-
Compteur de contenus
768 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Forums
Blogs
Boutique
Calendrier
Téléchargements
Galerie
Articles animaux
Sites
Annuaire animalier
Petites annonces
Tout ce qui a été posté par Fly the snipe
-
Voler en Provence?
Fly the snipe a répondu à un(e) sujet de Fly the snipe dans La chasse : territoires – aménagements - gibier - droits de chasse
Suis sorti comme prévu en Camargue, mais sans oiseau ni chiens (pour cause de violent mistral annoncé à tort (90 à 110 kmh). Bon résultats sur bécassines ... à l'affût. En revanche, une fois encore, les collègues qui ont choisi de chasser devant eux n'ont rien pris car les oiselles partaient à 100 mètres. Je pense que ce comportement inattendu chez la bécassine s'explique pas leur surchasse. Les canards et sarcelles sont passés tôt... dans la nuit. Dommage car il y en a beaucoup et ça aurait fait des occasions pour un faucon. Pour les chiens, il reste le field. Encore que le problème du gibier doit se poser aussi. La troisième mi-temps (autour d'une fondue savoyarde) a été à la hauteur. Mes origines bourguignones se sont réveillées. -
Buse de Harris qui s'arrache des plumes
Fly the snipe a répondu à un(e) sujet de Sylvain 75 dans Comportements et affaitage
-
Voler en Provence?
Fly the snipe a répondu à un(e) sujet de Fly the snipe dans La chasse : territoires – aménagements - gibier - droits de chasse
Je ne pense pas que ce soit une telle misère partout en Europe et même en France. Demain, je fais un tour à la bécassine et au canard en Camargue (je suis énervé et ça va barder). Il y a aussi des "becs rouges" que les chiens parviennent à mettre à l'envol dans les roselières (du genre râlidés?). Si j'ai le courage de m'encombrer de mon tiercelet, je tenterai ces oiseaux qui semblent assez peu rapides. Et comme je suis invité à faire chasser les chiens en début d'après midi pour ne pas perturber la chasse du soir... Ca va barder, je vous le dis, ça va barder. -
Voler en Provence?
Fly the snipe a répondu à un(e) sujet de Fly the snipe dans La chasse : territoires – aménagements - gibier - droits de chasse
S'il s'agit de l'équipage d'Arcussia, je connais déjà. Je sais, je sais, dans un pays sans espaces, il faudrait que je fasse du bas vol. Pour dire, Bernard P est en Hongrie pour 1.5 mois pour faire chasser ses faucons. Je précise que je ne suis pas exclu de Camargue. Je regrette seulement l'utilisation limitée des chiens. A ce point que je dois chasser avec les miens avant l'arrivée des labradors. -
Voler en Provence?
Fly the snipe a répondu à un(e) sujet de Fly the snipe dans La chasse : territoires – aménagements - gibier - droits de chasse
Et v'là-t-y pas que je pourrais révolutionner la chasse de la bécassine en Camargue! Les plus motivés et les plus passionnés se sont renseignés et oui, les chiens d'arrêt sont bien utilisés dans certaines régions pour chasser l'oiselle. Mais découverte n'est pas motivation à changer ses habitudes: si je pouvais être assez gentil pour venir sans chien mercredi prochain, histoire de voir la véritable efficacité du labrador sur la platière (sous entendu, sans la concurrence d'un épagneul qui court partout). Je peux faire mes expériences, mais si possible pas quand les fusillots sont de sortie. Sur le plan du vol, peut mieux faire. J'en suis toujours plus ou moins au stade bondrée apivore et j'espère faire de la mauvaise crécerellerie à court terme. Je suis resté dehors hier pendant trois heures, histoire de lui faire multiplier les vols et lui donner du souffle. D'accord, il y avait un mistral à 40 km/h avec des bourrasques à 60. Mais ce n'est plus ce qui le dérange car il s'en sort plutôt bien contre le vent. Il arrive très haletant mais je mets ça sur le compte de son insuffisance respiratoire. Les jumps et la sortie quotidienne l'ont musclé et au gant il récupère son souffle beaucoup plus vite. Quand le vent baissera, il aura ses premières escapes (j'aimerais bien ne pas le récupérer en Corse). Pour ceux qui suivent l'évolution du pointer: il commence à être très réceptif. Dommage qu'il ne trouve jamais rien dans le no game's land qu'est la Provence avignonaise, malgré les km parcourus en trombe. Savanes guyanaises, vous me manquez! -
-
Elle a eu le temps de faire courtoisie sur son lapin? Pas d'autre alternative à mon avis que d'être là: Si elle ne prend pas, elle finira par venir d'elle-même. Si elle prend, vous vous approchez comme d'habitude pour la récupérer. Au pire elle charriera et s'envolera sans son lapin et vous en revenez au point de départ (mais elle n'a pas mangé). Maintenant, à vous d'être là du matin jusqu'au soir si nécessaire. Vous avez déjà la chance qu'elle reste encore sur son chêne.
