Max|mum-leterrarium

Ce petit trésor va toujours bien. Il a rattrapé un peu de croissance mais n'atteindra jamais sa taille. Il mange à merveille maintenant.

Il y a plusieurs années, à mes débuts, j'ai débuté avec le genre Thamnophis que j'ai même reproduis durant des années. J'ai eu surtout du Thamnophis proximus mais j'ai eu quand même quelques spécimens de cette espèce. Ça faisait un bout que ça me trottait dans la tête. J'ai donc opté pour un jeune spécimen de retour parmi ma petite famille. J'aime les serpents piscivores.

Ce samedi, un caméléon géant fait de cannettes était présent sur les rampes de la Montagne pour accueillir les raideurs à l’approche de l’arrivée. Les centaines de raideurs qui ont rallié l’arrivée ce samedi à St-Denis ont pu apercevoir ce caméléon géant créé entièrement avec des canettes. Long de 26 mètres, il a été posé sur les rampes de la Montagne, offrant une vision impressionnante pour les participants du Grand Raid, à leur arrivée au stade de la Redoute à St-Denis. Béatrice Rivière-Neirinckx et Michel Labat ont imaginé et donné vie à cette créature qui est visible d’une bonne partie de la ville de St-Denis. Source

Selon le Figaro, des représentants de la Commission européenne ont accompagné des biologistes sur le terrain dans leur travail de surveillance de la population varoise de tortues d’Hermann. Très menacées, la protection de ces dernières est en partie financée par l’UE. La tortue d’Hermann, une espèce menacée suivie de près par la Commission européenne par Gentside Découvertes Émetteurs fixés à la carapace des tortues, chiens renifleurs et antennes télémétriques portatives pour repérer celles-ci dans la nature, matériel pour peser, mesurer et prélever des échantillons de sang... Tout est mis en place pour gérer et protéger la population des dernières tortues d’Hermann de la réserve nationale de la plaine des Maures, dans le Var. Lancé en 2010 pour une durée de 4 ans, ce programme de protection bénéficie d’une subvention de 2,7 millions d'euros, dont 50% est versé par la Commission européenne. Il s’agit donc, pour cette dernière, de contrôler la façon dont sont utilisés les deniers publics. C’est pourquoi deux membres de la Commission européenne ont récemment accompagné les gardes de la réserve dans leur mission de terrain. "Nous sommes venus voir comment est dépensé l'argent de l'Union européenne et comprendre ce qui est réalisé. Pour l'instant, le planning est respecté et nous sommes optimistes sur les résultats obtenus" a déclaré Simon Goss, responsable du suivi technique de Life+, le programme européen dans lequel s’inscrit la protection de la tortue d’Hermann. Un tiers de la population perdue La tortue d’Hermann est une espèce terrestre qui vit sur le pourtour méditerranéen allant de l’Espagne à la Grèce en passant par la Corse et la Provence. D’une vingtaine de centimètres de longueur, elle est toutefois particulièrement menacée. Elle effet, elle a perdu un tiers de ses effectifs en 30 ans, à cause des incendies, de l’extension des diverses installations humaines et de la perte de son habitat naturel. "L'animal qui bénéficie d'une longévité exceptionnelle d'une cinquantaine d'années, est en outre la proie de l'homme qui le prélève dans la nature alors que c'est interdit, l'espèce étant protégée", explique également Frédéric Petenian, coordinateur du programme au sein de l'Agence régionale pour l'environnement (ARPE) cité par le Figaro. Avec ses 10.000 hectares, la plaine des Maures est l'endroit idéal pour espérer voir prospérer une population viable de cet animal menacé. Mais il a été estimé en 2010 qu'il ne subsistait plus que 30.000 tortues d'Hermann sur ses terres, estime Marc Cheylan, maître de conférences à l'École pratique des hautes études partenaire du programme. Source

A l'occasion de la Fête de la nature, l'association Nature 18 a participé à l’opération Fréquence grenouille en organisant, avant-hier, une sortie nocturne animée par Charlotte Picard et Sébastien Brunet. Huit personnes venant de Saint-Amand Montrond et de Bourges ont fait le déplacement afin de participer à la sortie de découverte des batraciens. Une occasion idéale pour écouter chanter les grenouilles à la tombée de la nuit, tout en découvrant les zones humides qu’elles habitent. Un arrêt tout d’abord à côté d’une mare végétalisée avec des roseaux, de la menthe aquatique, lieu où les espèces peuvent s’abriter, se nourrir, se reproduire comme la grenouille verte, les odonates qui regroupent la libellule et les demoiselles, les têtards (larves de batraciens). Les visiteurs sont allés ensuite près de la rivière le Moulon, corridor écologique pour le déplacement des espèces, où a été vue la renouée du Japon, plante envahissante qui pousse dans les endroits vierges. Le chant du rossignol est venu troubler la conférence. De même la rainette verte chante dans l’eau ou sous les arbres, cette espèce n’est ni une grenouille ni un crapaud. Enfin, le sonneur à ventre jaune, petit crapaud, espèce rare dans notre région a été évoqué comme étant en voie de disparition. La soirée s’est terminée par le chant de la rainette et des grenouilles. Source

