etienne01

On se demande si pour continuer à pratiquer la fauconnerie, il ne va pas bientôt falloir être ingénieur ou informaticien ! Une chose me parait claire, on est au début du GPS, il est évident que les systèmes vont et doivent évoluer dans les prochaines années. Il a toujours trop de relais, via radio, via sms, via drone pour retrouver le GPS....avec des limites de portées et de délais. Enfin, les systèmes les relais téléphoniques de réception sont aléatoires. Tous ces solutions offrent aujourd'hui un vrai plus, il s'agit d'une réelle avancée mais toujours pas d'une solution absolue. Il faut arriver à un système Gps avec localisation directe et permanente sur GSM, avec localisation sur Iphone ou tablette de type Google map ou équivalent.

Message pour les utilisateurs : si un sujet, ne vous intéresse pas, il suffit de ne pas y répondre pour ne pas renouveler le sujet et plus personne n'y accède.... Chaque message posté, relance le post : pas de message, plus de visibilité sur le portail : c'est aussi simple.

Si vous êtes intéressé par le Gypaète, je vous recommande de contacter ASTER en Haute-savoie. Bien à vous.

Très gothique !

Oui : ne rien faire ??

Je ne suis pas vétérinaire, mais on dirait bien qu'il s'agit d'une fracture !

Oui, la seule question est : qui est le spécialiste.... Si il s'agit de la pince, l'affaire est sérieuse, il ne faut pas aller voir un véto spécialisé en hamster. Même pour une luxation, simplement tenir le doigt parait recommandé. Les doigts des rapaces sont très peu vascularisés, je ne vois donc pas bien un risque de nécrose avec un simple bandage qui maintient une gouttière.... Par ailleurs, la liberté en volière pour ce genre de problème...J'ai aussi un doute. Le mieux est l'immobilisation, soit partielle, soit par chaperonnage de l'oiseau. A moins qu'il ne s'agisse que d'un léger traumatisme et pas d'une réelle fracture ou luxation.

J'ai eu ce problème . Je ne suis pas véto, et sans préjuger du diagnostic, laisser le doigt libre et surtout la pince, j'ai un gros doute.... Nous avons toujours laissé une gouttière en polymère entourée d'élasto pour maintenir le doigt, jusqu'à recalcification. Cela s'est toujours consolidé sans le moindre problème ni séquelle. Il faut demander confirmation à un véto spécialisé.

Génial !

Oh merde !!! Oui erreur de frappe.... lire "dessus" et pas "dessous" .... La bague positionnée dessous, monte en plus la hauteur des jets qui, si ils sont trop larges blessent l'oiseau à la cuisse. Je viens en plus d'avoir le cas avec un oiseau importé... Main complètement enflée, changement de position des jets, désinfectant, anti-inflammatoire et tout a été réglé en une semaine.

On ne voit pas les photos...

Oui, tout à fait. Pour prévenir ce genre de risque le mieux est que l'oiseau soit identifiable et les voisins prévenus...Les sonnettes sont également un facteur limitant. Sur les nouveaux territoires de vol, il faut y aller progressivement et ne pas hésiter à se faire connaitre de l'entourage immédiat. Quand les gens savent ou ont entendu parler de.., cela permet de limiter les débordements.

Et quelle est la tête d'un gars qui n'a rien à se reprocher ? C'est hélas un des risques de notre pratique... Sans excuser le geste, ni la faute, il est humain de protéger son patrimoine. Quand un renard ou une fouine tourne autour de mes faucons, je ne fais pas non plus dans la finesse...

Oui Nebli, il est impossible de baguer un oiseau ...à la cuisse... Par contre, il fort probable que les jets aient été posés en dessous de la bague !! ( dessus !! ) Et quand l'oiseau tire, la bague coincée entre le jet et le tarse, lui rentre dans la chair.... Tout cela en dit long sur les compétences et le sérieux du vendeur, ainsi que sur les soins prodigués à l'oiseau ...

