Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

etienne01

Membres
  • Compteur de contenus

    1 732
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par etienne01

  1. etienne01

    Forme de Harris

    Le mécanisme est assez simple : L'oiseau nourri à la main par l'homme, le considère comme son congénère. Poussin, l'oiseau élevé par l'homme, crie pour attirer l'attention de ses parents comme il le ferait dans la nature. Quand il crie et qu'il est nourri par la main de l'homme au suivi, ce comportement s'inscrit vicéralement dans son inconscient : je crie, l'homme me rassasie, et appaise ainsi mon sentiment de manque. C'est un des mécanismes de l'imprégnation, cette habitude reste à jamais et l'oiseau ainsi élevé conserve toute sa vie ce comportement de niais, qui au départ consiste à crier pour être nourri et appaisé. Ce comportement reste ensuite figé, en dehors de toute sensation de faim : à la vue de l'homme il crie automatiquement suivant les réflexes acquis lors de l'élevage. On peut aussi très bien limiter cette conséquence nuisible de l'imprégnation, il suffit que l'oiseau ne voit pas l'homme lorsqu'il est nourri. Cependant, tous ne sont pas égaux face à ce mécanisme. J'ai eu des oiseaux assez jeunes ( vers 15 jours ) qui en prenant les précautions nécessaires n'avaient aucun des mécanismes liés à l'imprégnation ( pas de cris, bonne émancipation, formation de couple ), d'autres pris beaucoup plus tard ( vers 25 jours ) pour lesquels l'élevage s'est révélé catastrophique, sont totalement incapables d'être en compagnie d'autres oiseaux en volière et gueulent du matin au soir.
  2. etienne01

    Forme de Harris

    Réflexion de novice....ou de sourd...
  3. etienne01

    Forme de Harris

    Le problème principal de l'imprégnation, est surtout les cris outre les impossibilités de reproduction en naturel et les modifications comportementales que cela engendre. Personnellement, l'idée d'avoir au poing une bestiole qui gueule du matin au soir m'est devenu insupportable. J'ai pourtant eu d'excellents oiseaux imprégnés, je ne suis pas du tout persuadé que l'imprégnation modifie sensiblement les comportements, ni les qualités de l'oiseau en chasse. Nous avons eu une harris ( non imprégnée ) qui avait exactement les mêmes comportements que ceux que tu décris : une limace au poing. Une fois de plus, on en revient à la souche. Les bonnes souches sortent dans la majorité des cas de bons oiseaux, imprégnés ou non. Les mauvaises de mauvais oiseaux. A moins que tu ne sois tombé sur un taré ou sur celui de la nichée qui devait périr, ce qui arrive aussi. Pour en revenir à l'imprégnation des harris, pour le coup je n'y vois également absolument aucun intérêt ( j'ai déjà du mal a en voir avec d'autres espèces ), cet oiseau est naturellement très familier, ne réclame quasi aucun affaitage, colle au fauconnier, se reproduit naturellement sans aucun problème, on ne l'hybride pas non plus.... Dès lors, quel avantage à l'imprégner, si ce n'est supporter en permanence la délicatesse de son chant mélodieux ?
  4. etienne01

