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BelleMuezza

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  1. Le parquet de l'Etat de Rio a déposé mercredi une plainte devant la justice contre le géant pétrolier américain Chevron et 17 cadres pour "atteinte à l'environnement", après une fuite de brut survenue fin 2011 sur une de ses installations au large de Rio. "Les poursuites se basent sur les conclusions de l'enquête policière de l'accident du 7 novembre 2011 qui s'est produit parce que les accusés n'ont pas respecté tous les protocoles de sécurité", a déclaré le procureur général de l'Etat Eduardo Santos de Oliveira lors d'une conférence de presse. "Ces accusations sont exagérées et non fondées (...) Chevron défendra vigoureusement la compagnie et ses employés", a réagi l'entreprise américaine dans un communiqué affirmant "avoir collaboré de façon transparente et totale avec les autorités brésiliennes concernées". Chevron nie un quelconque "impact sur la vie marine" de la région et un quelconque "risque à la santé des être humains". Le ministère public de l'Etat de Rio a déposé une plainte contre Chevron et l'entreprise Transocean contactée pour perforer le puits et 17 cadres pour atteinte à l'environnement et dommages infligés au patrimoine public après la fuite survenue en novembre. A l'époque, au moins 2.400 barils de brut s'étaient déversés dans l'Atlantique, dans le bloc Campo do Frade, à 370 km au nord-est des côtes de Rio. Le 4 mars dernier, une nouvelle fuite a été détectée à 3 km de la première et à près de 1.300 m de profondeur, déclenchant la suspension des activités de Chevron au Brésil. Selon le procureur, les peines demandées dans les poursuites "vont jusqu'à 31 ans et 10 mois de prison" pour cinq des 17 accusés dont le directeur de Chevron, l'américain George Raymond Buck, qui répondront en outre d'accusations "d'entrave à l'action de la justice", de "présentation d'un plan d'urgence erroné" et de "falsification des documents présentés aux autorités". Cette fuite de brut "a affecté tout l'écosystème marin, ce qui pourrait mener à l'extinction de certaines espèces et a eu un impact sur l'activité économique de la région", a souligné le procureur Santos de Oliveira. Ce dernier a demandé à la justice de "geler tous les biens" des accusés --onze responsables de Chevron, cinq de Transocean et un expert environnementaliste-- et d'infliger une amende d'un million de reais (environ 415.000 euros) à chaque inculpé et de 10 millions de reais (environ 4,15 millions d'euros) à chaque entreprise. "Ces mesures visent à avoir la certitude que les accusés, en majorité étrangers, ne quitteront pas le pays. L'argent de l'amende ne leur sera pas rendu et servira à payer les dommages causés", a-t-il précisé. Le 16 mars, la justice brésilienne avait déjà sommé ces 17 cadres -cinq Américains, cinq Brésiliens, trois Australiens, deux Français, un Canadien et un Anglais- de remettre leur passeport aux autorités brésiliennes. Le secrétaire de Rio à l'environnement, Carlos Minc, a prévenu mercredi qu'il n'y aura "pas d'impunité" pour les compagnies étrangères de pétrole qui opèrent au Brésil. "Nous voulons donner un message au monde (...) Il n'y aura pas d'impunité. Si les compagnies (étrangères) ont la meilleure technologie, prennent toutes les précautions, elles seront les bienvenues ici, sinon non! Nous devons donner un exemple avec Chevron", a déclaré M. Minc. A ce jour, Chevron n'a toujours pas payé "un seul centime" des deux amendes de 100 millions de reais (près de 42 millions d'euros) qui lui ont été infligées après l'accident de novembre, a-t-il précisé. Sciences et Avenir 22/03/2012
  2. La CITES, une organisation affiliée à l'ONU chargée de la protection des espèces en danger, a demandé mercredi que certaines espèces aquatiques, comme les coraux, les dauphins, les requins et les hippocampes, soient mieux protégés. Dans un communiqué, publié à l'issue d'une réunion du Comité animaux de la CITES à Genève, l'organisation a indiqué qu'elle s'était surtout penchée sur les espèces aquatiques, avec 150 experts réunis du 15 au 20 juin. Ces experts ont recommandé des quotas d'exportation "prudents" pour certaines espèces comme les hippocampes d'Asie du Sud-Est, les coquillages géants du Pacifique, et les esturgeons de la mer Caspienne. En outre, le comité a recommandé que les exportations de dauphins vivants des Iles Salomon soient limitées à 10 par an. Le comité a également examiné le commerce de serpents et de tortues en Asie, celui des reptiles à Madagascar et celui des scorpions et d'oiseaux africains. A ce propos, des experts ont fait part de leur inquiétude concernant le commerce de certains oiseaux, comme les grues royales dans des pays africains. Entre 2000 et 2010, environ 1.300 grues ont été vendues. Des recommandations ont été adoptées pour protéger la population des grues en Guinée, au Nigeria, au Rwanda, au Soudan, au Soudan du Sud, en Tanzanie et en Ouganda. Le comité animaux du CITES est chargé de l'aspect technique et scientifique pour assurer la survie de plus de 4.500 espèces d'animaux, parmi lesquels les esturgeons producteurs de caviar et les reptiles dont les peaux servent à fabriquer des produits de luxe. Sciences et Avenir 21/03/2012
  3. La CITES, une organisation affiliée à l'ONU chargée de la protection des espèces en danger, a demandé mercredi que certaines espèces aquatiques, comme les coraux, les dauphins, les requins et les hippocampes, soient mieux protégés. Dans un communiqué, publié à l'issue d'une réunion du Comité animaux de la CITES à Genève, l'organisation a indiqué qu'elle s'était surtout penchée sur les espèces aquatiques, avec 150 experts réunis du 15 au 20 juin. Ces experts ont recommandé des quotas d'exportation "prudents" pour certaines espèces comme les hippocampes d'Asie du Sud-Est, les coquillages géants du Pacifique, et les esturgeons de la mer Caspienne. En outre, le comité a recommandé que les exportations de dauphins vivants des Iles Salomon soient limitées à 10 par an. Le comité a également examiné le commerce de serpents et de tortues en Asie, celui des reptiles à Madagascar et celui des scorpions et d'oiseaux africains. A ce propos, des experts ont fait part de leur inquiétude concernant le commerce de certains oiseaux, comme les grues royales dans des pays africains. Entre 2000 et 2010, environ 1.300 grues ont été vendues. Des recommandations ont été adoptées pour protéger la population des grues en Guinée, au Nigeria, au Rwanda, au Soudan, au Soudan du Sud, en Tanzanie et en Ouganda. Le comité animaux du CITES est chargé de l'aspect technique et scientifique pour assurer la survie de plus de 4.500 espèces d'animaux, parmi lesquels les esturgeons producteurs de caviar et les reptiles dont les peaux servent à fabriquer des produits de luxe. Sciences et Avenir 21/03/2012
