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Max|mum-leterrarium

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  1. La tortue Ariti toujours à Fidji Après avoir été relâchée à Teahupoo il y a près de trois mois maintenant (le 24 Mai dernier), la tortue Ariti a désormais parcouru 3672 km à travers l’océan Pacifique jusqu’à Fidji. 94 jours de voyage ont été nécessaires pour parcourir cette distance, ce qui représente une vitesse de déplacement de près de 1,6 km/h ou 39 km par jour. « Doucement mais sûrement » serait le parfait slogan pour illustrer le voyage de cette tortue. Ariti est présentement près de Taveuni, la troisième plus grande île de Fidji, qui se trouve près de Vanua Levu. A l’Est des cotes de Vanua Levu se trouve la petite île de Yadua dont les eaux environnantes sont des zones de nourrissage bien connues des tortues caouannes. Des informations plus précises des déplacements fidjiens de la tortue Ariti suivront dans une dizaine de jours. Source
  2. Nérac : un invité de marque chez le vétérinaire Une tortue sillonnée a été amenée à la clinique des Deux-Chênes, lundi après-midi. Il y a des rencontres qui ne s’inventent pas. Jean-Marie Hedon, vétérinaire à la clinique des Deux-Chênes, se souviendra longtemps de celle-ci. Lundi, les pompiers de Houeillès lui apportent un nouveau pensionnaire : une tortue sillonnée, espèce terrestre originaire d’Afrique Sahélienne.Au détour d’une balade« On nous apporte souvent des oiseaux, commente le vétérinaire. Mais des tortues, jamais. C’est exceptionnel ! » Elle a été trouvé par un particulier, dans un bois entre Houeillès et Allons. Originaire du Passage-d’Agen, il se promenait avec ses petits-enfants quand il a trouvé la tortue. « Nous l’avons observée et nous avons pris des photos. » Puis, il embarque la tortue pour la déposer chez les pompiers.Une espèce très rareLe spécimen, qui leur est apporté, est un jeune mâle de 13 ans qui pèse 17 kilos, là où les adultes peuvent en peser 80.En France, l’animal est protégé, « c’est une espèce qui est menacée dans son milieu d’origine mais elle se reproduit très bien en captivité », précise Carole Chamboredon, collègue de M. Hedon.La tortue a passé la nuit à la clinique. Elle devait être récupérée, hier matin, par le centre de protection de la faune sauvage de Tonneins. Heureusement, la propriétaire, une Allonsoise qui l’avait perdue depuis 10 jours, a été prévenue par une commerçante. Elle a récupéré l’animal dès hier matin : «Je suis très soulagée, je commençais à être inquiète. Seule je n’aurais jamais pu la retrouver », confie-t-elle. Source
  3. Un crocodile à Velaux ! Lors des dernières fouilles menées en 2012 à la Bastide Neuve, de nouveaux fossiles ont été mis au jour. Après plusieurs mois d’études, les paléontologues remettront officiellement, jeudi 5 septembre, au Député-Maire Jean-Pierre Maggi, le fossile de la tête de crocodile trouvé à Velaux.Des fouilles à partir de 2002Suite à des études sur les gisements à œufs de dinosaures dans le sud de la France, plusieurs campagnes de fouilles ont été menées à la Bastide Neuve à partir de 2002. Des recherches qui s’inscrivent dans une thématique d’évaluation des dix derniers millions d’années avant l’extinction des dinosaures. Les différentes campagnes ont à chaque fois été orchestrées par Géraldine Garcia, docteur en paléontologie et Xavier Valentin, préparateur et mouleur de fossiles.L’Atsinganosaurus VelauciensisAu cours des différentes fouilles, les paléontologues ont mis au jour une faune complète, constituée de dents de requins, de restes dentaires et d’ossements, de tortues, de crocodiles et de plusieurs groupes de dinosaures. Parmi ceux-ci, les ossements de celui qu’on nomme désormais l'Atsinganosaurus Velauciensis, unique spécimen connu de cette espèce de dinosaure. Une tête de crocodile au muséeLors des dernières fouilles, qui ont eu lieu en août 2012, les fossiles d'une tête de crocodile et d'une carapace de tortue, dans un état de conservation exceptionnel, ont été découverts. Afin de procéder aux études nécessaires, les paléontologues, Géraldine Garcia et Xavier Valentin, avaient emporté le fruit de leurs découvertes dans leur laboratoire de Poitiers. Après un long travail de grattage et de prélèvements, le crâne de crocodile est aujourd’hui encore en cours d’étude par des spécialistes. Mais, avant la restitution définitive de la pièce, un moulage a été réalisé à destination de la Ville. Ce moulage, qui reproduit à l’identique le crâne trouvé, sera officiellement remis par les paléontologues au Député-Maire Jean-Pierre Maggi, avant d’être exposé au public à l’occasion des Journées du patrimoine. Source
  4. La grenouille taureau, ce fléau à éradiquer À l’occasion de la huitième campagne d’éradication de la grenouille taureau, organisée par le Parc naturel régional (PNR) Périgord-Limousin sur les secteurs de Saint-Saud-Lacoussière et Piégut-Pluviers, et qui s’est achevée jeudi, un groupe de travail s’est donné rendez-vous à l’étang de Saint-Estèphe.La biodiversité menacéeLa grenouille taureau, une espèce envahissante venue de Floride, est présente sur le secteur du PNR depuis une dizaine d’années, menaçant ainsi la biodiversité en se nourrissant d’espèces autochtones, telle que la grenouille verte. Elle est porteuse d’un champignon nocif aux autres espèces de grenouilles locales.Laurence Béguin, sous-préfète de Nontron, Jean-Louis Amat, secrétaire général de la préfecture, Michel Jaccou, maire et président de la Communauté de communes de Thiviers, et Bernard Vauriac, président du Parc naturel régional Périgord-Limousin, sont venus assister à la sortie nocturne de jeudi, sur les étangs de Piégut-Piégut, pour y découvrir le fonctionnement de l’opération.Opération nocturneUne fois par semaine, les agents du parc, Kévin Dupuy et Jérémy Boy, sous la houlette du directeur Fabrice Château, accompagnés de gardes-chasse particuliers représentés par Francis Gamba, ont prospecté les étangs. Cette opération d’éradication de la grenouille taureau se pratique en binôme, le batracien étant chassé de nuit par beau temps à l’aide de carabines.Le binôme est constitué par un agent du parc (éclaireur) et un garde-chasse (tireur) formé par Christophe Mairot, moniteur de tir à l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS). Source
