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Tout ce qui a été posté par Ugatza
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Bonsoir la dAme, Sur le dessin du mammouth. C'est au moins une très grosse "maladresse" (?) de votre part. Si je vous racontais une histoire de "blondes", je suppose que ça ne vous ferait pas rire. Moi non plus, d'ailleurs. Ca fait rire des hommes dont certains battent leur épouse. C'est juste pour me faire comprendre. Donc moi, le "mammouth" me fait immédiatement penser à Claude Allègre dont cette déclaration "Il faut dégraisser le mammouth" a été comme un signal encourageant les hostilités contre les enseignants (dans un climat certes déjà favorable). Cette façon grossière, insultante, de parler de l'Ecole, cette vulgarité de sentiments, cet exemple consternant d'irrespect donné par (excusez du peu) le Ministre lui même ont incité de nombreux élèves et parents d'élèves à multiplier actes violents et insultes, sans parler de rumeurs et de calomnies. Allez-y: feu vert! Vous vous demandez: Je vous réponds: Certains enseignants en subissent de plus en plus les conséquences (ça va des insultes aux coups de couteau, en passant par des coups de poing ). Si ça vous fait rire, moi pas. Ne soyez donc pas étonnée si j'en tire quelques conclusions jetant une ombre sur votre démarche...et aussi sur les relations que vous entretenez habituellement avec l'Ecole. Je suis tendu sur cette question, effectivement et je le resterai. Vous le confirmez deux fois: Le gros contre le petit, c'est le principal thème des contes que l'on raconte aux petits enfants. C'est la préoccupation de leur âge. Quand on raconte les mêmes histoires aux adultes et qu'ils "accrochent", c'est, pardonnez-moi le terme, consternant. Quels sont les droits des enseignants que n'ont pas les autres citoyens? En fait, aucun, sinon qu'ils sont plus responsables encore et qu'ils ont encore plus de devoirs. http://www.jac.cerdacc.uha.fr/internet/recherche/jcerdacc.nsf/e4664aa90a46b0c2c125677d0047bb1f/9eaad2aa66d8aa00c12568cc002d3cf9?OpenDocument http://fr.news.yahoo.com/afp/20080502/tfr-racisme-proces-education-4000a2c.html http://www.snuipp.fr/spip.php?article3554 http://www.precoces.org/site/modules.php?op=modload&name=News&file=article&sid=7866 http://tf1.lci.fr/infos/france/justice/0,,3618514,00-prof-maths-condamne-pour-revisionnisme-.html Des explications juridiques très détaillées: ici, cliquer sur comprendre Qu'un enseignant soit défendu par des avocats fournis par l'Etat pour une affaire survenue dans le cadre de l'Ecole est une chose normale, car à travers l'enseignant c'est l'Etat qui est en cause, car un enseignant représente l'Etat. C'est la contrepartie des devoirs supplémentaires qui vous incombent quand vous représentez l'Etat. Celui-ci se retourne contre vous ensuite si vous avez commis une faute, si vous êtes reconnu coupable. Ce serait un policier ou un militaire, ce serait la même chose. Ce sont les règles de la démocratie. D'une part l'enseignant qui est souvent aussi petit (voire plus "petit") que vous (mais "protégé" par l'Etat) ne gagne pas toujours en justice contre les "petits". Il y a un jugement, puis, si la faute est établie, des sanctions administratives supplémentaires. Renseignez-vous et vous verrez que l'impunité des enseignants est une idée reçue. Que les décisions de justice ne satisfassent pas les plaignants, toujours convaincus que leurs droits ne sont pas assez reconnus, c'est une autre histoire, mais ce phénomène n'est pas particulier à ces affaires. Dans les affaires criminelles, jugées par les Cours d'Assises, c'est très souvent la même chose. Prenons aussi le cas d'un chauffard ivrogne provoquant la mort d'un ou plusieurs passants. En général, l'opinion s'exprime en trouvant la peine trop légère. Demandez-donc à un Président de Cour d'Assises ce qu'il en pense. Venons-en à l'avocate qui vous a si "judicieusement" conseillée. Ne vous êtes vous pas demandé dans quelle situation elle se serait trouvée (face à ses collègues et aux magistrats) si