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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Vous pensez la connaître. Sa bonne bouille, ses apparitions dans « Le Monde de Nemo », « Boule et Bill » ou « Franklin », son flegme so British rallient tous les suffrages. Mais approchez-vous un peu, observez-la mieux. La tortue est une rebelle. Un symbole de résistance aux emballements contemporains. Adepte de la slow food, hermétique à l’accélération médiatique, confiante dans le long terme, sourde au buzz, convertie aux déplacements doux, elle est à l’opposé du lièvre de La Fontaine, être versatile, tapageur, inconséquent – un trader ? Fabuleux mais méconnu, l’animal méritait bien le coup de projecteur que le zoo de Lille lui donne ce dimanche. À travers un quiz et de petites animations, le parc emmènera ses visiteurs à la découverte des quatre espèces qu’il héberge, tortues grecques, de Floride, d’Aldabra et péloméduses roussâtres. Et au-delà. « On tente de sensibiliser les gens pour qu’ils n’achètent pas n’importe quoi en animalerie, souligne Marie Simon, vétérinaire au zoo. Ou même à la Braderie… » Moult espèces, privées de nourriture ou d’habitat, chassées pour leur viande ou leur carapace, sont protégées. De nombreux spécimens du parc sont d’ailleurs, au départ, des saisies douanières. Ainsi de 12 des 16 tortues grecques, terrestres, ou des deux énormes tortues d’Aldabra, nées aux Seychelles mais interceptées à la frontière belge en 1998. Nourries de laitue, de courgettes, d’endives, de chou rouge et de foin, ces femelles de 25 ans environ font toujours leur petit effet, avec leurs 65 et 85 kg. Et ce sera encore le cas dans trois générations humaines, si le dieu des reptiles leur prête vie jusqu’au siècle, espérance de vie de cette espèce. À l’extérieur de la serre tropicale, un « torturama » rappellera la diversité de la grande famille, tortue boîte à carapace articulée, tortue à carapace molle ou tortue alligator aux faux airs de T-Rex. Avec un « T » comme, devinez quoi ? Animations à 14 h 30 et 16 h. Quiz à retirer à l’accueil du zoo. Source
  2. Une jeune maman australienne a eu la peur de sa vie lorsqu’elle a découvert qu’un python s’était enroulé autour de sa petite fille de deux ans. L’incident s’est produit à Lismore dans le Nord de l’Australie. Tess Guthrie, une mère de famille de 22 ans, s’est réveillée en pleine nuit après avoir entendu souffler son chat. La jeune femme a regardé Zara, sa petite fille de deux ans qui dormait avec elle dans le lit, et c’est là qu’elle a aperçu un python d’1m85 enroulé autour de la fillette. « Au début, j’ai cru que je rêvais », confie-t-elle au Daily Telegraph. Mais rapidement Tess comprend que le serpent est bien réel. Elle décide alors d’attraper la tête du reptile pour extraire son enfant. Surpris, le python a attaqué la petite fille en lui mordant la main à trois reprises. Zara a été emmenée à l’hôpital. Ses jours ne sont pas en danger. Selon un expert, le python se trouvait probablement dans la maison depuis plusieurs jours. « Il n’avait sûrement pas l’intention de blesser ou de dévorer Zara », confie Tex Tills, spécialisé dans la capture de reptiles. « Il faisait juste un câlin de groupe », poursuit-il. « Les Pythons ont sous leur mâchoire une rangée de capteurs grâce auxquels ils peuvent voir des images infrarouges. Dans l’obscurité, ils voient un bébé comme un point chaud ». Selon lui, si le serpent a fini par mordre l’enfant c’est uniquement parce que sa maman a tenté de le capturer. Le python aurait pris peur et n’aurait fait que se défendre. A la demande de Tess Guthrie, le python n’a pas été euthanasié. Tex Tilss l’a relâché à environ cinq kilomètres de sa maison. Source
  3. - Vendredi dernier, un automobiliste a eu une drôle de surprise en ouvrant le capot de sa voiture à Desvres : un python de taille adulte avait élu domiciledans le moteur. Les sapeurs-pompiers, les forces de gendarmerie et le service animalier Opale Capture Environnement ont été dépêchés sur place. Le serpent a été transféré au centre de sauvegarde des animaux sauvages de Calais. D'autres serpents avaient déjà été retrouvés dans le Desvrois ces dernières années. Il s'agirait d'animaux de compagnie abandonnés.