  5. Une grenouille surgit de sa salade Un étudiant belge a eu une drôle de surprise en passant à table hier soir. Une grenouille vivante a jailli de sa salade.Vincent Fissette, un étudiant qui réside à Louvain, s'apprêtait à déguster son steak-pommes de terre-salade, ce lundi soir, lorsqu'il s'est aperçu qu'une grenouille se promenait dans sa salade."J'ai été choqué", confie-t-il à Radio 2 Vlaams-Brabant. "Elle fait trois ou quatre centimètres de long. Elle est très active", poursuit celui qui a imméditament mis la grenouille dans un verre d'eau pour la sauver. "Je compte la remettre dans la nature pour lui donner une seconde chance".Le paquet salade en question avait été acheté le jour même dans un magasin Cora. Les responsables du magasin n'ont pas encore commenté l'information. Source
  6. Brésil : un nouvel amphibien découvert aux caractéristiques physiques bien… subjectives C’est malheureusement lors de la construction d’un énième barrage en Amazonie que des ingénieurs ont découverts l’impudique bestiole : un amphibien dépourvu de membres qui ressemble à une sorte de ver ou, comme vous ne manquerez pas de le noter, à une partie de l’anatomie masculine.C’est en asséchant la rivière Madeira, l’un des principaux affluents de l’Amazone, pour un projet hydroélectrique controversé que cet amphibien de la famille des cécilies a été découvert. Selon le biologiste Julian Tupan qui a identifié l’espèce en tant queAtretochoana eiselti, six individus auraient été trouvés. On en connaît peu sur l’espèce, mais on pense qu’elle est aquatique, qu’elle n’est pas dotée de poumons et respire donc par sa peau. D’autres individus ont été trouvés près de l’embouchure de l’Amazone, à plus de 2 500 km. Les cécilies sont une espèce de prédateurs typiques, se nourrissant de petits poissons, vers et autres invertébrés aquatiques. Ils ont une vue très faible et se déplacent principalement à l’odeur. L’Atretochoana eiselti est la cécilie la plus grande connue à ce jour, atteignant une longueur de 75 cm (30 pouces), c’est-à-dire le double de la taille de la seconde plus grande espèce connue. Source
  7. Houeillès (47) : une invitée surprise chez les pompiers Habitués aux missions délicates, les pompiers de la caserne de Houillès ont accueilli, hier, une tortue Rien ne sert de courir, il faut partir à point. Voilà un adage qui ne correspond pas véritablement à la philosophie des soldats du feu. Néanmoins, hier, ils ont dû composer avec une invitée surprise.Les pompiers de la caserne d’Houeillès ont, en effet, reçu un drôle de paquet. Un particulier leur a amené une tortue trouvée dans la nature. Le spécimen, a priori une espèce sauvage, pèse une vingtaine de kilos et mesure une soixantaine de centimètres.Les pompiers ont à leur tour confié la tortue à la clinique vétérinaire de Nérac. Source
  8. Les deux plus petites tortues au monde sont nées au Sea Life Centre de Birmingham Deux minuscules tortues, d'une taille aussi grande qu'une pièce de 50 centimes d'euros, ont vu le jour au Sea Life Centre de Birmingham, en Angleterre. Une surprise pour toute l'équipe car elle ne s'attendait pas du tout à voir apparaître du jour au lendemain deux nouvelles arrivantes... La surprise a été grande lorsque les équipes du Sea Life Centre de Birmingham, au centre de l'Angleterre, se sont aperçues de la naissance de deux minuscules tortues - aussi petites qu'une pièce de cinquante centimes -. Et, cette surprise s'est décuplée quand ils ont fait circuler la nouvelle car ces deux tortues sont issues d'une espèce très rare Les équipes de ce grand aquarium britannique ne s'attendaient pas du tout à cette nouvelle présence car elles n'avaient remarqué aucune présence d'œufs. "La première fois que nous nous en sommes aperçus, c'était un matin lorsque nous avons remarqué que deux nouvelles arrivantes étaient en train de nager dans leur aquarium" a expliqué Graham Burrows, soigneur au Sea Life Centre de Birmingham, relayé par Metro UK. Effectivement, la mère tortue aurait décidé de ne pas dévoiler ses œufs aux soigneurs. Graham Burrows pense alors que celle-ci les aurait cachés dans le sable à l'extrémité de l'aquarium avant qu'ils n'éclosent. Une espèce menacée Ces tortues sont de l'espèce des Chelodina mccordi également connues sous le nom de "Snake Necked Turtles", comprenez les "Tortues au cou de serpent". Comme ce dernier nom l'indique, ces reptiles marins (la Chelodina mccordi est une espèce de tortue d'eau) présentent un cou très long ressemblant alors à un serpent. Elle fait partie des espèces les plus rares au monde. La naissance de ces deux tortues au Sea Life Centre de Birmingham augmente sa population captive qui atteint désormais les 250 individus à travers le monde. "C'est beaucoup plus que la population sauvage" a souligné Graham Burrows. Des tortues victimes du marché domestique Effectivement, ces tortues vivent aux alentours de l'île de Rote (ou Roti) appartenant à l'archipel indonésien. "Ces espèces sont confinées à une zone très restreinte, l'île de Rote en Indonésie, et elles sont réputées pour être chassées de leur environnement naturel pour, ensuite, être vendues au marché domestique" a précisé le soigneur. Toutefois, ce dernier a tenu a indiqué que depuis 2011, une loi les protège afin d'espérer une repopulation d'ici quelques années. Une hypothèse concernant les deux nouvelles circule actuellement. Il est, en effet, question de savoir si elles seront introduites dans leur environnement naturel "afin de donner une nouvelle espérance de vie à cette espèce" a conclu Graham Burrows. Source
