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Tout ce qui a été posté par etienne01
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Si tu aimes vraiment les petits faucons, passe au crécerelle ! pour les alouettes ...oublie...prend un épervier ou un émerillon, proie trop vite avalée pour un pélerin, même si il ne charrie pas. Pour le reste avoir un barbarie sans plafond pour grive ou merle je ne vois pas bien l'intérêt de faire du haut vol, un épervier ou autour font aussi bien l'affaire. PS / On passe trois plombes à donner des conseils ....avec pour commentaire et seule réponse ta déclaration d'amour débordante pour les petits faucons... sympa ! tu sais encourager le positivisme !
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Encore une fois désolé ! Ce n'est pas de l'esprit de contradiction, mais je te montre quand tu veux un pélerin imprégné de 1 kg 100 qui attend qu'on le rejoigne pour commencer à plumer ( on a même eu le cas avec un moineau !!!) ... cet oiseau associe tellement le fauconnier qu'il ne pense même pas qu'il peut manger en dehors de sa présence ! Je n'aime pas non plus les imprégnés, mais un des seuls avantages est celui-ci. Avec Mc Dermott, les imprégnés lachent même la prise pour revenir au poing à vue du fauconnier ! Il faut tout dire ....merci de valider mon étape 3 ! Parce qu'au bout d'un moment entre une pleine gorge sur sa prise et un bout de bidoche, il fera la différence. Le lieu le plus sécurisant pour manger est celui ou la nourriture ne sera pas subtilisée et disponible à satiété, ( quoi de mieux qu'une proie, loin du fauconnier ? ) cela varie en fonction des oiseaux et change au fil du temps, il faut donc s'adapter.
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1. ok 2. Faire manger au poing ? ...pourquoi ???? certains oiseaux conditionnés lachent la prise pour sauter au leurre. 3. Ne pas faire manger l'oiseau sur sa proie ????? portnunwaq Deux grandes pistes pour éviter le charriage ( il n'y a pas de secret de fabrication ) : La première type mc dermott, ou effectivement l'oiseau est conditionné depuis son plus jeune age : il fait prise et lâche la prise pour retour au leurre ou au poing. Dans ce cas, l'oiseau limite abruti, fait à peine le rapprochement entre sa proie et la nourriture ....pas mon truc, mais efficace ....( si l'oiseau n'a pas été conditionné depuis le départ à oublier ) La seconde ou l'oiseau n'est pas conditionné au départ et ou il faut donc s'adapter. Tout le secret réside dans le fait que l'oiseau ne doit jamais avoir l'impression d'être volé - plusieurs pistes pour y parvenir : 1. A l'affaitage : toujours attacher le leurre au sol ou la proie morte, afin que jamais l'oiseau ne puisse se déplacer avec sa prise. ( en cas de leurre, leurrer à l'anglaise avec une grande filière, de manière à ce que l'oiseau ne parte jamais avec le leurre ou alors leurre en plomb de 2 kg...) 2. Démarrer l'oiseau avec des gibiers lourds qu'il ne pourra pas charrier .Laisser faire pleine gorge sur les 1ères prises, s'approcher doucement attacher l'oiseau et le laisser manger tranquillement, jusqu'à plus faim sans le manipuler. 3. Après les 1ère prises, dès que l'étape 2 est acquise, s'approcher doucement de l'oiseau, le laisser plumer et commencer à manger, l'attacher puis toujours lui substituer sa prise à autre chose ( poing ou leurre ). L'oiseau doit venir de lui-même sur le poing ou sur le leurre. Toujours cacher la prise de sa vue lors de la substitution. Certains oiseaux charrient plus que d'autres, mais il est certain qu'un oiseau qui a été ou a eut le "sentiment" d'être volé d'une prise charriera. Ne pas faire manger un oiseau sur sa proie, le laisser sur sa faim après une prise est un des plus sur moyen d'y parvenir. Pour en finir, avec une grive ou un merle, le mieux est encore de rejoindre l'oiseau et de le laisser manger entièrement à chaque prise, si l'oiseau a eu l'habitude de la présence du fauconnier à proximité pendant l'étape 2, il ne s'inquiètera pas. ( On saute l'étape 3 - Tant pis pour le trophé !) * attention à une chose : ne pas confondre charrier ( un oiseau qui s'enfuit avec sa prise le plus loin possible pour aller manger tranquillement ) et descendre avec sa prise. Il faut toujours rejoindre l'oiseau sur sa prise. Si il s'agit d'une alouette.... rien que la descente pour aller se poser au sol peut déjà prendre quelques centaines de m et une alouette est vite avalée. Dans ce cas, la meilleure solution reste l'émerillon ou/et un imprégné à mort qui attendra crétinement que le fauconnier le rejoigne pour commencer à manger.
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Oui, c'est impossible autrement. Avant de démarrer la fauconnerie, l'impératif voir le plus important est d'avoir un pigeonnier et un gros stock de pigeon. L'avantage des pigeons : seul escape assez difficile pour permettre à l'oiseau d'évoluer (parfait pour le ht comme le bas vol donc pour les harris) autre avantage, ceux qui ne sont pas pris rentrent.
