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Max|mum-leterrarium

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  1. SOISSONS (02). Mardi après-midi, un python royal de 90 cm a été retrouvé mort place de la République. Il a été enlevé par la police municipale avant d’être emmené par une société spécialisée. « Il n’y a pas très longtemps, on nous avait signalé un python royal en vente sur Internet du côté de Soissons. Et là, l’annonce a disparu… » Coïncidence, mardi après-midi, des passants signalent qu’un serpent mort se trouve au niveau du parking de la place de la République. Une fois là-bas, la police municipale a récupéré le reptile et procédé à son identification. La bête, d’environ 90 cm, privée de sa tête, est un python réguis, autrement dit, un python royal. Sauf que, comme l’explique Benoît Perrin, l’un des agents de la police municipale, « c’est un serpent inoffensif. Il n’est pas sur la liste de la convention de Washington qui réglemente et protège les animaux. Il n’est pas venimeux et ne nécessite donc pas d’avoir une puce. » Un budget conséquent Mercredi, le propriétaire du serpent ne s’était pas manifesté et le reptile avait été récupéré par la Société de protection des animaux avec laquelle la ville de Soissons possède une convention. « Mais il peut toujours venir nous voir », glissait le policier municipal. Reste maintenant à savoir comment le serpent s’est retrouvé sur le parking de la place de la République. « Il y a plusieurs hypothèses » glisse Stéphane Allart, le propriétaire de l’animalerie « Aqua terra ». « Par exemple, son propriétaire s’est retrouvé à partir en vacances, et ne sachant pas quoi faire, a préféré l’abandonner. Vu qu’il n’avait plus de tête, on peut penser qu’il l’a lui-même tué. » Une option que ce spécialiste glisse avec retenue car « le serpent à l’achat coûte une centaine d’euros. Ce n’est pas rien. Il peut aussi s’être échappé car c’est un serpent très stressé, craintif, et qui a besoin d’une température élevée. Or comme ces derniers jours, nous n’avions pas de chaleur… » Reste que posséder un serpent, même s’il entre dans la très connue catégorie des NAC, les nouveaux animaux de compagnie, implique un budget qui ne doit pas surprendre. « De toute façon, je ne vends pas de serpent à quelqu’un qui n’est pas déjà équipé d’un terrarium » explique Stéphane Allart. Le professionnel met en garde : comme tous les jeunes animaux achetés, le serpent va grandir. « Au départ, pour un seul serpent, il faut compter 300 euros tout compris. Ensuite, c’est 30 à 40 euros par mois pour l’entretien. » Un budget qui pourrait être aussi la raison de cette fin tragique. Source
  2. La piqûre d’araignée fait partie des bobos qui nous font peur. Pas de panique si ça vous arrive, on vous explique comment soigner une piqûre d’araignée. Y a-t-il différentes piqûres d’araignée ? En vacances ou non, une piqûre d’araignée, ça peut arriver. Rassurez-vous, ces petites bêtes et leurs 8 pattes nous font souvent plus de peur que de mal. Les araignées que l’on peut croiser « au quotidien » (dans le jardin, le grenier, la cave…) sont généralement inoffensives même si elles peuvent nous piquer. Seule danger : une réaction inflammatoire. Il suffit donc bien désinfecter. Par contre, en Provence et en Corse notamment, attention aux veuves noires : des petites araignées noires à tâches rouges. Venimeuses et neurotoxiques, leur piqûre est très dangereuse. Et pas d’hésitation, on prend instantanément la direction de l’hôpital. Mais au fait, comment on soigne une piqûre d’araignée ? - D’abord, on lave la plaie avec de l’eau et du savon. - Ensuite, on désinfecte la zone piquée avec un antiseptique à la Chlorhexidine. - Et si on en a la possibilité, on applique une poche de froid sur la piqûre d’araignée. Son effet antalgique permet d’éviter l’apparition d’un oedème. - On pense également à vérifier si le vaccin antitétanique de la victime est à jour Selon l’aspect des boutons de la piqûre d’araignée, on peut se faire délivrer sans ordonnance en pharmacie, une crème à base de corticoïdes pour limiter les démangeaisons. On l’applique alors 1 à 2 fois par jour jusqu’à la disparition totale des boutons dus à la piqûre d’araignée. En revanche, si un gros oedème, une brûlure, une inflammation, des rougeurs et une forte douleur apparaissent sur la zone piquée par l’araignée, on consulte un médecin généraliste. Merci à Sandrine Rousselot, pharmacienne, Ordre National des Pharmaciens Source
  3. C’est suite à une information émanant d’une source fiable, que la Direction de la Lutte Contre le Braconnage (DLCB) a organisé une descente au... C’est suite à une information émanant d’une source fiable, que la Direction de la Lutte Contre le Braconnage (DLCB) a organisé une descente au village artisanal de Libreville le 28 juillet 2014. A cette occasion, plusieurs produits fauniques prohibés et destinés à la vente ont été saisis. Une équipe conjointe composée des agents de la DLCB, des agents de la Police Judiciaire et des juristes de Conservation Justice, s’est rendue sur le terrain en vu de constater les faits. Sur les lieux, les agents ont procédé à l’inspection des différents box suspectés. Et à l’issue de cette fouille, trois trafiquants de nationalité Camerounaise ont été arrêtés. Il s’agit de : sieur Bouba Kary Haman Djam, arrêté en possession de 144 portefeuilles en peau de crocodile et serpent, 12 sacs en peau de crocodile et serpent, d’une peau entière de serpent. Le deuxième interpellé, sieur Aboubacar Dahirou détenait quant à lui un sac en peau de crocodile, tandis que Bah Ngoubdo possédait 21 portefeuilles en peau de crocodile et serpent, 18 sacs en peau crocodile et serpent, 5 ceintures en peaux de crocodiles. Ces produits n’étaient que des échantillons confisqués, plusieurs autres articles étant restés dans leurs boxes respectifs. Une autre descente a été organisée le même jour au marché artisanal de Libreville en vue de saisir le reste des articles. Au total, ce sont des centaines de sacs, de portefeuilles et de ceintures qui ont été saisies, représentant le trafic de dizaines, voire centaines de crocodiles. Les mis en cause ont été conduits dans les locaux de la PJ où ils ont été placés en garde à vue, puis relâchés en attendant leur audition prévue pour ce mercredi 30 Juillet à 9h. A noter que ces produits proviennent d’autres pays et doivent répondre à des exigences légales internationales, notamment à la CITES ou Convention de Washington (Convention sur le Commerce International des Espèces de Faune et de Flore Sauvages Menacées d’Extinction). Ce qui, concernant les produits saisis, n’était nullement le cas. D’ailleurs, la loi gabonaise protège intégralement les trois espèces de crocodiles. La chasse, la capture, la détention, le transport et la commercialisation des espèces intégralement protégées comme les crocodiles sont interdits, et les infractions vis-à-vis de ces espèces sont punies de 3 à 6 mois de prison avec des amendes allant de 100.000 à 10 millions de francs CFA. Source