  9. Les piqûres de scorpions font environ 100 morts annuellement en Algérie Environ 100 personnes meurent annuellement en Algérie de piqûres de scorpions, en raison notamment d’un retard dans l’administration du sérum antiscorpionique.« Sur les 50 000 piqûres scorpioniques enregistrées annuellement, environ cent personnes meurent par intoxication due au venin du scorpion, en raison notamment d’un retard dans la prise en charge de la victime ou par absence de sérum antiscorpionique », a indiqué, ce lundi 26 août à Alger, le Dr Djamel-Eddine Oulmane de l’Institut national de santé publique (INSP), cité par l’APS.Le docteur Oulmane a souligné l’importance du facteur temps dans la prise en charge des victimes. « Le facteur temps est déterminant pour une prise en charge adéquate de la victime et pour lui éviter les complications que peut engendrer la circulation du venin dans son sang », a-t-il souligné. Le Dr Oulmane a également insisté sur l’importance pour la personne victime de piqûre de scorpion de se rendre en « urgence » à l’établissement de santé le plus proche, « car au-delà de trois heures de temps, les chances de survie se réduisent considérablement ».Les facteurs de risque sont relatifs à l’âge de l’individu et à son état physiologique, a ajouté le Dr Oulmane, précisant que les enfants, les personnes âgées et les femmes enceintes « sont les plus susceptibles de décéder d’une piqûre de scorpion ».Concernant le traitement des piqûres de scorpions, le docteur met en garde contre les pratiques traditionnelles. « Le seul traitement contre les piqûres de cet insecte est le sérum antiscorpionique et les pratiques traditionnelles consistant à sucer le venin, à appliquer de l’insecticide sur la piqûre ou à l’utilisation de la pierre noire sont inutiles », a-t-il prévenu.Selon le spécialiste, les moyens préventifs pour éviter les piqûres scorpioniques consistent à colmater les fissures au niveau des habitations pour éviter la pénétration des insectes à l’intérieur des maisons, à éloigner les ordures et les gravats des milieux urbains et à mettre des marches au niveau des portes pour empêcher les scorpions de rentrer dans les habitations. Il a fait remarquer, enfin, que les scorpions sont sensibles à la lumière « d’où l’importance de renforcer l’éclairage public dans les zones rurales », a-t-il recommandé.Le scorpion, un insecte de la famille des arachnides, prolifère notamment dans les régions des Hauts-Plateaux et du sud du pays, particulièrement en période printanière et estivale. Le nombre de piqûres de scorpions est lié également à la multiplication de décharges publiques aléatoires, à l’entassement des déchets et des ordures à proximité des habitations et à l’amassement des gravats et décombres devant les logements. Source
  10. La mort d’un homme relance le débat sur l’abattage des crocodiles Le groupe d'amis avait décidé de s'accorder un weekend en pleine nature pour célébrer les 30 ans d'un des leurs. La matinée avait déjà été bien arrosée, lorsque vers 3 heures de 'laprès-midi, Sean Cole, un ingénieur informaticien de 26 ans vivant à Darwin, a décidé de plonger dans la Mary River, avec un de ses amis. Alors que tous deux avaient atteint la rive d'en face et commençaient leur nage retour, le jeune homme a été attrapé et emporté par un crocodile, sous les yeux d'une quinzaine de ses proches.Après deux jours de recherche, le corps de Sean Cole a finalement été retrouvé lundi 26 août au matin, non loin du lieu du drame, grâce notamment à des témoins qui avaient vu un crocodile de près de cinq mètres remonter la rivière avec le corps.Selon le journal Northern Territory News, une étude de la zone, réalisée il y a trois semaines, avait signalé la présence de quatre crocodiles de plus de quatre mètres et d'une douzaine mesurant plus de trois mètres. Selon les rangers, n'importe lequel de ces animaux auraient pu tuer le jeune homme. Au total, quatre crocodiles ont été abattus, dont celui soupçonné d'être responsable de l'accident.Dans les Territoires du nord, des accidents impliquant des crocodiles se produisent chaque année. La dangerosité des rivières et trous d'eau du nord du pays, littéralement infestées de crocodiles pouvant atteindre jusqu'à sept mètres de long, est en effet souvent sous-estimée par les touristes et les locaux. Sean Cole et son ami - qui s'en est sorti indemnes - avaient ainsi ignoré tous les panneaux d'interdiction de baignade installés par les autorités. Mais chaque drame ne manque pas de relancer le débat sur la prolifération de ce prédateur. Après des années de chasse non contrôlée, les crocodiles ont en effet été considérés comme une espèce protégée en Australie dans les années 70. Depuis lors, leur position au sommet de la pyramide alimentaire leur a permis de croître largement, dans des proportions préoccupantes par endroits. Selon le spécialiste australien des crocodiles, Grahame Webb, se baigner dans l'Adelaïde River par exemple, située à une soixantaine de kilomètres de Darwin, revient ainsi à avoir "100 % de risques" de se faire attaquer par un crocodile marin.Face à ce risque toujours croissant, la solution de l'abattage de crocodiles, soutenus notamment par des associations de chasseurs du coin et les organismes de tourisme qui craignent pour l'image de la région, fait son chemin. D'autant qu'en Australie, les abattages d'animaux organisés par les autorités locales sont récurrentes. C'est ainsi le cas ces derniers mois dans le centre du pays où des expéditions par hélicoptères sont menées pour abattre des chevaux sauvages et des dromadaires qui pullulent et mettent en danger l'équilibre écologique du désert.Selon Grahame Webb en effet, rouvrir la chasse aux crocodiles ne serait qu'une solution "partielle"pour "satisfaire l'opinion publique". Si le scientifique ne se dit pas opposé à "des opérations menées par des professionnels dans des zones bien définies", l'effet de tels abattages serait nul sur le nombre d'accidents impliquant des crocodiles, selon lui. La nature difficilement prédictible des crocodiles rend en effet impossible la prévision de leurs déplacements, et "seuls de larges campagnes d'informations et de sensibilisation permettront d'éviter les drames de ce genre." Car "donner l'illusion qu'on peut effectivement réduire la population de crocodiles est plus dangereuse, car cela impliquerait plus de baignades à risque."Le scientifique prévient même qu'une telle campagne d'abattage réalisée sur la population de caïmans au Venezuela a contribué à faire croître le nombre d'animaux dans la région. Les chasseurs visaient en effet davantage les gros spécimens, ce qui avait pour conséquence de libérer des pans entiers de territoire repris par des petits mâles, plus nombreux. "Seuls les crocodiles eux-mêmes peuvent réguler le nombre de crocodiles présents dans la région", conclut-il. Source
