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etienne01

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Tout ce qui a été posté par etienne01

  1. etienne01

    Plafonds

    Ce qui change de votre échelle Belge favorite de : gai-"pessac léognan" traditionnellement utilisée dans l'estimation de vos plafonds ! Au bout combien de bouteilles voyez-vous les pélerins à 1 km 200 !
  2. etienne01

    Plafonds

    Voir à l'oeil nu un faucon à 1250 m.... je suis extrémement septique. ( ou alors une forme de gerfaut blanche sur un fond de falaise noire...) Un des seuls avantage en montagne est que nous avons des points de repères altimétriques permanents. L'oiseau passe sur l'arrête, à telle altitude, au dessus du refuge de x, sous l'aiguille de .. ect. Cela nous permet de définir assez - parfois très - précisément le plafond d'un oiseau. A la seule vue d'un oiseau plein ciel, sans repère, il semble très difficile de déterminer son plafond. Faisant voler tous les jours sur des secteurs connus, notre estimation des plafonds passé 250 / 300 m est régulièrement fausse, lorsque l'oiseau est plein ciel sans repère. On le constate dès que l'oiseau passe à flanc d'arrête ou sur des secteurs à l'altimétrie connue. En règle générale, de 150 à 250 m on sur-estime le plafond et passé 300, on le sous-estime. Je dois d'ailleurs avouer, que je suis tout à fait incapable d'estimer en plaine le plafond d'un oiseau à partir de 200/250 m. Selon nos expériences à ce sujet, on peut encore voir un oiseau en vol à l'oeil nu jusqu'à 600 / 650 m de plafond maximum. Il faut l'avoir suivi préalablement aux jumelles, sinon il est presque impossible de le repérer. Il faut aussi considérer l'éloignement de l'oiseau, un oiseau avec de grands plafonds pouvant être décalé de plusieurs centaines de m du fauconnier lors d'une carrière. L'amplitude doit donc aussi être prise en considération.
  3. etienne01

    James n'est plus de ce monde.

    Romu 33 : si c'est tout ce que tu retiens de mon message... Effectivement, tu confirmes une certaine analyse ....euh ... au premier degré, dira-t-on pour ne plus heurter ta sensibilité à fleur de peau. Après cela comment vas-tu intérpréter l'article 25 de Sokol ?... au second je l'espère. ( Ps : zoophile ne veut pas dire visiteur de zoo )
  4. etienne01

    Plafonds

    Réflexion digne d'un éleveur de dindon, pas d'un fauconnier de haut vol.
  5. etienne01

    Plafonds

    Je me demande même comment tu y arrives à 100 m en vol.
  6. etienne01

    Plafonds

    Nous créons un nouveau post, concernant l'estimation des plafonds abordé dans le post de Fly : la nouvelle saison 2008 ... qui n'est plus d'actualité. Comment estimez vous la hauteur des plafonds de votre oiseau ?
  7. etienne01

    James n'est plus de ce monde.

    Vivre pour son oiseau est une chimère sans lendemain, tout lui consacrer sans attendre de retour est la seule réalité concrète en fauconnerie. Dans la nature, 80% des jeunes meurrent dès la première année. Chez les fauconniers plus de 90 % survivent, c'est déjà un exploit et une victoire en soi. Un oiseau qui meurt de maladie était déjà probablement programmé pour cela au départ.Tous ne méritent pas de vivre, et nous entretenons avec le même soin même les plus médiocres. Nous luttons chaque jour contre la sélection naturelle avec 80 % des oiseaux, il faut aussi prendre en compte cette réalité. Il faut s'attendre chaque matin à retrouver son oiseau mort au pied du bloc, et être prêt à repartir en apprenant de ses erreurs ou en acceptant la fatalité. Ainsi, chaque journée passée est une réussite dont il faut profiter pleinement. Pour ce qui me concerne, la pleurnicherie n'a pas lieu d'être, se mortifier, se lamenter sur son sort ou celui de son oiseau n'apporte rien à l'analyse des causes. Nous sacrifions justement trop à cette passion et aux soins apportés aux oiseaux, pour en plus devoir porter le deuil quand s'acharne une fatalité face à laquelle nous sommes impuissants, contre laquelle nous luttons en permanence. Bien sur que c'est triste, mais à part peut-être un certain réconfort, qu'apporte de plus ce message de condoléance ?... pas grand chose. Je préfère les interventions de zelkova et aurélien qui parlent de leurs expériences sur des problèmes similaires, qui permettent de mieux comprendre que ces affections sont courantes, qu'elles sont difficiles à traiter, que parfois on n'y peut rien, que ça n'arrive pas qu'aux autres : c'est un message d'espoir, pas de lamentation bébête et futile ( ça c'est la fauconnerie ! ) Tenons nous loin de tout anthropomorphisme sentimental, nous sommes des fauconniers. Nos oiseaux étaient condamnés dès leur naissance, tout comme nous.
  8. etienne01

    James n'est plus de ce monde.

