Max|mum-leterrarium

Il transforme sa maison pour vivre avec son caïman Chris Keller, un sexagénaire britannique, ne voulait pas de chien, ni de chat. Alors, il a choisi un crocodile comme animal de compagnie. Les chiens et les chats paraissent bien banals à côté de l'animal de compagnie qu'a adopté Chris Keller, un Britannique de 66 ans. Depuis six ans, ce sexagénaire vit dans sa petite maison du Kent en Angleterre avec César... un caïman d'1m70. Pour accueillir l'imposant crocodile, Chris Keller a dû modifier sa maison de fond en comble : bassin de nage, ponton en bois, immense chatière, palmier pour la décoration… Petit à petit, le pavillon s'est transformé en une véritable serre tropicale. Et ces changements ont un coût : pour que César se sente le plus à l'aise possible, son propriétaire n'a pas hésité à dépenser près de 30.000 euros. Une somme pour cet ancien surveillant de prison à la retraite. Prochain projet : acquérir une compagne pour son comparse Mais il y a plus. Pour éviter que César ne prenne la poudre d'escampette et n'aille effrayer le voisinage, Chris Keller a mis en place un système de sécurité très sophistiqué : pas moins de trois portes séparent l'animal de l'extérieur. Mais, à l'intérieur, c'est lui le roi. Le caïman dispose d'un libre accès à la salle de bains et à la cuisine où son propriétaire lui mijote des petits plats à base de saumon et de steaks. Un environnement qui, malgré les efforts de Chris Keller, est bien éloigné de celui dans lequel évolue ses congénères. Mais, selon les dires du propriétaire, ce n'est pas un problème car le caïman "n'aime rien de plus que regarder la télévision et écouter la radio avec [lui]". Mais il manque bien quelque chose à César : une compagne... que Chris Keller envisage d'acquérir. Source

Naissance des couleuvres rayées Eh oui… aussi incroyable que cela puisse paraître, il faut bien qu’elles naissent, ces petites bêtes-là! Et devinez quel est le meilleur moment pour voir un bébé couleuvre? Bingo! Vous avez bien deviné. Août et septembre sont les mois des naissances, non pas juste des couleuvres, mais des tortues aussi. Il est vraiment incroyable de constater à quel point des millions de petites créatures sans pattes vont voir le jour bientôt et peupleront les milieux naturels de la région. Sur les huit espèces de couleuvres qui habitent le Québec, au moins quatre d’entre elles se retrouvent dans le Haut-Richelieu, soit la couleuvre à ventre rouge, la couleuvre tachetée, la couleuvre à collier et la très abondante couleuvre rayée. Que vous en ayez peur ou non, les couleuvres font partie intégrante des innombrables formes de vie sur Terre et ont une très grande importance dans les écosystèmes naturels... sachons donc vivre en leur présence! Une année chez les couleuvres Vous êtes-vous déjà demandé ce qui se passe dans la vie d’une couleuvre au cours d’une année? Avec mon paragraphe d’introduction, vous avez donc appris que les femelles, chez les espèces ovovivipares, donnent naissance à leurs petits à l’automne. Les espèces ovipares auront donc pondu leurs œufs au début de l’été et ce sont les rayons du soleil qui réchaufferont ces mêmes œufs pour leur éclosion à l’automne. Après s’être bien nourries jusqu'en octobre, les couleuvres iront retrouver leur site d’hibernation annuel qu'elles localiseront grâce à leur odorat. Cela peut être un terrier de marmotte, un amoncellement de pierres ou toute autre anfractuosité dans le sol ayant une assez grande profondeur pour se soustraire aux rigueurs de l’hiver. Il est donc très important de bien prendre soin de remettre les couleuvres gardées captives au même endroit de leur capture. Hibernation De novembre à avril, les couleuvres seront donc en hibernation jusqu’à ce que les rayons du soleil d’avril viennent les sortir de leur torpeur hivernale. Une à une, elles sortiront de leur cachette et les mâles partiront à la recherche d’une femelle. Des rassemblements de mâles peuvent être assez spectaculaires, car on peut facilement observer des dizaines et des dizaines d’individus dans un très petit espace. Après avoir repéré une femelle à l'odeur, les mâles se précipiteront sur celle-ci afin d'être le premier à l'accoupler, provoquant une véritable boule d'accouplement. Les perdants se chercheront une nouvelle partenaire durant tout le mois de mai. Pendant l'été, les couleuvres se nourriront puis mueront à quelques reprises selon les conditions environnementales ainsi que de la quantité et de la qualité des aliments ingérés. Espèces Les espèces ovipares du Québec (couleuvre verte, couleuvre tachetée et couleuvre à collier) pondront leurs œufs (trois à dix) en juin, laissant au soleil la tâche de les incuber. Tout n'est cependant pas rose dans la vie des couleuvres, car de très nombreuses menaces les guettent: prédateurs de toutes sortes, destruction de leur habitat, sans compter l'ignorance toujours présente chez les gens qui n'hésitent pas à les tuer de façon irréfléchie. Pour de plus amples renseignements sur le merveilleux monde des reptiles, je vous conseille fortement de vous procurer un des meilleurs livres en la matière, publié aux Éditions Michel Quintin et intitulé Amphibiens et reptiles du Québec et des Maritimes, de Jean-François Desroches et David Rodrigue… 2004! Observation Pour en apprendre davantage sur les oiseaux de proie et avoir réponse à vos nombreuses questions, le parc national du mont Saint-Bruno organise trois fins de semaine consacrées spécifiquement à l’observation de ces magnifiques oiseaux, soit les 31 août, 1er, 2, 7, 8, 14 et 15 septembre prochain, de 10 à 16 heures. Plusieurs spécimens naturalisés de rapaces nocturnes (chouettes, hiboux et nyctales) et diurnes (faucons, buses, balbuzards) seront en montre. Vous pourrez en plus bénéficier de l’expérience de garde-parcs naturalistes qui vous aideront à identifier les oiseaux en vol qui seront observés tout au long de ces journées. Voilà une façon agréable de se familiariser avec ces étonnants prédateurs. Seule la tarification d’accès au parc (6,50$/adulte, 3$/enfant) est exigée, à moins que vous ayez déjà votre carte parc annuelle! N’oubliez pas vos jumelles ! Source