  11. Le corps de l'homme happé par un crocodile retrouvé Le corps du jeune homme de 26 ans, happé par un crocodile sous les yeux de ses amis samedi, a été retrouvé. La police australienne a retrouvé lundi le corps d'un jeune homme happé et emporté par un crocodile sous les yeux de ses amis dans le nord du pays, alors que les rangers sont quasiment certains d'avoir abattu l'animal responsable.Sean Cole, 26 ans, fêtait un anniversaire avec des proches samedi lorsqu'il a décidé de plonger avec un ami dans une rivière du Territoire du nord, pourtant réputée abriter des crocodiles pouvant atteindre sept mètres de long et peser une tonne.Un crocodile l'a attrapé et emporté. Le corps du jeune homme a été retrouvé lundi matin près de l'endroit où il avait disparu, a déclaré Wade Rodgers, un des responsables de la police du Territoire du nord.Animal de 5 mètresDes témoins avaient aperçu l'animal, long de près de 5 mètres selon leurs dires, qui remontait la rivière avec le corps entre ses crocs. L'accident s'est produit dans la Mary River, à quelque 110 km de Darwin. L'ami qui avait plongé dans les eaux avec Sean Cole a survécu.Selon le journal Northern Territory News, une étude de la zone, réalisée il y a trois semaines, avait signalé la présence de quatre crocodiles de plus de quatre mètres et d'une douzaine mesurant plus de trois mètres.Quatre crocodiles ont été abattus, dont celui soupçonné d'être responsable de l'accident, a indiqué Tom Nichols, un ranger. «Nous les avons 'retirés' pour une raison toute simple», a-t-il déclaré à la radio ABC. «Nous allons procéder à des autopsies, et cela permettra à la famille de faire son deuil».Espèce protégéeSelon les médias, l'homme et son ami ont ignoré les mises en garde des autorités prévenant de la présence de crocodiles dans cette rivière.Les crocodiles sont protégés depuis les années 70 en Australie, et leur nombre n'a cessé de croître depuis lors. En décembre dernier, un enfant de neuf ans a été emporté par un crocodile de quatre mètres de long dans le Territoire du Nord australien. Source
  12. L’appareil photo volé par un crocodile, retrouvé 8 mois plus tard La résistance de certains boîtiers de typereflex dépasse toute logique. La preuve encore une fois avec un boîtier « volé » par un crocodile, puis retrouvé 8 mois plus tard.Le photographe Mario Aldecoa n’a pas vraiment eu de chance lorsqu’il s’est fait voler, il y a 8 mois de cela, son appareil photo par un alligator. Voici l’histoire complète : en janvier dernier, l’homme était bien décidé à prendre une série de clichés des alligators de l’Everglades Alligator Farm. Dommage pour lui : l’une des bêtes, intriguée par son matériel (un boîtier reflex, posé sur un trépied) a eu l’audace de l’embarquer dans sa gueule, rendant impossible toute tentative de récupération.Mais vendredi dernier, un touriste de la ferme a remarqué que l’un des alligators avait sa patte bloquée par la sangle du boîtier de l’appareil photo d’Aldecoa. L’appareil était d’ailleurs encore rattaché à sa sangle ! Détruit, le boîtier en question contenait encore les clichés pris 8 mois plus tôt, que le photographe a pu récupérer.Echaudé par cette expérience, Aldecoa a expliqué qu’il n’était désormais plus présomptueux avec les animaux qu’il devait prendre en photo. Evidemment. Source
  13. Serpents en Australie: une menace constante Dans le pays, certains serpents parmi les plus venimeux au monde s’installent directement chez l’habitant. Ils vivent ainsi, tranquilles, pendant des années. Jusqu’à ce que leurs hôtes les découvrent... le plus souvent en hurlant. Attirés vers les espaces urbains, où ils peuvent trouver rats et souris qui vivent près des poubelles, des reptiles choisissent de passer l’hiver confortablement lovés dans un grenier ou un abri de jardin. Jusqu'à ce que les habitants les découvrent, de façon fortuite le plus souvent. «Certains personnes paniquent complètement, elles hurlent», raconte Andrew Melrose, un spécialiste des serpents souvent appelé à la rescousse. «Ils disent qu’ils vont tout vendre et déménager dans un pays comme la Nouvelle-Zélande, où il n’y a pas de serpent», ajoute-t-il.Mais très souvent, cela faisait des années qu’humains et reptiles partageaient la même maison, dans une douce ignorance de l’existence de l’autre. L’homme s’aperçoit de la présence du serpent à la faveur d’un événement particulier, comme un déménagement ou des travaux dans la maison, ajoute Andrew Melrose. L’Australie abrite des animaux parmi les plus venimeux au monde: serpents, dont le redoutable taipan, araignées, méduses, pieuvres... qui peuvent tuer un humain en quelques minutes.Les morts par morsure de serpent sont cependant très rares, de une à quatre par an, car ces animaux fuient le contact avec l’homme. «Les serpents, la plupart du temps, on ne les voit pas», souligne Ken Winkel, directeur de l’unité de recherche sur le venin à l’Université de Melbourne, qui assure lui aussi que les gens vivent souvent à quelques mètres de serpents sans jamais le savoir. «C’est nous qui sommes une menace pour les serpents, plus que l’inverse. Un Australien moyen a peu de chance de voir dans sa vie un serpent dangereux», ajoute le chercheur.La plupart des accidents graves ont lieu à la campagne, ou dans l’arrière-pays, l’outback australien, mais il y a quelques cas en ville. Une vieille dame est morte en 2003 à Melbourne, mordue par un serpent-tigre, alors qu’elle s’occupait de son jardin. Et en 2007 un jeune de 16 ans a paniqué et s’est mis à courir, avec des conséquences fatales, après avoir été mordu à Sydney par unpseudonaja textilis, un serpent de couleur brune qui est le plus venimeux du monde, après le taipan, qui vit aussi en Australie. Le taipan vit principalement dans l’outback. Lepseudonaja textilis est moins dangereux, mais il occasionne plus de morts en Australie car il est plus répandu sur le territoire. «C’est un serpent très commun sur le continent australien, et il n’est pas difficile sur sa nourriture, ce qui fait qu’il se débrouille dans les zones urbaines», explique Ken Winkel. En 2012, un garçonnet de