-
Si c'est un cas de conscience, essaye le 32 voire le 28 grammes. Nous en sommes à deviser de l'arrêt des chiens, pas du mode de chasse. Celà dit, je vais mettre de plus en plus le fusil de côté moi-aussi. Mais c'est surtout pour conserver le peu d'audition qui me reste. De ce point de vue, pas de risque d'être assourdi par le sifflement d'un faucon en piqué (qui a dit "surtout le tien"). Le mistral est tombé. Il pleut sans discontinuer. Amicalement,
-
Et dissocions bécasses et bécassines. J'avoue que samedi dernier, Utah qui a fini par courir sans but. A décharge, il a eu un jeune labrador au derrière tout le long, qui lui sautait dessus dès qu'il ralentissait. Oublions cet épisode exceptionnel et préparons la prochaine sortie! Si possible avec le tiercelet (le mistral finira bien par tomber).
-
-
-
Renseignements pris auprès d'un vieux chasseur camarguais, la bécassine a ses jours. Soit elle se laisse arrêter, soit non. Considérons que samedi était un jour sans. Ce qui n'est pas banal, ce que c'ait été le cas alors que le vent est censé les encourager à rester au sol. Déconcertant. Ca part dans tous les sens sans raison. Superokay avec Nebli. Les bécassines vont réfléchir à deux fois avant de fuir. Un pèlerin est-il assez manoeuvrable? C'est pourquoi je pensais aux hybrides d'émérillon et d'hobereau. Suivre un pointer? S'il peut arrêter, j'espère bien que je n'aurai qu'à aller le servir et non pas à le suivre. La platière que nous avons chassée est extra. Le temps que nous ayons pateaugé d'une extrémité à l'autre, les bécasines sont revenues derrière nous. Chasser la bécasse dans les pins de ma montagnette. J'y réserverais tout de même mon breton. Et il faudra sûrement que je lui mette un émetteur au collier. Le pèpère a connu les bécassines dans les savanes guyanaises et il s'éloigne sans problème. Amicalement,
-
La bécasse nécessite une quête courte à mon avis incompatible avec celle du pointer. A confirmer. Oui, j'ai pensé au hobereau ou à son hybride pèlerin. Mais j'ai pensé aussi à l'émérillon, comme on en trouve par exemple en Irlande (si c'est pas de la pression, ça). M'en vais interroger le CICB pour savoir comment ces monomaniaques de l'oiselle utilisent les chiens d'arrêt sur des bécassines qui décollent aussi loin. Samedi, j'ai chassé avec le champion d'Europe de ball-trap. Sur une bonne 40aine de bécassines il en a décroché seulement 7 et moi, qui ne suis champion de rien du tout, j'en ai blessé une qu'il a fini derrière moi. ... et je garde le rêve de réussir à en faire prendre à un faucon. Oh pétard!
-
Voilà deux mois que j'étudie les possibilités cynégétiques de votre beau pays (exotique), en tout cas dans la région Provence-Camargue. Et je suis un tantinet inquiet. Les perdreaux sont d'élevage et ils se font tuer à 150 mètres de rayon du lieu de lâcher. Hormis la sourde, les bécassines partent à 50 mètres devant le chasseur (je vous laisse imaginer le vidage des platières si un chien quête loin). Les canards colverts, souchets et pilets volent exclusivement la nuit. Merci de bien vouloir m'indiquer comment utiliser un pointer, un setter ou n'importe quel chien d'arrêt dans un tel contexte, si vous en avez une idée ou l'expérience. Y a-t-il un espoir pour que les bécassines puissent être bloquées par un pointer très entreprenant? Y a-t-il des gibiers auxquels je ne pense pas? Je vais tenter de participer à un projet de chasse gardée sur 150 ha où nous envisageons de "gérer" une population de perdreau. Il faut bien trouver une solution. C'est ça ou les voyages de chasse (ponctuels). En Camargue le labrador est roi: il reste dans les bottes et est capable de ratisser les roselières pour faire lever râles et poules d'eau à portée de fusil. J'ai l'air fin, moi, avec mon fier pointer et mon "vieil" Utah. Oh pétard!
-
Ca faisait 3 jours que le tiercelet "plafonnait" dans l'exercice du jump. Un fort mistral s'est levé, avec des bourrasques propres à déstabiliser un homme (même sobre). Hier soir, le faucon aurait pu monter à la verticale jusqu'à la fenêtre de l'étage. A toute chose malheur est bon: demain, il y aura des canards et des sarcelles en Camargue, et après demain des palombes dans la montagne. Vive le vent, vive le vent, vive le vent d'hiver...
-
LA PERLE RARE DU MAHATMA ou sokol fier comme un coq !
Fly the snipe a répondu à un(e) sujet de mouchet dans Nouveau chasseur au vol ?
-
LA PERLE RARE DU MAHATMA ou sokol fier comme un coq !
Fly the snipe a répondu à un(e) sujet de mouchet dans Nouveau chasseur au vol ?
Ca marche aussi pour les maris, les amants... Une bougie (un cierge irait contre mes religions) pour le fauconnier marié (+ 1 pour chaque petite nana en sus). Le Grand-Duc a survécu au Tsar. Messieurs les futurs agrégés d'Histoire, autorités intellectuelles de demain, corrigez vos thèses! Bref, de l'avis de tous: c'est un très beau bras, et c'est bien là le principal! -
LA PERLE RARE DU MAHATMA ou sokol fier comme un coq !