  4. Les conseils avisés de nos amies les bêtes de sexe (10) : éviter de s'envoyer en l'air avec une femelle affamée Dix fois plus grosse que son époux, l'araignée australienne edulis n'hésite pas à le dévorer après l'amour. L'araignée australienne par LePoint La femelle de l'araignée australienne (Nephila edulis) est énorme. Une vraie ogresse dont le corps peut atteindre trois centimètres de diamètre et une bonne quinzaine avec les pattes. Pour calmer sa faim dévorante, elle tisse des filets de pêche destinés à capturer de petits oiseaux et même des chauve-souris. À ses côtés, le mâle est un misérable avorton. En fait, il faudrait plutôt parler de mâles au pluriel. Car il en existe deux sortes : les nains, dix fois plus petits que l'ogresse ; et les lilliputiens, cent fois plus petits ! Malgré cette importante différence de taille, les deux catégories parviennent à se perpétuer. Lorsqu'au milieu de sa toile, la bonne grosse edulis montre des signes d'excitation sexuelle, ses amoureux, grands et petits, se répartissent en périphérie, prenant garde à ne point trop s'approcher de la femelle. Car avec sa vue basse, elle les confond souvent avec une proie, les avalant avec délice. Pour donc parvenir à leur fin sans y perdre la vie, nains et lilliputiens adoptent une stratégie différente. Les plus costauds commencent par se battre entre eux comme des enragés, sectionnant les pattes de leur adversaire avec leur bec coupant. Le vainqueur final se dirige vers la femelle comme un Indien sur le sentier de la guerre. Avec précaution, il remue la toile d'une certaine manière afin de signaler ses bonnes intentions. Dès qu'il arrive à proximité de l'obèse, il lui saute dessus, se glissant rapidement sous son ventre pour se coller sans pudeur contre l'orifice génital. Il s'empresse alors de transférer son liquide séminal. Masturbation À ce point de notre histoire, il faut aborder un aspect délicat de la sexualité de toutes les araignées. Le mâle ne possède pas de pénis et ne fabrique pas, comme les insectes, de spermatophores. Ce qui l'oblige à se masturber en utilisant les deux pattes creuses - les palpes - implantées de part et d'autre de la bouche. Concrètement, avant de partir en chasse d'une femelle, il plonge ses deux palpes-seringues dans ses voies génitales pour les remplir de sperme. Lors de la copulation, il les introduira, l'un après l'autre, dans le sexe de sa fiancée pour les y vider. Chez l'edulis, l'opération prend entre trente secondes et quelques minutes. Toute dépend du statut sexuel de madame. Encore vierge, elle laisse son amoureux s'activer longuement, à la dixième copulation, elle le rejette vite. En tout cas, dès qu'il ne se sent plus désiré, il a intérêt à se tirer fissa pour ne pas terminer dans l'estomac de sa fiancée. Les mâles lilliputiens évitent de se battre entre eux. Chacun préfère tenter sa chance, comptant sur sa taille microscopique pour passer inaperçu de la femelle. Malin comme un singe, le prétendant miniature avance sur l'envers de la toile pour passer totalement inaperçu. Arrivé sous la femelle, il perce un tout petit trou dans la toile pour y passer ses deux palpes. Délicatement, il les introduit dans le vagin de la femelle qui, souvent, n'est pas dupe. Elle les laisse même s'activer plus longuement que leurs grands frères. L'image qui nous vient à l'esprit est celui d'un pygmée agrippé au vagin d'une éléphante. Source
  5. Par La Voix de la Russie | Une récente découverte faite en Transbaïkalie a radicalement changé les idées sur les dinosaures. Les chercheurs ont découvert des fossiles d'un reptile du Jurassique et ont établi que tous les dinosaures étaient plus ou moins recouverts de plumes. La découverte permet de supposer que les protoplumes sont apparus il y a 240 millions d'années et non pas 90 comme on le croyait antérieurement. De cette façon ces animaux préhistoriques ressemblaient plutôt à des oiseaux et non pas à des reptiles. Ce dinosaure a été baptisé Kulindadromeus zabaikalicus. Selon les chercheurs, c'est un reptile herbivore possédant deux pattes et long de 1,5 m. Six crânes partiellement conservés et plusieurs centaines de fragments de squelette ont été trouvés. L'animal avait une petite tête, les pattes postérieures allongées et une longue queue. Le plus important est la découverte sur les parties différentes de son corps de six types de revêtement cutané (trois types d'écailles et trois variétés de plumes). Les poils sur les os d'épaule rappellent les plumes de la poule soie chinoise. Les paléontologues ne sont pas unanimes sur l'origine des oiseaux. La période de l'apparition des ailes et des plumes et de la capacité de voler suscite de vifs débats. Les théropodes étaient considérés comme les ancêtres les plus probables des oiseaux. Comme les ptérodactyles ils avaient des émergences ressemblant à des poils raides. Maintenant les chercheurs, dont trois sont russes, affirment que des dinosaures plus anciens de la période jurassique étaient couverts de poils rappelant les plumes d'oiseaux. Selon Olga Vanchina du musée Darwin de Moscou il y a une supposition que les dinosaures de tout type en étaient recouverts : « Les dinosaures avaient sur la peau quelque chose qui aidait à la thermorégulation. Des poils ou des plumes. Mais c'étaient des plumes primitives. Ce n'étaient pas les plumes d'oiseau, mais cela assurait la thermorégulation. Peut-être plus tard les plumes ont servi à voler, mais initialement c'était la thermorégulation ». Les auteurs de l'étude sont persuadés que la découverte de Transbaïkalie change radicalement les idées du monde de la science sur les dinosaures. Auparavant les informations sur des dinosaures emplumés ne venaient que de la Chine. On croyait que les plumes étaient un attribut des seuls dinosaures carnivores du sous-ordre des théropodes. Maintenant nous avons appris que des dinosaures herbivores avaient également des plumes. Les spécialistes ne risquent pas cependant d'affirmer que tous les dinosaures avaient des plumes. En tout état de cause, tous ne les avaient pas gardés dans l'âge adulte. D'aucuns ne les avaient que dans le bas âge et après les plumes ont été remplacées par des écailles ou des plaques de protection osseuses. Il y a aussi une autre nuance : la structure des plumes de dinosaures diffère de celle des plumes d'oiseaux. Ainsi l'énigme de l'origine des oiseaux n'est pas encore résolue. Selon Olga Vanchina « les dinosaures ne sont pas des oiseaux ou des proto-oiseaux, c'est une combinaison intéressante, un animal doté de dents et de plumes dont il se servait pour sauter ou descendre ». Source
