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terrienne a répondu à un(e) sujet de terrienne dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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terrienne a répondu à un(e) sujet de terrienne dans ANIMAUX - Europe et autres continents
http://www.animal-societe.com/contribuez « La question du rapport entre l'Homme et l'animal a acquis, en une trentaine d'années, une importance sans précédent. » Ce sont les termes mêmes de Michel BARNIER lors de la présentation des Rencontres 'Animal et Société'. (lisibles sur le site ci-dessus.) Ce n'est pas un fossé, c'est un abysse qui est creusé entre ces termes généreux et la médiocrité des débats organisés. On y constate une disproportion impardonnable entre les représentants des élus et des administrations et ceux des associations dont le sigle, parfaitement inconnu devrait être accompagné : 1) de l'intitulé en clair, 2) des coordonnées de « courriel ». Un peu de transparence, Monsieur le Ministre : sur quels critères ces associations ont-elles été sélectionnées ? On y constate aussi un dossier de presse dithyrambique pour les affidés du Pouvoir tel que Jérôme BIGNON qui préside le 3ème groupe en tant que « président du groupe chasse » à l'Assemblée Nationale. sans doute pour garantir à ses amis chasseurs que le mot « chasse » ne sera jamais prononcé au cours des discussions. Nous nous interrogeons sur les raisons qui conduisent Monsieur le Ministre à vouloir conduire ces réunions en catimini ? Monsieur le Ministre de l'Agriculture et de la Pêche craindrait-il de faire des vagues dans une gouvernance qui n'en manque déjà pas ? De deux choses l'une, Monsieur le Ministre : ou vous croyez vraiment que « La question du rapport entre l'Homme et l'animal a acquis, en une trentaine d'années, une importance sans précédent » et alors il faut que ce débat de société devienne NATIONAL et ne reste pas confiné au sein d'anonymes officines. ou vous ne pensez pas ce que vous dites.. Certes, vous nous invitez à apporter notre contribution. mais au travers d'une page d'accueil aussi « accueillante » qu'une porte de prison avec un processus d'accès illisible.. pour apparemment décourager la meilleure volonté. C'est à nous, écologistes éthiques, radicaux et biocentristes de remuer ciel et terre pour donner à vos propos ci-dessus - dont nous partageons la pertinence - toute la notoriété souhaitable afin de faire de ces rencontres non seulement un débat de société mais un débat de civilisation. Un débat OUVERT SANS SUJET TABOU !!!!! Jean-Claude Hubert Biocentriste Secrétaire Général de la CVN pour une écologie radicale. -
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Les OGM, ça sert aussi à faire la guerre
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mardi 15 avril 2008 Stephen Hawking n'est pas un hurluberlu. Il est même sans doute le savant le plus célèbre du monde depuis que sa "Brève histoire du temps" s'est vendue à près de 10 millions d'exemplaires. Le 16 octobre 2001, il lançait, dans le Daily Telegraph, un avertissement d'une particulière gravité. "Si le 11 septembre a été quelque chose d'horrible, affirmait-il, il n'a pas menacé la survie de l'espèce humaine, comme le font les armes nucléaires. Mais, sur le long terme, je suis plus préoccupé par la biologie. Les armes nucléaires nécessitent de grandes usines, alors qu'on peut faire des manipulations génétiques dans un petit laboratoire. Il est impossible de contrôler tous les laboratoires du monde. Le danger est que, par accident ou volontairement, nous pouvons créer un virus qui nous détruira." En évoquant dans cette inquiétante déclaration la destruction de l'espèce humaine par un organisme génétiquement modifié, le physicien faisait écho à une préoccupation grandissante dans les milieux scientifiques et militaires : le génie génétique permet maintenant, en manipulant le génome des agents classiques de la guerre biologique - peste, maladie du charbon, tularémie, etc. -, de les rendre beaucoup plus dangereux qu'ils ne le sont déjà. Cette idée s'est définitivement imposée en décembre 1997, quand, dans un article de la revue scientifique Vaccine, des savants russes ont expliqué comment ils avaient modifié