Toyota vient de rappeler 885.000 véhicules dans le monde pour réparer un problème de fuite dans le système de climatisation qui peut empêcher les airbags de se déployer. Dans son communiqué, le constructeur automobile dresse la liste des véhicules qui vont devoir passer sur son billard: les berlines Camry modèles 2012 et 2013, les Camry Hybrid, les berlines Avalon, Avalon Hybrid, et Venza. Essentiellement toutes vendues en Amérique du nord. L’Europe ne serait concerné que pour 1.500 voitures environ. Que des voitures — et des Toyota— soient rappelées pour des problèmes techniques n’est pas nouveau. L’Express se souvient des 370.000 rappels en septembre, des 242.000 hybrides en juin dernier, et des 3,39 millions de véhicules en avril... Ce qui est plus rare, c’est la raison de ce rappel. Il y a un premier problème d’airbags qui s’enclenchent spontanément à cause de ce défaut dans le système d’air conditionné (une fuite de l’eau des condensateurs dans le système de contrôle de l’airbag conduirait au déclenchement intempestif du coussin anti-choc). Mais ce n’est pas le seul problème. L’autre, qui pourrrait être lié avec le premier [arachnophobe, passe ton chemin], proviendrait d’araignées, a appris CNN. Oui des araignées. Si vous avez observé ces petites bêtes très malignes et très industrieuses, vous savez que les araignées font des toiles très résistantes. Imaginez donc des araignées se glisser dans les condensateurs et y faire ce qu’elles sont censées faire: tirer des fils… Le voilà, le bug! Un bug qui a déjà été, selon les enquêtes des techniciens de Toyota, prouvés sur l’ouverture de trois airbags et sur 35 cas d’allumage non souhaité de l'indicateur d'allumage des airbags sur le tableau de bord. Cela ne veut pas dire qu’il y a au moins 900.000 araignées nichées dans les véhicules de la marque… Ce n’est pas la première fois que des véhicules sont rappelés pour des raisons similaires. Déjà un autre constructeur japonais, Mazda, avait dû faire revenir au stand, en 2011, plus de 50.000 Mazda6 sedans après avoir remarqué que des petites araignées appréciaient particulièrement le réservoir de ce modèle (uniquement dans les moteurs V4, pas les V6, allez comprendre). Source

Publiant leurs travaux dans Zootaxa, des chercheurs australiens ont découvert dans l’est de leur pays une nouvelle espèce de gecko au drôle d'aspect : Saltuarius eximius. Les geckos du genre Saltuarius sont de petits lézards inféodés aux affleurements rocheux et aux forêts bordant les plages depuis le nord de la Nouvelle-Galles du Sud jusqu’aux régions tropicales humides du nord-est du Queensland, dans l’est de l’Australie. Et depuis le genre compte une nouvelle espèce : Saltuarius eximius, découverte à Cap Melville. Mesurant environ 12 cm et pesant environ 20 g, elle possède une tête courte et de très grands yeux. "La découverte de S. eximius porte le nombre [d’espèces du genre] Saltuarius à sept, et étend la distribution de celui-ci à 180 km au nord de l'extrémité nord de l’aire de répartition de [l’espèce] S. cornutus, dans la région de Cooktown, à Cap Melville", expliquent les auteurs de l’étude, le Dr Conrad Hoskin, de l’Université James Cook à Townsville, et le Dr Patrick Couper, du Muséum du Queensland à Brisbane. "Six individus ont été trouvés, proches les uns des autres, dans une zone de rochers de granit couverte par un auvent de forêt tropicale. Quand nous les avons aperçus la première fois, les geckos étaient immobiles, tête en bas, avec la moitié antérieure de leur corps dressée sur la surface [où ils se tenaient] et leur tête parallèle à ce support", précisent les chercheurs. Des geckos qui "grincent" Une posture qui en dit long sur la personnalité et le comportement de l'animal. "Avec cette posture [caractéristique] de recherche de nourriture, Saltuarius eximius est sans doute avant tout un prédateur chassant à l’affut, comme les autres geckos de ce genre. Plusieurs des geckos capturés ont émis un bruit de grincement prolongé lors de la première prise", notent pour finir le Dr Hoskin et le Dr Couper. (crédits photo : Conrad Hoskin) Source

En France, détenir un reptile s’apparente à une activité d’élevage. Les propriétaires de ces nouveaux animaux de compagnie doivent être informés des conditions de leur détention et de leur identification, qui varient selon l’espèce et l’effectif. L’arrêté du 10 août 2004 est le texte central réglementant les conditions de détention et d’identification des animaux d’espèces non domestiques, et donc des reptiles. Cet article traite uniquement de ces aspects, et non de ceux liés à la cession (don, commerce) de ces animaux. Plusieurs catégories de reptiles La réglementation répartit les espèces selon trois catégories (télécharger le tableau) : • espèces figurant en annexe 1 : leur détention est soumise à autorisation préfectorale et leur identification est obligatoire. • espèces figurant en annexe 2 : leur détention est soumise à autorisation préfectorale et à obtention d’un certificat de capacité. Leur identification est obligatoire pour certaines espèces seulement. • autres espèces : pour les espèces qui ne figurent à aucune de ces annexes, la détention n’est soumise à aucune obligation dans la limite d’un certain quota. Leur identification n’est pas obligatoire. Julien Gouin Pour plus d’informations, voir le Supplément ASV à La Semaine Vétérinaire n° 1556 du 18 octobre 2013 en pages 12 à 15. Source

