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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Vous avez sans doute vu cet article sur nos sites ce jeudi: un homme a échappé de peu à l’amputation suite à une morsure d’araignée! Un cas qui est tout sauf isolé en Europe, même si cela ne prend pas toujours de telles proportions, comme on a pu s’en rendre compte au cours d’une petite enquête... En Angleterre, le nombre de piqûres d’araignées est en forte hausse. Les bestioles sont en effet de plus en plus nombreuses à rentrer dans les bâtiments, comme les températures baissent et l’hiver approche. Et parmi ces bêtes à huit pattes, on retrouve certaines espèces dangereuses, comme la veuve noire et ses cousines. «Elles arrivent de deux façons sur notre territoire: soit dans des cartons de fruits, de légumes, ou des plantes importées chez nous», explique-t-on au SPF Santé publique. «Comme tous les colis ne sont pas ouverts, elles peuvent survivre dans une habitation ou un appartement où les conditions leur sont favorables. Et puis, il y a aussi certains amateurs d’animaux tropicaux qui en achètent, et lorsqu’elles prennent la fuite, c’est un peu la panique.» Ainsi, l’année dernière, Tony Lo Bianco et son asbl Crusoé ont récupéré une centaine d’araignées, dont une grande partie de mygales. En cas de morsure d’une araignée «suspecte» et si la zone réagit de manière disproportionnée, mieux vaut donc ne pas traîner et vous rendre à l’hôpital. Source
  2. Des araignées partout dans la maison Avec l’arrivée de l’automne, les araignées rentrent dans les maisons... Une idée fausse. Onles voit plus car elles cherchent un partenaire. Avec leurs quatre paires de pattes, elles ne quittent pas le jardin pour envahir votre maison et garage. C’est une idée fausse. Celles qui se retrouvent dans vos murs et fissures, de la cave au grenier, se font plus présentes en automne car elles sortent de leur tanière pour chercher une partenaire. En juin déjà, ces araignées de la famille des Theridiidae pour la plupart, font de même. Si certaines araignées domestiques affectionnent un grenier sec, d’autres espèces d’intérieur se plaisent dans les endroits tout aussi sombres mais humides. Plinthes, faux plafonds, mobilier, cavités, gaines… tout est bon. La clubinodae, jaune pâle, grise ou verte, est seule responsable des morsures. Tandis que la grosse araignée poilue (araignée-loup) peut dépasser les 7 cm de diamètre mais ne tisse pas de toiles. Typique des caves, le pholque phalangide réside dans les coins, en haut des fenêtres où il tisse une toile irrégulière; il s’y tient accroché, ses très grandes pattes en haut, le corps en bas. Dérangée, la bestiole peut fuir mais la plupart du temps elle fait vibrer sa toile, tremblant tellement qu’elle en disparaît presque de la vue. Une maison bien entretenue et bien aspirée régulièrement abrite plus de 1000 araignées en moyenne! En éliminer quelques-unes chimiquement ou mécaniquement ne fera qu’apporter davantage de nourriture aux colonies restantes. Ce qui augmentera les pontes et leur présence.. Alors, comme elles ne véhiculent pas de maladie et qu’elles sont utiles, laissons-les en paix dans leur chasse solitaire aux insectes présents, qui eux, se nourrissent de nos résidus ménagers et alimentaires. Retirer les toiles visibles est un minimum. Mais une toile abandonnée est toujours délabrée car sa locataire est partie chasser ailleurs… s’attaquer mouches ou autres insectes volant se prenant dans leur toile. Voire aux perce-oreilles. Pour les attraper Il existe dans le commerce des poudres et des liquides non toxiques qui agissent comme répulsifs (Ecosect, spiderfree). Ou encore des attrape-araignées avec un long manche et un réceptacle qui ne les tuent pas (SpiderCatcher, LuxeBugAway). Le plus simple est d’utiliser un pot en verre sous lequel on fait glisser un morceau de carton. Pour ma part, je glisse une feuille sous l’araignée. Dès qu’elle se fixe sur le papier, j’ouvre la fenêtre et je la laisse planer sur son tapis volant jusqu’au sol. Après, elle se débrouille… Colmater toutes les fissures dans la maçonnerie autour de vos menuiseries extérieures, supprimer les refuges proches de la maison (tas de bois, compost) et l’humidité intérieure sont de bons plans pour les voir moins nombreuses. Source
  3. Planioles. Une couleuvre en plein repas Les jours de beau temps de ce début de semaine ont permis à notre correspondant de saisir une scène naturelle. Mardi 8 octobre, il a aperçu près de sa piscine sur un parterre de castine la couleuvre, d’environ 1,50 m, qu’il voit habituellement dans son jardin. Elle tenait dans sa bouche un gros crapaud gris. Il est allé chercher son appareil photographique pour immortaliser ce sujet. Quand il s’est approché, pour avoir un gros plan, la couleuvre a lâché le crapaud avant de partir doucement vers le jardin. Le batracien a eu la vie sauve. Source
  4. Des pelleteuses délogent des tortues protégées ENVIRONNEMENT - Un chantier à Bruges jouxte la réserve naturelle... Activité économique et espèce protégée ne font pas bon ménage. Les élus communautaires Europe Ecologie les Verts (EELV) ont envoyé, ce mercredi, un courrier à la communauté urbaine de Bordeaux (CUB) pour l’alerter sur la mise en danger, à Bruges, d’une espèce protégée. En mars dernier, la CUB a vendu un terrain sur la zone d’activité économique (ZAC) de fret de Bruges à l’entreprise Ducros pour qu’elle y regroupe ses activités. Or la réserve naturelle de Bruges, qui abrite notamment la tortue Cistude, jouxte site et l’animal va pondre sur une partie de la parcelle. Arrêt des travaux demandé « Les pelleteuses auraient dévasté les zones de ponte des tortues Cistude, y compris les jeunes de l’année, portant sans doute une atteinte fatale à cette espèce sur la réserve », estiment les élus Verts. La CUB rappelle qu’au moment de la cession, elle avait sensibilisé l’entreprise dans un courrier : « Cette parcelle présente un enjeu écologique particulier, notamment par la présence, dans le secteur, de cistude d’Europe (...) Votre projet devra impérativement prendre en compte ce paramètre conformément aux obligations réglementaires en vigueur ». La direction de l’entreprise Ducros n’était pas joignable ce mercredi. Les élus EELV demandent à la CUB d’intervenir auprès du préfet. Ils souhaitent l’interruption du chantier afin qu’un constat sur les dégâts puisse être dressé et un procès-verbal émis à l’encontre de la société. Le préfet ne s’est pas encore exprimé. Elsa Provenzano Espèce protégée La Cistude d’Europe est installée en France dans quatre grands secteurs géographiques, dont le grand Sud-ouest. C’est une espèce protégée, fragilisée par la disparition des zones humides. Source
