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Fly the snipe

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Tout ce qui a été posté par Fly the snipe

  1. Du vent et de l'humidité. Le tiercelet se pose au sec dans les labours et ne monte pas. Rien ne va plus. Seule consolation du week-end: un pigeon séché net après un buffetage à la tête. Aujourd'hui, après qu'il ait pris le temps de se poser et qu'il se soit contenté d'un plafond minable, je lui escape une tourterelle qui tombe au sol aussitôt (manquait plus que ça). Le faucon l'accroche au sol puis se pose dessus. Je lui donne une beccade pour le récupérer et le remettre sur l'aile. Quand il est au maxi d'un plafond toujours décevant (40-50 m), j'escape un pigeon très volant qu'il attaque tout de même de belle manière mais qu'il manque à l'esquive. Je récupère au leurre vide puis au poing sur un tiroir. Il part avec... Ah ben bon. Le coup de la tourterelle ne lui a pas plu. Le voilà qui charrie. Il m'a refait le même coup 20 m plus tard après être monté avec sa bouffe, descendu je ne sais où pour l'avaler, puis remonté encore pour attaquer une crécerelle... cette fois je tenais le tiroir. Si la pluie et le vent de mer me pourrissent mes sorties... déjà qu'il me manque du temps pour le laisser lambiner quand il ne monte pas. Ca sent la longe (humide) nouée. Avec les performances du moment, il aurait été illusoire de l'envoyer en Hongrie. Amicalement,
  2. J'espère qu'il pleut en Belgique. Ce serait malvenu qu'il ne pleuve que chez nous. Je regarde le ciel par la fenêtre et me dit qu'il serait dangereux de faire voler un faucon par ce temps: il risquerait de se cogner sur un ciel si bas. Belle collection d'oiseaux en effet. Il y en a pour tous les vols. Amicalement,
  3. Pour le canard, l'affaîtage suit son cours.
  4. Je parlais évidemment de l'efficacité de l'antenne et de la qualité du signal, non des risques de non étanchéité.
  5. Sortie de boulot à 13:15 heures. Coup de voiture à la maison pour prendre le faucon et les chiens et partir voler. L'oiseau n'a pas volé hier pour cause de pluie persistente et il a fait très froid. Il tourne un moment à 30 m de plafond car il est vraissemblablement très bas en poids (pas eu le temps de le peser). Il finit par monter un peu pour mieux redescendre. Attends mon poulet, tu vas souffrir. J'escape le pigeon quand le faucon n'a plus aucune chance car il vient de passer. Sûr qu'il devait être bas car il se met à poursuivre passant les haies, les vergers, la route... en réduisant l'écart. Ah ben bon. Moi qui ait RV à 14 h à 15 km de là. S'il faut que je le retrouve au tracking sur sa proie, je n'ai pas fini. N'ayant pas vu la fin du vol, je suppose que le pigeon a esquivé ou qu'il s'est remisé car quelques temps après, le doux tintement de sa sonnette me l'a ramené. A bout de force, il se pose à mes pieds. Très bien. Il ne mangera qu'à la maison. Moralité: quand on a si peu de temps, on vole avec élégance. En effet, si la veste de chasse, le surpentalon et les cuissardes ne sont pas particulièrement classe, la cravatte (avè des colverts dessus) remonte immédiatement le niveau. Amicalement,
  6. J'ai de la peine à croire que le harnais soit sans incidence sur l'état du plumage, compte tenu de son principe même, auquel il faut ajouter les dégradations induites par les péripéties quotidiennes de l'oiseau. Un émetteur de queue est moins susceptible de finir sous l'eau qu'un émetteur de patte. Il est aussi moins soumis aux chocs. L'oiseau a ses sonnettes aux pattes, ça me paraît bien (une forme arrondie qui n'offre pas de prises). Reste que le raisonnement n'est pas forcément adapté pour les bas vol qui risquent d'accrocher l'émetteur et de s'arracher la rectrice plus facilement... ou qui n'ont plus de balai suffisant pour y accrocher un clip. Personnelement, je contrôle systématiquement la fixation de l'antenne. Après, il m'arrive de ne pas mettre le contact de l'émetteur mais bon, il faut bien laisser un peu de boulot au bon Dieu. Amicalement,
