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Tout ce qui a été posté par Fly the snipe
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Pour la remise dans la haie de cyprès, je suis pas aussi sûr que ce soit aussi favorable que tu le penses. En effet, l'oiseau perd du plafond pour avoir le temps de rejoindre le perdreau avant qu'il ne se remise. C'est en tout cas mon analyse la situation. Si tu as 100 fois raison sur le raisonnement tenu par l'oiseau, je ne suis pas aussi pessimiste par rapport à la pose. Il sait bien qu'il ne se passe plus rien quand il est posé. Si tu remarques bien, il reste de moins en moins longtemps posé car il doit comprendre qu'il vaut mieux me tourner autour. Ce qui l'encourage aussi à se poser sur le toit, c'est que les pigeons y passent et repassent. Que lui demander de plus avec les perdreaux? Il les prend à chaque fois. Du coup, il n'en fait pas plus que nécessaire. Le meilleur exercice est bien en Camargue car les possibilités de remise sont éloignées. Je peux dissocier la gorge de la "mauvaise" performance en le nourrisant à la maison, quand il ne fait plus le lien avec le vol, mais il me faut lui offrir l'occasion de continuer à évoluer pour lui en demander plus. Il va sans dire que tu seras logé si tu viens jusqu'en Provence. C'est une obligation car je prendrais mal un refus. Et puis je viens de faire venir 6 bouteilles du meilleur rhum antillais, que je ne boirai pas seul par principe. Amicalement,
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Hier en camargue. 582gr. Des mouettes dans le champ de la veille. Le faucon part pour contourner le hangar et revient au dessus des mouettes qui s'envolent, mais n'attaque pas. Le faucon finit son tour et se pose sur le toit du hangar. 20 mn plus tard, il redécolle pour me rejoindre à 150 m. Je ne bouge pas car il est bas de plafond. Du coup il retourne sur son toit. 10 mn plus tard, idem, si ce n'est que je marche à l'opposé du hangar. Le faucon fait trois tours et je le serts. Belle attaque du perdreau qui est buffeté puis lié avant qu'il n'atteigne le sol. Un faucon très sec au bréchet. Est-il trop bas, est-il trop haut... fait-il trop chaud... Deux jours qu'il se pose. C'est déjà une habitude. Amicalement,
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Breton et pointer. Pour comparer deux chiens du même âge, soit 14-15 mois que j'expérimente actuellement, sachant qu'il y a certainement des différences de comportement d'un individu à l'autre dans une même race. Histoire du breton: un chien qui n'a reçu aucune éducation et que j'ai récupéré à Paris chez une personne qui était dépassée. Un chien qui cherche en permanence à capter mon attention (apporte des jouets, des chaussures...). Histoire du pointer: un chien de grandes origines qui a reçu une éducation de base, devenue naturelle. Beaucoup plus calme et placide. Tous deux sortent ensemble 45 mn par jour. En ce moment, le grand jeu est de nager dans un bassin de rétention de 2.5m de profondeur, le breton pour rapporter des objets qu'il faut que je lui lance si je veux la paix, le pointer pour tourner en rond. Ils reviennent au contact régulièrement au cours de la promenade. Je les fais travailler individuellement pour éviter que le pointer reste en retrait. Travail du breton sur escape: anticipe et réagit très rapidement. Un chien ardent qui a besoin d'être canalisé car il est tendu vers son objectif. Les coups de pelle à neige n'y feraient rien. Il gère seul la situation et ne tient plus compte de son environnement quand il est dans son calcul. J'ai investi dans un collier électrique très longue portée pour le rappeler à l'ordre et lui montrer que quand il obéit, on peut organiser une saine gestion de l'approche du "gibier". Préalablement, il quête naturellement par lacets