Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Max|mum-leterrarium

Membres
  • Compteur de contenus

    12 143
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Rihanna est à l'honneur en couverture du numéro spécial vingt-cinquième anniversaire du GQ britannique. Comme très souvent lorsqu'il s'agit de la jeune chanteuse, le vêtement n'est pas à l'honneur et Rihanna pose topless, accompagnée d'un serpent. Une mise en scène très reptilienne pour ce shooting dirigé par Damien Hirst, les yeux de la Barbadienne ayant été transformés pour ressembler à ceux d'un serpent. Pour couronner le tout, Riri arbore un joli paquet de serpents sur le crâne, donnant l'impression de porter une méduse en guise de coiffe. Mais ce n'est probablement pas ce qui retiendra le plus l'attention des lecteurs du magazine masculin. Source
  2. Une tortue luth, morte en mer, est venue s’échouer avec la marée, peu avant 10 h, sur la grande plage des Sables-d’Olonne, à hauteur de la rue Travot. L’animal faisait dans les 1,50 m de long et pesait environ 250 kg. Il a été récupéré par les sapeurs-pompiers et fera l’objet d’une autopsie par un représentant du centre des mammifères marins de La Rochelle pour déterminer la cause de son décès. Source
  3. Mardi 22 octobre 2013, l'équipe du C.E.S.T.M., Centre d'études et de soins pour les tortues marines de l'Aquarium de La Rochelle ( lien ... ) a récupéré une tortue ( en photo ) qui s'était retrouvée piégée dans les mailles dans filer de pêche au large de La Rochelle. Après auscultation, les scientifiques ont heureusement constaté que la tortue qui pèse 6,5kg et dont la carapace mesure 35cm de long est en bonne santé. Elle va quand même rester en observation quelque temps à l'Aquarium avant de pouvoir être relâcher. La tortue "Kemp" qui tient son nom de Richard Kemp, premier à l'avoir identifiée est une espèce protégée en danger critique d'extinction. - Profitez des vacances de la Toussaint, ouvert 365 jours par an pour (re)découvrir le monde sous-marin à l'Aquarium de La Rochelle, en ce moment de 10h à 20h (avril à juin et septembre 9h-20h et juillet-août 9h-23h). Source
  4. Layla a vécu un véritable enfer, voici neuf mois, quand elle s’est rendue compte qu’elle avait été piquée par une araignée. Pas n’importe laquelle : une veuve noire, venimeuse, qui a bien failli lui faire perdre une partie de ses jambes. Layla, 14 ans, a été piquée au genou voici neuf mois. Elle ne s’attendait pourtant pas à subir de telles dégâts sur sa santé... Elle a en fait été infectée par la piqûre d’une veuve noire, l’araignée vénimeuse la plus dangereuse de Grande-Bretagne. L’adolescente de l’Essex, outre-Manche, a dû aller à l’hôpital, où il y est restée plus d’une semaine. Elle a ensuite passé deux semaines dans un centre médical spécialisé dans les maladies tropicales. Elle a ainsi manqué près d’un mois d’école suite à cette simple piqûre d’araignée... « Après quelques heures à peine, j’ai commencé à me sentir mal et à voir que cela s’infectait. J’ai pris des antibiotiques mais cela n’allait pas mieux. Nous sommes donc allé à l’hôpital », raconte Layla, accompagnée de sa maman Wendy, dans le Daily Mail. « Son sang a été empoisonné à cause de cette morsure. Les médecins ont été très inquiets car elles ne guérissaient pas après plusieurs jours. Son cas s’empirait même de jour en jour ! », explique Wendy. Après sa sortie du centre médical, Layla a pu reprendre doucement le cours normal de sa vie d’adolescente mais elle conserve, même six mois après, une terrible cicatrice au genou droit. Elle a encore dû prendre des médicaments durant trois mois avant de pouvoir guérir totalement. Selon les experts, les araignées vénimeuses sont de plus en plus nombreuses en Grande-Bretagne et dans le nord de l’Europe suite à l’été très chaud qu’a connu le pays. Source