génétiquement une souche de maladie du charbon (Bacillus anthracis) de façon à la rendre insensible aux vaccins existant contre cette bactérie. C'est pendant le même mois de décembre 1997 que le président américain Bill Clinton eut l'occasion de discuter longuement avec Craig Venter, un éminent spécialiste du décryptage du génome humain : lors de ce dîner dans une résidence luxueuse d'une petite île de Caroline du Sud, racontent trois journalistes du New York Times dans leur livre Germs, Venter expliqua au président que la connaissance des génomes "pourrait être extraordinairement dangereuse si elle se retrouvait dans de mauvaises mains". "Clinton, ajoutent-ils, demanda si la variole pourrait être combinée avec un autre agent nocif pour la rendre encore plus menaçante. Venter répondit que c'était possible." Comment le génie génétique peut-il servir à mettre au point de nouvelles armes biologiques ? La liste des possibilités, décrite par les spécialistes, est désagréablement longue. On peut rendre pathogène une bactérie inoffensive et bien connue, telle Escherichia coli, en lui insérant des gènes de toxicité empruntés au génome de bactéries dangereuses. On peut modifier une bactérie pathogène, afin qu'elle ne soit pas reconnue par le système immunitaire ou que les vaccins existants soient inefficaces. On peut chercher à rendre l'agent insensible aux antibiotiques, ce qui rendrait la protection des populations ciblées difficile, voire impossible. Ces techniques sont déjà pratiquement maîtrisées. Les spécialistes voient encore plus loin, comme le relate un article cosigné par Claire Fraser, la femme de Craig Venter, dans Nature Genetics du 22 octobre 2001 : par exemple, la possibilité d'introduire un virus "silencieux" dans le génome d'une population donnée, virus qui serait réveillé ultérieurement par un signal chimique. "L'idée, explique David Sourdive, un spécialiste français de l'étude des génomes, est de réaliser une arme ciblée sur une population choisie et préalablement "marquée" par un virus." "En fait, dit un expert de la délégation générale pour l'armement, il n'y a rien en biologie qui ne soit transposable sur le plan militaire." Le décryptage et la publication des génomes deviennent une source d'inquiétude majeure : le danger est en effet que l'on puisse reconstituer le virus à partir de sa séquence, ou tout du moins repérer les zones de virulence, cloner ces gènes et les transférer dans un autre organisme. Le directeur du centre HKU Pasteur, Antoine Danchin, regrette ainsi que l'on ait publié la carte génétique du virus de la variole en 1992. "Ne pouvait-on imaginer, dit-il, que ce qui est simple pour des laboratoires bien outillés, reconstruire un virus à partir de sa séquence, l'est aussi pour des laboratoires mal intentionnés ?" "QUI A LE DROIT DE SAVOIR ?" Mais de telles voix sont isolées : en octobre dernier, le centre britannique Sanger a fièrement annoncé le décryptage du génome de Yersinia pestis, la bactérie responsable de la peste noire. Une publication diversement appréciée par les toxicologues, alors que des souches résistant à tout antibiotique ont été repérées à Madagascar. "Mais on ne peut pas ne pas publier les résultats, dit Michèle Mock, spécialiste de la maladie du charbon à l'Institut Pasteur. Et puis sur la base de quels critères déterminer qui a le droit de savoir ?" De nombreux spécialistes craignent davantage une autre forme de bioterrorisme : celle qui ciblerait l'agriculture. "Des armes tournées vers la production agricole seraient beaucoup plus efficaces, dit David Sourdive. D'abord, l'effet de déstabilisation d'une maladie agricole est garanti et bien connu : voyez par exemple ce qui s'est passé avec la fièvre aphteuse en 2001. Et puis l'agriculture est plus vulnérable parce qu'elle présente beaucoup moins de diversité génétique que les populations humaines." Le travail sur les maladies agricoles était déjà un des principaux programmes de recherche d'armes biologiques pendant la guerre froide, tant aux Etats-Unis qu'en URSS. Outre son efficacité, ce type de recherche présente un autre avantage : il est beaucoup plus discret. Comment distinguer un laboratoire agronomique d'un laboratoire militaire ? Enfin, les OGM