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BelleMuezza

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  1. Phalanger-renard ou Trichosurus vulpecula, est une espèce de petit marsupial arboricole australien à queue préhensile qui se nourrit de feuillages et de fruits mais aussi d'insectes, d'œufs et d'oisillons. Introduit en Nouvelle-Zélande pour sa fourrure, il y est à présent considéré comme une espèce invasive car, sans prédateur sur cette île, il pille les nids, blesse les arbres et transmet la tuberculose bovine D'une longueur du corps de 35 à 55cm prolongé de 25 à 40 cm de queue, cet animal a un poids qui varie selon le sexe : environ 4 kg pour les mâles, et de 1,5 à 3,5 kg pour les femelles. maturité sexuelle : 1 an, gestation : 17 jours + 5 mois dans la poche marsupiale, nombre de jeunes / portée : 1 et nombre de portées / an : 1. Il se nourrit de feuilles, fleurs, fruits, insectes, œufs, oisillons, et cadavres. Ecologie et répartition : Australie (Queensland, Gold Coast). Invasif en Nouvelle-Zélande. Il n'a pas de prédateurs en Nouvelle-Zélande à part l'homme qui le recherche pour sa fourrure. Appelé localement possum, l'espèce est considérée en Nouvelle-Zélande comme un animal très nuisible et sa chasse est un sport national : tout Néo-Zélandais qui se respecte se doit de tuer le plus de possums possible. Les possums sont des prédateurs redoutables pour la faune et la flore natives néo-zélandaises. Ils mangent les œufs des oiseaux et lorsqu'ils marquent leur territoire, ils blessent souvent à mort les jeunes arbres natifs à croissance très lente. Wikipedia avril 2012
  2. Les opossums, ou sarigues, sont à l'origine des petits carnivores présents sur le continent américain et classés dans l'ordre des Didelphimorphia, principalement dans la famille des Didelphidés, et dont le plus connu est l'opossum de Virginie. see Source / Wikipedia Par extension, les francophones nomment parfois improprement opossum, ou à l'anglaise « possum », d'autres petits marsupiaux herbivores présents en Océanie et classés dans l'ordre des Diprotodontia, principalement des Phalangeriformes, à la suite d'erreurs d'identification ou de traductions erronées. En principe, seuls les marsupiaux carnivores d'Amérique de la famille des Didelphidés sont appelés des opossums. Cependant, le terme «opossum» ou l'expression «opossum d'Australie» sont aussi utilisés pour désigner, par analogie, certains marsupiaux d'Océanie. Vers 1770, les premiers colons arrivant en Australie emploient le mot désignant déjà les marsupiaux d'Amérique, opossum, pour baptiser les animaux d'aspect semblable qu'ils découvrent sur ce nouveau continent. Opossum est simplifié ensuite en « 'possum » dans le langage courant de ces nouveaux australiens. Les zoologistes vont découvrir trop tard que les opossums américains sont carnivores alors que leurs cousins australiens sont herbivores, donc très différents. En 1980, l'Australian Mammal Society décide d'utiliser officiellement en Australie l'abréviation locale pour faire la distinction entre «opossum», nom des espèces carnivores américaines, et «possum», nom des espèces herbivores australiennes. En 1981 la Nouvelle-Zélande adopte la même convention.^ Voir les noms vernaculaires / noms scientifiques Espèces carnivores d'Amérique : Ces opossums « vrais » sont originaires du continent américain. Ils ne peuvent pas se pendre aux branches par leur queue et sont carnivores. Ce sont des animaux au museau pointu qui font le mort et dégagent une odeur repoussante s'ils sont mis en danger. De nombreuses espèces d’opossums d'Amérique du Sud n’ont pas de poche marsupiale et les larves accrochées sous le ventre de la femelle sont parfaitement visibles13. L'Opossum gris (Monodelphis domestica), élevé en captivité, sert d'organisme modèle et éventuellement d'animal de compagnie. Espèces herbivores d'Océanie : Ces possums selon les zoologues anglophones, c'est-à-dire les couscous, cousous, opossums ou phalangers en français, sont originaires d'Australie, de Nouvelle-Guinée et du Sulawesi. Ce sont de petits marsupiaux arboricoles à fourrure grise ou brune dont la taille varie de 10 à 40 cm suivant les espèces. Ils peuvent se suspendre aux branches, la tête en bas, à l'aide de leur queue fortement préhensile. Leur odeur fétide est due à des glandes à musc situées derrière les oreilles. Ce sont des animaux nocturnes omnivores, cachés dans une cavité d'arbre dans la journée et sortant la nuit pour chercher leur nourriture. Ils jouent le même rôle dans l'écosystème océanien que les écureuils dans l'hémisphère Nord, auxquels ils ressemblent beaucoup. Certaines espèces comme le phalanger renard (Trichosurus vulpecula) sont considérées comme invasives en Nouvelle-Zélande. JJ Harrison (http://www.noodlesnacks.com/ : Wikipedia Wikipedia avril 2012
  3. En dehors d'un tremblement de terre et d'une défaite en rugby, quoi de pire, pour un Néo-Zélandais, qu'une créature tueuse de kiwis? Phalanger-renard ou vulpin, opossum à queue en brosse, cousou... Ce ne sont pas ses noms impossibles qui valent au "Trichosurus vulpecula" la haine de tout un pays, mais bien ses nuisances. D'apparence relativement inoffensive, ce petit marsupial arboricole a pourtant tout pour déplaire: il dévore la forêt primaire, détruit les nids et les oeufs --dont ceux du célèbre kiwi, emblème national de Nouvelle-Zélande-- et transmet la tuberculose aux bovins. (...) "Ils dévastent les jardins, tuent les arbres et détruisent la faune sauvage. Ce sont des petits animaux vicieux". Une plaie sans prédateur naturel qui prolifère à raison d'un petit par femelle et par an. On estime les "possums" à 70 millions en Nouvelle-Zélande, vingt fois plus que la