  6. Les pompiers de Tournai étaient à la pêche de la tortue carnivore jeudi dans l’étang du Jardin de la Reine à Tournai. Une dizaine de tortues peupleraient les eaux troubles de l’étang et provoqueraient de nombreux dégâts dans la faune et la flore. Une riveraine avait déposé une plainte à la Ville pour dénoncer les faits. Après l’affaire des coqs et des poules qui ennuyaient certains riverains du Jardin de la Reine, ce sont maintenant les tortues qui subissent les foudres d’au moins un d’entre eux puisqu’une plainte avait été déposée au collège communal. Ces tortues auraient été abandonnées dans l’étang par leurs propriétaires. En attendant, ces petites bêtes provoqueraient de sacrés dégâts dans la faune et la flore du Jardin de la Reine. Elles s’attaqueraient notamment aux poissons et aux couvées de canards. Jeudi, les pompiers ont pris l’initiative d’aller pêcher ces tortues dans les eaux troubles de l’étang du jardin public. Une pêche qui n’a pas été un jeu d’enfant bien qu’un plongeur et deux pêcheurs sur une barque ont été mobilisés pour l’occasion. Il semblerait que les reptiles seront ensuite emmenés vers le parc Païri Daïza à Brugelette. Un meilleur sort leur est donc reservé que celui des coqs et des poules dont certains avaient été empoisonnés, en juin 2008, par des opposants aux cris matinaux des volatiles. Source
  7. Les conseils avisés de nos amies les bêtes de sexe (11) : savoir faire des enfants en se passant de mâle Il n'y a jamais eu de mâle chez le lézard à queue en fouet, les femelles se reproduisant par clonage. Le lézard à queue en fouet par LePoint L'espèce du lézard à queue en fouet (Cnemidophorus uniparens) d'Arizona se débrouille parfaitement sans aucun mâle. C'est une société d'Amazones qui tombent enceintes sans avoir besoin d'un macho pour les féconder. C'est tellement plus cool de vivre entre filles. Néanmoins, si les mâles sont absents physiquement, ils restent présents dans les esprits. Ces lézards continuent à vivre en couple, avec une des deux femelles jouant à la garçonne. Cette dernière mime parfaitement le comportement masculin en période de reproduction. Elle couvre sa partenaire d'attentions enamourées, lui fouettant sensuellement la tête avec sa langue effilée, tandis que cette dernière appréciant ses mamours reste immobile. Alors le "dragueur" s'enhardit jusqu'à lui saisir le cou avec sa bouche. Puis il la chevauche en l'étreignant avec sa queue passée sous la sienne. Et de lui plaquer son cloaque contre le sien en prenant, visiblement, son pied. Les deux amoureuses restent ainsi enlacées pendant quelques minutes avant de se séparer. Cela ressemble tout à fait à la parade amoureuse des espèces de lézards hétérosexuels. Sauf qu'il n'y a pas transfert de sperme. Et pourtant, la femelle s'isole pour pondre des oeufs qui vont éclore en donnant le jour à des bébés lézards. Toutes des Saintes Vierges... Question d'ovaire Que s'est-il passé ? Tout simplement, l'oeuf qui a hérité de la totalité de l'ADN de sa mère (et pas de la moitié comme normalement) a pu se développer pour donner un individu absolument semblable à sa mère. Les biologistes parlent de parthénogenèse. Quelques jours après la ponte, les rôles s'inversent entre les deux partenaires. En fait, ce lézard est placé sous la dépendance de ses ovaires. S'ils contiennent des ovules matures, il se comporte comme une fille, sinon, il adopte une attitude masculine. Les naturalistes supposent qu'à l'origine de cette espèce il y a eu une hybridation entre deux espèces voisines de lézards qui a donné naissance à des individus triploïdes. Au lieu de posséder un patrimoine génétique en double, ils l'ont en triple. Avec pour conséquence d'avoir ce curieux comportement sexuel. Normalement, une espèce composée uniquement de clones ne survit pas bien longtemps (quelques dizaines ou centaines de millénaires, tout de même), car elle reste génétiquement figée, sans pouvoir vraiment s'adapter au changement de son environnement. Pour autant, les lézards à queue en fouet possèdent un atout de taille : tous leurs membres sont capables de pondre, alors que chez les espèces voisines, seul un individu sur deux (la femelle) donne la vie. Du coup, la démographie de ce lézard est très élevée, ce qui lui donne un net avantage. Source
  8. Le South Carolina Aquarium vient tout juste de rendre sa liberté à Briar, une tortue carette. Après une délicate opération de l’œil, ce représentant d'une espèce de tortue marine en danger, vient de retrouver les eaux de l'Océan Atlantique. Une tortue sauvée de la cécité retrouve sa liberté aux Etats-Unis par Gentside Découverte Briar est désormais de retour dans la mer et des centaines de personnes ont assisté à sa remise en liberté. Mardi, l'équipe du South Carolina Aquarium a en effet procédé à la réintroduction de l'un de ses protégés : une tortue carette ! Pesant aujourd'hui près de 90 kilogrammes, cette femelle a été découverte, échouée, sur Myrtle Beach, en Caroline du Sud, il y a plus d'un an. Émaciée et anémiée, Briar a rapidement été transférée au Sea Turtle Hospital. Inquiète, l'équipe de soigneurs craignait qu'elle ne survive pas. Mais Briar a montré qu'elle était une battante. Réagissant rapidement aux traitements, elle a repris une vingtaine de kilos, retrouvant pratiquement son poids idéal. Néanmoins, la tortue n'était pas au bout de ses peines. Les soigneurs ont, très vite, remarqué que la femelle