La tortue Ariti se dirige vers Wallis-et-Futuna La tortue caouanne, Ariti, continue son périple marin. La présidence informe dans un communiqué que “la voyageuse tortue avait ces dernières semaines pris la direction de l’Ouest, ce qui l’avait conduit successivement aux îles Cook, à Niue, Tonga puis aux îles Fidji. Après un passage à l’Est de l’île de Vanua Levu, une zone de nourrissage bien connue des tortues caouannes, Ariti se déplace désormais vers le Nord-Nord Ouest de l’archipel fidjien. Elle a ainsi longé dernièrement Rotuma, la plus polynésienne des îles fidjiennes, et semble dorénavant se diriger vers Wallis-et-Futuna.” Relâchée le 24 mai dernier à Teahupoo, sur la presqu’île de Tahiti, cela fait 130 jours qu’Ariti a quitté les côtes de Tahiti. Elle a parcouru, durant cette période, 4 727 kilomètres dans l’Océan Pacifique. Source

Un serpent se faufile dans la cave d'un restaurateur En marchant dans la rue, mardi après-midi, une Argentanaise s’attendait plus à tomber sur une crotte de chien que sur ça… Sur le boulevard Carnot, son pied est passé tout près de la queue d’un serpent. « J’aurais pu lui marcher dessus et il aurait pu m’attaquer ! », souligne-t-elle encore apeurée. « L’animal se pavanait tranquillement mais en me voyant approcher, il s’est échappé ». Le reptile s’est glissé sous une plaque menant dans la cave d’un restaurateur. Aussitôt alertée, la police municipale s’est rendue sur les lieux. C’est finalement deux pompiers d’Argentan qui ont délogé l’animal. « Cela n’a pas été évident. Il s’était glissé sous les caisses de bouteilles. » Après une trentaine de minutes d’effort, le serpent a pu être capturé « grâce à une pince à détritus prêtée par la Municipalité », s’amusent les pompiers qui n’avaient jamais eu affaire à pareille situation. À l’heure de la capture, personne ne savait si l’animal était venimeux ou non. « C’est sûrement une couleuvre échappée d’un terrarium voisin », pensent les pompiers. Une chose est sûre, « il va être ausculté par le vétérinaire pour savoir si on peut le relâcher en forêt sans aucun risque ». Argentan, France Source