population humaine. Protégé en Australie, il est chassé sur l'archipel comme à son époque le bison dans les plaines du Midwest américain. Semblable au manteau de l'ours polaire, la fourrure du "possum" est souple et constituée de fibres creuses. Facile à travailler, elles est mélangée à la laine Mérinos pour obtenir une toison soyeuse, légère et isolante. La fourrure de "possum" est un marché de 100 millions de dollars qui fait vivre 1.200 personnes, selon l'organisation professionnelle des fourreurs neo-zélandais. Un kilo de peau est venu environ 100 dollars néo-zélandais (62 euros) et les trappeurs professionnels peuvent gagner jusqu'à 50.000 dollars (31.000 euros) par an, souligne Jake McLean. Ils sont une poignée à vivre à l'année le sacerdoce solitaire du trappeur dans l'immensité sauvage de l'archipel. (...) Ils sont beaucoup plus nombreux à chasser à titre de loisir, le week-end, avec pour objectif de faire le plus grand nombre de victimes. Tirées, piégées ou empoisonnées, deux millions de bêtes sont tuées chaque année. Un tableau insuffisant qui pourrait exploser si la fourrure de "possum" était exportée, plaide Greg Howard, dont la société Planet Green fabrique des gants de golf en cuir de "possum". "Le marché est là. Tout ce que le gouvernement a à faire, c'est de nous aider" à promouvoir la fourrure de phalanger à l'étranger, dit-il. Les associations de défense des animaux les plus intransigeantes reconnaissent la nécessité d'éradiquer l'animal. C'est le cas du Fonds mondial pour la nature (WWF), qui s'oppose même au commerce de la fourrure au motif qu'il risque de pérenniser la présence du marsupial en Nouvelle-Zélande. "Le WWF n'approuve pas le commerce de la fourrure de +possum+, car il existe une possibilité que les entreprises qui en vivent aient un intérêt à assurer la survie de cette espèce nuisible", affirme l'organisation. Sciences et Avenir 20/04/2012
  4. Un chercheur japonais a annoncé mardi avoir réussi à fabriquer des cordes de violon à l'aide de toiles d'araignée qui rendent parait-il un son "doux et profond". Des milliers de fils de soie peuvent être tissés en une corde résistante mais souple qui convient parfaitement à cet instrument, a déclaré Shigeyoshi Osaki, professeur de chimie, spécialistes des polymères à l'Université médicale de Nara. Le chercheur, qui mène des travaux sur la soie d'araignée depuis 35 ans, avait auparavant suggéré d'utiliser ce type de matériau pour du fil chirurgical ou pour des gilets pare-balles, mais sa passion pour le violon l'a poussé à créer quelque chose dans le domaine musical. Il a expliqué à l'AFP que pendant le processus de tissage, les fils cylindriques prennent une forme polygonale, ce qui permet de mieux les ajuster. "Au cours de l'assemblage de fils ordinaires, il subsiste beaucoup d'espaces entre chaque fibre. Notre procédé ne laisse aucun espace entre les filaments, ce qui rend les cordes plus résistantes. Cela peut avoir toutes sortes d'applications dans notre vie quotidienne", a souligné M. Osaki. Le chimiste a précisé qu'il avait utilisé la soie de 300 araignées femelles Nephila maculata (ou pilipes). Plusieurs études ont déjà montré que les fils d'araignée sont très résistants à de hautes températures et aux effets des rayons ultraviolets. M. Osaki a notamment fabriqué une corde capable selon lui de supporter une charge de 600 kilogrammes. Les musiciens ont fait l'éloge de la qualité sonore des cordes à base de soie d'araignée qui rendent "un son doux et profond". "C'est une chose de créer des choses pour des buts scientifiques, mais je voulais aussi produire quelque chose qui pouvait être accessible aux gens ordinaires", a-t-il expliqué. LE POINT.FR 08/03/2012
  5. Au moins quatre girafes ont été électrocutées depuis un an après avoir percuté des câbles à haute tension installés trop bas dans une réserve naturelle proche du célèbre parc Kruger, affirme vendredi une association de défense de l'environnement. Le fournisseur d'électricité sud-africain Eskom a finalement déplacé certains câbles posés en juin 2011 dans le parc de Marloth (est), et en a surélevé d'autres, afin d'éviter d'autres accidents mortels, précise Constant Hoogstad, au nom de l'association Endangered Wildlife. "Les câbles disposés trop bas accroissaient la probabilité de contacts dangereux" pour les girafes, explique Endangered Wildlife, qui rapporte que Eskom "a installé de nouveaux transformateurs là où c'était nécessaire, et relevé les câbles trop bas qui menaçaient les girafes". Le Point.fr 20/04/2012
  6. Assez proches de nos habituels chiens et chats, ils demandent néanmoins des précautions particulières. lE FURET fait fureur ! Ce cousin de la belette, de l'hermine et du vison est un petit animal carnivore domestiqué depuis des siècles. Chantelat / Sipa D'abord utilisé pour la chasse aux rongeurs, puis élevé pour sa fourrure, voire comme animal de laboratoire, c'est, depuis le début du XXIe siècle, le troisième animal de compagnie le plus répandu en Europe, au Canada et aux États-Unis, après les traditionnels chiens et chats. D'aucuns le promènent en laisse dans les rues des villes. Et pour voyager en Europe, il doit posséder un passeport, être vacciné et identifié à l'aide d'une puce électronique. Attention toutefois à ne pas effrayer ou faire mal à ce joli petit animal au corps allongé et très souple, car des glandes situées de chaque côté de son anus laissent alors échapper une forte odeur musquée facilement reconnaissable. En dehors de cela, le furet est un animal propre. Inutile de le sortir. Comme les chats, il fait ses besoins dans des litières prévues à cet effet. Quant à son éducation, elle se base essentiellement sur les récompenses, si l'on en