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etienne01

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Tout ce qui a été posté par etienne01

  1. Tu voles un canard ou un pélerin ? Les émetteurs résistent parfaitement à l'eau - il faut toujours enduire la douille de silicone. Même après des bains prolongés dans un torrent je n'ai jamais eu le moindre pb à ce niveau, que l'émetteur soit de queue ou de patte. Pour les harnais, les plumes ne risquent strictement rien, si risque il y a cela peut être au contact du harnaissur la chair de l'oiseau, pas sur les plumes. Rigo avait eu un pb de ce type, avec un harnais mal ajusté. ( c'est le risque, que ce soit harnais, clip ou jet )
  2. Il est clair que la pose de l'implant de l'émetteur fragilise le tuyau de la plume. La cause en est souvent que le clip serre trop la plume et la fend verticalement, l'autre que les contraintes exercées sur l'émetteur par la pression de l'air lors des attaques amplifient encore ce phénomène. Dans tout les cas, les colles à deux composants sont les seules efficaces, car elles permettent de "souder" le clip au tuyau et renforcent également la structure propre du tuyau. Les clips doivent être adaptés et surtout fixés à un niveau ou le tuyau est plus fin que le diamètre de l'émetteur, afin d'éviter de fendre la plume.... ( pas tjs simple ) L'utilisation de la télémétrie en montagne reste la plus difficile compte tenu du relief. Pour avoir tout essayé - sauf le harnais - je peux affirmer que seuls les clips de queue sont efficaces. Les emetteurs de patte réduisent nettement la portée de l'émetteur ( certainement lié au positionnement de l'oiseau qui fait barrière aux ondes ) et sont à proscrire en montagne. J'utilisais autrefois 2 émetteurs, un de queue, un de patte sur le même oiseau, 5 fois sur 10 seul l'émetteur de queue émettait convenablement, quand l'émetteur de patte fonctionnait il renvoyait souvent sur des directions divergentes de la position de l'oiseau et de celle de l'émetteur de queue, ce qui m'a conduit à supprimer purement et simplement celui de patte. Pour ce qui est des antennes, je n'ai jamais eu de problème, mais il faut impérativement les changer régulièrement et surtout penser à gainer à chaud la partie située au départ de l'émetteur, avec tjs un rajout de colle à 2 composants de manière à ce que l'antenne soit totalement soudée sur l'émetteur. C'était le problème autrefois, ou les gaines n'étaient pas de bonne qualité et ou on était toujours à la merci d'un coup de bec intempestif de l'oiseau sur l'antenne, qui lachait systématiquement.
  3. Quel oiseau ! et probablement un parfait affaitage en dehors de la chance. Je n'ai jamais vu un oiseau revenir après une pleine gorge et dieu doit décidément sourire au mahatma. J'ai par contre un autre atout : un oiseau qui revient à la fauconnerie depuis des années. Encore ce week-end, une prise en altitude - hélas liée - et on assiste au spectacle de l'oiseau qui file en direction les glaciers à plus de 4 ou 5 km dans la vallée opposée,1000 ou 1500 m au dessus du vide, la prise entre les mains .... On le situe à la télémétrie, vers 2000 m d'altitude, sur un secteur totalement inaccessible et éloigné de la fauconnerie... Eté indien, des pompes qui soulèvent les aigles comme des parapentes... Tout est réuni pour qu'on ne revoit jamais cet oiseau. Lundi soir, il était de retour à la fauconnerie - coup de chance, on le récupère par hasard sur un pigeon lié à travers le grillage du pigeonnier et mangé au 3/4 quarts. Il était temps, plume cassée à la base de l'émetteur. Sur 3 saisons, cet oiseau a du passer plus d'un ou deux mois dehors, avec des retours systématiques à la fauconnerie dans des délais allant de 2 à 6 jours, sur des distances de plusieurs dizaines de km. C'est aussi le grand avantage d'avoir des oiseaux qui montent très haut en montagne, ils sont capables de se repérer géographiquement sur de grandes distances, un autre atout : la faiblesse des proies disponibles.
  4. etienne01