  5. La souris sauterelle du désert est insensible aux effets des piqûres d'un scorpion, une exception résultant de l'évolution qui permet à ce rongeur d'Amérique du Nord de se nourrir de ces insectes, indique une recherche publiée jeudi aux Etats-Unis. Ce trait biologique pourrait potentiellement aider les chercheurs à développer des traitements anti-douleur et des antidotes au venin de ce scorpion (Centruroides sculpturatus). Il est rare que l'évolution neutralise le mécanisme de la douleur qui permet de protéger le corps des agressions extérieures et de signaler une maladie, relèvent ces scientifiques dont l'étude paraît dans la revue américaine Science datée 25 octobre. Pour percer le secret de la résistance de la souris sauterelle (onychomys torridus), ces chercheurs ont étudié les effets du venin de ce scorpion chez d'autres espèces de souris dépourvues de ce mécanisme biologique. Ils ont découvert que les toxines dans le venin du scorpion neutralisaient certains neurones chez la souris sauterelle mais les activaient chez les autres rongeurs. Le venin de ces scorpions contient de puissantes neurotoxines qui agissent sur le système nerveux central et le système cardio-vasculaire, provoquant des contractions musculaires intenses et une insuffisance respiratoire. Après une série d'expériences, ces scientifiques, dont notamment Ashlee Rowe de l'Université du Texas à Austin, ont constaté que le venin activait certains récepteurs de la douleur chez les souris normales, comme d'ailleurs chez tous les mammifères, mais pas chez la souris sauterelle. Chez cette dernière, les biologistes ont découvert qu'un autre récepteur résultant d'une mutation produisait des acides aminés différents capables de se lier aux toxines du venin et de neutraliser tous les autres neurones récepteurs de la douleur environnants. En fait, le venin semble neutraliser temporairement toute forme de douleur chez la souris sauterelle, explique la chercheuse. Ce mécanisme de défense est comparable à celui observé chez le rat taupe nu, insensible à la douleur, ce qui lui permet de résister à des teneurs très élevées en dioxyde de carbone dans les galeries souterraines où il vit. Source
  6. C'est une activité qui appartiendra bientôt au passé. L'artisanat sur écaille de tortues épuise ses derniers stocks avant une fin programmée dans sept ans. Yves Riou, l'un des quatre derniers professionnels de l'île travaillant cette matière, raconte comment la profession s'est retrouvée dans une telle impasse. Gérant de Version Ecaille, il est spécialisé dans la bijouterie de l'écaille. Colliers, boucles d'oreilles utilisant de l'écaille ventrale, dorsale, du bois d'ébène et l'argent demeurent ces matériaux de prédilection. Artisan écailliste depuis plus de 30 ans, Yves Riou fait partie de cette promotion d'apprentis ayant bénéficié des cours dispensés à l'époque par le Centre d'Ecailles de Saint-Leu, qui n'est aujourd'hui qu'un lointain souvenir. "Une quarantaine de jeunes ont été formés", se souvient-t-il. Yves Riou faisait partie de la bande. Il s'agissait d'une école décentralisée de la fameuse école Boulle de Paris. Une référence. Le premier signe d'une activité plus vraiment dans l'air du temps arrive en 1984. Le moratoire sur le travail des tortues est engagé. L'ensemble des stocks encore utilisés à l'heure actuelle remontent à cette date. En 1998, l'ensemble du stock réunionnais est inventorié pour alimenter les tenants d'un arrêté ministériel régissant une activité dont l'horizon se bouche. Entre-temps, l'annonce de fermeture programmée de la ferme Corail est formalisée. Nous sommes en 1994. Les portes de la ferme seront définitivement fermées trois ans plus tard. Ce stock de carapaces est détenu en lieux sûrs par les quatre derniers artisans travaillant l'écaille de la tortue verte dans l'île. "Elles sont conservées dans des containers à hydrométrie régulière", révèle Yves Riou, seul moyen pour prolonger sa qualité d'origine. "Aujourd'hui, nous estimons qu'il nous reste un stock de carapaces pour environ 7 ans d'activité". Loin d'être abattu sur l'inévitable disparition de tout un pan de spécialisation de l'artisanat local, Yves Riou ajuste une réalité qui s'impose à lui comme à ses confrères. "Nous ne sommes pas très loin de la retraite, on a tous entre 20 et 30 ans d'activité, donc une fois le stock épuisé, nous irons en retraite", avise-t-il. "Un produit qu'il faut venir chercher à la Réunion" Son émotion est beaucoup plus vive lorsqu'il retrace les heures de gloire de cette niche mais néanmoins vitrine de l'artisanat