  4. Potentiellement riches en gaz de schiste, les pays d'Europe de l'Est sont divisés face à l'exploitation de cette source d'énergie non conventionnelle: du soutien total de la Pologne à l'interdiction par la Bulgarie de leur technique d'extraction controversée. La fracturation hydraulique consiste à injecter à haute pression dans le sol d'énormes quantités d'eau additionnées de sable et d'additifs chimiques pour extraire le gaz. Trois Polonais sur quatre se déclarent favorables aux projets d'exploration. Selon un rapport de l'Institut national de Géologie (PIG), ce pays dispose de gisements exploitables évalués à 1.920 milliards de mètres cubes au maximum, estimation qui le place en troisième position parmi les pays européens riches en gaz, derrière la Norvège et les Pays-Bas. Varsovie a délivré une centaine de concessions d'exploration, y compris à des géants tels que Chevron, Exxon Mobil et ConocoPhillips. En Roumanie, Chevron dispose de concessions dans deux régions. Le Canadien Sterling Resources et le Hongrois Mol sont aussi sur les rangs. En République tchèque, les sociétés britanniques Hutton Energy et Cuadrilla ont obtenu un aval pour des tests mais le ministre de l'Industrie Martin Kuba est sceptique quant à l'importance des gisements. La Bulgarie a de son côté interdit en janvier la fracturation hydraulique et retiré à Chevron une première autorisation, évoquant "l'insuffisance de données garantissant la protection de l'environnement". Des milliers de Bulgares avaient manifesté à travers le pays, exprimant leurs craintes de voir la terre et les eaux souterraines empoisonnées. Le géologue Mihai Saramet de l'Université roumaine de Iasi partage une partie de leurs inquiétudes, notamment sur le risque de provoquer des tremblements de terre par la fracturation mais estime que les risques pourraient être graduellement éliminés avec les progrès de la technologie. Sciences et Avenir 22/03/2012
  5. Dix ans après sa réintroduction en Allemagne, le loup n’est pas une menace pour les troupeaux, affirme une étude. Comme en France, le loup fait un timide retour en Allemagne. Retour qui là-bas aussi suscite l’inquiétude des éleveurs et bergers qui craignent pour leurs troupeaux. Des chercheurs de l'Institut de recherche Senckenberg à Görlitz ont étudié les habitudes alimentaires des loups depuis leur réapparition, soit une petite dizaine d’années. A cet effet, les scientifiques ont prélevé des échantillons de plus de 3000 excréments pour avoir une idée plus précise de son régime alimentaire. En utilisant cette information, complétée par l’analyse des restes de proies, les zoologistes ont pu déterminer l'apport nutritionnel des carnivores dans le détail. Il en ressort que les ongulés sauvages représentent plus de 96% des proies des loups. La majorité d'entre eux sont des chevreuils (55,3%), des cerfs rouges (20,8%) et des sangliers (17,7%). Il y a ensuite 3% de lièvres et « seulement moins de 1% des proies sont des bêtes domestiques » ajoute Hermann Ansorge, dans la revue Mammalian Biology. « Aussi longtemps que les moutons et les autres animaux d'élevage seront bien protégés et qu’il y a un approvisionnement suffisant d'animaux sauvages, les loups ne risqueront pas une confrontation avec les clôtures électriques et les chiens de bergers » poursuit le scientifique. A leur arrivée, en provenance de Pologne, les loups consommaient principalement des cerfs rouges. Les chevreuils se révélant des proies plus faciles, les loups ont progressivement modifié leur comportement de chasse. Ils se sont rapidement adaptés, en moins de deux générations, aux forêts allemandes. A l’heure actuelle, on y dénombre neufs meutes de loups avec environ 34 juvéniles. Hermann Ansorge résume le résultat de l’étude : « le potentiel de conflit entre l’homme et le loup est très faible. Il n'y a vraiment rien qui puisse justifier de craindre le retour de cet animal. » Sciences et Avenir 21/03/2012
  6. Les participants au prochain sommet sur la sécurité nucléaire en Corée du Sud ont l'intention de redoubler d'efforts contre le terrorisme nucléaire et pour assurer la sûreté des réacteurs. Ce sommet se tiendra la semaine prochaine dans la capitale sud-coréenne, Séoul. Le Japon, les Etats-Unis, la Chine et 50 autres pays y prendront part. L'ébauche du communiqué joint indique que les dirigeants présents au sommet considèrent le terrorisme nucléaire comme la plus grave menace pesant sur la sécurité mondiale. Tous les pays doivent selon lui s'engager à empêcher les entités malveillantes, telles que les organisations terroristes, d'accéder aux équipements nucléaires. Citant l'accident de Fukushima Dai-ichi, le communiqué souligne également la nécessité d'assurer la sûreté des réacteurs nucléaires et notamment le niveau de préparation en cas d'accident. NHK 22/03/2012
  7. L'Agence internationale de l'énergie atomique annonce avoir entamé des discussions avec la Corée du Nord concernant les modalités de contrôle du moratoire prévu sur ses activités d'enrichissement d'uranium. A ce jour, l'AIEA semble poursuivre les discussions malgré l'annonce nord-coréenne du lancement d'une fusée, qui a provoqué de vives réactions à l'étranger. Des sources proches de l'agence ont révélé mercredi que les discussions ont débuté après que l'AIEA a reçu, mercredi, une invitation à mobiliser ses inspecteurs en Corée du Nord. Aucun détail n'a toutefois filtré sur la teneur des entretiens. Le directeur de l'AIEA, Yukiya Amano, avait auparavant annoncé qu'il pourrait éventuel-lement se rendre, si besoin est, en Corée du Nord. L'invitation nord-coréenne coïncide avec l'annonce du lancement d'une fusée porteuse de satellite, qui a susité une vive réaction des Etats-Unis et des pays alliés, Pyongyang s'étant engagée à interrompre les tirs de missile et l'enrichissement d'uranium en échange d'une aide alimentaire américaine. NHK 22§03/2012