    La nouvelle saison (2008)

    = aucun intérêt ! , règles inutiles. ....même l'oiseau l'a compris, puisque : "il ne prend même plus la beccade d'avant vol" Le haut vol, c'est le contraire des règles, c'est s'adapter en permanence et à chaque vol.
  5. etienne01

    pelerin grive merle alouette

    Ni l'un ni l'autre ...
  6. Attention à ne jamais jouer la facilité, surtout avec une harris. Une prise ne doit jamais être facile, mais récompenser un effort. Le confortement positif est toujours à privilégier sur le négatif. Mieux vaut lui faire faire une pleine gorge sur un lapin difficile, que rien du tout sur un facile.
  7. Qu'est ce que tu en sais ? (même si il y a 9 chances sur 10 que se soit ça ) Effectivement, cela semble lourd pour le commun des tiercelets de harris mais on ne connait pas cet oiseau. Prudence sur les conseils relatifs au poids quand on ne sait pas à qui on s'adresse et que l'on a finalement assez peu d'informations sur l'oiseau et le fauconnier.
  8. Si ça se joue à 10 g prêt... il y a un problème. Avez-vous un fauconnier confirmé proche de chez vous , qui vous suit ou vous a suivi ?
  9. Désolé une fois de plus de jouer les rabats-joie, mais il toujours difficile de conseiller via un forum sans connaitre réellement notre interlocuteur. Romu33 n'a-t-il pas de fauconniers proches de chez lui, comment a-t-il démarré, avec qui ? que chasse-t-il ? depuis quand ? Quand on commence à conseiller d'abaisser brusquement un oiseau, il vaut mieux savoir à qui on s'adresse .... il n'est pas certain que toutes les subtilités de l'affaitage ainsi que les termes soient maitrisés par notre ami. Laissons donc romu nous en dire un peu plus, déjà sur son expérience, ensuite sur ses oiseaux.
  10. etienne01

    La nouvelle saison (2008)

    Je crois que tous nos arguments se rejoignent plus ou moins. Pour martial, juste une précision : en tant que chasseur au vol, je ne vois pas du tout l'intérêt de présenter les oiseaux en dehors d'un acte de chasse. Pour voir voler des rapaces et les présenter, il y a les voleries qui font cela mille fois mieux que nous. Il est indispensable de cultiver notre différence, de faire connaitre notre spécificité : la chasse au vol. Dans ce cas, je préfère effectivement un discours à un vol.
  11. etienne01

    La nouvelle saison (2008)

