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Tout ce qui a été posté par Fly the snipe
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Gagné. On ne va tout se même pas se laisser impressionner par un horaire de train. Il y en a tellement des horaires de trains qu'on ne s'en sortirait pas si on devait en tenir compte à chaque fois. Si le faucon vient au poing à 16 heures (ce qui est tôt), il volera sur un pigeon tout neuf. Il manquera finalement 1 seul vol et aura un spectateur de marque le suivant: son éleveur. Pour ma part, je pense pouvoir faire chasser le faucon en Camargue 3 fois par semaine, et la buse dans les exploitations voisines presque tous les jours. Il y a des roubines et des canards dedans. Amicalement,
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Je vois que les avis sont pour le moins... partagés. Le tiercelet de Harris se comporte beaucoup mieux. Hier, il a squizzé le lapin (un peu prétentieux de ma part sachant qu'il est haut et sans expérience) mais il est venu au poing pour 5 poussins (rappel: il calait à 1 ces derniers jours). Je me sents beaucoup plus à l'aise pour son affaîtage à venir sachant ses réactions désormais normales. Il mange, il ne reste plus prostré ébouriffé et l'oeil mi-clos. De quoi me rassurer et me laisser partir serein pour 3 jours de mission parisienne. Question: je dois partir à la gare à 16h45. Serais-je assez raisonnable pour ne pas faire voler le faucon à 16 heures? Indice: j'ai des pigeons tout neufs qui semblent volants. Amicalement,
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Pour essayer autre chose et suivre les chasses de l'équipage. Et je suis sûr qu'il y a de quoi faire avec cet oiseau, surtout dans des endroits fermés. Comparaison avec le faucon: je vais m'y faire au fil des observations. Nous sommes deux à devoir apprendre: le tiercelet et moi. En quoi le faire se percher est-il souhaitable? Est-ce le moyen de lui faire prendre la vitesse qui pourrait lui manquer si elle partait du poing? Amicalement,
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Ballade suitée: je me garderais bien de procéder ainsi car l'effort est bref, l'oiseau se perche n'importe où (je fais un blocage, désolé) et il considère moins le gant comme un "camp de base". Pour ma part, comme pour les faucons, au pire je préfère poser l'oiseau par terre et lui faire des réclams sur une longue distance. Merci pour vos interventions, j'y vois de plus en plus clair sur la manière de procéder. Manman vient de m'appeler pour me demander si c'est normal que le tiercelet appelle en permanence. Effectivement, je l'entendais en bruit de fond au téléphone. Un déclic vient-il encore de se produire? Ce soir, m'en vais le mettre à la fauconnerie avec un lapin pour qu'il fasse ses affaires, histoire qu'il dissocie ma bobine du pât. Plus cet oiseau est haut, mieux il réagit? Les jumps: avec l'anatum, j'étais arrivé au point où l'oiseau prenait une beccade et retournait au bloc. C'est sans doute un problème s'il finit par écumer le gant. Avec le tiercelet actuel, je n'ai pas ce problème (les jumps pallient ponctuellement un vol insuffisant, le faucon brûlant déjà de l'énergie pour être en poids le lendemain). Amicalement,
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C'était l'objet de ma question: quel affaîtage pour tirer le meilleur de cet oiseau. Vous avez été nombreux à me conseiller de le faire tuer tôt: bonne idée car ça a marché le soir même (ce qui me désarçonne, je l'avoue, compte tenu du comportement préalable). Certains m'ont prévenu que ces buses sont capables de survivre avec peu de nourriture, gérant leur effort la journée. C'est ce que j'ai rencontré avec la queue rousse qui faisait des prises un jour et restait amorphe le lendemain... au même poids. Je commence à penser que le tiercelet n'était pas dans son assiette ces derniers jours. Comme il ne mangeait qu'un poussin, je lui en ai donné un... toutes les 12 heures, en l'ayant traité contre la coccidiose. Aujourdhui, l'oiseau est plus haut et surtout il semble moins prostré. Effectivement, l'affaîtage semble pouvoir être court. Après, il faut qu'il gagne de la musculature. Amicalement,
