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Faits divers concernant les chéloniens
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Tortues - Crocodiles
Après 115 ans de vie commune, deux tortues géantes se séparent Si ces deux-là se séparent, alors que nous reste-t-il ? Bibi et Poldi, deux tortues géantes âgées de 115 ans et vivant ensemble dans le même enclos depuis leur naissance, semblent avoir décidé de prendre des chemins différents. Les deux reptiles, qui sont nés la même année, ont pulvérisé tous les records de «vie à deux» mais depuis quelques semaines Bibi a décidé de vivre sa vie seule, laissant les responsables de leur zoo autrichien pantois. «Elles ne peuvent plus se voir», a déclaré la directrice du zoo de Klagenfurt, Helga Happ. C'est la tortue nommée Bibi qui a attaqué sa partenaire la première, exprimant son désir d'être «célibataire» a expliqué Mme Happ. Ces dernières semaines elle a mordu la carapace de Poldi tellement fort qu'elle a fini par en casser un morceau. Les responsables du zoo ont alors décidé de les séparer physiquement, rapporte le média autrichien Austrian Times. Bibi et Poldi, tortues des Galápagos, pèsent toutes les deux environ 100kg et représentent un danger l'une pour l'autre. Si les tortues géantes n'ont pas de dents, elles ont une tête en forme de corne et une mâchoire très puissante qu'elles peuvent utiliser comme une arme. Bibi, visiblement sortie de son épaisse carapace après plus d'un siècle de vie tranquille, a-t-elle exprimé un souhait d'indépendance ? Les deux reptiles nés en Suisse ont été déplacées ensemble jusqu'au zoo d'Autriche où elles vivent depuis 36 ans. Selon la directrice du zoo, ce phénomène est très rare et des animaux vivant en couple pendant tant d'années ne se séparent jamais. «Nous espérons pouvoir les réconcilier», a confié Mme Happ. Et d'ajouter : « Nous avons du personnel qui leur parle et qui essaie de les faire interagir. On espère qu'elles pourront vivre en harmonie de nouveau ». L'espérance de vie de ces tortues étant de 150 à 200 ans, Bibi a encore un autre siècle devant elle pour changer et revenir vers sa partenaire... ou pas. Source: http://www.leparisien.fr -
Faits divers concernant les ophidiens
askook a répondu à un(e) sujet de Reptile-city62 dans Serpents
Le python « échappé » retrouvé chez son propriétaire Le python porté disparu depuis trois semaines à Vimoutiers (Orne) a été retrouvé dans l’appartement de son propriétaire ! Il y a trois semaines, un certain émoi avait gagné un quartier de Vimoutiers (Orne) quand le propriétaire d’un python avait signalé la disparition de son reptile… Plusieurs voisins avaient d’ailleurs déclaré avoir vu l’animal d’une longueur estimée entre 1 m et 1,5 m, ce qui avait ainsi entraîné un ratissage des abords des immeubles par les pompiers et les gendarmes. Derrière la chaîne hi-fi Ce lundi, le python a été finalement retrouvé. Sain et sauf. Il dormait tranquillement au chaud… derrière la chaîne hi-fi de l’appartement de son propriétaire ! Appartement qu’il semble donc n’avoir jamais quitté… Source: http://www.ouest-france.fr -
Pantherophis guttatus, abbott, motley et autres News
askook a répondu à un(e) sujet de sam3411 dans Vos P'tits Virus
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Les crotales, une morsure de plus en plus venimeuse ? Avec le retour de l’été, les risques de morsures de serpent augmentent, prévient un expert américain en toxicologie, qui précise que le venin des serpents à sonnettes a tendance à gagner en toxicité au fil du temps. Chaque année, 8.000 Américains environ sont mordus par des serpents venimeux, dont quelque 800 en Californie, qui abrite de nombreux crotales (ou serpents à sonnettes). "C'est le moment de l'année où nous voyons une augmentation des morsures de serpent. L’anti-venin est coûteux – environ 2 500 dollars le flacon", explique Richard Clark, directeur du Département de toxicologie médicale à l'Université de Californie de San Diego. Celui-ci relève également : "Mais les patients peuvent avoir besoin d'une série d’injections, et les