Wallonie picarde: formés pour maîtriser crocodiles et pythons… De plus en plus d’animaux exotiques sont saisis par nos policiers et pompiers. Or, ces derniers ne sont pas formés, à la base, à maîtriser ceux-ci, qui peuvent être très dangereux. C’est pourquoi il existe dorénavant une formation brevetée destinée à ceux qui peuvent être amenés un jour à capturer un python ou un crocodile. Cet apprentissage est hébergé par Pairi Daiza et il existe deux niveaux de formation. Nous avons assisté au second, le plus dangereux… « Il vaut mieux que ça se passe bien avec ce genre d’animal… ». Le ton est donné. Un serpent de type crotale (serpent à sonnette) vient d’être remis en cage, après avoir servi de cobaye aux policiers du jour qui se forment à la maîtrise des NAC (Nouveaux Animaux de Compagnie) à Pairi Daiza. L’exercice a été réussi, heureusement ! Nous en sommes en effet aujourd’hui au niveau 2 de la formation, et si au premier niveau, les formés avaient déjà eu face à eux des tortues agressives, des mygales et des reptiles, ils se frottent aujourd’hui à certains animaux à la réputation encore moins flatteuse. Voyez plutôt : python réticulé, téju (grand lézard carnassier) et même un crocodile du Nil ! C’est simple, il n’y a pas de niveau 3. Certes, il y avait bien un varan dans une cage à proximité, mais comme c’est une espèce assez rare, « on préfère ne pas le brusquer » expliquent les formateurs. Des formateurs sur la brèche ce lundi, car la manipulation de ce genre d’animaux ne laisse pas la place au moindre répit. Une mauvaise manœuvre et l’un des policiers présents pourrait y laisser des plumes. La mâchoire de ces bêtes est en effet assez acérée pour découper une main qui traîne… Tour à tour, c’est donc avec une bonne dose d’angoisse et d’appréhension (même chez les plus téméraires) que chaque policier, seul ou par équipe de deux, tente de maîtriser les animaux du jour, lâchés dans un espace assez restreint (un laboratoire situé dans le bateau « le Mersus Emergo » de Pairi Daiza). Pas question donc de prendre ses jambes à son cou. Et pour être dans la situation la plus réelle possible, les policiers ne disposent que d’un bout de tissu, d’une poubelle… et de la force de leurs poignets. Objectif, aveugler l’animal avec le tissu, le maîtriser au niveau de sa mâchoire, puis l’enfermer dans une poubelle (sauf pour le croco !). Mais entre la théorie et la pratique, il y a un fossé que les mâchoires ouvertes d’un serpent dressé ou d’un crocodile qui se débat en vous fixant de ses yeux à l’allure préhistorique ont de quoi rappeler à la prudence. Un des policiers rebroussera d’ailleurs chemin après avoir tenté une première fois de maîtriser le crocodile. De l’avis général, ce dernier aura d’ailleurs été le plus dur à maîtriser, avec le python réticulé. Au bout du compte, chaque policier aura néanmoins réussi son examen de passage en soumettant l’espace d’un instant – non sans quelques frayeurs et une lutte acharnée – ces spécimens qui ont tous… été saisis dans nos régions. Source

Canet-en-Roussillon : ils avaient un crocodile à la maison Les gendarmes de la brigade de Canet ont assuré, hier, une mission un peu particulière. Sur un renseignement, ils avaient appris qu'un résident détiendrait illégalement un animal protégé à son domicile. En l'occurrence un crocodile ! A 16 h 30, les militaires se sont rendus chez l'intéressé, âgé de 30 ans, où une drôle de surprise les attendait. Après inspections et vérifications, ils ont découvert à l'intérieur de l'habitation un aquarium n'abritant rien de moins qu'un caïman à lunettes. L'animal, âgé d'un an environ et mesurant un mètre de long, vivait là avec la famille, dont deux enfants. S'agissant d'une espèce menacée et a fortiori dangereuse, dont l'acquisition et la détention constituent un délit, le père de famille a fait l'objet d'une procédure et sera convoqué ultérieurement afin de répondre de ses actes devant la justice. Le concours des agents de l'ONCFS (office national de la chasse et de la faune sauvage) a été demandé pour récupérer le jeune saurien. Il a été capturé et emmené tandis que des démarches étaient lancées afin de lui trouver un lieu d'accueil pour sa préservation. Une histoire qui n'est pas sans rappeler l'incroyable 'affaire du croco de Canet', aperçu en 2007 près d'une buse sous une passerelle proche du magasin Casino de la colline des loisirs. Il avait alors donné lieu à une traque et à un engouement sans précédent avant de réussir à s'échapper. Et on le croyait mort jusqu'à ce que certains affirment avoir eu droit à une de ses apparitions au même endroit, 4 ans plus tard. Puis plus rien. Seuls des habitants sur les dents. Source