croisés, avec changement de sens au coup de sifflet. Possibilité de répéter l'exercice. Rapport franc et massif. Attention de ne pas se faire prendre la main quand on tient le perdreau car il saute haut. Travail du pointer sur escape: un chien tellement sensible que toute type de violence est inenvisageable. Orientation de sa quête dans les grandes lignes jusqu'à ce qu'il saisisse l'émanation. Un coup de sifflet pour le confirmer au down. Un seul exercice pour ne pas le troubler. Rapport du bout des dents car il ne veut pas faire mal au gibier. Foncièrement, il préfère courir à sa guise et c'est à ce moment-là qu'il fait de vrais arrêts, sur les insectes la plupart du temps... Il ne lui manque que du gibier. L'an dernier, j'ai snobé les alouettes, je n'aurais pas dû. Dugibier, il n'y en a pas sur l'exploitation. S'il y en avait eu, les chiens l'auraient trouvé comme ils retrouvent invariablement les perdreaux d'escape perdus. Un travail sur pigeon leur serait autant profitable qu'au faucon. Amicalement,
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Je partage ton sentiment, cher administrateur. Ne t'inquiète pas, je ne prends pas mal les choses. Comme précisé, le vol est un loisir et je ne vais certainement pas me battre dans ce domaine. Je suis allé en Camargue hier soir et j'y retourne absolument ce soir. Que s'est-il passé hier. 280 gr. Je passe sur la mise sur l'aile qui a provoqué l'entrée en lice d'un milan noir. Le faucon fuit loin, très loin (heureusement qu'il y a de l'espace en Camargue). Quand il revient, il est assez haut. Il me dépasse pour rejoindre les arbres qui entourent le mas du client qui m'a invité, tourne un peu sur les hangars et se pose au sommet d'un grand arbre sur la digue du petit Rhône. Avec la chaleur qu'on a en journée, on ne devrait pas voler avant 20 heures. Or, il est 19h30. Je m'éloigne vers un hangar isolé où quelques pigeons tendent le cou. Si le faucon (à 400-500 mètres) pouvait venir se centrer... Le tiercelet décolle, suit le Rhône et contourne le hangar par l'arrière. La construction me cache le faucon mais je vois tous les petits oiseaux se remiser au sol. Un pigeon contourne le hangar comme une fusée, suivi par le tiercelet qui n'insiste pas car sa proie est entrée dans un trou du mur. Le faucon se pose sur le toit. Pendant une demi heure, il reste là et fini par se trouver entouré de 4-5 pigeons qui préfèrent savoir où il est. Evidemment, black-out de mon côté jusqu'à ce que le faucon vole à nouveau. Il se centre alors sur moi et fait 2-3 tours en montant. J'escape un perdreau à contre sens quand je sents qu'il va perdre du plafond mais il ne l'a pas vu. Quand il revient, je lance un 2d perdreau qu'il buffète. Le perdreau tombe mais redécolle quand le faucon lui tombe dessus. Le breton me rapporte le perdreau que je relance, mais la proie a abandonné. Il se remise et le faucon le tue. Je pense que, même s'il est attiré par les pigeons alentours, le faucon n'est pas loin de comprendre que sans moi, point de salut. Sur ce point, ça roule. Pour le reste, j'en suis arrivé au maxi possible sans pigeons d'escape. Si je ne lui en propose pas très vite, il va s'habituer à perdre du plafond en me rejoignant car il sait que les perdreaux cherchent à se remiser le plus rapidement possible; il sait que ses chances s'amenuisent s'il est trop haut. C'est un faucon fiable qui a envie de voler. Je ne pense pas que le poids ait grande importance car, hormis le manque d'entrainement (les espaces sont plus vastes qu'à la maison et il y a de quoi voler) qui l'a fait se poser deux fois, il a bien compris le but de la manoeuvre. Je vais chercher un tiercelet de buse de harris le WE prochain chez Franck dans le Jura. Si tu as une source possible de pigeons, je fais un détour. Amicalement, Vincent.