avait du mal à trouver sa nourriture dans son aquarium. Verdict ? Cette tortue carette souffrait de cataracte. Il s'agit d'une opacification partielle ou totale du cristallin, l'une des lentilles convergentes situées dans l’œil. Lorsque celle-ci perd en transparence, la vue s'en trouve considérablement affectée et baisse au fur et à mesure que le cristallin devient opaque. C'est pourquoi Briar ne parvenait plus à voir sa nourriture. Elle a donc subi une délicate opération des yeux, consistant à remplacer le cristallin affecté. L'opération s'étant parfaitement déroulée, elle était désormais prête à retourner à la vie sauvage. Retour en fanfare Après plusieurs semaines de remise en forme, Briar a donc été relâchée dans l'Atlantique, mardi 15 juillet. Et, des centaines de personnes sont venues l'encourager. "La foule était très excitée de venir aujourd'hui pour participer", explique le docteur Anne Cook, de l'Animal Eye Care, au Post and Courrier. La tortue carette a ainsi été remise à l'eau malgré les limites de sa vision liées à l'opération. Une première pour l'aquarium. Les proies de ces tortues sont souvent lentes ou attachées à un objet stationnaire. Une vision altérée ne devrait donc pas faire courir trop de risques de malnutrition à Briar. De plus, dans son aquarium, la vision de Briar s'est assez améliorée pour que la tortue soit capable d'attraper des crabes vivants, ont précisé les soigneurs. Car, cette femelle pourrait encore tout à faire contribuer à la restauration de l'espèce Caretta caretta, très menacée. "A chaque fois qu'ils peuvent relâcher une tortue de cette espèce, c'est un énorme succès. C'était un défi pour nous, mais le résultat est fantastique", ajoute le docteur Cook. Espèce menacée Habitant les eaux tempérées et parfois tropicales, c'est l'espèce la plus commune en Méditerranée et à l'ouest de l'Atlantique. Seule tortue nidifiant hors des tropiques, la tortue carette fait l'objet de plans de restauration locale après une forte régression de sa population. Victime de la pollution, du tourisme, la pêche accidentelle, elle est aujourd'hui considérée comme "en danger" par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Son avenir dépend ainsi largement de la protection des lieux de ponte. Source
  9. Je ne la pognerai jamais. C’est quoi l’idée d’avoir un serpent dans sa maison? C’est répugnant, ne communique pas, c’est dangereux, ça fait peur à tout le monde et si jamais ça se fait aller la queue, c’est même pas une bonne nouvelle. Quand tu regardes cette vipère dans les yeux, on dirait qu’elle est sévèrement frustrée d’être un serpent. En plus, il y a toujours un héros qui finit par échapper sa bibitte dans la société. Source
  10. Cet été, l'entomologiste Tommy St-Laurent offre l'opportunité de voir encore plus d'insectes et d'arachnides, notamment des spécimens exotiques, au Labyrinthe des insectes et au Mini-insectarium, tous deux situés à Amos. «Au Labyrinthe (458, chemin Vézeau), j'ai vraiment repoussé les limites au niveau des spécimens exotiques. J'ai ajouté plusieurs nouvelles variétés. J'ai investi pour aller chercher la crème de la crème», affirme-t-il. «Dans le vivant, poursuit-il, on offre maintenant une quarantaine de variétés d'arachnides et de scorpions, cinq variétés de centipèdes, des mantes religieuses et des mantes fleurs, des araignées du désert, des araignées des cavernes rendues populaires par les films de Harry Potter. C'est sans compter nos papillons et plus de 200 spécimens de chenilles dans quatre variétés.» Une araignée Goliath Toutefois, le spécimen le plus impressionnant est sans doute l'araignée Goliath. «C'est la plus grosse tarentule. On la surnomme bird catcher en anglais parce qu'elle peut attraper des oiseaux pour se nourrir. Elle peut faire jusqu'à 20 cm de long», précise avec fierté Tommy St-Laurent. Ce dernier s'enorgueillit aussi de ses collections naturalisées (en coffret). «Juste en espèces exotiques, je dois posséder entre 200 et 300 spécimens si on compte aussi ceux au Mini-insectarium. Si on ajoute les quelque 700 variétés indigènes, qu'on retrouve ici au Québec, ce sont plus de 1000 spécimens», fait valoir celui qui a reçu plus de 800 visiteurs dans son premier mois d'opération cet été, en plus d'organiser 26 activités scolaires. Le Labyrinthe, qui offre maintenant des visites plus libres avec sa signalisation complète, est ouvert du lundi au vendredi, de 9h30 à midi et de 13h30 à 16h. Il est possible de réserver la fin de semaine. L'entrée est 15 $, 5 $ pour les 5 à 10 ans et c'est gratuit pour les plus jeunes. Mini-insectarium en ville Pour sa part, le Mini-insectarium offre une alternative plus facilement accessible, sept jours sur sept (8h à 19h), au sous-sol de la Maison du tourisme. L'admission est de 5 $ pour tous. «On y retrouve plus de 300 spécimens naturalisés et deux vivants. Il s'agit d'une visite plus muséale. Un samedi sur deux, j'y suis pour faire des manipulations d'insectes vivants avec les gens. Il est préférable de réserver», fait savoir Tommy St-Laurent. Source
  11. Mauvaise surprise ce mardi matin pour des enfants qui jouaient dans un camping de la côte belge. Ils se sont retrouvés nez à nez avec un serpent d’un mètre 30 de long. Sans gravité heureusement. Des enfants qui jouaient dans le camping Doornpanne à Coxyde ce mardi matin se sont retrouvés en face d’un serpent d’une longueur d’un mètre 30. Ils ont effrayé l’animal qui a filé dans une cachette sous une caravane. Alertés, les pompiers de Veurne sont intervenus et ont embarqué la bête. Ce type de serpent n’est pas venimeux, mais on est en droit de se poser la question de savoir comment l’animal est-il arrivé là ? Cette sorte de serpent vivant habituellement en liberté en Amérique du Nord… Source