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Pour entretenir "l'esprit chasseur" d'un oiseau, la meilleure féquence de prise reste la plus simple : une par jour, que ce soit sur escape, ou l'idéal en sortie de chasse. Il faut que l'oiseau soit "condamné" à fournir un effort pour obtenir sa pitance, au moins pendant la période de chasse - donc seulement environ 6 mois de l'année - en résumé, qu'il chasse pour se nourrir. Les sorties sans attaques sont totalement inutiles. Mieux vaut voler tous les 2 jours avec une prise et pleine gorge à l'issue que de "sortir" l'oiseau et de le nourrir au poing. Un exemple sur un seul faucon : environ 200 prises ( surtout de l'escape de pigeon ) de JUILLET à DECEMBRE, ce qui veut dire environ entre 5 et 800 pigeons escapés sur cette période + attaques sur naturel. Un faucon commence a être efficace sur gibier naturel vers les 150 / 200 pigeons, pour acquérir de vrais mécanismes de prédation et une bonne technique, il faut environ 3/400 pigeons + de l'expérience sur gibier naturel.
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Rassure toi cet oiseau à fait prise, il n'empêche que c'est une brelle. La prise ne prouve rien, on peut aussi s'acharner à voler le faisan avec un canard. Je maintiens, on ne voyait pas d'oiseaux comme ceux-ci avant, ou alors effectivement dans de mauvaises mains.... et c'est bien tout le problème, depuis, ces "mauvais" oiseaux ont tous été reproduits. Moins on chasse, moins on a de risques de perte, plus on a de temps, plus les oiseaux croupissent en volière, plus ils se reproduisent. CQFD.. Combien de tes meilleures harris as-tu reproduit ?
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Plus l'affaitage est court, plus l'oiseau est mis vite à la chasse au plus près des conditions naturelles. Un affaitage long pourrit les oiseaux, qui considèrent le leurre ou le poing, comme une alternative, pour qui chasser devient un simple loisir dilétante. La chasse est le contraire de ce que vous recherchez en volerie, on cherche à éviter le réflexe conditionné, pour encourager l'entreprise et l'indépendance alimentaire. Il est clair que les méthodes d'affaitage modernes sont beaucoup plus performantes qu'autrefois, plus proches des conditionnements naturels, car ces étapes d'abrutissement de l'oiseau lors de l'affaitage sont justement écourtées. On n'apprend pas à chasser à l'oiseau, on ne fait qu'utiliser ses dispositions naturelles, le plus tôt est donc le mieux. Pour ce qui est de la relation avec les parents, les méthodes n'ont pas changées, par rappory à il y a 20 ans. Il me semble qu'il y avait au contraire plus d'imprégnés donc pris plus tôt sous les parents qu'aujourd'hui. Je ne me rappelle pas pendant des années avoir vu un jeune mis sur escape le refuser, naturellement les jeunes se jetaient dessus, élevés à la main ou sous les parents. Maintenant, c'est l'extase quand un niais part après un pigeon à la mise sur l'aile ( j'exagère un peu mais j'ai eu 3 cas en deux ans, alors que cela ne m'était jamais arrivé avant )
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Je crois une nouvelle fois que tu ne te rends pas compte de la qualité de certaines harris. Tu nous parles d'oiseaux "cons" ( ce qui pour moi est loin d'être un défaut )qui loupent ou qui s'assoment sur une prise, moi je te parle d'oiseaux bien mis, par des fauconniers confirmés et qui abandonnent l'attaque au bout de 10 m, d'oiseaux qui n'ont presque jamais été réclamés, ne sont pas imprègnés mais qui ne pensent naturellement qu'à suivre le fauconnier comme un chien. Agressivité : néant !! une harris abaissée à mort, mise sur un escape de pigeon, qui y va à reculons puis l'escape à peine entamé, l'oiseau qui revient vers le fauconnier. Plus de 30 ou 40 escapes n'y ont rien fait, va conditionner physiquement un oiseau qui refuse l'effort et dont l'agressivité n'est pas le moteur. Cela vient des souches, c'est connu et reconnu, et pas que sur les harris. Il faut arrêter le poème éternel : "il n'y a pas de mauvais oiseaux mais seulement de mauvais fauconniers". Il y a des mauvais oiseaux dont on ne peut rien faire, comme il y a de mauvais chiens ou de mauvais chevaux. Tu es en train de nous dire que tu gagnerais Chantilly avec une mule
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Ce n'est pas du tout ce qu'on dit. On dit simplement que certaines souches sont mauvaises, et c'est pour cela que l'on conseille à tous les débutants de démarrer avec un fauconnier confirmé qui connaitra ces souches, saura repérer les mauvais oiseaux. Il est évident qu'un débutant arrivant seul, sans conseil ou recommandation pour commander son premier oiseau, se fera refiler le moins bon de la couvée, et n'aura pas d'indication sur la qualité de la souche.