  4. On croyait tout savoir des fourmis. L’exposition « Mille milliards de fourmis » qui se tient au Palais de la Découverte à Paris apporte un éclairage quelque peu différent sur cet insecte réputé travailleur… Les fourmis occupent la planète Terre depuis 120 millions d’années. Il en existe 12.000 espèces. Si certaines caractéristiques morphologiques les différencient, toutes ont en commun une organisation de vie collective où l’individu n’a pas d’existence en dehors du groupe. « La fourmi n’est pas prêteuse » prétendait La Fontaine qui, en l’opposant à la futile cigale, en faisait l’emblème de l’animal industrieux et travailleur. Cette exposition vient casser ce cliché : seules 10% des fourmis travaillent, les autres ne font absolument rien ! Mais elles ne sont pas pour autant inutiles... La grande force des fourmis est leur exceptionnelle capacité d’adaptation collective. Un petit ruisseau se met-il à gonfler à cause des pluies et menace la fourmilière ? Aussitôt elles se regroupent en millions d’individus et parviennent à sauver l’ensemble, en particulier la Reine dont la mission est de pondre les œufs et d’assurer ainsi la survie de l’espèce. Ce voyage myrmécologique est organisé au Palais de la Découverte Avenue Franklin Rooesevelt Paris (8e) jusqu’au 24 août 2014 Source
  5. L’institution lausannoise saura ce mardi si elle a réussi à éponger une portion suffisante de sa dette pour éviter la faillite. Le même jour, une pétition de 11'000 signatures sera remise aux autorités. L’avenir des reptiles hébergés depuis 1970 au Vivarium de Lausanne, à Sauvabelin, devrait enfin se préciser. Le premier acte décisif, pour les 650 à 700 bêtes de la célèbre institution, se jouera en matinée mardi, au Tribunal d’arrondissement de Lausanne. Les créanciers réunis en assemblée se pencheront sur la dette – estimée à plus d’un demi-million de francs – d’un Vivarium menacé par la faillite mais au bénéfice d’un sursis concordataire. Le zoo des animaux à sang froid doit réunir 350'000 francs pour s’assurer un avenir qui devrait le voir déménager en 2016 à Vennes, dans le futur centre Aquatis dédié à l’eau et aux poissons. Les responsables de l’institution étaient discrets, vendredi, sur le résultat de la campagne de récolte de fonds, qui devrait l’aider à éponger sa dette. Mais les signaux semblaient de bon augure. Une chose est certaine, le Vivarium bénéficie d’un soutien populaire appréciable. Lancée conjointement par le POP Gauche en mouvement et les membres du Vivarium, la pétition «Le Vivarium doit vivre» a en effet récolté près de 11'000 signatures. Ce texte demande que les autorités cantonales et communales aident l’institution à garantir sa sécurité financière, au besoin par une augmentation des subventions. Le soutien annuel de la Ville se monte à 60'000 francs, alors que celui du Canton atteint 50'000 francs. Les responsables du Vivarium espèrent obtenir davantage afin de passer le cap des années 2014-2015, jusqu’au déménagement à Vennes, qui devrait assurer sa viabilité. (TDG) Source
  6. Nous pénétrons dans le parc national de Penang. Nous traversons ces divers milieux, son bord de mer où l'inlassable flot des vagues chante une douce mélodie. Puis, nous traversons ces habitats de mangroves. Ces plantes particulières possèdent des racines échasses pouvant récupérer l'air, s'adaptant ainsi à la faible oxygénation du sol. Elles se sont aussi adaptées à une salinité élevée grâce à l'évacuation du sel par des glandes situées à la base de la feuille. Ensuite, nous pénétrons les canopées du parc national, dans l'humidité de cette dense forêt où les espèces tropicales embaument l'air. Finalement, nous atteignons la plage des tortues, où se trouve un sanctuaire afin de protéger la dizaine d'espèces marines présentes dans les eaux de la Malaisie. Nous y sommes durant la saison de la ponte, notamment pour la tortue verte. La femelle ponds tous les 3 à 6 ans sur la plage où elle est née, à quelques centaines de mètres près. En plusieurs cycles, elle viendra déposer une centaine d'œufs jusqu'à 10 fois durant deux mois puis retournera vers le grand large. Nageant jusqu'à 1'000 km en quelques jours, elles traversent de grandes distance pour se nourrir. Environ 2 mois plus tard, les bébés tortues sortent du sable grâce à leurs pattes avant et sont guidés par la lune pour rejoindre l'océan. Le sexe des petits va dépendre de la température du sable. Des femelles si les températures sont plus hautes, des mâles si les températures sont plus basses. Très vulnérables, le sanctuaire s'occupe de les protéger jusqu'à ce qu'ils rejoignent la mer. Seuls reptiles migrateurs, les tortues traversent les gigantesques espaces marins, naviguant dans cet univers d'un bleu impénétrable. Présentes sur terre depuis 250 millions d'années, elles symbolisent les sagesses ancestrales de notre monde. Source
  7. Le 27 octobre 2007, une tortue de mer repêchée dans l'Etang de Berre est relâchée à la plage du Prophète 27 octobre 2007 : Laura, une tortue marine échouée en août sur une plage de l'étang de Berre a été remise à l’eau. Elle a été recueilli par le Centre d'études et de soins des tortues en Méditerranée pour y être soignée. Beaucoup de monde, notamment des enfants étaient présents pour suivre cet événement unique à Marseille. La tortue a donc rejoint son élément naturel. A noter qu'une balise Argos, placée sur son dos, permettra de la suivre. Source