assurances ne couvrent pas toujours le coût du traitement". Des facteurs qui peuvent être à l'origine de nombreuses difficultés lors du traitement des personnes mordues par des serpents. De plus, grâce aux études, les scientifiques savent que les concentrations en toxines dans le venin de crotale varient avec la saison. Elles sont en général plus faibles en hiver, car le serpent est moins actif. Mais aujourd'hui, ils constatent aussi que ces fameuses concentrations augmentent globalement d’année en année. "Nous ne savons pas vraiment pourquoi le venin est de plus en plus puissant. Certains spéculent que le monde moderne empiétant sur la nature, il serait question de ‘la survie du plus apte’ : peut-être que seuls les serpents les plus ‘forts’ – les plus venimeux – survivent", conclut Richard Clark sans pour autant confirmer cette hypothèse. Source: http://www.maxisciences.com/crotale/les-crotales-une-morsure-de-plus-en-plus-venimeuse_art24950.html
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Bonjour, Nous disposons d’une boutique en ligne d’alimentation et matériel pour animaux exotiques. Un portail entièrement consacré à l’alimentation et la prise alimentaire, avec des produits de qualités et diversifiés, très peu, voir pas du tout, distribués en France. Notre entreprise est en création, de ce fait, avec l’accord d’un administrateur du forum, et par le biais de celui-ci, nous nous permettons de rechercher un ou des éleveurs pour réaliser un partenariat, tout en restant anonyme pour le moment. Le partenariat serait simple : - Des prix très avantageux pour l’éleveur, à définir ensemble. - Une publicité de notre site dans leur centre d’élevage et en bourse, et éventuellement sur leur site, avec une mise en relation des prospects, grâce à des outils publicitaires que nous fournirons. - Une publicité de l’éleveur sur notre site et la mise en relation avec des prospects. L’éleveur que nous recherchons doit : - Avoir une activité professionnelle déclarée - Etre présent dans de nombreuses bourses - Disposer d’outils publicitaires Nous sommes en mesure de fournir particuliers et professionnels en France Métropolitaine et dans l’Union Européenne. Si ce partenariat vous intéresse, nous vous demandons de contacter Askook qui saura vous mettre en relation avec nous. Nos produits : Matériels, Aliments Insectes, Aliments Secs, Vitamines Minéraux, Plantes Nutritives, Graines à Semer, Grillons, Criquets, Blattes, Drosophiles, Vers de farine, Vers morios, Vers à soie, Vers Phœnix, Vers Tébos, Teignes de ruche, Vers de terre, Larves de Cétoine, Oeufs, Souris congelés, Rats congelés, Cobayes congelés, Lapins congelés, Lézards congelés, Oiseaux congelés... Cordialement.
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La bague serpent de Garnazelle Pour l'été 2012, Céline Rivet, la créatrice de la marque de bijoux Garnazelle, met à l'honneur l'éclat brut de la turquoise verte sur une bague venimeuse en or jaune. Plumes en quartz serties de tourmalines roses et de turquoises délicates, chrysoprases et péridots associés à des vanités talisman... pour l'été 2012, Céline Rivet, la créatrice de Garnazelle, plonge avec délice dans l'imaginaire mystique de l'Arizona Dream. De nouvelles pièces caractérisées par une palette de couleurs aussi douces qu'intenses, que l'on retrouve également dans la bague Aslan de la créatrice. Un modèle venimeux où un serpent d'or jaune, symbole du désir, enroule son corps sinueux le long d'une turquoise verte. Un contraste de couleur entre la monture et la pierre brûlante, qui révèle toutes les nuances hypnotiques du minéral.
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Quelques nouvelles des deux femelles Heterodon nasicus qui possèdent une malformation et que nous avons récupéré. Elles se portent à très bien. L'une profite beaucoup plus vite que l'autre... Elles mangent des ratons morts que nous n'avons plus besoin de frotter sur un maquereau. Au niveau de la malformation, aucune évolution dans un sens comme dans un autre. Mais, cela ne les empêche pas de vivre normalement...