  8. Un de mes contacts et amis sur Facebook a eu l'idée de poster des photos d'animaux pour faire un hommage aux mamans animaux, une manière de fêter la fête des mères du monde animal... Des photos sublimes et pour certaines touchantes. CLIQUEZ ICI pour voir les photos photo credit: ~younghappy photo credit: timnolan photo credit: nationalgeographic photo credit: Nathan Rupert photo credit: Darrell Ybarrondo Et bien d'autres photos toutes plus belles les unes que les autres... The Wondrous Design Magazine mars 2012
  9. Mobilisation pour les médecines naturelles Les médecines naturelles sont victimes de persécutions qui semblent n'avoir qu'un seul but : que vous et moi n'ayons plus d'autre option que les médicaments chimiques produits par l'industrie pharmaceutique. Peu importent les résultats sur notre santé : Au début des années 2000, le taux de prise en charge par la Sécurité sociale des produits homéopathiques est passé de 65 à 35 % ; il est question maintenant de le réduire à zéro. C'est déjà quasiment acté en Angleterre, où la British Medical Association (BMA) a demandé l'arrêt de la mise à disposition des patients de produits homéopathiques par le système de santé (NHS). L'ostéopathie, elle, malgré des millions de personnes soulagées de leurs douleurs, y compris des ministres, n'a jamais été remboursée, et ce n'est pas demain qu'elle le sera : jusqu'en 2008, notre « Académie nationale de médecine » traitait les ostéopathes de « charlatans » sur son site Internet. Concernant la médecine par les plantes, ses jours sur notre territoire semblent comptés. Le diplôme d'herboriste a été supprimé sous Vichy (1941). La 5e République, elle, s'est chargée d'anéantir le commerce des plantes médicinales : aujourd'hui, ne demeurent à Paris, que quatre herboristeries, une centaine sur l'ensemble de la France. Il y en a 50 fois plus en Allemagne ou en Angleterre ! Et quant aux médecines orientales, c'est le nettoyage par le vide : il n'y plus aucune officine spécialisée en médecine chinoise à Paris. Mais le plus insupportable, c'est que cette destruction méthodique des savoir ancestraux concernant un aspect essentiel de nos vies se fait au nom du « progrès de la science » et de la « protection des malades » ! L’Agence Européenne du Médicament (European Medicines Agency) et l'Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (EFSA, European Food Safety Authority), habilement influencées par l'industrie pharmaceutique, a réussi ce tour de passe passe incroyable de faire passer les médicaments chimiques, y compris les plus toxiques, comme la seule approche rationnelle face à la maladie. Et alors que les scandales sanitaires se multiplient (Vioxx, Médiator, Buflomédil, prothèses PIP pour les plus récents...), elles prennent des mesures draconiennes visant à faire tomber l'immense majorité des produits naturels, y compris de simples vitamines, des oligo-éléments et des minéraux, dans la catégorie des médicaments. Cela signifie pour vous et moi qu'ils ne seront plus disponibles autrement qu'en pharmacie, et souvent même sur ordonnance, gonflant ainsi les profits de l'industrie pharmaceutique, du lobby médical mais en reportant le fardeau financier sur les patients comme vous et moi. Des centaines de petits producteurs s'apprêtent à se faire étrangler par ces décisions, qui ne reposent, le plus souvent, sur aucune argumentation scientifique. Nous ne devons plus accepter cette oppression, qui menace notre santé et plus encore celle de nos enfants. Nous sommes aussi en droit d’exiger – à minima - de nos candidats aux élections présidentielles qu’ils aient une vision pour notre système de santé et plus particulièrement en période de crise. Etant donné l’importance grandissante des médecines naturelles dans le cœur des Français, ne pourraient-ils pas à tout le moins favoriser la coopération entre les médecines ? Pourquoi refusent-ils encore d’accorder la moindre importance a un mouvement de fond qui depuis plusieurs dizaines d’années ne cesse de grandir ? Les médecines alternatives ont toute leur place en complément de la médecine officielle. Mais dans la campagne électorale, c'est comme si le problème de la santé publique n'existait pas. Le sujet ne fait tout simplement pas partie des propositions des candidats. Nous devons être des centaines de milliers à exiger qu'ils s'engagent à respecter notre droit à chacun de se soigner autrement. Si nous sommes des centaines de milliers, notre appel peut obliger les candidats à sortir de l'ambigüité, et à afficher clairement leur position. Rien ne peut justifier que les pouvoirs publics privent les citoyens de solutions naturelles, sans effets secondaires, qui peuvent soigner des maladies, en particulier dans les (nombreux) cas où la médecine allopathique n'a rien à proposer. Notre mobilisation est partie d'un mouvement spontané et généreux : en mars 2011, nous avons réuni 1,5 millions de signatures directive européenne THMPD, sur les remèdes à base de plantes médicinales. Nous avons rapidement pu rencontrer les responsables européens, puis commencer un travail de fond sur les législations à modifier, pour que le droit des patients soit respecté. Nous avons créé un institut à Bruxelles, l'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle (IPSN). Mais notre travail prend chaque jour un caractère d'urgence de plus en plus pressant : en ce moment même, l'Union Européenne prépare de nouvelles directives qui semblent faites pour briser les fabricants de compléments alimentaires naturels. Ces persécutions sont d'autant plus révoltantes que c'est dans le domaine des médecines naturelles que se font aujourd'hui les découvertes