trois ans de Townsville, dans l’Etat du Queensland (nord-est), a trouvé des oeufs, les a soigneusement ramassés pour les mettre dans un pot, qu’il a ensuite caché dans une armoire. Les bébés serpents nés dans cet abri étaient despseudonaja textilis. L’enfant a eu la chance de ne pas être mordu et les petits ont été relâchés dans la nature.Andrew Melrose reçoit beaucoup d’appels de personnes persuadées d’avoir cette espèce de serpent chez eux. Il s’agit le plus souvent de serpents ou de lézards de couleur brune, mais inoffensifs. Il recommande de ne pas les déranger. «Ils ne peuvent pas faire de mal et repartiront probablement d’où ils viennent. Dans plein d’endroits, ils vivent en harmonie parfaite avec les habitants», assure-t-il.Jim et Carolyn Bland ont vécu pendant des années avec un nid de serpents au-dessus de leur tête, sans le savoir. «On avait trouvé un jour des peaux de serpents (issues de la mue: ndlr) dans la cour de derrière, raconte cet habitant de Sydney. Mais je n’ai pas pensé que ça venait d’animaux vivant dans notre maison.» Et c’est lors de réparations sur la toiture que les couvreurs ont découvert trois serpents verts, des dendrelaphis punctulata, inoffensifs. «Nous ne nous étions jamais inquiétés car on ignorait leur présence», déclare Carolyn Bland, ajoutant qu’elle avait été bien plus ennuyée par la présence, sous le toit, d’un opossum bruyant! Source
  14. Un serpent s'invite dans le hall d'une maison de retraite Le Service départemental d’incendie et de secours du Cher pense avoir capturé le reptile vert qui a été aperçu par plusieurs habitants de Saint-Florent-sur-Cher.Ce serpent a été découvert dans le hall de la Résidence du Parc, hier peu avant midi, par une employée de cet Etablissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) situé rue Paul-Vaillant-Couturier, non loin du quartier Beauséjour où l’animal avait été plusieurs fois signalé depuis une douzaine de jours. Il s'agirait d'une couleuvre. Source
  15. Le scorpion fait 1.430 victimes en sept mois à Ghardaïa Mille quatre cent trente (1.430) cas d'envenimation scorpionique, ont été signalés à travers les treize communes de la wilaya de Ghardaïa de janvier à fin juillet de l’année en cours, a-t-on appris auprès de la direction locale de santé.Trois enfants en bas âge de la localité d’El-Menea ont succombé à l’inoculation du venin de scorpion, a-t-on fait savoir. Le plus grand nombre de piqûres de scorpions a été enregistré dans la commune de Guerrara avec 366 cas, suivie des communes de Ghardaïa (253), Métlili (151), Berriane (147), Daya Ben Dahoua (138), Bounoura (115) et El-Menea (79), selon les statistiques de la Direction de la santé.Ce nombre "assez élevé" d’envenimations dues aux piqûres de scorpion, enregistré dans la wilaya de Ghardaïa, est du au contexte bioclimatique et de la scorpiofaune riche et diversifiée de cette région aride, a soutenu un chercheur universitaire.La région de Ghardaïa compte trois espèces de scorpions, "venimeuses et dangereuses, de couleur noire, jaune et ocre, qui se manifestent souvent en période estivale dans les sites rocheux, les maisons construites en pierres et dans les lieux désertiques", a-t-il expliqué.Un médecin de Ghardaïa a souligné, de son côté, que les enfants restent les plus vulnérables à ces piqûres de scorpion, devenues un véritable problème de santé publique dans les wilayas du sud et nécessitant la mobilisation de l’ensemble des secteurs afin de réduire ce fléau dont le coût de prise en charge de ses victimes s’élève à plus de dix milles dinars par personne hospitalisée."L’insalubrité publique, l’insuffisance de l’éclairage public et le manque d’éducation sanitaire, sont les principaux facteurs favorisant la prolifération de ces insectes venimeux dans les zones urbanisées et d’habitation", a indiqué le médecin, en appelant à la création d’un centre antipoison dans le Sud à même de "répondre à l'urgence et permettre les pratiques en toxicologie clinique et analytique".Les animaux venimeux étant la première cause d'intoxication dans les wilayas du sud, a-t-il noté. Concernant les opérations de collecte et de ramassage de ces insectes venimeux au profit de l’Institut Pasteur d’Algérie (IPA), elles ont connu "une démobilisation totale" expliquée par les responsables des bureaux d’hygiène des communes, par l’absence d’une enveloppe budgétaire pour ces collectes initiées à travers l’ensemble du territoire de la wilaya, dans le but de réduire la prolifération de ces scorpions et permettre à l’IPA de fabriquer des sérums anti-venin.Quelque 434 scorpions seulement ont été ramassés depuis le début de l’année en cours par des jeunes bénévoles à Mansoura (384), Zelfana (26), et El-Atteuf et Daya Ben Dahoua (9), signalent-ils. Source
  16. Un serpent découvert dans un vide poubelle Les riverains de l’avenue Coghen, à Uccle, ont eu une surprise de taille, jeudi matin. Un serpent roi (aussi appelé lampropeltis) a été découvert dans un vide poubelle. Ce reptile n’est pas dangereux pour l’homme, mais sa morsure peut néanmoins s’avérer très douloureuse."L’animal était aussi assez agressif. Il était d’ailleurs impressionnant, car il sifflait et s’était dressé en forme de S", précise Dominique Hoste, soigneur au centre de revalidation de la faune sauvage de la Région bruxelloise et présent sur les lieux. Cela dit, l’homme a l’habitude. "Je suis appelé une fois par mois en moyenne pour récupérer des reptiles", précise-t-il. Muni de gants, il a donc saisi l’animal à l’aide d’un crochet à serpent, l’a placé dans une boîte et emmené au centre pour animaux sauvages, à Veeweyde. Il y est nourri et choyé en attendant de trouver un nouveau propriétaire, qu’il s’agisse d’un particulier ou d’un zoo. Pairi Daiza est une possibilité.Ce serpent roi jaune et noir est originaire des États-Unis, plus particulièrement de Californie, mais s’est beaucoup répandu dans nos contrées ces dernières années, notamment en raison de l’engouement pour les NAC, les nouveaux animaux de compagnie. "Le lampropeltis s’est donc déjà reproduit des centaines de fois en Belgique", précise encore Dominique Hoste. "Ce spécimen a pu s’échapper seul de son terrarium ou bien être abandonné par son propriétaire."Les amateurs de reptiles ne se rendent en effet pas toujours compte du coût d’entretien de ces animaux."Notamment en électricité. Il faut compter environ 100 euros par mois", estime encore Dominique Hoste. Ce qui explique que certains propriétaires peu scrupuleux décident de s’en débarrasser. Source
