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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Elle a tellement grandit depuis!
  2. (Reuters) - An Ohio man whose home was stacked "floor to ceiling" with more than 100 snakes, including some venomous vipers, pleaded not guilty on Tuesday to a charge of illegally selling dangerous animals, a court administrator said. Joseph McCollum, 46, and his 45-year old girlfriend Michelle Barrett, were arrested Friday in Struthers, Ohio, after he went to a local hospital, saying he had been bitten by a venomous rattlesnake. Police found 97 non-venomous and a handful of venomous snakes housed in unmarked aquariums and plastic containers throughout the house, including in the room of McCollum's 12-year old son. Struthers is a suburb of Youngstown near the Pennsylvania and Ohio border. McCollum and Barrett were charged with felony child endangerment. Barrett had a warrant for a previous endangerment charge. McCollum pleaded not guilty in Struthers municipal court on Tuesday to illegally selling and auctioning animals but did not enter a plea on the child endangerment charge, which will be heard on Friday, the court administrator said. McCollum is the owner of the "Boa Store," and sold and shipped snakes throughout the county, according the Struthers Police Detective Jeff Lewis. "We were shocked at the inventory of snakes he had. They were floor to ceiling and there were also a lot of rats - for feeding purposes," Lewis said. McCollum was charged under a new Ohio state law prohibiting the ownership of exotic and dangerous animals without permits. The Ohio law was passed in response to an incident two years ago during which an owner of exotic animals released 48 large cats, bears and lions and then committed suicide, setting off a panic that ended with police killing the animals. In August, two boys in Canada, ages 4 and 6, were strangled by a 13-foot python after the serpent escaped from an exotic pet store and slithered into their room where they were sleeping. (Reporting by Kim Palmer; Editing by Greg McCune and Bob Burgdorfer) Source Pour aider certains, voici la traduction avec google étant paresseux ce matin. (Reuters) - Un homme de l'Ohio dont la maison a été empilé "sol au plafond" avec plus de 100 serpents, y compris quelques vipères venimeuses, a plaidé non coupable mardi à une accusation de vente illégale d'animaux dangereux, un administrateur judiciaire a dit. Joseph McCollum, 46 ans, et sa petite amie de 45 ans, ancien Michelle Barrett, ont été arrêtés vendredi à Struthers, Ohio, après il est allé à un hôpital local, affirmant qu'il avait été mordu par un crotale venimeux. La police a trouvé 97 non venimeux et une poignée de serpents venimeux logés dans des aquariums banalisés et contenants de plastique dans toute la maison, y compris dans la chambre de son fils de 12 ans de McCollum. Struthers est une banlieue de Youngstown près de la frontière de la Pennsylvanie et de l'Ohio. McCollum et Barrett ont été inculpés de mise en danger des enfants. Barrett avait un mandat pour une accusation de mise en danger précédente. McCollum a plaidé non coupable en cour municipale Struthers, mardi, pour vente illégale et la vente aux enchères des animaux, mais n'est pas entré dans un plaidoyer sur l'accusation de mise en danger de l'enfant, qui sera entendue le vendredi, l'administrateur du tribunal. McCollum est le propriétaire de la «Boa magasin», et vendu et livré des serpents dans tout le comté, selon le Struthers détective de la Police Jeff Lewis. "Nous avons été choqués à l'inventaire des serpents qu'il avait C'étaient sol au plafond et il y avait aussi beaucoup de rats -. Des fins d'alimentation", a déclaré Lewis. McCollum a été inculpé en vertu d'une nouvelle loi de l'État Ohio interdisant la possession d'animaux exotiques et dangereux sans permis. La loi de l'Ohio a été adoptée en réponse à un incident il ya deux ans au cours de laquelle un propriétaire d'animaux exotiques a publié 48 grands félins, les ours et les lions, puis s'est suicidé, déclenchant un mouvement de panique qui a pris fin avec la police de tuer les animaux. En Août, deux garçons au Canada, 4 et 6 ans, ont été étranglés par un python de 13 pieds après le serpent s'est échappé d'un magasin d'animaux exotiques et se glissa dans leur chambre où ils dormaient. (Reportage par Kim Palmer, édité par Greg McCune et Bob Burgdorfer)