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Un nouveau genre d’araignée baptisé en hommage au rocker Lou Reed Publiant leurs travaux dans un numéro spécial de la revue ZooKeys, des chercheurs de plusieurs pays du monde, spécialistes des araignées, ont fait le point des connaissances actuelles sur les Eresidae. Une famille peu connue de ces animaux, qu’ils ont enrichie d’un nouveau genre dont le nom évoque celui du chanteur Lou Reed. Nommées ‘araignées de velours’ par les Anglo-saxons à cause de leur aspect sombre et brillant, vivant en Eurasie, en Afrique et au Brésil, les Eresidae constituent une famille d’araignées ‘sociales’ vivant en groupe, mais dont la discrétion et les habitudes souvent souterraines sont un obstacle à leur étude par les biologistes. Des chercheurs des Pays-Bas, du Danemark, des États-Unis, de République Tchèque, de Hongrie et d'Iran ont donc rassemblé leurs connaissances sur ces arachnides, et les ont complétées. Pour cela, ils ont utilisé le séquençage d’ADN afin d'établir l’arbre phylogénétique de ce groupe. En outre, les chercheurs ont également assemblé une vaste bibliothèque d'images de ces araignées – ‘portraits’ et macrophotographies documentant l'anatomie des différentes formes existantes. Au final, ceci leur a permis de distinguer une nouvelle espèce vivant en Israël, Loureedia annulipes, dont le genre, lui aussi nouveau (Loureedia), est un hommage au rocker Lou Reed, qui dirigeait, dans les années 1960, un groupe nommé "The Velvet Underground" ("souterrain de velours"): une allusion à l’aspect et aux mœurs souterraines de ces invertébrés. Source: http://www.maxisciences.com Article: http://www.pensoft.net/J_FILES/1/articles/2342/2342-G-3-layout.pdf
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Mais comment les moustiques peuvent-ils survivre à la pluie? Alors qu’une seule goutte de pluie peut peser 50 fois plus qu'un moustique, même en cas de choc avec les gouttes, l'insecte reste capable de voler à travers l’averse. Un phénomène à étudier lorsque l’on voit le moustique comme vecteur de maladies graves mais aussi lorsqu’on travaille à minimiser l’impact traumatique en cas de collision. Car, à l’échelle humaine, ce serait comme se prendre une voiture de front, racontent les chercheurs. Mais les moustiques, eux, survivent à la collision. Une étude originale, publiée dans l’édition du 4 juin des Comptes-rendus de l’Académie des sciences américaine (PNAS), et qui pourrait être utile pour la conception de véhicules plus sûrs. Les chercheurs de Georgia Tech (Georgia Institute of Technology) ont travaillé à partir d’une technique de vidéo à grande vitesse pour comprendre comment un petit moustique peut résister à une grosse goutte de pluie. Ils montrent que l’exosquelette robuste du moustique et sa faible masse le rendent « imperméable » aux gouttes de pluie. L'équipe de recherche, dirigée par le professeur adjoint de génie mécanique David Hu constatent que l’impact de la goutte est faible sur le moustique parce que la masse des moustiques parvient à réduire l'élan ou la vitesse des gouttes lors de l'impact. « Le plus surprenant est de constater combien ce petit insecte est résistant sous la pluie. A notre échelle humaine, nous ne pourrions survivre à un tel impact. » Les moustiques suivent le courant: Pour étudier comment les moustiques volent sous la pluie, l'équipe de recherche a construit une petite aire de vol entourée d’un fin maillage pour contenir les moustiques, mais permettre l'entrée de gouttes d'eau, ont simulé la vitesse de la pluie. Tous les moustiques ont survécu à la collision. Les chercheurs rappellent le principe de l’impact égal à la force de résistance appliquée par l'insecte. Ce qui se passe : Les moustiques ne résistent pas du tout, mais suivent le courant. Ainsi, lorsque l’équipe filme les moustiques en vol sous les gouttes, ils constatent qu’au moment de l’impact, le moustique fait corps avec la goutte sur une distance qui représente 20 fois sa taille. Mais, au bout du compte, le moustique doit bien se séparer de la goutte. Alors il utilise ses longues pattes et ses ailes, pour effectuer une rotation et se séparer de la goutte. Quel intérêt ? Au-delà de la métaphore, ces résultats sur le vol des moustiques vont être utilisés pour améliorer la conception et les caractéristiques aérodynamiques des micro-véhicules, utilisés principalement par les forces de l'ordre et l'armée en matière de surveillance, de recherche et de sauvetage. Source: http://www.santelog.com Article: http://www.pnas.org/content/early/2012/05/25/1205446109.abstract?sid=f7148cfd-1cac-4395-add4-97f6b7c0aca9
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Pour l'incubation, j'ai lu l'article d'Olivier Antonini paru dans Reptil-Mag N°19. Comme pour toutes mes incubations, je préfère ne pas avoir des températures élevées dans la couveuse. Je vais donc incuber ses oeufs entre 25 et 27° C et je ne ferais pas de chute nocturne des températures. En faisant des recherches sur cette espèce, je viens de lire qu'elle se nomme maintenant (depuis 2011) Istiurus lesueurii.
