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pituophis melanoleucus mugitus
askook a répondu à un(e) sujet de snakes-whisperer dans Vos P'tits Virus
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Plus de 200 mygales trouvées dans une valise Plus de 200 mygales ont été découvertes mercredi par les douaniers à l'aéroport d'Amsterdam-Schiphol dans la valise d'un couple d'Allemands revenant du Pérou, a annoncé le ministère néerlandais des Finances, dont dépendent les services douaniers. "La douane de Schiphol a trouvé plus de 200 mygales vivantes dans un bagage de deux voyageurs allemands", a déclaré le ministère des Finances dans un communiqué. Le couple qui venait du Pérou, "avait également des mille-pattes, des grillons, des coléoptères et des sauterelles" dans sa valise. Le couple avait caché les bestioles, venimeuses pour ce qui est des mygales et des mille-pattes, dans des sacs et des tubes en plastique placés dans le bagage entre des vêtements ou dans des chaussures, a précisé le ministère. Selon leurs dires, les deux Allemands avaient attrapé eux-mêmes dans la nature les animaux qui ont été remis aux autorités sanitaires néerlandaises qui ont ouvert une enquête. Quatrième aéroport d'Europe, Amsterdam-Schiphol accueille entre 120.000 et 140.000 passagers par jour. Les tentatives de faire passer illégalement des animaux, principalement des hippocampes, via l'aéroport d'Amsterdam-Schiphol sont fréquentes mais pas dans des quantités aussi importantes, a déclaré à l'AFP Lindy van Galen, porte-parole du ministère des Finances. Source:http://www.directmatin.fr
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Un escargot japonais capable de s'automutiler en cas de danger
askook a répondu à un(e) sujet de Filoue11 dans Insectes et Autres Invertébrés
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La "fourmi folle" invasive du Texas enfin identifiée Publiant leurs travaux le 19 septembre sur PLoS ONE, des chercheurs américains viennent d’identifier l’espèce à laquelle appartiennent les fourmis exotiques qui, depuis 10 ans, colonisent le sud des États-Unis. Ce qui devrait permettre de mieux lutter contre cet envahissant insecte. Véritable espèce envahissante, la "fourmi folle de Rasberry", comme l’appellent les Américains a été nommée ainsi en hommage à l’homme qui, le premier, a remarqué la présence de cet insecte aux États-Unis. En effet, depuis 10 ans maintenant, cette fourmi infeste une région qui s’élargit peu à peu à partir de sa première tête de pont, autour de Houston, au Texas, alors que ce territoire n’est pas du tout son habitat naturel. Si les Américains ont bien tenté d'enrayer sa progression, la tâche est ardue et ce, pour une bonne raison. Comment lutter efficacement contre cette espèce invasive, tant qu’elle n’est pas identifiée ? D'où la bonne nouvelle annoncée par des chercheurs américains : c’est désormais chose faite. Une équipe de recherche dirigée par John LaPolla, de l'Université de Towson (Maryland) est parvenue à connaitre l'identité de l'insecte : il s’agit de l’espèce Nylanderia fulva. Cette identification devrait aider à contrôler ce ravageur nouveau-venu, selon les auteurs, qui soulignent que l’insecte est plus largement distribué qu'on ne le pensait et a probablement envahi tous les états du golfe du Mexique. "Cette étude démontre le rôle inestimable que joue la taxonomie des espèces, discipline souvent sous-estimée, dans notre compréhension des parasites émergents. Maintenant que nous savons à quelle espèce la fourmi folle appartient vraiment, nous pouvons mieux comprendre sa biologie pour améliorer le contrôle de cet envahisseur", a expliqué LaPolla. Source: http://www.maxisciences.com Article: http://www.plosone.org/article/info%3Adoi%2F10.1371%2Fjournal.pone.0045314