scientifiques les plus porteuses d'espoir pour les patients : Nutrithérapie, micronutrition, médecine orthomoléculaire, endothérapie, phytothérapie, médecine cellulaire, beaucoup de chercheurs s'accordent à dire que c'est là que se trouvent les gisements de connaissance d'où émergera la médecine de demain. → Des dizaines de médecins et chercheurs hors-normes ont ouvert des pistes prometteuses pour des maladies graves, et ont été étouffés. Nous devons les défendre. → On sait, aujourd'hui, que c'est en faisant preuve d'ouverture d'esprit qu'on retrouvera de réels espoirs de soigner les maladies comme le cancer, l'arthrose, le diabète, la maladie d'Alzheimer, la sclérose en plaques, Parkinson, les problèmes de prostate, les maladies cardiovasculaires ou encore la dépression et l'insomnie. Car contre toutes ces maladies et problèmes de santé, la vérité est que la médecine conventionnelle est démunie. Beaucoup de ses traitements ont des effets violents, qui peuvent parfois être pires que le mal. Peu de personnes le savent, mais vous avez aujourd'hui, dans un pays comme la France, cinq fois plus de risques de mourir des effets secondaires de vos traitements médicaux que d'un accident de voiture. On nous promet que cela va changer. Que de nouvelles molécules chimiques sont à portée de la main, pour peu qu'on investisse quelques milliards de plus dans la recherche. Mais la réalité est que, depuis dix ans, la recherche sur les nouvelles molécules chimiques piétine : l'écrasante majorité des nouveaux médicaments vendus à prix d'or par l'industrie pharmaceutique sont en fait des molécules naturelles qui ont été copiées et reproduites en laboratoire, dans le seul but de pouvoir être brevetées, et donc de garantir les superprofits des fabricants. Il n'y a là aucune préoccupation réelle du bien-être et de la santé des patients. C'est pourquoi nous devons être nombreux à signer l'Appel aux candidats à l'élection présidentielle. Nous leur demandons d'arrêter les législations favorables à l'industrie pharmaceutique, et les persécutions contre les fabricants de produits naturels (non brevetés, non remboursés). Votre signature donnera plus de poids aux actions entreprises par notre institut : Sensibilisation des élus : afin d'aider au vote de nouvelles lois plus équilibrées, nous travaillons sur les textes pour faire des propositions de réformes crédibles aux pouvoirs publics ; nous assurons une présence permanente auprès des législateurs, pour nous assurer qu'ils ont en main les bonnes informations pour décider. Action auprès de l'opinion publique : nous diffusons plusieurs fois par mois des informations dans plus de 710 000 foyers, sous forme de textes mobilisateurs ou de vidéos. Participation à des groupes de travail, colloques, assemblées : les représentants de l'IPSN travaillent en synergie avec de nombreuses organisations amies agissant aux niveaux français et européen ; cela implique de participer à de nombreuses rencontres, et d'assurer une présence aux événements majeurs ; Rencontres, colloques : l'IPSN est présent aux grands événements (Salon Marjolaine, Fêtes des Simples, Congrès de l'Alliance pour la Santé...). - Le 30 mars 2012, nous organisons à Paris un grand colloque avec le Professeur Henri Joyeux et le Docteur Bérengère Arnal, dans les locaux de l'Université de la Sorbonne sur la nutrition, première médecine. Toutes ces actions sont indispensables pour faire vivre l'idée que la santé naturelle a sa place dans notre société moderne, qu'elle est même indispensable. Mais seule votre participation aujourd'hui à l'Appel aux Candidats peut donner à nos revendications une légitimité démocratique. Nous avons besoin de votre soutien pour envoyer un message clair aux candidats à l'élection présidentielle : une immense masse d'électeurs leur demandent de s'engager à défendre le droit de chacun de choisir sa médecine, et d'arrêter de se ranger du côté de la grande industrie. Il vous est demandé à vous : citoyen responsable, de signer l'appel aux candidats maintenant/ Pour soutenir ce combat indispensable, merci d'apporter une contribution financière à notre association sans but lucratif. Car tout notre travail vital, nous le faisons sans la moindre subvention publique. Nous devons assurer toute la logistique indispensable à un mouvement d'envergure européenne comme le nôtre (bureau à Bruxelles, téléphone, secrétariat, site Internet...), et seule votre générosité peut y contribuer. Faire un don à notre association n'est bien sûr pas obligatoire : Après avoir signé votre Appel aux Candidats, vous serez redirigé sur une page où il vous sera proposé de faire un don sécurisé par Paypal à notre association. Vous pouvez choisir de contribuer... ou non. Et si vous le faites, c'est vous qui choisissez le montant, selon ce que vous jugerez raisonnable. PS : si vous hésitez à faire un don à notre association, il existe un autre moyen de nous soutenir. Vous pouvez vous abonner à Santé Nature Innovation, le mensuel sur les nouveaux traitements naturels validés par la recherche scientifique, et dix euros de votre abonnement seront reversés à notre association. Pour en savoir plus sur Santé Nature Innovation, cliquez ici. Source : email reçu de http://institut-protection-sante-naturelle.eu/newsletter/2012-lipsn-entre-en-campagne/ 20/03/2012