    Forme de Harris

    Pas pour les harris, même après 4 mois passé sous les parents, certaines s'imprègnent ensuite au contact du fauconnier. A ce niveau, la harris est très différente de l'autour. Autant dire laisser un des deux éleveurs sur le carreau au dernier moment. Sympa pour créer des relations de confiance, vite se faire des amis....et se faire accepter dans un milieu que l'on considère comme fermé.
  5. Comme partout .... ni plus, ni moins. Il faut parvenir à se faire accepter, dans tous les milieux : professionnels, associatifs, artistiques etc... Compte tenu de l'étendue des connaissances qu'il faut malgré tout avoir pour détenir et faire chasser un oiseau, je trouve au contraire que le milieu de la fauconnerie est extrémement ouvert. Vous confondez difficulté de la pratique de cette activité, et "fermeture d'esprit". Hélas ou tant mieux, on ne pratique pas la fauconnerie comme on va jouer au tennis.
  6. On est bien d'accord...mieux vaut éviter les oiseaux n'apprennent pas grand chose, à les voler chaque jour dans ces conditions, ils ne peuvent prendre que des défauts, sans compter les risques dans le cas d'une poursuite. Ceci étant dit, les quelques fois ou j'ai fait voler dans ces conditions, il est assez surprenant et intéressant de voir la technique de ressource dans d'utilisation des courants. Je rebondissais simplement sur le fait que les oiseaux expérimentés sont tout à fait capables d'utiliser ces conditions, n'en semblent pas handicapés.
  7. En quoi donc notre milieu est-il fermé ? Avez-vous été mal accueilli ? Tout ce que l'on peut ici nous reprocher est de dire la vérité et de ne pas bercer d'illusion des personnes qui ne pratiqueront jamais. Non nous n'encourageons pas le commerce des oiseaux. Non nous n'encourageons pas les collectionneurs à en détenir, Non un oiseau n'est ni un jouet, ni un petit chien, Non on ne peut pas détenir un oiseau sans être chasseur et naturaliste Oui il faut des moyens, du temps, des territoires, de l'espace, Oui, il est très difficile de parvenir à réunir toutes ces conditions, Oui il faut avant tout être passionné de chasse, Oui il faut suivre un fauconnier et apprendre sur le terrain. Beaucoup de vrais passionnés ont pu démarrer la fauconnerie grace à ce forum, en se présentant correctement, en intervenant à propos, ils ont été accueillis comme ils le méritaient . Les critiques, ne sont peut être pas le meilleur moyen de se faire accueillir, dans un milieu que l'on juge fermé avant même d'y avoir mis le pied. Au 5ème post, en démarrant la fauconnerie, il est peut-être un peu tôt pour porter un jugement sur un forum que des fauconniers de tous horizons et de tous milieux, certains parmis les meilleurs, ont contribué à créer ensemble au fil des années.
  8. Pas de problème, mais nous ne tenons pas à encourager la vente sauvage d'espèces protégées. Merci de votre compréhension.
  9. Tout à fait d'accord avec toi. Nous n'avons presque jamais de vent ici, mais j'ai déjà mis sur l'aile avec des rabattants de plus de 80/100 km/h. Les oiseaux avec des heures de vol n'ont aucun mal, ni à gérer le vent ni à se positionner, même ceux qui ne sont pas habitués à ces conditions. Le seul problème est surtout qu'ils utilisent le souffle du vent pour monter en ressources alternatives comme un pendule, sans jamais donner un coup d'aile. Pour les niais qui ne maitrisent pas "l'effet de sol", ils tournent effectivement comme des couillons à 2 m du sol, forçant comme des brutes quand ils sont contre le vent, ne sachant pas utiliser l'energie accumulée lors du passage en vent contraire.
  10. Dans le cas ou des services payants, des transactions, des ventes, des achats vous soient proposés par MP, mail ou par l'intermédiaire de ce forum, sans que nous en soyons informés, merci d’avertir immédiatement un administrateur. Toute transaction ( quelque qu'elle soit ) par le biais de ce forum sans accord préalable d'un administrateur est interdite et sera immédiatement sanctionnée, tant pour le vendeur que pour l'acheteur qui ne l'aurait pas signalé.