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Publiée le 19 septembre sur le site Biology Letters, une étude génétique américaine à grande échelle montre que la plupart des serpents actuels dérivent d’un groupe de serpents fouisseurs, dont ils ont gardé la forme allongée. "Résoudre la phylogénie des lézards et des serpents (Squamates) avec un échantillonnage exhaustif de gènes et d’espèces" : cette recherche, menée par John J. Wiens, du Département d'écologie et d’évolution à l'Université Stony Brook (état de New York), porte bien son titre. Elle est en effet basée sur l’étude de 44 gènes différents chez pas moins de 161 espèces de lézards et de serpents. Ceci représente l'un des plus grands ensembles de données génétiques jamais réunis concernant des reptiles. Or, grâce à ces travaux, les chercheurs sont arrivés à la conclusion que presque toutes les espèces actuelles de serpents dériveraient d'un groupe (toujours existant) de serpents fouisseurs aveugles appelés les scolécophidiens. Selon les auteurs, il subsisterait même des traces de cette origine souterraine dans l'anatomie des serpents non-fouisseurs d’aujourd’hui. "Par exemple, où qu’ils vivent, les serpents ont un corps allongé et une queue relativement courte, et en dehors des serpents, cette forme de corps ne se retrouve que chez les lézards qui vivent sous terre. Les serpents ont gardé cette même forme de base du corps, tout en évoluant pour occuper presque tous les habitats de la planète – de la canopée tropicale aux déserts et même aux océans", a déclaré le Pr Wiens cité par Science Daily. Source: http://www.maxisciences.com Article: http://rsbl.royalsocietypublishing.org/content/early/2012/09/17/rsbl.2012.0703.abstract
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Une nouvelle espèce de serpent identifiée au Panama Publiée récemment dans la revue Zootaxa, la description, par des chercheurs allemands, d’une nouvelle espèce de serpent mangeur d’escargots, découverte dans l’ouest du Panama, est l’occasion, pour ces scientifiques, de souligner la nécessité de sauvegarder les écosystèmes locaux, menacés. La liste des espèces connues de serpents s'allonge une nouvelle fois. Des chercheurs allemands viennent en effet tout juste d'en découvrir une nouvelle en Amérique du Sud. Au premier regard, ceux-ci ont toutefois pensé qu'il s'agissait d'une autre espèce déjà bien connue, le redoutable serpent-corail, également doté d'anneaux clairs et sombres. Mais après une observation plus poussée, ils ont constaté qu'il n'en était rien et qu'il avait en face d'eux un animal encore inconnu. "Les trois spécimens que nous avons capturés au cours de plusieurs expéditions, entre 2008 et 2010, dans les forêts tropicales de montagne de l'ouest du Panama, diffèrent nettement de toutes les espèces connues de serpents (…). Par conséquent, nous avons récemment décrit l'espèce : elle porte désormais le nom de Sibon noalamina", a déclaré le Dr Sebastian Lotzkat, du Département d'herpétologie de l'Institut de recherche Senckenberg à Francfort (Allemagne). D'après les descriptions faites, le nouveau colubridé de mœurs nocturnes est non venimeux et totalement inoffensif. Il se nourrirait ainsi comme tous ses congénères appartenant au genre Sibon, d’escargots, de limaces, de vers de terre et d’œufs d’amphibiens. En outre, l'espèce ne se défendrait pas en mordant comme d'autres, elle se servirait plutôt des anneaux de sa peau pour dissuader les prédateurs, justement en mimant l'aspect du dangereux serpent-corail. Une nouvelle espèce dans une région menacée Comme l'explique l'étude, l'habitat du serpent est situé dans la chaîne de montagnes appelée Sierra de Tabasará, territoire autonome pour les peuples autochtones depuis 1997. Or, tandis que de nombreuses menaces pèsent aujourd'hui sur cette région, elle est loin d'être suffisamment protégée, d'après les chercheurs. Pour le rappeler, ils n'ont ainsi pas hésité à baptiser le serpent d'un nom particulier faisant référence à cette menace : noalamina signifie en espagnol "pas d'exploitation minière". Un appel d'autant plus important que l'habitat de l'animal est aussi celui de nombreuses espèces rares de reptiles et d’amphibiens. Source: http://www.maxisciences.com Article: http://www.mapress.com/zootaxa/2012/f/zt03485p040.pdf