Ce scorpion noir des Carpates fut trouvé dans un atelier Villo de la société JC Decaux à Laeken. Des ouvriers de l’atelier JC Decaux situé rue Tielemans à Laeken, où se réparent les fameux vélos Villo, n’en reviennent pas d’avoir trouvé jeudi matin cette charmante petite bestiole qui s’était invitée dans leur vestiaire : un scorpion noir… au look de petit char d’assaut plutôt très menaçant. Nous ne savons pas si Arturo était en slip et petites chaussettes quand il a découvert ce délicat petit animal. Son collègue, Patrick, s’est servi d’une feuille de papier pour manipuler le scorpion et le déposer sans risque dans un bocal qu’il est allé déposer rue de Veeweyde à la Ligue royale belge pour la protection des oiseaux. Et hier, la LRBPO a confié le scorpion au musée des Sciences naturelles. Aucun doute : un euscorpius carpathicus ou scorpion noir des Carpates ou carpatin : l’espèce provient des Alpes de Transsylvanie en Roumanie. Mais elle a gagné du terrain et se rencontre aujourd’hui jusque dans le midi de la France. Comment celui-là s’est-il retrouvé à Bruxelles dans les vestiaires d’un atelier JC Decaux ? Plaisanterie de mauvais goût ? S’était-il glissé dans une caisse lors d’une commande à un fournisseur lointain ? Pas d’explication à ce jour. Mais à la LRBPO, Dominique Hoste précise qu’il faut tordre le cou aux légendes : il existe plus de 1.500 espèces de scorpions dont à peine 20 sont mortellement venimeuses. Le scorpion noir des Carpates est venimeux mais, si sa blessure est douloureuse, son venin n’entraîne pas la mort. Reste qu’on préfère ne pas dénicher cela chez soi. Pour l’anecdote, Patrick Spindler, de chez JC Decaux, qui a déposé le scorpion à Anderlecht, est évidemment né… fin octobre, et est donc bien sûr… Scorpion ! Source

Sacré surprise pour ce couple habitant la commune de Hon-Hergies. Mardi vers 12 h 30, alors que le mari rentrait chez lui avec sa petite fille âgée d’environ deux ans, il a eu la mauvaise surprise de découvrir un serpent rampant devant la porte d’entrée. Les pompiers ont été appelés dans la foulée. « Mais ils ne sont pas arrivés tout de suite, on a dû rappeler deux fois, témoigne la mère de famille qui est toujours en colère. Car le petit reptile a réussi à s’introduire dans les murs de l’habitation et sur place, les secours ont eu peine à le dégager. Il ne sera finalement capturé qu’en début d’après-midi. « Mon mari et ma fille sont restés bloqués dehors, sans savoir si ce reptile était dangereux », s’indigne la mère. Côté pompiers, on précise que l’appel du couple a été traité comme une alerte « chantier ». Dans le jargon des secours, cela signifie qu’il n’y avait pas de caractère d’urgence. La raison est simple : le serpent en question s’avérait être une couleuvre mexicaine, très agitée, mais pas dangereuse. Elle a été prise en charge par les pompiers. En revanche, le mystère reste entier sur sa présence à Hon-Hergies. Source

Une fillette de 15 mois a failli manger une veuve noire ce jeudi en Grande-Bretagne. Avant qu’elle puisse mordre l’araignée, sa mère est intervenue. La petite Ava Shephard a bien failli perdre la vie en voulant manger une veuve noire. L’araignée venimeuse n’a heureusement pas mordu le bébé et sa mère, Sadie Perry, a pu intervenir à temps. La fillette avait l’araignée en bouche et s’apprêtait à mordre lorsque sa mère lui a enlevé la veuve noire de la bouche. « D’habitude, je pique les araignées et je les mets dans le jardin. Celle-ci, je n’ai pas osé. Elle est sous un verre », a témoigné la jeune maman. Depuis l’incident, Sadie Perry a trouvé cinq bébés veuves noires dans sa maison. « J’ai peur qu’elles aient fait un nid près de la maison », s’inquiète la mère de Ava. Source

NOUVEAU : Place Bonaventure (Métro Bonaventure) Centre-Ville de Montréal Samedi 2 novembre 2013 : 10 h à 19 h Dimanche 3 novembre 2013 : 10 h à 18 h PRIX D’ENTRÉE : Adultes : 13.00 $ Âge d’or et étudiants : 11.00 $ Enfants de 5 à 11 ans : 9.00 $ Enfants de moins de 5 ans : Gratuit AUCUN ANIMAL EN PROVENANCE DE L'EXTÉRIEUR N'EST ADMIS SUR LE SITE. En exclusivité à Montréal : Des poneys Une compétition nationale d’agilité canine Une exposition canine de championnat en obéissance et en conformation, avec plus de 100 chiens inscrits Une exposition féline de championnat avec plus de 120 chats Des animaux rares : chevaux miniatures, etc. Des milliers d'animaux (lapins, rongeurs, poissons, oiseaux)