agricoles présentent certains points communs avec les agents bactériologiques militaires : ainsi la bactérie Bacillus thuringiensis, qui est un des outils les plus utilisés par les firmes de biotechnologie végétale, est un cousin très proche de Bacillus anthracis, l'agent de la maladie du charbon, dont il constitue un très bon modèle. La question de l'emploi de l'arme biologique n'appartient plus, depuis quelques années, à la pure spéculation : dans le cadre de leur lutte contre la drogue, les Etats-Unis tentent depuis 1997 de faire accepter l'utilisation d'un champignon, Fusarium oxysporum, qui détruit la plante d'où l'on extrait la cocaïne. Une version génétiquement modifiée de ce champignon existe en laboratoire. Les Etats-Unis voulaient l'utiliser en Colombie, même si, selon des mouvements écologistes comme le Sunshine Project, ce champignon pourrait avoir des effets dévastateurs sur la biodiversité très riche des terres colombiennes : devant l'opposition qui s'est levée en Amérique latine et en Europe, ils ont pour l'instant repoussé l'utilisation du champignon. Mais jusqu'à quand ? A l'autre bout du monde, en Asie centrale, ils étudient aussi, dans un laboratoire de Tachkent, en Ouzbékistan, un champignon capable de s'attaquer au pavot, largement cultivé dans la région et notamment en Afghanistan. Si les opinions publiques n'y prennent garde, la guerre agrobiologique est à deux doigts de se banaliser, tandis que la guerre biologique - devrait-on dire biotechnologique ? - est redevenue une possibilité sérieuse. Hervé Kempf Source : internationalnews http://internationalnews.over-blog.com/categorie-10188978.html http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article6449 ___________________________________________
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Les rencontres « secrètes » -sinon clandestines- de Michel BARNIER Michel BARNIER est Ministre de l'Agriculture et de la Pêche. Il organise actuellement des rencontres sur le thème : « Animal et Société » Trois groupes de réflexion encadrent ces rencontres. Les premières réunions ont eu lieu les 25,26 et 27 mars. En avez-vous eu des échos à la radio ou à la télévision ? En avez-vous lu des commentaires dans la presse ? Non ! Connaissez-vous les associations qui y participent ? Non ! Il faut aller sur le site du Ministère de l'Agriculture et de la Pêche pour apprendre quelque chose ! Après un Grenelle de l'Environnement très théâtral et surmédiatisé..la montagne ayant accouché d'une souris..Michel BARNIER réunit quelques personnes dans la semi clandestinité pour débattre du rapport de « l'Animal à la Société ». L'importance emblématique du débat mérite mieux. Le 3ème groupe de discussion est présidé par Jérôme Bignon, président du groupe « chasse » à l'Assemblée Nationale...mais il est interdit d'évoquer la « chasse » !! Les chasseurs français ne tireraient-ils que sur des pigeons d'argile ? Les chasseurs français ne tueraient-ils que des lapins en carton-pâte ? Les chamarrés chasseurs à courre n'assassineraient-ils que des cerfs virtuels en 3 D ? Les veneurs sous terre ne massacreraient-ils que des blaireaux fictifs ? Qui dit débat sur « Animal et Société » dit débat et réflexion au sein de la société avec la participation de toutes les associations et non pas seulement celles qui flattent le Ministre « dans le sens du poil ». C'est pourquoi nous invitons toutes les personnes concernées à faire part de leurs sentiments à l'égard du rapport de l'être humain à l'être animal en alertant la presse, la radio, la télévision, les députés, les sénateurs, conseillers généraux et municipaux, les associations de protection animale sur ces Rencontres « Animal et Société » que Michel BARNIER, actuel Ministre de l'Agriculture et de la Pêche, est en train de tenir jusqu'à fin mai, dans le plus grand secret, dans la plus obscure clandestinité. Jean-claude Hubert Biocentriste Secrétaire Général de la CVN pour une écologie radicale