  5. Les scientifiques aux petits soins pour la tortue d'Hermann L'Europe finance la protection de ce reptile varois en danger d'extinction. L'un est muni d'une grande antenne portable, l'autre de sa trousse médicale. Les gardes de la réserve nationale de la plaine des Maures (Var) recherchent les tortues d'Hermann équipées d'un émetteur collé sur leur carapace brun et jaune. Ils finissent par en débusquer une, bien cachée sous des ronces. L'objectif est de tracer son cheminement et son habitat (tous les deux jours), de la peser, de la mesurer (toutes les deux semaines), voire de lui faire une prise de sang (quatre fois par an). Ils disposent également de chiens spécialement dressés pour les suivre à la trace. C'est une routine pour eux mais, ce jour-là, ils sont accompagnés de deux membres de la Commission européenne, venus constater comment est utilisée la subvention attribuée pour la préservation de la tortue d'Hermann, une espèce en voie de disparition, dans le cadre du programme Life+. Lancé pour quatre ans en janvier 2010, il est doté de 2,7 millions d'euros (cofinancé pour 50 % par la Commission). «Nous venons voir comment est dépensé l'argent de l'Europe et pour comprendre ce qui est réalisé», commente Simon Goss, responsable du suivi technique de Life+, qui ajoute: «Le planning est respecté et nous sommes optimistes sur les résultats obtenus.» Un tiers de moins en trente ans Présente depuis 1,8 million d'années en Provence, la tortue d'Hermann est aujourd'hui un des reptiles les plus menacés au monde. Cette tortue de terre, que l'on trouve sur l'arc méditerranéen de l'Espagne à la Grèce, en France dans la plaine des Maures et en Corse, a pâti ces dernières décennies d'une dégradation de son milieu de vie par les incendies, l'urbanisation grandissante, la multiplication des infrastructures de transport et des zones industrielles ou commerciales. L'animal d'une vingtaine de centimètres, qui bénéficie d'une longévité exceptionnelle d'une cinquantaine d'années, est en outre la proie de l'homme qui le prélève dans la nature alors que c'est interdit, l'espèce étant protégée, explique Frédéric Petenian, coordinateur du programme au sein de l'Agence régionale pour l'environnement (ARPE). Sur les 10.000 hectares de la plaine des Maures, il a été estimé en 2010 qu'il ne subsistait plus que 30 000 tortues d'Hermann, soit un tiers de moins qu'il y a trente ans, estime Marc Cheylan, maître de conférences à l'École pratique des hautes études partenaire du programme. Pour enrayer le phénomène, de nombreuses actions expérimentales ont été entreprises. Le but est d'améliorer ou d'étendre la superficie des milieux qui sont favorables à la tortue d'Hermann: des coupes d'arbres et des débroussaillements ont été réalisés sur 250 hectares, des haies ont été plantées. La tortue est un animal à sang froid. Elle a besoin de se chauffer au soleil puis de se mettre à l'ombre quand elle a trop chaud. Des mosaïques de végétation ont donc été créées ainsi que des points d'eau. Ces sites font l'objet d'un suivi scientifique. Si les résultats sont probants, l'expérience sera étendue en France et ailleurs en Europe. Source
  6. Un iguane dans un jardin à Laeken LAKEN - Un iguane de plus d'un mètre originaire de Guyane a été retrouvé dans un arbre d'un jardin de Laeken. Selon nos confrères de TéléBruxelles, l'animal a été pris en charge par les pompiers et la ligue royale de protection des oiseaux. Il pourrait rejoindre Pairi Daiza. Source
  7. Un chat devient le meilleur ami d'un iguane ! Les amitiés improbables sont l'une des spécialités de nos chers et tendres compagnons à 4 pattes. La petite chatte Ash et son copain Captain l'iguane ne vous affirmeront pas le contraire ! Le pauvre chaton a été retrouvé dans une benne à ordures par le beau-frère de son humain, James. Il n'était alors âgé que de 3 ou 4 semaines. Mais étonnamment, il se portait plutôt bien. Le chat apprivoise l'iguane... James l'a emmené chez le vétérinaire, et une fois rassuré, a ramené chez lui la petite boule de poils. Dans sa nouvelle maison, un drôle de copain l'attendait. Son nom ? Captain le lézard. Le bel iguane rouge s'est d'abord montré très intrigué par la petite chatte, qui aujourd'hui, 3 mois après son sauvetage, se porte à merveille ! L'iguane ne semblait pas très enthousiaste à l'idée de partager sa maison avec un autre animal, couvert de poils qui plus est. Et devient son meilleur ami Captain n'aime pas beaucoup qu'on le touche, mais au fil des jours et des semaines, il a fini par accepter les démonstrations d'affection d'Ash. "Captain essayait de le fouetter avec sa queue, mais maintenant ils s'entendent très bien. Captain tente toujours de s'enfuir, mais finit par abandonner quand Ash insiste. C'est vraiment très amusant à voir" confie James. Très amusant, et très touchant. Sur les belles photos publiées par James, le chat et l'iguane semblent inséparables. Ils s'installent ensemble devant la fenêtre pour observer le monde, passent de longs moments tous les deux, et prennent même leur bain ensemble ! Et vous, avez-vous déjà assisté à la naissance d'amitiés improbables comme celle d'Ash et Captain ? Par Sophie Le Roux Crédits photo : James Ipekci Source