croit les commentaires sur Internet. Car cette petite bête, qui a besoin de dormir beaucoup, intègre mal les punitions. D'autre part, s'il est mal éduqué, le furet ne perdra jamais sa mauvaise habitude de mordre, y compris la main qui le nourrit. Et comme l'animal est d'un naturel joueur et curieux, il fait beaucoup plus de dégâts dans l'habitat qu'un chien ou qu'un chat en attrapant tout ce qui est à sa portée. Pour éviter les accidents, mieux vaut le confiner dans une pièce de la maison, voire dans un parc spécifique ou une cage quand il doit rester seul. Enfin, le furet doit être vacciné contre la rage pour voyager. Plus original encore, le cochon nain commence à partager l'habitat de certains Français, même s'il est encore rare de voir un tel animal marcher, au bout d'un harnais, dans les rues de nos cités. Issu d'un croisement entre différents porcs originaires du Vietnam et d'Asie du Sud-Est, il a la taille d'un chien moyennement grand, mais il pèse bien plus lourd en raison de sa densité corporelle. Il existe aussi des cochons miniatures, que l'on trouve le plus souvent en Allemagne. Les adeptes de ces nouveaux animaux de compagnie louent leur "intelligence". Mais en raison de leur capacité d'adaptation, il est nécessaire d'aménager la maison de façon à les empêcher d'ouvrir la porte du réfrigérateur, d'accéder à la nourriture entreposée, de renverser les étagères ou de subtiliser les journaux pour en faire une litière. Côté pratique, ils seraient encore plus faciles à éduquer à la propreté que les chiens. Quant aux petits singes - comme le saïmiri, encore appelé singe-écureuil, ou les autres ouistitis -, il est indispensable de détenir un certificat de capacité pour en posséder un. Ils auront besoin, pour s'épanouir, d'être logés dans une grande volière et de recevoir une alimentation équilibrée, composée notamment de fruits et d'insectes. Parfois câlin, toujours joueur, cet animal garde un comportement d'enfant toute sa vie durant (quinze à vingt ans en moyenne selon les espèces). -----> On aura beau me dire ce qu'on veut, je suis contre la détention d'animaux qui n'ont rien à faire dans nos maisons ! Leur place : leur milieu naturel... J'aime beaucoup les oiseaux et pourtant je n'en ai jamais eu et n'en aurai jamai !!! Je préfère profiter du spectacle qu'ils m'offrent en les regardant évoluer en liberté ! Le point.fr 29/12/2011
  7. Le Japon constate une reprise substantielle du nombre de touristes étrangers, ce qui compense la forte chute ayant suivi la catastrophe sismique du 11 mars 2011. Selon l'Organisation japonaise du Tourisme, environ 679 000 ressortissants étrangers sont venus au mois de mars pour du tourisme ou pour affaires. Il s'agit d'une augmentation de 92,4 pour cent par rapport à mars 2011, et cela constitue la première augmentation en glissement annuel depuis le grand séisme du nord-est du Japon. NHK 20/04/2012
  8. Pour célébrer la biodiversité, envoyez nous vos photos d'animaux sauvages ! Désolée, je n'ai pas de photos sous la main pour les publier sur le forum... En réalité je relaie une sollicitation de Maxisciences qui vous demande de lui faire parvenir vos plus beaux clichés d'animaux sauvages... -----> A l'heure où la liste des espèces menacées ne cesse de s'allonger, Maxisciences a décidé de faire appel à vos talents de photographe pour révéler la beauté des animaux qu'abrite notre planète. Espiègles ou craintives, minuscules ou majestueuses, rares ou très nombreuses, notre planète répertorie plus d'1,2 million d'espèces animales réparties aux quatre coins du globe. Mais si la liste des espèces connues s'allonge d'année en année, celle des animaux en danger se fait aussi de plus en plus fournie. Des spécimens victimes de la chasse à ceux décimés par la destruction de leur habitat, certaines populations animales accusent de graves baisses, bien que d'autres se portent à merveille. Pour rappeler cette fantastique biodiversité et, par là-même, l'importance de la préserver, Maxisciences a une nouvelle fois décidé de faire appel à vous et à vos appareils. Amateurs, passionnés ou professionnels, nous invitons tous les photographes à envoyer leurs plus beaux clichés d'animaux capturés dans leur milieu naturel dans les alentours, lors de petites escapades ou de grands voyages. L'occasion de redécouvrir les espèces qui nous entourent et celles qui se cachent dans les contrées les plus éloignées. Les photos doivent être envoyées avant le 2 mai à l'adresse : redaction@maxisciences.com. Si vous le désirez avec la petite anecdote qui va avec. Les plus belles seront sélectionnées et publiées sur le site la semaine suivante. Alors tous à vos appareils ! Maxisciences 19/04/2012
  9. L’abattage des otaries en Namibie est inutile et injustifié. Les pouvoirs publics namibiens n’ont pas l’ombre d’une preuve scientifique plausible qui permette de démontrer que ces populations d’otaries ont un impact négatif sur leurs réserves de poisson. En outre, les méthodes utilisées pour tuer les otaries sont d’une cruauté inacceptable et, de l’avis d’IFAW, n’accordent aucune attention aux problèmes de protection animale. IFAW demande instamment au gouvernement namibien de mettre un terme immédiatement à l’abattage des otaries", ajoutait Jason Bell-Leask, Directeur du bureau sud-africain d’IFAW. Mais le gouvernement est resté sourd à toutes les demandes. Pour manifester contre cette pratique, des militants ont donc décidé cette année de lancer une campagne internationale de boycott visant toutes les industries clés de la Namibie. Une mesure destinée à faire pression sur le gouvernement et l'inciter à interdire la chasse à laquelle de nombreux pays ont mis fin depuis plus de vingt ans. De son côté, l'organisation Fourrure torture a décidé de mettre en place une pétition et invite chacun à se mobiliser pour faire arrêter le massacre. -----> www.chasse-aux-phoques.com -----> Pour le boycott des produits namibiens, je fais une recherche et vous communiquerai les informations dès que possible. Maxisciences 19/04/2012