elle avait plaidé pour un cochon d'Inde? Peut être pouvait-elle le craindre...et qu'elle a refusé de plaider sans vous le dire explicitement, pour garder de bonnes relations avec vous. Moi, je pense que la loi doit être appliquée. Et celle qui protège les animaux de compagnie en est une comme les autres. Sachez que les associations de protection des animaux peuvent vous fournir un(e) avocat(e) qui, lui (ou elle) n'hésitera pas à plaider et affronter les sarcasmes ou l'ironie de ses collègues et des magistrats. L'association est habilitée à porter elle-même plainte et donc prendre à sa charge les frais du procès. Vous avez des photos, des radios, le témoignage du vétérinaire qui a euthanasié l'animal, vous pouvez sans difficulté prouver que l'animal vient de la classe de votre fille. Il est clair que la loi a été violée, il y a un délit. Vous avez toutes les chances de gagner. Encore une fois, vous entretenez le doute sur le fond de vos motivations. Vous supposez beaucoup de choses, et toutes à partir d'une "toute puissance" de l'Education Nationale, que même les associations de la protection animale n'oseraient pas affronter. Vous privilégiez cette idée au détriment de la réalité. Vous interprétez tous les faits dans le même sens. Patientez donc, elles vont vous répondre. Peut être vous suffit-il d'agiter cette histoire sur Internet? Sur les preuves: Vous affirmez craindre un procés pour diffamation, alors qu'un article relatant faits et noms (ville, école) est paru dans la presse locale. C'est surprenant. Au-dessous de la photo seules deux mères d'élèves déclarent à la journaliste qu'elles déplorent les proportions qu'a pris cette affaire. On est loin de ce front uni contre vous dont vous parlez sur votre site et ici dans votre message. Je persiste donc à penser que les choses (je ne parle pas là des circonstances de la mort de Bambi, mal nourri et négligé dans cette classe) ne se sont pas exactement passées comme vous les décrivez. Que l'Inspection d'Académie prenne le temps de faire une enquête avant de vous répondre quoi que ce soit, c'est la moindre des choses. Ce qui me trouble le plus, c'est cette unanimité (parents et Institution), cette "solidarité" exercée contre vous, semblant indiquer que absolument tout le monde néglige la vie d'un animal. Je sais que les défenseurs des animaux ne sont pas nombreux, mais les familles possédant des animaux de compagnie et s'en occupant de manière socialement admise (j'aurais, moi, bien des critiques à faire notamment concernant les conditions de vie d’un chat ou d’un chien en appartement, même chez un maître qui « l’adore » ou sur la dignité des animaux et de leurs maîtres). Le cochon d'Inde est très "populaire" ainsi que les hamsters, voire même rats et souris. Sur ce qu’il y a sur votre site : Il appelle à signer un texte à partir de l’affirmation que ces textes sont vétustes et insuffisants. C’est faux pour la vétusté (les derniers datent de 2004) et je pense qu’ils sont suffisants. Si vous, vous pensez qu’il existe une mauvaise volonté de l’Administration de l’EN à appliquer tout texte protégeant les animaux à l’école, alors le procès est une bien meilleure voie pour la mettre en face de ses responsabilités. Sur la quantité de « témoignages » arrivant spontanément et « confirmant » que ce problème n’est marginal. Ouvrez un site sur les commerçants et racontez une histoire d’abus. Vous verrez arriver des gens qui vous raconteront des tas d’histoires. Lancez une rumeur et vous la verrez confirmée dans les heurs qui suivent. Il y a des « prédispositions » à accepter et à relayer n’importe quelle « information » qui va dans le sens que l’on souhaite, sans parler de l’émotion qui fait perdre tout esprit critique et toute mesure. Un petit écrabouillé par un gros. Quelle aubaine ! Tous les témoignages ne relatent aucun fait précis. Combien de procès pour maltraitance d’animaux à l’Ecole ? A ma connaissance aucun encore. Alors on peut , à mon humble avis interpréter les choses de deux façons : 1) Comme vous. C'est-à-dire parce qu’en général, « tout le monde s’en moque ». Mais alors que f….. donc tous ces gens qui s’expriment sur votre site? Ils sont citoyens quand ? Quand ils vous écrivent ? 