  11. A mon avis, tu devrais servir avant ou attendre un peu pour mettre sur l'aile, de façon à ne servir qu'en phase ascendante et justement ne pas attendre qu'il remonte après une baisse. Les yoyos marchent généralement la première année avec un niais, mais cela devient parfois ensuite un très mauvais défaut qu'on a du mal à maitriser. Il vaut mieux y aller progressivement et démarrer par des vols très courts servis avant la redescente ou le planage. Personnellement j'échelonne de la manière suivante : je mets l'oiseau sur l'aile et sers après 50 m à pied, puis 100, puis 200 ect... Il faut aussi se mettre en condition de chasse, ou le problème majeur notamment en montagne sur tétras, est qu'une fois les chiens à l'arrêt, plus vite l'oiseau monte en phase active, plus il augmente ses chances de prises. Il n'y a rien de pire que d'avoir ses chiens à l'arrêt d'un coq prêt à décoller et d'avoir un oiseau qui prend ses aises, se balade et plane, ( ou redescend au contact....) au risque de voir le gibier gicler au plus mauvais moment. Je parle en connaissance de cause, car je laisse énormément voler mes oiseaux la première année ( beaucoup trop ), avec certains tout se passe bien ensuite, avec d'autres cela devient totalement ingérable l'année suivante. Je prends donc désormais le parti de mettre sur l'aile les niais très tôt, mi-juin au plus tard, de les laisser énormément voler plein poids chaque jour ( 3 heures sur l'aile ne sont pas rares ) avec plusieurs occasions d'attaques, puis de les arrêter à la MI-AOUT pour les abaisser et repartir avec un affaitage traditionnel ou l'oiseau n'est servi que si il le mérite, sur des vols très courts et toujours dynamiques décrits en introduction. Je remonte ainsi le poids progressivement jusqu'en fin de saison.
  12. Je ne connais pas le problème de mistral que tu soulèves, par contre nous entrainons également sur des secteurs encaissés ou les remises sont nombreuses. A mon avis, il ne faut jamais attendre que l'oiseau commence à planer ou redescendre pour le servir, dans ce cas son poids haut ne lui sert d'ailleurs à rien. Il vaut mieux le servir avec un plafond de 50 m quand il est actif, en phase ascendante même au bout de 2 minutes, qu'avec un plafond de 100 quand il plane et redescend. Les faucons doivent être dans une phase active (donc monter ) pour être servis, sinon ils prennent l'habitude de planer ou de se balader en attendant la soupe, la prise de muscle et d'expérience est quasi nulle dans ces conditions. ( sauf cas de très grands plafonds ) Servir en phase inactive baisse bien entendu le plafond, qui plus est sur des secteurs ou le faucon a compris que les remises étaient proches, ce qui l'encourage encore à ne pas se fatiguer. Pour ce qui est du problème des remises, nous avons pris le parti de faire systématiquement louper l'oiseau lorsque le plafond est insuffisant et de lui donner une possibilité de prise dans le cas contraire. Il faut s'y tenir et ce n'est pas toujours facile, de façon à ce que l'oiseau intègre à force, que sans plafond il n'a aucune chance, et qu'avec du plafond, il en a une sur deux ou trois, qu'en définitive la prise est possible. La solution alternative que nous utilisons aussi est de relever systématiquement et de faire prendre les oiseaux remisés ( donc à priori ayant subit une première attaque récompensant un bon plafond ). Dans ce cas l'oiseau est servi avec un bon plafond, si le gibier a le temps de se remiser sur l'attaque, le faucon ce centre ensuite systématiquement sur les chiens en reprenant un bon plafond, il est très rare que les oiseaux arrêtés et relevés une seconde fois échappent à cette deuxième attaque, qui pour le coup récompense deux bons vols sur des phases actives.
  13. Merci Voiron. Mais vraiment... c'est trop. J'en suis presque gêné. Pour ce qui concerne Nebli : Je le trouve effectivement trop agressif, il faut bien reconnaitre que certaines de ses interventions en sont même déplacées.
  14. Ce ne sont pas vos questions qui dérangent, ni même vos fautes d'orthographe. Il s'agit surtout du fond et de la pertinence de vos interventions, en dehors du fait que ces questions ont déjà été posées à plusieurs reprises et obtenu des réponses dans d'autres sujets. On ne commence pas par demander ou on peut acheter un oiseau et à quel prix, quand on a passé toutes les étapes, cette question ne se pose même pas. Avant "l'amour des rapaces", c'est surtout la connaissance de ces oiseaux, de la chasse, des règles qui régissent notre passion qu'il faut appréhender. Plusieurs intervenants ont tenté gentillement de vous le faire comprendre, mais sans résultat. A un moment ou on continue dans le n'importe quoi et on vous laisse vous griller en enquiquinant tout le monde à longueur de post, ou on vous dit les choses d'une manière claire, et ma foi peu diplomate, il faut bien l'admettre.