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Un reptile de 40 centimètres découvert à Laval Un pogona, espèce de gros lézard, a été découvert, vendredi après-midi, au bord de l’eau, à la Plaine d’aventure, à Laval. Si l’animal, d’une quarantaine de centimètres, n’est pas dangereux pour l’homme, il peut néanmoins mordre. Les pompiers, qui l’ont récupéré vers 15 h 20, en quelques minutes, ont donc préféré utiliser une paire de pinces. Le pogona a été transporté à la SPA de Laval, avant d’être récupéré, une heure plus tard, par le refuge pour animaux de l’Arche, à Château-Gontier. « On n’est pas habitué à capturer ce genre d’animal, confiaient les pompiers, même s’il fait aujourd’hui partie des nouveaux animaux de compagnie. » À la SPA de Laval, c’est même la première fois qu’un tel lézard était apporté. Le pogona, qui s’achète en animalerie, a « vraisemblablement été abandonné par son propriétaire », estime Jean-Bernard, responsable de la SPA lavalloise. Source: http://www.ouest-france.fr
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Des chercheurs au Royaume-Uni ont découvert que le tuatara de Nouvelle-Zélande (ou communément appelé sphénodon) a une façon de mastiquer ses aliments en utilisant un mouvement de cisaillement comme on utilise un couteau à steak. Les résultats de l'étude, présentés dans la revue The Anatomical Record, permettraient de mieux comprendre comment cette créature à évolué au cours de plus de 200 millions d'années, remettant en question la théorie qu'il existe un lien entre la capacité de mastication complexe du reptile et son métabolisme élevé. Il n'existe aucun autre animal capable de mastiquer comme le sphénodon. Des scientifiques de l'University College London et de l'université de Hull ont utilisé un modèle informatique performant pour démontrer sa capacité de mastication. Le Dr Neil Curtis de l'université de Hull, l'un des auteurs de l'étude, explique que le modèle virtuel a permis à l'équipe de développer le modèle musculosquelettique du crâne le plus détaillé possible. «Cela nous a permis d'étudier les mouvements dans le crâne qui seraient impossibles à suivre dans un animal vivant sans recourir aux rayons X, ce qui n'est pas une option pour une espèce protégée comme le sphénodon.» Le sphénodon est l'unique survivant d'un groupe de reptiles présent à l'ère des dinosaures. À l'heure actuelle, le sphénodon vit dans 35 îles à proximité des côtes de Nouvelle-Zélande. Arrivé jusqu'au continent ces dernières années, la créature survit en mangeant des coléoptères, des criquets, des araignées, de petits lézards et les oiseaux marins. Les chercheurs ont observé que la mâchoire inférieure du reptile se referme entre une double rangée de dents supérieures lorsque l'animal mâche. Selon les chercheurs, la mâchoire inférieure glisse légèrement en avant de quelques millimètres pour couper les aliments entre les dents acérées quand la bouche est fermée. «Certains reptiles, comme les serpents, sont capables d'avaler leur nourriture en un seul morceau, mais beaucoup d'autres doivent mâcher leurs aliments pour les déchiqueter», explique l'auteur principal, le Dr Marc Jones du département de recherche de biologie développementale et de la cellule de l'université londonienne. «Le sphénodon cisaille les aliments, comme un couteau à steak. Les mammifères pratiquent une forme complexe de mastication, ainsi, cette dernière a été associée à un métabolisme élevé. Toutefois, le sphénodon mâche également ses aliments selon une méthode complexe, mais son métabolisme n'est pas plus élevé que celui d'autres reptiles aux capacités d'alimentation moins développées», commente-t-il. «Ainsi, la relation entre la mastication des aliments et un métabolisme élevé a probablement été exagérée». Le mouvement en avant des mâchoires entraîne une légère rotation des mâchoires le long de leur axe, en raison de la forme de la jointure des deux mâchoires. Ainsi, le mouvement de cisaillement a un effet plus appuyé. Il a également été déterminé que les mâchoires inférieures gauches et droites ne sont pas collées ensemble, comme c'est le cas chez l'homme. Les travaux des chercheurs ont identifié comment la spécialisation du mécanisme d'alimentation semble permettre au reptile d'avoir une alimentation variée. «Les mâchoires tranchantes du sphénodon lui permettent de manger une variété de proie dont les coléoptères, les araignées, les criquets et petits lézards», commente le Dr Jones. «Plusieurs rapports parlent d'oiseaux de mer retrouvés décapités suite à des attaques de sphénodons. Bien que ce type de mastication est rare de nos jours, des fossiles d'Europe et du Mexique nous montrent qu'à l'époque des dinosaures (il y a plus de 160 millions d'années), certains fossiles apparentés au sphénodon utilisaient la même technique de mastication et que celle-ci était beaucoup plus répandue qu'à l'heure actuelle.» Source: http://cordis.europa.eu Vidéo: Article: http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/ar.22487/abstract