2) Comme moi : à savoir que c’est exceptionnel, compte tenu de la « philosophie » de l’Institution EN à ce sujet et de son respect des lois. Les déplacements de l’animal : Tous les militants de la cause animale ne sortent jamais de chez eux et ne partent jamais en vacances, bien sûr et ils n’imposent pas de longs voyages à leur(s) petit(s) compagnon(s). Le changement de « référent » et la stabilité affective de l’animal. Quand un animal est confié à la famille d’un enfant, va-t-il chez un étranger ? Vous n’exagérez pas un petit peu ? Pour toutes ces raisons, je trouve votre démarche à la fois légère (pas de procès, méconnaissance des textes, exagérations) et excessive (pétition pour des faits exceptionnels). Veuillez agréer, La Dame, l'expression de mes sentiments distingués. Ugatza
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Merci Wooulf, ta réaction me rassure un peu. Je ne n'accuse tout de même pas cette dame d'être elle-même l'auteur des mauvais traitements. Je mets en doute, avec des arguments, que les faits dans leur ensemble soient vrais. Les photos et la radio ne laissent aucun doute sur ce qui est arrivé...à Bambi (négligence et probablement mauvaise alimentation, sans doute manque de foin). Aucune image de Bambi dans un contexte scolaire. Pas de lieu, pas de noms, rien. Pas de dépôt de plainte, non plus. POURQUOI? Juste la parole de cette dame. Sa fille devait savoir ce que mangeait (ou ne mangeait pas) Bambi: dans n'importe quelle classe, c'est LE truc que savent TOUS les enfants, car: -soit ce sont eux qui s'en occupent (sous le contrôle de la maîtresse) -soit c'est un quasi-rituel, c'est la maîtresse (parfois l'ATSEM) qui le fait sous le regard des enfants. Or, les "poches de gaz" sur la radio semblent indiquer une fermentation sans doute causée par une alimentation inappropriée (confirmée par le développement excessif des dents). Comment se fait-il qu'elle n'ait pas interrogé sa fille (puisque la maîtresse est si peu coopérative) et que nous ne sachions pas ce que mangeait Bambi? Qui est cette dame? Marie-Christine DETIENNE. C'est tout ce que l'on sait. A partir de son histoire, invérifiable, elle lance une pétition intitulée "Pour le respect des animaux à l'Ecole". Ce qui laisse entendre que les animaux ne sont pas respectés à l'Ecole. Elle dit que les textes ne sont pas "suffisants" et n'ont que valeur de recommandation. C'est faux. Il y a une loi qui protège les animaux de compagnie contre les mauvais traitements et ce qui est interdit dans la socièté l'est aussi à l'Ecole. Il y a en plus une Convention Européenne signée en 1996 et dont le décret d'application a été signé en 2004. Ce qui ne l'empêche pas de dire que les textes sont vieux de vingt ans pour appeler à signer une pétition! Elle semble l'ignorer totalement (pour ceux qui ne sont pas de fidèles lecteurs du Journal Officiel, vous avez tous vu des images au JT où on voyait des gendarmes intervenir chez un particulier pour enlever des chiens maltraités et les confier à la SPA!). Mais elle balance "innocemment" l'image du mammouth, cet Etat dans l'Etat qui ferait ce qu'il veut et écraserait le tout petit Cochon d'Inde comme l'Enfant et le pauvre petit parent d'élève. Pour la SPA: Désolé mais je suis très sérieux. Si on peut (comme toi) ajouter foi à ce que dit Marie Christine Detienne, alors on peut aussi croire tous ces témoignages. La SPA aussi a des obligations éducatives et a le devoir de donner un exemple. Faut-il lancer une pétition? Jusqu'à quel point peut-on aller dans l'accueil des animaux? S'il y a 200 places dans le refuge, peut-on accueillir 1000 animaux? Pourquoi pas 1001, puis 1002, puis 1100 et même 2000? Dans quelles conditions? Où est la limite? Il y a un moment où il faut reconnaître la réalité et dire STOP pour assurer l'hygiène et les soins correctement sous peine de perdre de vue ses objectifs...