Maisons usinées P.E. Potvin sommée de cesser le drainage d’un marécage Pour une deuxième fois en moins de deux mois, le ministre du Développement durable, de l’Environnement, de la Faune et des Parcs a ordonné à l’entreprise Maisons usinées P.E. Potvin de Granby de cesser le drainage non autorisé d’un marécage du Domaine Potvin, à Shefford. Une situation que dénonce le promoteur, qui se dit victime de «harcèlement» de la part du gouvernement. Localisé à proximité de la rivière Yamaska, cet endroit constitue un habitat pour la tortue des bois, une espèce à statut vulnérable au Québec, et la tortue serpentine, une espèce à statut précaire. Le drainage a pour effet d’assécher le marécage, affectant du coup leur milieu de vie. Une première ordonnance avait été émise le 16 août, à la suite d’une plainte. Le MDDEFP avait sommé Maisons usinées P.E. Potvin de Granby de cesser le drainage effectué sans autorisation sur des terrains du Domaine Potvin. Ce qui avait été fait le 30 août. Des inspections ont été effectuées par le ministère les 6 et 17 septembre. Il a constaté que les fortes pluies reçues au début du mois de septembre avaient eu raison des bouchons d’argile compactée qui avaient été installés pour bloquer le drainage du marécage. «L’ordonnance du 30 septembre est un prolongement à la première demande. Sauf que là, il n’y a pas de délai. On demande à l’entrepreneur de cesser dès maintenant le drainage», a expliqué Daniel Messier, de la direction régionale du Centre de contrôle environnemental de l’Estrie et de la Montérégie du MDDEFP, à GranbyExpress.com. M. Messier a insisté sur l’importance des milieux humides sur l’environnement, et particulièrement celui qui se trouve dans le Domaine Potvin, à Shefford, puisqu’on y retrouve des espèces rares de tortues. Sur la rue Potvin, des pancartes jaunes annonçant leur présence (où l’on peut lire : Ralentissez ! Présence de tortues. Espèces protégées) ont d’ailleurs été installées. Si les travaux ne sont pas effectués, le MDDEFP s'en chargera et fera parvenir la facture à Maisons usinées P. E. Potvin. «On va prendre tous les moyens mis à notre disposition s’il le faut. On va voir la façon dont le propriétaire va réagir, et on verra si on ira plus loin», indique Daniel Messier. «C’est du harcèlement» «Je n’ai pas touché au marécage ! Et les histoires de tortues des bois, elles n’existent même plus», s’est défendu Paul-Émile Potvin, promoteur du développement domiciliaire Domaine Potvin, lorsque joint par GranbyExpress.com. «C’est du harcèlement ! Il n’y a rien de logique dans ce que le gouvernement me demande de faire. Chaque fois qu’ils viennent, ils trouvent de quoi. Ils ne me lâchent pas.» L’entrepreneur dénonce le fait que depuis 2008, la vente d’une vingtaine de ses terrains soit bloquée par le MDDEFP. «Ils m’empêchent de vendre, et ils empêchent la municipalité de me donner des permis», a-t-il dit. En ce qui concerne la récente ordonnance, M. Potvin affirme que les fossés étaient «déjà trop hauts» avant l’aménagement des bouchons d’argile, que les fortes pluies ont délayés. «Ils voulaient deux pieds plus haut, mais à l’heure actuelle, ils sont déjà trop hauts», a-t-il plaidé, insistant sur le fait que «l’eau, on ne peut pas l’arrêter !» Se disant «écoeuré», Paul-Émile Potvin a mis l’affaire dans les mains d’un avocat, question de «régler tout ça une fois pour toute». Source

Merci!

Idéalement c'est mieux de les séparer pour éviter du cannibalisme

Il finit sa course dans la gueule d’un alligator pour échapper a la police Le jeune homme de 20 ans aurait mieux fait de se rendre à la police au lieu de fuir et de se faire attaquer par un crocodile, selon le mirror.uk. Bryan Zuniga a été stoppé par la police après que des agents ont repéré sa voiture qui zigzaguait tôt jeudi matin. Mais ce dernier a sauté par la portière passager et a couru à travers champs. Il a ensuite escaladé une clôture et s’est échappé.Quelques heures plus tard, il a été retrouvé dans un hôpital local où il était traité pour de multiples blessures par morsure. Zuniga a raconté aux agents qu’il avait été attaqué par un alligator près d’une usine de traitement d’eau. Il a subi des blessures au visage, au bras et aux aisselles. Il a été inculpé de délit de fuite, conduite sans permis et résistance à un agent sans violence. Source