  10. MOBILISATION pour les MEDECINES NATURELLES Appel aux candidats à l’élection 2012 CLIQUEZ ICI pour participer à cet APPELMadame, Monsieur, Vous avez choisi de vous présenter devant le peuple français pour les élections présidentielles 2012. Un des plus graves enjeux auquel vous serez confronté, si vous êtes élu, est la faillite de notre système de santé, qui est en train de toucher ses extrêmes-limites, après des décennies de « tout médicaments chimiques et antibiotiques » et de scandales sanitaires (Médiator, Buflomédil, prothèses PIP pour les plus récents). Dans le même temps, les médecines naturelles, elles, ont été victimes de restrictions toujours plus fortes, limitant de façon dramatique le droit des citoyens de se soigner autrement. C’est pourquoi, Madame, Monsieur, je souhaite connaître vos positions précises sur les médecines alternatives. Pour pouvoir décider de mon vote, je vous demande en particulier de vous engager à : •stopper l’inflation législative et réglementaire contre les médecines naturelles au niveau européen ; •abroger d’urgence la directive THMPD d’avril 2011 contre les médicaments à base de plantes ; •arrêter les persécutions contre les médecins et chercheurs qui cherchent – et trouvent – des solutions hors des sentiers battus de la médecine conventionnelle ; •Laisser les mutuelles décider librement du remboursement des médecines naturelles (consultations et produits naturels, dans le cadre d’un traitement) ; •Adopter les 5 mesures pour sauver l’herboristerie en France portées par les herboristes et l’IPSN. Je vous demande enfin de noter que nous sommes des centaines de milliers de citoyens, avec l’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle, à Bruxelles, à nous mobiliser pour défendre le droit de chacun de choisir sa médecine. CLIQUEZ ICI pour participer à cet APPEL www.institut-protection-sante-naturelle.eu - 253A Chaussée de Wavre – 1050 Bruxelles Association sans but lucratif conforme à la loi du 27 juin 1921. Si vous souhaitez davantage d’informations sur l’Appel 2012 ou sur l’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle, merci d’écrire à : [email=contact@protectiondelasantenaturelle.com ]contact@protectiondelasantenaturelle.com [/email] IPSN 20/03/2012
  11. Aujourd'hui, au 21e siècle, les éléphants d'Asie continuent d'être exploités dans des conditions difficiles et inhumaines pour le trekking, la mendicité, les camps de touristes, les zoos, les cirques, l'élevage en captivité et présents ou enfermés dans les temples à travers le Vietnam, Thaïlande, Mayanmar, l'Indonésie, le Sri Lanka et en Inde. Dans toute l'Asie, les éléphants d'Asie sont capturés dans leur habitat sauvage et transformés en esclaves "sous contrat". Elephant Advocacy La popularité des cirques, festivals, les promenades à dos d'éléphants (trekking), la peinture d'éléphant et la mendicité, alimentent l'industrie du tourisme international ! Si vous vous rendez ou comptez vous rendre dans l'un de ces pays : soyez un touriste éclairé et ayez un peu de compassion à l'égard de ces créatures.... En Asie Les éléphants qui "travaillent" dans le tourisme ont probablement été capturés dans la nature impliquant leur enlèvement (arrachement) brutal de sa famille... souvent leur mère ou nourrice qui cherche à les protéger sont tuées... Les jeunes éléphants sont ensuite vendus et achetés par l'intermédiaire du commerce illégal des éléphants. Les camps d'éléphants sont connus pour forcer les éléphantes à à procréer et élever les éléphanteaux par des méthodes inhumaines et cruelles dans le but de vendre les petitsveaux à des particuliers ou des entreprises pour l'industrie du tourisme. La "Formation" des éléphants au travail que ce soit pour l'industrie du tourisme ou autres, passe par l'application de traitements entrainant de la douleur, l'isolement, de longues périodes d'enchaînement pour briser la résistance de l'éléphant. Les méthodes utilisées sont souvent brutales et cruelles. En montant sur un dos d'éléphant, en regardant les éléphants dans la rue exécuter quelques tours, en les photographiant dans les temples, les touristes, sans le savoir, entretiennent et encouragent cette industrie inhumaine ! et condamnent à une existence cruelle les éléphants d'Asie à travers toute l'Asie. Pour plus d'informations sur l'industrie du tourisme des éléphants d'Asie, visitez le site : http://www.elemotion.org/~~V http:// D'autres sites à voir : http://www.elephantphotographer.com/ http://www.adoptingelephants.org/ Facebook 20 mars 2012
  12. Le 19 décembre 2011 : Pian Shankong, un artiste de 40 ans, en sous-vêtements, s'accroupit dans une cage pour chiens en face d'une boucherie de chiens dans un marché de gros à Guiyang, dans la province de Guizhou, capitale du Sud-Ouest de la Chine la province du Guizhou. Cette action a pour but d'exhorter les gens à ne pas manger les chiens. Depuis l'année dernière, Pian a voyagé en de nombreux endroits dans les provinces du Yunnan et du Sichuan, en Chine du sud-ouest, afin d'appeler le public à aimer les animaux... Photo PCP Facebook 20 mars 2012
  13. Journée de recueillement pour les victimes du tsunami à l'occasion de l'Equinoxe du printemps Dans les régions côtières du nord-est de l'Archipel nippon dévastées par les catastrophes de mars 2011, les habitants se rendent dans les cimetières pour se recueillir sur les tombes des victimes. Ce 20 mars, jour de l'Equinoxe du printemps, est traditionnement l'occasion pour les bouddhistes japonais d'aller prier sur la tombe de leurs parents et ancêtres. -----> Cette tradition est à rapprocher de celle pratiquée par les rites chrétiens qui honorent la mémoire du souvenir des défunts le 1er novembre... NHK 20/03/2012
  14. En plus des clics et du covoiturage, Urgences Animaux propose aussi une autre forme d'aide : accepter de recevoir certains emails publicitaires sélectionnés au préalable pour participer "gratuitement" à des actions en faveur d'associations ou refuges. Par exemple, en ce moment : 950€ sont nécessaires pour la construction de 2 boxes pour les chiens de l'Association Handichats36 http://handichats36.canalblog.com/ . Il y a deux autres opérations en cours... Cliquez sur l'image pour accéder directement au site : Cette opération est aussi présentée comme programme de fidélité... Personnellement je n'ai pas encore choisi ce principe tant que je n'aurai pas d'infos supplémentaires, notamment sur la fréquence et la quantité des envois. Tous ces sites font partie du groupe PETS UA.
  15. Le site Urgence Animaux propose aussi un service de covoiturage : cliquez directement sur l'image pour accéder au site... Toujours utile d'avoir sous la main un site de covoiturage, surtout quand il s'agit de déplacer des animaux lorsqu'une personne n'a soit pas le permis, soit pas de voiture... ou que son état de santé l'empêche de faire de trop longs trajets... Pour info : il existe aussi une aide au covoiturage sur le site de Protection des animaux.org...