local. "C'était une activité très importante dans les années 90. Une dizaine d'entreprises employaient environ une cinquantaine de personnes. Et dans les métiers d'art, c'est quand même assez rare", entonne l'intéressé. Une fois le stock de carapaces épuisé, la profession se fait à l'idée qu'aucune alternative n'est possible, quelle que soit le sens de la transaction. "Importer des carapaces : c'est impossible pour nous". Le schéma est identique pour les pays étrangers pour qui l'exportation est très difficile. Tout l'arsenal répressif autour des saisies douanières rend tout commerce à grande échelle inenvisageable. La conscience environnementale a fait légitimement son oeuvre. "On peut dire qu'on est quasiment les derniers au monde à travailler l'écaille", estime Yves Riou. Pour parer à toute tentation d'exploitation des tortues marines dont la fameuse tortue verte bien ancrée dans l'océan Indien, celles qui viennent à mourir dans les murs de Kélonia, par exemple, sont destinées à la destruction. Direction l'équarrissage. L'activité, elle, retient son souffle. Le temps est compté. "Nous n'exportons pas énormément. L'écaille est un produit qu'il faut venir chercher à la Réunion donc c'est un atout pour la Réunion que de permettre aux touristes de découvrir un métier d'art qui a complètement disparu ailleurs." ----- Yves Riou dispense des démonstrations à Kélonia quelques jours dans la semaine. Se rapprocher de Kélonia. Source
  7. C'est la première fois que des entomologistes font la découverte d'un fossile d'insecte aussi ancien contenant encore des particules de sang. Un moustique, retrouvé l'abdomen gorgé de sang de son dernier repas, a été retrouvé par des paléontologues. Sa particularité? Il a...46 millions d'années. Des entomologistes américains ont révélé lundi cette extraordinaire découverte. "C'est le premier fossile d'un moustique encore gorgé de sang jamais mis au jour", a affirmé Dale Greenwalt, un biochimiste retraité travaillant au Musée d'Histoire naturelle de Washington, et principal auteur de cette découverte, parue dans les Comptes rendus de l'Académie américaine des sciences (PNAS). Le fossile le plus ancien de moustique remonte à 95 millions d'années à une époque où les dinosaures, disparus il y a 65 millions d'années, étaient encore sur la planète, mais il ne contenait pas de sang, a précisé Dale Greenwalt. Trouvé dans une collection privée Bien que 14.000 espèces d'insectes se nourrissent de sang, dont des tiques, des puces et des moustiques, il n'y a quasiment pas eu de fossiles découverts témoignant de ce mode d'alimentation dans l'histoire de l'évolution. Seuls quatre spécimens fossilisés ont été trouvés dans lesquels des parasites de la maladie du sommeil, le trypanosome, et du paludisme, le plasmodium, indiquent que ces insectes se nourrissaient de sang, relèvent les chercheurs. Mais le moustique provenant d'une couche sédimentaire d'un ancien lac dans la formation géologique Kishenehn, dans le nord-ouest de l'Etat américain du Montana, est le seul à ce jour qui a permis de montrer que l'hémoglobine ou des biomolécules qui en sont dérivées peuvent être préservées dans un fossile. Cette découverte permet aussi d'étendre l'existence de cette famille d'insecte jusqu'à au moins 46 millions d'années. Loin d'avoir été trouvé lors de fouilles archéologiques dans des endroits reculés, le fossile du moustique contenant du sang a tout simplement été trouvé dans la collection d'un entomologiste américain datant d'il y a 25 ans. Elle a été donnée au Musée d'Histoire naturelle de Washington. Source