Ce sont des masses d'oeufs de 50 à 100 œufs

Bienvenue

La couleuvre hollandaise protégée par EELV. De nombreuses espèces de serpents sont en déclin. Parmi elles la couleuvre verte et jaune, la couleuvre à collier et la couleuvre d’Esculape. [1] Les observations ont montrées que dans les aires non protégées les populations sont en baisse. Les serpents ont besoin de proies en abondance or ces proies sont décimées par l’agriculture intensive. Mais il y a une espèce qui tire parfaitement son épingle du jeu. Il s’agit de la couleuvre hollandaise. Cette couleuvre a colonisée nos terres depuis à peine un an, mais elle prospère. Il faut dire qu’elle est aidée par une organisation écologique qui en friand. Les herpétologistes ont étudié cette nouvelle couleuvre et n’arrivent toujours pas à la classer tant elle a un comportement fuyant et une technique hors du commun du camouflage. Quelques remarques cependant, alors que la couleuvre habituelle à un cœur avec un seul ventricule, la couleuvre hollandaise n’a pas de cœur, des études sont en cours pour trouver comment son sang circule, peut être n’a-t-elle pas de sang non plus, en tout cas il n’est pas rouge. Sa technique de chasse se démarque de ses copines, elle émet un sifflement qui endort au bout de quelques minutes ceux qui l’écoutent, le réveil est généralement douloureux. Sa caractéristique principale est sa taille qui est minuscule, ce qui lui permet d’être avalée très facilement si l’on ni prend pas garde. Une célèbre organisation s’en est fait une spécialité. Les chercheurs n’étant pas sûr qu’elle soit comestible, on attend les résultats. Il est probable que cette ingestion provoque au minimum une grosse diarrhée chez les sujets concernés. Les chercheurs conseillent aussi de ne pas approcher de trop près ceux qui se seront laissé allés à avaler ces couleuvres hollandaises, une contagion est toujours possible. Source

Les Mayons : La tortue d'Hermann, contemporaine du dinosaure, fait l'objet de toutes les attentions Seule torture terrestre en France, la tortue d'Hermann ou tortue des Maures est présente sur la Côte d'Azur, à l'état naturel, et également au sein du village des tortues, à Gonfaron. 40 spécialistes s'y sont retrouvés pour constater sur place la réintroduction de cet animal protégé. La tortue d'Hermann est la seule tortue terrestre française métropolitaine. Description : Elle est longue de 20 à 25 cm. Elle pèse 1 200 gr. Sa carapace est particulièrement bombée. La dossière est de couleur jaunâtre avec de grandes tâches verdâtres ou brunâtres. Le plastron est barré de deux bandes noires. Sa queue est recouverte d'un étui corné. Elle a des griffes puissantes. En général, les femelles ont une carapace plus convexe et le plastron aplati. Les mâles ont un plastron concave et une queue longue et épaisse. Habitat : C'est une tortue terrestre qui affectionne les maquis et les emplacements secs et sablonneux. Elle hiberne d'octobre à mars. L'été, pendant les fortes chaleurs, elle s'enterre et vit au ralenti jusqu'aux prochaines fortes pluies. Répartition : En France, on ne rencontre naturellement la tortue d'Hermann que dans le Var où elle survie dans un triangle Hyères, Fréjus, Draguignan et en Corse où, s'il n'y avait pas le problème des incendies, elle serait abondante. Source

Faux jouet mais vrai serpent ! Ce qu’elle pensait être un banal jouet abandonné dans le jardin par ses enfants a causé une grande frayeur à une habitante de Huisseau-sur-Mauves. Le jouet s’est, en fait, avéré être un vrai serpent exotique. Samedi, alors qu’elle est occupée à tondre sa pelouse, une Uxelloise dérange le serpent somnolant au soleil. Le reptile, soudainement apeuré à l’approche de la bruyante tondeuse, s’enfuit aussitôt, puis se réfugie dans un tas de bois tout proche. Surprise et effrayée, la propriétaire des lieux fait immédiatement appel au centre de secours de Meung-sur-Loire. Arrivés sur les lieux en deux temps trois mouvements, les pompiers parviennent à capturer l’animal, après avoir déplacé les bûches. Dans l’incapacité d’identifier le reptile qui ne ressemble ni à une couleuvre, ni à une vipère de notre région, les secours font appel à l’équipe animalière des sapeurs-pompiers, dépêchée au centre de secours de Meung, où l’animal est aussitôt transporté. Et les spécialistes d’identifier une couleuvre américaine (élaphe) ou « serpent des blés », un reptile originaire des États-Unis. Ce spécimen, sans doute acheté par un particulier dans un élevage de faune exotique puis abandonné là, a la particularité d’être albinos. Les sapeurs-pompiers n’ont pas révélé quel sort allait être réservé à l’animal. Source