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Monte au gant sans être foncièrement attiré par le tiroir, se laisse manipuler sans réaction, veut rejoindre le fauconnier qu'elle ne connaît pas encore... Jamais vu ça avant. Il ne doit bien y avoir que les Harris pour être capable de le faire. Il y a une voie pour arriver à nos fins. Ca me rassure. Amicalement,
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Pour info et pour répondre en une fois aux MP. Ce tiercelet vient de Jurafaune et a pour parents un oiseau de Kingsheim et un autre d'Angleterre. Hier soir, quand j'ai pris le faucon, la buse semblait vouloir me rejoindre. Au retour, je lui ai donc donné le pigeon vivant mais bien amoché par le faucon (saignant sur l'aile et une cuisse). La buse a commencé à alarmer puis, les minutes passant, s'est dit que la proie était facile. Elle a sauté directement dessus pour le tuer (le pigeon s'est bien débattu, ce qui est une bonne chose), pour manger quelques plumes et agrandir les plaies laissées par le faucon. Comme elle était niaise avec son pigeon, je lui ai donné au poing une gorge d'un pilon de poulet. Pour le moment, cet oiseau n'a pas beaucoup de jus et il faudra effectivement l'accompagner dans sa progression. En revanche, il peut faire quelque chose d'inattendu, au moment où n'importe quel autre oiseau ferait le contraire. Comptons là-dessus! Je n'ai pas de chance avec ma première série de pigeons. Ils sont excellents au four (laisser les filets entre 12 et 14 mn; mon repas du soir) mais pas au vol. Sans doute souffrent-ils d'excès de poids, la graisse jaune qu'ils ont autour du cou et des intestins montrant qu'ils n'ont pas été privés de maïs. Dommage pour le faucon qui est parfaitement centré et qui mérite de faire un peu plus de sport. Amicalement,
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Pour le moment, je suis déconcerté par un oiseau qui monte au poing gentillement mais qui ne s'intéresse généralement pas au poussin et se met patte en plume sur le gant. Est-il malade? Est-il encore niais à 8 semaines? Il ne paraît pas stressé mais me semble maigre (il pas musclé du tout, en ayant à peu près l'activité quotidienne d'un oiseau empaillé). Voilà 2 jours qu'il ne mange qu'un poussin, en sortant temporairement de sa léthargie. Est-ce un comportement normal? Je me suis fendu de lapins qu'il regarde sans étincelle dans le regard... avant de se remettre patte en plume. Amicalement,
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Pour une buteo (ex jamaïcensis), il ne faut pas attendre. Ce principe doit être bon aussi pour une parabuteo. Je suis partisant de fixer les règles du jeu le plus rapidement possible pour un conditionnement sans faille. Je veux qu'il n'ait qu'un seul objectif: prendre. Il est des plus placides, sans crainte à mon égard si bien que je peux déjà le faire monter au gant pour le remettre au bloc (seuls les chiens l'impressionnent encore). Aussi je ne crains pas qu'il me fasse un coup en douce quand il sera sur une escape. Est-ce utile de chaperonner une Harris? Amicalement,
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Bonjour, Je n'ai d'expérience en bas vol que l'affaîtage d'une buse (à queue rousse) qui a un peu chassé l'iguane et d'une forme d'autour passagère voire haggarde (en volerie, ce qui n'est pas banal) qui n'a pas chassé. Me voici avec un tiercelet de harris un tantinet criard, apparemment souple tant physiquement que de caractère. Je sais que la buse de harris est en général très chasseuse et que l'objectif du fauconnier est de rapprocher son oiseau le plus près possible de son gibier pour qu'il puisse conclure. Quel est le meilleur affaîtage pour un oiseau qui prendrait la plume? Est-il