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Découverte d'une salamandre fossile géante et amphibie Publiant leurs travaux dans PLoS ONE, des chercheurs allemands déduisent de l’étude des fossiles d’une salamandre géante, aujourd’hui disparue, que cet animal chassait aussi bien sur terre que dans l’eau, contrairement à ses cousines actuelles. Si les salamandres géantes actuelles aiment s'ébattre dans les eaux vives et oxygénées des torrents d’Asie de l'Est et d'Amérique du Nord, leurs ancêtres, qui atteignaient eux aussi 2 mètres, fréquentaient les rivières et les lacs des basses terres. Néanmoins, parmi ces ancêtres, figure une exception dont la particularité vient tout juste d'être mise au jour. En effet, l’espèce Aviturus exsecratus, qui vivait il y a 56 millions d'années dans le sud de la Mongolie, n'était pas comme les autres, puisqu’elle était... amphibie. C'est en étudiant les fossiles de l'animal que des chercheurs de l’Université de Tübingen (Allemagne) ont constaté cette particularité indiquée par deux types de caractéristiques. D'une part, ils ont observé que sa mâchoire inférieure montrait qu’elle se nourrissait de poissons et d’invertébrés aquatiques, donc forcément attrapés dans les eaux où la salamandre s'ébattait. D'autre part, ils ont constaté qu'elle possédait également des os lourds, de longues pattes de derrière, un odorat bien développé ainsi que des dents palatines (sur le palais) : autant de signes qui sont typiques d'une salamandre terrestre et qui suggèrent qu'elle devait aussi chasser les insectes sur la terre ferme. Ses restes fossilisés ont été découverts dans des roches issues de sédiments caractéristiques des bords de rivières. Or, la découverte est d'importance puisque le passage d'une espèce d'un mode de vie purement aquatique à un mode de vie amphibie est totalement inconnu chez les salamandres modernes. Les chercheurs suggèrent que cette évolution drastique serait due à une courte période de réchauffement survenue il y a 55,8 millions d'années et aujourd'hui appelé le maximum thermique du Paléocène-Eocène. Source: http://www.maxisciences.com Article: http://www.plosone.org/article/info%3Adoi%2F10.1371%2Fjournal.pone.0040665
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Mississippi: ils capturent un alligator géant de plus de 300 kg Quand l'énorme alligator a mordu à l'hameçon vendredi dernier sur un terrain de chasse privé du Mississippi, «nous nous sommes livrés à une épreuve de force chaotique d'une heure et demie avant de finalement le maîtriser», raconte le chasseur, Tom Grant. Il a fallu quatre hommes pour capturer l'animal de 316 kg, l'une des plus grosses prises jamais enregistrées. Le delta inférieur du Mississippi se compose surtout de clubs de chasse, de terres forestières, de plantations et de zones de gestion de la faune. Tom Grant explique que son groupe a hameçonné la créature aux allures préhistoriques pendant la saison de la chasse près de Fitler, dans la région d'Issaquena. «Quand on a attrapé l'alligator au bout de deux cannes et de crochets à bobine, on savait que c'était une grosse prise, mais on ne s'attendait pas à ça», s'étonne encore Tom Grant. Quelques jours plus tard, l'agence de la faune, de la pêche et des parcs du Mississippi (Mississippi Department of Wildlife, Fisheries & Parks) a confirmé le record. La plus grosse prise précédente, qui date de l'année dernière et provient des mêmes eaux du delta, pesait 313 kg sur la balance. «Ce n'est pas la première fois qu'un alligator de la région d'Issaquena bat des records et ce n'est pas sans doute pas la dernière, selon Ricky Flynt, coordonnateur du programme Alligator au MDWFP. L'habitat très riche et isolé de la région inférieure du delta abrite des alligators géants depuis des milliers d'années.» Le tout dernier record revient à Tom Grant. Le reptile de 3,98 m de long arbore une queue de 1,15 mètre et un abdomen d'une circonférence de 1,65 mètre, preuve que l'animal n'a pas manqué de nourriture. Tom Grant était accompagné de Jim Reed, Michael Robbers et Kenny Winter. Le spécimen se situe au sommet de la courbe de tailles de son espèce. Le