Suivez les déplacements en Méditerranée d'une tortue mâle caouanne baptisée Hélios Il s'appelle Hélios. Cela signifie soleil, mais son milieu naturel, c'est plutôt la mer. La grande bleue que cette tortue caouanne a retrouvée après avoir été soignée dans le Gard. Mais pas question de la laisser filer comme ça. Ce mâle est parti de La Grande-Motte avec une balise sur sa carapace. Vous pouvez suivre les déplacements d'Hélios, sur le site du Cestmed. Mais aussi les migrations de 7 autres tortues. Effervescence sur les quais, du côté de La Grande-Motte, autour d'une caisse. Hélios, un mâle caouanne à qui l'on donne, faute d'état civil, entre 30 et 80 ans, va retrouver la Méditerranée. Après plusieurs semaines passées au Seaquarium du Grau-du-Roi, dans le Gard, il est remis de ses émotions suite à une capture accidentelle par un pêcheur dans les mailles d'un filet. Ce magnifique spécimen va être relâché en face de la station balnéaire. Sur son dos, une balise. Les scientifiques vont pouvoir étudier sa migration vers la Lybie ou la Grèce, ses lieux de reproduction. Périple qui devrait durer un an. Les tortues caouanne sont protégées depuis 1991 en France. Mais on connaît peu de chose sur ces reptiles aquatiques vieux comme le monde. Arrivée le 29 mai 2013 au Cestmed (Centre de soins et de sauvegarde des tortues marines de Méditerranée), Hélios, une tortue caouanne (Caretta caretta) "exceptionnelle" a été accueillie au centre de soins. Ce sont des pêcheurs du Grau-du-Roi qui avaient contacté le Cestmed. Pourquoi Hélios est une tortue "exceptionnelle" ? Hélios est un superbe mâle d'une vingtaine d'année au moins et il a battu le record de taille des tortues du Cestmed. Hélios pesait à son arrivée pas moins de 65 kg et mesurait 1.20m. La capture accidentelle de tortues marines mâles et ayant une si grande taille est très rare et le suivi d'Hélios par balise s'imposa naturellement. Depuis la création du Cestmed, le Seaquarium s'engage financièrement et humainement pour aider à développer des actions scientifiques, de protection et de sensibilisation. C'est dans ce but que le Seaquarium du Grau-du-Roi a financé une nouvelle balise Argos dont a été équipée Hélios pour pouvoir suivre ses déplacements et faire avancer les connaissances sur les migrations des tortues marines en danger d'extinction. Après quelques semaines de remise en forme et quelques kilos supplémentaires (69 kg), Hélios était fin prêt pour retrouver sa liberté. Le 11 septembre 2013, à bord du catamaran Lucîle II de la Grande-Motte, c'est avec émerveillement et satisfaction que le responsable du Cestmed et le directeur du Seaquarium ont participé à ce lâcher une nouvelle tortue marine a pu regagner le large en pleine santé. Source

Achetez votre boa constrictor en ligne Une simple recherche sur la toile confirme l’attrait de nombreux particuliers pour les reptiles. Sur un site d’annonces bien connu, pas moins d’une quinzaine de serpents sont ainsi proposés à la vente. Tout est légal, les serpents de moins de trois mètres étant autorisés dans la limite de dix pythons ou trois boas par particulier. La règle est-elle toujours respectée ? (...) Source

Les «fausses veuves noires» envahissent le sud de l'Angleterre Une espèce d’araignées est en train de se répandre en Grande-Bretagne, ces dernières années. Il s’agit d’un type de veuves noires, surnommées les « fausses veuves noires ». Leurs morsures peuvent provoquer de graves infections et, chaque année il y a des personnes hospitalisées. Cette sorte de veuve noire est devenue l’araignée la plus venimeuse de Grande-Bretagne en quelques années. Selon The Independent, ces araignées sont d’abord arrivées dans des caisses de fruits dans le Devon et ont progressivement migré vers le sud-ouest. Elles ont littéralement envahi Londres et sa banlieue, mais aussi plusieurs autres villes du sud de l’Angleterre. De nombreuses personnes ont été blessées par leurs morsures. Le cas le plus grave avait été répertorié en 2006 quand un homme mordu avait subi une crise cardiaque. Mais, il y a en moyenne une dizaine de personnes hospitalisées chaque année. Source

Une Tortue caouanne nommée « Yu » perdu ses nageoires en 2008, mais depuis, puis elle est allée dans 27 ailettes prothétiques nagent autour de sa nouvelle maison à Suma Aqualife Park près de Kobe au Japon. ABC News rapporte qu'il y a eu plusieurs tentatives visant à adapter les tortues avec prothèses dans le monde entier, Yu est la seule tortue à vous baigner à l'aide de ses membres en caoutchouc sans aucun problème. Continuer la lecture pour une vidéo et des informations supplémentaires. Source