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Point, mon ami, point. Je ne souhaitais pas m'apesantir sur le vol d'hier qui ne doit pas rester dans les annales. Soit, je complète pour les ilotes. Le faucon est resté un moment sur l'aile tout de même, mais sans ampleur puisqu'il est resté à peu près à vue (il y a toujours une haie à promixité pour le cacher à un moment où à un autre). Après cette attaque infructueuse, il est venu se centrer à un plafond indigne de lui (en tout cas de celui de la veille). J'ai attendu qu'il monte, en vain. Pour le sanctionner (n'ayant pas préparé la boîte d'escape, à tort), j'ai envoyé le perdreau à contre direction. Le faucon a amorcé un demi tour et sa descente. Malheureusement, le perdreau a tourné vers une haie de cyprès (que j'avais laissée derrière moi pour laisser du champ devant) où il s'est engouffré, obligeant le faucon à ressourcer de justesse. Les chiens se sont précipités vers l'action et le breton qui n'a pas de nez a retrouvé de perdreau que j'ai relancé pour finir le cycle. Le faucon n'a eu aucun mal à conclure. Je partage les progrès, pas les mauvais jours qui n'apportent rien au jeunes qui peut-être nous lisent. Devant la vindicte, je m'exécute et raconte l'ensemble. Notez au passage que je ne pourrai en aucun cas faire preuve d'autant de mémoire si vous m'interrogez sur quelqu'autre sujet. Pour répondre à ton interrogation. Le faucon ne mange plus sur la proie ni au leurre, mais seulement au gant, ce qui me permet de ne pas craindre qu'il charrie ou s'échappe sans faim. La proie est systématique, prise ou non. Hier, il n'a pas fait de miracles mais il a attaqué 2 fois et pris 1 fois. Dois-je me contenter du leurre ou lui accorder la prime de son effort, sachant que l'oiseau était redescendu à 575 gr la veille et que je souhaite le tester à 580 gr. Dans la fauconnerie, c'est comme dans la vie, ce n'est jamais ni tout noir ni tout blanc. Pour ma part, en vieillissant, je m'humanise et laisse parler mon petit coeur sensible là où d'autres accumuleraient les sanctions. C'est tout moi. Voilà, cher ami, avez-vous l'info qui vous sied? Il me manque maintenant des pigeons pour avancer. Et j'attends qu'ils moissonnent ces p...... de parcelles de blé qui me réduisent le champ de manoeuvre. Pour les chiens: l'orgueil de certains chasseurs est salutaire pour la diversité de nos races de chiens. Si tous tendaient vers le même objectif d'obtenir le meilleur chien, il n'y aurait plus que les E. Bretons, n'est-ce pas. En effet, le club a atteint des sommets en instillant du sang étranger pour peaufiner son chef d'oeuvre. Un chien fin de nez, rapide, chasseur et, qualité trop souvent négligée, intelligent. Pour faire mieux, il faudrait lui demander de savoir nettoyer le fusil. Oh! Suis-je seul à faire l'effort de partager l'expérence du moment sur le forum? Amicalement,
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Rien à dire sur le vol d'hier soir car décevant, l'oiseau ayant même pu se poser si les chiens ne l'en avaient pas dissuadé. Il est monté un peu au début pour attaquer au dessus des haies où toute la chrétienté ailée s'est remisée. D'autant plus décevant que le fond de l'air était frais et qu'il pesait 577 gr.
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Le perdreau était en l'air quand le breton l'a cherché. Le pointer est arrivé une demi heure plus tard et le perdreau était descendu. Voilà 5 perdreaux que j'escape. 1 perdu après avoir été remis à l'envol par le breton, 1 tué par le faucon, 1 pris mais pas tué, 1 retrouvé par le breton et 1 par le pointer. Je précise, car certains pourraient penser que le pointer est supérieur au breton et ce genre d'erreur ne devrait plus être faite à notre époque. A ce propos, il semble que le breton ait été retempré avec du setter ces dernières années et ils ont acquis de la vitesse. Je le vois avec le breton que je viens de prendre. Amicalement,
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Les jours se suivent et ne se ressemblent pas. 575 gr. Je prépare 1 poussin de plus. La partie dure du rayonnement solaire est filtrée par un fin voile nuageux. Je suis sur une bande de courgettes entre deux haies de cyprès quand j'entends les corneilles. Confiant (téméraire?) je déchaperonne en estimant que le tiercelet pourra partir en long au dessus des plantations, ce qu'il fait immédiatement avant de passer les cyprès et disparaître. Le tracking m'indique qu'il tourne alentour. Une heure plus tard, je me suis avancé sur un chemin entre deux parcelles de blé (sur l'exploitation) pour me montrer. Toutes la gent ailée est desortie: crécerelles, corvidés, martinets, ramiers, guêpiers... Le tracking indique que le faucon est toujours sur l'aile... Je me souviens des temps anciens et des conseils du maître: sois patient. Je