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Presque disparue en France, une espèce de crapaud survit en Creuse Si le printemps est, dit-on, la saison des amours, c'est aussi la saison des anoures, ces amphibiens dépourvus de queue que l'on connaît davantage sous les noms de grenouilles et crapauds. Ces derniers, bien que dotés d'une apparence peu ragoûtante du moins à nos yeux humains, n'en sont pas moins d'utiles auxiliaires du jardin en détruisant nombre d'insectes et de limaces. D'ailleurs, tous les crapauds, au sens large et à l'exception des espèces introduites par l'homme et devenues invasives, sont des espèces menacées et protégées dans de nombreux pays. Le « sonneur à ventre jaune » ou Simou fait l'objet d'une attention particulière de la part du Groupe Mammalogique et Herpétologique du Limousin : il a en effet presque totalement disparu de France mais se retrouve encore sur notre territoire, en particulier du côté du Pays des 3 Lacs. Il affectionne les zones humides, petites mares, flaques, ornières, est facile à reconnaître mais difficile à repérer car si son ventre est d'un magnifique jaune marqué de noir, son dos est brun couleur terre, ce qui le rend discret. Les jardiniers, promeneurs à pieds et à vélo peuvent donc le repérer, le reconnaître et le protéger ainsi que son environnement et sont invités à prendre contact avec l'association si jamais ils ont la chance de l'apercevoir. Pratique. Groupe Mammalogique et Herpétologique du Limousin, 11 rue Jauvion, 87100 Limoges, 05.55.32.43.73. http:\\www.gmhl.asso.fr Source: http://www.lamontagne.fr
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Le Sonneur à ventre jaune ou Crapaud sonneur à ventre jaune, Bombina variegata, est une espèce d'amphibien de la famille des Bombinatoridae. Il est surtout reconnaissable par sa face ventrale jaune tranchant avec sa face dorsale d'un gris terne. Description La face dorsale du sonneur à ventre jaune est marron-grisâtre et terne, ce qui lui assure un camouflage au sein de son habitat naturel. La face ventrale, jaune tachetée de noir, contraste fortement avec sa face dorsale. Le crapaud peut la dévoiler à un éventuel prédateur en cas de menace afin d'effrayer son agresseur. Les sonneurs à ventre jaune (mais aussi d'autres membres de la famille), quand ils sont dérangés ou agressés, présentent un comportement défensif : c'est le réflexe d'Unken (du nom de l'herpétologiste allemand Unken qui à décrit ce phénomène pour la première fois). Les animaux ainsi dérangés s'arc-boutent sur leur dos et présentent leur face ventrale à leur assaillant, tandis qu'ils rapprochent leurs membres de leur corps. Mais si l'agression continue, le sonneur peut libéré un liquide visqueux, poison irritant pour les yeux, et à l'odeur repoussante. Le sonneur se reproduit de mai à juillet (juste après l'hibernation qui a lieu d'octobre à avril), accrochant seulement quelques œufs (1 à 10 maximum) de façon regroupée ou isolée aux plantes aquatiques immergées. Ceux-ci éclosent après 10 jours. Bombina variegata se nourrit d'insectes, vers, petits crustacés et mollusques, et peut vivre jusqu'à 5 ans (mais le record est de 34 ans en captivité) Distribution Cette espèce se rencontre en Europe de 100 à 2 100 m d'altitude : en France, en Belgique, au Luxembourg, aux Pays-Bas, en Allemagne, en Suisse, au nord de l'Italie, en Autriche, en Tchèquie, en Pologne, en Slovaquie, en Hongrie, en Slovénie, en Croatie, en Bosnie-Herzégovine, en Serbie, au Monténégro, en Albanie, en Macédoine, en Grèce, en Bulgarie, en Roumanie et à l'ouest de l'Ukraine. En France, les évaluations réalisées par le Comité français de l’UICN et le Muséum national d'histoire naturelle montrent que le sonneur à ventre jaune fait partie des sept espèces d'amphibiens menacées sur le territoire métropolitain (catégorie "espèce vulnérable")1. En Belgique, l’espèce était sur le point de disparaître. Une des dernières populations a été sauvegardée lors de la destruction du site au milieu des années 1980 et déplacée sur un autre site proche, où elle a été aidée. Depuis un programme de réintroduction à partir de cette population est en cours2. L'habitat de cette espèce est constitué de mares, ornières ou flaques d'eau en forêt. L'espèce résiste particulièrement à un pH acide (Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Sonneur_%C3%A0_ventre_jaune
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