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Je rejoins Glassbreiz, je n'avais pas rebondi sur la génétique sans faille, pensant que tu parlais des chiens. ( et encore ) Le terme de contre-sélection employé par Glassbreiz me parait parfaitement à propos concernant les oiseaux. Rares sont ceux qui sélectionnent réellement les souches, encore aujourd'hui. J'en connais quelques uns qui sélectionnent les parents au niveau des faucons, les faisant au moins voler une saison avant de les reproduire, mais pour aller jusqu'au bout il faudrait également sélectionner les jeunes issus de ces lignées et connaitre l'origine des adultes. Au niveau des harris, c'est une catastrophe, ( je ne mets pas en cause les quelques éleveurs sérieux ) tout a été fait et surtout n'importe quoi, à un tel point que certains oiseaux ont perdu tout instinct de chasse.
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Au contraire, je pense que la queue rousse est à cause de cela un des meilleurs oiseaux pour débuter. Il ne faut pas faire n'importe quoi, les erreurs de manipulation - réclame de la main gauche vers la gauche ( je l'ai vu..), substitution de la proie, tenue du tiroir, etc - ne pardonnent pas. Quand on a fait voler une QR tous les bons réflexes sont acquis, ce qui est loin d'être le cas avec une harris qui pardonne et encourage tous les défauts.
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Je crois qu'il faut arrêter avec la "dangerosité" d'une QR, ou sa violence... La violence d'un autour, n'a rien à envier à celle d'une Queue rousse et le genre d'incident photographié ci-dessus n'est pas rare avec un autour, sauf que personne n'en parle. Pour se faire empièter pareillement, il faut déjà avoir démarré l'apéro depuis quelques heures ! ( je plaisante ) Les méthodes avec une queue rousse doivent être adaptées afin d'éviter un tel tutoiement de son fauconnier. On ne subtilise pas la proie en y mettant les mains ou en la bousculant. Une fois un réflexe conditionné de substition acquis ( en général sur leurre ), récupérer la proie ne pose aucun problème. Si on considère la QR comme agressive et dangereuse, que dira-t-on avec un aigle royal au poing.
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J'ai volé sans télémétrie pendant plus de 10 ans, sans jamais perdre un oiseau. Depuis que j'ai une télémétrie, je ne compte plus les oiseaux perdus et retrouvés grâce à cet outil. Conclusion : on perd un oiseau parce qu'on le veut bien, et surtout parce que la télémétrie nous a permi de prendre des risques. On ne regarde plus à 20g prêts pour mettre sur l'aile, et surtout on ne fait plus la même fauconnerie, surtout en haut vol.
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C'était une forme d'1kg 150/200 en poids de vol. Il semble que les QR actuelles soient beaucoup plus grosses. Concernant la "dégénréscence" dont vous parlez, je ne connais pas assez ces oiseaux, ni les souches pour donner un avis. Une chose par contre est claire, n'importe quelle QR il y a 20 ans partait illico sur le 1er lièvre, j'ai été très surpris de voir une queue rousse en écumer un récemment ( on ne pouvait même pas parler d'attaque, mais plutôt de jet du poing). Le vol n'avait rien à voir avec ce que je connaissais : un vol lourd de buse variable, aucune impression de puissance et de vélocité. Peut-être - que comme sur d'autres oiseaux - que les moins bons individus ont été mis en repro, visiblement sélectionnés sur la taille. Peut-être aussi faudrait-il après quelques générations captives, repartir sur des souches naturelles d'origine, comme cela se passe encore aux états-unis. Pour tout dire, j'ai eu la même impression avec un de mes amis qui a pris une harris cette année. Ces oiseaux ne ressemblent plus aux 1ère harris, que nous volions chez Glasier en Angleterre, il y a maintenant ...pas loin de 25 ans... Ces oiseaux étaient issus de souches naturelles, et le premier jeune de la couvée sautait sur tout ce qui bougeait. Quand j'ai vu le premier coup d'aile d'une harris courant de cet été et sa première "attaque".... j'ai tout de suite compris. Ces oiseaux ne valent rien, les mettre à la chasse et surtout les reproduire est une ineptie totale.
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Je ne suis pas d'accord avec ton analyse de la QR en poursuite. Les poursuites les plus incroyables auxquelles j'ai pu assister étaient celles de QR sur lièvres : dont un départ d'attaque du poing entre 4 et 600 m en terrain dégagé, puis poursuite en bois avec plusieurs attaques sur 1km, avec hélas pas de prise. Une autre fois sur un petit lièvre tjs en terrain dégagé avec 7 ou 8 attaques conclues par une prise, départ du poing à plus de 150 m. Pour mon expérience personnelle, rien n'est plus efficace et volant sur lièvre qu'une QR. Par contre, je pense aussi que les QR que l'on avait il y a 20 ans, n'étaient pas celles d'aujourd'hui ! J'en ai vu récemment, de vraies chiffes molles qui regardent passer les lièvres, avec un vol mou comme une variable.