  12. Véritable Paul Hogan sur coussinets, Mugsy a été la star d'un parc animalier en Louisiane. Confronté à de nombreux alligators, ce chat s'est taillé respect et réputation du bout de ses griffes. Mugsy, le chat qui terrorise les alligators par Gentside Découverte C’est bien connu, les chats sont terrorisés par les aspirateurs et craignent l’eau. Mère nature semble pourtant avoir oublié d’ajouter un nom plus justifié à cette liste : les alligators. Dans le refuge d’animaux sauvages Cajun Pride, en Louisiane, Mugsy le chat fait régner la terreur face aux nombreux sauriens qui peuplent le parc. Ce char errant a élu domicile dans ce parc où des visites guidées amènent les touristes à la découverte des bayous, étendues d'eau de Louisiane. Il a rapidement été adopté par les propriétaires et les visiteurs s’enthousiasment devant la hardiesse du félin. Si un jeune alligator s’approche un peu trop ou si sa nourriture parait appétissante, Mugsy ne va pas hésiter à le griffer pour le tenir en respect. Après le succès de plusieurs vidéos le mettant en scène en 2010, Mugsy est hélas tombé malade et n’aurait plus été en mesure de tenir tête aux reptiles. Pour qu’il ne soit pas en danger dans le parc, il a été adopté par une famille en 2012. Selon un message de sa page Facebook fin mars, sa santé s’améliore. Source
  13. Selon la préfecture un trafic de tortues a été découvert dans le sud le l’île. La personne qui pratiquait cet élevage d’espèce protégée risque un an de prison et 15 000 Euros d'amende. La tortue étoilée, ou tortue rayonnée (Geochelone radiata), se trouve dans le sud et le sud-ouest de Madagascar C’est l’absence de jeunes tortues dans l’élevage qui aurait interpellé les agents de la Brigade de la nature océan Indien (BNOI) et de la Direction de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt (DAAF) alors qu’ils intervenaient chez un particulier du Sud de l'île. L’individu possédait un élevage de 24 tortues radiata de Madagascar et une soixantaine d’œuf en incubation. Les animaux ont été saisis et placés dans un élevage autorisé où ils seront soignées. Un an de prison et 15 000 euros d'amende La Daaf rappel que ces tortues sont des espèces protégées, elles doivent être soumises à autorisation administrative. Comme pour les chiens et les chats, la réglementation exige que chaque tortue soit identifiée individuellement au moyen d’une puce électronique posée par un vétérinaire. Par ailleurs, le commerce (vente, achat) de ces animaux est strictement interdit. Le contrevenant encours une peine pouvant atteindre 1 an d'emprisonnement et 15 000 € d'amende et la confiscation définitive de ses animaux. Régularisation pour chaque particulier Aussi, dans le communiqué, la préfecture invite chaque particulier propriétaire de tortues dont l'espèce est protégée, à se rapprocher de la DAAF dans les meilleurs délais. Il pourra faire des demandes administratives afin de réguler sa situation. Source
  14. Jean Maury va sans doute devoir faire appel à un équarrisseur pour se débarrasser du reptile qui n'avait pas de "puce". En l'absence de propriétaire, la commune y sera pour ses frais. PHOTO/Photo J.-L. B. L'énorme serpent découvert dimanche matin dans un canal d'arrosage était toujours sur place hier matin. Le maire de la commune de Ria-Sirach ne sait pas trop quoi faire. Etat des lieux. Jean Maury se serait bien passé de ce cadeau empoisonné. Oublié le premier petit moment d'incrédulité amusée, lorsqu'il apprit, dimanche, la découverte d'un boa sur un terrain situé sur sa commune. Le maire de Ria-Sirach affiche aujourd'hui une mine désappointée. Car le voila désormais avec un encombrant "bébé" sur les bras à gérer. Dont il ne sait, à vrai dire, pas trop quoi faire. Inenvisageable, pour d'évidentes raisons sanitaires, de laisser le grassouillet reptile là, en bordure de RN116, la tête et une partie du corps pendouillant dans un canal d'arrosage. Bien que l'animal n'ait pu ni être pesé ni mesuré avec précision, selon les premières constatations d'usage effectuées par les gendarmes et les agents de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), ce boa constrictor mesurerait quatre mètres pour une quarantaine de kilos. Or, au-delà de ce poids, la législation impose qu'un équarrisseur soit dûment mandaté pour procéder à l'élimination du cadavre. Les frais étant alors à la charge du propriétaire. Souci. Son "maître", justement, n'a pas daigné se faire connaître. Ayant semble-t-il préféré se délester du serpent en toute discrétion avant de prendre la poudre d'escampette. Recherché, il n'a à ce jour toujours pas été retrouvé. L'hypothèse d'un acte indélicat émanant d'un particulier est en tout état de cause la plus probable. "Avec la mode des nouveaux animaux de compagnie (NAC), nous sommes amenés à rencontrer de plus en plus de gens qui élèvent chez eux des serpents, des iguanes ou des mygales", confie un agent de l'ONCFS. "Il n'est par conséquent pas exclu de penser que l'animal soit mort chez son détenteur avant que ce dernier ne s'en débarrasse". "A l'odeur, j'ai d'abord pensé à un sanglier" Question : pourrait-il s'agir d'un cirque ? L'un d'entre eux avait bien planté son chapiteau à Prades du 25 juin au 5 juillet dernier. Mais plus de quinze jours après son passage, le reptile aurait été retrouvé en état de putréfaction avancée et en partie dévoré par des sangliers ou des rapaces. En outre, le cirque en question avait été contrôlé par les agents de l'ONCFS et ils n'avaient fait état d'aucun reptile d'une taille aussi imposante. Les registres étaient en règle. "C'était dimanche matin. Il devait être aux alentours de 7 h 30. Je promenais le chien et j'allais acheter du pain", raconte Jean-Pierre Jampy, qui possède un terrain agricole en bordure de la Têt entre la sortie de Ria et l'entrée de Villefranche-de-Conflent. "Soudain, j'ai senti une forte odeur. J'ai d'abord pensé qu'il s'agissait d'un sanglier. Et là je suis tombé nez à nez avec ce monstre". Alertés, le maire et le président de l'association de chasse communale, Claude Santanach, se sont aussitôt rendus sur le lieu de la découverte. "Claude m'a dit d'appeler les gendarmes", souligne Jean Maury. "Mais j'ai préféré me déplacer en personne. Car au téléphone, le planton de service aurait sans doute cru à un canular." Hier matin, le boa constrictor était toujours au même endroit. A quelques mètres seulement de l'aire d'arrêt d'urgence de la RN 116. Jean Maury, se démenait quant à lui avec les services compétents pour trouver un équarrisseur susceptible d'être disponible. L'ayant quand même un peu amer à l'idée de penser que ce serait à la commune, au bout du compte, de mettre la main à la poche pour payer l'inhumation d'un serpent. Aussi gros et tropical soit-il ! Source