  10. À cause d’anciennes lois, les pêcheurs sont autorisés à emporter dans leurs excursions des armes et des explosifs par «peur des pirates». Chacun sait que le seul objectif réel est de cibler secrètement les otaries. Le prétexte de la Namibie pour justifier ces horreurs est l’industrie du poisson. Image Fourrure Torture Des scientifiques ont mené des recherches et ont prouvé que ce massacre ne se justifiait pas, puisque 98% de la récolte de poissons sont exportés, contre seulement 2% consommés localement, mais le gouvernement namibien refuse de l’admettre. Par ailleurs, entre 250.000 et 500.000 otaries meurent de faim à cause de la pêche intensive et la plupart des espèces de poissons ont considérablement diminué. Encouragés par le gouvernement, les pêcheurs touchent une généreuse récompense par tête. Beaucoup d’otaries, à défaut d’être tuées, se retrouvent prisonnières des filets des pêcheurs et blessées par les sangles qui s’enroulent autour de leur cou. Les otaries du Cap sont une espèce protégée depuis 1973, mais étrangement, aucun texte n’a été rédigé à ce sujet. Les courriers adressés au Président namibien restent ignorés. Quant au Premier Ministre Nahas Angula, il réclame fermement l’augmentation des quotas chaque année. Le massacre des otaries de Namibie est le second plus grand massacre de mammifères marins au monde. La Namibie ne s’aligne pas sur les autres nations à propos de la protection des animaux marins, et l’augmentation continue des quotas représente une véritable menace pour l’avenir de la vie sauvage. Une absurdité économique Comme le montrent les études récentes sur la globalité des revenus générés par la présence des otaries en Namibie, il est irréfutable que ces dernières rapportent une véritable fortune au gouvernement namibien lorsqu’elles sont vivantes ! En effet, comme ces dernières ont dû établir leurs colonies sur le continent, elles attirent chaque année l’attention des touristes du monde entier sur les plages de Cape Cross, Atlas Bay et Wolf Bay. Un rapport établi par Economists at Large [1] à l’initiative de plusieurs associations internationales de protection animale [2] compare ces revenus à ceux générés par l’utilisation des fourrures de ces mêmes animaux. Le rapport indique que pour l’année 2008, la chasse n’a rapporté que 513.000$ contre 2 millions de dollars engendrés par l’observation des otaries. Il se base en outre sur une analyse très précise des deux industries et de leur fonctionnement pour déduire que la chasse représente une menace sérieuse pour l’avenir de l’observation des otaries. Cette dernière est une source bénéfique fiable et durable pour l’économie et son potentiel est impressionnant : en 2016, les revenus qu’elle génère devraient atteindre 3,2 millions de dollars. Ces revenus sont également bien mieux répartis dans la société namibienne en favorisant les établissements dédiés au tourisme. Ce développement bénéfique est directement menacé par la chasse qui se déroule le matin sur les plages entre juillet et novembre, quelques heures avant l’arrivée des premiers touristes. Malgré les efforts du gouvernement pour la dissimuler, une telle activité nuit de plus en plus à la réputation des compagnies Eco-tours namibiennes et menace donc l’économie du pays. Que faire ? Ecrivez aux autorités namibiennes Signez la pétition contre la chasse aux otaries en Namibie. [1] The economics of seal hunting and seal watching in Namibia [2] WSPA, HSI, Respect for animals et Bont voor Dieren Fourrure Torture avril 2012
  11. Comme tous les ans à partir du mois de juillet, le sable des plages namibiennes devient rouge sang par le massacre de plusieurs dizaines de milliers d’otaries. Malgré leur co-existence paisible avec les humains, les petits sont séparés de leurs mères pour être massacrés. Comme le montre les enquêtes vidéos, les petits rejettent le lait maternel par la bouche et le nez, après avoir été poignardés. Un peu d’histoire ! À une période très éloignée, des colonies d’otaries vivaient sur les deux plus grandes îles côtières d’Afrique du Sud, Robben Island et Dassen Island. Des otaries étaient régulièrement retrouvées échouées ou noyées sur les côtes d’Afrique du Sud, à leur naissance. Le gouvernement sud africain qualifiait cette tragédie de naturelle. Chassés de leurs îles natales, les otaries ont été parquées dans des îles de la taille d’un rocher et sans cesse inondées lors de la hausse du niveau de la mer, par temps d’orage. La politique de contrôle de la population de ces animaux n’autorisait alors qu’un seul mètre carré pour trois ou quatre otaries. En cas d’inondation, les otaries se retrouvaient entassées de huit à douze sur un seul mètre carré, ce qui rendait tout mouvement insupportable. Les nouveaux-nés, ne sachant pas encore nager, étaient quant à eux emportés par la mer. En plus de la noyade, la famine causée par la surpêche, l’emprisonnement dans les filets des pêcheurs et bien sûr le massacre sont les causes évidentes de la considérable diminution de la population des otaries. Pour survivre, les colonies d’otaries, proches de l’extinction, se réfugient sur le continent. Un programme de Seal Alert SA, organisation active depuis 1999, qui lutte pour mettre fin aux injustices, à la cruauté et aux abus, directement sur le terrain et dont les principales méthodes sont l’enquête, le secours et la réhabilitation des otaries, est actuellement