Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Max|mum-leterrarium

Membres
  • Compteur de contenus

    12 143
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. A New York, un cobra s'échappe du zoo du Bronx Un cobra égyptien très dangereux s'est échappé vendredi dernier du zoo du Bronx au nord de New York et était toujours activement recherché lundi, a annoncé le zoo un communiqué. Le zoo du Bronx, le plus grand de la ville, a fermé sa "maison des reptiles jusqu'à nouvel ordre", précise le site officiel du zoo. Le serpent est encore jeune et ne mesure que 50 cm de long. Les New-Yorkais ne devraient pas s'inquiéter, assure le zoo. "Selon notre connaissance de l'histoire naturelle et du comportement des serpents, nous savons qu'ils aiment les lieux clos et ne se sentent pas bien en plein air. Nous sommes sûrs qu'il est dans l'un des bâtiments du zoo", précise le communiqué. (Source AFP) Source
  2. Opération sauvetage pour ces bébés tortues Luth Sur la plage, le long des côtes Togolaises, des tortues marines viennent chaque année pondre des oeufs qui dès lors sont en très grands dangers. La plupart du temps les oeufs de tortues Luth et les tortues elles-même finissent dans les marmites des riverains ou sont vendus à des fins diverses. Pour faire face à ce drame et sauver un maximum d'animaux, le gouvernement à pris des mesures importantes de sensibilisation des populations. C'est ainsi que chaque année des centaines d'oeufs de tortues marines échouent dans mes incubateurs. C'est une nuit de pleine lune du mois de décembre, la plage est calme et silencieuse. Seul le ressac des vagues qui viennent s'échouer en rouleaux sur le sable fin trouble le silence ambiant. Une forme sombre émerge de la mer et se dirige lentement vers la plage. Elle est bientôt rejointe par plusieurs autres. Pendant des heures, les tortues vont creuser la plage et y déposer des centaines d'oeufs blancs avant de reboucher leurs trous et de disparaître vers l'immensité des océans. La tortue Luth fait partie du genre dermochelys. C'est la plus grande des sept espèces de tortues marines qui existent dans le monde. Sa principale caractéristique est de ne pas posséder d'écailles sur sa carapace, mais plutôt une peau tendue sur des os dermiques. Elle fréquente tous les océans de la planéte, mais sa survie est gravement menacée par le braconnage et la pollutions des mers. Au petit matin, des volontaires de plusieurs ONG vont parcourir la plage pour délimiter et protéger les zones de pontes. Quand celles-ci sont trop en danger, ils récupèrent les oeufs qu'ils placent dans des sauts remplis de sables humides et les apporte aux autorités compétentes. C'est ainsi que chaque année plusieurs centaines d'oeufs me sont confiés pour être mis en incubation dans mes installations. Faire incuber des oeufs de reptiles est souvent très difficile car ils nécessitent une température et une hygrométrie dirigée. Impossible de faire éclore les oeufs si un minimum de 28°C n'est pas respecté pendant les soixante dix jours que dure l'incubation. Les machines fonctionnant sur le réseau électrique, il est impératif de ne pas subir de délestage. Contre ce risque majeur, un groupe électrogène a été installé. Tous les jours, des personnels formés vérifient l'état des pontes et leur évolution. Il faut retirer les oeufs non viables ou qui commencent à gâter afin d'éviter la contamination des autres. Il faut également veiller à ce que les parasites et spécialement les tiques ne se fixent pas sur les oeufs ce qui entraîne leur destruction. Au final tous ces efforts permettent l'éclosion de 82% des oeufs qui me sont confiés. La sonnerie du téléphone retentit, je regarde le réveil les yeux plein de sommeil. Un veilleur dédié à la surveillance des oeufs des tortues Luth vient de constater que certains sont sur le point d'éclores. C'est toujours un moment émouvant quand l'oeuf commence à percer et que l'on voit pour la première fois le petit animal. Il mettra des heures à se dégager de sa coquille. Aussitôt nous récupérons les jeunes reptiles pour les inspecter. Un bilan de santé rapide est établi et le jour même c'est par seaux entiers que les nouveaux nés sont remis à la mer. Les premières vagues refoulent sur la plage les petites tortues. Loin d'abandonner, elles