  8. Un piranha végétarien figure parmi les 441 nouvelles espèces découvertes depuis quatre ans dans la forêt amazonienne, a annoncé, mercredi 23 octobre, le Fonds mondial pour la nature (World Wildlife Fund, WWF), qui a compilé les recherches de plusieurs scientifiques. Au moins 258 plantes, 84 poissons, 58 amphibiens, 22 reptiles, 18 oiseaux et 1 mammifère ont ainsi été répertoriés pour la première fois selon le WWF, qui évoque également d'"innombrables découvertes d'insectes et d'invertébrés". "Avec en moyenne deux nouvelles espèces découvertes chaque semaine lors des quatre dernières années, il est évident que l'extraordinaire Amazonie reste l'un des plus importants réservoirs de biodiversité du monde", a commenté Damian Fleming, directeur du programme pour le Brésil et l'Amazonie de la branche britannique du WWF. Beaucoup de ces nouvelles espèces de la région sont endémiques, ce qui les rend d'autant plus vulnérables aux conséquences de la déforestation, qui "détruit l'équivalent de trois terrains de football par minute en Amazonie", selon le WWF. Exclusivement herbivore, le piranha végétarien – qui porte le nom savant Tometes camunani – est, lui, menacé par les constructions de barrages et les chantiers de mines qui affectent son habitat au milieu des rochers. Parmi les autres découvertes figurent le "caqueta titi monkey", un singe qui ronronne comme un chat, ou une grenouille pas plus grande que l'ongle d'un pouce, dont le nom latin est Allobates amissibilis, soit littéralement "que l'on peut perdre facilement". Enfin, un lézard particulièrement timide (d'où son appellation scientifique, Gonatodes timidus) avait, malgré sa peau striée de flammes, jusqu'à présent réussi à échapper à la vigilance des scientifiques. Pour la première fois, une étude, publiée dans la revue Science vendredi 18 octobre, a dressé l'inventaire des arbres qui peuplent l'Amazonie, afin d'en connaître la diversité, la rareté et la richesse. Il en résulte que la forêt amazonienne est composée de près de 390 milliards d'arbres, appartenant à environ 16 000 espèces. Parmi elles, 227 (soit 1,4 % du total) sont hyperdominantes et totalisent plus de la moitié des individus, alors que les 11 000 essences rares décomptées représentent seulement 0,12 % des spécimens. Source
  9. BRUXELLES - Deux nouvelles espèces de grenouilles, découvertes dans le nord de l’Amérique du Sud et d’emblée considérées comme menacées, ont été décrites par le Belge Philippe Kok dans la revue «European Journal of Taxonomy», selon un communiqué envoyé mercredi par l’Institut royal des Sciences naturelles de Belgique. Le chercheur belge, rattaché à l’Institut et à la VUB (Vrije Universiteit Brussel), a décidé de nommer une des grenouilles «Pristimantis jamescameroni», en l’honneur au cinéaste canadien James Cameron, réalisateur des blockbusters «Titanic» et «Avatar». «Je voulais ainsi le remercier pour son travail de conscientisation du grand public sur les problèmes environnementaux au travers de ses films innovateurs et de ses documentaires de haute qualité», précise Philippe Kok. Cameron a en effet réalisé plusieurs documentaires, consacrés entre autres à différentes formes de vie sous-marine, et a surtout frappé un grand coup avec «Avatar», réinterprétation futuriste de Pocahontas et véritable plaidoyer pour une vie en harmonie totale avec la nature. La deuxième espèce, découverte comme la première sur les massifs tabulaires (ou «tepuis») d’Amérique Latine, a été nommée «Pristimantis imthurni» en l’honneur de Sir Evrard im Thurn, un explorateur britannique qui fut l’un des premiers à escalader un impressionnant tepui. Ces massifs très anciens, présentant des plateaux surélevés de plusieurs kilomètres et entourés de falaises abruptes, sont depuis plusieurs années le terrain de jeu de Philippe Kok. Ce biologiste s’est spécialisé dans l’étude des amphibiens et reptiles vivant au sommet de tepuis complètement isolés les uns des autres et difficilement accessibles. Source
  10. Un collège au nord de la Grande-Bretagne a dû fermer en raison d'une invasion de d’araignées vénéneuses. Elle est surnommée "la fausse veuve noire". Cette araignée originaire des îles Canaries a été introduite en Grande-Bretagne par un voyageur il y a des dizaines d'années. Et depuis quelques mois, elle prolifère en Grande-Bretagne. Récemment, un collège de la ville de Gloucestershire, au Nord de la Grande-Bretagne a dû fermer en raison d'une invasion de cette espèce d’araignées vénéneuses, rapporte le Guardian. Les arachnides ont été découvertes lundi dans le collège. L'école a donc été fermée dans la foulée pour permettre la fumigation des araignées. Le directeur de l'établissement a indiqué dans une lettre aux parents que cette décision avait été prise dans l'intérêt de la sécurité et de la santé des enfants. Le directeur ne précise pas quand l'école pourra rouvrir. La "fausse veuve noire" mesure un bon centimètre et son abdomen brun est orné de marques blanches. Si l'araignée appartient à la même famille que la veuve noire, elle est toutefois bien moins dangereuse. Elle ne mord que rarement et son venin provoque des effets neurotoxiques. Source