  8. Pas moins de 16 pythons, une vipère et un lézard ont été saisis dans une résidence de Gatineau, mercredi. Les agents du Contrôle animalier et du Service de police de la ville de Gatineau (SPVG) sont intervenus au 1069, rue Notre-Dame, dans le secteur de Gatineau, en réponse à une plainte d'un citoyen. Un des serpents saisis est venimeux. «Tous les animaux exotiques ont été saisis afin de les faire expertiser et de vérifier leur légalité», a expliqué jeudi le sergent Jean-Paul LeMay, du SPVG. Certaines bêtes présentaient des blessures. Des agents d'Environnement Canada se sont aussi rendus sur les lieux vérifier les questions d'importation. Les agents du ministère du Développement durable, de l'Environnement, de la Faune et des Parcs y étaient aussi pour identifier le serpent venimeux. Le propriétaire des animaux, un homme de 24 ans, était présent au moment de l'intervention. Ce dernier pourrait recevoir une série de contraventions pour possession d'animaux représentant un danger et possession d'animaux exotiques non contenus dans un terrarium. Le Gatinois pourrait également faire face à des infractions concernant la Loi sur la faune. Les animaux ont tous été remis au «Little Ray's Reptiles Zoo», à Ottawa 1 Python réticulé de 4m 1 Python réticulé de 3,3m 1 python réticulé de 3m 1 python réticulé de 1,5m 1 python réticulé de 1,2m 10 pythons réticulés de 75cm 1 python améthyste de 3,7m 1 vipère d'Asie du Sud 1 lézard « Savannah monitor » de 1m Source
  9. Sain, nourrissant et surtout éco-responsable, l’insecte est peut-être l’aliment de demain. Celui qui permettra de nourrir la planète tout en usant moins de ressources. C’est en tout cas le pari pris par Micronutris, société qui élève des grillons et vers de farine destinés à la consommation humaine. A quelques semaines de la mise en rayon de ses premiers produits tests, rencontre avec son créateur, Cédric Auriol. Faire rimer activité industrielle avec enjeux sociaux et environnementaux, voilà le défi que s’est lancé Cédric Auriol avec Micronutris, en 2011. C’est en lisant un rapport de la FAO (Food and Drug Administration) faisant l’apologie de l’élevage d’insectes comestibles à grande échelle que lui est venue l’idée de créer sa société en 2010. Il s’entoure alors d’un docteur en biologie, spécialisé en sciences de l’insecte, et d’un ingénieur agronome. "Moi, j’avais une approche industrielle. On a donc couplé nos compétences pour pouvoir créer des processus de transformation et mettre au point une unité de production efficace et conforme aux normes agroalimentaires", détaille t-il. Aujourd’hui, son entreprise de cinq salariés, située à Saint-Orens-de-Gameville dans la région Toulousaine, produit environ une tonne par mois de grillons et autres vers de farine à des fins alimentaires. Pourtant, il y a trois ans de cela, son entourage lui faisait les gros yeux. "Sans me dire clairement que j’étais fou, mes proches ne comprenaient pas bien où je voulais aller. La viabilité économique du projet suscitait pas mal d’interrogations", explique le jeune entrepreneur (31 ans). Et pour cause : si en Asie le marché de l’entomophagie est déjà bien fourni, Micronutris est à ce jour la seule entreprise européenne spécialisée dans la production de masse d’insectes comestibles. "30% de la population est carrément prête à se laisser tenter" C’est justement l’absence de concurrence qui a poussé l’entrepreneur, déjà à la tête d’une société d’import-export d’emballage à destination des professionnels du textile nommée EAP Group, à faire le grand saut : "Pour le moment, c’est mon autre entreprise qui finance le développement de Micronutris. On n’en est qu’aux prémices de l’activité. Mais, lors de nos études de marché, nous nous sommes rendus compte que de plus en plus de gens pas forcément intéressés par les insectes à la base, mais qui recherchent une alimentation éco-responsable, voient leur réflexion les amener sur ce type d’aliments. Nos sondages ont révélé que seulement 20% des Français sont totalement réfractaires à l’idée d’en consommer. Et 30% de la population est carrément prête à se laisser tenter", expose t-il. Car dans la série "Comment nourrir la planète en 2050 ?", les hexapodes font office de solution de premier choix. Fin septembre, cinq étudiants de l’université canadienne Mc Gill, créateurs de la compagnie Aspire, ont remporté la quatrième édition du Hult Prize – et la bagatelle d’un million de dollars afin de les aider à développer leur start-up-, récompensant les projets les plus innovants en entreprenariat social et solidaire. Leur programme ? Mettre des insectes dans les assiettes du plus grand nombre d’humains afin de lutter contre la faim dans le monde. Source
  10. Après le tremblement de terre de janvier 2010, le Zoo de Philadelphie avait voulu venir au secours de 9 espèces de grenouilles en voie de disparation qui se trouve dans la forêt « La Hotte terre de grenouille », située à Tiburon (Jacmel, Sud d’Haïti). Le Zoo avait capturé 154 grenouilles, et aujourd’hui, grâce à un programme de reproduction en captivité, le Zoo détient plus de 1 500 grenouilles Haïtiennes, a appris Haïti Press Network via l’agence Scientific American. « Il y a un certain nombre d'espèces en Haïti qui sont dans un état critique, sans grande confiance que leurs habitats sont en danger pour la prochaine décennie. Nous sommes vraiment en train d’arriver à la perte de la biodiversité au niveau national », a affirmé le chef de l'exploitation du zoo, Andy Baker. « C'est pourquoi nous avons décidé de prendre ces grenouilles dans le zoo. S’il y a un scénario apocalyptique où la forêt va disparaitre, les espèces seront toujours préservées. Nous pouvons recréer la forêt dans une autre région et peut-être réintroduire les grenouilles de nouveau dans cet habitat », a fait savoir pour sa part Carlos Martinez Rivera, biologiste de la conservation des amphibiens avec le zoo de Philadelphie. Le biologiste a expliqué que rien sur l’écologie des neuf espèces n’était connu avant de lancer ce programme d’élevage en captivité. « Tout ce que nous savions, c'était le nom de l'espèce et de l'habitat où ils vivent, mais pas où et quand ils nichent. Nous avons supposé que les grenouilles se reproduisent des terres pendant la saison des pluies, ce qui semble être le