  3. VIDEO -- « La France a un incroyable Talent » revient ce mardi soir sur M6 avec les premières auditions devant un jury composé de Sophie Edelstein, Gilbert Ozon, Dave et d’une nouvelle recrue, Andrée Deissenberg, directrice générale du Crazy Horse. Cette saison 8 promet des performances toujours plus spectaculaires et inédites mais également de grands moments de « ratages » en direct. M6 a ainsi dévoilé un extrait du passage d’un charmeur de serpents en difficulté et qui va provoquer la panique au sein des jurés. En effet, David, « The Cobra Kid », ne parvient pas à manipuler son reptile, devant une Sophie Edelstein terrorisée. A la fin de la séquence, le dompteur pousse un long cri. A-t-il été mordu par son cobra ou s’agit-il d’une mise en scène prévue dans le numéro ? Réponse ce mardi soir sur M6. Source
  4. En quelques années, les araignées Steatoda nobilis, également appelées "fausses veuves noires" sont devenues omniprésentes au Royaume-Uni. Il n'est ainsi pas rare que des habitants se fassent mordre par ces arachnides venimeux. Araignée : une invasion de fausses veuves noires inquiète le Royaume-Uni par Gentside Découvertes Le scénario ressemble à celui d'un film de série Z et pourtant, il est bel et bien réel. Le Royaume-Uni est actuellement en proie à une invasion d'araignées considérées aujourd'hui comme les plus venimeuses de l'état. Leur nom ? Steatoda nobilis. Ces arachnides ont de longues pattes aux couleurs orange dorées et possèdent un abdomen foncé montrant une forme plus claire ressemblant à un crâne. Avec un tel aspect, ces araignées sont très souvent prises pour des veuves noires, c'est pourquoi on les surnomme "fausses veuves noires". Les Steatoda nobilis sont originaires de l'archipel de Madère et des îles Canaries mais elles ont réussi à se disperser depuis quelques années dans d'autres pays, et notamment au Royaume-Uni. D'après les spécialistes, ces araignées seraient arrivées là il y a plus de 100 ans en profitant de caisses de fruits venues des îles Canaries. Elles se seraient alors établi dans le comté de Devon. Au cours des décennies suivantes, elles auraient toutefois gagné un terrain considérable, progressant peu à peu vers le sud-est et d'autres comtés. Et ces dernières années, leur multiplication et leur dispersion se seraient encore accentuées, faute selon certains, au réchauffement climatique. Résultat : les araignées sont aujourd'hui omniprésentes au Royaume-Uni et notamment à Londres. Des araignées qui squattent les maisons Selon le News Shopper, la "fausse veuve noire" a été repérée plus de 50 fois au cours du mois de septembre dernier dans différentes parties de la capitale et dans le Kent. Il faut dire aussi que ces araignées qui sortent surtout la nuit ont la fâcheuse habitude de se protéger des températures devenant de plus en plus fraiches en squattant les habitations, surtout les vérandas. Elles aiment également vivre en hauteur dans les différents étages. C'est pourquoi les rencontres entre araignées et habitants ont tendance à se multiplier ces derniers temps. La bête n'est pas très grosse, elle peut mesurer jusqu'à 20-30 millimètres, mais au vu de son aspect, la rencontre a de quoi en effrayer plus d'un même ceux qui ne sont pas particulièrement arachnophobes. Dans la vidéo ci-dessus, un Britannique filme l'araignée qu'il a trouvée dans son garage et qu'il pense, l'a mordu. En effet, chaque année, quelques dizaines de personnes seraient mordues par ces araignées. Heureusement, les fausses veuves noires, bien que venimeuses, sont moins dangereuses que leurs cousines. Des morsures plus ou moins sévères La morsure des araignées peut être douloureuse et engendrer chez l'humain un certain nombre de symptômes tels qu'un gonflement, une sensation de brûlure, l'apparition