en place pour rendre l’île de Robben Island aux otaries. De l’exil au massacre ! Image Fourrure Torture Malgré le fait que les otaries du Cape figurent sur la liste de la CITES (Convention on the International Trade in Endangered Species), ces animaux continuent d’être exportés à travers le monde. En 1990, l’Afrique du Sud met fin à la chasse aux otaries. Protégées par le Seal Protection Act depuis 1973. Les otaries continuent d’être massacrées en Namibie sans qu’aucun chasseur n’ait été arrêté pour ces actes de cruauté. La Namibie demeure l’un des seuls pays à utiliser des pratiques particulièrement cruelles et inadmissibles. Les chasseurs rassemblent les bébés otaries sur la terre, en les empêchant de rejoindre la mer. Et comme les otaries tentent de s’enfuir, ils les poignardent à coups de couteau. Elles s’effondrent alors, rejetant le lait de leurs mères, et agonisent lentement, tout ceci avec la bénédiction du gouvernement namibien, qui accorde aux chasseurs le droit de torturer et de massacrer ces créatures sauvages et protégées. Les touristes encouragent également ce massacre et certains n’hésitent pas à y participer. La moitié du quota de l’abattage sélectif s’explique par le nombre de touristes participant à ces cruautés. Le quota de l’année 2006 était de 85000 bébés otaries et de 6000 adultes tués. Le quota 2007 excède même le nombre de bébés otaries à l’intérieur des colonies. Que faire ? Ecrivez aux autorités namibiennes Signez la pétition contre la chasse aux otaries en Namibie. Fourrure Torture avril 2012
  12. Chaque année, du 1er juillet au 15 novembre, se déroule en Namibie le second plus grand massacre de mammifères marins au monde. Des dizaines de milliers d’otaries sont tuées à des fins commerciales. Les quotas ne cessent d’augmenter d’année en année. À cela s’ajoutent la mortalité naturelle, la famine dont les otaries sont victimes à cause de la surpêche et l’enthousiasme des touristes qui encouragent cette barbarie. Ces événements cumulés peuvent conduire à l’anéantissement d’une population entière de jeunes otaries. De plus, les chasseurs utilisent des manières particulièrement cruelles et redoutables pour atteindre leur objectif. Ils rassemblent les otaries sur une parcelle de terre éloignée de la mer et les poignardent ensuite. Les bébés otaries rejètent le lait de leur mère et agonisent lentement avant de succomber. Image Fourrure Torture Les chasseurs retirent la peau des otaries alors que certaines sont encore vivantes et conscientes et coupent les parties génitales des mâles adultes pour alimenter le marché asiatique en produits aphrodisiaques. Alors que l’Afrique du Sud a mis fin à ces pratiques barbares en 1990, la Namibie refuse de suivre l’exemple. Je soutiens cette pétition initiée par Fourrure Torture pour l’arrêt du massacre des otaries en Namibie et refuse d’alimenter l’économie namibienne par le tourisme. CLIQUEZ ICI pour signer LA PETITION Fourrure Torture avril 2012
  13. Les centrales électriques, les centres de traitements des déchets et, d'une manière générale, les installations industrielles, laissent s'envoler une chaleur considérable. Combien, précisément ? L'équivalent chaque année de 500 milliards d'euros en Europe, selon une étude, qui préconise de la récupérer et de la distribuer vers les habitations grâce aux réseaux de chaleur. La moitié de l'énergie consommée en France sert à chauffer, selon les chiffres du ministère du Développement durable. Le principe des réseaux de chaleur est de distribuer vers des habitations un fluide chaud (généralement de la vapeur d'eau). Le rendement peut être meilleur que des chauffages individuels et un tel réseau permet de gérer une partie de la consommation d'énergie au niveau local, notamment à partir d'énergies renouvelables. Ils peuvent aussi récupérer la chaleur perdue par les installations industrielles, les centres de traitements des déchets et même les centrales électriques pour chauffer des logements en ville, rappelle l'association Via sèva, qui réunit des gestionnaires de réseaux, industriels ou urbanistes en France. L'étude, menée en Europe par l'association internationale des réseaux de chaleur et de froid Euroheat & Power, chiffre à 500 milliards d'euros l'énergie annuelle non exploitée et ainsi «envoyée vers les petits oiseaux», a indiqué Guillaume Planchot, président de Via sèva. Un chiffre correspondant aux quelque 6,7 milliards de barils de pétrole que représenteraient les pertes de chaleur en 2008 en Europe, selon cette étude. Un gisement égal à la moitié de l'énergie primaire en Europe «L'analyse du bilan énergétique européen réalisée lors de cette étude démontre qu'un gisement de chaleur équivalent à plus de la moitié de l'énergie primaire disponible en Europe est aujourd'hui inutilisé», précise Via sèva. Cette chaleur, émise en produisant de l'électricité, en brûlant des ordures ménagères, par les industries ou les équipements de refroidissement des serveurs informatiques, est «tout à fait exploitable en l'état», souligne l'association dans un communiqué. Les réseaux de chaleur sont encore très peu développés en France, regrette Via sèva, avec seulement 6 % de la population chauffée par ce système, alors que «la moyenne européenne se situe à plus de 30 %», avec des pays comme le Danemark, la République tchèque ou l'Islande «qui dépassent 50 %». En 2009 dans l'Hexagone, la chaleur acheminée par les 450 réseaux provenait d'abord du gaz (44 %), mais la part des énergies renouvelables et de la chaleur de récupération (31 % à eux deux en 2009 pour un objectif de 50 % en 2020) est en hausse depuis quelques années, se félicite Guillaume Planchot. Les sources de chaleur du secteur résidentiel et tertiaire en France. La part des énergies renouvelables (une partie étant ici incluse dans l'électricité) est de 13 %. Données PPI Chaleur 2009-2020 MEEDDM/DGEC Futura Sciences 19/04/2012