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Grenelle de l'Environnement : On en rirait si ce n'était pitoyable à pleurer !! Nouvelle loi chasse : Les fumeurs vont armer les jeunes, Les chasseurs vont entrer dans nos jardins ! Que reste-t-il du Grenelle de l’Environnement ? Après les autoroutes qui n’en finissent pas d’asphalter nos territoires, la spectaculaire reculade face au lobby des OGM, l’ASPAS, comme de très nombreux protecteurs de la nature, fait l’amer constat que ce très médiatique show ne sera malheureusement pas suivi de mesures concrètes. Le « Grenelle » s’annonce déjà comme une nouvelle Bérézina pour la protection de la nature, de l’environnement et du climat. Avant même que la loi « Grenelle » ne soit présentée devant les assemblées, nombre de parlementaires s’en donnent à cœur joie pour défendre à contresens de l’urgence écologique quelques lobbies anti-environnementalistes. Ladislas Poniatowski, chasseur invétéré et porte-parole du lobby cynégétique au Sénat, présentera le 13 mai prochain sa proposition de loi devant les sénateurs : une dixième loi chasse depuis 1994 !!! Au rang des propositions de M. Poniatowski (et des chasseurs) quelques perles dignes d’un véritable bêtisier : - Afin d’enrayer la chute du nombre de chasseurs, il est proposé d’alléger le coût du permis de chasse pour les très jeunes chasseurs de moins de 18 ans. Mais pour ne pas grever le budget de l’ONCFS le manque à gagner serait rattrapé par une nouvelle augmentation de la taxe sur les cigarettes !!! Les fumeurs vont ainsi financer des armes pour les jeunes. - Les propriétaires fonciers se verraient obligés de faire réaliser un plan de tir sur leur terrain sur demande des fédérations départementales des chasseurs ! Soit la fin de la reconnaissance du droit de non-chasse qui avait valu, sur une plainte déposée par l’ASPAS, une condamnation de la France par la Cour Européenne des Droits de l’Homme. L’ASPAS en appelle au Président de la République et au ministre de l’Écologie pour qu’enfin de véritables mesures soient prises pour stopper l’érosion de la biodiversité, lutter contre le réchauffement de la planète et préserver notre environnement. Tous points qui nous ont été présentés avant et pendant le Grenelle de l’Environnement, et que nous voyons s’éloigner de plus en plus. L’ASPAS en appelle également a un peu plus de réserve de la part des parlementaires vis-à-vis du très puissant lobby de la chasse. Contact presse : Pierre Athanaze – Président de l’ASPAS Tél. : 06 08 18 54 55
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Fausses et vraies raisons de la crise alimentaire mondiale
terrienne a répondu à un(e) sujet de terrienne dans Végétarisme
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Fausses et vraies raisons de la crise alimentaire mondiale
terrienne a posté un sujet dans Végétarisme
Qui peut rester insensible à la vue de ces corps meurtris par la souffrance et la famine. Qui peut rester insensible à ces bruyantes manifestations de colère contre le renchérissement brutal des denrées de première nécessité dans des pays dits émergents dont les frustrations, hélas, ne datent pas d'hier. Les Etats et les gouvernements font semblant de découvrir soudain la catastrophe. A quoi servent les instituts de recherche en « perspective » alimentaire ? Et s'il n'en existe pas pourquoi ? Pourquoi, alors qu'on joue aux petits astronautes avec la station orbitale, comme Marie Antoinette jouait à la fermière dans son Petit Trianon, ne peut-on établir là, ici et maintenant, les grandes évolutions des capacités alimentaires de l'espèce humaine ? L'actualité va vite : au pied du mur de l'imprévoyance, chefs d'Etat et ministres, banquiers et lobbies multiplient les déclarations. Une catastrophe alimentaire au 21ème siècle, je ne sais pas, ou alors je suis naïf, mais pour moi, ça prend tout de suite un caractère surréaliste. Les organisations mondialistes ne manquent pourtant pas. N'a-t-on pas vu les Etats renflouer les banques en faillites lors de l'escroquerie ..des subprimes ? Que fait l'Organisation Mondiale du Commerce ? Une des raisons invoquées : la spéculation ! Ou le droit d'affamer les autres ! S'il y a spéculation, c'est donc qu'il y a des spéculateurs. La spéculation est-elle interdite par la loi ? Qui sont ces spéculateurs ? Pourquoi ne sont-ils pas encadrés ? Surveillés ? Autre raison la hausse du pétrole due à la croissance de la demande (Chine et Inde). Autre raison : l'accroissement de l'espace rural consacré