  16. Comme pour ActuAnimaux et ClicAnimaux : Urgence Animaux vous propose de cliquer en faveur des animaux présentés via une fiche ... Le principe ressemble un peu beaucoup à ActuaAnimaux puisqu'il est aussi proposé de visionner des vidéos ou de la pub pour engranger davantage d'argent... toujours en faveur des animaux... D'après ce que j'ai vu, le nombre de clics est limité à 4 par fiche... Le site propose aussi d'aider des associations ou refuges en difficultés, comme c'est le cas en ce moment pour le refuge SPA de RODEZ, les Chats de Lanvaux.... Comme pour les autres sites mentionnés, il est possible de s'inscrire sur celui d'URGENCE ANIMAUX pour recevoir un rappel journalier et les news du site. Faites comme moi, inscrivez-vous et venez cliquer pour contribuer à sauver encore plus d'animaux... tous les jours... Cliquez sur l'image pour accéder directement au site... Pensez à aller cliquer aussi souvent que possible, tous les jours étant le mieux, sur ce site d''entraide solidaire... URGENCE ANIMAUX 2012
  17. Chasser l'ours polaire pour 60.000 euros au Canada Certains Chinois fortunés ne semblent pas se préoccuper de la sauvegarde de certaines espèces. Une agence de voyages propose d'organiser des safaris, non pas en Afrique, mais au Canada. Au programme figure notamment la chasse à l'ours polaire. Alors que de plus en plus d'organisations alertent sur l'avenir des espèce menacées telles que les ours polaires, c'est une information surprenante que révèle le quotidien Daily Mail. Certains clubs de chasse en Chine proposent à leurs membres un safari au Canada... avec chasse à l'ours polaire à la clé. Pour la coquette somme de 60.000 euros, les Chinois peuvent ainsi passer 10 jours sur la banquise et se voient accorder pour cette durée un permis de chasse délivré par le gouvernement canadien et les services de trappeurs locaux. Munis d'un fusil et formés à s'en servir, ils peuvent alors entamer leur chasse, mais n'ont le droit de tuer qu'un seul mâle. But de l'opération : la quête du trophée. Autrement dit, l'animal est chassé uniquement pour sa tête et sa fourrure tandis que sa viande est abandonnée sur la banquise. Néanmoins, il est obligatoire de les "chasser avec un attelage de chiens, ce n'est pas mécanisé. Et vous devez être accompagnés d'un guide Inuk", précise Glen Williams, consultant de la faune pour Nunavut Tunngavik Inc. au site 24hMontreal. Ce spécialiste ne voit d'ailleurs objection à cette initiative de voyage soulignant que "les ours polaires ne sont pas en danger au Canada et sont probablement l'espèce animale la mieux contrôlée du pays". En effet, la chasse à l'ours polaire fait l'objet de quotas sévèrement surveillés et est très encadrée, en particulier via l'Accord International sur la conservation des ours blancs et leur habitat passé entre le Canada, la Russie, les États-Unis, le Danemark et la Norvège en 1973. Le pays autorise ainsi les chasseurs locaux mais aussi étrangers à tuer les ours polaires, uniquement comme moyen de subsistance, et selon des quotas attribués. Reste que ces safaris font appel à tout sauf un besoin de subsistance. A l'issue de leur voyage, les participants repartent avec de nombreux souvenirs qui incluent un album photo, un DVD de l'expédition et pire encore, un tapis confectionné avec la peau de l'ours chassé. Un fait qui ne dérange d'ailleurs pas non plus Scott Lupin, propriétaire de l'agence "I Love Hunting Club". Cité par Good-planet.info, celui-ci justifie : "lorsqu'un mâle rencontre une femelle avec ses petits, il tue généralement les oursons. Chasser les mâles représente un moyen d'aider les jeunes populations à grandir. Les défenseurs des droits des animaux le savent pertinemment mais refusent de l'admettre". "Et puis de toute façon, avec le changement climatique, ces ours vont de toute manière disparaître, alors autant les chasser", ajoute-t-il également. Voilà un témoignage qui en dit long sur le chemin qui reste à parcourir pour protéger la planète... Maxisciences 07/03/2012
  18. le Conseil d’Etat a demandé au ministre de l’Agriculture de faire procéder à un nouvel examen de la toxicité du Roundup Express, un désherbant du groupe américain Monsanto. En attendant, le Conseil d’Etat a annulé la décision de refus d’abrogation qui avait été prononcée. L’association Générations futures et l’agriculteur Jacques Maret ont obtenu gain de cause auprès du Conseil d’Etat qui a demandé au ministre de l’Agriculture de réexaminer la toxicité du Roundup Express. Ce désherbant de la firme d’agrochimie Monsanto est destiné au grand public. Ainsi, dans son texte, le Conseil d'Etat rappelle qu'il appartient au ministre de procéder à une évaluation complète des risques que ce produit peut présenter pour la santé humaine ou animale ou pour l'environnement. ... Pour l’association Générations futures et Jacques Maret, il s’agit d’un "événement considérable". Ils précisent dans un communiqué, en parlant du Roundup Express que "cette décision concerne tous les consommateurs et leurs enfants. En effet, le Conseil d'Etat considère, comme nous, que sa toxicité n'a pas été correctement évaluée, ce qui est particulièrement regrettable pour un produit vendu au grand public et utilisé dans les jardins des familles". Lire tout l'article : Maxisciences 08/03/2012
  19. Un zoo veut réveiller l'appétit sexuel de ses alligators avec... des tambours Les gardiens du zoo Maruyama de Sapporo au Japon ont eu l'idée de stimuler l'appétit sexuel d'un couple d'alligators dont la libido est en berne en leur faisant écouter un concert de tambours. C'est une idée pour le moins spéciale qu'ont eue les responsables du zoo Maruyama de Sapporo au Japon. Depuis plusieurs mois, ceux-ci s'inquiètent du manque d'appétit sexuel de Susu et Yoyo, un couple d'alligators que le parc abrite. Pour stimuler la libido des deux reptiles, les gardiens comptent ainsi leur organiser non pas un rendez-vous intime mais... un concert de grands tambours "taiko". En effet, ces instruments émettent des battements sourds qui ressemblent étrangement aux cris poussés par cette espèce avant le coït. "Après avoir entendu le son des tambours, la femelle Susu a poussé plusieurs cris, mais le mâle Yoyo n'a pas semblé intéressé" explique Hideaki Yamamoto, un des responsables du zoo de Sapporo cité par le Nouvel Observateur. "Nous pensons que les tambours ont fait leur effet. Nous espérons faire un nouvel essai pendant la saison des amours des alligators qui dure de février à mars", ajoute t-il encore. Néanmoins, le zoo n'en était pas à son coup d'essai en matière d'idée un peu spéciale. Dans le passé, les gardiens étaient déjà parvenus à favoriser la reproduction des reptiles en frappant sur... la vitre de leur enclos. Mais une autre solution doit être trouvée aujourd'hui car les animaux ont changé d'enclos. M. Yamamoto raconte : "le nouvel enclos construit l'an dernier est doté d'un écran épais en acrylique qui n'émet pas le son voulu. Le fait d'avoir migré dans un nouvel environnement peut avoir stressé les alligators, et coupé au mâle l'envie de s'accoupler". Jusqu'ici, le zoo a vu naitre trois alligators en 2001, un en 2008 et seize en 2009. Il espère ainsi, grâce à cette technique, que le carnet rose sera cette année de nouveau bien rempli. Maxisciences 11/03/2012