  15. MONTAGNE DE REIMS (51). Rando visite, inventaires sur les amphibiens et chauves-souris… voilà quelques actions que va mener le parc naturel de la montagne de Reims sur ses deux sites classés Natura 2000. Qui connaît les Pâtis de Damery ? Ces anciennes pâtures reboisées s’étendent sur 93 hectares, entre Damery et Venteuil. Sur ce site classé Natura 2000, on trouve de la lande comme du genévrier, du genêt d’Angleterre, et de la Callune, une sorte de bruyère. « On peut aussi trouver des orchidées », indique Delphine Semin, chargée de mission « milieux naturels » au parc naturel régional de la montagne de Reims (PNR). Sans oublier des petites mares truffées d’amphibiens et de libellules. Pour que les habitants de Venteuil et de Damery puissent découvrir cet espace de lande, des animations seront organisées pour le grand public dès l’année prochaine. C’est l’une des actions pour l’année 2014-2015 que vient de présenter le PNR au comité de pilotage chargé du suivi des zones classées Natura 2000. « Nous prévoyons d’organiser une rando visite d’une demi-journée, explique Delphine Semin qui s’occupait jusqu’à présent plutôt des scolaires. Nous ferons le tour du site et partirons à la découverte des orchidées, des habitats naturels et des amphibiens. » Pour préserver au mieux les Pâtis de Damery, le parc naturel régional de la montagne de Reims réalisera par ailleurs sur l’année 2014-2015 un inventaire détaillé de la population d’amphibiens. Des sonneurs à ventre jaune, des tritons crêtés, des grenouilles agiles grouillent sur ce site naturel. Des batraciens tous protégés. « Nous voulons identifier exactement les espèces présentes, connaître l’état de leur population pour savoir quelles actions nous devons mettre en place pour continuer à les préserver », précise-t-elle. Le même inventaire sera dressé sur les chauves-souris. Un peu plus loin, le massif forestier de la montagne de Reims et ses étangs associés, qui s’étendent sur 1733 hectares d’Hautvillers à Trépail, demeurent, eux aussi, classés en zone Natura 2000. On y trouve notamment des hêtres calcicoles, des fougères particulières, des pelouses calcaires avec plein d’orchidées, des petites marguerites très rares… Début 2015, un contrat sera signé avec l’Office national des forêts (ONF) pour gérer cet espace de pelouses calcaires situé sur le territoire de la commune d’Avenay-Val-d’Or. « Nous allons couper des arbres pour avoir des trouées, annonce la chargée de mission. Le but est de garder l’espace en pelouse et de faire en sorte que les orchidées puissent se développer. Ces pelouses calcaires sont des îlots de biodiversité. » Tout comme les éboulis crayeux qui abritent notamment les Gaillets de Fleurot, une espèce de plante rare dotée de jolies fleurs à 4 lobes blancs. Ce n’est pas tout. Une étude est actuellement menée sur la population de chauve-souris. Elle va se poursuivre. Les carrières souterraines d’Avenay-Val-d’Or constituent un important réseau de galeries. Elles étaient exploitées autrefois pour le calcaire. C’est actuellement un site d’hivernage d’une importante colonie de chauve-souris avec six espèces rares et vulnérables. Le deuxième du département de la Marne. Tout comme aux Pâtis de Damery, un inventaire sera également constitué sur la population d’amphibiens, les étangs possédant une flore très diversifiée avec de nombreuses espèces de grenouilles et crapauds. Grâce à toutes ces actions, le parc naturel régional de la montagne de Reims veut montrer que le réseau Natura 2000 permet de préserver des espèces menacées. Comme le résume Delphine Semin : « on montre que ça avance ! » «SOS Amphibien» abandonné? Vous vous en souvenez peut-être, le dispositif « SOS Amphibien » avait été mis en place en février dernier le long de la RD71, au milieu de la forêt, entre Saint-Imoges et Germaine. Une bâche en plastique verte avait été installée sur 300 mètres le long de la route et une quinzaine de seaux, enfouis tous les 20 mètres. Objectif : faire traverser la route aux grenouilles, crapauds et autres tritons pour qu’ils puissent pondre leurs œufs au bord de l’étang du Petit Maupas, sans se faire écraser par les voitures. Tous les matins, une horde de bénévoles relevait les seaux et relâchait ces batraciens au bord de l’eau. En deux mois, une centaine d’amphibiens ont ainsi été sauvés. « C’est peu ! constate aujourd’hui Delphine Semin, chargée de mission « milieux naturels » au Parc naturel régional de la montagne de Reims. Ce n’est pas une grande migration. » Des crapauds communs, des grenouilles rousses, vertes et agiles, ainsi que des tritons palmés et ponctués ont notamment été recensés. Delphine Semin en tire deux hypothèses : « soit les amphibiens ne migrent plus à cet endroit parce que l’étang, mal entretenu, est peu souvent en eau ; soit la population d’amphibiens a été fortement réduite à cet endroit ». Mis en place il y a trois ans, le dispositif « SOS Amphibien » pourrait donc ne plus être reconduit l’an prochain entre Saint-Imoges et Germaine. « Nous allons lancer un appel aux communes, annonce la chargée de mission. Nous souhaitons tester d’autres sites. » Source
  16. CAMPBELLTON, N.-B. – La GRC au Nouveau-Brunswick a terminé son enquête concernant la mort des deux jeunes frères Noah et Connor Barthe, asphyxiés par un python de Seba qui s’est échappé de sa cage, à Campbellton, l'année dernière. Le dossier a été remis à la Couronne. La police n’a pas recommandé le dépôt d’accusation. Le dossier n’est toutefois pas fermé. «L’enquête n’est pas conclue parce que la Couronne pourrait demander d’autres informations à nos enquêteurs», a indiqué la constable de GRC, Jullie Rogers-Marsh. Noah, 4 ans, et Connor, 6 ans, sont morts étouffés par le serpent, le 5 août 2013. Ils dormaient dans l’appartement situé au-dessus de l’animalerie Reptile Ocean lorsque le python s’est enfui de son enclos et a fait son chemin jusqu’aux enfants. Le commerce et l’appartement sont la propriété de Jean-Claude Savoie, qui gardait l’animal exotique illégal dans son appartement. Mercredi, le gouvernement du Nouveau-Brunswick a annoncé la création d’un groupe de travail qui aura la responsabilité d’examiner les lois et les règlements relatifs aux animaux exotiques dans la province. «Notre gouvernement estime important d’informer le public concernant nos efforts pour revoir nos règlements actuels, afin de les renforcer, et notre intention d’établir un groupe de travail qui permettra de s’assurer qu’une telle situation ne puisse se reproduire», a indiqué le ministre des Ressources naturelles, Paul Robichaud. Le groupe de travail sera dirigé par le gérant du Zoo de Magnetic Hill à Moncton, Bruce Dougan. Il est aussi un ancien président des Aquariums et zoos accrédités du Canada. Source