cas », a indiqué Martinez, qui a aussi critiqué la déforestation en Haïti qui met en danger plusieurs espèces animales et végétales. En dépit qu'ils vont continuer à se concentrer sur la reproduction des grenouilles à Philadelphie, « Le véritable test est un succès», a dit Baker avec déjà trois générations de ces grenouilles d’Haïti et probablement un quatrième dans un proche avenir. Le Zoo de Philadelphie a pris un engagement à long terme, apprend-t-on, en vue de travailler avec les ministères haïtiens, des universités et d'autres organisations afin de préserver les espèces et leurs habitats. Le mois prochain, ils tiendront un atelier avec des ministres et des gardes du parc pour partager les informations qu'ils ont appris jusqu'à maintenant et obtenir l'apport des autorités haïtiennes sur la façon d'aider à conserver le peu de forêt qui reste de la région. fedrick.jp@hpnhaiti.com Source
  11. Les crocodiles sont les plus grandes espèces survivantes de la classe des reptiles. Les ancêtres des crocodiles actuels existaient déjà du temps des dinosaures, il y a 65 à 135 millions. Aujourd’hui, toutes les espèces ont vu rétrécir leur aire de répartition et quelques-unes sont au bord de l’extinction. En Afrique, on n’observe que trois espèces de crocodiles, qui vivent dans l’eau douce : le crocodile du Nil, le crocodile africain à museau étroit et le crocodile nain. La survie des crocodiles est menacée par plusieurs facteurs : la déforestation, le braconnage, la conversion à l’agriculture et les pollutions agricoles dues à l’utilisation abusive des pesticides, notamment dans la culture du cotonnier au nord du Bénin. Les crocodiles sont fortement braconnés pour la consommation de sa viande, pour faire des produits et sous-produits pour la médecine traditionnelle et pour sa peau, vendue en maroquinerie. De nombreux produits à base de crocodile La viande de crocodile est consommée et appréciée localement, par exemple, au Bénin par tous les groupes socioculturels à l’exception des Peulhs. Les Peulhs ne consomment pas cette viande à cause d’une tradition ancienne, qui dit que « tout éleveur peulh qui tue cet animal et le mange verra son troupeau de bovins réduire en nombre soit par perte ou par mort ». Par ailleurs, la viande est consommée même par ceux qui vénèrent les crocodiles, mais à condition que le crocodile ne soit pas prélevé dans la mare sacrée du village. Kpéra et al. (2004) ont inventorié sur les marchés 17 produits et sous-produits de crocodiles. Il s’agit de : la peau (dorsale et ventrale), du museau, des pattes, des os, de la graisse, de l’œuf entier, des coquilles d’oeuf, de l’anus, des crottes, des dents, de la bile, du foie, des poumons, du cœur, du pénis, des gastrolithes (pierres contenues dans l’estomac du crocodile) et de l’animal vivant. Les produits et sous-produits de crocodile sont utilisés en médecine traditionnelle comme remèdes pour guérir des maladies dont l’asthme, l’hernie inguinale, l’ictère, la rougeole, le rhumatisme, l’otite, le panaris, la douleur, etc. Ils sont aussi recherchés pour se doter de certains pouvoirs surnaturels comme les mauvais sorts, la sorcellerie, etc. L’utilisation de la peau pour la maroquinerie est variable selon les pays. En parallèle, des peuples les protègent… Les crocodiles sont vénérés par certains groupes socio-culturels (Bariba, Boo, Mokolé) et l’on note à travers ce rôle culturel, une cohabitation pacifique entre les crocodiles et les populations rurales des zones où ils sont vénérés. À cause de leur rôle culturel et de l’anecdote qui dit : « une mare qui abrite des crocodiles ne tarit jamais », les crocodiles font l’objet d’une certaine assistance apportée par les populations locales. Cette assistance se manifeste par le dragage régulier des mares pendant la saison sèche, le nettoyage de la berge, la protection des animaux par l’interdiction de les tuer, et le transport des bébés crocodiles vers la mare après éclosion des œufs. Cette méthode de conservation appelée conservation endogène est l’une des meilleures formes de conservation des crocodiles au Bénin. Quelle est la population de crocodiles africains ? Avec une population d’environ 250 000 à 500 000 individus et en considérant sa distribution, le crocodile du Nil, Crocodylus niloticus, n’est pas considéré comme un taxon menacé au niveau international, bien qu’il soit menacé de disparition dans certaines régions comme, par exemple, au Sud- Bénin. Très peu d’information est disponible sur le crocodile africain à museau étroit, Mecistops cataphractus. La plus grande population existe dans les parcs nationaux du Gabon, tandis que d’autres régions ont montré la baisse de leur population en particulier l’Angola et le Tchad. Ce déclin est dû principalement à la surexploitation, qui s’est intensifiée une fois que les populations sont devenues épuisées dans ces régions. Au niveau international un effectif de 25 000 à 100 000 individus de crocodile nain, Osteolaemus tetrapis, le classe dans la catégorie VU. Le problème principal avec cette espèce repose sur le manque de données fiables. Sans une telle information, le statut de l’espèce ne peut pas être déterminé. Bien que les experts classent l’espèce comme une préoccupation mineure (LR) au niveau international à cause de sa distribution et des tailles de population saines dans quelques régions, la liste rouge la classe depuis 1996 dans la catégorie VU pour refléter l’incertitude de son statut dans la nature. Alimentation et reproduction Les crocodiles sont carnivores. Chez les jeunes, le menu est composé de batraciens, d’escargots, de larves de libellules, de criquets et autres insectes et, avec le temps, de crustacés, de petits oiseaux et rongeurs. Les adultes sont armés pour s’attaquer aux grands poissons et mammifères (jeunes hippopotames, girafes, antilopes, buffles, etc.). Du fait de