de rougeur, de fièvre, de nausée ou un malaise général. Ces effets sont généralement temporaires. Dans certaines circonstances ou chez des personnes plus fragiles, une morsure peut également provoquer des douleurs dans le buste, un évanouissement, voire des symptômes un peu plus sévères si elle engendre une réaction allergique. L'an passé, une femme qui avait été mordue et n'avait pas réagi, a dû être hospitalisée après que les symptômes se sont empirés. Elle a failli perdre son bras, selon l'Independent. La patiente a expliqué qu'elle n'avait pas réalisé que c'était dangereux. "Je n'avais rien vu de semblable. Cela aurait dû m'alarmer. Ça avait l'air dangereux. Je ne m'attendais pas à trouver quelque chose comme ça par ici, encore moins à l'étage", a t-elle indiqué. Récemment, un adolescent de 14 ans a également été mordu au bras pendant son sommeil. Le lendemain, il est allé au collègue normalement avant d'être pris de maux de tête et de ressentir une sensation de brûlure dans son bras. Les jours suivants, cela s'est empiré et ses parents l'ont emmené à l'hôpital où il a pu être traité. "Mon bras est devenu rouge vif, et j'avais une sensation de brûlure. Une cloque de pus s'est formée sur mon bras", a t-il raconté cité par le Telegraph. Un tatoueur de 36 ans, habitant dans le district de Sidcup à Londres, a également été mordu dans son sommeil il y a peu : "ma main est devenue jaune et noire et a enflé comme un ballon pendant cinq semaines", a t-il témoigné. L'homme a pu être soigné et n'a gardé aucune trace physique de l'attaque. A Northampton, une mère de 31 ans s'est trouvée dans son lit nez à nez avec une araignée Steatoda mais légèrement arachnophobe, la Britannique a eu le temps de sauter de son lit avant que la proche rencontre n'ait lieu. Surveiller les morsures Aucun décès dû à une morsure de Steatoda nobilis n'a été recensé. D'après les spécialistes, seules les femelles de cette espèce d'araignée mordent et elles ne le font que lorsqu'elles se sentent menacées ou sont dérangées. Si les symptômes sont modérés, toute morsure de "fausse veuve noire" doit toutefois nécessiter une surveillance médicale, insiste Tony Wileman, du London Wildlife Trust. "Il est recommandé si vous avez été mordu par une araignée supposée être une fausse veuve noire d'en informer du personnel médical", pour qu'il y prête attention mais n'appelez pas les urgences, explique le spécialiste. Et si vous voyez une araignée Steatoda chez vous et que vous essayez de la chasser, ne la touchez pas avec vos mains. Utilisez plutôt un vase ou un pot, conseille t-il. Source
  5. Elle arrive tout droit des Etats-Unis, juste à temps pour Halloween : la sucette au scorpion ! A vous de mettre au défi les petits fantômes et autres sorcières qui sonneront à la porte le soir d’Halloween pour réclamer des bonbons ! Qui osera sucer jusqu’au bout la sucette au scorpion ? Ces friandises venues tout droit des Etats-Unis où elles sont distribuées par Hotlix débarquent chez nous. De format carré, elles se déclinent classiquement en quatre goûts acidulés (pomme, fraise, banane ou mûre) mais en guise de chewing-gum à l’intérieur, c’est un véritable scorpion qui se donne à mâcher… « Les enfants adorent, témoigne Marie Nevens, propriétaire des magasins de jouets L’Atelier de Gepetto. On en avait mis au comptoir pour dégustation. Les plus téméraires se distinguent clairement des autres, mais tout le monde trouve ça fun ». Au comptoir des quatre magasins répartis à Bruxelles et à La Hulpe, les sucettes au scorpion trônent aux côtés des larves et criquets aromatisés aux épices, au fromage ou goût barbecue. De quoi ravir petits et grands entomophages. Une manière amusante aussi de conscientiser les plus jeunes : les insectes comestibles sont en effet considérés comme une filière d’avenir pour assurer notre apport de protéines dans le futur. « L’enjeu est de parvenir à nourrir 9 milliards d’habitants sur la planète d’ici à 2050 et de faire face à une demande en protéines animales censée doubler », selon l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). Ces sucettes et petits snacks qui titillent aujourd’hui la curiosité de nos enfants préfigurent leur assiette de demain, grouillante d’insectes. Source