fais se coucher le breton à mes pieds. Un bon quart d'heure plus tard, sorti de nulle part, surgit un... tintement de sonnettes. Il est haut. Mon champ de manoeuvre est très restreint entre les blés. Je lance un perdreau qui provoque un vrai piqué de 4-5 secondes chez le faucon qui n'a pourtant pas le temps de rejoindre sa proie qui se remise dans les lierres d'un peuplier, à 2 mètres de haut. Le faucon est récupéré au leurre et se gorge de 4 poussins. Je lâche le chien pour qu'il retrouve le perdreau, sans succès. Juste avant la nuit, c'est le pointer qui me le rapporte au cours de sa sortie du soir. Le faucon est-il parti de proies en proies? Je n'ai vu que le tout début et la toute fin. Ce matin en Provence, le tonnerre. Amicalement,
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Mais nous sommes d'accord! loin de moi l'idée que l'exercice était manqué, au contraire. Je ne peux simplement pas le répéter à volonté. Soit tu interprètes mal, soit je m'exprime mal. A mon avis, tu caricatures. Jte dis, tu caricatures. Le plafond d'hier n'en était pas un parce que l'oiseau a mis toutes ses forces dans la poursuite. Mais c'est exceptionnel. Sinon il monte déjà pas mal pour un oiseau sur l'aile depuis assez peu de temps. Bon, c'est pas tout ça, mais c'est l'heure. Amicalement,
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Mais si, mais si, nous sommes d'accord sur beaucoup de chose. Après, nous raisonnons sur des bases différentes. Pour ma part, je ne me sents toujours pas à l'aise dans mon territoire, tandis qu'entier (même si je n'irai pas vérifier), tu fais fi de cet aspect en défendant la quintescence du vol d'amont. Hier soir, je n'avais pas vu un couple de ramiers posé à 100 mètres quand j'ai déchaperonné. Le tiercelet est parti derrière. J'avais fini de ranger mon bordel et commençais à boîter dans la direction prise pour le tracker quand il est revenu avec un plafond digne de celui d'un lapin de garenne. Excellent exercice pour le souffle (poursuite en force et peut-être attaque), un peu moins pour le plafond. Pour ses prochains vols sur l'exploitation, il faudra que je trouve le moyen de le mettre sur l'aile dans un petit pré juste derrière le mas pour le faire monter hors de la vue des corneilles présents ces temps-ci. Le statut de piégeur doit permettre de les prendre avant l'ouverture générale. Plein de fougue, tu vas me conseiller d'aller déjà voler en Camargue. Rabat-joie, je te répondrai que le responsable de la chasse, un ami, sympathique, d'accord sur le principe de chasser au vol, n'a pu s'empêcher (sans même s'en apercevoir) de me proposer de chasser à côté (donc sur les chasses parallèles) pour ne pas faire fuir les canards de sa chasse. Il faut certainement que je l'invite à un entrainement pour qu'il dédramatise, mais la peur (ou la haine) du rapace est tenace chez nos chers Tartarins. Amicalement,
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OK dans les principes, toutefois: Malgré les nombreuses promesses qui m'ont été faites par des fauconniers et des colombophiles, je n'ai hélas pas réussi à me procurer des pigeons voyageurs... Il paraît que la ville d'Avignon capture des pigeons et que certains fauconniers s'approvisionnent là-bas. Des pigeons de ville... glup! D'autre part, je risque bien de créancer l'oiseau sur canard et bécassine (ça y est, je l'ai dit) et je ne suis pas convaincu qu'un plafond formidable soit nécessaire. Enfin, je crains la poursuite sur 4 km qui nous fera traverser routes et propriétés. La chasse en Camargue fait 50 ha mais n'est large que de 800 mètres. C'est sans doute dommage d'interrompre l'évolution prometteuse de cet oiseau et de ne pas chercher le plafond maxi, mais c'est aussi plus prudent. Amicalement,
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Hier. 577 gr. Pas de vent. Le faucon monte et passe largement au dessus d'un pilone THT. Il revient en perdant du plafond, fait un tour. Quand il est perpendiculaire au pré, je lance le perdreau (gros pouillard) qui est vite rattrapé et buffeté. Le faucon tombe sur sa proie au sol quand elle repart. Faucon à terre, perdreau qui prend de l'avance vers une haie de cyprès. Le faucon reprend 20-25 mètres derrière et rejoint sa proie qui entre dans la haie. Perdreau dénuqué. Vivement les moissons des champs de blé dur. Je suis obligé de calculer l'action dans un mouchoir de poche pour éviter que les perdeaux se remisent dans les blés. Il me faudrait dès ce soir éloigner la boîte d'envol pour que le faucon ne prenne pas l'habitude de descendre sur moi. Ce ne sera pas possible. Le faucon quitte la proie pour le leurre car il annonce un gorge au poing. En revanche, il n'est plus intéressé par la cuissette qui le garnit. Amicalement, NB: ça ne me dérangerais pas de lire vos expériences quotidiennes.