Centre de Foires de Québec (ExpoCité), 250 boulevard Wilfrid-Hamel Samedi 19 octobre 2013 : 10 h à 19 h Dimanche 20 octobre 2013 : 10 h à 17 h PRIX D’ENTRÉE : Adultes : 13.00 $ Âge d’or et étudiants : 11.00 $ Enfants de 5 à 11 ans : 9.00 $ Enfants de moins de 5 ans : Gratuit AUCUN ANIMAL EN PROVENANCE DE L'EXTÉRIEUR N'EST ADMIS SUR LE SITE. En exclusivité à Québec : Une mini ferme Une compétition canine comportant plus de 100 chiens permettra de voir quelques-uns des plus beaux chiens en Amérique compétitionner autant en rally-o qu’en conformation ! À ne pas manquer ! Il y aura aussi une exposition féline en conformation, avec plus de 120 chats sur place. Des milliers d'animaux (lapins, rongeurs, poissons, oiseaux) Une mini-ferme et des poneys ! Enfin, vous pourrez assister à une compétition nationale d’agilité organisée à l’intérieur !

Il était une fois un crapaud buffle, déclaré catastrophe écologique en Australie, qu'une bonne fée polonaise décida de métamorphoser en précieux accessoire de mode vendu aux quatre coins de la planète... Cette histoire, qui a tout d'un conte de fée moderne écrit à plusieurs mains, entre Cairns (nord-est de l'Australie), Paris et Millau (Aveyron), suscite autant l'engouement des hommes que celui des femmes qui portent la peau du batracien teinté en fushia, bleu turquoise, jaune curry ou vert vif, en bracelet, ceinture, sautoir, porte-monnaie, sac ou minaudière. Même les plus classiques ont troqué l'or et les perles pour cet hypnotique grigri des temps modernes, au cuir fragile et dont les yeux sont remplacés par des cristaux ou des pierres semi-précieuses. Les défenseurs de l’environnement approuvent Tout commence à Paris il y a près de trois ans. «Un ami m'avait offert une petite grenouille néozélandaise porte-bonheur empaillée qui me dégoûtait mais a fini par me fasciner», raconte l'instigatrice de cette métamorphose, Monika Jarosz, 35 ans, installée dans une ancienne laiterie de Belleville. Arrivée en France il y a 12 ans, d'Ostrowiec Swietokrzyskie en Pologne, cette jeune femme brune au teint pâle a débuté dans le mannequinat avant de faire ses débuts comme styliste. «Plus je touchais la grenouille et plus l'idée de créer quelque chose de très fort comme un bijou a pris forme. Mais j'adore les animaux et il fallait que ce soit de la récupération», ajoute-t-elle. Monika s'adresse alors à des restaurants cuisinant des cuisses de grenouille... en vain. Puis elle découvre l'existence d'un crapaud buffle venimeux provenant d'Amérique du sud, introduit en Océanie il y a plusieurs décennies pour y détruire les coléoptères. Il a tellement proliféré et muté que les défenseurs de l'environnement se joignent aujourd'hui à l'armée australienne pour capturer et tuer le batracien devenu nuisible à l'écosystème. Avec l'aide d'un taxidermiste de Cairns, la créatrice récupère les dépouilles «dont le traitement nécessite 14 étapes avant de pouvoir les teindre et les travailler». Objets fétiches C'est dans un atelier de maroquinerie de luxe de Romainville, en banlieue parisienne, qu'entre les mains d'Hacen, de Fafa et de Béja, les crapauds deviennent sacs, porte-monnaie ou ceinture de luxe, fabriqués à la main et «made in France». Auparavant, ils sont teints à Millau, à la mégisserie (tannerie de petites peaux) Alric, spécialisée dans la coloration des peaux d'agneau. «Lorsque j'ai appelé Jean-Charles Duchêne (patron de la mégisserie) pour un devis, il a cru à une blague», raconte Monika. Jean-Charles Duchêne, qui travaille avec les maisons de luxe françaises et européennes, comprend qu'il va devoir «apprivoiser la bête». «J'ai été surpris mais ses créations ont plu et j'ai voulu l'aider. C'était un challenge à relever car on a dû s'adapter à la matière», explique-t-il à l'AFP. «Le crapaud est plus dense que l'agneau, le colorant se fixe plus vite et il en faut moins». Symbole de fertilité et de prospérité, «le crapaud est aussi lié à la sorcellerie», rappelle Monika en triant une centaine de crapauds desséchés et tannés qui viennent d'arriver d'Australie. Elle réexpédiera à Millau ces sortes de mini-carpettes de 10 à 20 cm de long, gris pâle, où trônent les têtes comme celles de tigres. «Je ne mise pas sur le gothique, ce qui m'intéresse c'est le conte de fée, le crapaud qui se transforme en prince charmant...», assure-t-elle en embrassant l'un des batraciens turquoise, transformé en porte-monnaie. Celui-ci coûte entre 220 et 250 euros selon le pays où il est vendu (Japon, Etats-Unis, Chine, France, Allemagne), un grand sac, 1.200 euros. Après un galop d'essai dans une galerie d'art, Monika a lancé sa marque, Kobja (verlan de l'affectueux «petite grenouille» polonais). Vendus dans des boutiques de luxe ou concept stores à Tokyo, Pékin, New York, Paris et Berlin, les crapauds buffle ont acquis un statut «d'objets fétiches». Certains de leurs propriétaires, parmi lesquels des célébrités, donnent régulièrement à Monika des nouvelles de leurs «Sacha» et «Rosa». Avec AFP Source