    Je vois que j'ai ouvert le débat. Je vais tenter l'enrichir à ma façon, une fois encore le but n'est pas de stigmatiser l'intervention de Fly. Nebli nous dit qu'il voit plusieurs raisons d'effectuer des démonstrations, je suis partiellement d'accord avec lui, si la prestation est absolument parfaite en haut vol : prise de plafond de plusieurs centaines de mètres, piqué en goutte d'eau et buffetage d'enfer. Rares sont les fauconniers, les oiseaux et les chiens qui sont capables d'assurer ces conditions à tous les coups et dans tous les cas. Il faut être très très bon sans alternative possible. Pour ma part, je vois donc infiniment plus de raisons qui me pousseraient à m'abstenir : - Risque d'intervention ratée : inexpérience de l'oiseau, des chiens, méconnaissance du site ...ect - Prise d'escape au milieu d'un public pas toujours averti ( ou au contraire trop bien averti et venu pour cela ) - On explique pas une activité aussi vaste que la chasse au vol en un vol, qui plus est si il risque d'être raté. - Risque d'assimilation avec un spectacle, plutôt qu'à une séance de chasse. - + Un autre mais très personnel : L'oiseau ne doit en aucun cas servir de faire valoir. Je ne suis pas d'accord avec voiron quand il dit que seul l'égo du fauconnier soufre d'une présentation ratée. Outre notre égo, c'est notre passion qui passe pour ridicule et nous avons besoin d'infiniment plus de crédibilité que les autres pour être acceptés. Les rigolos ne sont pas respectés, encore moins invités. Il est impératif de ne pas passer pour des marginaux folkloriques, mais bien pour des chasseurs expérimentés qui doivent parvenir à maitriser avec perfection tout un enchainement cynégétique complexe qui conduit à la réussite de l'acte de prédation . Nebli parle de laisser la place aux extrémistes, mieux vaut en effet ne pas faire parler de nous et leur laisser la place sans arguments concrets, que de donner le baton pour se faire battre avec une présentation lamentable ou en dessous de la perfection nécessaire. Nous connaissons hélas bien le problème, avec des pseudo-fauconniers qui interviennent sur notre secteur et nous font passer pour des rigolos aux yeux des chasseurs, des criminels auprès des extrémistes, avec un grand public qui n'en retient strictement rien et confondra au final volerie et chasse au vol. Résultat des courses : aucune lisibilité, crédibilité zéro. Si vraiment on veut promouvoir la fauconnerie, il y a d'autres méthodes, beaucoup plus efficaces que de singer les voleries en tentant un spectacle de masse, ma foi risqué : C'est inviter régulièrement des gens à la chasse et aux entrainements : ONCFS, présidents de fédé, d'acca, chasseurs, ornitho, représentants de préfecture, ddaf, curieux en petit comité, ect... Je préfère avoir 5 ou 6 accompagnants plusieurs dizaines de fois dans la saison et être certain d'avoir des retombées positives de 100 % que de jouer à tenter de convaincre 120 curieux sur un coup de dé . ( Dont 80 % n'ont probablement strictement rien à faire de la chasse au vol ! (c'était ça ou mc do avec les gossses à part que c'est gratuit ! ) Cela fait 20 ans qu'on entend parler de promotion de la fauconnerie par ce biais et que les retombées sont nulles et/ou préjudiciables . Notre mode de communication doit donc s'adapter à la réalité de notre passion, une chasse, un art, une tradition pointue avec un travail de fourmi sur le long terme, pas une séance de vogue ou un dysneyland vulgaire. Pour cela il faut maitriser notre communication. Il faut préférer 5 ou 6 séances de reportage en national avec droit de regard sur article et photos, que 10 articles dans une presse locale qui n'en retiendra pas grand chose - après une interview de 10 mn dans la foule - pas plus que les 200 badauds présents. En clair, préférer la communication à la réclame !
  12. etienne01

    La nouvelle saison (2008)

    Quelle est donc cette soif de reconnaissance auprès du grand public ? Il y a une forme de courage à s'exposer ainsi, il faut le reconnaitre. Pour ma part, j'ai toujours peur que ça foire et de donner une image médiocre du haut vol, mais il y a aussi une part de mégalo que je ne comprends pas. Qu'y a-t-il a gagner ? Attention, je ne critique pas, mais je m'interroge sur les motivations. Probablement un vieux réflexe suranné de fauconnier parano qui continue à penser que pour vivre heureux, mieux vaut vivre caché. Cordialement - le débat est ouvert.
  13. etienne01

    pelerin grive merle alouette

    Un de nos amis chasse aussi avec un tiercelet a ....90 g ! effectivement sur étourneaux. Il semble que ces oiseaux aient des capacités assez extraordinaires compte tenu de leur taille : prise d'une tourterelle en escape !
  14. etienne01

    pelerin grive merle alouette

    Quelques uns font voler du hobereau. Le problème du hobereau, le même que le crécerelle: met le dans un vol de canneton et tu le retrouves au printemps. Voiron en a fait voler un avec un autre de mes amis, il y a quelques années, même remarque. Un de mes amis en a un, il attend la fin de l'automne pour le mettre sur l'aile, afin d'éviter les risques de migration. Mais dans tous les cas très peu d'infos sur cet oiseau.
  15. etienne01