  8. Une piqûre d’araignée lui fait presque perdre une jambe! On imagine ces bestioles vivant dans une forêt tropicale ou sur quelque île mystérieuse mais non, l'araignée qui a failli provoquer l'amputation de la jambe d'un homme est... anglaise! Ricki Whitmore, un décorateur de 39 ans du comté d'Essex, travaillait dans une salle de classe lorsqu'il a dérangé un nid d'araignées appelées «fausses veuves». L'une d'elles l'a piqué à la jambe. Le temps qu'il se rende à l'hôpital, sa jambe avait doublé de volume. Une intervention a dû être pratiquée d'urgence pour extraire, à l'aide d'un drain, le venin qui s'était étendu dans sa jambe. Il a fallu la nettoyer à nouveau une bonne demi-douzaine de fois dans les jours qui ont suivi. Ricki Whitmore ne retrouvera pas l'usage de sa jambe avant six mois. Il se dit tout de même chanceux d'avoir pu la sauver... Et cette araignée est loin d'être exotique: il y aurait quelque dix millions de «fausses veuves» en Grande-Bretagne, et l'été pluvieux et chaud a facilité leur prolifération. Ces temps-ci, elles cherchent à rentrer au chaud. Ces araignées sont des cousines des fameuses -et mortelles- veuves noires... Normalement, on ne les retrouve que dans le sud de l'Angleterre, mais elles sont désormais présentes au pays de Galles et jusqu'en Écosse. D'autres cas de piqûres ont été signalés en Grande-Bretagne, mais aux conséquences moins dramatiques que chez Ricki Whitmore. Comment reconnaît-on ces charmantes bestioles? Elles ont un corps noir et bulbeux, et des pattes épaisses et velues. Bref, comme on les imagine... Source
  9. La spectaculaire décomposition d'un varan observée en accéléré La nature fait bien les choses. Deux vidéastes de BBC Earth Unplugged ont réussi à filmer la complète décomposition d'un varan des savanes. Un procédé qui leur a pris quatre semaines et demie, de l'arrivée des larves au squelette du reptile. La spectaculaire décomposition d'un varan observée en accéléré par Gentside Découvertes Une réplique à l'identique de la décomposition d'un varan des savanes. C'est ce qu'ont souhaité réalisé Sam et Simon, deux expérimentateurs de BBC Earth Unplugged. Pour cela, ils ont récupéré un varan des savanes puis ont introduit des larves et des scarabées pour reproduire un procédé naturel qui, en temps normal, se déroule dans le désert du Sahara, lieu de vie du lézard. La décomposition de l'animal a pris quatre semaines et demie et a permis d'en savoir un peu plus sur l'élimination naturelle des carcasses. Pour cela, deux caméras ont photographié constamment l'évolution du varan, vu de côté et du dessus. Cinq étapes naturelles La vidéo détaille les cinq phases de décomposition du varan des savanes, mort de causes naturelles. Le procédé commence avec l'éclosion des oeufs de mouches dans le corps de l'animal. Pour cela, les deux experts ont déposé des larves sous la peau du lézard. Présentes dès le début, elles se nourrissent des tissus morts des animaux. Rapidement (du moins sur la vidéo), le corps du varan se met à gonfler à mesure que les larves se multiplient et se déplacent. Finalement, la peau finit par céder, libérant ainsi les asticots. Lorsque la masse de l'animal est très réduite, la phase de pourrissement commence. Après deux semaines, l'odeur est très désagréable, les asticots ont consommé à manger tous les tissus, laissant uniquement la peau sur les os. C'est à ce moment que les scarabées entrent en jeu, se nourrissant des restes du corps. Cette étape de décomposition dite "sèche" est particulièrement appréciée des scarabées introduits par Sam et Simon, qui nettoient les os des tendons. À la fin, et malgré l'effort des scarabées et de microbes variés, il ne reste que les os et la peau, trop dure pour servir de nourriture. Entre sac à main et animal domestique Originaire du désert du Sahara, en Afrique, le varan des savanes est un gros lézard, malheureusement réputé pour servir d'animal de compagnie ou de sac à main. Les mâles peuvent atteindre 1,5 m de longueur alors que les femelles sont bien plus petites. Leurs écailles sont plutôt larges, si bien qu'ils n'en possèdent souvent pas plus de 200 sur le corps. La coloration de leur peau, dans des tons marron-vert, varie en fonction de l'endroit du désert où ils vivent. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, le varan des savanes n'est pas au sommet de la chaîne alimentaire. En effet, ses principaux ennemis sont les serpents, mais aussi les oiseaux. Son principal moyen de défense est le camouflage, qui lui permet de se dissimuler aux yeux des prédateurs. Lorsqu'il est en danger, le varan peut également faire le mort ou attaquer à coups de griffures et de morsures, particulièrement douloureuses. Attention, certaines images de la vidéo peuvent être impressionnantes. Source
  10. Espoir de régénération des ressources La création de l'aire marine protégée de Joal-Fadiouth remonte en novembre 2004, à la suite d'une démarche inclusive et participative. Des espoirs nourris sur la protection et le suivi des tortues marines et spécifiquement de la tortue verte (de son nom scientifique Chelona mydas) sont placés dans la régénération de la ressource et de la biodiversité. La place de la tortue verte est révélatrice d’un écosystème particulier, les herbiers marins drainant une faune marine riche et diversifiée favorisant le foisonnement du poisson. La restauration de la mangrove est la troisième activité phare de l’Amp(Aire marine protégée). Selon le Capitaine Mamadou Dia, conservateur de l’aire marine protégée de Joal-Fadiouth, des activités menées en relation avec les populations locales sous la direction des techniciens et experts permettent une lecture de l’engagement des uns et des autres au cours de la période hivernale. La protection de la tortue verte est au centre des préoccupations, au regard de la volonté exprimée à travers des campagnes de sensibilisation des habitants de l’Ile de Fadiouth, consommateurs de cette espèce menacée. La tortue verte est consommée pour des considérations traditionnelles louant ses vertus thérapeutiques. Des agents de l’Amp(Aire marine protégée) et des volontaires font des efforts quotidiens dans le but de collecter des informations comme les remontées sur les errances de l’animal et ses nids de ponte. Ces lieux, une fois répertoriés, sont protégés par des grillages posés pour un suivi correct des stades biologiques liés à la reproduction et l’évolution des tortues vertes. La protection des œufs de tortues des prédateurs, varans et chiens, jusqu’à maturation et éclosion, est sous la surveillance stricte des agents et volontaires de l’amp, qui viennent libérer les bébés tortues pour les lâcher en mer à