Il ne s'agit en général pas de tare comportementales, mais de défauts d'apprentissages. Tout se passe à l'élevage, puis ensuite dès les premières prises sur le terrain. Si une étape est grillé, le pas est pris, l'oiseau n'assimile pas prise et nourriture. Cela ne vient généralement pas de l'oiseau, mais du fauconnier...

Non, il faut être précis, le terme n'est pas "pourrait se caractériser" par.... L’arrêté du 10 août 2004 fixant les règles générales de fonctionnement des installations d’élevage d’agrément d’animaux d’espèces non domestiques en son Chapitre IV – Article 20/III est parfaitement clair : "L’autorisation permet l’exercice de la chasse au vol pendant le temps où la chasse est ouverte. Elle permet en outre la mise en condition et l’entraînement des oiseaux après la date de la clôture générale de la chasse en application de l’article R. 227-23 du code de l’environnement, à condition que cet entraînement soit effectué sur des animaux d’espèces classées nuisibles dans le département et à partir du 1er juillet jusqu’à la date d’ouverture de la chasse, à condition que cet entraînement soit effectué sur du gibier d’élevage marqué." En clair, entrainer sur gibier d’escape ne relève pas du droit de chasse, car cela n’est pas considéré – et à juste titre – comme un acte de chasse, mais comme un entrainement et une mise en condition. Dans ce cas, l'entrainement des oiseaux est autorisé après la date de clôture générale et avant la date d'ouverture générale sous les conditions précitées. Dans les faits, ce qui intéresse surtout les fauconniers c'est de pouvoir démarrer l'entrainement à partir du 1er Juillet de chaque année.

Auto-satisfaction proclamée de l'éleveur ou talent du fauconnier ? Ce jeune fauconnier serait-il enfin parvenu à faire d'un âne un cheval de course ? Bravo à lui et félicitations pour sa modestie !

Un courlis ! Chapeau bas l'artiste !

Il faut arrêter la plaisanterie et le bricolage... On achète pas un oiseau dans ces conditions, point barre. Il y a assez d'éleveurs sérieux pour éviter d'aller s'embarguer dans ce genre de gonfle.

Incroyable ! Je suis sur que c'est le mien. Je l'ai perdu l'an passé et il a filé droit en direction du Québec. J'aimerai bien le récupérer...

Ces récits me font rêver, je suis presque tenter de reprendre un tiercelet d'autour... Bravo et merci pour ces expériences.

Triple erreur : 1. Erreur de stratégie et de casting 2. Erreur de gestion de la crise 3. La plus grave : Erreur de communication Quand de tels erreurs sont commises, il faut les dénoncer publiquement, se porter partie civile, et communiquer sur l'identité réelle de la chasse et des chasseurs. En refusant cette réalité, les fédérations se font complices, voire pire, instigatrices de ces méthodes.

Quelle honte. Les vérités ne se colportent pas, elles se dévoilent et c'est très bien. Couvrir par le silence des débordements aussi affligents revient à les accepter. Les fauconniers doivent être en première ligne pour dénoncer de tels scandales, comme il l'ont toujours fait.

Bravo et merci. Vous êtes la preuve qu'il n'est pas vain de se battre pour défendre des idées, et surtout les faire comprendre. N'hésitez pas à me contacter si vous passez dans le coin.

Du calme mon ami, il n'y pas de polémique. Tout le monde n'a pas votre talent, ni votre modestie, ni en fauconnerie, ni en dressage, ni dans l'art de la paraphrase. C'est hélas mon cas. Je me rend compte à vous lire que je suis victime de ma médiocrité. Il me faut donc bien un cheval de course lancé au galop pour parvenir au moins à vous suivre sans espoir de jamais vous rattraper sur votre mule au trot. C'est donc un conseil que je ne donne qu'aux mauvais fauconniers et aux mauvais chasseurs et qui ne concerne pas les as du dressage : si vous êtes nuls, comme moi, entourez vous des meilleurs auxiliaires. Si vous êtes brillants dans tous ces domaines, selectionnez des toquards, vous pourrez prouver votre talent sur les forums. "Il n'y a pas de mauvais oiseau, il n'y a que de mauvais fauconniers" : quelle connerie emprunte de prétention, mais bon autre sujet.