  6. A LA RECHERCHE DE CROCODILE DUNDEE Les eaux de la région de Cairns abritent d’innombrables crocodiles dont le gouvernement de l’Etat veut se débarrasser en un an pour sécuriser cette zone peuplée. Un appel aux rangers a été lancé. Les crocodiles d’eau salée, qui vivent dans cette région, sont plus agressifs que ceux d’eau douce. Ils n’ont pas besoin de se sentir menacés pour attaquer un être humain. Photo archives AFP «Nous cherchons des chasseurs de crocodiles ». L’annonce ne s’adresse ni aux âmes sensibles ni aux mauviettes. Il s’agit d’attirer des rangers aux nerfs solides de la trempe d’un Crocodile Dundee. L’annonce a paru dans le Cairns Post. Elle a été publiée en septembre par le ministre de l’Environnement de l’Etat du Queensland Andrew Powell. Le ministre veut lancer une opération dans les eaux intérieures de Trinity Inlet jusqu’à la plage Ellis Beach au sud de Cairns. L’opération a été lancée après qu’un crocodile de 4 mètres de long a été repéré à proximité de la plage. Il nageait entre les drapeaux qui définissent la zone en mer sous surveillance des sauveteurs. Heureusement, cela s’est déroulé avant l’arrivée des baigneurs, mais à peine avant l’entraînement de sauveteurs. Agressifs. La région de Cairns et le nord du Queensland sont l’habitat des crocodiles des eaux salées, plus agressifs que l’espèce qui vit dans les eaux douces. Ce sont parmi les rares prédateurs qui délibérément chasseront l’homme à vue. Il n’est pas besoin de les déranger pour subir une attaque. « Nous voulons nous occuper de tous les crocodiles qui infestent ces eaux, quelle que soit leur taille. » Le contrat avec les experts de capture de crocodile devrait être signé d’ici fin octobre pour une durée d’intervention de douze mois. Une petite dizaine de candidatures (compagnies et individus) ont été déposées. Rien que le mois dernier, les rangers du service de l’environnement ont capturé cinq crocodiles dont le plus grand est un monstre de 4,50 m. Un travail fastidieux et dangereux. Pour l’un d’eux par exemple, d’une taille de près de trois mètres, il a fallu à ces hommes trois jours pour l’attraper. Lors de leur approche, les rangers se tiennent prêts à déguerpir par une voie de fuite rapide, au cas où le crocodile se retournerait sur lui-même pour attaquer ses poursuivants. Depuis le début de l’année, dix-huit ont été retirés des eaux. Mais le problème, c’est qu’il est difficile, voire impossible d’évaluer le nombre exact de crocodiles, car ils sont très mobiles. Ils peuvent parcourir 60 kilomètres en une journée et rester dans l’eau durant sept heures. Elimination. La présence des crocodiles dans cette région n’est pas surprenante, puisqu’il s’agit de leur habitat naturel. Seulement, aujourd’hui, la région abrite 160 000 habitants et attire des milliers de touristes. « La co-existence n’est absolument pas possible. C’est une menace constante, une source de soucis pour les parents et les sauveteurs. Nous ne pouvons évidemment pas garantir l’élimination du danger, mais nous ferons de notre mieux », souligne Andrew Powell. Les animaux seront relogés dans des fermes à crocodiles, des zoos ou euthanasiés. Mais l’opération ne plaît pas au zoologiste Craig Franklin, qui a capturé 110 crocodiles dans la région pour les besoins de ses recherches. Il a réagi en envoyant un courriel à Andrew Powell. Il a confié au quotidien The Australian. « Je ne veux surtout pas m’associer à cette décision. Je pense que malheureusement, elle va être à l’origine d’une attaque dans le futur, puisque le public et les touristes penseront à tort qu’il n’y a plus de danger pour nager. Il vaut mieux informer des dangers que de cultiver un sentiment de sécurité, car il est absolument impossible de rendre ces eaux sûres. » Repères Etre prudent Il faut éviter de camper sur les berges, laisser des déchets de nourriture et nager dans les criques. Le crocodile se projette hors de l’eau comme un missile, sans prévenir. Il faut