  15. Vous faites un concours avec la délicieuse kiki ou c'est contagieux ?
  16. Oui.... m'attendant à pire, j'ai préféré anticiper dans le soft...
  17. Bon, je m'y colle.... Chère kiki, Pardon, chère kiki..44, Pour reprendre, votre charmante expression, avec le phrasé fleuri qui vous sied à merveille : "pour commencer le quel est le mieu".... En définitive, le mieux.... serait dans un premier temps : 1. que vous tentiez d'abandonner votre écriture phonétique pour vous exprimer sur ce forum. 2. que vous évitiez de poser 3 fois la même question : "un rapace coute combien a l'année" / "un rapaces coute combien et ou je peu m'en fournir" ou "encore une question un rapaces coute combien" 3. Que vous tentiez de tenir compte des réponses courtoises que des membres courageux prennent en vain la peine de vous apporter. Dans un second temps, nous pourrons aborder le problème de la ponctuation, avant d'aller plus loin dans le domaine de la fauconnerie. Chère amie, merci .... et bienvenue. Ps : il est inutile d'enchainer avec les sempiternelles lamentations : " ce milieu est fermé " "on n'aime pas les débutants" " merci pour l'accueil" " Etienne est méchant" etc..ect... Si c'est ce que vous pensez, inutile donc de le proclamer, je vous comprends, je suis même prêt à vous dire d'avance que vous avez entièrement raison. Epargnez vous - et surtout à nous-mêmes - ce paragraphe lassant, ainsi que les impitoyables fautes de syntaxes et conjugaison qui ne manqueraient pas de s'attacher à votre prose.
  18. Je me permet d'intervenir sur le fond... A 1000 g avec un plafond de 100/150 m, il reste un levier dans la progression de l'oiseau. Cet oiseau a été mis sur l'aile à 1080, des vols entre 1080 et 1030 pendant deux mois ( plaf moy 100/150 ), sans grosse évolution, si ce n'est une bonne expérience acquise sur les attaques. Le poids a donc été rabaissé entre 950 et 1000 pendant 2 semaines pour les mêmes résultats ( pas de baisse de plafond tjs entre 100/150 )ce qui a aussi permis de redonner une bonne agressivité ( un seul escape, si pas pris / pas de nourrissage ) le plafond ne bouge pas, et on profite de la baisse pour encourager la vélocité : rien n'est perdu, on tire profit de tout. Après stabilisation des vols, dès que le poids a été remonté à 1200, l'oiseau a pris immédiatement 200 m de plafond supplémentaire. ( ce qu'antonin prend pour du décentrage est une carrière.... forcément un jeune pélerin ne monte pas directement à 300m en cerclant avec un rayon de 30 m....) Tout cela pour dire, que voler un oiseau plein poids est la résultante d'une vraie progression et ne doit pas être systématique, tant que l'on a pas obtenu le maximum. Il y a certains oiseaux que l'on peut voler plein poids en 2/3 semaines, car ils ont tout compris, d'autres avec lesquels il faut jouer sur le poids, jusqu'à stabilisation des plafonds et des attaques. Avec un pélerin d'1 kg 200, la progression est assez lente... Celui à 575 a 75 g de marge pour monter ! Il faut que la prise de poids corresponde à la prise de plafond... c'est toute l'utilité de voler plein poids.
  19. Le poids d'un oiseau varie sans cesse. Un des intérêts de voler plein poids est surtout de faire prendre du plafond, tout en maintenant l'équilibre poids / agressivité. A mon avis, il faut toujours tenter de parvenir à ce que la prise de poids corresponde à une prise de plafond. Si en augmentant le poids, le plafond n'augmente pas, il vaut mieux stabiliser le poids un certain temps, voir parfois le descendre un peu, pour permettre à l'oiseau de passer le cap du plafond déjà atteind, et franchir une nouvelle étape. Je dois avouer que je n'ai jamais compris ce que "yarack" voulait dire, surtout en haut vol.
  20. L'art du yarack.... Tout ça pour dire qu'un oiseau dont on ne connait pas le plafond est volé haut.. J'espère qu'Antonin interviendra : forme de pélerin sortie à 1 120 g de volière, mise sur l'aile 4 jours après à 1080, vole actuellement à 1 200g et plus, 300 m de plafond en fin de saison, prend tout ce qui vole.
  21. Lakota, Bravo, pour ton anglais, mais notre ami prenant la peine de s'exprimer en Français, je ne vois pas très bien l'intérêt de lui répondre qu'en anglais... Un forum c'est aussi un échange qui doit permettre au plus grand nombre de s'exprimer. Le doublage paraît être une bonne solution pour contenter tout le monde.
  22. etienne01