L’axolotl, Ambystoma mexicanum, est une salamandre mexicaine d’une petite trentaine de centimètres aux particularités et au physique plus qu’atypiques. En plus de pouvoir se métamorphoser, l’axolotl est capable de régénérer des parties de son corps telles que ses pattes, sa queue, sa moelle épinière, ses yeux… cela, sans laisser de cicatrices ! Strictement aquatique, la crinière qu’il arbore constitue en réalité trois paires de branchies externes. Il ne reste que peu d’individus à l’état sauvage, en danger critique d’extinction, selon l’UICN. Un axolotl de forme leucistique courant en captivité. Steven Wong Il existe différentes explications au déclin de cet amphibien. Tout d’abord, l’altération et la perte de son habitat sont dues à l’urbanisation exponentielle autour de la ville de Mexico. Cette urbanisation est responsable du drainage des différents points d’eaux, abris de l’axolotl ce qui fragmente son aire de distribution. La disparition de cette salamandre est aussi due au commerce d’espèces exotiques, et à la pêche des locaux, car l’Axolotl est vendu sur les marchés pour être mangé. C’était d’ailleurs un produit de base du régime aztèque. Aujourd’hui, 90 % des Axolotls sont captifs. Le Journal Officiel (n° 233 du 7 octobre 2006, page 14920) nous informe que l’axolotl albinos est cité par l’Arrêté du 11 août 2006 fixant la liste des espèces, races et variétés d’animaux domestiques. L’Axolotl albinos est donc considéré depuis comme une espèce domestique. Ambystoma mexicanum reste protégé, aujourd’hui par la convention sur le commerce international des espèces de la faune et de la flore sauvage menacées d’extinction (CITES) qui le considère comme espèce vulnérable, le classant en Anexe II depuis le 1er Juillet 1975. De son côté, l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) classe l’espèce comme « en danger critique d’extinction » depuis 2006, statut précédent celui de « éteint en milieu naturel ». Des capacités étonnantes d’adaptation, d’évolution et de régénération La première particularité des axolotls est la néoténie. Cela signifie que cette salamandre conserve ses caractéristiques juvéniles (branchies externes, voile caudal, doigts palmés et absence de paupières) à sa taille adulte. Plus important, elle peut se reproduire sous cet état larvaire une fois sa taille adulte atteinte. Une seule autre espèce du genre possède aussi cette capacité, il s’agit de Ambystoma andersoni. Cette néoténie est due à l’évolution d’une glande thyroïde atrophiée et donc à l’absence d’une hormone interagissant avec les hormones de croissance, la thyroxine. La première hypothèse concernant l’atrophie de cette glande veut que les températures froides de leur milieu d’origine défavorisent la forme terrestre plus fragile. Car l’axolotl peut sous certaines conditions (hausse de la température, diminution du niveau d’eau, et surtout apport externe de thyroxine) outrepasser la néoténie et se transformer pour accéder à un stade adulte de vie terrestre. Il perd alors ses caractéristiques juvéniles et développe des poumons et des paupières pour se rapprocher physiquement du reste des espèces de son genre. Sa biologie change également du tout au tout, car même s’il vit désormais dans des zones humides, il devient strictement terrestre, voir fouisseur. On a d’ailleurs longtemps cru que Ambystoma tigrinum était la forme adulte de Ambystoma mexicanum. Pour l’anecdote, les premiers axolotls importés en Europe au XIXe siècle furent installés au Jardin des Plantes de Paris par le zoologiste Auguste Duméril. Plus tard, il fut surpris de voir dans le bassin un animal ressemblant à une salamandre à la place de l’axolotl qu’il connaissait. Cette histoire se répandit à cette époque et incita les chercheurs à découvrir le phénomène de néoténie. En plus de pouvoir se métamorphoser, l’axolotl est capable de régénérer des parties de son corps telles que ses pattes, sa queue, sa moelle épinière, ses yeux… cela sans laisser de cicatrices ! Cet atout en fait un des animaux de laboratoires privilégiés pour la recherche. Ironie du sort, c’est grâce à la reproduction en laboratoires et plus généralement en captivité que cette espèce subsiste. Un axolotl sauvage. Steve Wilson Une lutte pour s’alimenter et se reproduire Les adultes sont matures sexuellement à l’âge d’un an, même si la reproduction peut se produire avant chez des animaux de taille adulte. Pour la fécondation, le mâle dépose sur le fond une poche de sperme, le spermatophore, de forme conique que la femelle absorbe par le cloaque. L’incubation durera 2 à 3 semaines, puis la femelle pondra en moyenne 300 œufs qu’elle accrochera à un support comme une plante aquatique. Les juvéniles sortiront de l’œuf deux semaines après et mesureront alors de 5 à 8 mm. Ces derniers pourront vivre 10 à 12 ans, s’ils ne sont pas la proie de prédateurs, comme le héron. Pour grandir les survivants s’alimenteront de zooplancton. Les adultes, quant à eux, consomment des vers de vase, différents insectes ou de petits poissons qui passent à proximité. Un peu d’histoire… Le terme « Axolotl » est d’origine Nahuatl, la langue indigène la plus parlée au Mexique. Il se compose de «atl» signifiant «eau» et de «xolotl» pour «chien». Il a également pour origine le nom de Xolotl, le dieu de la mort Aztèque, qui selon la légende aurait prit la forme de cet amphibien afin d’échapper à la mort au moment de la création du cinquième soleil. Cette espèce à été découverte en moyenne et haute altitude, de 1500 à 3000 mètres dans les lacs à proximité de la ville de Mexico, nommés Xochimilco, Chalco Galtocan et Texolco. La présence d’Ambystoma mexicanum a aussi été relevée dans des axalapascos, ces cratères volcaniques remplis d’eau, également connus sous le nom de maar. La température de l’eau de ces lacs avoisinent au maximum les 20 °C. En hiver, celle-ci chute à 6 ou 7°C. Auteur : Rudy Palatci Source