  20. Des grenouilles trouvées au Costa-Rica et envoyées dans un zoo britannique, y sont élevées pour que l’espèce puisse, à terme, être réintroduite dans son milieu naturel, où elle est devenue rarissime. Leur home anglais : le container où elles ont voyagé, moyennant de solides aménagements. Lithobates vibicarius, une grenouille de la famille des Ranidae, était considérée comme disparue jusqu’en 2005, date à laquelle une petite population a été retrouvée au Costa-Rica par des chercheurs du Muséum de Manchester. Des têtards ont alors été prélevés et envoyés au zoo de Chester (Cheshire, Royaume-Uni), afin que les amphibiens y soient élevés, dans l’espoir d’en réintroduire dans leur habitat d’origine en Amérique centrale. Mais au lieu de leur construire un enclos bien à elle, les responsables du zoo de Chester ont choisi de convertir les containers d'expédition où ont voyagé les grenouilles en ‘mini-forêts tropicales’. "Elles sont maintenues dans une unité de biosécurité (…). Ces grandes boîtes en métal ne sont pas idéales pour le maintien d'une température stable, de sorte qu'il a fallu beaucoup travailler sur l'isolation. Les tentes ‘bio’ que nous avons créées sont de petites forêts pluviales d'environ deux mètres carrés munies d'une pataugeoire", a expliqué Ben Baker, responsable du département d’herpétologie cité par la BBC. Celui-ci a poursuivi : "ce sont des enceintes en mailles fabriquées à partir de moustiquaires, qui permettent la libre circulation de l'air - ce qui est vraiment la clé pour faire prospérer cette espèce". Reste que les grenouilles se font tirer l’oreille pour se reproduire. Après plusieurs saisons infructueuses, le personnel du zoo espère que cette année sera la bonne, afin qu’un programme de réintroduction en milieu naturel puisse voir le jour. Maxisciences 11 mars 2012
  21. Selon une enquête menée par l'institut Harris, une grande majorité de Français place la pollution de l'eau en tête des priorités environnementales et s'inquiètent des menaces liées aux eaux usées non traitées. ... L'institut Harris a publié un sondage réalisé du 20 au 22 février auprès d'un échantillon de 1.226 personnes représentatives de la population âgée de 18 ans et plus. Sujet : les priorités d'actions environnementales en France. Selon cette enquête, 95% des personnes interrogées ont placé la pollution de l'eau en tête des priorités d'actions environnementales devant celle de l'air (94%). A côté, plus de huit personnes sur dix (88%) jugent l'extinction d'espèces animales et végétales et l'épuisement des énergies fossiles (87%) prioritaires. Mais le réchauffement climatique demeure également un sujet de préoccupation pour 84%. Les principales préoccupations se concentrent cependant sur la pollution de l'eau. En effet, une grande majorité des Français (96%) pense que les eaux usées si elles ne sont pas traitées, entraîneraient des maladies et menaceraient directement la survie des écosystèmes, d'après le sondage mené pour le SIAAP, le Service public d'assainissement de l'agglomération parisienne. En outre, l'eau figure parmi les ressources limitées pour plus de huit personnes sur dix alors que 14% pensent le contraire et estiment qu'il y en aura toujours suffisamment pour toute la planète. Ainsi, neuf Français sur dix (91%) disent faire attention à la quantité d'eau qu'ils utilisent chez eux mais huit français sur dix pensent qu'il faudrait agir sur les usages industriels et agricoles de l'eau pour faciliter l'assainissement des eaux usées. Par ailleurs, 65% des Français ignorent que le droit à l'accès à l'eau potable a été reconnu à l'échelle de la planète par l'ONU en juillet 2010. Ce qui n'empêche pas sept français sur dix de considérer que la France a un rôle à jouer dans la promotion du droit à l'eau potable et à l'assainissement au niveau mondial. Maxisciences 12 mars 2012
  22. Allié à six autres compagnies aériennes, le groupe Airbus a envoyé aux chefs des gouvernements français, allemand, britannique et espagnol, des courriers dans lesquels il dénonce la taxe carbone mise en place par l'Union européenne. Elle constitue selon elles, une réelle menace pour le secteur aérien. Déjà contestée par 26 des 36 membres de l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI), et notamment la Chine, les Etats-Unis et la Russie, la taxe carbone européenne suscite la colère et l’inquiétude des compagnies aériennes. Plusieurs d'entre elles, Airbus, British Airways, Virgin Atlantic, Lufthansa, Air France, Air Berlin et Iberia, se sont alliées pour dénoncer cette contribution entrée en vigueur le 1er janvier 2012. Comme l'a annoncé une source proche du dossier à l'AFP, ces six compagnies ont adressé des courriers aux chefs des gouvernement français, allemand, britannique et espagnol, dans lesquels elles expriment leurs craintes quant à l'impact que pourrait avoir cette taxe sur le secteur. Rappelons que la contribution, qui vise à lutter contre le réchauffement climatique, contraint toutes les compagnies opérant dans l'Union européenne à acheter l'équivalent de 15% de leurs émissions de CO2, soit 32 millions de tonnes représentant quelques 256 millions d'euros selon l'UE. "Nous contestons le caractère unilatéral de (la taxe européenne) et nous demandons la mise en place d'une discussion générale avec tous les acteurs concernés au sein de l'OACI, l'Organisation de l'aviation civile internationale", explique la source proche du dossier. Ces courriers ont été rédigés après l'annonce de possibles représailles de la Chine. Le patron d'EADS, Louis Gallois, a indiqué la semaine dernière que les commandes de 45 Airbus par des compagnies chinoises avaient été désapprouvées par le gouvernement chinois. "Nous ne croyons pas qu'une solution uniquement européenne soit appropriée", déclarait-il. D'après LesEchos.fr, la suspension de ces commandes d'Airbus par la Chine représenteraient une perte de quelque 12 milliards de dollars. Mais l'UE n'entend pas céder aux menaces et pressions. La présidence danoise de l'Union européenne a assuré que l'UE ne reviendrait pas sur la taxe carbone. Maxisciences 13/03/2012