Australie: un serpent de 20 cm cloue au sol un Boeing 747 de Qantas Un petit serpent d'une vingtaine de centimètres et non venimeux a cloué au sol un avion de Qantas en partance pour le Japon, retardant des centaines de passagers, a indiqué la compagnie aérienne australienne. Le reptile a été trouvé à l'intérieur du Boeing 747-400, près d'une porte, alors que l'appareil s'apprêtait à décoller pour Tokyo dimanche soir, a précisé une porte-parole de Qantas à l'AFP. "Le serpent a été amené en quarantaine pour que l'on détermine sa provenance", a-t-elle ajouté. L'avion avait passé la journée du dimanche sur le tarmac, après son arrivée de Singapour. L'animal a été découvert par l'équipage, avant que les passagers n'embarquent. La provenance et le type du serpent ne sont pas encore connus. Les 370 passagers qui auraient dû s'envoler dimanche soir ont passé la nuit à Sydney, dans des chambres d'hôtel, et ont embarqué lundi matin à bord d'un autre avion. En janvier dernier, un python de trois mètres de long avait joué les passagers clandestins sur l'aile d'un avion de Qantas, lors de la desserte entre Cains (nord-est) et Port Moresby, la capitale de Papouasie-Nouvelle-Guinée. Le reptile avait été repéré par des passagers installés à l'arrière de l'avion, une fois le vol entamé. Le serpent n'avait pas survécu à ce voyage dans les airs. Source

2013... L'été des pythons royal dans la rue ! Une mode ! Encore un python royal trouvé dans la rue, cette fois, c'est à Grandvilliers (Oise), que l'animal a été découvert mort. Retour sur les affaires de python de l'été... Souvenez-vous… Au début du mois de septembre 2013, une Havraise s’était rendue chez les pompiers, au volant de son véhicule pour les informer qu’un serpent, dont elle n’avait retrouvé que la peau, était certainement encore dans sa voiture. Après avoir démonté le tableau de bord où s’était vraisemblablement lové le reptile, puis tenté de l’appâter avec une souris, les pompiers du centre de secours de Caucriauville avaient finalement « mis la voiture dans un lieu clos et fait tourner le moteur », mardi 10 septembre 2013, pour capturer (enfin)… le python royal ! Inoffensif, d’un diamètre de 5 centimètres pour 1,10 mètre, l’animal devait être confié à un spécialiste des reptiles, à Fécamp. Un python près de Rouen en juillet, un dans l’Oise en septembre Le 8 juillet 2013. Un autre python royal d’environ un mètre avait été capturé par les pompiers dans le centre-ville de Caudebec-lès-Elbeuf, près de Rouen. Nouvelle affaire de python, à Grandvilliers, dans l’Oise cette fois, à à une quarantaine de kilomètres de Neufchâtel-en-Bray. C’est le Réveil de Neufchâtel qui raconte d’ailleurs l’histoire : « deux agents communaux ont découvert un python royal mort sur la chaussée, mercredi 18 septembre 2013, qui aurait été écrasé par une voiture ». La dépouille de l’animal a été apportée aux sapeurs-pompiers. Des pythons dans la France entière durant l’été 2013 Des histoires de pythons royal qui s’échappent, cela est arrivé finalement beaucoup plus souvent qu’on ne le pense… en cet été 2013 ! Ainsi, France 3 Champagne-Ardenne rapporte qu’en juillet 2013, un python royal s’était échappé de son vivarium mal refermé. À Blénod-lès-Pont-à-Mousson, en Meurthe-et-Moselle, un autre reptile – encore un python, toujours cet été – a causé une peur bleue à une employée de La Poste : le serpent s’était échappé d’un colis ! Le cas dramatique du Canada en août dernier Des divagations qui n’ont toutefois jamais eu en France de conséquences aussi dramatiques qu’au Canada, en août 2013, quand un python qui s’était échappé d’un magasin spécialisé dans les animaux exotiques, était parvenu dans un appartement situé dans les étages et avait étouffé deux enfants dans leur sommeil. Un cas qui a d’ailleurs éveillé beaucoup de scepticisme chez les spécialistes comme le rapporte L’Express. Un expert a en effet expliqué au quotidien que « ce phénomène d’attaque par un serpent constricteur est extrêmement rare. Le python est un animal qui mord pour se défendre et qui étrangle sa proie uniquement pour se nourrir. L’étranglement est vraiment lié à l’alimentation de l’animal », insistait-il. Ce qui semble clair, c’est que le python royal, aussi appelé python « boule », car il a tendance à se rouler en boule quand il se sent menacé, fait fureur comme nouvel animal de compagnie. C’est le plus petit des pythons d’Afrique, son continent d’origine, mais il peut mesurer tout de même jusqu’à 1m35… et peut vivre 20 à 25 ans environ. Source