  11. Selon des chiffres officiels, 233 tortues de diverses espèces ont été retrouvées mortes en 2013 dans le pays, dont 201 rien que depuis fin septembre. Les scientifiques tiennent le coupable. Alors que 233 tortues ont été retrouvées mortes en 2013 au Salvador, le ministère de l'Environnement a annoncé, mardi 22 octobre, qu'une substance neurotoxique contenue dans des algues serait à l'origine de ces morts suspectes. "Les résultats des échantillons (prélevés sur) plus d'une dizaine de tortues démontrent que la cause de la mort est due à l'ingestion (...) de saxitoxines", une substance produite par des micro-organismes marins, a déclaré le ministère. Mais l'enquête n'est pas terminée. "On ne connaît pas l'espèce d'algue marine qui produit les toxines mortelles qui ont affecté les tortues", ajoute le communiqué du ministère. Selon les détails communiqués par les autorités, ces algues se trouvent en haute-mer, et en raison de leur importante quantité, donnent à l'eau une couleur marron, d'où le nom de "marée rouge". Le ministère de la Santé a de son côté écarté la possibilité que des fruits de mer consommés par l'être humain, comme les huîtres, aient été contaminés. Source
  12. Avec sa couleur jaune pâle, il a vite été repéré. Un python albinos de près d’un mètre de long a été aperçu mardi soir, vers 19 heures, par des passants sur une pelouse, près du centre-ville de Chilly-Mazarin. Ils ont aussitôt alerté les pompiers. La propriétaire a récupéré l'animal, inoffensif, juste avant l’arrivée des autorités. Le serpent avait cassé la vitre de son vivarium et s’était enfui sur la voie publique, sa propriétaire habitant au rez-de-chaussée, à quelques mètres de l’endroit où il a été récupéré. Elle dispose des autorisations nécessaires pour détenir un tel reptile et les installations chez elle sont aux normes. Source
  13. Il y a 320 millions d'années, à l'ombre des libellules géantes, guêpes ou scarabées étaient minuscules. C'est ce qui s'appelle, au sens propre, aller au charbon. Ce sont dans les résidus d'exploitation de la mine de charbon (fermée depuis 1974) de la ville d'Avion, dans le Nord-Pas-de-Calais, que des paléontologues français (épaulés pour les analyses par des Russes, Tchèques, Américains, Chinois, Polonais, Allemands, Libanais), ont découvert un bien étonnant trésor: il s'agit des plus anciens représentants des insectes modernes, qui vivaient il y a quelque 320 millions d'années (étude publiée dans la revue Nature). Des trouvailles qui chamboulent ce que l'on pensait savoir des insectes de cette époque. En ce temps-là, il y a entre 360 et 300 millions d'années, la Pangée, ce continent unique rassemblant toutes les terres émergées, est en voie de formation. Elles sont presque toutes soumises à un climat tropical. La végétation est luxuriante, les grands arbres se multiplient. Cette période, baptisée carbonifère (car d'immenses dépôts de charbon se forment alors dans les très nombreux et vastes marécages de ce qui deviendra l'Amérique du Nord et l'Eurasie), est synonyme de gigantisme. Certains fossiles montrent des insectes «géants» avec trois paires d'ailes. Un travail de bénédictin Patatras, les découvertes faites à Avion bouleversent cette vision de la vie animale de cette période qui, faute de fossiles, était restée comme un trou noir de la paléontologie. Et repoussent loin dans le temps l'apparition des ancêtres directs des insectes modernes. Car les cinq principaux fossiles analysés, dont un de coléoptère qui était dans les collections du Muséum depuis le XIXe siècle, sont les plus anciens représentants connus des punaises et des cigales (les hémiptères), des scarabées (les coléoptères), des guêpes et des fourmis (les hyménoptères). Tous des animaux qui grandissent en passant par des métamorphoses complètes, la larve étant très différente de l'adulte (groupe d'insectes appelés holométaboles). «Heureusement que des amateurs éclairés comme Patrick Roques sont là, soupire André Nel, professeur de paléo-entomologie au Muséum national d'histoire naturelle de Paris, premier auteur de l'étude. Lui et d'autres ont mené un vrai travail de bénédictins dans le terril pour examiner à la loupe tous les fragments qu'ils pouvaient. Et puis on a passé tout ça au microscope, optique ou à balayage. Résultat, grâce à l'excellente préservation des ailes, on sait maintenant que des insectes très petits, de 4 à 14 mm, existaient au carbonifère. Un peu comme des versions miniatures des descendants actuels.» Ainsi, la plus ancienne guêpe fossile connue jusqu'ici datait de 100 millions d'années de moins. «Ces nouveaux fossiles réconcilient enfin les datations issues de la biologie moléculaire et le terrain paléontologique», se réjouit le Pr Nel. Les terrils de l'ancienne mine d'Avion constituent un gisement paléontologique exceptionnel. Des fossiles de libellules géantes ou de végétaux, très bien préservés, y ont été trouvés. «Mais dans l'état actuel des choses, ces terrils restent instables, avec parfois des combustions spontanées, donc dangereux. On ne peut y étudier les roches en toute sécurité, regrette André Nel. D'autant qu'ils servent également à faire du gravier. Dans dix ans, il n'y aura plus rien.» Il ne restera plus que les noms donnés aux fossiles découverts à Avion, par exemple une guêpe baptisée Avioxyela gallica, «Avio» pour Avion, «Xyela» pour le nom de genre et «Gallica» pour Gaule. Quel dommage… Source
  14. Le voyage de mise au vert des finalistes à Miss Belgique 2014 se poursuit. Au menu : rencontre atypique entre les belles et les bêtes : crocodiles, dromadaires, chevaux… Et aussi un cours express de poterie. Les animaux sont à la fête avec les finalistes de Miss Belgique 2014. Dimanche, six candidates ont nourri les crocodiles de poulets. Ces animaux d’un autre âge ne sont alimentés que deux à trois fois par semaine. Les jeunes femmes ont aussi pu les approcher de très près, voire même de les toucher. «C’est impressionnant, mais le crocodile a très vite détalé», raconte Miss Namur, Pamela Jeanmart. Enfin, elles ont encore pu baiser un bébé croco. Il ne s’est toutefois pas transformé en prince charmant. Apparemment, reptile et batracien ne sont pas faits pareils… Ce lundi, place aux chevaux et dromadaires. Habituées à monter à cheval, certaines demoiselles ont trouvé leur monture quelque peu mollassonne. Mais qu’importe, sur la plage, elles ont pu gambader tranquillement et faire connaissance avec ces bêtes du désert. Une tasse, un vase, un cœur… L’après-midi, six prétendantes au titre ont été s’essayer à la poterie artisanale. Après une petite démonstration où une lampe à huile et une bonbonnière sont nées de l’argile, les jeunes femmes s’y sont mises avec plus ou moins d’enthousiasme. Coralie Porrovecchio de Dilbeek a été la première à s’y atteler. Mais propulser le tour avec le pied tout en façonnant l’argile demande agilité et adresse, si bien que la demoiselle a créé une sous-tasse alors qu’elle était partie sur l’idée d’un vase… Miss Brabant wallon, Alexandra Watrice a complété le travail en imaginant une tasse que finalement leur moniteur a fini par écrabouiller… aux grands désespoirs des deux candidates. Sans rancune, elles ont ciselé leurs initiales sur la tasse que l’artisan a tenté de sauver. Parmi les autres créations «misstiques», un cœur, un bol à chips, une assiette et un vase. Nous ne savons pas si l’artisan compte les garder, en tout cas, il tient là des pièces uniques. Source