utile ou simplement possible de faire monter cet oiseau au moins pour le muscler et lui élargir l'esprit ou son champ d'action? (Sans doute pas pour la chasse car il ne serait pas assez rapide à la descente). Faut-il au contraire le conditionner strictement comme un oiseau de poing? Je me pose la question après avoir observé des harris derrière les faisans: avaient-elles compris que la remise était certaine, était-elles au maxi de leurs capacités? mais elles se laissaient ou se faisaient distancer à chaque fois sur de longs vols. Bref, comment tirer le maxi de cet oiseau. Amicalement,
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Bon. Parce je sents que vous vous ennuyez déjà... Je sorts du travail tôt hier soir pour prendre la route vers 18 heures au plus tard. A 17 heures, j'arrive à la maison. Ma femme et la belle mère juste arrivée de Pointe à Pitre sont déjà prêtes et m'attendent assises sur leurs valises. C'est trop bête de ne pas faire voler le faucon. Je le pèse tout de même: 582 gr! Le soleil est haut et ardent, le vent du sud est fort et je dois racheter des piles pour l'émetteur. Non, ce n'est vraiment pas raisonnable. Un petit quart d'heure plus tard le faucon est sur l'aile. Il monte comme d'habitude mais ne revient pas se centrer. Etonnant, non? Moi qui espérait mutualiser chiens et faucon dans le champ moissonné... je me retrouve à réviser les bases du tracking avec un signal des plus ténus, le faucon s'étant éloigné un peu plus à chaque cercle pour disparaître. Après une heure de grillade au soleil, la mauvaise conscience se réveillant (eût égard à ces dames qui attendent), je commence à suivre les bips, en ligne droite (brutiau tu as été, brutiau tu resteras): un verger, un champ de blé, deux champs de blé, une roubine, deux roubines (profonds canaux d'irrigation au berges abruptes en général tenues par une rangée d'arbres et de ronciers)... bref, un petit rappel de la chasse en Guyane. Un gentleman farmer peaufine son gazon anglais derrière un mas isolé. Il a dû être surpris de me voir derrière la roubine un instant et au milieu du champ de blé qui jouxte son domaine le moment d'après, d'autant qu'un gars qui promène une antenne au milieu de deux chiens qui courent partout... Bref, le faucon est bien là, mais il n'a manifestement pas fini de voler et il repart en direction de l'exploitation. Chemin inverse pour les chiens et moi. Le tracking indique que l'oiseau est parti vers la montagne. La route nous sépare et je ne peux prendre le risque de faire traverser les chiens. Aussi je retourne à mon point de départ et sorts à contre coeur le cadavre de perdreau entâmé la veille pour le faire tourner en bout de longe. Je vois le tiercelet qui arrive à toute vitesse depuis la montagne. Nous prenons la route vers 20 heures 45. Le treillis a séché en route. Pour les bottes, ce sera plus long. Amicalement,
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Eh non, il n'a actuellement plus de défaut. C'est un oiseau très bon chaperonnier, qui ne charrie pas, qui n'a pas de crises de folie, qui commence à avoir confiance en ses capacités, qui se centre plutôt bien, qui monte vite même si ce n'est pas haut, qui attaque sans crainte, qui prend presque à chaque fois même si les escapes sont faciles, qui abandonne immédiatement sa prise au profit du leurre, qui a une bonne santé... Quand j'ai rencontré des difficultés, je les ai décrites objectivement il me semble. Quand les choses tournent bien, je ne le cache pas non plus. Nous faisons tout ça (faucons et chiens) pour de rares moments de bonheur. Ne les boudons point quand ils arrivent. Non, il n'a pas de défaut à corriger et je peux envisager la suite avec d'autant plus de sérénité que l'eleveur de perdreaux vient de me trouver une quinzaine de pigeons de ferme, que j'en aurai d'autres dès lundi sur un marché aux volailles en Bourgogne et que quelques-uns d'entre vous me proposent gentillement des voyageurs. Pour une fois que je n'ai pas l'occasion de me plaindre, profitez-en! Non vraiment, je pensais qu'après tout ce temps tu avais appris à me connaître. Espèce de boudeur! De toute façon, la description d'un affaîtage en temps réel s'achève avec la première prise sauvage. De première prise il ne peut y en avoir avant l'ouverture, n'est-ce pas? Donc le carnet de vol prend naturellement fin. Un peu de pratique, ça fait jamais de mal aux néophites qui ont pu suivre un conditionnement. Non mais, Amicalement,