l’aube, dès les premiers constats d’éclosions. L’opération, à en croire le conservateur de l’amp, permet de multiplier les chances de survie des bébés tortues en réduisant fortement la pression des prédateurs qui les guettent sur le chemin menant vers la mer. Potentialités et patrimoine L’aire marine protégée, selon une note de présentation, a été créée en novembre 2004 en même temps que cinq autres. Elle couvre une superficie de 174 km?. Sa création intervient au lendemain du 5ième Congrès mondial des Parcs nationaux tenu en 2003 à Durban, en Afrique du Sud. Quant à sa genèse, de fortes recommandations ont poussé les États à protéger au moins 5% de leurs espaces littoraux et marins. Le Sénégal s’est engagé dès lors dans une politique de renforcement du régime de gestion intégrée des zones marines et côtières en définissant un Plan national d’actions, tout en prenant des options stratégiques à caractère spécifique pour la conservation de la biodiversité dans les écosystèmes marins et côtiers. A savoir l’atténuation de la surexploitation de la biodiversité marine et côtière, suite à une augmentation de l’effort de pêche et l’utilisation d’engins de pêche destructifs. Ceci a eu longtemps comme conséquence une baisse de la productivité des ressources halieutiques et une dégradation des habitats. La protection des espèces et des habitats vulnérables (biodiversité et écosystème, stades biologiques fragiles (lieux de ponte et d’alevinage)), l’amélioration de la pêche sur la petite côte et les retombées socio économiques pour les communautés locales figurent parmi les attentes escomptées au niveau de l’amp. L’aire marine protégée de Joal-Fadiouth dispose de ressources biologiques d’importance nationale et internationale. Concernant la flore, on retrouve une quarantaine d’espèces particulièrement les herbiers marins et les algues. La mangrove s’identifie à travers deux essences, le rhizophora et l’Avicennia. L’avifaune compte soixante dix oiseaux d’eau dont vingt et une totalement protégées. Les mammifères marins répertoriés sont la baleine, le lamantin et les dauphins. Les invertébrés décomptés restent des mollusques et des crustacés. Un reptile marin, la tortue verte, polarise l’attention. Les poissons les plus présents au niveau de l’aire marine protégée de Joal-Fadiouth sont les pélagiques, à la surface de l’eau, et les démersaux. L’amp de Joal-Fadiouth est aussi un cadre d’illustration d’un riche patrimoine historique et culturel : amas coquillier, site archéologique, célébration du culte des pangols au niveau de dizaines de sanctuaires et lieux de culte comme Baram, Koor o baal, Fassanda. Les greniers sur pilotis restent une attraction touristique au niveau de l’île aux coquillages. D’importantes manifestations culturelles, danses, chants et séances de lutte ont fini de donner à ces lieux un timbre identitaire sérère. Elle connaît toutefois des difficultés liées au bruit des moteurs des embarcations voguant vers le port de Joal. L’érosion côtière et l’urbanisation restent des menaces sérieuses pour l’amp. Source
  11. Argentan. Le serpent du trottoir était… une couleuvre ! Le serpent aperçu sur le boulevard Carnot la semaine dernière était en fait une couleuvre. Capturé par les pompiers, le reptile a été examiné par des fonctionnaires de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS). « Il s’agit d’une couleuvre à collier, un petit adulte de 50 cm, une espèce locale, inoffensive et protégée », indique Franck Robin le chef du service départemental de l’ONCFS. Le serpent a été relâché dans son milieu naturel. Source
  12. Le lézard Pinocchio repointe son nez après avoir disparu pendant 50 ans Éteint ? Pas tout à fait ! Un petit lézard au nez pointu, soi-disant disparu depuis 50 ans, vient d'être redécouvert dans les forêts tropicales de l'Équateur. Après trois ans de recherches, des scientifiques ont enfin réussi à lui mettre la main dessus. Non, l'Homme n'a pas fait revivre une espèce disparue. Le lézard, anolis plus précisément, Pinocchio, de la famille des sauriens, vient tout juste d'être aperçu par une équipe de photographes et de scientifiques. Après trois ans de recherches, le petit lézard au nez allongé a enfin été repéré dans la forêt vierge de l'Équateur, au nord-ouest du pays, explique Alejandro Arteaga, leader des recherches et co-fondateur de la société d'éco-tourisme Tropical Herping. Une redécouverte L'anolis Pinocchio, nommé d'après le nez d'un petit pantin en bois bien connu qui voulait devenir un vrai petit garçon, a été observé pour la première fois en 1953. Néanmoins, entre les années 1960 et 2005, personne ne l'avait jamais revu. En 2005, un ornithologue a annoncé avoir rapidement croisé son chemin dans la même forêt équatorienne. Mais le lézard s'est fait plus que discret durant toutes ces années, il n'a été aperçu que trois fois depuis sa découverte. C'est pourquoi après 50 ans sans observation, les chercheurs pensaient qu'il avait disparu mais ce n'était semble t-il pas le cas. Traditionnellement, les scientifiques partent à la recherche des lézards la nuit. En effet, à ce moment-là, leurs couleurs, utilisées pour le camouflage, s'atténuent et ils sont moins enclins à détaler au moindre bruit suspect, précise LiveScience. Le premier mâle anolis Pinocchio a été aperçu en janvier dernier remontant le long d'une branche. L'équipe de chercheurs a alors attendu toute la nuit qu'il repointe le bout de son nez pour le photographier. "Après l'avoir cherché pendant si longtemps, c'était très excitant de trouver cet étrange animal", s'enthousiasme Alejandro Arteaga. Un long nez pour séduire ces dames C'est un véritable sentiment de victoire pour le chercheur et ses collègues qui traquaient le petit animal depuis des années. Leur objectif ? Pouvoir enfin compléter leur livre "Les Amphibiens et les Reptiles de Mindo", un recueil sur la région rurale de Mindo, à deux heures de trajet de Quito, la capitale de l'Équateur. La particularité, facilement repérable, de l'anolis Pinocchio reste son appendice nasal. Présent uniquement chez les mâles, il est probable qu'il n'ait pas d'autre fonction que de démontrer les bons gènes d'un mâle à la femelle. Selon les premières études, le nez allongé du lézard permet aux femelles de déterminer s'il est en bonne santé et capable d'engendrer des petits aptes. Une espèce menacée D'abord découvert, puis porté disparu, puis de nouveau observé, l'anolis Pinocchio est une espèce en danger. En effet, selon l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature, le lézard n'a, jusqu'à ce jour, été observé que dans quatre régions, le plus souvent le long d'un chemin. C'est ainsi l'un des lézards les moins représentés au monde. Source