Beaucoup de spécimens d’une espèce rare de salamandre, de la famille des Salamandridae, avec comme nom scientifique Echinotriton asperrimus, ont été découverts dans la forêt de Hem dans le district de Thanh Son, province de Phu Tho (Nord), à 400-650 m d’altitude. Il s’agit de la deuxième découverte d’Echinotriton asperrimus dans le district montagneux de Thanh Son», a fait savoir Trân Dang Lâu, vice-président du Département provincial des gardes forestier. Toujours selon lui, cette espèce est inscrite dans le Livre Rouge du Vietnam et du monde. Grâce à elle, les scientifiques ont inventé le principe de «cellule souche» appliqué dans le secteur de la santé. L’une des caractéristiques de cette espèce est que toute sa peau présente de petites verrues. Elle mesure entre 5 et 7 cm de long. Sa tête est de forme triangulaire, avec le museau légèrement arrondi et des yeux bombés. Une crête médiane épaisse, large et aplatie court de la tête à la queue. Sur les deux flancs, on observe deux rangées de grosses verrues qui correspondent aux extrémités des côtes. Certaines parties de la queue, le ventre et des membres sont de couleur rouge-brique. -VNA Source

Tamarindo sur la côte Pacifique du Costa Rica est une zone plutôt tranquille pour les vagues et idéale pour apprendre à surfer. Mais elle n’est pas épargnée par les risques, comme nous l’avions vu avec cette attaque de requin mortelle à Playa Grande. Le week-end dernier, c’est d’une attaque de crocodile dont a été victime un surfeur. Samedi 12 Octobre 2013, vers 11h45, un couple de surfeurs espagnols a été pris en chasse par un crocodile américain (Crocodylus acutus) de plus de 2 mètres de long. C’est le moniteur de surf Luis Sequeria qui a entendu leurs appels à l’aide. Il a d’abord mis à l’abri la mère de famille et sa fille de 7 ans à qui il donnait un cours de surf. Comme il n’y avait pas de sauveteurs sur la plage, c’est lui qui a dû venir à leur secours. Le moniteur a d’abord conseillé au surfeur espagnol de faire face au crocodile pour l’intimider, mais le crocodile s’est quand même approché et a attaqué le surfeur. Le crocodile a ouvert grand sa mâchoire et l’a refermée sur les doigts du surfeur. Le moniteur s’est approché face au crocodile avec sa planche et a tenté de l’intimider en faisant du bruit, un maximum d’éclaboussures, et en utilisant sa planche pour effaroucher l’animal. “Je savais que je devais me confronter à lui, l’intimider, et lui faire comprendre qui était le boss » (sic.) Le crocodile s’est finalement éloigné, mais il s’est ensuite dirigé vers un couple de touristes suisses qui nageaient à proximité; le moniteur Luis Sequeria a dû les alerter du danger et protéger la femme en la mettant sur sa planche et en guidant son ami vers le rivage. Pendant ce temps, le couple espagnol avait pu regagner la plage: le surfeur avait la main en sang et son amie était en panique totale. Le moniteur de surf les a dirigés vers les urgences d’une clinique voisine pour prendre en charge les plaies et prévenir les risques d’infection. Avec les extrémités de l’index et du majeur sectionnées et des plaies à l’épaule, le surfeur espagnol s’en tire bien. Il a pu éviter que le crocodile attrape sa main ou son bras, auquel cas les blessures auraient été beaucoup plus graves, car les crocodiles n’ont pas tendance à lâcher prise facilement quand ils mordent. Il ne s’agit pas de la première attaque de crocodile au Costa Rica: en 2008, un surfeur de 13 ans, Dakota Kilbride, avait été grièvement blessé à la jambe par un crocodile en surfant Playa Hermosa. En mars, c’est un photographe qui a échappé de justesse à un crocodile près de Jacó. A savoir: - Ce type de crocodiles présents au Costa Rica préfère les eaux douces ou peu salées. Mais on peut les retrouver aux embouchures des rivières d’où ils s’aventurent en mer à marée haute ou pendant les périodes de pluie (saison humide +++). Ils peuvent aussi passer par des zones de surf (vidéo) pour s’alimenter ou passer d’une rivière à l’autre. Ils ont habituellement de quoi se nourrir, et ils se montrent rarement agressifs envers l’homme. Il semblerait néanmoins qu’en Octobre, période de ponte des oeufs, les femelles se montrent plus agressives quand on s’approche d’elles. Source