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565 gr hier soir. Il est à peine 19 heures quand le tiercelet part du poing dans les 5 secondes de son déchaperonnage. Il monte immédiatement à son plafond habituel en à peine un large demi cercle. Une forme de crécerelle immature venue le houpiller tourne les avillons quand elle s'aperçoit que le tiercelet est en train de décrire un cercle qui le place déjà au dessus d'elle. Elle est à mi distance des lignes d'abricotiers quand le tiercelet est en position pour l'entreprendre. Elle échappe à l'attaque en s'engouffrant dans les fruitiers. Le tiercelet ressource et vient se recentrer sur moi. Je le serts au 2ème tour pour bien confirmer l'intérêt qu'il a à ne pas se poser. Il prend le perdreau par l'arrière. Je suis sur place pour sauver la vie de la proie en offrant le cadavre du perdreau de l'avant veille. Je laisse le faucon plumer et manger un quart de gorge. Je pose le leurre et sa cuissette sur le perdreau que le faucon abandonne sans difficulté. Pleine gorge au gant. Un vol académique et un faucon sans défaut. On y est. Demain, si St-Bavon le permet, je volerais à Arlay dans le Jura. Après demain en Bourgogne. Un bonheur n'arrivant jamais seul. Le faucon à la perche, je décide d'aller tester la réaction au coup de fusil du pointer en vue du TAN de la semaine prochaine. J'avais attaché le perdreau non tué du jour au fond d'un vaste champ, le seul (enfin) moissonné, le long de la route d'Arles. Je vais me mettre à contre vent avec le pointer en laisse. Je l'envoie à droite et il rejoint la route dans une course parfaite en ligne droite. Il entâme un large virage à gauche, soutenu par mes instructions au sifflet (peu efficaces car peu travaillées depuis des mois que les blés nous coupaient l'espace). Il court de manière parfaitement rectiligne et perpendiculaire à moi, me passe devant et est presque arrivé au bout du champ quand il entâme un large virage à droite pour repartir dans l'autre sens, ceci pour deux lacets supplémentaires. Sa quête est interrompue par l'envol de 3 cailles qui se remisent dans les tournesols. Il a été surpris. J'espère qu'il a eu le temps de sentir leur odeur pour la prochaine fois. Je le fais revenir à grand peine car il a fini par entrer dans les tournesols pour lèver un oiseau que mon imagination sans doute fertile me fait nommer oedinème (ca ne ressemble à rien d'autre qu'à ça). Retour au point de départ contre le vent. Nouvelle quête académique de 3 lacets conclue par un arrêt sur le perdreau. Je siffle le down et encourage le chien à ne pas bouger le temps que je le rejoigne, le dépasse, et récupère le perdreau à 8-10 m devant le chien. Je tire 2 cartouches devant un chien à peine étonné. Formidable. Dommage que nous n'ayons pas été déjà à l'épreuve du TAN, car je doute pouvoir renouveler l'exercice aussi bien à court terme. Un faucon bien mis, un chien bien mis, des cailles... Vivement l'ouverture, n'est-ce pas? Amicalement,
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565 gr, soit moins que son poids à l'intro. Il ne s'est pas posé. Etonnant, non? Pourtant, il a refait le même tou que la veille pour finir par tourner au dessus de son pilône et de la haie. Mais il est revenu aussitôt. Un perdreau peu coopératif qui retombe comme un caille d'élevage. Le faucon insiste, relance, mais le perdreau a dû finir par entrer dans un trou de souris. 50 jumps au retour à la maison. A confirmer.