    Comme diraient certains, désolé pour ce magnifique oiseau que je n'ai jamais vu, milles regrets , etc.... Mais ça ne changerait hélas pas grand chose. Je trouve les réations suite à ce post assez pertinentes et révélatrices de l'esprit du fauconnier. On cherche à comprendre, on s'interroge, on active ses relations pour savoir ce qui s'est passé, on tente de trouver la faille pour éviter l'erreur que l'on a peut-être pas commise, mais dans tous les cas, on tente d'améliorer sa fauconnerie, ou les conditions d'entretien des oiseaux. Cette passion est terrible et ces oiseaux des bêtes à chagrin, mais on regarde le réel sans pleurnicher, en imaginant déjà le prochain faucon de ses rêves, ça c'est la fauconnerie !
  9. C'est réussi. C'est stupide. Tu peux féliciter ces deux artistes. Et si ils t'avaient dis 600g ? Tu t'y tenais ? Personne d'autre que le fauconnier en charge de son oiseau ne peut juger du poids. Le poids varie et évolue sans cesse, ce n'est pas en voyant un oiseau une ou deux fois, ni même en tous les jours qu'on définit un poids, mais en étudiant les comportements et leurs évolutions lors de l'affaitage. C'est le fruit d'un travail quotidien que seul celui qui affaite l'oiseau est capable ( ou non...) de déterminer, une partie de l'art de la fauconnerie qu'il est indispensable de maitriser avant de démarrer.
  10. etienne01

    La nouvelle saison (2008)

    42 m exactement, ce qui équivaut à un plafond de 120 à 160 m. Bon... Mais voila un sujet intéressant. Il est extrémement difficile - hors laser- d'estimer le plafond d'un faucon avec exactitude. On m'avait dit et j'y ai cru pendant des années, que lorsque l'on ne voyait plus un faucon à l'oeil nu, il était entre 3 et 400 m. S'agissait-il d'un tiercelet ? Les conditions et l'altitude jouent également beaucoup sur l'appréciation des plafonds. Comment faites-vous ?
  11. etienne01

    La nouvelle saison (2008)

    Euh .... c'est quoi haut ? Et c'est quoi un imprenable de 2 jours ?
  12. Mea culpa... On peut effectivement penser à une anémie, pour ne pas dire plus. Un coup de froid.. doux euphémisme pour qualifier un oiseau qui crève peut-être de faim. Dommage que notre ami PM ne réponde plus depuis quelques temps.
  13. Si il s'agit d'un tiercelet vers 750 g, cela tend à prouver qu'il n'était pas tenu particulièrement bas et confirme qu'il y a certainement autre chose.
  14. Je me permet d'intervenir à ce sujet. La cause d'anémie décrite par Gerfaut est effectivement très à la mode, dès qu'un oiseau a un état de faiblesse en Novembre, il s'agit de l'affection reine...et cela nous a couté un pélerin la semaine passée. Comme on ne trouvait rien, et par la faute d'un véto incompétant, incapable d'effectuer correctement une radio pour y déceler l'aspergillose, ayant effectué tous les tests, on a pensé à une anémie.... Le temps d'obtenir les tests sanguins, l'oiseau était mort d'aspergillose ! ( une forme magnifique d'1 kg 2 en poids de vol...) Il n'est bien entendu pas question d'exclure telle ou telle cause, encore moins celle de l'anémie, mais nous tenons des oiseaux au froid depuis des années, l'automne et l'hiver sont là tous les ans, et on sait qu'un oiseau un peu sec doit être protégé du coup de froid. Vous comprendrez que ... l'anémie... le saturnisme... ou le coup de froid peuvent effectivement arriver. Mais avant cette année personne n'y pensait, on traitait pour les affections communes et tout n'allait pas si mal. Anémie... nouvel argument implacable quand on ne sait pas de quoi l'oiseau est malade, j'ai un peu peur que notre ami PM, ne se contente de ce diagnostic, sans aller plus loin et passe à coté du principal . ( c'est arrivé à d'autres .. ) Si il explore toutes les pistes et qu'elles s'avèrent négatives, au moins il aura compris qu'un oiseau ne se tient pas sec et se remonte à l'arrivée du froid.
  15. Je ne crois pas trop à ce diagnostic... Quelles températures extérieures as-tu eu ? Nous avons eu des harris, volées à de -20 à -10 non stop pendant des mois et jamais eu de problème de ce type. ( par contre elles étaient enfermées la nuit entre 0 et -10 , mais à l'abris du vent ). Le froid oui mais pas seulement, sinon ton oiseau aurait des engelures ou des problèmes de ce genre. As-tu fait des prélèvements, des radios ou autre pour être sur que c'est la seule cause de cette perte de poids impressionnante ? Le plomb... je n'y crois pas trop non plus. Un prélèvement sanguin confirmera. Le coup de froid ou le saturnisme est l'argument bateau des vétos qui ne savent pas quoi dire - surtout si il n'y a pas eu de prélèvements à l'appui du diagnostic. Tu as l'air surpris que ton oiseau ne donne aucun signe alarmant avant cette chute de poids. C'est toujours comme ça. Les rapaces sont génétiquement programmés pour ne rien laisser voir de leurs faiblesses, ce n'est de la faute ni de l'oiseau, ni du fauconnier. Quand on a un problème de poids, donc de santé, les causes principales sont à 80 %: ( si vous en voyez d'autres n'hésitez pas...) - coccidiose - appertex - trichomonose - spartrix - parasitisme interne - vermifuge - aspergillose - fongicide - problème bactérien - antibios Un coup de froid peut être un révélateur d'une ou plusieurs de ces causes, mais en est rarement la cause. Le froid est au contraire un vecteur sanitaire. Pour confirmer un de ces problèmes : 1. Aller voir un véto spécialisé ( il y en a sur ce forum ) 2. Faire une coprologie + un prélèment bucal 3. Faire une radio des poumons 4. Faire un prélèvement sanguin Si tous ces tests se révèlent négatifs, tu pourras valider le "coup de bambou" et remettre en question tes méthodes et les conditions d'entretien de ta harris. En attendant, ton oiseau doit rester au chaud, nourri avec des filets de pigeon fraichement tués.
  16. Tu peux bien la peser 20 fois par jours, si elle est trop basse, ce n'est pas ce qui va la nourrir. Ton erreur est peut-être, de ne pas avoir su déterminer son poids réel. Mais dans tous les cas cela explique difficilement qu'elle puisse perdre 150 g en deux jours. Je suis également surpris du diagnostic de ton véto....comment en est-il arrivé à cette conclusion.... un peu facile... De quel poids à quel poids est-elle passée ? As-tu des fauconniers confirmés proches de chez toi ?
  17. 150g en deux jours.... Et combien le 1er jour ? Qu'appelles-tu un coup de froid, si on parle de 0 à 5, cela n'explique pas cette perte; Si c'est un coup de froid, c'est que l'oiseau devait déjà être tenu particulièrement bas, ou alors il y a autre chose et ton véto est passé à coté. J'ai tenu des oiseaux jusqu'à -26 /- 30 pendant plusieurs semaines en les faisant voler et je n'ai jamais constaté de telles pertes de poids. Ce n'est pas normal. Ou tu n'as pas su déceler que cet oiseau était trop faible, tenu beaucoup trop bas ou ton véto s'est planté.
  18. etienne01