  23. Mercredi à 19H08 heure locale, un séisme de magnitude 6,8 s'est déclenché sur la côte Est de l'île de Honshu au Japon. Les autorités ont mis en garde contre le risque de tsunami d'une hauteur maximale de 50 centimètres. Un an après le séisme et le tsunami dévastateur, la terre continue de trembler régulièrement au Japon. Mercredi à 19H08 heure locale, une secousse s'est produite au large de la côte Est de l'île de Honshu déjà touchée par la catastrophe en mars dernier. De magnitude évaluée à 6,8, le séisme s'est déclenché au fond de l'océan Pacifique à 293 kilomètres de la ville de Hachinohe. La profondeur de l'épicentre a été estimée à 26,6 kilomètres, d'après l'Institut de géophysique américaine (USGS). La secousse s'étant révélée assez forte, l'Agence météorologique japonaise a mis en garde contre un risque de tsunami d'une hauteur maximale de 50 centimètres pouvant toucher les côtes des préfectures d'Aomori, d'Iwate (nord-est) et du Hokkaïdo. Ainsi, elle a conseillé aux habitants vivant près de la côte d'évacuer provisoirement leurs maisons. Pour l'heure, aucun dégât n'a été répertorié et aucune grosse vague n'a déferlé sur les villes côtières. Maxisciences 14/03/2012
  24. A partir de demain 21 mars : le lapin Duracell en tournée pour encourager le recyclage des piles Dès le 21 mars, le fabricant Duracell lancera une campagne de sensibilisation nationale pour encourager les Français à recycler leurs piles. La tournée passera par quatre grandes villes de France : Lille, Paris, Lyon, Marseille. Sur le milliard de piles vendues chaque année en France, seules 36% d'entre elles sont recyclées quand les autres finissent à la poubelle. Pourtant, le recyclage permet de réutiliser environ 50% d’une pile et de lui donner une seconde vie. Elle se voit alors transformée en toits, en gouttières (moyennant 350 piles pour une gouttière en zinc), en robinets (125 piles), en couverts (1 fourchette pour 10 piles) voire en casseroles (75 piles). Mais elles peuvent aussi servir à fabriquer des matériaux de construction de route ou plots de circulation. Pour cela, encore faut-il déposer les piles dans les collecteurs prévus à cet effet qui leur assureront un voyage direct vers le centre de recyclage. Un geste qui se fait encore trop rare selon le fabricant Duracell qui a donc décidé de lancer une vaste campagne nationale de sensibilisation sur le sujet avec sa célébrissime icône : le lapin Duracell. Du 21 au 31 mars, le fabricant invite ainsi le grand public à rapporter ses piles et petites batteries rechargeables usagées sur son stand et à s’informer sur le recyclage d’une pile. Au total, la tournée fera quatre haltes : le 21 mars à Lille, place Richebé; le 24 mars à Paris, au Parc de la Villette ; le 28 mars à Lyon, place Antoine Jutard et le 31 mars à Marseille, au Centre Commercial La Valentine. En plus de rapporter les piles usagées, le public pourra aussi participer en famille à des ateliers pédagogiques et des animations originales, en présence du lapin Duracell. Ceux-ci permettront de comprendre tout en s’amusant le parcours de recyclage d’une pile grâce à des jeux de mémoire, quiz et concours. Ajouté à cela, "dans chaque ville, une famille aura la possibilité de gagner, après un tirage au sort, un week-end 'nature' pour 4 personnes. Pour participer à ce concours, il suffit de venir déposer ses piles usagées dans le bus Duracell, spécialement conçu pour l’opération et de s’enregistrer sur une borne digitale", explique Duracell dans un communiqué. Par ailleurs, afin de créer une véritable mobilisation autour du recyclage des piles, Duracell, soutiendra financièrement, dans le cadre du programme Environnement de la Fondation de France, le projet d’une association locale engagée dans des actions éco-citoyennes dans la région de la ville qui aura récolté le plus de piles. Maxisciences 14/03/2012
  25. Une étude française a donné une idée des mesures d’urbanisme qu’il faudrait développer pour pouvoir verdir Paris et mieux protéger les citadins face aux impacts du changement climatique sans faire exploser les prix de l'immobilier. Une étude française réalisée par l'économiste Stéphane Hallegatte et le spécialiste du climat Vincent Viguié, du Cired (Centre international de recherche sur l'environnement et le développement) a passé au banc d'essai les mesures d'urbanisme qui permettraient de "verdir" Paris. Parue dans la revue Nature Climate Change, l’étude propose ainsi un modèle informatique d’urbanisme plus "vert" en région parisienne. Nature Climate Change Vincent Viguié & Stéphane Hallegatte : Carte de la zone totale urbanisée de Paris scénario si rien n'est fait de, 2010 à 2030. Les objectifs évalués visaient à permettre un accès au logement, à réduire les gaz à effet de serre, à réduire les risques naturels et à lutter contre l'étalement urbain. Il s’agissait également de réduire la place de l’automobile et de mieux protéger les citadins face aux impacts du changement climatique. Comme l’explique M. Hallegatte cité par l'AFP, "en l'absence d'action spécifique, l'étalement urbain va se prolonger et on aura en 2030 encore plus de zones à basse densité de population qui dépendent de l'automobile". Mais la solution est relativement simple selon lui. Il suffirait "d'interdire toute nouvelle construction au-delà des limites de l'agglomération". Toutefois, les choses sont plus compliquées que cela dans la mesure où il n’y a déjà pas suffisamment de logements. De plus, le prix de l’immobilier flamberait. Les chercheurs y ont pensé. Le modèle développé propose ainsi la mise en œuvre simultanée des diverses mesures proposées. En effet, l’étude montre que c’est l'application combinée de trois politiques qui permet de régler les problèmes logistiques et sociétaux. Cela reviendrait à : interdire les constructions au-delà des limites actuelles de l'agglomération parisienne, établissant ainsi une "ceinture verte" ; développer les transports en commun (avec un tarif unique de 14 euros par mois) ; interdire les constructions en zone inondable, des inondations plus fréquentes étant attendues avec le réchauffement. Nature Climate Change Vincent Viguié & Stéphane Hallegatte : Conséquences d'une politique d'une ceinture de verdure, une amélioration des transports publics et une politique de zonage afin de réduire le risque d'inondation par rapport au scénario précédent. "Chacune des politiques compense les problèmes créés par les deux autres", relève Vincent Viguié. "Au niveau international, les négociations climat sont bloquées. A l'échelle nationale, le sujet a aussi du mal à avancer. Aujourd'hui, c'est vraiment au niveau des politiques locales qu'il revient de progresser" sur les questions environnementales, souligne Stéphane Hallegatte. Avec ces travaux, "on veut montrer que faire de l'environnement n'est pas forcément contradictoire avec l'accès au logement ou la qualité de vie", conclut l'économiste. Maxisciences 15/03/2012
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