  17. Accusations contre les propriétaires des 40 pythons saisis en Ontario Un couple du sud de l'Ontario a été accusé de cruauté envers les animaux à la suite de la découverte de 40 pythons royaux et de cinq oeufs dans une chambre de motel.Les reptiles, dont certains mesuraient plus d'un mètre de long, ont été trouvés la semaine dernière dans des bacs de plastique, dans une chambre du Bell City Motel à Brantford, en Ontario. La SPCA ontarienne affirme que les serpents étaient déshydratés et qu'ils n'avaient pas assez d'eau ni d'espace.Les propriétaires des serpents n'étaient pas sur les lieux lors de la découverte, mais la SPCA rapporte qu'ils ont par la suite rendu leurs animaux aux enquêteurs.Un homme et une femme sont accusés d'avoir causé la souffrance de leurs animaux, de n'avoir pas apporté les soins nécessaires à leur bien-être et de ne pas leur avoir fourni assez d'eau. Source
  18. Chez Tchoupi le caméléon et Kalash le pogona... Boa, couleuvres, caméléon, poissons, grillons et autres criquets ont élu domicile à La Crèche chez Johann et Élise où le spectacle est permanent.A sept ans, Johann, enfant de l'Oise, a adopté son premier poisson rouge. Dix-huit ans plus tard, le jeune homme s'est constitué une véritable arche de Noé dans sa maison de La Crèche : ici, le boa, le caméléon, les deux pogonas, les deux couleuvres asiatiques, l'américaine couleuvre elaphe guttata et les poissons vivent comme des coqs en pâte. Il faut dire que leur hôte a les qualités requises pour les dorloter. Johann Petry est vendeur chez Animal & Co. Et si on ne le trouve pas dans l'animalerie de Chauray, on le rencontre au gré des aquariums qu'il nettoie chez les particuliers.Le plus mordant c'est le hamster !Entré dès 14 ans en stage à l'école animalière de Cravans qui l'a formé, ce fan de reptiles est effectivement tombé dans la marmite exotique quand il était tout petit. Monsieur est un contemplatif. « Les gens qui perdent leur temps à regarder la télé diront que je perds mon temps à regarder mes animaux », lâche-t-il, malin. Chez lui, c'est un spectacle permanent.Élise a fini par partager aussi sa passion. « La première fois qu'il m'a amené le boa, j'ai hurlé ! C'était le jour de son anniversaire… il m'a raconté qu'on lui avait offert… », rigole la jeune femme. Tu parles, Charles ! On n'est jamais si bien servi que par soi-même et Johann s'était payé là son premier reptile. Un peu plus de deux ans plus tard, la demoiselle boa de la maison glisse sur son maître avec volupté. « C'est un engagement quand on sait qu'un boa vit une trentaine d'années. Elle mesure 1,50 m et ira jusqu'à 2,30 m. Le fait d'en voir en magasin depuis huit ans me tentait, mais je voulais apprendre l'animal, savoir si j'étais capable de m'en occuper, surtout, et de l'assumer. Cela n'a rien à voir avec tous ces achats compulsifs que l'on retrouve ensuite sur des pages entières du Bon Coin », tempère le jeune rappeur que l'on croise aussi sur Internet sous son pseudo de LaskarOmic.Son regard affûté de vendeur en animalerie est très intéressant pour éclairer ce phénomène de mode des nouveaux animaux de compagnie (Nac). « On a vraiment tous les profils d'intéressés : ceux qui ne pensent pas même avoir des reptiles à la maison, avec des tortues domestiques ou des lézards. Et les passionnés du comportement, amoureux de l'esthétique, plutôt des jeunes de 20 à 35 ans. Je repère assez vite les actes compulsifs. Dans ces cas-là, j'insiste plutôt sur les inconvénients… », confie Johann.C'est un budgetLa passion a un coût. Entre le matériel et les animaux, Johann a investi un millier d'euros. Ce n'est pas tout. Ici, les grillons qui chantent sont consommés par les pogonas, les souris et autres rats congelés pour nourrir les serpents, les criquets pour le caméléon : il faut compter 250 € de budget mensuel pour alimenter ces charmants protégés.Même s'ils ne sont pas venimeux, ces reptiles n'ont pas forcément bonne presse. « Oui, c'est agaçant d'en entendre parler quand il se passe quelque chose de négatif. Pour leur équilibre, il est déconseillé de les manipuler à grande échelle. Et, au même titre qu'on ferme son portail quand on a un chien, les terrariums restent fermés. C'est logique de les garder sous surveillance. Ce sont des animaux, tout de même », explique le passionné. Reste qu'il ne faut pas trop pousser madame le boa dans les orties. « Les Nacs qui m'ont le plus mordu sont pourtant les hamsters. Il y a plus de chances de se faire mordre par un hamster parce que lui, ne prévient pas ! Le serpent lui, vous montrera d'abord qu'il n'est pas content ».Pas de vacances pour les reptiles, ni pour leurs maîtres. « On ne part pas », confirme Johann. A ses côtés, Élise s'est faite à son petit monde. Les deux seuls animaux qui portent un nom sont d'ailleurs ses chouchous : Kalash, madame pogona et Tchoupi, le caméléon. Magnifique caméléon, vraiment. Source
  19. Hérault : il se retrouve nez à nez avec un varan géant dans son jardin Vendredi, un habitant de Saint-Pons-de-Thomières, dans les Hauts Cantons héraultais, a eu la surprise de découvrir un varan d'un mètre de long dans son jardin !Surprise pour les pompiers appelés vendredi vers 13 h, pour récupérer un gros lézard dans le jardin de Jacques Bonnafé dans les rocailles juste au pied de la colline du Lauzet, sur l’avenue de la gare à Saint-Pons-de-Thomières.Un lasso pour capturer l’animal ! Arrivée rapidement sur place, l’équipe de garde a jugé que l’intervention dépassait ses compétences et appelé en renfort le vétérinaire local, Goovaert Koen, qui a dû user d’un lasso pour capturer l’animal dans de bonnes conditions.Un mètre de long pour un poids de 6 à 7 kgIl s’agissait en fait d’un… varan, certainement des savanes, d’un bon mètre de longueur et pesant quelque 6 à 7 kg. Quant à savoir d’où il venait, la question reste bien entendu posée. A-t-il échappé ou été abandonné par un amateur de"Nac", les nouveaux animaux de compagnie ? A-t-il quitté la ménagerie d’un des derniers cirques qui passent de temps à autre et font halte dans l’agglomération ?En tout cas, à la seule vue de l’animal en parfait état "il n’y a pas très longtemps qu’il était dans les parages où il avait déjà pris ses habitudes dans ce qui devait être son terrier". Source