  17. Une fois sorties de leur oeuf, les tortues de mer doivent atteindre la mer le plus rapidement possible pour échapper à leurs prédateurs. L'une d'entre elle a été filmée durant ces quelques minutes périlleuses. Les premières minutes difficiles de la vie d'une tortue de mer par Gentside Découverte Les premières heures de la vie d’une tortue de mer sont un véritable challenge. Sorties de leur oeuf et du sable, les jeunes tortues doivent se précipiter vers la mer sans se faire attraper par leurs prédateurs, les oiseaux marins. Sur l’île de Jekyll, au large de l’Etat de Georgie, aux États-Unis, un centre dédié à ces animaux a été mis en place, et l’éclosion des œufs de tortues carettes, ou caouannes (Caretta caretta) est étroitement surveillée et protégée. Toute une aventure Une petite tortue née sur l’île a ainsi été filmée depuis le moment où elle sort de son œuf jusqu’à celui où elle atteint la mer, le tout accompagné d’une musique de film d’action à laquelle la situation se prête plutôt bien. La première partie de son trajet est protégée par un filet mis en place par les autorités de l’île, mais au bout de quelques mètres, la tortue doit évoluer à découvert, vulnérable aux oiseaux. Malheureusement, les prédateurs sont loin d’être les seules menaces pesant sur cette espèce de tortue, classée en danger par l’Union Internationales pour la Conservation de la Nature (UICN). Autrefois chassées pour leur viande et leurs œufs, les tortues carettes sont aujourd’hui protégées par la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages (CITES). Menaces sur les tortues carettes et leur reproduction Mais d’autres activités humaines, comme la pêche, et notamment les palangres et les filets maillants, ainsi que le rejet de déchets plastiques dans les océans, sont responsables de leur déclin. Sur les plages illuminées par la lumière artificielle, les jeunes tortues ont également plus de mal à se repérer et à trouver la mer, car les lumières interfèrent avec leur système de navigation, basé sur la réflexion de la lueur de la lune et des étoiles sur l’eau. Les tortues finissent parfois par se déplacer dans la direction opposée à la mer, et meurent de déshydratation ou sont attrapées par des oiseaux. La construction de ports, marinas ou d’habitations sur les plages nuit également à ces tortues, qui ont de plus en plus de difficultés à trouver des plages propices à l’éclosion de leurs œufs. Durant la saison des naissances, il n’est toutefois pas rare que des bénévoles et des employés des centres de protection des tortues aménagent des zones réservées aux nids de tortues, comme c’est le cas sur l’île de Jekyll. Source
  18. Un stage original près de Caen : la « P'tit Chef Académy » proposait ce samedi d’apprendre à cuisiner des insectes. Miam ? Dans plusieurs pays d’Afrique ou d’Asie, on mange des insectes sans arrière pensée. Termites, scarabées, grillons et autres vers sont sources de protéines, ces insectes peuvent en contenir jusqu’à deux fois plus qu’un steack. De là à en faire notre ordinaire… Il n’empêche que, peu à peu, l’insecte prend sa place ici ou là dans l’alimentation en Europe. Attrait de la nouveauté, goût du risque, mais aussi parfois préoccupation écologique, car l’insecte consomme moins d’eau et de nourriture qu’un animal. Alors, êtes-vous prêt à briser une barrière culturelle et psychologique ? Que diriez-vous de quelques nems de termites pour votre dîner ? Source
  19. L e reptilarium du Larzac propose une journée dans la peau d'un soigneur. Cela va bientôt faire dix ans que le parc dédié aux reptiles de Sainte-Eulalie-de-Cernon a ouvert ses portes. Tortues, serpents, crocodiles, iguanes... ce sont plus de 100 animaux de 50 espèces différentes qui habitent le reptilarium. Ici, c'est une affaire de famille. Parents comme enfants sont des mordus des bêtes à écailles. Le père, Fabien Catala, s'occupe des animaux avec le soigneur Joselin Lextrit : ils les nourrissent, rentrent et sortent certaines tortues, et surtout répondent aux questions des visiteurs. "On fait des animations tout au long de la journée en nourrissant les reptiles ou bien en les sortant pour que les gens puissent les toucher", comme pour Marlo, 3 ans, qui caresse pour la première fois ce samedi, un petit serpent. Dès 14 h, les soigneurs commencent à donner aux bestiaux des proies, mortes ou vivantes (le public est prévenu à ce moment-là), le mieux étant de téléphoner pour connaître les horaires et être sûr de voir une animation. Pour pouvoir nourrir tout ce petit monde, les Catala élèvent criquets, sauterelles, lapins et souris. "Une dizaine de visiteurs a eu la chance de voir douze bébés boa sortir de leurs coquilles" En plus du nourrissage, d'autres animations aléatoires sont visibles : les naissances. En cette période de juillet août, les œufs de reptiles éclosent sous les yeux des quelques privilégiés qui sont là au bon moment. "Le 21 juillet, une dizaine de visiteurs a eu la chance de voir douze bébés boa sortir de leurs coquilles", raconte Fabien Catala. Ces moments uniques ponctuent les journées et rendent les visites ludiques en laissant un souvenir inoubliable. Le but du parc est de sensibiliser les gens à ces animaux si particuliers, qu'ils soient en voie de disparition ou non. On peut y voir le plus gros lézard de France, également présent dans la vallée du Tarn : le lézard ocellé. Mais aussi le crocodile mexicain, une espèce menacée. Les passionnées pourront en apprendre toujours plus grâce aux anecdotes de Fabien Catala : "Ce gecko géant de Madagascar peut grimper sur toutes les surfaces, même au plafond !" "C'est un peu comme un voyage sur tous les continents" Pour les amateurs de records, il y a le python réticulé albinos, le serpent le plus grand du monde, avec ces 8,5 mètres, pouvant peser plus de 100 kg. "C'est un peu comme un voyage sur tous les continents", remarque le propriétaire du parc. Mêmes les gens qui sont un peu phobiques peuvent venir, le soigneur attentif, se fera un plaisir d'expliquer que "les serpents n'aiment pas plus que ça être portés". Dehors, plusieurs espèces de tortues sont présentes. Toutes ont leur petit nom : Marcel, Caroline, Charlotte et Kiki. "Certains enfants reviennent plusieurs fois et sont ravis de prendre des nouvelles des tortues", s'amuse Fabien Catala. Surtout qu'ici, on peut les toucher. Cette année, le reptilarium du Larzac propose une grande nouveauté : un stage d'une journée dans la peau d'un soigneur. Un enfant est reçu le matin à 8 h, et accompagne Fabien Catala. Il peut rentrer avec lui nourrir les animaux, s'occuper de la nurserie, bref, être au plus près des animaux. "Je vois les enfants qui ont des étincelles dans les yeux toute la journée", raconte le soigneur. De quoi susciter des vocations. Source