retournent immédiatement vers l'eau. A force de patience et de persévérance elles finissent par dépasser les premières vagues. Un instant elles se reposent à la surface de l'eau, puis d'un coup de nageoire disparaissent à jamais dans l'eau écumante. Beaucoup d'entre elles mourront avant d'avoir atteint l'âge adulte. Elles seront mangées par les mouettes,les poissons ou se seront fait prendre au piège des filets de pêche. Mais certaines survivront et, peut être, un jour, reviendront pondre leurs oeufs sur cette plage africaine ou elles ont fait leurs premiers pas vers la vie. Et vous, avez-vous déjà contemplé des tortues marines ? Eric Fcd Source
  3. Une fillette allemande de 7 ans a découvert un boa constricteur dans la cuvette de ses toilettes Un boa constricteur a été découvert par une fillette de 7 ans dans la cuvette de ses toilettes, a rapporté lundi la police allemande. Alertée par l'enfant, sa mère a confirmé la présence de l'animal et a même pu le photographier. Les autorités sont toutefois arrivées trop tard pour capturer la bête, qui a disparu dans les tuyaux. Après examen de la photo, les autorités ont affirmé que le serpent n'était pas dangereux pour les humains. Source
  4. Hahaha je n'avais jamais vu ce message là C'était un coup bas ça
  5. Nom scientifique : Litoria caerulea Nom français : Rainette de White Nom anglais : Australian green tree frog Origine : Australie et Nouvelle-Guinée Biotope : Humide Température : 25 à 28°C Moeurs : Arboricole et nocturne Taille adulte : Femelle, 10 à 15 cm, mâle 8 à 12 cm Longévité : 15 ans Nourriture : Insectivore. Photo emprunté sur le site http://batraciens.net/ Je me demandais quelle grenouilles vous présenter et j'ai finalement songé à celle-ci. Je n'y pensais pas du tout, peut-être au fait que c'est une grenouille populaire qu'on l'on trouve sur le marché. C'est une grenouille facile d'entretien et qui n'est pas difficile à nourrir. En fait, elles n'ont pas de fond. J'ai un petit conseil à donner. Si vous possèdez des mâles, ne laissez pas le terrarium dans votre chambre à coucher. Le chant de cette grenouille peut vous empêcher de dormir.
  6. Des débris de plastique perforent l'estomac des tortues de mer Des détritus de matière plastique ont été retrouvés dans l'estomac d'une jeune tortue de mer Morte près du littoral d'Argentine. Des matériaux qui ne sont pas biodégradables flottent à la dérive sur les mers tuant les tortues qui ingèrent ces fragments de plastique, leurrées par leur forme et leur couleur. Celles-ci se laissent prendre au piège et s'empoisonnent littéralement avec ces pièces non comestibles flottant sur les eaux. Le plastique se retrouve en mer suite à la négligence des hommes. Des courants marins les dispersent sur les océans et les fracturent. Les tortues des mers ne sont pas les seules victimes de cette pollution. Les poissons ainsi que les oiseaux se laissent berner par l'apparence trompeuse de ces résidus. Avaler des morceaux de plastique peut entraîner des perforations d'estomacs et concourir à un blocage du tube digestif. La majorité des plastiques se regroupent dans l'océan Pacifique dans un tourbillon où s'accumulent toutes ces pièces en un amas flottant de déchets. Certains estiment possible que se forment cinq tourbillons de ce type sur les divers océans et que s'y amassent de la sorte autant de résidus entraînant davantage de pollution, un risque accru pour les tortues et autres habitants de ces mers. Source
  7. Elle a fait ça comme une grande fille. Elle revient avec moi bientôt aussi.
  8. Bonjour tout le monde, Je voulais juste vous aviser de ma décision de nommer LD50 comme modérateur de la section Arachnides. Ne vous inquiètez pas, Tregg est déjà administrateur du forum avec moi alors il ne se fait pas tasser. Il a déjà accès à toutes les sections du forum alors c'est seulement un complément pour notre équipe. Bonne journée