aux biocarburants. Et surtout ... l'opposition aux OGM : « Au moment où le monde entier est frappé par une crise sans précédent sur les matières premières agricoles, on mesure à quel point cette question des OGM n'est pas qu'une question politique, mais un sujet économique. »(1) Ainsi les « obscurantistes » qui souhaitent pérenniser une production-consommation sans OGM sont-ils coupables d'affamer ces peuples !! Pas un média n'évoque la corruption, les guerres latentes qui détruisent toute économie. Pas un média n'évoque le gâchis de la gestion des ressources, le fait d'avoir découragé ces peuples de leurs cultures vivrières en les rendant dépendants de nos exportations à bas pris de nos excédents. Mais surtout pas un média n'évoque la surpopulation humaine mondiale !! Pas un média n'évoque ce dogme anachronique : « Croissez et multipliez », pas un média n'évoque le statut servile de la femme toujours bien présent dans de nombreux pays. Cette excroissance de la démographie humaine, qu'il faudrait taire au nom de la croissance, devient même un alibi pour généraliser les cultures d'OGM : « Comment demain, ou par exemple en 2025, lorsque la population du globe comptera 8 milliards d'individus, sera-t-il possible d'assurer leur alimentation avec moins d'eau, moins de terres cultivées. Et une demande de produits plus sophistiqués en termes de résistance aux changements climatiques ? "On a beau tourner autour du pot : force est de reconnaître aujourd'hui que le seul moyen d'élever fortement les rendements agricoles, de lutter contre les pesticides, et de cultiver avec moins d'eau, nécessite l'utilisation intensive d'OGM. " (1) Sans doute certaines de ces raisons ont-elles leur part de responsabilité dans la crise alimentaire actuelle. Mais ces raisons sont celles de la loi du marché, celles de la loi du profit, celles de la loi de la croissance infinie sur une planète finie, celles de la discrimination la plus sauvage, celles des lobbies OGMistes. Certes il est urgent de nourrir ponctuellement ces gens victimes de la cupidité des spéculateurs du « Vivant » mais il faut prendre conscience que seuls un changement du mode de pensée et un changement des mentalités permettront d'accéder au bien-être et à l'épanouissement de tout « Être Vivant Sensible » humain ou non humain. (1)Yves de Kerdrel, Le Figaro - mardi 15 avril 2008 Jean-Claude Hubert Biocentriste Secrétaire Général de la CVN pour une écologie radicale -
je les adore aussi !!!!!!!!!!!!!!!!! j'avais acheté leur CD. ils avaient un forum comme celui ci mais ils l'ont fermé il y a environ 2 ans en disant qu'ils allaient revenir mais je n'ai plus de nouvelles .... pourtant j'envoie quelquefois un message à triban (le webmaster et créateur du forum et du site) mais j'ai pas de réponse. quelqu'un a des nouvelles fraîches? http://www.tribunal-animal.com/
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extrait du nouvel album de francis cabrel : Des Gens Formidables On serait des gens formidables Des êtres parfaits Des chanteurs charmants, charitables Humbles et discrets Contre toutes les injustices Et de tous les combats Mais on est normalement égoïstes Et c'est chacun chez soi. On ferait des chansons éternelles Et en quelques couplets On ferait la terre plus belle L'homme moins mauvais Ca ferait de nous des êtres rares Et comme immortels Mais on fait des petites chansons qui se fanent Et on se fane avec elles Et on se fane avec elles On se fane avec elles On ferait des chansons utiles A la société Pour en dénoncer les dérives Et les absurdités Comme tirer sur un oiseau qui chante Une cartouche en plein coeur Mais on fait des petites chansons hésitantes Et on regarde ailleurs. On dirait des choses essentielles Et de toute beauté Comme on serait né avec des ailes Ca serait pas compliqué On aurait des mots qui touchent/ et qui transpercent Les traîtres et les menteurs Mais on fait des petites chansons/ pour le commerce Et on tremble de peur On tremble de peur Et on tremble de peur On serait des artistes immenses Des divinités Considérés comme une chance Pour l'humanité Il suffirait qu'on apparaisse Pour que le monde soit heureux Mais en fait, les gens nous aiment/ et puis nous laissent Et c'est sans doute mieux.