  20. Emporté par un crocodile sous les yeux de ses amis Un Australien a été emporté par un crocodile alors qu'il tentait de traverser une rivière à la nage avec un ami. Une quinzaine de leurs proches ont assisté au drame. Le jeune homme fêtait un anniversaire avec des amis lorsque le crocodile l'a happé. Un Australien de 24 ans a été emporté par l'animal, sous les yeux d'une quinzaine de personnes.La victime et un ami voulaient traverser une rivière pourtant réputée pour abriter de nombreux crocodiles, dans le nord du pays. Les deux imprudents ont donc plongé dans l'eau. Leurs amis les regardaient avancer losqu'"ils ont vu le crocodile qui le prenait entre ses machoires", a expliqué a expliqué le sergent Geoff Bahnert. Un crocodile abattu par précaution Pour l'heure, la police n'a pas retrouvé le corps du jeune homme mais les recherches se poursuivaient dimanche. Par précaution, le plus grand crocodile des environs a été abattu. Dans cette région du nord, à une centaine de kilomètres de Darwin, les reptiles peuvent atteindre jusqu'à sept mètres de long et peser une tonne.Selon les médias, l'homme et son ami ont ignoré les mises en garde des autoritésqui avertissaient de la présence de ces animaux dangereux. "C'est l'une des rivières de ce territoire les plus peuplées (de crocodiles), il y en a un gros tous les deux kilomètres", a commenté un employé de la ville, Erin Bayard.En décembre dernier, un enfant de neuf ans a été emporté par un crocodile de quatre mètres de long dans le Territoire du Nord australien. Source
  21. Un million de cafards s'échappent d'une ferme en Chine: les habitants appelés à garder leur calme Au moins un million de blattes se sont échappées d'un centre d'élevage dans l'est de la Chine, où un expert sanitaire a demandé aux habitants alentour de conserver leur calme, a rapporté la presse. Ces cancrelats devaient servir à la fabrication de produits de la médecine traditionnelle chinoise, a précisé le journal Xiandai Kuaibao. Les cafards se sont disséminés après qu'un "individu non identifié" a détruit la serre de reproduction de la ferme d'élevage où ils étaient conservés, dans la commune de Dafeng, a ajouté le quotidien basé à Nankin. Les autorités sanitaires de la province du Jiangsu ont dépêché cinq spécialistes chargés de concevoir une vaste opération de désinfection pour éliminer les insectes. Un expert a demandé à la population de "ne pas paniquer".Le propriétaire de la ferme, Wang Pengsheng, avait investi plus tôt cette année plus de 100.000 yuans (12.200 euros) pour acquérir 102 kilos d'oeufs de periplaneta americana, une espèce de blattes. Les oeufs une fois éclos, M. Wang s'était retrouvé avec plus de 1,5 million de larves, qu'il avait nourries avec des fruits et des biscuits. Source
  22. Une vertèbre de crocodilien marin à la Maison du fossile - Lion-sur-Mer Début juillet, Patrick Colle, un habitant de Langrune-sur-Mer a découvert un curieux objet sur la plage de sa commune. Intrigué par la forme inhabituelle de cet objet en forme de sablier, il comprend vite qu'il s'agit d'un fossile. La question qu'il se pose alors est : « De quel animal s'agit-il ? ». Fin juillet, Patrick Colle décide de montrer sa trouvaille à la Maison du Fossile à Lion-sur-Mer.Laetitia et Francis Dubrulle, les responsables de ce musée privé, sont épatés par cette étonnante trouvaille et lui expliquent immédiatement qu'il s'agit d'une superbe vertèbre de crocodilien marin.164,7 millions d'annéesDepuis plus de 40 ans, Francis et Laëtitia Dubrulle, respectivement paléontologue et docteur en géologie, recherchent, découvrent et déterminent les plus beaux spécimens sur tous les sites de la région, mais aussi de l'Hexagone. Ils ont créé en 1997 à Lion-sur-Mer, la Maison du fossile pour faire partager au plus grand nombre le fruit de leurs recherches. « Le rare fossile remonte au Jurassique moyen et aurait donc 164,7 millions d'années. C'est l'époque où vivaient des dinosaures sur les continents », explique Francis Dubrulle. Les responsables de la Maison du fossile conduisent Patrick Colle dans les collections et lui montrent des vertèbres semblables mais plus récentes.M. Colle décide généreusement de confier la vertèbre à la Maison du fossile pour qu'elle soit montrée au public et étudiée. « Vers 1820, des crocodiliens marins comme le Teleosaurus cadomensis avaient été trouvés dans la Pierre de Caen, datée du Bathonien inférieur. Mais jamais un os de crocodile n'avait été découvert sur la Côte de Nacre ». La vertèbre est visible depuis le début de la semaine à la Maison du fossile.Les premières investigations auprès de spécialistes ont permis de confirmer qu'il s'agit bien d'une vertèbre cervicale postérieure de crocodilien. Les études ultérieures diront peut-être de quelle espèce de crocodile il s'agissait. « À cette époque, les Teleosaurus et les Metriorhynchus sortant de la mangrove, nageaient dans la mer tropicale pour attraper des poissons. Ces reptiles marins de 3 à 5 m, avaient des nageoires et des queues aplaties, adaptées pour chasser leurs proies en nageant », indique le paléontologue. M. Colle continue de se promener à la recherche du reste du crocodile. Rassurez-vous selon nos informations, il n'y a actuellement plus de crocodiles vivants sur la Côte de Nacre.Lion-sur-Mer, Maison du fossile, 2, place des victimes du 2 juillet 44, tél. 02 31 96 88 00. Ouvert pendant les vacances scolaires de 14 h à 18 h, tous les jours sauf le mardi.Tarifs : adulte : 5 €, réduit : 4 €, enfant : 3 € (de 6 à 12 ans), gratuit pour les enfants de moins de 6 ans. Source