Fly the snipe a répondu à un(e) sujet de mouchet dans Nouveau chasseur au vol ?
-
sélection du gibier
Fly the snipe a répondu à un sujet dans La chasse : territoires – aménagements - gibier - droits de chasse
-
J'ai fait une séance de jumps hier soir. 25 décollages à la verticale du sol jusqu'au dessus de la tête, avec un affaiblissement des performances au cours de la séance, mais sans perte de motivation. Bilan: une insuffisance musculaire attendue pour un premier exercice et, j'en suis content, une récupération rapide du souffle après chaque saut, malgré un rythme très soutenu (l'oiseau étant impatient). Les pigeons ne sont pas pour dans longtemps! Il était à 537 grammes. Amicalement,
-
-
Je n'ai pas donné le leurre à l'oiseau posé, mais ai attendu qu'il soit sur l'aile, même pour peu de temps. Il l'a écumé. Pas de problème d'association d'idée de style "je ne fais rien, je suis récompensé". C'est justement cette patience à toute épreuve de part et d'autre qui nous a fait aller jusqu'à la nuit. Qui a dit: "voilà deux belles têtes de mule"? La conformation du terrain provençal n'est pas de type moors d'Ecosse. Les champs alternent avec les vergers et, avec un oiseau qui semble autant concentré sur son effort que sur moi, difficile d'obtenir le schéma idéal que tu proposes. Mais j'espère en arriver là le plus tôt possible. Il faut qu'il revienne sur moi sans lasser une rangée de cyprès entre nous. Je me suis laissé une semaine pour ça. Je peux toujours tenter un perdreau peu volant pour voir, mais c'est à mon avis un peu tôt. Je retiens l'idée d'utiliser le "jump". Le pensum aura le mérite de muscler l'oiseau et de lui donner du souffle. C'est un "investissement" pour la suite. David, je ne pense pas que nous ayons le même problème. Mon tiercelet est revenu comme un coup de fusil quand il m'a vu le lendemain matin. Il a empiété le leurre sans même prêter attention à la cuissette de poussin et s'est précipité au gant acharné de deux poussins que je lui ai ensuite proposé. Le reste s'est passé comme si de rien n'était: attache, nettoyage du bec, chaperonnage. Amicalement,
-
Pour la petite histoire. Samedi soir, le tiercelet était à 557 grammes (un peu haut). Je l'ai sorti quand même, sûr qu'il ne me ferait pas de mauvais coup en volant si mal. Au contraire, si ça pouvait le libérer. Je le déchaperonne en arrivant. Il part immédiatement, fait un tour et se pose derrière une rangée de cyprès dans les pommiers. Il est tout près et je m'approche pour le récupérer au gant sec (comme d'habitude en cas de fumisterie). Cré vain non, il part et vole comme jamais (même si tout est relatif) pour revenir après un tour complet se poser à nouveau dans les pommiers. Comme il est un peu plus loin que la première fois, jugeant que c'est le maxi pour aujourd'hui, je me fis aux principes de base et l'attends. Une heure après, lassé, non sans avoir fait quelques pas (...) dans ma direction les ailes relevées à la façon vautour de volerie, il reprend son vol. Je sors le leurre mais il l'écume. S'en est suivi d'"assez" longs vols entrecoupés de longues périodes de récupération physique. La télémétrie l'indiquait une fois devant, une fois derrière, posé ou en l'air. Quand j'avais la chance de le voir il était toujours sur l'exploitation agricole. A la nuit, il s'est posé bas dans les cyprès (dixit la télémétrie). Butor à pieds plats. Tu ne vaux pas les piles que je mets dans l'émetteur et tu vas me faire perdre ce dernier si un renard te bouffe. Je l'ai récupéré facilement au leurre avec le soleil du lendemain. J'espère que cette incartade lui aura ouvert l'esprit sur ses capacités. En tout cas, je ne peux pas être plus souple. Il est un peu âgé pour être mis au taquet. Amicalement,
-
Pathétique. Voilà formalisée mon impression générale. De rêves, je n'en ai pas plus que de sentiments. Me restait en revanche un expoir, suite à une réaction favorable qu'il a eu la semaine dernière quand j'ai lâché sans faire attention à lui une pie que j'avais initialement désailée à son attention à la chasse à tir (avant de me raviser au moment de lui donner). Je vais persister une semaine encore et le mettrait sur escape de perdreau s'il tient en l'air à ce moment là. J'ai du temps à perdre.
-
Mon tiercelet est introduit depuis quelques jours mais ne parvient pas à rester longtemps sur l'aile. Il fait 100 mètres et se pose sur une motte. Quelqu'un a-t-il l'expérience d'un faucon qui n'a pas volé ses deux premières années? Si je me doute bien qu'il ne sera jamais un crack, combien faut-il de temps pour qu'il se muscle suffisamment pour rester en l'air? Merci pour votre expérience.