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Le passage en force des OGM La façon dont s'est déroulé en France le débat sur les OGM, lors du Grenelle de l'Environnement, puis ces jours ci à l'occasion de la discussion du projet de loi, me semble poser de très sérieux problèmes de démocratie. Je ne parle pas des basses invectives, des accusations malveillantes de sorcellerie, des indices de concussions, des consignes de vote impératives assorties de pressions, des fausses colères et des vraies abstentions, de la mise au pilori des députés contestataires, du mépris affiché vis à vis des citoyens ordinaires, ou de la qualification de « voyou » pour ceux qui osent résister, toutes choses qui certes ne contribuent pas à la dignité des débats... Je ne parle pas non plus de l'idéologie rationaliste étroite qui veut qu'en toutes circonstances l'avis des scientifiques travaillant pour l'industrie ait plus de poids que l'avis des bénévoles compétents de la société civile, ce qui, soit dit en passant, ne contribuera pas au développement futur de la démocratie participative... Non, je parle d'une question plus grave : celle de la légitimité du vote de la loi en cours d'examen qui, si elle est insuffisante comme je le pense, entrainera et justifiera toutes les actions de désobéissance civile qui ne manqueront pas de se produire en aval. Nous avions déjà eu droit à l'extraordinaire coup de force que représente le vote par les deux assemblées réunies en congrès d'un traité européen qui avait été rejeté lors d'un référendum, vote totalement illégitime puisque contraire à une volonté du peuple souverain clairement exprimée. Nos représentants élus n'en sont donc pas à leur première entorse démocratique. Mais cette fois-çi que constatons nous ? que des décisions sont prises en contradiction avec le principe de précaution, pourtant inscrit dans la Constitution, alors qu'à l'évidence des OGM relâchés dans l'environnement constituent un « risque de dommages graves et irréversibles » que des décisions sont prises à l'encontre de la volonté générale, alors que tous les sondages montrent qu'une majorité très large de français est opposée aux OGM que des décisions sont prises à l'encontre de l'avis des représentants compétents de la société civile, ong et autres, qui travaillent sur ces questions depuis des années et sont souvent mieux informés que les députés. que des décisions sont prises lors d'un vote à peine majoritaire, alors que de nombreux députés se sont abstenus pour ne pas aller contre les consignes de vote impératives de leur parti, et qu'à titre individuel ils étaient plutôt contre. On est donc bien en droit de poser la question : ces décisions sont elles légitimes ? Car sans légitimité pas d'action publique, ou alors on n'est plus en démocratie....Ce qui fonde la légitimité d'une loi, du moins dans notre conception nationale, c'est sa conformité à l'intérêt général, le fait qu'elle exprime une volonté générale dépassant les intérêts particuliers. Mais en matière d'OGM est-on dans l'intérêt général ou dans l'intérêt particulier ? Même si les OGM sont souhaités par certaines catégories d'agriculteurs ou de scientifiques, et ils en ont le droit, ce ne sont là que des intérêts particuliers, en aucun cas l'intérêt général.... C'est à se demander si les députés se considérent encore comme investis d'une mission de promotion de l'intérêt général, ou s'il ne sont plus que des sortes d'arbitres maladroits entre des intérêts particuliers divergents, voire irréconciliables. Arbitres qui plus est assez partisans, puisqu'ils sont plus souvent du côté de l'économie et de l'industrie que du côté de l'environnement... L'intérêt général, dans ce cas, cela aurait été la prise en compte réelle des dangers pour la santé publique ( s'en est-on sérieusement soucié au delà de déclarations de principe vides de contenu ? ), ou de la nécessité de préserver la biodiversité ( quel cas en a t'on fait alors que l'on autorise la dissémination des OGM jusque dans les parcs nationaux et régionaux ? ), ou de la nécessaire souveraineté alimentaire de la France ( qu'en sera-t'il lorsque toutes les semences devront être achetées à des multinationales étrangères ? ), ou tout simplement le respect du droit des générations futures à vivre dans un environnement sain et préservé ( kezako ? ). Toutes ces questions essentielles ont été négligées dans ce vote, motivé essentiellement par une idéologie rationaliste débile, des intérêts économiques à très court terme, et l'obéissance servile aux injonctions de la commission européenne. Et que l'on ne vienne pas nous dire, pour nous attendrir, que les OGM vont permettre d'épandre moins de pesticides ( c'est tout le contraire !) ou de nourrir les affamés : on ne meurt pas de faim en France, du moins pas pour le moment ... Alors, si cette loi scélérate devait être adoptée, je me prends à rêver à l'organisation d'actions de résistance dans nos campagnes, menées par nos élus locaux déclarant par milliers leurs territoires libres d'OGM, et rejoignant ainsi un vaste mouvement international qui de Moscou à Salzbourg, et de l'Algarve à la Toscane regroupe déjà de très nombreuses zones et communes...Ce ne serait peut être pas légal, mais comme ce serait légitime !! J.L.Gueydon de Dives 14 avril 2008