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Tu oublies ou tu négliges (pourquoi?) que l'animal était très sale (voir le site), ce qui indique que sa litière ne devait pas être changée assez fréquemment. Donc ça devait puer. Et si la litière était quand même changée, pour la changer, il faut sortir l'animal de sa cage et donc le prendre dans ses mains. Difficile alors de ne pas voir son état. Et puis désolé, même quand il s'agit d'atteinte à la vie animale, je n'instruis pas qu'à charge, même avec les chasseurs et les éleveurs. Je garde mon esprit critique surtout sur Internet où n'importe qui peut dire n'importe quoi surtout s'il se dispense de donner des sources vérifiables. Pourquoi n'a-t-elle pas porté plainte ou demandé à une association de le faire? A tes souhaits. Moi je trouve pas que ce soit aussi caricatural que tu le dises. Tu interprêtes ce qu'il y a sur le site... mal... (à quelles fins, ça, j'ai pas bien compris). ATSEM : Agent Territorial Spécialisé des Ecoles Maternelles http://www.atsem.net/presentation.php. La maîtresse n'est pas seule dans la classe. Je dis que dans cette affaire, je trouve suspect que TOUT le monde soit d'accord contre cette dame. Rien à dire sur la SPA?
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L'essentiel du contenu de la pétition est la demande de changements dans les textes, en faisant une confusion entre les textes à caractères obligatoires, et des textes de "conseils" (qui rappellent d'ailleurs les obligations) pour accentuer les obligations, pourtant déjà très claires. Avec un renforcement des contrôles. Demander (titre de la pétition) « Pour le respect des animaux à l’Ecole » c’est sous-entendre que ce respect n’y existe pas. "Changeons les règles" signifie que les règles existantes ne garantissent pas ce respect. Quand un enseignant n'a pas "envie" de ou ne peut avoir un animal dans sa classe (phobie, répugnance, conditions matérielles insuffisantes, allergies chez un ou plusieurs élèves, devenir des individus issus de la reproduction ) et bien il n'en a pas, c'est aussi simple que ça et l'enseignant s'y prend autrement. C'est pour cela que la plupart du temps, il n'y en a pas. Alors quelles sont les conditions à remplir? Tu as oublié que ce poisson, lui, était là depuis 7 mois et qu'il était en pleine forme. Je te rappelle que tu as écrit ceci: Moi je pense que cette enseignante a eu des objectifs très limités parce qu'elle avait des moyens limités et que si elle avait choisi un cochon d'Inde, il aurait eu une cage de 2 m2 comme celle qu'on trouve dans les animaleries et des soins comparables à ceux qu'on trouve chez les familles qui "aiment" les animaux de compagnie : nourriture adaptée, vaccinations, changement de la litière, etc...Comme la plupart du temps. Qu'est ce que ça veut dire concrètement? Que l'inconscient existe ou que ce sont des je m'en foutistes? N'importe quel enseignant sait et ne peut ignorer quelles sont ses responsabilités éducatives et pédagogiques (elles font partie de sa formation et elles lui sont régulièrement rappelées chaque année), ses obligations légales (notamment en matière de sécurité et d'hygiène). S'il y manque, c'est parce qu'il ne va pas bien. Et ça, ça peut arriver. Je ne crois pas à toute cette histoire, parce que je vois mal un Inspecteur, et même des collègues de cette enseignante face aux photos (et à la radio) qui figurent sur le site et qui constituent des preuves, "minimiser", se déclarer "solidaires" en oubliant la