leur petit estomac, si la victime est de grande taille, plusieurs repas seront nécessaires et la carcasse de la proie est dissimulée sous l’eau, près d’un rocher ou entre les racines d’un arbre, le temps de la laisser se décomposer. Indépendamment de la température du corps, les crocodiles n’acceptent pas d’aliments s’ils ont peur ou si des manipulations ou autres interventions les ont stressés. Ainsi peuvent-ils vivre pendant des mois sans se nourrir, mais perdent progressivement du poids et s’affaiblissent. La croissance et la taille sont beaucoup plus fonction de l’alimentation que de l’âge. Les crocodiles maintiennent leur température corporelle à 30°C. Lorsque la température du corps est plus basse, les crocodiles ne se nourrissent plus et tombent dans un état de torpeur. Pour se chauffer, ils s’exposent au soleil ou sur une surface chaude ; pour se rafraîchir, ils se mettent à l’ombre ou entrent dans l’eau. Lorsqu’ils ont trop chaud, ils gardent la gueule ouverte, afin de laisser la chaleur s’échapper. Les crocodiles sont ovipares et atteignent leur maturité sexuelle vers l’âge de 10 ans. La femelle pond entre 20 et 70 oeufs et parfois 90 oeufs chez Crocodylus niloticus. Selon les espèces, la femelle creuse un nid dans le sable ou prépare un nid de débris végétaux pour y déposer ses oeufs. Souvent la femelle protège attentivement son nid des prédateurs sans couvrir, à proprement parler, les oeufs. Après 60 à 90 jours d’incubation, les bébés crocodiles sont prêts à éclore ; ils émettent alors des cris aigus, qui s’entendent même à travers une couche de terre de 30 cm d’épaisseur et à une distance de 4 m. La femelle les ramasse dans sa gueule et les transporte dans l’eau. Les bébés crocodiles ont une mortalité élevée : 90 sur 100 n’atteindront pas l’âge adulte. Les crocodiles ont une taille variant entre 1 et 7 m et parfois plus avec un poids vif corporel d’une tonne au plus. Les mâles ont une taille plus grande que les femelles. Ils ont des mâchoires puissantes avec de nombreuses dents identiques, coniques, légèrement incurvées, sans racines, qui sont renouvelées tout les deux ans. Source
  12. Intervention quelque peu insolite hier en fin d’après-midi des pompiers et gendarmes de Lauzerte.Un employé de mairie était intrigué par un dépôt d’ordures à Saint-Pierre-de-Najac un hameau de Miramont-de-Quercy .Où un habitant du secteur, parti ailleurs s’était débarassé de son vivarium .Et avait donc balancé dans ce lieu public un nouvel animal de compagnie (NAC ) qu’il ne pouvait amener ailleurs.Ce python vivant de quatre vingt centimètres de long a été récupéré et devrait retrouver rapidement un lieu plus propice à sa saison hivernale. Source
  13. Un reptile de 3,5m de long a été neutralisé par un charmeur de serpents devant des étudiants apeurés et ébahis, dimanche 20 octobre dernier. Un reptile de 3,5m de long a été neutralisé par un charmeur de serpents devant des étudiants apeurés et ébahis, dimanche 20 octobre dernier. D'après la rumeur propagée par de nombreux étudiants, cet animal serait un serpent totem. Caque soutient mordicus Abbe Abakar, étudiant dans la même université en deuxième année droit, encore sous le choc de cette surprenante découverte: «Je rentrais de la radio campus autour de 9h du matin lorsque j'ai aperçu ce gros serpent boa. Sa taille était impressionnante et ses regards étaient farouches, on aurait dit un homme fulminant de rage et cherchant à se venger». Alors que les étudiants apeurés qui vivaient la scène se demandaient bien ce que pouvait faire un énorme serpent dans l'enceinte de l'Université, un charmeur de serpents, vêtu de haillons, la cinquantaine environ et les yeux noirs, fit son apparition. Immédiatement, il calma les esprits des témoins. «Calmez-vous, il ne vous fera aucun mal. C'est un totem», lança-t-il d'une voix forte. Puis, Contre toute attente, s'approcha du serpent-boa et se mit à lui parler avec douceur, tout en esquissant des pas de danse en chantant. Comme le soutiennent d'ailleurs les témoins ayant vécu la scène, les rites terminés, le vieil homme ramassa le serpent tout en le caressant, le mit autour de son cou et disparu dans la nature sans qu'on ne lui crie gare. Approchés, des étudiants soutiennent que le lac de Dang, situé à quelques encablures de l'Université de Ngaoundéré, serait le fief des sauriens du fait de la pollution aggravé de l'étang. Source
  14. Un serpent a été découvert ce mercredi soir dans un vol de la compagnie Easyjet à destination de l’aéroport de Luton à Londres (Angleterre). Le passager qui l’a ramené illégalement a été arrêté par la police. Facile de voler dans les avions Easyjet. Ce mercredi soir, un serpent a été découvert dans le bagage à main d’un passager lors d’un vol Easyjet à destination de Londres (Angleterre) et en provenance de Tel-Aviv en Israël. Selon les premières informations, le passager l’aurait introduit de manière illégale dans une boite en plastique lors de l’embarquement en terre israélienne. "Nous pouvons confirmer qu’un passager a ramené un petit serpent dans une boite plastique à bord de l’avion en provenance de Tel Aviv", a expliqué le porte-parole de la compagnie aérienne. Une anecdote plutôt étonnante au vu des procédures de sécurités drastiques mises en place dans les aéroports israéliens. Alertées par l’équipage, la police britannique s’est tout de suite rendue à l’aéroport de Luton à Londres pour arrêter le passager détenteur de l’animal. Humour des passagers Heureusement pour Easyjet, les passagers à bord de l’avion ont pris la nouvelle avec humour. "Pas de Samuel L. Jackson, mais un vrai serpent dans l’avion", a tweeté Rafi Addleston, en référence au célèbre film américain Des serpents dans l’avion. La compagnie aérienne a par ailleurs tenu à rassurer ses clients sur Twitter. "C’était un serpent non-venimeux qui n’a pas bougé de sa boite. Les passagers n’étaient donc pas en danger ", a-t-elle tenu à préciser. Source