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Le régime politique chinois cumule les tares du communisme et du capitalisme, ces deux fléaux qui rabaissent l'humain au rang de producteur - consommateur, qui privilégient l'économie sur la vie. Parti unique, répression féroce, absence de liberté individuelle, et spéculation répugnante, exploitation maximale des hommes, des animaux et de la Nature. Un régime exécrable qui cultive des mentalités voraces et cruelles. G . C. ----------------------------- message transféré La Chine…. Si des centaines d’athlètes en culotte de soie veulent s’y rendre, dussent-ils ramper sur une cendrée couverte de sang, au pied de tortionnaires fascistes, il en est beaucoup d’autres qui n’aspirent pas à ce « voyage au bout de la nuit » des longs couteaux. Le rhinocéros noir, les requins, les poissons-scie, les paresseux, les éléphants n’en font pas plus partie que les grands félins d’Asie voire les civelles … Ces espèces-là, promises à un aller simple vers l’empire du Milieu le bien nommé, connaîtront, au départ ou à l’arrivée, les attentions du boucher. Qu’on modère cependant son indignation : en Occident les pratiques sont semblables. Certes on n’y pèle que rarement les chats vivants pour préserver la souplesse de leur peau… mais on y prélève, de la même manière, les cuisses de grenouilles. Humanité nulle part, Barbarie partout ! argentine@club-internet
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Signaux précoces et leçons tardives
terrienne a répondu à un(e) sujet de terrienne dans Environnement
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Des lâches ? Non, madame la ministre : des imposteurs. Le parti conservateur, aux ordres des ploutocrates, des firmes, des lourds chasseurs, des forces ringardes et incultes, ne compte guère de femmes et d’hommes de mieux. Ces serviteurs dociles des intérêts anti-sociaux et anti-écologistes délirent au parlement lorsque sont en cause les fantasmes des accapareurs, des exploiteurs des humains, des bêtes et de l’espace. Bien sûr, toute généralisation est une injustice à laquelle nous ne devons jamais succomber. Quelques personnalités de qualité éthique et intellectuelle s’égarent dans cet invraisembblable parti de l’argent-roi et des pesantes traditions bornées. Les conservateurs n’ont à la bouche que le mot Réforme (Contre-réforme). Ils aiment les OGM, les fusils, les autoroutes, les lotissements, les résidences de loisirs, les pesticides et pas question pour eux de se laisser impressionner par ces catastrophistes écologistes empêcheurs de spéculer et de faire de si juteux profits entre petits copains de la caste féodale. Ces valets de la ploutocratie globalisée assassinent la terre, pillent ses ressources, appauvrissent l’immense majorité des populations pour servir quelques prévaricateurs prompts à bétonner et asphalter la planète pour faire de l’argent. Non, madame la Ministre, que nous savons généreuse et éclairée, vos vilains copains ne sont pas lâches. Ils assument leurs choix de beaufs ringards et obéissent aux ordres des lobbies et des intérêts qui les firent rois. A défaut d’ébranler le temple du veau d’or, il vous fallait en éclater la porte en sortant, car il n’y a rien de bon à attendre d’hommes qui n’ont pas compris que la seule cause qui vaille est celle de la vie. Ils assèchent les finances de l’Etat par une politique antifiscaliste, privant les citoyens de services publics et de protection sociale pour préserver l’appétit de ceux qui dépenseraient, par exemple, une vingtaine de millions d’Euros pour s’offrir un circuit automobile de course en zone naturelle, jouet nocif pour milliardaires. Mais, faute d’argent, l’Etat ferme les hôpitaux, les palais de justice, les bureaux de postes, les gares, les lycées et rogne sur les dépenses de santé et d’éducation. Pendant ce temps, des groupements privés opaques et gloutons ne savent plus où implanter leurs complexes immobiliers aux vocations multiples, lèpres dévoreuses d’espaces naturels, proposées aux habitants sous des couleurs chatoyantes et la perspective d’emplois... Pas assez d’argent pour le bien public, trop d’argent pour les sordides intérêts privés, pour la nuisance maximale, pour la guerre faite à la Nature. Nous assistons à la commercialisation, la privatisation du monde avec des dogmatiques qui récitent leurs impostures sur les bienfaits de la marchandisation de toute chose. Pour ces esprits intoxiqués par le culte du profit, la Nature, les forêts, les rivières, les océans, les espèces animales et végétales valent ce que leur attribue le Marché et ils n’ont aucune hésitation à empoisonner, détruire, artificialiser pourvu que cela leur rapporte égoïstement et immédiatement. Le parti conservateur transforme l’usager en client, le citoyen en sujet du Marché, le monde en vaste zone résidentielle et commerciale. Le dieu argent exige un monothéisme absolu exclusif de toute considération d’intérêt écologique et empathique. Impostures, leurs grands et nobles discours sur les périls planétaires, sur la nécessité de sauver la diversité de la vie, de réduire les gaspillages, de préserver l’atmosphère, car le moindre ploutocrate veut-il sa petite opération lucrative, et les sites sont sacrifiés, les généreux engagements oubliés par les serviteurs du système. Une sourde colère commence à monter des profondeurs des peuples du monde entier contre un système économique désastreux. La faillite est proche. Tant mieux, car à défaut de grand soir, nous espérons une aube nouvelle qui passe par la défaite des destructeurs de la vie. Gérard Charollois CONVENTION VIE ET NATURE POUR UNE ECOLOGIE RADICALE.