loi. D'autre part, et je suis bien placé pour le savoir, les cochons d'Inde et les lapins, c'est presque toujours en Maternelle (parfois en CP, mais il y a des classes à cours multiples). Et d'ailleurs, pour Bambi, c'est le cas. Or les classes de l'Ecole Maternelle sont des lieux (contrairement aux "grandes classes" du Primaire) où les parents d'élèves rentrent tous les jours: l'accueil des enfants (toujours accompagnés) y est fait dans la classe. Les parents s'y attardent parfois quelques minutes et si un animal se trouve dans un état sanitaire inquiétant (comme celui de Bambi en particulier), ça ne peut pas leur échapper. Moi, je ne distingue pas, comme cette mère et toi avec elle, entre la compétence professionnelle de cette enseignante et son attitude envers Bambi (rappelle toi les textes qui définissent l'enseignement) et j'ai du mal à croire que si ça n'allait pas du côté de Bambi, ça allait bien dans le reste de son enseignement. Moi, je crois que ce cochon d’Inde a été négligé ou alors que cet animal a été donné à la classe et que la maîtresse, n’allait probablement pas bien pour réagir comme il convenait. En faisant une simple recherche sur Internat (« Cochon d’Inde & Nourriture & soins») je n’ai déjà eu aucune peine à trouver d’excellents conseils. Je crois qu’elle n’a pas vu ou voulu voir l’état dans lequel se trouvait l’animal. Ca devait même puer dans la classe. Des parents solidaires dans cette situation (quoiqu’ils puissent penser de la valeur de la vie et du confort d’un animal qui ressemble un peu à un rat) ???? Et l’ATSEM ? Et la personne qui nettoyait la classe ? Et l’IEN ? Tout le monde uni dans le Mal? Je n’y crois pas. Les choses ne se sont sûrement pas passées ainsi. Et cette dame cherche à nuire à l’Ecole dans son ensemble : le mammouth n’est pas là par hasard. Le dessin est très clair : l’allusion à Claude Allègre est même donnée par écrit. L’image du Mammouth, c’est l’appareil hypertrophié qui devient incontrôlable. Il ne s’agit donc pas seulement de Bambi et du bien être des animaux à l’Ecole. Pourquoi AVANT ? Je te rappelle que je suis instituteur remplaçant et que je parle de ce que je vois chaque année. Je n’ai pas compté, mais il me semble que je n’ai JAMAIS vu d’animaux plus « maltraités » que le poisson rouge. Par exemple : les cochons d’Inde. Nourris avec du foin (en permanence), plus quelques morceaux de fruits et légumes frais de temps en temps, et des graines (mélange). De l’eau claire et une litière propre. Seul problème (pour moi) la taille « standart » de la cage. Par contre, j’ai trouvé des insectes ou des chenilles morts dans des bocaux ou des collègues m’ont demandé des conseils parce qu’ils n’avaient pas pu sauver un oisillon ou un crapaud (une espèce protégée !) amenée en classe par un élève. Le contrôle de la santé de l’animal découle des obligations légales concernant l’hygiène. Quelle sévérité ! Pourquoi ce pessimisme ? Absolument pas d’accord. La philosophie qui inspire les textes et leurs contenus sont très clairs. Ceux qui n’en « ont rien à battre » (ceux qui ne veulent pas s’embêter avec tout ça), n’ont pas d’animaux dans leur classe : il y en a. Ils s’y prennent autrement pour s’acquitter des programmes. Tu serais pas un peu parano ? Dans cette histoire, tout le monde (à part cette dame) négligerait non seulement le respect de la vie animale mais en plus l’hygiène et la sécurité des enfants, l’odeur et la propreté de la classe ?
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