  13. Deux nouvelles espèces d’araignées nocturnes découvertes en Uruguay Décrites dans la revue ZooKeys, deux nouvelles espèces d’araignées ont été découvertes par des chercheurs uruguayens sur les zones côtières sableuses de leur pays. Chaco castanea et Chaco costai, tels sont les noms scientifiques donnés à ces deux nouvelles espèces d’araignées découvertes en Uruguay. Les deux animaux partagent d’ailleurs leurs principales caractéristiques. De taille moyenne, avec un corps de 1 à 2 cm, ces membres de la famille des Nemesiidae ont le corps allongé et des pattes robustes. Leur couleur est à prédominance noire-brunâtre. Elles vivent notamment dans les sols sableux des zones côtières océaniques et fluviales de l'Uruguay, où poussent des psammophytes (plantes de sable). Elles y creusent un terrier qu’elles tapissent de leur soie et qu’elles ferment en construisant une sorte de porte qui les rend particulièrement difficiles à trouver. "En raison d'un certain nombre de caractéristiques liées à leur cycle de vie, ces araignées sont difficiles à collecter et par conséquent, on en sait peu sur leur biologie", explique Laura Montes de Oca, de l’Institut de recherches biologiques Clemente Estable (Montevideo, Uruguay). Des araignées nocturnes "Les observations dans des conditions naturelles nous permettent de savoir qu’elles sont surtout actives pendant la nuit. Cette connaissance est la clé pour trouver ces araignées afin de les étudier, tant sur le terrain qu’en laboratoire. En restant dans leur terrier la plus grande partie de leur vie, ces animaux sont vulnérables aux perturbations de l'habitat. En Uruguay, la végétation de psammophytes est en déclin critique, il est donc très important d'étudier et de conserver ces espèces", précise la chercheuse. Des expériences en laboratoire ont révélé quelques aspects de la vie secrète de ces arachnides. Ainsi, Chaco costai a été observée en train de chasser : levant, avec ses pattes antérieures, le clapet de son terrier, où elle est embusquée, elle saisit la proie qui passe à proximité et regagne rapidement son trou. Enfin, mâles et femelles vivent séparément et sortent de leur refuge respectif pour se rencontrer et copuler, mais regagnent bien vite leur logis ensuite. (crédits photo : Laura Montes De Oca) Source
  14. De nouvelles espèces étonnantes découvertes au Surinam Une expédition scientifique menée par des chercheurs de l’organisation Conservation International au Surinam a conduit à la découverte de 60 nouvelles espèces. Une minuscule grenouille cacao arborant des teintes chocolat ou encore un scarabée lilliputien… Ces drôles de spécimens font partie des 60 nouvelles espèces mises au jour lors d’une expédition scientifique au Surinam, au nord de l’Amérique du Sud. L’initiative, appuyée par l’organisation Conservation International s’est déroulée sur trois semaines en 2012. Au cours de leurs études de terrains, les chercheurs ont arpenté en bateau et à pied les rivières, montagnes et forêts tropicales qui parsèment la région du Sud-Est. La zone est encore une des rares de la planète à être pratiquement vierge de tout impact lié à l’homme de par sa difficulté d’accès. Un rapport récemment dévoilé fait part d’une soixantaine de nouvelles espèces dont onze poissons, un serpent, six grenouilles et un nombre impressionnant d’insectes. Pour les chercheurs, le nombre de batraciens est assez inédit. "Sachant que de nombreuses espèces de grenouilles disparaissent rapidement dans le monde entier, nous avons été surpris et ravis de découvrir autant de spécimens potentiellement nouveaux pour la science" explique au Guardian Trond Larsen, un des membres de l’équipe. Un tout petit bousier Parmi les amphibiens recensés se distingue la grenouille cacao (Hyla sp), dont le sobriquet renvoie à la couleur caractéristique de son corps. L’animal vit dans les arbres et est capable de grimper grâce à la forme singulière ronde et plate du bout de ses doigts. Chez les insectes, la vedette est un tout petit bousier couleur rubis (Canthidium cf minimum). Avec ses 3 millimètres de long, le coléoptère est à ce jour le deuxième plus petit bousier répertorié en Amérique du Sud. (Crédit photo : Tron Larsen/Stuart V Nielsen/Conservation International) Source
  15. Un iguane géant en liberté à Laeken BRUXELLES Cet animal, qui frappe avec sa queue, mesurait plus d'un mètre trente... Gros émoi lundi en fin d'après-midi a Laeken avec la découverte impressionnante d'un iguane géant en liberté. Imaginez la surprise des habitants de cette maison de la chaussée Romaine : l'animal, un spécimen long d'un mètre trente, se trouvait dans leur jardin, acrobatiquement perche dans un bouleau d’où il n'entendait plus descendre. Pour l'en déloger, les riverains qui n’étaient pas très rassurés, ont du faire appel aux pompiers et ces derniers ont demande l'intervention d'un spécialiste de la Ligue Royale belge pour le Protection des Oiseaux. "C'est un animal qui frappe avec sa queue" explique Dominique Hoste, "Mais la, il n’était pas du tout agressif". Une enquête est ouverte pour identifier le propriétaire de ce grand lézard que l'on ne trouve en principe en liberté qu'en Amérique du Sud et en Amérique latine, pas a Laeken. "Soit il a pu s’échapper tout seul d'un terrarium. Soit son propriétaire est tout simplement venu l'abandonner. Dans les deux cas, s'il se manifeste, il recevra deux factures : celle de l'intervention des pompiers et celle de la LRBPO. A défaut, l'iguane sera confie dans 15 jours a un parc animalier, peut être a Pairi Daiza". Pour l'instant, l'iguane de Laeken n'a pas recu de nom. Il a été capturé au filet et a rejoint vers 19 h le centre LRBPO de la rue de Veeweyde a Anderlecht. ipt>kitd.html5loader("flash_kplayer_5d57ba75ffas","http://api.kewego.com/video/getHTML5Thumbnail/?playerKey=7f379495096e&sig=5d57ba75ffas");ipt> Source