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http://www.frontieredevie.be/peuple.htm Depuis toujours et éternellement, nous protégeons et gardons la terre et la forêt qui nous alimente chaque jour. Nous, le monde des cultures Kichwa, Mayas, Astéque, Shuar, nous sommes toujours présent pour défendre la biodiversité, la vie et la nature. Depuis ces deux dernières décennies, nous sommes 1200 personnes à Sarayaku en Amazonie équatorienne à défendre l'agression et la destruction de la forêt et des ressources naturelles. Nous avons fait l'impossible pour éviter que nos terres sacrées soient transformées en champs pétroliers qui, pour nous, représentent la mort. Il est certain que les forces économiques multinationales ont du pouvoir. Ils nous ont encerclés, harcelés, menacés, accusés. Il y a discrimination envers notre peuple. Nous savons également que votre économie et votre vie dépend de ces ressources. Nous ne voulons pas vous faire du tort mais nous sommes déterminés à ne pas laisser détruire la forêt. Nous nous demandons si un peuple petit comme le nôtre peut changer le monde. Peut-être pas ! Mais nous sommes sûr que dans chaque coeur, il y a un peuple qui lutte avec la même force et si petit soit-il, nous sommes le symbole de la puissance de la vie. José Gualinga Dirigeant des affaires internationales de Sarayaku. Peuple Kichwa de Sarayaku - Équateur - Amazonie. Extrait du site : http://www.frontieredevie.be/peuple.htm Conférence Projection avec la présence exceptionnelle de José Gualinga et projection du documentaire "Sacha Runa Yachay" Du 9 au 11 avril 2008, José Gualinga sera exceptionnellement à Paris. Beaucoup nous ont fait part de leur souhait de mieux connaître le cas exemplaire de la lutte de ce peuple contre les compagnies pétrolières. C'est pourquoi nous organisons une rencontre au cours de laquelle il sera possible de dialoguer de façon privilégiée avec José. La lutte du peuple de Sarayaku est toujours d'actualité : 3 clairières plantées, menace d'ouverture d'un puit de pétrole sur la Frontière de vie, poursuite du procès devant la Cour Interaméricaine des droits de l'homme etc...Des résultats significatifs ont été obtenus sur le plan médiatique et juridique mais les menaces sont toujours bien présentes. Il est donc essentiel de maintenir notre soutien aux 1200 indiens de Sarayaku. Nous vous invitons à vous mobiliser par votre présence et à inviter de nouvelles personnes à venir prendre connaissance de ce cas lors de la projection-rencontre avec la présence exceptionnelle de José Gualinga et la diffusion du dernier documentaire "Sacha Runa Yachay" (Les Connaissances des hommes de la forêt) de Eriberto Gualinga. L'objectif de cette rencontre est de réaliser avec José un point sur la situation actuelle et les projets en cours notamment sur le projet Frontière de vie. Chacun pourra sans doute à cette occasion trouver une façon de s'impliquer à leurs cotés. Votre simple présence sera déjà le signe positif d'une écoute. Une occasion unique de tisser un lien avec Sarayaku et de prendre part à leur cause. Nous diffuserons en début de rencontre le nouveau documentaire « Sacha Runa Yachay » (« Les Connaissances des hommes de la forêt ») de Eriberto Gualinga. L'entrée est libre de participation, nous vous demandons seulement de nous confirmer assez rapidement votre présence par mail sarayaku@parolesdenature.org Extrait du site : http://www.chamane.org/
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Signaux précoces et leçons tardives
terrienne a répondu à un(e) sujet de terrienne dans Environnement