donc garder à l’écart de l’eau les enfants. En cas de rencontre, une fuite en ligne droite s’impose. Les crocodiles vont poursuivre leur proie durant une dizaine de mètres, puis se fatiguer. Par contre dans l’eau, ils sont inépuisables. Des animaux sociables Malgré le comportement belliqueux de ces prédateurs puissants, entre eux, ce sont des animaux sociables. Une équipe de chercheurs a étudié leur comportement. Elle a découvert que les crocodiles sont des amants affectueux, des parents protecteurs et dotés d’une intelligence certaine, et sont aussi très attachés à leur lieu d’habitat. Accidents Depuis les années 1970, le crocodile est protégé. Il a frôlé l’extinction, victime de chasses sauvages. Sa population est estimée aujourd’hui à près de 200 000 dans tout le pays. Avec cette croissance, le nombre d’accidents a également augmenté pour atteindre une moyenne de sept attaques tous les deux ans. Le dernier cas est survenu en août, à Darwin. Un homme de 26 ans nageait avec des amis lors du 30e anniversaire de l’un d’eux. Il a été tué par un crocodile de près de cinq mètres de long. Source
  7. Il n’est jamais très agréable de se retrouver nez à nez avec un serpent. Jacques, en ami de la nature, invite pourtant chacun à faire preuve… de sang-froid. Des lecteurs nous ont fait savoir qu'ils étaient las de se retrouver nez à nez avec des couleuvres et des vipères dans leur jardin. Jacques Rivault, de Niort, tente de les raisonner, face à « une peur irraisonnée qu'ont la plupart des gens vis-à-vis des serpents. » Il se dit bien décidé à prendre la défense de ces reptiles que l'on massacre souvent sans autre forme de procès. « Les serpents sont des animaux à sang froid, ils sont incapables de réguler leur température », rappelle Jacques. « Quand il fait trop chaud, ils cherchent un coin frais. Quand il fait froid, ils se mettent au soleil. C'est pour cette raison que l'on peut les rencontrer dans des lieux inattendus, surtout dans les vieilles dépendances où ils n'étaient pas dérangés. Les serpents ne sont pas agressifs. Ils ont peur de l'homme. Si on les surprend, ils sont sur la défensive, ce que l'on prend pour de l'agressivité. » Mais alors, que faire pour vivre tranquille ? « Il suffit d'occuper les lieux avec nos activités humaines (bricolage, jardin, jeux) et ils vont partir d'eux-mêmes. Si les vieilles dépendances sont démolies ou réparées, si les enfants jouent, les reptiles, qui aiment la tranquillité, vont s'en aller. « Faire un mur n'est peut-être pas la meilleure idée, car le serpent peut avoir des difficultés pour changer d'endroit. Quant au répulsif, ça fait bien rire, poursuit Jacques. Bien sûr que c'est inefficace. Ce produit ne devrait d'ailleurs ni être fabriqué, ni vendu. Mais que ne ferait-on pas pour écouler toutes sortes de marchandises, même inutiles… » " Apprendre à les connaître pour éviter la peur panique " Et notre lecteur de poursuivre sa plaidoirie en faveur du monde animal : « Outre le massacre par les humains, les serpents sont aussi victimes de la route, de l'aménagement du territoire, des pesticides. Il nous faut apprendre à mieux les connaître, afin de ne pas en avoir une peur panique. Dans la nature, il y a des ronces, des orties, des araignées, des guêpes, ce n'est pas une raison pour tout bitumer. » « J'ai eu cinq enfants, raconte encore Jacques. Avec des petits voisins, ils ont passé toute leur enfance dans une carrière désaffectée, à construire des cabanes. Des tas de pierres, des broussailles… tous les ingrédients pour que des serpents habitent cet endroit. Jamais ils n'ont été attaqués. Les couleuvres et les vipères qui attaquent les humains, ça n'existe pas. Elles préfèrent cent fois la fuite. » Source
  8. Il y a un an, j'ai acheté cette mygale un peu plus petit qu'un demi-pouce. Elle m'a été vendu comme étant une chilian flame. Elle a grandit depuis, on voit de plus en plus sa couleur.
  9. Suite à une séparation, on m'a envoyé deux bêtes chez moi dont cette mygale. Elle est d'un calme exemplaire donc elle serait parfaite pour être récupéré par quelqu'un qui veut sa première mygale.