National Geographic déclare sur son site Web: «Un alligator de 316 kg vient de quitter les eaux du delta du Mississippi pour entrer dans l'histoire. Tom Grant, un chasseur de Boyle, Mississippi, a capturé l'immense reptile sur un terrain d'un club de chasse privé près de Fitler, dans la région d'Issaquena, à l'ouest du fleuve Mississippi.» Les alligators américains peuplent désormais abondamment le sud des États-Unis et une grande partie de l'Amérique centrale, après avoir été au bord de l'extinction. Ricky Flynt conclut: «L'alligator américain était en voie de disparition dans le Mississippi. Sa population est maintenant suffisante pour que nous autorisions des quotas de chasse limités. C'est l'illustration même de l'efficacité d'un programme de préservation de la vie sauvage.» Source: http://fr-ca.actualites.yahoo.com
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L'araignée Eresus kollari colonise le Valais (Suisse) Araignée aux couleurs de coccinelle, Ererus kollari prolifère en Valais. Après avoir remonté la vallée du Rhône, elle a été observée cet été à proximité de Savièse. Aux Mayens-de-la-Dzour, à 1356 mètres d’altitude, Marion Varone a découvert il y a quelque temps, près de son chalet, une curieuse araignée. L’arachnide avait l’abdomen couvert de soies rouge orangé, serti de quatre taches noires dorsales. Elle l’a observée, à plusieurs reprises, se promenant le long d’un muret. Unique en Suisse Après plusieurs recherches, nous avons soumis la photographie à un expert. «Il s’agit d’Eresus kollari, une espèce qui n’existe qu’en Valais pour toute la Suisse», note le Valaisan Yannick Chittaro, biologiste à l’Université de Neuchâtel. Le serveur de l’Université de Neuchâtel publie à cet effet une cartographie de la Suisse où l’on découvre que la première araignée Eresus kollari a été observée dans la région de Fully (coude du Rhône) avant 1990. Par la suite, elle s’est répandue dans la région de Martigny jusqu’à Sembrancher. Elle est remontée la vallée du Rhône et a été signalée entre autres à Saxon, Conthey, St-Martin, Finges, Loèche, Viège, Embd et Fiesch. Source: http://www.lenouvelliste.ch
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Fasciné par la mue de son araignée Goliath, un internaute a installé sur le vivarium de l’animal une caméra afin de filmer en accéléré le processus. La mue est un impressionnant phénomène, d’autant plus quand l’organisme qui l'accompli est une des plus grosses mygales du monde. Un internaute, propriétaire d’une araignée Goliath (Theraphosa blondi) a voulu immortaliser la "métamorphose" de son arachnide en plaçant sur le vivarium une caméra. Une idée ingénieuse qui lui a permis de filmer tout le processus plutôt long avant de le monter en time-lapse pour en faire un clip de moins de 2 minutes. Sur la vidéo, on observe ainsi la mygale se débattre d'abord doucement puis de plus en plus vivement pour sortir de son ancien exosquelette. Theraphosa blondi, à l’âge adulte, possède un corps d’environ 10 centimètres de long. L’organisme entier avec les pattes peut quant à lui atteindre aisément une envergure de 30 centimètres et pèse entre 120 et 130 grammes. L’araignée Goliath vit au cœur des forêts tropicales humides, en Guyane, au Brésil, au Surinam ainsi qu'au Venezuela. Il s’agit d’un spécimen particulièrement agressif, muni de soies urticantes et de notables crochets délivrant un venin neurotoxique. Si le poison est capable de neutraliser n’importe quelle proie, il est toutefois aussi inoffensif pour l’être humain qu’une piqure de guêpe. Du fait de sa grande taille, la mygale se nourrit de tout types de proies infortunées passant à proximité de son terrier : insectes, grenouilles, rongeurs… Des observations de l’arachnide en train de tuer des oiseaux lui a également valu son nom vernaculaire anglophone : 'Goliath Bird-Eating Tarantula" (ou la "Mygale Goliath mangeuse d’oiseaux" ). Source: http://www.maxisciences.com Vidéo: http://www.maxisciences.com/mygale/la-mue-d-une-mygale-geante-filmee-en-accelere_art26672.html