  7. Puisqu'on en est aux mésaventures: Lors d'une réunion de l'équipage, retour au leurre du tiercelet, qu'il écume pour repartir sans avoir le temps d'échapper à une forme de sacre lâchée prématurément. Tiercelet lié criant tant qu'il peut. Bilan des courses: pas une égratignure mais les deux rémiges de pointe de l'aile droite écourtées d'un cm et le fil de l'émetteur sectionné au quart, révélant la violence de la prise. Dieu sourit aux inconscients. Amen.
  8. La démarche peut maintenant évoluer dans ce sens, en effet. Déchaperonnage = intérêt Intérêt = action Il est impératif que je lui consacre un WE pour le faire voler chaque demi journée de plus en plus bas, sans le nourrir jusqu'à ce qu'il soit suffisamment motivé pour conclure sur des zones qu'il craint pour leur végétation ou leur inondation. Encore qu'à midi le pigeon l'ait esquivé à l'impact... Amicalement,
  9. Réminiscences du conditionnement de départ au chaperon. Chaperonnage = déchaperonnage = intérêt Intérêt = action et/ou nourriture Il se désintéresse de sa béccade, mais si je ne la mets pas, il la cherche. Pas longtemps, mais il la cherche. Encore et toujours le maintien des règles, comme le nettoyage du bec entre le repas et le chaperon. Les vols se suivent et se ressemblent, et commencent à manquer singulièrement d'exotisme. Ca y est, il a un balai de milan, les rectrices centrales étant écourtées jusqu'au clip de l'émetteur. Il met rarement le pigeon sur le carreau au buffetage, d'où une remise immédiate de la proie. En général, le pigeon m'est rapporté par le Breton. Amicalement,
  10. J'ai recompté. J'ai donné 5 pigeons samedi, sur 2 vols. A ce train-là, je vais exploser le record d'Etienne.
  11. Non, ce n'était pas pour montrer mon petit oiseau au public! En réalité, j'étais dans l'organisation de l'assemblée générale du centre de gestion agricole et devais guider les participants du vendredi au samedi: le faucon aurait dû rester au bloc une journée sans voler. Par ailleurs, je trouve que le tiercelet se maintient sans évoluer depuis quelques temps et il fallait rompre la monotonie du quotidien. Ceci, dit, je n'ai pas eu le temps de le voler comme prévu car nous avions proposé le marquage des taureaux au fer dans une manade, l'opération s'étant poursuivie jusqu'à la nuit. J'ai dû squizzer l'animation du samedi matin pour rattraper le coup, dans un fort coup mistral, avec un public restreint à quelques amis. Ce n'est pas le public qui m'intéresse, mais son incidence sur le comportement du faucon. Le matin, très lointain mais très bas dans le vent, il m'a manqué 2 pigeons qui n'ont pu être remis sur l'aile faute de chiens et a entrepris une corneille. Le soir, il a pris un pigeon assez facilement après avoir piqué depuis un plafond intéressant, mais il n'a pas réussi à se poser au sec et il a lâché sa proie en touchant terre pour repartir se poser dans une parcelle sèche à côté. Le second pigeon a été attaqué de manière impressionnante mais sans être pris. Nouveau posé. Le 3ème pigeon n'a même pas été attaqué car je l'ai escapé un peu loin du faucon qui avait déjà pas mal donné. Cet oiseau ne parviendra pas à accepter le zones humides. C'est dommage quand on chasse en Camargue... Amicalement, NB: des conneries pendant un vol en public? J'ai l'impression que cet oiseau agit par habitude. Plein poids, il ne prend même plus la beccade d'avant vol, pressé qu'il est de voler. Impressionné, il continue à attaquer mais reste en l'air.
  12. Le tiercelet commence à prendre des plafonds réguliers. 610 gr hier. Pas de vent. Mise sur l'aile à 18h30. L'oiseau est bien monté et il est centré. Le premier pigeon se fait accrocher après un piqué et y perd pas mal de plumes. Le second est entrepris depuis un plafond identique et est buffeté dans les règles. Si le territoire le permet, en fin d'après midi il volera devant 120 personnes. Amicalement,
  13. Fly the snipe