    Forme de Harris

    Aucun problème ! bien au contraire. Dommage que de telles souches ne se retrouvent plus. Ceci étant dit, il est clair que je préfère des oiseaux non imprégnés. Les comportements ( à ne pas confondre avec le caractère ) me plaisent plus.
  19. etienne01

    Forme de Harris

    Tu confirmes : C'est bien son comportement envers l'homme qui est modifié. C'est bien son comportement envers sa propre espèce qui est modifié. Fondamentalement, je ne suis pas persuadé que son caractère, ni ses qualités de chasseur en soient particulièrement affectés. Se sont surtout les cris et l'élevage en repro naturelle, qui sont rédhibitoires, mis à part cela, les imprégnés peuvent faire d'excellents oiseaux. ( le meilleur que j'ai eu était l'un des tiens ! )
  20. /nouveau-chasseur-au-vol-f25/politique-d-utilisation-des-mps-t2340.htm#17610
  21. Non. Les règles d'activation sont soumises au jugement des administrateurs, pas au "quota". ( Un peu mesquin de fixer comme règle un nombre de message inférieurs à ceux que tu as posté ... pourquoi pas 500 messages ? ) Pour ce qui te concerne, 15 messages laconiques en 1 an sont insuffisants pour disposer des mp. La règle est simple : on participe régulièrement - avec pertinence si possible - on utilise les mp.
  22. etienne01

    Vol de compagnie

    Génial vieux bonze ! Mais retombe sur terre ! comment faisait-il ?
  23. etienne01

    Forme de Harris

    Une fois de plus aurélien, on est d'accord : A mon avis, l'imprégnation joue sur les attitudes comportementales de l'oiseau, pas sur sa nature, ni son caractère.
  24. etienne01

    Vol de compagnie

    J'ai fait voler de compagnie un tiercelet de G/P et une forme de pélerin qui vivaient ensemble en permanence dans la même volière. Le secret réside probablement là : que les oiseaux soient détenus libres ensemble toute l'année. Hélas, la forme de pélerin volait comme un fer à repasser ....et attendait généralement que le tiercelet fasse prise pour aller lui prendre la proie entre les serres, plutôt que de se fatiguer. D'après cette seule expérience, le risque est quasi nul avec des oiseaux qui se connaissent bien, ont l'habitude d'échanger la nourriture ... et sont volés assez hauts... ( surtout le tiercelet qui doit vite apprendre à partager ) Claude, tiens nous au courant à la première prise, pour confirmer si cela dépend du caractère des parents ( ), des conditions d'élevage ou du succès de ta réflexion
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