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On ne sait plus quoi en faire La recrudescence des animaux exotiques domestiques pose de plus en plus de problèmes Des bestioles qui deviennent encombrantes. Mi-septembre, un boa de près de deux mètres était retrouvé dans les rues d'Hellemmes, après avoir erré une dizaine de jours en liberté. A la même période, c'est un python royal qui était récupéré dans une bouche d'égout en périphérie lilloise. « Dans le département, on compte environ une ou deux interventions par mois pour ce type d‘animaux », témoigne un pompier spécialiste. Mais aucune statistique n'existe. Dans l'Essonne, où une cellule animalière a été créée il y a plus de vingt ans chez les pompiers, le nombre de captures reste faible : une dizaine par an (essentiellement des serpents) sur les 4 à 5 000 interventions pour d'autres animaux. Dans le Nord, la création d'une brigade spécialisée dans les animaux n'est pas à l'ordre du jour. Avant tout pour des raisons financières : former le personnel engendre un coût spécifique. « Les pompiers interviennent par défaut, mais ce n'est pas leur mission de traiter les animaux errants », souligne le service départemental d'incendie et de secours (SDIS) du Nord. Sauf quand ils présentent un danger ou qu'ils sont eux-mêmes en danger. « Un boa de plus de deux mètres peut devenir potentiellement dangereux pour un jeune enfant », précise un spécialiste. Flou législatif Mais il existe un flou législatif sur la prise en charge de ces animaux lorsqu'ils s'échappent ou sont abandonnés. « Le propriétaire ne se manifeste quasiment jamais », note-t-on à la Ligue protectrice des animaux (LPA). « La récupération peut présenter des risques judiciaires si le propriétaire n'est pas en règle », souligne Pascal Gouery, responsable de la cellule animalière de l'Essonne. Or, il n'existe guère de refuges adaptés. Le zoo de Lille ne souhaite plus les récupérer, faute de place. Même problème de capacité d'accueil du côté de la LPA. « Les fourrières sont prévues pour les chiens et les chats, explique Dominique Dupont. Les mairies demandent maintenant d'intégrer ces animaux-là dans les nouvelles structures. » Restent certaines bonnes volontés, comme au club aquariophile de Bailleul*. « Si on veut , on en recueille tous les 15 jours, glisse son président Dominique Mallard. Il faut responsabiliser les propriétaires. » Source:http://www.20minutes.fr
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me revoila avec une nouvelle acquisition!!!
askook a répondu à un(e) sujet de K-tio dans Vos P'tits Virus
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Ponte et naissance Pituophis c. sayi + Thamnophis sirtalis tetrataenia
askook a répondu à un(e) sujet de Filoue11 dans Vos P'tits Virus
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Jungle corn snake (pantherophis X lampropeltis)
askook a répondu à un(e) sujet de LoveSnake45800 dans Serpents
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Le doigt et le bras sont toujours là. Au réveil, plus de gonflement, plus de rougeur et plus de douleur. Juste une raideur au niveau du doigt et de l'épaule. Depuis ce matin, pas d'évolution. Toujours cette raideur... Peut-être que Chance à fait un échange, histoire de toucher l'assurance vie. Si c'est le cas, elle a raté son coup... Notre couple est devenu "mordeur" depuis que les deux spécimens sont passés en terrarium. Avant, jamais ils ne nous avaient jamais mordu. Depuis, c'est systématique...
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Non, pas d'allergies connues à ce jour. Normalement une morsure de Rhynchophis n'est pas censée occasionner de telles réactions. Ce n'est pas la première fois que je me fais mordre pas le couple de Rhynchophis, mais c'est la première fois qu'il y a de tels symptômes. Deux heures après la morsure, la douleur est toujours présente dans le doigt et dans tout le bras, jusqu'à l'épaule. Par contre, je n'ai ni fièvre, ni ganglions comme j'ai pu avoir après une morsure de Boiga cyanea ou de Toxicodryas blandingii.
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