  15. Les araignées font preuve d’une imagination étonnante lorsqu’il s’agit de capturer leurs proies! Quand on pense aux pièges qu’elles utilisent, le premier qui nous vient en tête est la toile orbiculaire. Même si ce type de construction se remarque facilement, cette belle spirale est utilisée comme méthode de capture par moins de 10 % des espèces d’araignées dans le monde. La faune arachnologique du Québec compte, à ce jour, 677 espèces d’araignées et on soupçonne la présence de plusieurs autres sur notre territoire. Voici quelques exemples de pièges utilisés par ces animaux à la fois fascinants et indispensables. Un crachat à 108 km/h Les araignées de la famille des Scytodidae sont comparables à L’Homme-araignée dans leur méthode de capturer leurs proies. Ces araignées crachent un mélange de liquide gluant et de venin qui leur permet d’immobiliser une proie se trouvant à plusieurs centimètres devant elles. Une fois en contact avec la proie, la substance gluante se contracte de 50 %, aidant ainsi à immobiliser la prise rapidement. Autre fait spectaculaire, la substance en question est crachée à près de 30 m/s, ce qui équivaut à 108 km/h. À ce jour, on ne sait toujours pas si la portion de venin contenu dans le mélange a un effet autre que d’immobiliser la proie. Bien qu’aucun spécimen de cette famille n’ait été récolté au Québec, la présence d’une espèce (Scytodes thoracica) est plus que probable, selon les arachnologues québécois. Championnes de l’imposture La famil­le des Mimetidae (araignées pirates) compte dans ses rangs des araignées spé­cia­lisées dans la capture d’autres araignées! Diverses tactiques sont utili­sées par les araignées pirates. Certaines vont mordre très rapidement l’une des extrémités d’une autre araignée et attendre quelques secondes, le temps que leur proie soit paralysée. Elles s’en nourriront par la suite par le trou originellement provoqué par la morsure. Certaines araignées pirates vont simplement faire vibrer la toile d’une autre araignée, lui laissant croire qu’il y a une proie dans son piège. Sortant de sa retraite pour aller chercher son repas, le prédateur devient la proie! Des araignées qui pratiquent la pêche Les Dolomèdes, nos plus grandes araignées du Québec, utilisent parfois un stratagème qui leur a valu le nom anglais de fishing spider (araignées pêcheuses). Ces araignées demeurent immobiles, solidement attachées à un substrat quelconque, avec leurs pattes de devant sur l’eau. Les pattes bougent légèrement pour provoquer de petites vibrations, un peu comme le ferait un insecte s’agitant sur l’eau. Ceci attire de petits poissons assez près pour que l’araignée puisse les capturer! Cela dit, on croit que les têtards et les insectes aquatiques servent plus souvent de repas que les poissons. Ces araignées sont également capables de plonger pour poursuivre des proies et rester submergées pendant de longues minutes. Le record observé est d’ailleurs impressionnant : des spécimens ont été aperçus sous l’eau pendant plus de 30 minutes! Comme elles sont bien adaptées à la vie près des cours d’eau, les Dolomèdes sont également capables de courir sur de courtes distances à la surface de l’eau. On en compte quatre espèces au Québec, majoritairement près des cours d’eau. La technique du lasso ou du parfum contrefaçon L’araignée Bolas (Mastophora hutchinsoni), pour sa part, utilise une technique qui s’apparente au lasso. Cette espèce d’araignée fabrique une boule de soie collante au bout d’un fil qu’elle tient avec ses pattes; cette boule lui servira à capturer ses proies, mais pas n’importe lesquelles… L’araignée Bolas enduit la sphère collante d’une phéromone (parfum) qui imite l’odeur de certaines espèces de papillons de nuit femelles. Les mâles, attirés par l’odeur, se dirigent sans méfiance vers le piège. En une fraction de seconde, l’araignée balance la boule de colle directement sur sa proie pour la capturer, un peu comme un cow-boy lance un lasso. Quelques essais sont parfois nécessaires… C’est d’ailleurs un collègue de l’Insectarium de Montréal, Maxim Larrivée, responsable des collections entomologiques et recherches, qui a découvert cette espèce d’araignée au Québec en 2005. Mario Bonneau Insectarium de Montréal Source
  16. ANIMAUX – La scène s’est passée en Floride… Ce soir, steak d’alligator au menu. Les clients d’un Walmart américain ont eu la surprise de voir débarquer un alligator long d’1,8 m. Le reptile est resté de longues minutes devant l’entrée du magasin situé dans la ville d’Apopka en Floride. L'animal ne s'est attaqué à aucun habitant malgré la frayeur de certains d'entre eux. Les autorités l’ont ensuite capturé pour le remettre à l’eau dans le plan d’eau voisin: Un alligator se promène près d'un centre... par 20Minutes Source