    pelerin grive merle alouette

    Du tinnunculus, mais cela est juste nous n'avons abordé le sparverius, oiseau que je ne connais pas du tout, mais dont tout le monde commence à parler. Il parait qu'il est assez intéressant pour de petits vols. Il y a aussi le hoberau qu'un de nos membres ici présent doit mettre sur l'aile bientôt. Ceci étant dit, pour mon gout personnel, ces oiseaux ne sont que des pis-aller, le seul "petit" faucon intéressant reste l'émerillon.
  16. etienne01

    pelerin grive merle alouette

    Les deux, mais il se trouve que le seul qui chassait vraiment, aussi bien merle que moineau était un tiercelet. Sur des ignobles comme les crécerelles, je ne pense pas que ce soit la taille qui fasse la différence, il s'agit surtout du caractère. J'avais constaté à peu près la même chose avec les buses variables : une de bonne toute les 10... ( quand je dis bonne tout est relatif..on dira plutôt utilisable ) C'est à mon avis surtout pour cela que ces oiseaux sont inutilisables, en dehors de leur vol lent et de la faiblesse de leurs serres, c'est surtout cette léthargie générale couplée à une fénéantise congénitale qui en interdit l'utilisation. Après tout, pour attraper des moineaux, pas besoin de mains de fer, ni de piqués monstrueux, de même qu'une variable, si elle veut se forcer un peu est tout à fait capable de tenir un petit garenne. Pour sortir un peu de ce sujet pas très intéressant sur crécerelles et buses, Phénix volait de l'alpomado, je n'ai plus de nouvelles d'alban qui pourrait nous parler de ce petit faucon qu'il avait je crois récupéré. Je ne sais pas si il le volait.
  17. etienne01

    pelerin grive merle alouette

    Merci, de le souligner....j'avais abordé le sujet avec nettement moins de diplomatie Dans les Alpes nous connaissons également la raréfaction des vols de grives, les vols de migration des musiciennes et litornes sont beaucoup plus courts avec des densités beaucoup plus faibles. Les mauvis deviennent exeptionnelles, il me semble par contre que l'on voit plus de draines, probablement sédentarisées, surtout visibles au printemps, alors qu'il y en avait très peu autrefois. A défaut de betteraves, nous arrêtons aussi les grives qui tiennent très bien l'arrêt dans les myrtilliers, lors de ces passages... Pour ce qui est de les chasser, la difficulté réside surtout dans le fait de les faire décoller et voler ....nous avions essayé sur des merles, cela ne parait effectivement pas plus simple, les attaques se soldant presque systématiquement à la remise dans les haies, avec une fuite au dernier moment, quand l'oiseau va prendre. ( un épervier fait clairement mieux l'affaire ). Puisque l'on parle des petits faucons et de vieux souvenirs ....J'avais à une époque une escadrille de crécerelle, mis sur merles et moineaux ! Sur 7 oiseaux un seul y allait réellement et se passionnait pour cette chasse, les 6 autres en vol servant surtout à terroriser les oiseaux pour qu'ils se remisent. Le problème avec les moineaux ( un peu le même je pense avec tous les petits oiseaux ), après un ou deux vols, impossible de les faire décoller ! Nous les ramassions souvent contre les crépis des façades, blottis entre les chevrons de bas de pente ou ils se réfugiaient. ( escape facile !) Nous avions déjà noté à cette époque, que les moineaux faisaient presque immédiatement le distingo entre le faucon capable de les attrapper et les 6 autres parasites. 1 sur 7 ... le pourcentage de réussite est faible ! par contre et bien entendu sans vouloir comparer crécerelle et émerillon, quand on a la chance d'avoir un bon crécrelle pour débuter, on peut vraiment passer de bons moments et s'amuser.
  18. etienne01