  9. Le serpent, un intrus qui vous veut du bien À Saint-Martial, ce citadin s'étonne de rencontrer des serpents sur sa propriété. Suite à quoi son voisin l'assure que des lâchers de serpents ont été réalisés. Réalité ou fantasme ? Les divers spécialistes interrogés optent sans hésiter pour la seconde option même si un autochtone croit savoir qu'à une époque dans les bois de Cazes-Mondenard, des vipères auraient été lâchées pour contrer la prolifération de rats. Un connaisseur de l'espèce assure pour sa part que des lâchers ont pu être réalisés à très haute altitude dans les Pyrénées dans le cadre de la gestion de l'espèce qui, faut-il le rappeler, est protégée. Pour en revenir à Saint-Martial comme dans toutes les propriétés du secteur, la cohabitation avec les serpents relève d'une réalité... naturelle. Yanick Coyac (1), spécialiste des serpents et interlocuteur patenté des pompiers et de la DSV en cas de nécessité : « C'est la fin de l'hibernation et la période des accouplements ». Les serpents sont donc de sortie. Et si on commence à les croiser maintenant, on les verra encore plus cet été où ces reptiles en quête de fraîcheur privilégieront les abords des piscines (et parfois même le bain), les tas de bois, les rocailles, voire l'intérieur des habitations. Mais sont-ce des vipères ou des couleuvres ? « A 99,9 %, ce sont des couleuvres, à collier ou des vertes et jaunes », assure Yanick Coyac. La forme des pupilles et des écailles de la tête caractéristiques de la vipère ne sont pas la chose la plus facile à ausculter lors d'un face à face : Mais il y a plus simple. « La vipère est plus trapue, plus courte. Sa tête est bien séparée du reste du corps. La couleuvre est plus longue, plus fine ». Mais Yanick Coyac insiste sur un point : « Ne tentez pas de l'attraper. Si elle se trouve dans un lieu délicat (au salon, dans la piscine) alertez les secours. Mais autour de la maison, un balai suffit généralement à les éloigner. Elles sont plus peureuses que nous ». Même si cela ne calme pas les phobiaques du serpent, rappelons que sa présence dans notre environnement est un gage de bonne santé du bio top. La rationalisation des traitements phytosanitaires, le retour des haies et donc d'une microfaune… favorisent le développement des espèces. Le serpent joue son rôle dans la chaîne alimentaire en éliminant les rongeurs, notamment. Chaine alimentaire où il est lui-même prédaté par les renards et les hérissons. C'est probablement dur à avaler, mais la couleuvre est notre amie. La vipère beaucoup moins. Mais elle reste rare. Source
  10. Eh oui, hier après-midi, j'ai pris congé du travail pour aller faire une présentation de reptiles et arachnides aux enfants du service de garde de St-Alban. J'avais pris entente avec la gentille demoiselle en charge du service de garde pour venir éduquer les enfants qui m'a ensuite référé à d'autres écoles. Comme j'adore les enfants et que j'adore les reptiles, tout s'est bien passé. Je vous montre quelques photos. Les enfants tenaient à voir les animaux se promener alors. C'est quand même le Berber qui a été nommé le plus beau durant la présentation. Les enfants l'adoraient. Ils ont quand même adoré aussi les serpents avec le feeling de l'avoir dans le cou . J'aime le visage tout impressionné de cette petite là. Le petit groupe tout attentif Et puis, j'ai sorti la mygale qui faisait peur aux gens. Ils ont pu voir qu'on en a peur pour rien. Bella, qui est la mygale de Bella ici sur le forum nous a fait ça comme une grande. J'avais avisé la demoiselle du service de garde qui est une amie qu'elle devrait prendre l'araignée poilu pour le plaisir des yeux des enfants. Par contre, durant la présentation, on a eu droit à une visite dont je ne pouvais pas passer à côté. Imaginez les enfants quand j'ai dis 'voulez-vous voir votre directrice prendre la mygale dans ses mains?' Elle a fermé les yeux et ne les a pas réouvert tant que je ne l'ai pas repris dans mes mains. On se préparait pour la fin eb répondant aux questions des enfants. Ensuite, le tout était terminé mais il y avait des enfants avec les yeux brillants qui voulaient pouvoir prendre les animaux à nouveau alors pourquoi pas leur donner un beau sourire. La journée s'est terminé par un jeune garçon qui m'a demandé de venir passer la fin de semaine chez moi et par trois autres qui m'ont demandé si j'allais revenir bientôt. Ce fût une belle journée pour tout le monde.
  11. Bonjour tout le monde, Je fais resortir ce poste à cause de message comme celui ci http://montreal.kijiji.ca/c-animaux-autres-animaux-a-vendre-Baby-Nasicorins-W0QQAdIdZ270163652 N'hésitez pas à dénoncer les illégalités pour la conservation de notre passion.