  14. La Chine a enregistré depuis le début de l'année au moins 16 décès de marsouins aptères, une espèce très menacée qui pourrait bientôt s'éteindre dans son habitat du fleuve Yangtsé, a rapporté la presse officielle. Ce cétacé d'eau douce, qui comme son nom l'indique est dépourvu d'aileron dorsal, vit en Chine seulement dans le Yangtsé et dans deux lacs reliés à ce grand fleuve, hélas pas épargnés par les pollutions industrielles. Dix marsouins aptères ont été retrouvés morts dans le lac Dongting depuis mars et six autres dans le lac Poyang depuis le début de l'année, a rapporté l'agence Chine nouvelle. "Ces morts récentes font monter le taux de mortalité du marsouin aptère à un niveau de 5 à 10%, ce qui signifie que l'espèce sera éteinte dans 15 ans", ont conclu des experts cités par l'agence officielle. Un cousin du marsouin aptère, le dauphin de Chine, est lui jugé éteint depuis plusieurs années après avoir été victime d'une pollution dévastatrice, de la pêche illégale et du trafic fluvial. Après une expédition scientifique en 2006, des experts avaient en effet annoncé la très probable extinction de ce dauphin de rivière (baiji en chinois), une espèce qui existait depuis quelque 20 millions d'années. Des décès qui qui laisse penser que l'espèce sera éteinte dans 15 ans si rien n'est fait pour la conserver, ont conclu des experts cités par l'agence officielle. Il y a un siècle, la population comptait quelque 5.000 spécimens, environ 400 dans les années 80 avant de tomber entre 15 et 50 en 1997. Les spécialistes craignent ainsi qu'ils suivent le chemin d'un de ses cousins, le dauphin de Chine. Cette espèce qui existait pourtant depuis quelque 20 millions d'années est jugé éteinte depuis plusieurs années après avoir été victime d'une pollution dévastatrice, de la pêche illégale et du trafic fluvial. En 2006, des experts avaient alerté après une expédition scientifique de la très probable extinction de ce dauphin de rivière mais celle-ci n'a pas été empêchée. Sciences et Avenir 19/04/2012 - Maxisciences 21/04/2012
  15. C'est en 2018 que sera mis en service le parc éolien en mer de Saint-Brieuc, une installation confiée au début du mois par le gouvernement à un consortium réunissant Iberdrola, Eole-RES, Areva et Technip. Le champ sera pleinement opérationnel deux ans plus tard, en 2020. Le parc éolien offshore de la baie de Saint-Brieuc, projet confié à un consortium mené par Iberdrola et Eole-RES le 6 avril dernier, commencera sa production d'électricité en 2018. "Le premier kilowatt/heure sera produit en 2018, et on sera connecté au réseau à 100% en 2020", a annoncé lors d'une conférence de presse rapportée par l'AFP Jean-François Petit, directeur du développement chez Eole-RES. Cette firme détiendra 30% de la société d'exploitation du parc, quand le géant Iberdrola en possédera 70%. Ce sont Areva et Technip qui assureront la fourniture et l'installation en mer du champ. Cent éoliennes de 5 mégawatts doivent être posées sur une surface de 80 kilomètres carrés, à 17 kilomètres des côtes bretonnes. Un projet qui nécessitera un investissement estimé à quelque 2 milliards d'euros, et qui à terme devrait assurer environ 7% des besoins en électricité de la région. Comme l'a rappelé le consortium, ce parc éolien marin est en outre censé engendrer 2.000 emplois environ en France, grâce au projet d'usine de fabrication d'aérogénérateurs d'Areva au Havre notamment. Trois autres champs d'éoliennes marines, dans la Manche et l'Atlantique, ont été attribués par le gouvernement dans le cadre de l'appel d'offres dont les résultats ont été annoncés au début du mois. Ce sont EDF et Alstom qui les ont décrochés. En revanche le cinquième projet concerné par l'appel n'a pas trouvé preneur. Mais pour Jean-François Petit, ces projets ne suffiront pas à assurer le développement de la filière éolienne française. A ses yeux, "la France a besoin d'un deuxième appel d'offres rapidement pour asseoir sa filière et être ensuite en mesure d'exporter son savoir-faire". Maxisciences 19/04/2012
  16. Mardi, l'Organisation météorologique mondiale (OMM) a annoncé que plus aucun ouragan, cyclone ou tempête ne pourra être baptisé "Irène". Elle a décidé de retirer ce prénom de la liste à la suite des dommages considérables causés par l'ouragan Irène aux Etats-Unis et dans les Caraïbes en août dernier. C'est un prénom qui rappelle trop de mauvais souvenirs. En août 2011, l'ouragan dévastateur Irène accompagné de vents violents et de pluies torrentielles a causé des dégâts considérables dans les Caraïbes et sur la côte Est des Etats-Unis, faisant au total 49 morts. Parmi les victimes, 41 ont été recensées aux Etats-Unis, 5 en République Dominicaine et 3 en Haïti où le phénomène a porté un nouveau coup à cette région restée fragile. Au vu de telles conséquences, l'Organisation météorologique mondiale (OMM) a décidé de retirer le prénom "Irene" de la liste des noms potentiels. Plus aucun cyclone, ouragan ou tempête ne pourra donc être baptisé ainsi. Et le prénom "Irene" sera désormais remplacé par celui d'"Irma", a indiqué une porte-parole de l'OMM, Claire Nullis citée par Belga.be. Néanmoins, c'est loin d'être la première fois qu'un prénom est retiré la liste. C'est même une mesure courante dès qu'un phénomène climatique cause d'importants dégâts. Ainsi, depuis 1954, c'est la 76e fois que l'OMM procède au retrait d'un nom de la liste des ouragans et tempêtes tropicales qui se forment dans l'océan Atlantique. Selon les prévisions météorologiques américaines publiées au début du moins, la saison des ouragans qui s'étend du 1er juin au 30 novembre devrait être moins active que la moyenne. 10 tempêtes majeures sont cependant attendues et 4 d'entre elles pourraient donner lieu à des ouragans. Maxisciences 19/04/2012