  16. Prévenir en encadrant la profession Pour exercer son métier et être membre de la corporation québécoise des zoothérapeutes du Québec, Nadine Mailloux a dû suivre préalablement une formation, pour bien encadrer sa pratique. Malheureusement, elle estime qu’encore aujourd’hui, n’importe qui peut s’improviser zoothérapeute et cela représente de grands risques. Par le biais de sa profession, Mme Mailloux, comme d’autres zoothérapeutes, est amenée à visiter des garderies et écoles pour faire de la prévention auprès des enfants. «On a un programme, via la corporation, avec des pictogrammes, pour éduquer les enfants. On leur apprend à ne pas approcher un animal de façon spontanée ou encore les signaux d’alarme avant une morsure», explique-t-elle. La maman de deux jeunes enfants déplore le fait que souvent les gens qui demandent se genre d’intervention ne prennent pas le temps de demander des références avant d’octroyer un contrat. «Notre corporation nous permet d’être assurés et aussi, elle vérifie que les animaux sont en bonne santé. Un client a le droit de demander les carnets de santé des animaux pour s’assurer qu’ils sont vaccinés et en santé. Aussi, il y a des règles d’hygiène à bien respecter. C’est important que ce soit encadré pour limiter les risques d’allergie ou de morsure accidentelle, par exemple». Animation et zoothérapie Selon Mme Mailloux, le public a encore de la difficulté à distinguer de l’animation avec des animaux et la zoothérapie. «Nous sommes très en retard au Québec et encore plus ici, en région. Les gens doivent savoir que la vraie zoothérapie est une pratique bien encadrée, nous sommes loin de juste manipuler les animaux. Il faut atteindre des objectifs ciblés», indique-t-elle. À son avis, pour bien connaître la profession, il faut préalablement suivre une formation reconnue, dispensée dans des cégeps, à distance ou encore à Montréal, à l’École internationale de zoothérapie. En terminant, elle y va d’une mise en garde: «Il ne faut pas oublier que ce sont des animaux. Il faut bien les connaître et toujours y aller avec prudence». Source
  17. Prasinohaema, un mystérieux lézard vert de la tête au sang Le lézard Prasinohaema, vivant sur une île de Nouvelle-Guinée, a visiblement une couleur préférée : le vert. Son sang, ses os et l'ensemble de ses tissus sont verts. Une coloration étrange dont les scientifiques tentent de découvrir l'origine. Les roses sont rouges, les violettes sont bleues… mais ces lézards sont bien verts, de la tête au pied et jusqu'au sang ! Leur nom ? Prasinohaema. Décrits pour la première fois dans un article de la revue Science, ces sauriens ont tout de suite intéressé Christopher Austin, biologiste à l'Université de Louisiane. "J'ai immédiatement été captivé. J'ai également remarqué que personne n'avait vraiment étudié ces lézards pour comprendre l'origine de ce sang vert", affirme-t-il au National Geographic. C'est pour cette raison que le chercheur a décidé de mener une vaste étude sur les reptiles de ce genre lors de son doctorat à l'Université du Texas. Pourquoi du sang vert ? Les lézards Prasinohaema vivent principalement sur l'une des îles de la Papouasie-Nouvelle Guinée, qui se trouve être également un endroit à la biodiversité particulièrement dense. Mais il existe plusieurs espèces du même genre Prasinohaema (du grec prasinos "vert" et haima le "sang"). Au début de son étude, Christopher Austin s'est aperçu que l'animal possédait "une très forte concentration du pigment biliaire, la biliverdine". Chez de nombreuses espèces, dont l'être humain, l'oxygène est transporté par l'hémoglobine, ce qui donne au sang sa couleur rouge. Lorsque l'hémoglobine s'affaiblit, elle est amenée jusqu'au foie où elle est dégradée en plusieurs molécules dont fait partie la biliverdine. Comme son nom le laisse suggérer, cette molécule possède une teinte verte. Elle est responsable de l'aspect verdâtre que peut prendre une ecchymose. Normalement, la majeure partie de la biliverdine est dégradée en bilirubine (de couleur jaune) qui va ensuite passée dans le plasma avant de rejoindre le foie. Elle va alors subir des réactions supplémentaires avant d'être éliminée dans l'urine grâce aux reins et dans les fécès grâce à la flore intestinale. Toutefois, il semblerait que chez les lézards, seule une partie de la biliverdine soit dégradée. Subsistent ainsi de grandes quantités de cette substance qui vont donner à l'organisme du lézard cette singulière couleur verte. Mais le vert n'est pas limité au sang. "Le sang est vert, les os sont verts, les tissus sont verts, même la langue est verte !", détaille Christopher Austin. Un caractère qui n'est partagé par aucun autre vertébré. Une couleur toujours mystérieuse Selon le scientifique, ce qui est le plus étonnant c'est que la biliverdine est toxique. Pour l'être humain, une seule trace de biliverdine ou de bilirubine (sous forme "libre") dans le sang entraîne une coloration jaunâtre de la peau. En temps normal, la jaunisse est une maladie qui ne se déclare que chez les personnes atteintes de troubles du foie ou les nouveaux-nés. En effet, à la naissance, le foie des bébés ne sait pas encore comment transformer l'hémoglobine. Un excès de l'un des deux pigments biliaires dans le sang peut, en revanche, être mortel. "C'est vraiment surprenant, parce qu'avec de tels taux de pigments biliaires dans le sang, les lézards devraient être complètement jaunes, voire morts", s'étonne le chercheur. Il explique, selon lui, que les lézards ont subi une mutation qui leur a permis de supporter la biliverdine, probablement afin de se protéger des parasites de type Plasmodium. Ces derniers sont connus pour causer la malaria, non seulement chez les humains mais également chez les oiseaux et les reptiles. Christopher Austin estime ainsi que la présence de biliverdine, à la place de l'hémoglobine, rend plus difficile l'infection par les parasites. Cependant, cela reste une hypothèse qui doit encore être vérifiée. Actuellement, le scientifique tente de séquencer le génome du Prasinohaema. L'objectif sera ensuite de le comparer avec celui d'autres lézards possédant un sang rouge. Il devrait ainsi pouvoir identifier les différences génétiques, et vérifier la résistance du lézard au parasite de la malaria. (Crédits photo : Christopher Austin / Louisiana State University Museum of Natural Science) Source