Une randonneuse mordue par une vipère à Saint-Pierre-de-Chartreuse Une randonneuse de 60 ans, qui se promenait à Saint-Pierre-de-Chartreuse, a eu la mauvaise surprise de se faire mordre par une vipère, aux alentours de 12h30 ce jeudi 26 septembre. Les pompiers sont intervenus à l'aide de l'hélicoptère Dragon 38. Une randonneuse a fait une mauvaise rencontre lors d'une balade dans le parc naturel régional de Chartreuse. Cette dernière est tombée nez à nez avec une vipère qui ne s'est pas fait prier pour la mordre. Les pompiers n'ont donc eu d'autre choix que d'intervenir très rapidement sur les lieux, à l'aide de l'hélicoptère Dragon 38. La victime a été transportée au CHU de Grenoble. Que faire en cas de morsure de vipère ? Contrairement aux couleuvres, les vipères s'avèrent extrêmement dangereuses. Lors d'une morsure, inutile d'utiliser une pompe à venin ou des produits pharmaceutiques classiques, le seul réflexe à avoir est de se rendre d'urgence à l'hôpital. En cas de crise de panique, il est préférable d'allonger la victime et de la calmer, afin de ne pas augmenter la vitesse de propagation du venin. De nombreuses complications peuvent apparaître à la suite d'une morsure, notamment une forte douleur accompagnée de bleus. Par la suite, des vomissements, des douleurs abdominales ou encore des malaises peuvent survenir. « Avant l'arrivée en France des antivenimeux, il n'était alors pas rare de voir des patients mordus par une vipère rester trois mois en réanimation avec des problèmes aux reins. Certains restaient même très longtemps handicapés » confiait le Dr Patrick Harry, directeur du centre antipoison d'Angers, au Figaro.fr. Source

Un cobra d'1m40 se fait écraser en ville par Francesco Brienza - Le reptile est vraisemblablement tombé d'une voiture avant de se faire rouler dessus mercredi sur la route Berne. Le Vivarium de Lausanne l'a euthanasié. Un cobra d'environ 1m40 de long a été repéré par un lecteur au bord de la route de Berne à Lausanne, mercredi après-midi. Visiblement blessé, le reptile se tordait de douleur sous le regard médusé des passants. Contactée, la police municipale a pris en charge l'animal et l'a apporté au Vivarium de Lausanne, situé non-loin de là. «Il est probablement tombé d'un véhicule», nous a fait savoir sa porte-parole Anne Plessz. Le serpent a été endormi Une fois pris en charge, le serpent était entre la vie et la mort. «Nous n'avons eu d'autre choix que de l'euthanasier, déplore Michel Ansermet, directeur du Vivarium. Il était tout écrasé, et sa colonne vertébrale était cassée en deux.» Mais d'où pouvait provenir la bestiole? Le directeur de l'institution le reconnaît: tomber sur un cobra dans la région est plutôt rare. «Il était assez gros, il avait l'air bien nourri. Ce qui laisse penser qu'il appartenait à un particulier qui s'en occupait.» Vivarium souvent appelé en renfort Impossible de déterminer précisément dans quelle mesure l'animal aurait pu représenter un danger dans la nature. «Difficile de savoir s'il était venimeux ou pas, mais ce qui est sûr c'est qu'il aurait pu effrayer pas mal de monde», sourit Michel Ansermet. Rien que la semaine dernière, le Vivarium de Lausanne est intervenu six fois en cinq jours pour épauler la police en proie à des animaux exotiques. Source

On parle de pythons sauf que selon les infos que j'ai, c'était bel et bien un serpent des blés comme sur la photo

Insolite: un python traverse la route à la Ravine des Cabris Il a provoqué une grosse frayeur à un automobiliste plus habitué à voir des chiens traverser la route... cette fois c'était un serpent Il est rouge, a le corps recouvert d'écailles… et il a provoqué une peur bleue à un automobiliste jeudi matin. Un python, a été écrasé sous les roues d'une voiture alors qu'il traversait la route à la Ravine des Cabris... Il ne venait sûrement pas de nos forêts, mais plutôt d'une des maisons du quartier. Les pompiers qui sont venus récupérer l'animal soulignent qu'ils interviennent de plus en plus souvent pour neutraliser les "NAC" les nouveaux animaux de compagnie qui ne sont pas forcément acceptés par le plus grand nombre... Source