  17. Début 22/02/2012 - Fin 27/04/2012 PETITION CLOSE : voir la nouvelle pétition plus loin. Merci. Cibles : A l'attention de M.Yoshihiko Noda 1er Ministre du Japon, Mr Christian Masset Ambassadeur de la France au Japon Chaque année, au Japon, 20 000 dauphins, marsouins, et petites baleines sont massacrés. À partir du 1er septembre et habituellement jusqu’au mois de mars de l’année suivante, des pêcheurs rabattent des familles entières de petits cétacés vers des baies peu profondes, où ils les noient et les poignardent à mort. Dans cette baie, qui fait partie d’un parc naturel national, se déroule ensuite un spectacle macabre. Les pêcheurs procèdent tout d’abord à un tri : les plus beaux spécimens sont sélectionnés dans le but d’être revendus à des delphinariums, à des prix pouvant atteindre jusqu’à 150 000 $. Mais que se passe-t-il pour les milliers d’autres dauphins capturés ? L’information peut surprendre… Ces derniers sont vendus pour leur viande, qui finit sur les étals des marchés, dans les restaurants japonais ou encore les cantines scolaires ! Un dauphin mort rapporte ainsi environ 600 $. Ce bain de sang dont les victimes sont des êtres intelligents et sensibles constitue un spectacle difficilement supportable. Les dauphins ne sont pas tués instantanément ni de manière humaine : ils sont extirpés de l’eau, tirés sur le macadam, puis égorgés vifs – leur agonie se prolongeant souvent de longues minutes. Chaque année, de part et d’autres des régions côtières du Japon, ce sont pas moins de vingt-trois mille dauphins qui sont ainsi tués pour leur chair. Tant qu’il y aura de la demande, ces massacres continueront. Par cette pétition nous demandons donc à Mr Yoshihiko Noda 1er Ministre du Japon ainsi qu'à Mr Christian Masset Ambassadeur de la France au Japon l'arrêt total des captures de dauphins pour les delphinariums et l'arrêt total du massacre. Complément d'informations sur le site de Sea Shepherd Mes Opinions.com avril 2012
  18. Accord conclu entre Kiev et Tokyo sur les catastrophes nucléaires Le Japon et l'Ukraine ont conclu un accord de coopération concernant les mesures à envisager au lendemain d'une catastrophe nucléaire. Suite à l'accident nucléaire de la centrale Fukushima Dai-ichi, en 2011, Tokyo a commencé à négocier, en janvier, un pacte de sécurité avec l'Ukraine, qui a elle-même subi la catastrophe de Tchernobyl en 1986. Le ministre japonais des Affaires étrangères Koichiro Gemba et le ministre ukrainien des Situations d'urgence Viktor Baloga ont donc signé un accord ce mercredi à Tokyo. Selon ce document, l'Ukraine s'engage à partager son expérience avec le Japon et les deux pays uniront leurs efforts et leurs connaissances à ceux de la communauté internationale. Le Japon et l'Ukraine partageront leurs informations sur l'impact de leurs catastrophes respectives sur la santé humaine et sur l'environnement, ainsi que sur les mesures à envisager à postériori. Des visites mutuelles sont par ailleurs prévues entre les chercheurs et ingénieurs des deux pays. NHK 19/04/2012
  19. Je ne retrouve plus la page de ce petit loulou. Mais je tiens à vous dire que le financement nécessaire et même plus est parvenu à l'asso qui a pris en charge COPERFIELD. De plus ce petit père a été adopté !
  20. Un grand merci à tous pour vos dons et Appels du Cœur ! Votre générosité va permettre à l'Ecole du Chat de la Vallée d'Auge de régler la facture liée à l'hospitalisation, l'opération et les soins du petit TIGROU, qui est actuellement en convalescence ! Encore merci pour votre soutien sans faille ! CLIC ANIMAUX mars 2012
  21. Un grand merci à tous pour votre mobilisation ! Vos dons et Appels vont permettre au CHEM de régler une partie des nombreux frais d'hospitalisation d'HELOISE : l'hébergement en box, la nourriture, les multiples médicaments, les pansements stériles, les radios, le vaccin, les injections sous garrot et les honoraires du maréchal ferrant. HELOISE POURSUIT SA CONVALESCENCE Merci pour HELOISE ! CLIC ANIMAUX avril 2012
  22. Un grand merci à tous pour votre mobilisation ! Vos dons et Appels du Coeur vont permettre à l'Ecole du Chat de la Vallée d'Auge de financer l'opération de FAIENCE, son hospitalisation de 3 semaines ainsi que ses antibiotiques. Nous savions qu'elle pouvait compter sur vous ! Merci encore pour votre soutien ! FAIENCE VA MIEUX DE JOUR EN JOUR ! CLIC ANIMAUX avril 2012
  23. Excellente nouvelle pour la petite QUEEN ! La personne qui la garde en famille d'accueil a finalement décidé de l'adopter définitivement ! Elle a ainsi tenu à assumer toutes les charges qui restent à financer pour QUEEN, soit 638 €. QUEEN va enfin connaître une famille aimante et attentionnée, ce qui lui avait fait défaut pendant de nombreuses années. Animal Aide Action tient à vous remercier pour votre soutien envers elle ! CLIC ANIMAUX avril 2012