  18. Toujours avec un gecko en poche ! Depuis dix ans, Alain Machacek se balade avec un ou deux geckos en poche ou dans une pochette suspendue au cou. Par plaisir d’apprendre. Je sais que je suis pris pour un original ! Mais ce qu'il me plaît, c'est de retenir l'attention et d'expliquer qu'il n'y pas à avoir peur de ses petites bêtes ! Quand le courant passe, je vais plus loin pour rappeler qu'un animal, quel qu'il soit, n'est pas un objet et demande temps et attention. Une façon de rappeler les uns et les autres à leurs responsabilités avant de décider d'avoir un animal. Qu'il s'agisse d'un hamster, d'un chien ou d'un gecko, c'est pareil. Depuis dix ans, Léo et Léa sont partout avec Alain Machacek, qui voue à ce reptile un vrai intérêt. « Et pourquoi je n'aurai pas un reptile pour animal de compagnie toujours propre, silencieux et inoffensif ? » Ce mécanicien auto retraité à Vendôme fait aujourd'hui partie de ces inconditionnels des NAC, nouveaux animaux de compagnie. Un amoureux toujours prêt à montrer l'objet de sa passion. Il suffit d'un geste au fond de la poche et voilà l'animal qui, mis en confiance, sort sa tête et se met à crapahuter sur le revers de la veste. Direction l'épaule pour se jucher bien en hauteur à observer les environs « Juste pour le plaisir. Il sait bien que ce n'est pas l'heure du dîner », explique son maître. « Deux à trois grillons achetés en animalerie par jour et ça lui suffit ! » " Des compagnons sympas et même des antistress " Et Alain de le caresser, avant de le reprendre délicatement direction le petit sac en tissu. « J'ai d'abord acheté en animalerie deux geckos anolis mais qui étaient un peu fous dans leur vivarium. Du coup, j'ai préféré prendre des geckos léopards. qui, dans la nature se trouvent sur les contreforts de l'Himalaya où ils supportent des températures très basses. Ils restent cachés sous les écorces d'arbre, dans les cavités des rochers et ne partent à la chasse aux insectes qu'à la nuit tombée… » Loin de militer pour les NAC, le sexagénaire invite simplement à la curiosité, rappelant que ne faisant pas d'élevage, la législation n'impose aucune déclaration. « Avec Léo et Léa, nous montrons que ces reptiles qui mesurent près de vingt centimètres queue comprise, qui pèsent autour de 75 à 100 grammes, peuvent être des compagnons sympas et même des antistress. Il faut bien connaître leurs habitudes, les respecter et leur accorder du temps pour les nourrir à heures régulières, changer leur vivarium, être attentifs aux transformations de leur corps comme la mue mensuelle ou encore la ponte des œufs qui, tous les mois, fait jeûner Léa pendant trois jours. C'est tout ça que j'explique aux petits dans les écoles qui m'invitent, ou aux plus grands curieux de comprendre l'intérêt de celui qui est devenu à Vendôme Monsieur Léo. » Et toujours prêt à caresser la poche extérieure légèrement renflée de la chemise ou de la veste. Édith Van Cutsem Source
  19. Une jeune tortue imbriquée relâchée par Jean Michel Cousteau Mardi une jeune tortue imbriquée a retrouvé le large après plus de 5 mois de soins à la clinique des tortues marines de Moorea gérée par l’association te mana o te moana. Le 5 avril dernier un groupe de jeunes surfeurs du CETAD d’Afareaitu avait trouvé cette tortue sur le récif de Maatea, à Moorea. Affaiblie, flottant sans énergie, ils ont ramené la tortue sur la plage et ont aussitôt appelé la clinique spécialisée située au sein de l’hôtel Intercontinental de Moorea. Utia, Tehira, Temauri, Honoriki, Tekurio et Rainui avaient eu la chance il y a quelques années de participer aux programmes pédagogiques Honu Here dispensés par te mana o te moana depuis 2004 et qui visent à éduquer et sensibiliser à la biologie des tortues marines et leur protection. Encadrés de leur enseignant, Ronald Darphin du CETAD, ils ont suivi l’évolution de cette jeune tortue, blessée par fusil harpon dans le cou. C’est une juvénile de 40 cm de long pour moins de 5 kilos…dans quel but a t ‘elle été fléchée ??? Consommation de sa chair pourtant réputée toxique ou simple amusement ??? Après 5 mois de soins elle était prête hier pour retrouver le large….entourée de Soai, jeune vétérinaire en stage à la clinique et Lara, bénévole depuis quelques semaines auprès des pensionnaires de la clinique. Jean Michel Cousteau soutient depuis sa création l’association te mana o te moana, et a tenu a féliciter ces jeunes lors de la remise à l’eau de Sammy, ainsi que le Capitaine du Navire Paul Gauguin qui avait mis tout spécialement pour l’occasion des bateaux à disposition. La jeune Sammy qui a eu l’honneur d’être relâchée par un parrain aussi prestigieux que Jean Michel Cousteau a nagé directement vers le récif en profondeur au large de la Baie de Cook. C’est la 131 ieme relâchées par la clinique après guérison complète !!! Les tortues marines sont protégées en Polynésie française et la tortue imbriquée fait partie des espèces les plus menacées dans le monde… Une équipe de tournage de France 2 était présente pour l’occasion et a pu recueillir le témoignage de Jean–Michel, toujours très clair sur la nécessité de continuer et soutenir de telle actions concrètes, mais aussi des programmes pédagogiques comme ceux mis en place par l’association te mana o te moana ou par sa fondation Ocean Futures Society. Le commandant du bateau de croisière Paul Gauguin, Toni, présent à Moorea a pu témoigner de l’importance pour sa clientèle internationale de pouvoir suivre des cycles de conférences proposées à bord par des naturalistes et des scientifiques sur la préservation de notre planète, et notamment sur les tortues marines par l’association te mana o te moana. Source
  20. Max|mum-leterrarium

    gecko tangerine

    Le gecko tantgerine est une phase du gecko léopard. J'ai mis en ligne il y a une semaine ou deux une fiche sur le gecko léopard dans la section fiche sur les lézards.