  20. Un boa constrictor mesurant environ 60 centimètres a été découvert en liberté par un passant, à proximité de la gare de Zurich. L'enquête de police dans le quartier n'a pas permis pour le moment de retrouver le propriétaire du serpent. Le boa constrictor découvert mesure environ 60 centimètres. Image: POLICE DE ZURICH Un boa constrictor a été trouvé par un passant non loin de la gare de Zurich. L'animal mesure environ 60 centimètres. Un employé d'un restaurant tout proche a mis l'animal dans un sac et a alerté la police qui a dépêché sur place un spécialiste des reptiles. L'expert a pu déterminer qu'il s'agit d'un jeune boa constrictor, a indiqué mardi la police municipale zurichoise. Ce serpent est originaire d'Amérique du Sud. L'enquête de police dans le quartier n'a pas permis pour le moment de retrouver le propriétaire du serpent. (ats/Newsnet) Source
  21. Associated Press Albuquerque, Nouveau-Mexique Les autorités rapportent que des agents du Nouveau-Mexique ont répondu à un appel au sujet d'une entrée par effraction avant de se rendre compte que l'intrus en question était en fait un énorme serpent. La police d'Albuquerque a raconté que des agents sont allés chercher le reptile après qu'une femme eut téléphoné au 911. Les autorités croient que le serpent a rampé jusqu'à la maison de la dame, où il s'est probablement introduit par une porte ouverte. L'animal a été libéré à l'extérieur, dans la ville. Personne n'a été blessé. Source
  22. Un serpent, apparemment fan de l’OM, n’a pas voulu manquer le reprise de Mathieu Valbuena. Les entraînements ont beau être à huis clos, certains trouvent toujours le moyen d’être au plus près des joueurs olympiens. Ainsi, un serpent s’est invité à l’entraînement le long du terrain "du haut". Il n’a pas hésité à faire quelques "foulées" à côté de Mathieu Valbuena et Jérôme Palestri, plutôt surpris de voir un serpent à cet endroit. Le reptile, probablement encore plus effrayé que les Olympiens, s’est réfugié dans les rochers. Source
  23. Immersion à la Ferme aux crocodiles, à Pierrelatte (Drôme), qui abrite des crocodiles albinos, à la peau blanche. Le crocodile est un animal mystérieux. En France, un parc les fait découvrir en toute sécurité au public depuis 20 ans. Il s'agit de la Ferme aux crocodiles, à Pierrelatte, dans la Drôme. Un estomac gros comme un ballon de basket Même s'il mesure 5 mètres de long et compte 60 dents, un crocodile mange peu : il se ne se nourrit qu'une fois par semaine voire une fois toutes les deux semaines, indique un Florient Sorria, un soigneur. "Un très très gros mâle, comme on en a, a un estomac pas plus gros que la taille d'un ballon de basket", précise-t-il. Du coup, à chaque repas, chacun bête ne mange pas pas plus de deux kilos de viande. Une femelle peut pondre jusqu'à 60 œufs par an. Impossible de les laisser éclore. Il faut alors les déterrer. Pour mener cette mission délicate, les soigneurs et vétérinaires ne disposent que de pelles en acier pour se protéger. En vingt ans, le soigneur Stéphane Bouzellia souvent eu chaud mais n'a jamais été mordu. Procéder autrement est impossible car ces contemporains des dinosaures ne supportent pas les anesthésies. Source
  24. C'est une dame prénommée Marie qui a découvert une grenouille bleue dans le pays de Redon. Le spécimen s'appellera donc grenouille bleue Marie. Marie fait partie du groupe de passionnés qui inventorient les espèces animales sur le pays de Redon, groupe piloté par le naturaliste Roger Beudet. La petite grenouille bleue a été découverte en septembre. Et bientôt, le naturaliste et sa troupe vont retourner sur les lieux de la découverte. En août, les têtards terminent leur transformation. Les naturalistes veulent voir si ceux nés à l'endroit d'où vient probablement le spécimen découvert par Marie, se sont, à leur tour, transformés en grenouilles bleues, ou si le specimen trouvé reste, au moins encore pour quelque temps, un cas unique dans le pays de Redon. Source
  25. Des crapauds accoucheurs ont été repéré dans Rully, signe du bon climat et de labiodiversité qui règne sur les terres de la commune. Observés depuis quelques années à la Maison des Buis, Alytes obstetricans, nom scientifique du crapaud accoucheur squatte un tas de gravier et quelques récipients de récupération d’eau de pluie. Ce crapaud est présent dans toute la France, mais avec une implantation morcelée dans les zones humides. Il est très sensible à la pollution chimique (pesticides et insecticides) et a donc du trouver là un terrain adapté à son développement. Sept mâles ont été répertoriés ce printemps. C’est bien sûr une espèce protégée. À partir de mars, dès le crépuscule, pour attirer les femelles, les mâles chantent une petite note mélancolique et flûtée répétée 20 à 40 fois par minute et ressemblant au chant du hibou petit-duc. L’accouplement des crapauds accoucheurs se passe sur la terre ferme. Le mâle aide sa partenaire à pondre un chapelet de 15 à 80 œufs en lui massant le ventre grâce à un mouvement de ses pattes arrières et fixe ces œufs sur ses pattes postérieures. Le mâle se réfugie alors pendant plus de trois semaines dans un terrier humide où les œufs ne sèchent pas. Dans des conditions sèches, il se rend tous les soirs, au point d’eau pour les faire tremper. Il déposera ensuite les œufs dans une mare, en général celle où il est né ou sous l’effet de l’eau les œufs écloront donnant naissance à des têtards vigoureux et carnivores dixit la Science ! Ceux de Rully se gavent également de feuilles de salades, de trognons de pommes et autres végétaux. Le mâle adulte passe au maximum sept heures dans l’eau chaque année, et la femelle pas une minute ! Source
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