    pelerin grive merle alouette

    Inutile de chercher à se compliquer la vie avec un oiseau aux performances naturelles insuffisantes au vol de la plume. Je n'ai fait voler que des tiercelets de crécerelle mais la gamme moyenne des proies volantes allait des bourdons aux grosses sauterelles. Evidemment, il y eu quelques beaux trophée de souris (je n'ai pas eu alors la présence d'esprit de poser pour la postérité avec ces trophées valorisants et je le regrette désormais). Personne ne semble faire voler d'hobereaux: rareté? performances moyennes? Je suis sûr que Me NEBLI ou Me GERFAUT ont des info. Amicalement,
  14. Fly the snipe

    pelerin grive merle alouette

    Crécerelles sur moineaux: forme ou tiercelet?
  15. Fly the snipe

    pelerin grive merle alouette

    Allez! Allez quérir l'or que Cypango mûrit en ses mines lointaires, ainsi que les épices. Pour trouver un émérillon, il faut se réveiller tôt. La demande est très largement supérieure à l'offre et les rares éleveurs jouent sur du velour. Personnellement, je comptais sur Voirons, mais mes espoirs furent déçus. Amicalement,
  16. Fly the snipe

    pelerin grive merle alouette

    La prise et le leurre n'ont rien à voir selon moi. Sur le second la nourriture est dosée, sur la première il faut donner le leurre pour limiter le repas, d'où la nécessité de ne pas l'y laisser prendre gorge, d'où la nécessité de passer vite au poing où il sait qu'il ne sera pas dérangé. Le deuxième paragraphe résume tout et je n'ai rien à ajouter. Mon tiercelet pignole sur sa prise, arrachant quelques plumes entre les moments où il me cherche et m'attend. Quand j'arrive, je l'aide souvent par exemple en lui tournant son pigeon (ce qui me permet de lui offrir les "magrets" moins porteurs de saloperies que la trachée, les pattes ou les viscères). Quoi qu'il en soit, les habitudes forment le liant. Le tiercelet a volé tous les jours (à 6 exceptions près) depuis la mi juin, et il n'a dû manger hors du poing que 3 fois. Sauf dans l'erreur, la régularité apporte des solutions naturellement. Amicalement,
  17. Fly the snipe

    pelerin grive merle alouette

    Sois fort Nico, sois fort! En général, on dit tous la même chose mais sans s'en aperçevoir. L'essentiel, c'est la conviction de chacun d'avoir raison.
  18. Fly the snipe

    pelerin grive merle alouette

    [quote="etienne"] C'est une raison pour ne pas donner pleine gorge sur la proie, outre le fait qu'il est plus prudent d'avoir un oiseau gorgé assuré au poing plutôt qu'un oiseau gorgé libre au leurre. Je pousse maintenant "la luxure" à le remettre sur l'aile après un vol et un poussin, quand une nouvelle occasion se présente rapidement (ex: le chien retrouve un faisan jugé perdu). En procédant ainsi, je ne vois pas pourquoi il se mettrait à charrier en fin de saison. Nico, je pense que nous en sommes à peu près au même point avec nos oiseaux et nos chiens respectifs. Mon tiercelet monte spontanément. Il ne remonte pas autant quand nous cherchons à refaire voler après remise. C'est sûr qu'un oiseau ne chassant que les haies n'aura pas vraiment intérêt à monter car il doit arriver avant la remise. Mais enfin, quand ils font les deux (plaine et haies), ils adaptent leur vol à la circonstance. Pour chasser plus efficacement, et faire commettre des erreurs au gibier, sans doute serait-il préférable de voler deux oiseaux ensemble. Amicalement,
  19. Fly the snipe

    pelerin grive merle alouette

    [quote="etienne"] Faire manger au poing évite les manipulations inutiles et contrariantes pour un oiseau en début d'affaîtage. 1) L'oiseau vient de lui-même. 2) On ne s'en occupe plus jusqu'à ce qu'il ait fini son repas, sauf à le réarmer en parallèle pendant qu'il a l'esprit occupé (il compend vite qu'on ne s'intéresse pas à son beefsteak lors de cette intervention). J'ajouterais aux conditions utiles au foncon qui ne charrie pas qu'il ne faut pas qu'il soit imprégné. De toute façon, d'une manière générale, sauf s'il s'agit d'un autour, un oiseau imprégné devrait être passé par les armes. Un oiseau qui ne mange pas sur sa proie n'est pas frustré si le leurre lui est donné en substitution. Proie = leurre comme leurre = poing Sachant que le lieu le plus sécurisant pour manger est le poing. Pourquoi fuir alors le bonhomme qui est au bout du poing? Au contraire. Amicalement,
  20. Fly the snipe

    pelerin grive merle alouette

    A midi par exemple, le tiercelet a lié un pigeon, un beau diable qui s'est débattu tant et si bien au sol qu'il a réussi à s'échapper avant que j'arrive. Le tiercelet est tout de même reparti derrière mais fort heureusement sans trop insister, réapparaissant à bon plafond (trop haut pour un tireur). Au delà du fait qu'il ne charrie pas, il est essentiel aussi qu'il ne divague pas non plus quand on chasse dans ces milieux à risques, et qu'il monte vite pour se mettre hors de portée. S'il n'est habitué à son fauconnier seulement, il aura peur de survoler d'autres gens et c'est pas plus mal. Le mien a été tiré la semaine dernière, bien qu'il était soit passé à 150 m des chasseurs que je n'avais pas vu postés le long de la route. Le tiercelet les avait vu. Amicalement,
  21. Fly the snipe