    la volerie par ou commencer?

    Je me permet de répondre à la place de voiron, qui se fie à son intuition du bien-être des oiseaux, ce qui lui a permis de mener des reproductions naturelles à terme avec réussite, sur plusieurs années avec des faucons reproduisant pendant des décénies. Une philosophie a l'opposée de la reproduction artificielle, ici les couples sont formés pour une vie, tout est fait pour améliorer les conditions d'élevage. Les jeunes sont élevés par les parents du début à la fin. On joue sur le long terme, avec un couple formé, qui produira plusieurs générations de jeunes et les élevera sans intervention humaine . Une forme d'élevage "bio", en quelque sorte. Pour parvenir à ce résultat, il faut très bien connaitre les moeurs des oiseaux dans leur milieu naturel, et avoir la capacité de retranscrire leurs besoins, leurs instincts à l'état captif. ( éthologie ..) Il est clair que ce type d'élevage nécessite une forme de compréhension des "besoins" ( je n'ai pas dit du bonheur ) des oiseaux. Là ou nous ne sommes pas d'accord sur les termes, c'est que je considère, cette analyse comme entièrement rationnelle, basée sur des connaissances concrète des rapaces pas uniquement sur l'intuition. Dès lors, il serait illusoire de penser que le "feeling", n'est rien d'autre qu'une application du réel. Un exemple tout bête : pourquoi met-on un bain à nos oiseaux ? 1. Est-ce parce qu'on sent naturellement que son oiseau est "malheureux" sans bain ? 2. Est-ce parce qu'on constate qu'un oiseau avec le plumage souillé est amoindri et qu'il faut retranscrire ce qui se passe à l'état la naturel ( des oiseaux se baignant avec un plumage lisse et propre ) Dans le 2ème cas, on répond à un BESOIN naturel de l'oiseau, et l'on constate ensuite que l'oiseau une fois baigné a meilleure mine, on en conclu donc qu'il est plus "heureux". Certains répondront : les deux mon capitaines, je suis pour ma part convaincu, que le "feeling" n'est rien d'autre qu'une réponse concrète aux besoins de nos oiseaux, basée sur nos connaissances de leurs moeurs et habitudes.
  23. etienne01

    La nouvelle saison (2008)

    Arrête les chaperons ... sauf si tu penses les utiliser ailleurs que sur un oiseau...et dans ce cas, tu feras au moins un heureux ( Nebli...)
  24. Bonjour et bienvenue, Juste une obervation, à titre de renseignement : Fauconnerie et volerie sont deux activités très différentes. On ne devient pas fauconnier en faisant de la volerie, mais dresseur ou soigneur. De même on n'apprend pas la fauconnerie : l'art de chasser au vol, dans une volerie. Merci d'être vigilante quant aux termes employés. Bonne continuation sur le forum et à bientôt
  25. etienne01

    bretons

    Parce que mal utilisés par des sentimentaux. J'apprécie cependant avec satisfaction le "toujours" rajouté devant "solutions efficaces" qui prouve une certaine évolution et je ne doute pas qu'avec le temps, tu parviennes à acquérir une bonne mentalité.
×
×
  • Créer...