  17. Les résidents d’Arménie sont préoccupés par les cas récemment fréquents de serpents ont été vus dans des zones peuplées et les lieux publics, tandis que les écologistes insistent sur le fait que le développement urbain en cours « a créé des conditions idéales pour les serpents et les scorpions ». Le ministère des situations d’urgence (MES) a dit à ArmeniaNow que dans la première moitié de 2013, ils ont reçu 90 rapports de serpents découverts et que dans 49 d’entre eux l’équipe d’intervention rapide du ministère est allé sur le site et les a capturé et les a déplacé vers une zone sûre. Rien que le dimanche il y a eu cinq alertes pour des serpents dans des différentes régions du pays. Les serpents peuvent souvent être vus dans les provinces d’Aragatsotn, de Kotayk, d’Ararat, d’Armavir et du Tavush, mais la capitale est aussi devenue attrayante pour ces reptiles. Le 3 Juin, il y a eu un incident dans une école maternelle dans la banlieue d’Erevan : un serpent a été trouvé dans la salle de stockage au troisième étage, et c’était l’un des types les plus dangereux parmi ceux qui peuplent l’Arménie (il y a un total de 28 serpents dont quatre d’entre eux sont toxiques), un serpent Gyurza mesure 80 centimètres. Le serpent a été capturé et enlevé. Des serpents, cet été, ont été observés dans plusieurs quartiers et rues d’Erevan. Le ministère de la santé a tout de même dit à ArmeniaNow que 15 cas de morsures de serpent ont été enregistrés au cours du premier semestre de 2013 par rapport aux 63 cas pour la même période de 2012. Le professeur de toxicologie Mikayel Gabrielyan a dit que tous les centres d’assistance médicale disposent d’antidotes pour les premiers soins en cas de morsures de serpent, et le personnel médical a été formé pour fournir une assistance professionnelle. « Bien que cette année, il y a des rapports plus fréquents sur les incidents de serpent, il s’agit davantage d’un mouvement de panique, je vous assure que le nombre de cas de morsures de serpent est beaucoup moindre par rapport à l’année dernière », explique l’expert. Le Chef de l’ONG « Pour le développement Humain Durable » Karine Danelyan a dit qu’en Arménie, et à Erevan en particulier, l’élimination des zones vertes pour le bien des constructions et la prévalence du béton ont conduit à une augmentation évidente de la température moyenne, après avoir créé des conditions favorables pour les serpents. « Il y a un changement climatique générale en cours, et au lieu de prendre des mesures adaptés pour s’y adapter, le développement urbain à Erevan depuis l’indépendance va dans la direction complètement opposée » dit Danielian. Par Gohar Abrahamian ArmeniaNow Source
  18. Vendredi soir, vers 21 heures, un python a été retrouvé par le propriétaire d’une voiture stationnée rue Salvador-Allende dans le moteur de celle-ci. Le service animalier Opale Capture est intervenu aux côtés des sapeurs pompiers et de la gendarmerie de Desvres pour déloger l’animal. Le serpent a été transféré au centre de sauvetage de Calais. Ce n’est pas la première fois qu’un serpent domestique est retrouvé en liberté à Desvres. En 2013, des serpents y avaient déjà été retrouvés le 24 et le 31 juillet. Source
  19. Bienvenue Muriel! C'est quelle espèce de tortue?
  20. Voilà une petite femelle corn snake recueilli suite à ce que le propriétaire quitte le pays pour plusieurs mois. Je lui ai proposé de lui remettre à son retour mais il refuse.
  21. Voilà ma dernière acquisition!
  22. Ce serpent est une vraie poubelle. Il dévore tout ce que l'on lui donne.
  23. Moi qui est un grand amateur de belles couleuvres, un deal m'est passé sous les yeux avec cette beauté. Elle vit maintenant à la maison et se laisse admirer volontiers. Par contre, elle siffle très fort si on souhaite lui agripper le derrière. Elle possède encore ses couleurs de jeune fille mais elle sera tout de même superbe à l'âge adulte.
  24. Voici un mâle Python regius que j'ai recueillis chez moi. La personne ne pouvait plus le garder et le serpent avait cessé de s'alimenter. C'est typique de l'espèce, je sais. Il a fait pareil chez durant peut-être un mois pour ensuite se décider à avaler un beau rat. Finit le jeûne.
×
×
  • Créer...