Face au déclin de la population des Tortues d'Hermann menacée d'extinction, l'Europe, à l'aide du programme Life, a accepté de financer des actions en faveur de sa préservation. Amélioration de son habitat et campagne de sensibilisation font partie des priorités de ce plan lancé en 2010. A la SOPTOM, association de protection des tortues dans le Var, les scientifiques sont mobilisés depuis 2010 pour mettre en application le programme Life en faveur de la préservation de la Tortue d'Hermann avec l'aide de l'Agence Régionale pour l'Environnement de la région PACA. Unique tortue terrestre de France, la Tortue d'Hermann est une espèce menacée d'extinction en raison de la destruction de ses habitats. Urbanisation, abandon des pratiques agricoles douces, extension des surfaces viticoles, et incendies de forêt en sont les principaux responsables. Plusieurs aménagements du milieu comme des travaux d'ouverture de la forêt ou la création de mosaïque de végétation ont ainsi été menés afin d'améliorer et étendre les habitats favorables à cette espèce. Autre menace pour la Tortue d'Hermann, les prélèvements dans la nature. Souvent considérées à tort comme des animaux domestiques, les tortues ont tendance a être ramassées par des personnes qui les maintiennent captives à leur domicile ou sur leur balcon. Des agents de l'Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage sont ainsi habilités à surveiller les captures et enlèvements de tortues, un délit puni de 15 000 euros d'amende et un an de prison. Le programme Life en faveur de la Tortue d'Hermann prendra fin le 1er Janvier 2015. Pour le moment, les effets sont peu visibles. Espèce longévive pouvant atteindre les 60 ans, la Tortue d'Hermann n'a pour le moment pas apprivoisé les aménagements crées par l'homme. Marie Jo Sader Tous droits réservés Actu-Environnement Reproduction interdite sauf accord de l'Éditeur ou établissement d'un lien préformaté [19727] / utilisation du flux d'actualité. Dernières actualités sur les espèces menacées d'extinction Un site pédagogique sur les oiseaux et singes en voie d'extinction - 18/07/2013 Liste rouge mondiale 2013, entre espèces menacées et espèces disparues, un tableau... - 04/07/2013 Espèces en danger : les requins protégés par la Cites - 15/03/2013 Le bois illégal interdit dans l'Union européenne - 04/03/2013 Commerce international de la faune et flore: 16e réunion de la conférence des parties - 04/03/2013 Toutes les infos sur les espèces menacées d'extinction Source

114 cadavres ont été découverts en une quinzaine de jour sur la côte Pacifique du pays. Les autorités soupçonnent des algues toxiques. Une jeune tortue olivâtre gagne l'eau sur la plage de San Diego, au Salvador, le 20 novembre 2010. (JOSE CABEZAS / AFP) Par Francetv info avec AFP Désolation au Salvador. Pas moins de 114 tortues marines ont été retrouvées mortes sur la côte Pacifique du pays en seulement une quinzaine de jours, entre le samedi 28 septembre et le lundi 14 octobre. Les autorités ont décidé d'ouvrir une enquête. Les animaux ont été retrouvés sur les plages de San Diego, El Amatal et Toluca, au centre du littoral salvadorien, à quelques dizaines de kilomètres de la capitale. La plupart étaient des tortues vertes et des tortues olivâtres. Algues toxiques ou filets de pêcheurs ? Le problème semble aussi concerner le Guatemala et le Nicaragua voisins, mais les autorités de ces pays n'ont pas tenu de compte précis. La vice-ministre de l'Ecologie du Salvador, Lina Pohl, a évoqué le développement d'une algue toxique en haute mer comme cause possible de cette hécatombe. Des "marées rouges" d'algues toxiques sont souvent constatées à cette période, mais ne s'étaient jusqu'à présent jamais soldées par des morts massives de tortues. Une équipe du ministère a procédé à des prélèvements qui seront analysés par un laboratoire de toxicologie marine. Mais Jose Leonidas Gomez, du Programme de conservation des tortues marines Je protège mon monde, assure que les tortues retrouvées ne semblaient pas avoir ingéré quoi que ce soit. Il pointe plutôt du doigt les filets des nombreux bateaux de pêche circulant dans ces eaux. Source

Un habitant de Merbes-le-Château a eu la désagréable surprise de découvrir, voici quelques jours, dans un sachet de dosettes de café, une araignée. Il s’agit d’une jeune mygale du Kenya de 2 centimètres de long et bien vivante. Personne ne s'explique comment cet animal s'est retrouvé là. Mais Douwe Egberts, la marque de café, prend l'affaire très au sérieux. Comme tous les matins, Geoffrey Baudouin veut se préparer une tasse de café. Mais la semaine dernière, il tombe nez à nez avec une araignée sortie tout droit du paquet... Bien qu'elle soit de petite taille, très vite, il s'aperçoit qu'elle vient de loin. "Elle avait entre 1,5 et 2 cm de diamètre et elle ressemblait clairement à une petite mygale rougeâtre légèrement velue, mais avec des crochets" se souvient Geoffrey Baudouin. Après être restée enfermée plusieurs jours dans un bocal, l'araignée est morte. Mais nous avons demandé à un spécialiste de tenter de l'identifier en lui présentant quelques clichés. Et pour Jean Paulus, gérant d’une animalerie, il pourrait s'agir d'un bébé mygale du Kenya : "Le céphalothorax présente une ligne longitudinale, les pattes arrières sont très fortes et bien marquées. Mais à cette taille-là, elle n’est absolument pas dangereuse pour l’homme, c’est tout à fait inoffensif. Mais à l’âge adulte elle a un caractère un peu difficile, il est vrai. Mais elle n’est absolument pas mortelle". Il ne peut s’agir non plus d'œufs d'araignée éclos, car les mygales n'auraient pas pu survivre au choc thermique. La marque de café Douwe Egberts n'a pas souhaité faire de commentaires pour l'instant, n'ayant pas encore examiné l'araignée. Mais elle déclare que "la sécurité alimentaire est la plus grande de ses priorités". RTBF Source