    pelerin grive merle alouette

    Tu as certainement fait le plus difficile en trouvant un Barbarie. Il faudra que tu me communiques l'adresse de ton éleveur si ce n'est pas un secret. Pour qu'il ne charrie pas? 1) ne jamais, absolument jamais retirer de la nourriture après l'avoir donnée, quitte à ce que l'oiseau mange trop pour une fois; 2) faire manger au poing, ce qui limite les manipulations; 2) corrélativement, ne pas faire manger l'oiseau sur sa proie, du moins tant qu'il n'est pas parfaitement conditionné et qu'il ne vole pas plein poids (il doit attaquer par habitude et passion et non plus réellement par faim). Pour le 2), j'ai tellement bien réussi avec mon tiercelet que: - il revient pour sa récompense après avoir manqué, ce qui lui permet entre autre d'être immédiatement positionné quand les chiens tentent de relever après une remise, - il attend le leurre quand il est sur sa proie, en tentant de venir me rejoindre (en la tirant derrière lui) quand il a faim, - depuis quelques jours où il vole plein poids et où je lui laisse faire une petite courtoisie, il commence à plumer et manger mais lâche son gibier dès qu'il a le leurre dans les pattes. Le risque est qu'il ne considère pas la prise comme nécessaire pour être récompensé et qu'il se satisfasse de l'attaque. D'où la possibilité de lui laisser faire courtoisie quand il est devenu régulier. Mais enfin, il vaut mieux un faucon qui revienne vite plutôt qu'il se mette à poursuivre hors de la vue derrière des haies qui cachent tôt ou tard un fusil. Un tiercelet de pèlerin doit convenir aussi. S'il ne commençait pas à être abîmé de plumage (surtout le balai), le mien serait sûrement intéressé par ces gibiers. Amicalement,
  22. Les chasseurs font en général la passée du matin et du soir. Je vole à midi: si les sorties ne sont pas très variées en territoires (la camargue est trop loin pour le temps disponible), au moins ça limite les risques. Aujourd'hui, tiercelet à 635 gr. Le mistral le déséquillibre même au bloc. Vol habituel quand il y a du vent: le faucon monte et descend d'un coup, semble jouer à piquer pour ressourcer, tourner. Je lance le pigeon qui ne manque pas de suivre le vent. Le faucon lui tombe dessus et... le manque. Etonnant. Je n'ai pas remarqué d'esquive du pigeon. Le faucon a-t-il été déséquillibré? Retour au leurre et 1 seul poussin au gant. Ce soir, il aura une bécassine. On ne sait jamais pour le WE... Amicalement,
  23. Hier midi, une forte chaleur sous un soleil ardent. Le tiercelet à 630 gr au moins. Attaque d'une buse dès la mise sur l'aile, le rapace étant parti d'une haie de peupliers. Les deux oiseaux se tirent la bourre pour monter, le premier pour attaquer à nouveau, le second pour ne pas laisser le faucon prendre l'ascendant. Du coup, le tiercelet est exentré d'une 50aine de mètres mais à un plafond intéressant. J'escape le pigeon quand la buse est assez haut pour prendre du temps à redescendre (ce qui me laisserait le temps de gérer la situation en cas de parasitisme). Le tiercelet descend en piqué et commence à obliquer pour anticiper la trajectoire du pigeon qui comprend la situation et fait un demi tour. Le tiercelet, à + de 80 mètres du sol, décrit une large boucle verticale pour buffeter le pigeon avant la remise, à une 20aine de mètres du sol. Je pense que, dans l'urgence de corriger sa trajectoire en maîtrisant la situation, il a dû se retourner sur le dos dès que le pigeon a tourné. J'ai bien ce genre de vol maîtrisé, qui montre que le faucon a une bonne confiance en lui. Des bécassines, il y en a des caisses en Camargue en ce moment. Du coup, les territoires sont très fréquentés par les chasseurs et je n'ai pas encore réussi à trouver un créneau de vol en toute sécurité. Amicalement,
  24. Très fort! Je commence l'affaîtage d'un appelant dès demain.
  25. Fly the snipe

    perdu ...

    C'est que Voirons est bi. Bilingue bien sûr.
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