  15. Les scientifiques viennent de découvrir ce qu'on peut appeler « un monde perdu » dans la région septentrionale de Queensland en Australie. Ils y ont découvert trois nouvelles espèces de vertébrés, dont une grenouille qui fait sa parade nuptiale sous la pluie. Ces nouvelles espèces, parmi lesquelles on compte un gecko avec une queue en forme de feuille et un scinque, on été isolée sur une montagne éloignée de la péninsule de Cape York depuis des millions d'années, selon l'Université James Cook. inconnue de la science L'expédition conjointe de l'Université James Cook et de La National Geographic society avait conduit les chercheurs Conrad Hoskin et Tim Laman, respectivement des université James Cook et Harvard dans les contrées vierges du nord-est de Melleville. Cette zone montagneuse est constituée d'un empilement d'énormes blocs de granites de plusieurs centaines de mètres de hauteur. Des chercheurs avaient dans le passé, visité le plateau au pied de la montagne, mais personne ne s'était encore aventuré dans la forêt tropicale sèche et dense accrochée aux flancs de la montagne. Et c'est à l'aide d'un hélicoptère que nos deux chercheurs, accompagnés d'un photographe de la National Geographic society, ont été déposés dans la zone de l'expédition. Un gecko sorti tout droit de la préhistoire Les scientifiques y ont découvert une diversité d'espèces dont certaines pourraient être inconnues de la science. Cependant trois d'entre elles ont retenu leur attention et ont été largement décrites. Leur description a été publiée dans le journal spécialisé en taxonomie Zootaxa. La perle de cette expédition demeure le gecko à la queue en forme de feuille, dont l'aspect rappelle celui des reptiles primitifs. Ce gecko est considéré comme une relique de la période où la forêt tropicale couvrait toute l'étendue de l'Australie. Sa taille peut atteindre 20 cm. Il s'agit d'un prédateur nocturne, qui reste caché dans la fente des rochers durant la journée. A la nuit tombée, ce lézard au camouflage parfait sort de sa cachette et guette, immobile, les insectes qui s'aventurent sur son territoire. Ses yeux exorbitants, son corps effilé et ses pattes semblent être des adaptations à son environnement. Les chercheurs l'ont nommé Saltuarius eximius ; ce qui signifie exceptionnel ou exquis. Un lézard à la parure dorée Le scinque doré est également fascinant. Contrairement à son voisin, c'est un chasseur diurne. Il erre entre les rochers couverts de mousses à la recherche d'insectes dont il raffole. Il a une peau dorée et on ne le retrouve que dans la forêt tropicale. Les scientifiques de l'expédition lui ont donné le nom de Saproscincus saltus. Le terme saltus signifie « sauter ». Une grenouille qui s'ébat sous la pluie La troisième trouvaille de l'expédition est une grenouille, qui a été baptisée Cophixalus petrophilus ; ce qui signifie littéralement « amour dans les rochers ». Durant la saison sèche, cette grenouille se terre dans les profondeurs des rochers où les conditions sont fraîches et humides. Durant l'été, lors de la saison humide, elle sort à la surface des rochers pour se nourrir et se reproduire sous la pluie. Le rapport des scientifiques indique que la grenouille ne sort que lorsqu'il pleut. Il n'y a pas d'étendue d'eau dans les environs. La grenouille pond donc ses œufs dans les fentes humides des rochers. Les têtards se développent dans les œufs et le mâle surveille les œufs jusqu'à ce qu'ils éclosent. Ces trois espèces ne vivent que dans cette zone. Elles y ont été isolées depuis des milliers d'années et ont évolué pour s'adapter à cet unique environnement, ont conclu les chercheurs. La découverte de nouvelles espèces de vertébrés est l'œuvre d'une vie, a affirmé Hoskin. Vu cette découverte, il est très probable que de nouvelles expéditions soient conduites dans la région. Source
  16. Drôle d’endroit pour une rencontre ! En réalisant l’état des lieux de son nouvel appartement à Brives-Charensac (Haute-Loire), un locataire a eu une drôle de surprise. Un varan des savanes y avait élu domicile et a dû en être délogé par les pompiers, apprend-on sur le site du Progres.fr. Cette espèce de saurien originaire de l’Afrique de l’ouest peut s’avérer dangereuse et « entraîner des morsures et autres griffures conséquentes », précise l’article. L’animal a été remis à un vétérinaire avant d’être placé dans une jardinerie-animalerie à Blavozy. Pour l'heure personne ne sait comment ce varan plutôt exotique est parvenu jusqu’en Haute-Loire ! (Photo : DR) Source
  17. Les primates disposent, dans leur cerveau, de neurones qui leur permettent de détecter rapidement les serpents, ont constaté des scientifiques américains. L'anthropologue Lunne Isbell et ses collègues de l'Université Davis en Californie ont mesuré la réaction des neurones dans le système visuel de deux macaques nés dans une réserve au Japon face à des images de serpents et d'autres objets de leur environnement. L'équipe a examiné ces cellules nerveuses dans le pulvinar, la région du cerveau qui joue un rôle central dans l'attention visuelle et le traitement rapide d'images. Elle a ainsi testé la réponse d'une centaine neurones en montrant aux primates : des images de serpents des photos d'autres macaques de simples formes géométriques Résultats : les photos de serpents ont déclenché les réactions les plus rapides et les plus fortes du plus grand nombre de ce groupe de neurones. Selon les chercheurs, ces résultats révèlent un mécanisme neurobiologique qui expliquerait pourquoi les primates sont dotés d'une grande sensibilité visuelle aux serpents leur permettant de les repérer rapidement. Ces travaux fournissent donc, selon la Pre Isbell, une preuve neuroscientifique à la théorie de la détection de serpents, qui postule que leur menace a fortement influencé l'évolution du cerveau des primates. Susan Mineka, professeure de psychologie clinique à l'Université Northwestern et primatologue, estime que ces travaux sont fascinants dans la mesure où les deux macaques n'ont jamais vu de serpents dans la nature avant cette expérience. La chose n'a toutefois pas été confirmée par les auteurs de ces travaux publiés dans la revue PNAS. Source