  21. Togo : L’histoire du serpent géant; les démentis de la propriétaire de l’hôtel Il y a quelques semaines, la photo d’un serpent géant avalant une femme nue, avait fait le tour de Lomé et ses environs. Selon les informations, les faits se seraient produits dans la chambre de l’hôtel Bijou, situé à Adakpamé, un quartier de la banlieue de Lomé. Suite à une plainte de la propriétaire de l’hôtel, les investigations de la gendarmerie, ont permis d’identifier, un jeune homme, kovi Amèvi, demeurant à Attiégou Togo 2000, l’un des photographes a l’origine de la distribution de l’image dans la ville de Lomé. L’homme dément être l’auteur de la photo et avance qu’il en connait pas la source. « Les gens avaient commencé à parler de la photo un peu partout à travers la ville ; ceux qui savaient que je suis photographe m’en faisaient la demande. Un jour alors que je m’étais présenté au laboratoire pour développer mes photos, j’ai surpris des collègues photographes avec plusieurs copies de la photo du serpent et de la femme ; j’en ai alors demandé une dizaine pour la vente ». Le laboratoire en question s’appelle « Photo shop », situé à Dékon. Le laboratoire en question est détenu par une femme, a précisé Kovi Amèvi. A la question de savoir ou les faits se sont produits, Kovi Amèvi qu’il n’en a aucune idée mais tient à préciser : « Ce n’est pas a Adakpamé encore moins à l’hôtel Bijou ». L’image, a- t- il ajouté n’est qu’un montage destiné à créer de la sensation. De son coté, Mme Akoesso Djifa Bijou, propriétaire de l’hôtel Bijou ; tient à démentir formellement les rumeurs selon lesquelles les faits se seraient produits dans son hôtel en affirmant, « Aucun serpent géant n’a avalé aucune femme dans mon hôtel. Il s’agit d’un montage grotesque orchestré par des individus malintentionnés dans le seul but de me nuire. D’ailleurs ils ne sont pas à leur premier coup car ils l’ont déjà fait par le passé et ceci a plusieurs reprises. Par ces infamies, ils ont réussi à faire fuir tous les clients. Si tout ce dont ils m’accusent était vrai, il y aura longtemps que je serai dans les mains de la police. ». « Qu’ai-je donc fait pour subir tout cela ? » s’exclame t- elle en larmes. Ceux qui distribuent ou achètent l’image sont prévenus : une plainte est déposée à la gendarmerie. Désormais toutes personnes surprise avec cette photo devant répondre devant la loi. Cette mesure est prise par les différents chefs des quartiers d’Adakpamé qui s’insurgent contre cette rumeur malveillante qui nuisent à l’intégrité dudit quartier. « Nous sommes confrontés aux problèmes d’inondations en temps de pluie et si les gens vont inventer des choses pour le seul but salir notre image, nous n’allons pas l’accepter » a précisé Togbui Dagban, chef d’Adakpamé Apéyémé. Source
  22. Kevin Séraphin a perdu son… serpent de compagnie On en apprend de belles au Media Day ! Hier Kevin Séraphin (pas vraiment craintif même des plus gros spécimens) a confessé qu’il n’avait plus son serpent Snakey. La raison ? Un beau matin, il n’était tout simplement plus dans sa cage. Depuis, le joueur est passé aux chiens (american bulldogs). Je ne l’ai pas perdu il s’est échappé. Heureusement pour les habitants de Washington D.C., la bête est inoffensive ! Source
  23. Hannut : dans le décor à cause d’une araignée HANNUT - Surpris par la présence d’une araignée, un automobiliste a perdu le contrôle de sa voiture. C’est ce qu’on pourrait qualifier «un bête accident». Samedi vers 16h20, un habitant de Vresse-sur-Semois circulait sur la route de Wavre à Thisnes. Alors qu’il allait aborder une chicane, il a vu une araignée descendre du toit de sa voiture, à l’intérieur de l’habitacle. Le conducteur, probablement arachnophobe, a eu peur et a alors donné un brusque coup de volant à gauche. C’était un mauvais réflexe car la voiture a alors foncé tout droit dans le dispositif ralentisseur. L’automobiliste n’a pas été blessé mais sa voiture, de même que la chicane, ont subi de lourds dégâts. On ignore l’état de l’araignée. Source
  24. Un boa retrouvé à Compiègne Ce lundi 30 septembre, un riverain du quartier de la Victoire à Compiègne a fait une drôle de découverte dans un buisson : un boa constrictor d'une quarantaine de centimètres était niché face au 1, square Maréchal-Lyautey. Les pompiers sont intervenus et ont capturé l'animal, qui n'a fait aucun blessé. Nul ne sait comment cet animal, qui fait partie des Nouveaux animaux de compagnie (NAC), est arrivé là. Ce boa peut atteindre en vieillissant trois mètres de long. Il ne fait pas partie des serpents venimeux, mais il peut tout de même être dangereux : lorsqu'il serre une proie, il peut exercer sur celle-ci une très grande force. Source
  25. Un crocodile tue un enfant de 10 ans au Mexique AMÉRIQUES Un enfant de dix ans est mort des suites de blessures provoquées par un crocodile long de 4 mètres, sur la rive d'une rivière de l'Etat de Oaxaca, au sud du Mexique, selon les autorités lundi. Drame au Mexique avec la mort d'un enfant, grièvement blessé par un crocodile . L'attaque est intervenue dans la municipalité de Santiago Pinotepa Nacional, alors que l'enfant, accompagné de son frère de 13 ans, se trouvait près des rives d'une rivière en crue, à la suite des fortes pluies intervenues ces dernières semaines au Mexique, a indiqué l'administration de protection de l'Environnement, sur son site. Le reptile "l'a saisi par la tête, le traînant sur plusieurs mètres, pour le relâcher quelques secondes après, avant de disparaître dans les hautes herbes; c'est l'action des machoires qui a causé la mort du mineur", a indiqué l'organisme. L'animal a été capturé dimanche. Au moins 28 crocodiles ont été capturés dans plusieurs Etats du Mexique après les intempéries provoquées mi-septembre par les cyclones Ingrid et Manuel qui ont touché simultanément les côtes est et ouest du Mexique, provoquant inondations et glissements de terrain. La combinaison inhabituelle de ces deux phénomènes a fait au moins 147 morts et des dizaines de disparus, endommageant plus d'un million et demi d'habitations et quelques 70 routes, selon le dernier bilan officiel. Source
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