etienne01

Je ne crois pas. Bien avant les mains, se sont les extrémités des ailes les plus fragiles. Un rapace à la possibilité de se réchauffer les mains patte en plumes. Je n'ai jamais vu un oiseau avec un doigt gelé, les ailes souvent.

Attention avec les harris. Ce ne sont pas seulement les tarses qui craignent, mais également les ailes !!! Emmitoufler les tarses de vos oiseaux ne sert à rien. Il faut les protéger du froid dans des volières isolées. Les froids de Belgique, n'ont rien à voir avec ceux des Alpes ou du canada. Les températures largement inférieures à 0° durent plusieurs semaines, avec des froids très secs auquels rien ne résiste, notamment les harris. Ces oiseaux ne sont pas fait pour supporter des températures aussi basses avec un froid constant, ni en vol, ni à la perche. Si tu as décidé d'arrêter ton oiseau, tu as fait le bon choix, reste désormais à isoler ta chambre de mue. Un pélerin tient avec des froids de -20/-30 de plusieurs semaines sans aucun problème ( certains se baignent même avec ces températures !) un harris est cuite dès -10 / -15 en 2 jours.

Erreur... Il s'agit du second faisan pris au faucon sur l'ile de houat... Tu as oublié la saison 2009...

Génial ! L'homme de l'art et rien que ça Vu le commentaire de la fin : "mon cochon" Tu aurais pu également titrer l'homme du...lard

En l'occurence en France, le législateur dans sa grande sagesse a répondu à ces questions. 1. La chasse au vol permet la détention des rapaces à des fauconniers qui les utilisent à cet effet. Le législateur considère que la détention des rapaces est justifiée à des particuliers aux motifs qu'on les fait chasser et dans ce seul cas. 2. Les voleries peuvent détenir des rapaces pour une présentation pédagogique au public. La législateur considère que la détention de rapaces est justifiée aux motifs d'une utilisation pédagogique. Nulle hyprocrisie, nulle privation inutile de liberté, mais une utilité reconnue pour le bien être des oiseaux et leur protection dans les deux cas. Pour ce qui concerne les fauconniers, un art reconnu comme tel désormais inscrit au patrimoine immatériel de l'humanité et qui ne saurait être remis en question par le premier freluquet venu avec une paire de jumelle au cou, comme seule référence.

Oui... Je connais très bien... Je viens d'acquérir la même.

Ces oiseaux sont tout de même incroyables... A première vue qui penserait à du pélerin, la tête est parfaitement blanche.

Belles mains. Un pélerin qui sort de l'ordinaire, pas assez rond à mon gout.

Ramilizz les bains...en dessous une mer de betteraves..

Je crois que Glassbreiz dispose d'un matériel similaire. Effectivement pas mal, cela permet d'avoir toutes les fréquences surtout quand on est plusieurs fauconniers avec des fréquences différentes. De mémoire, le pb reste l'antenne directionnelle.

Un des grands principe de la prédation : la fuite déclenche l'attaque.

Poil ras, grande gueule et ventre rose : pas de doute c'est un cochon ou un pointer.

Je n'ai jamais abusé de l'alcool : il a toujours été consentant.

Tu as encore perdu ton crécerelle ?

Félicitation à Tophe !

ублюдок!

Мишель, RIGO платят в десять раз больше, богаче! И все мы!

Il avait peur de devoir nous inviter, c'est pour ça qu'il s'est fait passer pour un rosbeef !

Espèce d'escroc ! Tu peux pas écrire en Français ? Ou tu veux te faire passer pour un américain ?

Il n'est pas question que je confie mes oiseaux, ni à un débutant, ni à un fauconnier confirmé ! Pour ce qui me concerne, c'est dès la première année que je lui confie son oiseau, et on commence le faucon qu'il souhaite voler. Le gros problème aujourd'hui, c'est qu'il n'y a plus d'apprentissage. Ce n'est plus le fauconnier confirmé qui apprend à un jeune, mais une harris ! Les parrainages sont fictifs, résultat n'importe qui se retrouve avec un oiseau au poing sans rien connaitre. Il faut démarrer avec son oiseau, faire son oiseau et sa fauconnerie, apprendre de ses erreurs et de ses réussites.

Eh ben oui... Il faut choisir, soit d'apprendre à faire connaissance, soit de payer le prix fort pour ne rien apprendre, si ce n'est que la fauconnerie ne se vend pas. Heureusement, l'amitié, la cordialité, le partage d'une passion, l'échange sincère entre un fauconnier et un débutant, ne s'achètent toujours pas. On entre en fauconnerie par passion, pas pour en vivre, mais au contraire pour tout y sacrifier. Ce n'est pas un job, c'est un sacerdoce. Ce n'est pas un hobby, c'est une contrainte quotidienne.

Je rejoins assez le dernier post.... Comment avons-nous bien pu faire, sans internet, sans mail, sans portables, sans forum ???? Il y a 30 ans, sans aucun moyen de communication, sans moyens, sans aucune connaissance, nous parvenions à trouver des fauconniers disponibles à l'autre bout de l'Europe !!!!!!!!! Et désormais des pleurnicheurs se plaignent parce que dans un rayon de 20 Km, il n'arrivent à trouver personne de disponible sur 12 fauconniers !!! Qu'on arrête le cinéma, celui qui aujourd'hui n'arrive pas à se faire un contact ou une connaissance, sera totalement incapable de fournir les efforts nécessaires pour chasser au vol. Très clairement, j'imagine mal le dégourdi incapable de décrocher son téléphone, d'envoyer un mail ou de faire 20 bornes pour se présenter, capable de courrir derrière un oiseau.

La chasse au vol est un art qui ne se vend pas, mais se transmet. Lorsque vous aurez compris et admis cela, vous aurez déjà fait un premier pas dans ce milieu. Aussi curieux que cela puisse paraitre, il existe encore des passions (et des passionnés ) qui ne s'achètent pas, mais se gagnent, s'apprennent, se construisent. On "entre" pas en fauconnerie comme on prend son billet pour aller voir un match de foot.

Ouhaou.... l'analyse pour un anneau cassé... J'imagine l'expertise si tu te casses un ongle.

Je sens poindre un soupçon d'énervement... "Las de se faire aimer, il voulait être craint" Telle semble être la triste destinée du pointerman qui, las de réussir à convaincre ou se convaincre lui même des performances de son triste cabot, finit par préfèrer médire sur celles des autres chiens.. Tondez, tondez, vous aurez ainsi le sentiment d'avoir un pointer réussi, car en définitive qu'est-ce qu'un pointer sinon un setter chauve ?