  10. Réveil douloureux à Fleurus: "Un scorpion a piqué ma compagne dans notre chambre" Dimanche dernier, au saut du lit, un couple de Fleurus a découvert un scorpion dans sa chambre. Il a piqué la compagne de Patrick, qui a alerté RTLinfo.be. Analysé par l'Institut Royal des Sciences Naturelles à Bruxelles, il s'avère que l'animal est un scorpion très répandu dans le sud de l'Europe et qui a tendance à se cacher dans les valises des vacanciers. Problème: le couple ne revenait pas de vacances et n'a pas de voisins... Six heures à l'hôpital Les faits se sont déroulés le dimanche 6 octobre à Fleurus dans le Hainaut. "Il était 9h du matin" lorsque Patrick et sa compagne se réveillent. Elle remarque "une peluche par terre" et la ramasse... "et boum! Elle est vivante!", s'exclame Patrick. "La chose se faufile sous l'ordinateur. On allume la lumière et on découvre un bébé scorpion. Ma compagne s’est même fait piquer. Une heure après on était à l’hôpital de Charleroi où elle est restée 6 heures en observation." Patrick emporte avec lui le scorpion encore vivant. "Il faisait environ 4 cm de long et était tout noir. Ils l’ont gardé à l’hôpital est l’ont envoyé au Musée des Sciences Naturelles à Bruxelles", explique-t-il. Partout dans le sud de la France, en Espagne et en Italie Conservé dans de l’alcool, le spécimen arrive à destination et est confié à Léon Baert, arachnologue à l’Institut Royal des Sciences Naturelles de Belgique. "C’est une espèce du sud de l’Europe, l’Euscorpius flavicaudis, un scorpion à dard jaune. On en trouve partout dans le midi de la France, mais aussi en Italie et en Espagne", révèle-t-il, ajoutant que "ce spécimen était un adulte". Les scorpions de cette espère courante mesurent en effet entre 3,5 et 4,5 cm. Des passagers clandestins M. Baert n’a pas eu de mal à l’identifier: "C’est la 3ème fois depuis septembre que je reçois un spécimen de cette espère ou qu’on me téléphone parce qu’on en a retrouvé un en Belgique." Voir ce scorpion sous notre latitude n’est donc pas rare: "Ce n’est pas nouveau. Je répertorie chaque spécimen trouvé en Belgique depuis 10 ans et on en trouve régulièrement chaque année", révèle l'arachnologue. L’été et la période de septembre à octobre sont d'ailleurs particulièrement propices à l'arrivée de ces scorpions chez nous, puisque les Belges les ramènent de vacances sans le savoir! "Ils grimpent dans les valises. Parfois, ils sont même plusieurs. Il y a quelques années, une femme à Liège avait trouvé plusieurs spécimens dans son jardin." "Pas dangereux" La compagne de Patrick, de son côté, a pu sortir de l’hôpital après l'observation. Car si "sa piqûre fait mal", ce scorpion européen "n’est pas dangereux", assure le spécialiste des araignées, même si, comme pour toutes les piqûres, personne n’est à l’abri d’une réaction allergique. Pas d'invasion constatée en Belgique Le couple se pose cependant toujours la question: comment s’est-il retrouvé dans leur chambre? Ils ne sont pas revenus de vacances récemment et "les seuls voisins qu’on a ce sont les champs et les vaches", s’étonne Patrick. Deux pistes pourraient expliquer la provenance de l’animal: "Il y a 2 semaines, j’ai ramené un meuble en kit et ils ont changé récemment un chauffage de la piscine de Fleurus, le bâtiment le plus proche de la maison", avance-t-il. Le scorpion a donc pu se faufiler dans les cartons d’emballage si l’un ou l’autre provenait du sud de l’Europe. Dernière possibilité: l’espère débarquerait-elle chez nous avec le réchauffement climatique? "Pas à ma connaissance", tempère l’arachnologue. "On manque d’étude pour l’affirmer" et cette espèce n’est pas censée résister à nos hivers rigoureux. Quoi qu'il en soit, ne paniquez pas si vous rencontrez ce petit scorpion noir aux légères touches jaunes. Capturez-le et envoyez-le au Musée, où il ira garnir les étagères des collections. Gaëtan Willemsen Source