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577 gr, mais j'ai dû me tromper. Mise sur l'aile sur l'exploitation vers 20 h. Le tiercelet monte franchement en cercle en se décentrant. A un moment, je le trouve parfaitement placé pour une descente d'enfer. Sans doute ai-je hésité trop longtemps à escaper ou a-t-il déjà l'esprit à autre chose car il continue à se décentrer en plafonnant à peine au dessus d'un pilône THT, puis il passe derrière une haie à 200 mètres de moi pour disparaître. J'aperçois quelques crécerelles qui se remisent dans la haie et un autre qui se pose sur le pilône à 10m de haut. Je m'apprête à sortir mon album de coloriage quand... Coup de fusil. Le tracking l'indique ni en l'air ni par terre. Je suis les bips en craignant qu'ils ne s'arrêtent (le brac pouvant le détruire si c'était bien le faucon qui était visé). J'entends les sonnettes en me dirigeant vers le pilône. Ce n'est pas une crécerelle posée à 10m mais bien le tiercelet. Ouf! Pour une fois, je suis content qu'il n'ait pas été en vol. Je retourne au centre du champ et colorie au moins 5 pages de mon album dans l'heure qui passe. Cette fois j'ai compris, il est trop haut. Quand le soleil est couché, le faucon daigne reprendre son vol, de fort belle manière d'ailleurs, montant, se centrant, si bien que je lui escape le perdreau que je m'étais juré de laisser dans son sac. Attaque immédiate mais infructueuse pour cause de remise (c'est un perdreau qui a déjà été récupéré d'une attaque similaire et qui connaît la musique). Pour le coup, le faucon avait pris l'envie de voler et, trop lourd par ailleurs, il a fait bien des tours avant de rejoindre le leurre. Un poussin en tout et pour tout. Ce matin, je pèse le faucon dans l'espoir de le faire voler (la température est fraîche et largement plus adaptée que le soir). Finalement, j'opte pour la recherche avec les chiens du perdreau perdu la veille. Banco. Le pointer l'arrête le long d'une haie et, exercice constructif, ne le rattrape pas parce qu'il se remise en hauteur. Comme quoi, quand les perdreaux ne sentent pas l'homme, il les arrête. Comment se comportera-t-il avec les escapes dans 10 jours quand il passera son TAN? Amicalment,
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590 gr, et en avant! Et pourtant même attitude que les jours précédants, ce qui montre que le poids n'y est plus pour grand chose, sauf à lui donner un surcroît de motivation pour ne pas qu'il se pose. Je change d'endroit ce soir, ça devrait suffir. Une caille est partie devant le breton. L'oiseau était encore chaperonné. Un perdreau vite rejoint et tué. Le tiercelet mange la tête, prend une beccade au leurre et monte au poing pour un poussin. A la maison, une séance d'une 30aine de jumps, pour la motivation, le souffle, le muscle et surtout pour que nous passions un peu de temps ensemble, car il a été vite introduit mais nous ne nous connaissons pas encore. Il commence à être costaud. Les jumps étaient verticaux et il n'a commencé à haleter qu'à partir du 28ème. Amicalement,
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C'est l'idée qui sous-tend l'expérience décrite. En effet, le pointer (le mien en tout cas) est sensible comme une jeune fille et un rien l'émeut. Le breton est un brutiau fin d'intelligence qui n'hésite jamais, ce qui me correspond tout à fait soit dit entre nous (entre brutiaux...). La nécessité de laisser s'exprimer sa préciosité et son côté féminin avec l'un (agir en douceur) et de s'affirmer comme un chef avec l'autre (faire respecter son initiative par le conducteur) empêche de les sortir les deux ensemble pour les faire travailler. C'est intéressant d'avoir la possibilité de passer de l'un à l'autre. Chacun son style. Amicalement,