suffit pas à synchroniser de façon assez précise, à l’échelle de quelques microsecondes, les mouvements des deux pattes. Grâce à de la vidéo ultrarapide et à un examen anatomique, M. Burrows et G. Sutton ont montré que chez la nymphe de la cigale bossue, une synchronisation précise a lieu grâce à une rangée courbe de dents présente sur le côté interne du trochanter (partie de la patte qui suit la coxa, ou hanche, et précède le fémur) de chaque patte (voir les photos prises au microscope électronique à balayage). Les deux trochanters, en contact sur une partie de leur côté interne, s’articulent ainsi par un engrenage qui les contraint à se mouvoir de conserve. Grâce aux dents d’engrenage, les deux pattes postérieures démarrent leur mouvement presque simultanément, avec un décalage inférieur à 30 microsecondes. Dans la phase préparatoire du saut, qui dure environ 80 millisecondes, les trochanters tournent en entraînant les fémurs vers l’avant (voir la vidéo). Dans la seconde phase du saut, la phase propulsive, qui dure moins de deux millisecondes, les sens de rotation sont inversés et les fémurs sont rejetés vers l’arrière. Ce mécanisme à engrenage ne concerne que la nymphe de la cigale bossue et celles d’autres espèces apparentées. Les dents disparaissent lors de la dernière mue de l’insecte, quand il devient adulte. Comment alors expliquer que les adultes sautent encore mieux que les nymphes ? M. Burrows avait établi en 2010 que chez eux, la synchronisation des deux pattes postérieures est assurée, au moins en partie, par le frottement entre les coxae. La synchronisation par frottement pourrait être plus avantageuse chez les adultes en raison de leur plus grande taille. Un autre point à souligner est que chez les nymphes, les dents cassées sont remplacées grâce à la mue suivante, ce qui serait impossible chez les adultes, qui ne muent plus. Source
  24. Le mosasaure, cet immense reptile marin qui vivait il y a quelques 80 millions d’années, ne rechignait pas, lorsque l'occasion s'en présentait, à dévorer ses congénères. Le mosasaure, ce reptile marin carnivore qui hantait les mers à la fin du Crétacé (il y a environ 90 à 66 millions d’années), se nourrissait parfois de ses congénères. Un résultat révélé le 29 octobre 2013 par des paléontologues lors de la conférence annuelle de la Société de Géologie Américaine, qui se tenait à Toronto du 27 au 30 octobre 2013. Cette information a été initialement relayée par le site américain LiveScience (lire l'article « Full Belly Fossil! 'Sea Monster' Had 3 Others in Its Gut »). A l’origine, il y a la découverte d’un fossile de mosasaure, mis au jour dès 2006 sur le site angolais de Bentabia, mais auquel les paléontologues n'ont pas pu accéder avant 2010. En analysant ce fossile de mosasaure, le paléontologue Louis Jacobs (Southern Methodist University du Texas, Etats-Unis) et ses collègues ont eu la surprise de découvrir les restes de 3 autres espèces de mosasaures. Le premier des trois mosasaures dévorés, de petite taille, a été ingéré en une seule fois. Pour les deux autres, plus gros, leurs ossements n’ont été découverts que sous une forme incomplète. Pour les auteurs de la découverte, cette trouvaille révèle que les mosasaures avaient à l'occasion un comportement charognard, dévorant les cadavres d'autres mosasaures que le courant leur amenait… Il est à noter qu'une telle stratégie alimentaire était très répandue chez les carnivores du Crétacé. Ainsi, de récents travaux ont mis en évidence le fait que le célèbre T-Rex était à l'occasion lui aussi susceptible de dévorer ses congénères, lorsque l'occasion s'en présentait. Cette découverte fait partie d'une série de résultats qui ont été révélés pendant la conférence annuelle de la Société de Géologie Américaine par Louis Jacobs et ses collègues, lors de deux présentations (le résumé de ces deux présentations est accessible ici : « A marine vertebrate assemblage from the Campanian-Maastrichtian boundary at Bentiaba, Angola » et « Cabinda revisited: age and environment of new Cenozoic vertebrate fossils from northern Angola »). Source
  25. C'est une étrange découverte que des voyageurs ont faite ce vendredi sous un escalator de l'aéroport de Chicago aux Etats-Unis. Un alligator venant de nulle part y a été surpris. Selon le Chicago Tribune qui révèle cette information surprenante, l'alligator a été surpris par des passants alors qu'il se tenait sous un escalator du terminal 3 de l'aéroport international O'Hare à Chicago. L'animal, qui était en très mauvais état, a été intercepté et remis à la Société herpétologique de Chicago. Comment le reptile est-il arrivé là et depuis combien de temps se trouvait-il dans cet aéroport, on l'ignore. Une enquête est en cours. Source
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