  11. Si pour vous, les sauts à l’élastique, la chute libre, le wingsuit ou encore nager avec les requins n’ont pas rassasié votre soif d’adrénaline, n’ayez crainte, je crois que je viens de vous trouver ce qu’il vous faut ! Ouvert depuis 2008, c’est au Parc Crocosaurus Cove à Darwin en Australie que vous pourrez rencontrer de près les fameux reptiles ! Une cage prévue pour deux personnes vous attend. On la surnomme la "cage de la mort" histoire de pimenter le truc ( comme si ça ne suffisait pas ! ). Pour rajouter un peu de pulsations minute, il se trouve que le plus grand crocodile du monde en captivité viendra vous dire bonjour ! Il répond ( oui oui il répond.. ) au nom de Chopper et mesure plus de cinq mètres et ne pèse que 700 kilos. Sachez que plus de 200 crocodiles se trouvent dans le bassin pour vous permettre d’explorer ces créatures préhistoriques. Avant de booker, un formulaire est à signer pour vous mettre en garde contre les risques de choc nerveux, d’hyperventilation ou encore les crises cardiaques que vous pouvez rencontrer lors du face à face avec le petit lézard. Il n’en fallait pas moins pour m’encourager à le faire lors de mon prochain trip en Australie prévue pour décembre. Alors, cap ou pas cap ? Source
  12. Publiant leurs travaux dans Biology Letters, des chercheurs danois ont montré expérimentalement que certaines tortues d’eau douce qui hibernent au fond des lacs n’y sont pas réellement dans le coma, mais en état de vigilance ralentie en attendant le printemps. Comme beaucoup de tortues d'eau douce, Trachemys scripta (dont une sous-espèce n’est autre que la fameuse tortue de Floride, bien connue dans les animaleries) peut passer tout l'hiver immobile au fond d'un lac froid sans oxygène. L’animal est-il totalement dans le coma, ou bien son cerveau reste-t-il légèrement en éveil ? Pour le savoir, des spécialistes du Département de zoophysiologie de l’Université d’Aarhus (Danemaik) ont procédé à des expériences. Ils ont d’abord inséré des électrodes dans la tête de tortues anesthésiées, qu’ils ont placées dans des conditions similaires à celles de l’hibernation. Or, ils ont constaté que les neurones des reptiles répondaient quand même à la lumière et aux vibrations, même lorsque les tortues étaient privées d'oxygène. Dans un deuxième temps, l’équipe a placé durant 2 semaines des tortues dans de l'eau froide et dépourvue d'oxygène, dans un laboratoire sombre, pour leur faire croire que c'était l'hiver. Lorsque les chercheurs ont allumé les lumières, les tortues ont commencé à se déplacer dans leur bassin. Un réchauffement de l'eau a eu le même effet (mais pas les vibrations ni un enrichissement de l’eau en oxygène). De ces deux expériences, les auteurs concluent que ces tortues d’eau douce ne sont pas réellement dans un état comateux en hiver, mais attendent des signes du printemps dans un état de vigilance ralentie. Source
  13. Montréal Reptile Expo Holiday Inn 6700 Trans-Canada Highway Pointe-Claire, QC Dimanche 24 novembre 2013 Les portes ouvrent à neuf heures-16 heures Tarifs Adultes $ 8,00 enfants 7 ans de l'âge de 14 ans d'âge et des Aînés 5,00 $ Big Time Gecko CanHerp Country Constrictor Dart Frog Inc DINO Reptiles Epic Exotics Global Exotics Iconic Dragons Lizard King Bearded Dragons Mist King MK Reptiles Nagy Reptiles Oddball Exotics Pet Planet Williamsburg Port Credit Pets Power House Caging R.E.D. Exotics RECORP Reptile Crazy Simply Reptiles Superior Mutations Tails and Scales Tangled Webs The Serpent and the Lizard Tropical Expressions True North Geckos Wilkins Rodents
  14. La Salvetat-Saint-Gilles. Le serpent baigneur s'invite dans la piscine Témoin de la biodiversité naturelle et sauvage existant encore sur le territoire communal comme ici aux alentours du lieu-dit «La Bourdasse» au sud-est du village, un riverain a eu la surprise de se rendre compte à temps de la présence d’un reptile tentant vainement d’échapper au «piège» de sa piscine dans laquelle il avait sans doute glissé pour se rafraîchir. L’animal ressemblant fort à une couleuvre vipérine, espèce protégée longue d’une trentaine de cm, inoffensive et sans danger pour l’homme, a été sorti des eaux à l’épuisette avant d’être rendu à la liberté non sans avoir été au préalable «immortalisé» par la photographie avant de repartir vers d’autres cieux… La Dépêche du Midi Source
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