  18. INVASION — Originaire d’Asie, cet insecte s’approche lentement mais sûrement de la Suisse romande. Il s’attaque surtout aux arbres fruitiers. Inexorablement, la «punaise diabolique», également surnommée «punaise puante», se rapproche de la Suisse romande. Repérée pour la première fois à Zurich en 2004, elle ne cesse depuis de grignoter du territoire. «Il est certain qu’elle va arriver en Suisse romande, même si je ne peux pas vous dire quand!» indique Beat Wermelinger, dont l’Institut fédéral de recherches sur la forêt, la neige et le paysage (WSL) avait été le premier à repérer la bête. Depuis, Zurich reste un foyer très important, avec de nombreux signalements cette année, mais l’insecte s’implante également dans la zone bâloise et dans le Tessin notamment. Signe particulier: l’odeur pestilentielle que la punaise dégage quand elle se sent menacée. La vigilance devrait être accrue ces temps. L’insecte, de son nom latin Halyomorpha halys, apprécie particulièrement la proximité des zones urbaines en cette période où il est en quête de lieux chauds pour passer l’hiver: des balcons et autres terrasses, les punaises se glissent dans les interstices des murs. Mais elles aiment beaucoup aussi les buissons à fruits et les arbres fruitiers. C’est bien cet attrait pour les fruits qui inquiète les spécialistes. Avides de fruits En septembre dernier, a relevé SonntagsBlick, un paysan argovien a ainsi signalé des dégâts sur ses cultures de poivrons. Aux Etats-Unis, les conséquences sont particulièrement dramatiques: les taches laissées par les punaises sur les pommes et les pêches de plusieurs Etats ont rendu un fruit sur quatre invendable. Cité par SonntagsBlick, le spécialiste mondial Tim Haye, du centre de recherche CABI de Delémont, spécialisé dans la lutte contre les plantes invasives et les insectes ravageurs d’origine exotique, estime que «ce n’est qu’une question de temps avant qu’elles ne commettent d’énormes dégâts ici aussi». Selon le WSL, il est probable que la punaise diabolique a été importée sur des plantes ornementales en provenance d’Asie, d’où elle est originaire. Comment expliquer sa progression, somme toute assez lente, ici? D’abord, elle se multiplie à un rythme tranquille: les larves écloses en été ne pondront qu’à l’été suivant. Autre hypothèse avancée par les spécialistes: une capacité de vol limitée. Pour mieux suivre leur cheminement, le centre de recherche de Delémont demande à quiconque aurait vu une punaise diabolique de la signaler au centre, cliché à l’appui. (Le Matin) Source
  19. C'est une première en matière de recherche : les chercheurs de l’Inra Val de Loire-Orléans et de Montpellier ont utilisé les bases de données de Google Street View pour localiser et cartographier un insecte en expansion : la chenille processionnaire du pin. Les bases de données de Google Street View sont accessibles librement sur Internet. Les photos prises en rafale permettent de flâner dans les rues ou sur des routes inconnues, comme une sorte de touriste de canapé. Ses bases de données ont aussi une vraie utilité. Il suffit d'avoir recherché un appartement pour en attester : vous tapez l'adresse, vous découvrez le quartier, espaces verts compris. Et ce sont bien les espaces verts qui ont intéressé les chercheurs de l'Inra. Traquer la chenille processionnaire du pin... sur Internet La chenille processionnaire du pin est un insecte dont les larves consomment les aiguilles de différentes espèces de pins et de cèdres. Ces larves tissent des nids d’hiver en soie de couleur blanche, notamment dans les arbres, le long des routes. La taille de ces nids les rend particulièrement reconnaissables... sur photo. Une particularité qui rend l’utilisation de Googe street view très intéressante pour un chercheur à l'oeil aiguisé : les vues panoramiques lui permettent d’identifier de nombreux détails, dont ces fameux nids d'hiver. Un nid = des chenilles, bingo ! Sur le terrain ou sur l'écran : des observations similaires Pour leur étude, les chercheurs ont délimité une aire d’observation couvrant la totalité de la Région Centre : une surface d’environ 47 000 km², divisée en 183 "cellules d’échantillonnage", des carrés de 16 km de côté. Pour chaque cellule, ils ont noté la présence ou l’absence de nids. Les données ont ensuite été collectées par observation directe sur le terrain et via Google street view. En les comparant, les chercheurs de l'Inra ont déterminé que le web était un bon indicateur des valeurs mesurées sur le terrain. La fiabilité des observations "par écran interposé" est de l’ordre de 90 %. Ces résultats, publiés dans PLOS ONE, le 9 octobre 2013, ouvrent donc la voie à un mode d'acquisition de données simplifié et peu coûteux. Cette étude sur la chenille était un projet pilote. Ce type de recherche, via Google street view, pourrait; à l'avenir, être utilisé pour l’étude d'autres espèces invasives ou en expansion. Source
  20. Ville de Ste-Anne-des-Plaines Animaux prohibés Il est interdit à toute personne de garder en captivité à quelque fin que ce soit, dans un bâtiment, un animal faisant partie de certaines catégories. En voici quelques-unes: tout chien de race bull-terrier, les reptiles venimeux, les édentés, les crocodiliens, les serpents de la famille du python et du boa, les singes et plusieurs autres. Pour plus d’information quant aux catégories d’animaux prohibés sur le territoire, l’Hôtel de Ville peut vous renseigner.