Un serpent mystérieux s’est apparu sur la structure du toit d’une église catholique dans le diocèse de Kasaana Luwero (Ouganda) est a provoqué une panique générale parmi la congrégation qui assistait à une cérémonie de messe de mariage présidée par l’évêque auxiliaire Mathias Kanyerezi. Regardez Source

Comme Kevin Séraphin (avant que le sien ne disparaisse), Danny Green aime les serpents et leur a même consacré une page sur son site officiel. Il y a d’abord un boa constrictor (Columbian Red Tail) prénommé Jade, mesurant environ 2,13m et vivant avec le joueur depuis 5 ans. Puis vient Lightening, un autre boa constrictor (Columbian Sunglow) qui mesure un peu plus d’un mètre, depuis 2 ans dans la famille, il a une réputation de serpent… agressif. Source

Attention cet insecte peut être dangereux, la piqûre avec la rostre (trompe) est douloureuse mais sans risque pour l'homme sauf en cas d'allergie. Platymeris biguttatus est un vrai prédateur venimeux d’insectes. La Platymeris biguttata est une punaise, d'une grande taille, elle mesure à l'age adulte de 10 à 40 mm, elle est de couleur noire, elle possède deux taches rondes blanchâtre sur les ailes, sur les fémurs de ses six pattes des bandes jaunes sont présentes. Elle a de longues antennes noires. Originaire du Sud-Ouest africain, elle elle se trouve dans des pays tels que le Sénégal, la Côte d'Ivoire, au Soudan, au Niger dans la forêt tropicale humide, sous les souches d'arbres particulièrement creux et les journaux en décomposition. Platymeris biguttata est insectivore, elle mange donc des grillons, blattes, mouches, vers de farine, chenilles, etc. C'est une vraie prédatrice, elle attaque ses proies avec rapidité et précision, dès qu'elle voit un insecte bouger à proximité, elle se précipite dessus, le saisit avec ses pattes et elle lui enfonce dans le corps sa rostre (pièces buccales piqueuses qui est utilisée pour percer l'exosquelette de sa proie) ainsi elle va injecter sa salive qui va permettre une digestion externe grâce à des enzymes se trouvant dans la salive, ensuite la Platymeris va absorber le contenu déjà digéré de sa proie. S'ils sont dérangés, il est capable d'une morsure défensive considéré comme plus douloureux qu'une piqûre d'abeille. De plus, cette espèce peut projeter un liquide irritant suceptible de provoquer une cécité momentanée à une distance de 30 cm, comme on peut le voir dans cette vidéo de national geographic channel: On croyait que la Platymeris biguttata pouvait pratiquer la parthénogenèse, mais une étude aurait révélé le contraire, alors que les femelles non fécondées pondent des œufs, ils sont stériles. Les oeufs mesurent 3 mm environ, l'incubation est de 30 jours environ, les jeunes au début mesurent 4 à 5 mm. La croissance dure de 7 à 9 mois, la Platymeris va faire 5 mues avant d'être à taille adulte. Le développement est hémimétabole , ce qui signifie qu'il n'ya pas de métamorphose entre une phase larvaire et une phase adulte. Les jeunes sont appelés nymphes, et semblent être de petits adultes. La durée de vie adulte est de un à deux ans. La première mue se produit à environ deux semaines Un terrarium de 30/30/30 pour une vingtaine d' individus adultes, il faut poser dans le terrarium, une épaisseur de 5 cm de tourbe blonde, ou de coco husk vendu en animalerie, pour que la récolte des œufs soient plus facile et rapide je conseil de prendre de la tourbe blonde de la tamisé et d’utiliser les grains les plus fin comme substrat ainsi quand vous déplacer les Platyméris dans une boite aéré, ainsi vous pouvez verser la tourbe de leur terrarium dans la passoir que vous avez utilisé pour tamiser ainsi votre substrat composé que de fine particule va passer entre les maille et vous n’aurez plus qu’a récupérer les œufs qui ont été trier rapidement et proprement. Vaporisez 1/3 du substrat, il faut faire attention que l'hygrometrie ne doit pas être trop importante, espacez les vaporisations de deux à trois jours. Pour l’aménagement prévoir des cachettes qui serviront également de lieux de mues: écorces, pierres plates bien fixé, boites à oeufs. Vous pouvez mettre des plantes pour agrémenter le terrarium: fougères, mousses. L'hygrométrie doit être de 60 % et les températures entre 22 et 27°C