    pelerin grive merle alouette

    Il y a maintenant quelques années, j'ai assisté dans le pays de galle à des vols d'alouette d'antologie. Accompagné par deux fauconniers locaux, qui visiblement n'étaient pas toujours regardants sur le style et appréciaient surtout beaucoup les alouettes.... Les alouettes repérées et posées, deux émerillons étaient mis sur l'aile, si l'oiseau n'était pas pris, après une ou deux attaques de concert, il se remisait au sol, ce qui faisait la joie de nos compagnons, ravis d'aller les cueillir ! C'est un de mes plus merveilleux souvenirs de débutant, la terreur qu'inspirait ces faucons à leur proie, les tétanisant à terre me paraissait magique, c'est aussi une des seule fois ou j'ai vu voler de l'émerillon. C'est un oiseau que je ne connais pas très bien, très peu utilisé en France, peut-être à cause des gibiers sur lequel on le créance qui sont à la portée d'un épervier. On lui préfère probablement le bas vol, moins contraignant malgré tout. Ceci étant dit ce petit faucon peut être une alternative, à la pratique du haut vol à laquelle je réfléchis actuellement, compte tenu de la difficulté que nous rencontrons à continuer à chasser de "grands" gibiers naturels.
  19. etienne01

    pelerin grive merle alouette

    FLY : "En général, on dit tous la même chose mais sans s'en aperçevoir"...tout à fait. A un moment, ton oiseau est bien au sol et mange sur sa prise, que tu le reprennes au poing, au leurre ou au cerf-volant ne change rien au fait qu'il charrie. Tous les oiseaux récupérés sur prise, sur leurre ou autre finissent nourris peu ou prou sur le poing du fauconnier ! c'est systématique ....et ce n'est pas ce qui influe sur le charriage. Effectivement, la prise, le leurre ou le poing n'ont rien à voir. Ce qui influe, c'est la manière de s'y prendre afin de ne pas donner le sentiment à l'oiseau qu'on le "vole", quelque soit le support de substitution. Par ailleurs, tu as un jeune oiseau qui n'a pas encore beaucoup d'experience, après deux ou trois saisons, il est rare qu'un bon faucon attende le retour du fauconnier pour avaler sa proie, il n'aura pas non plus besoin de toi pour évicérer en deux coups de bec et ne te laisser que les pattes.
  20. etienne01

    pelerin grive merle alouette

    Ah ben quand même ! !
  21. etienne01

    pelerin grive merle alouette

    Le pélerin à l'alouette ...bof...dans la famille des idées à la noix. L'intérêt du sujet était surtout le charriage et on a pris la peine d'y répondre correctement, même si tu n'as pas eu l'air de t'y intéresser.
  22. etienne01

    pelerin grive merle alouette

    Essaye déjà le Français, cast se traduit par couple, non par caste....
  23. etienne01

    pelerin grive merle alouette

    tu voulais peut-être dire de compagnie ?
  24. etienne01

    pelerin grive merle alouette

    C'est une vue de l'esprit, on arrive souvent trop tard. Il n'est pas rare de retrouver un faucon à 5 ou 600 m sur sa proie, le temps d'y arriver la gorge est souvent faite. Un oiseau "gorgé libre au leurre" ou "assuré libre au poing"...?!? là je ne comprends pas... Si il fait prise, il mange sur sa proie le temps qu'on le rejoigne. Si il ne fait pas prise, il se recentre et attend d'être resservi .... Si on veut le remettre sur l'aile, on essaye d'arriver vite pour substituer la proie. Point Barre. Perso, je ne suis pas du tout pour cumuler les prises. A la première prise on rentre, si il a pris il mange, sinon il ne mange pas. C'est un peu con et primaire, mais j'ai la faiblesse de penser que mes oiseaux chassent aussi pour se nourrir de leur prise, pas seulement pour avoir le plaisir de me sauter au poing !
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