  24. BELLA est une jeune Podenco de moins de 4 ans, qui provient du même refuge que Kinder, un autre jeune toutout, déjà présenté par Clic Animaux. Avec ses compagnons, elle a été sortie de ce «camp de la mort», anémiée, dans un état de dénutrition extrême, très affaiblie, apeurée et presque éteinte... Les conditions de vie du "pseudo refuge" situé à Bullas, dans la région de Murcia au sud de l'Espagne. Bullas, c'était un refuge comptant près de 120 chiens entassés sur un terrain. Ils n'avaient ni accès à l'eau, ni autre nourriture que les déchets de l'usine de chips voisine. Tous ces chiens n'étaient jamais soignés et n'avaient aucun abris pour se protéger du froid ou de la chaleur. Il est difficile de décrire l'état des chiens tant leurs conditions de détentions étaient ignobles : maladies, anémies, plaies infectées, peau couverte de milliers de tiques... Certains ont été retrouvés morts, le corps mangé en partie par leurs congénères... Au moment de l'inspection, les gardes civils ont trouvé jusqu'à 7 chiens morts dans les installations. Dans le cadre d'une procédure judiciaire, le refuge a été démantelé et les autorités ont accepté, sous la pression des associations, de sortir les chiens. Elles ont donné 24h pour cette opération. A l'issue de ce délai, les chiens encore sur le terrain y resteraient définitivement. Bien organisé et coordonné par l'association espagnole Pro-Setter, ce sauvetage a été un succès, et tous les chiens sont dehors et soignés. Bella chez le vétérinaire : Photo Clic Animaux / APDA Après toutes ces horreurs subies, BELLA a besoin de vous pour s'en sortir ! Conduite en urgence chez le vétérinaire, celui-ci a constaté qu'elle était très anémiée, ne pesant que 9,5 kg, soit moitié moins que le poids moyen d'un podenco. De plus, BELLA était couverte de tiques et souffrait de nombreuses escarres et blessures en divers endroits du corps. Le vétérinaire lui a également diagnostiqué une hernie de l'aine, qui doit être opérée. Après analyses, il s'est avéré que BELLA était positive à l'ehrlichiose canine, qui est une maladie parasitaire transmise par les tiques. BELLA a donc été traitée essentiellement avec des antibiotiques adaptés à sa maladie, notamment de la Doxycycline, et a reçu une injection d'Ivomec, pour lutter contre les tiques. On lui a également administré des multivitamines, de l'amoxicilline et du prednizone. BELLA a aussi été lavée et déparasitée : on lui a retiré des poignées de tiques, dont elle était infestée... « 120 chiens entassés, sans eau, sans soins, sans abri et sans autre nourriture que des déchets... » Photos APDA / Clic Animaux Les premiers jours après son sauvetage, BELLA était tellement faible qu'elle ne pouvait presque plus se relever seule... Elle était à la limite de ses forces ! Photos APDA / Clic Animaux Aujourd'hui, elle récupère très lentement et a repris un peu de poids. Malgré tout, elle n'est toujours pas en état d'être opérée de sa hernie. En effet, son état de santé actuel ne lui permet pas de supporter une intervention aussi lourde. Dans tous les cas, celle-ci sera programmée dès que possible. Photos APDA / Clic Animaux Cette intervention est indispensable. Si cette hernie n'est pas opérée, il y a un gros risque d'étranglement d'une partie de l'intestin et de la vessie, en plus d'un risque d'occlusion intestinale. APDA fait appel à votre générosité pour faire face aux frais vétérinaires, comprenant le traitement, l'anti-puce, le vermifuge, les piqûres, les médicaments, les soins et la future intervention chirurgicale. Comme pour KINDER, nous savons que les clicoeurs vont répondre à cet appel de détresse pour la pauvre BELLA, victime innocente de la cruauté humaine ! A nous tous, nous pouvons lui permettre de se faire opérer et lui donner une nouvelle chance ! 400 euros sont nécessaires pour cela ! Merci à tous pour votre soutien ! Fondée en 2011, l'association APDA - Agir Pour le Droit Animal : lire la suite CLIC Animaux 18/04/2012
  25. Un ver marin s’alimente avec du monoxyde de carbone et du sulfure d'hydrogène à l'aide de bactéries symbiotiques. Dans une étude publiée dans les Proceedings of the National Academy of Science, des scientifiques du département de microbiologie marine de l'Institut Max Planck du département de microbiologie marine (Allemagne) révèlent le menu toxique d’un petit ver marin qui vit dans les sédiments sableux de la côte de l’île d’Elbe. Le ver, Dans une étude publiée dans les Proceedings of the National Academy of Science, des scientifiques du département de microbiologie marine de l'Institut Max Planck du département de microbiologie marine (Allemagne) révèlent le menu toxique d’un petit ver marin qui vit dans les sédiments sableux de la côte de l’île d’Elbe. Le ver, Olavius algarvensis, est capable d’affronter un environnement où l’approvisionnement alimentaire est rare et peu comestible pour la plupart des êtres vivants : du monoxyde de carbone et d'hydrogène sulfuré. Il peut prospérer malgré ces poisons grâce à des millions de bactéries symbiotiques qui vivent sous sa peau. Elles utilisent l'énergie extraite du monoxyde de carbone et du sulfure d'hydrogène pour produire de la nourriture pour ce dernier. «Elles le font de façon si efficace que le ver a perdu son système digestif entier, y compris la bouche et l'intestin, au cours de l'évolution et ne se nourrit que grâce à ses symbiotes», explique Nicole Dubilier, du Groupe Symbiose à l’Institut Max Planck. Olavius algarvensis a aussi d'autres trucs dans son sac qui lui permettent de survivre dans son environnement pauvre en nutriments : contrairement à la plupart des animaux, qui ne sont pas capables de recycler leurs déchets et doivent les excréter, le ver peut les utiliser. Encore une fois grâce à ses microbes symbiotiques qui recyclent les produits qui contiennent encore beaucoup d'énergie mais qui ne sont plus d'aucune utilité pour le ver à leurs propres fins. Du coup, ce ver a pu non seulement réduire son système digestif mais il a également perdu ses reins. «Ce ver nous fournit un exemple de la puissance de l'évolution. Il constitue un excellent modèle pour une meilleure compréhension des autres symbioses complexes, tels que celles de l'intestin humain », conclut Nicole Dubilier. Sciences et Avenir 18/04/2012
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