  23. Saint-Symphorien : un serpent d'1m50 découvert sur la Grand-Place Ce jeudi soir, la découverte d'un serpent sur la Grand-Place de Saint-Symphorien a mobilisé jusqu'à tard dans la soirée trois pompiers de Mons ainsi qu'une équipe de la police de Mons-Quévy. Peu avant 21h30, un promeneur était en effet tombé nez à nez avec un serpent "corail" (cfr. photo) de plus d'un mètre qui rampait tranquillement sur la Grand-Place. Il a immédiatement contacté les secours. A leur arrivée, les pompiers ont aperçu le serpent de couleurs rouge et noir. Mais la bestiole s'est très vite dérobée à leurs regards pour aller se réfugier sous les roues d'une voiture de marque Ford stationnée sur la Grand-Place.Sous les yeux hébétés des riverains, trois pompiers, rejoints ensuite par une équipe de la police de Mons, se sont donc affairés à rechercher le fuyard. Peu avant 23h, ils ont pu faire en sorte de faire redescendre le serpent qui s'était logé dans le moteur vers le bas de caisse, de sorte de pouvoir procéder à son "interpellation". Une capture qui ne s'est pas révélée si évidente, les moyens étant rudimentaires et l'animal n'ayant pas forcément envie d'être dérangé. Le serpent a ensuite été emmené par les forces de l'ordre. Source
  24. Les pompiers de Verviers à la chasse au scorpion Un scorpion a été retrouvé par les pompiers rue Lucien Defays. Le petit animal était déjà mort à l'arrivée des secours. Les pompiers de Verviers ont reçu un appel peu courant hier en début d'après-midi: il était question d'un scorpion en vadrouille rue Lucien Defays.Deux pompiers se sont donc rendus sur place pour attraper l'animal. Une bête qui pouvait être une source de danger potentiel. Finalement, les pompiers ont vite compris qu'il n'en serait rien.Le petit scorpion (2 centimètres de long), qui avait toujours son dard, se trouvait dans un seau d'eau. C'est en allant vider l'eau, qu'une dame a découvert l'animal au fond du seau.À l'arrivée des pompiers, l'affaire a donc été réglée en deux minutes puisque le petit animal était mort. Il a été emmené à la caserne, mais personne ne sait d'où il venait... Source
  25. Un dresseur de crocodiles en visite au zoo de Bâle Après seulement une semaine d’entraînement, l’un des crocodiles australiens a déjà appris à venir lorsqu’on l’appelle. Le dressage a pour but d’améliorer la sécurité des soigneurs et de favoriser le bien-être des animaux. Les crocodiles font preuve d’une remarquable capacité d’apprentissage, que l’on ne soupçonne pas habituellement. C’est cette capacité qu’exploite Ralf Sommerlad, dresseur de crocodiles. Après une semaine, l’un des crocodiles, normalement très timide, a réagi pour la première fois à l’appel du dresseur et est venu vers lui. Les trois autres le regardent avec curiosité, ce qui est en soi déjà un progrès. Ils ont tout d’abord dû s’habituer à ne pas fuir au moindre contact.«Logan» se donne en spectacleLes crocodiles ne sont pas des animaux de compagnie que l’on peut caresser. C’est pour cette raison que Ralf Sommerlad travaille avec un bambou de 2,5 mètres, appelé dans le jargon «target». Au début, les animaux recevaient des pieuvres et autres friandises en guise de récompense. Au fil du temps, les friandises doivent laisser place à une caresse sur le museau. Le meilleur élève «Logan» a déjà passé cette étape. L’objectif du dressage est que les crocodiles sortent de l’eau lorsqu’on les appelle et qu’ils touchent le «target» avec leur museau. Le soigneur peut alors faire venir le crocodile là où il le souhaite, par exemple dans une caisse de transport. Cela permettra également aux vétérinaires d’examiner les animaux et de prélever des échantillons de sang sans anesthésie. Le dressage n’a pas seulement pour but d’améliorer la sécurité lors des soins quotidiens, mais favorise avant tout le bien-être des animaux. «Les crocodiles attendent les séances de dressage avec une réelle impatience», explique Sommerlad. «Après deux ou trois semaines, ils se tiennent prêts à l’heure du dressage en attendant que l’on arrive.»Les crocodiles comprennent les ordresLes crocodiles comprennent les différentes instructions. La première étape est un stimulus tactile à l’aide d’un bâton «target». Cependant, avec le temps, les crocodiles sont aussi capables de réagir aux stimulus visuels, comme les gestes manuels, ou aux instructions données à haute voix. «Je connais un groupe de crocodiles qui réagit à 30 ordres différents», affirme Ralf Sommerlad. «La plupart des chiens ne font pas le poids». Mais il existe également des différences parmi les crocodiles. En effet, depuis le début du dressage, le crocodile «Logan» se montre particulièrement studieux, tandis que la femelle la plus soumise est plutôt frileuse.Le premier zoo à dresser des crocodiles australiensJusqu’à présent, peu de zoos en Europe ont effectué un dressage ciblé de leurs crocodiles. Le Zoo de Bâle est le premier zoo à tenter l’expérience avec des crocodiles australiens. Il est crucial que le dressage soit effectué quotidiennement, même lorsque Ralf Sommerlad aura quitté le zoo. Le soigneur des reptiles, Christoph Studer, et son équipe poursuivront les séances avec les quatre crocodiles, tous les jours à 15h (jusqu’à fin août, les séances de dressage auront lieu tous les jours, sauf les 26 et 31 août). Cette expérience est également très intéressante pour le public. Le soigneur commentera les exercices et répondra aux questions.Menacés depuis peuLe danger d’extinction des crocodiles australiens n’était pas d’actualité jusqu’il y a peu. Malheureusement, les choses ont changé. Les Crapauds buffles introduits en Australie à partir de 1935 se sont multipliés massivement et menacent aujourd’hui cette espèce de crocodile. Chaque année, des milliers d’animaux meurent empoisonnés par ce crapaud, qui fait partie des plus gros amphibiens du monde. Les crocodiles adultes qui les mangent y succombent. Quant aux jeunes crocodiles, ils consomment les têtards qui, en grande quantité, peuvent contenir une dose de poison tout aussi mortelle. L’introduction artificielle des Crapauds buffles et ses effets néfastes sur l’environnement représentent un exemple concret des énormes risques qu’engendre une lutte biologique incontrôlée et irréfléchie contre des ravageurs. Les Crapauds buffles ont été importés dans de nombreuses régions du monde, car on a longtemps pensé qu’ils pouvaient être utilisés pour lutter efficacement contre les nuisibles agricoles. Source
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