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Ouh là! Ouh là! La fauconnerie est pour la plupart de nous un loisir, qui nous permet de nous évader du quotidien (Manman, le boulot, que sais-je encore?). Est-il nécessaire de s'engager dans un conflit? Que chacun fasse ses expériences. Encore que je ne sois pas certain que la buse variable soit autorisée en bas vol. Amicalement,
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575 gr. Après 3 jours de mistral où le faucon a bien volé mais où il avait tendance à descendre pour revenir contre le vent, temps calme hier où nous avons eu 35 degrés de température tout de même. Du coup, il a pu entreprendre le perdreau. Une attaque esquivée avant que le perdreau n'atteigne la haie de cyprès pour s'y remiser. Le tiercelet ne va pas très loin mais je le perds de vue derrière les haies, et mon petit coeur sensible est mis à rude épreuve quand j'imagine un braconnier caché là dans l'attente du pigeon bleu. Vu aussi un épervier hier soir. Amicalement,
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Emanciper un niais...
Fly the snipe a répondu à un(e) sujet de antonin11 dans Comportements et affaitage
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Emanciper un niais...
Fly the snipe a répondu à un(e) sujet de antonin11 dans Comportements et affaitage
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Des nouvelles du front sudiste. Perdreaux disponibles depuis mardi. Introduction mercredi soir, le mardi soir étant réservé à des RV professionnels nocturnes. Il était prêt dimanche. Pour une première fois, il a mieux volé que son prédécesseur pneumoniaque au plus fort de sa forme car il a fait sept (petits) tours. Il faut vraiment que je valide le permis de chasser et que j'envoie les doc officiels du faucon... Une opportunité s'ouvrirait sur corneille et palombe chez un agriculteur céréalier envailli (300ha, ça ne se boude pas). Mais il me faudrait une forme. A cette époque, c'est un peu tard pour trouver des oiseaux. Amicalement,
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http://www.falconryforum.co.uk/showthread.php?t=9562&page=11&highlight=to+fly+the+snipe+with+a+tiercel Ci-après un ancien post que j'ai réactivé sur le forum International Falconry. Les analyses récentes ne sont plus ce qu'elles étaient il y a 2-3 ans. En effet, les pratiquants volaient la bécassine avec des Pélerins hybridés Barbarie ou Emérillon. Il semble que le pèlerin pur soit réhabilité pour cette chasse, même si ce sont les sous-espèces les plus légères qui semblent convenir. A 570 gr, mon tiercelet semble ridiculement petit et fin sur un perdreau de 6 mois. Pour autant sera-t-il suffisamment manoeuvrable pour la bécassine...
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Pour dire la force du conditionnement. ll a eu pleine gorge hier et a laissé 2 têtes et 4 pattes des 3 poussins offerts. Ce matin, je le jardine et le déchaperonne après avoir laissé une cuissette de poussin sur son bloc. Quand je suis parti au travail 1/2 heure après, il n'y avait pas touché. A midi, les chiens l'auront sûrement mangée. Il eût fallu que je lui donne au leurre ou avec le gant. C'est du reste ce que je ferai demain, le déchaperonnant au poing avant de le mettre au leurre. Pleine gorge car il a tout compris et il peut être bien remonté sans crainte: même s'il décidait de se balader dans le jour de l'introduction, le leurre le fera revenir comme un coup de fusil. C'est en tout cas ce qui s'est passé avec mes deux pélerins précédants. A chaque fois je réduis un peu plus le temps entre le jour où je commence à abaisser et la première escape et je n'ai encore rien perdu. Dernier détail: par prudence, je vais le peser voire le nourrir à midi, au cas où il aurait atteint le poids où un oiseau est difficile à remonter. Mais c'est parti et bien parti. Amicalement,