  21. Ville de Repentigny ARTICLE 19 - EXCEPTION Nonobstant l’article 18, il est permis de garder dans l’un ou l’autre des endroits suivants, un animal faisant partie d’une catégorie mentionnée à l’annexe 1; a) un zoo; b) un hôpital vétérinaire, pourvu que l’animal soit sous la garde d’un vétérinaire; c) une université ou un collège d’enseignement général et professionnel lorsque ces animaux sont gardés à des fins de recherche, d’étude ou d’enseignement; d) un cirque; e) un studio de télévision ou de cinéma lorsque ces animaux sont gardés temporairement à des fins de production d’une émission de télévision ou d’un film. Sinon, tous les animaux suivants sont interdit : ANNEXE « 1» LISTE ƒ Tous les marsupiaux (exemple : kangourou, koala) ƒ Tous les siméens et les lémuriens (exemple : chimpanzé, etc.) ƒ Tous les anthropodes venimeux (exemple : tarentule, scorpion) ƒ Tous les rapaces (exemple : faucon) ƒ Tous les édentés (exemple : tatous) ƒ Toutes les chauves-souris ƒ Toutes les ratites (exemple : autruche) ƒ Tous canidés excluant le chien domestique (exemple : loup) ƒ Tous félidés excluant le chat domestique (exemple : lynx) ƒ Tous les mustélidés excluant le furet domestique (exemple : moufette) ƒ Tous les ursidés (exemple : ours) ƒ Tous les hyénidés (exemple : hyène) ƒ Tous les pinnipèdes (exemple : phoque) ƒ Tous les procyonidés (exemple : raton laveur) ƒ Tous les périssodactyles excluant le cheval domestique (exemple : rhinocéros) ƒ Tous les artiodactyles excluant la chèvre domestique, le mouton, le porc et le bovin (exemple : buffle, antilope) ƒ Tous les proboscidiens (exemple : éléphant) ƒ Tous les lacertiliens (exemple : iguane) ƒ Tous les ophidiens (exemple : python royal, couleuvre rayée) ƒ Tous les crocodiles (exemple : alligator) ƒ Tous les chiens de race pitt-bull. ƒ Tous les oiseaux ratites ; ƒ Tous les reptiles venimeux ; ƒ Tous les serpents de la famille du python et du boa ; ƒ Tous les viperridés ;
  22. Ville de Trois-Rivières « animal de compagnie » : un animal qui vit auprès de l’homme pour l’aider ou le distraire et dont l’espèce est domestiquée, notamment : 1° un chien, un chat ou un poisson d’aquarium; 2° un hamster, une gerbille, une gerboise, un cochon d'Inde, un furet ou un lapin nain; 3° un reptile, à l’exclusion d’un crocodilien, d’un lézard venimeux, d’un serpent venimeux ou d’une tortue marine; 14. Le gardien d’un animal exotique doit : 1° s’assurer qu’il est constamment gardé et maintenu dans un endroit adapté aux caractéristiques propres à son espèce et qu’il ne peut s’en échapper; 2° veiller à ce que, par sa présence ou ses agissements, il ne trouble la paix ou la sécurité publique d’aucune façon.
  23. La Fondation universitaire Armand-Frappier de l'INRS reçoit un don de 50 000 $ du Groupe Jean Coutu afin de soutenir un projet de recherche du Pr David Chatenet qui porte sur le traitement du diabète de type II. « Le Pr David Chatenet fait un travail remarquable afin de développer de nouveaux traitements pour lutter contre le diabète. Nous sommes fiers d'investir dans la recherche scientifique, déclare Hélène Bisson, vice-présidente des communications du Groupe Jean Coutu. En soutenant des chercheurs, nous participons à bâtir un avenir meilleur pour notre société », ajoute Mme Bisson. « L'engagement financier du Groupe Jean Coutu témoigne de la synergie nécessaire entre les entreprises et le monde de la recherche scientifique, souligne Daniel Coderre, directeur général de l'INRS. Le soutien de la communauté des affaires représente un moteur de développement important pour une université à vocation particulière comme la nôtre », ajoute M Coderre. 366 MILLIONS DE CAS DE DIABÈTE SUCRÉ D'ICI 2030 Selon l'Organisation mondiale de la Santé, 285 millions de patients ont été diagnostiqués en 2010 avec un diabète sucré. D'ici 2030, ce nombre devrait passer à 366 millions. LES LIMITES DES MÉDICAMENTS DISPONIBLES Les médicaments actuellement disponibles augmentent la sécrétion d'insuline et/ou diminuent la résistance à l'insuline. Cependant, ils peinent à améliorer le déclin fonctionnel progressif des îlots de Langerhans (cellules ß) et à réguler la sécrétion du glucagon. La prise de poids et l'hypoglycémie ont souvent été rapportées lorsque la dose et la fréquence de ces médicaments augmentent. Ces dernières années, divers composés isolés à partir de sources naturelles ont été étudiés pour leur potentiel insulinotropique dans le traitement de diabète de type 2. VERS UNE NOUVELLE VOIE THÉRAPEUTHIQUE David Chatenet, professeur au Centre INRS-Institut Armand-Frappier travaille sur une nouvelle voie thérapeutique pour le traitement du diabète de type II à partir du venin de serpent. L'identification de composés biologiquement actifs dans le venin de diverses espèces est considérée comme une avenue très prometteuse pour la découverte de nouveaux agents thérapeutiques. Source
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