  12. Des os de dinosaure découverts dans les sables bitumineux FORT McMURRAY, Alberta - Des os de dinosaure qui pourraient être vieux d'environ 110 millions d'années ont été découverts lundi dans une mine de Suncor Energy, à environ 50 km au nord de la ville de Fort McMurray. Des employés du Royal Tyrrell Museum se sont déjà rendus sur le site pour documenter la découverte. Ils pensent que les ossements appartiennent à un ankylosaure. Pour mettre en perspective la découverte, précisons que les restes des dinosaures trouvés dans le parc provincial Dinosaur remontent à environ 75 millions d’années. L’Ankylosaurus était le plus connu des dinosaures blindés et le dernier et le plus important des ankylosauridés. Sa peau dure était couverte de plaques osseuses, et il pouvait balancer sa queue massue pour blesser les prédateurs. Ce dinosaure de la fin du Crétacé est connu à partir de fossiles trouvés dans le Montana et l'Alberta. Selon Leanna Mohan du Royal Tyrrell Museum, la découverte est importante parce que la quasi-totalité du fossile a été «très bien préservée». Les experts du musée se sont envolés vers le site mardi soir pour vérifier la découverte. Le travail dans la mine a été temporairement suspendu, jusqu'à ce que le fossile soit retiré. «Ils pensaient que c'était un reptile marin, ce qui est normalement ce qu’on retrouve dans les sables bitumineux, et il s’avère que c’est un dinosaure», a déclaré Mme Mohan. Elle pense que le dinosaure blindé aurait pu être emporté par la mer pour ensuite couler au fond, où il a été conservé. Un opérateur de pelle mécanique a fait la découverte quand il a remarqué «quelque chose de différent» dans le mur qu’il creusait à la pelle, a expliqué la porte-parole de Suncor, Lanette Lundquist. «C'était vraiment comme trouver une aiguille dans une botte de foin.» L'exploitant a immédiatement arrêté le travail et a appelé son superviseur. Ils ont tous deux réalisé qu'ils avaient besoin de faire appel à quelqu'un ayant plus d'expertise, d'où l'appel au géologue de chez Suncor, qui a aussi convenu qu'ils devaient communiquer avec le musée. «Ils ont pris des photos et des informations, puis transmis le tout au musée Tyrrell, qui a jugé que cela était suffisamment important pour envoyer quelqu’un sur place le lendemain», a déclaré M. Lundquist. «Les scientifiques étaient très excités de découvrir qu'il s'agissait, en fait, d’un dinosaure, a ajouté M. Mohan. C'est inattendu de trouver un dinosaure à cet endroit, car les dinosaures sont des animaux terrestres. En outre, les ankylosaures sont rares, de sorte que cela semble une grande découverte.» Le personnel du musée sera de retour la semaine prochaine à Suncor, pour superviser les travaux d'excavation. «Ils vont travailler avec Suncor pour le sortir de la terre en toute sécurité et le ramener ici», a indiqué M. Mohan. Le dernier reptile géant qui a été découvert à cet endroit était un ichtyosaure, il y a de cela environ 10 ans. Source
  13. Les secrets de la peau des reptiles préhistoriques révélés Pour la première fois, une cartographie des différents éléments composant la peau d'un reptile vieux de 50 millions d'années a pu être établie. Des travaux rendus possibles grâce à une nouvelle technique infrarouge. Grâce à l'infrarouge, les éléments chimiques de la peau d'un reptile fossile ont pu être observés pour la première fois et ont ainsi permis de comprendre de quelle façon ceux-ci avaient pu être préservés. Un travail complexe selon l'équipe de scientifiques britanniques à l'origine de la découverte, qui a expliqué que l'échantillon de peau de reptile était si bien conservé qu'il était difficile de distinguer le fossile de la partie fraîche. Pour parvenir à cette analyse, les chercheurs ont employé une toute nouvelle technique comme l'a indiqué à la BBC, Roy Wogelius, l'un des auteurs de l'étude publiée dans la revue Proceedings of the Royal Society B. Très avantageuse, cette technique est si peu invasive, qu’elle pourrait être réutilisée pour tous les spécimens qui se trouvent dans les musées, même les plus rares et les plus fragiles. En fait, la méthode consiste à associer chaque matériau à une fréquence lumineuse. La lumière, en fonction de ce sur quoi elle est projetée, va être plus ou moins absorbée et va transmettre une image qui pourra au fur et à mesure être montée en trois dimensions. Ainsi, l’équipe a pu comprendre que lorsque des composants cutanés commencent à s’abîmer, une espèce de protection se crée autour du minéral sur lequel elle se fossilise. Les tissus restent donc protégés de la décomposition et de l’érosion. La peau qui a été observée a laissé des traces qui permettront de déterminer la couleur et la pigmentation de la peau. Mais bien d’autres découvertes sont à espérer de cette nouvelle méthode d’investigation. Source
  14. Hécatombe chez le crapaud accoucheur pyrénéen D'Amérique en Australie, crapauds et grenouilles du monde entier succombent en masse à un champignon qui sévit à présent dans les Pyrénées. Parmi les dernières victimes : les crapauds accoucheurs, espèce protégée pyrénéenne ainsi nommée parce que les mâles transportent les œufs pondus par les femelles et leur accordent une attention toute maternelle jusqu'à l'éclosion. Au lac d'Arlet, à près de 2 000 m d'altitude, « on a découvert en un seul jour 350 cadavres », relate Eric Sourp, responsable du service scientifique du parc national des Pyrénées. Dans un autre secteur, celui de Néouvielle, « 95 % de la population a été anéantie », ajoute-t-il, très inquiet. Des hécatombes illustrées par des images de corps livides entassés sur le rocher (photo). Les batraciens sont exterminés par les effets dévastateurs de la chytridiomycose, maladie causée par un champignon, le Batrachochytrium dendrobatidis (Bd). La maladie, identifiée pour la première fois en Europe à la fin des années 1990 dans le parc naturel de Peñalara (Espagne), est apparue au début des années 2000 dans les Pyrénées occidentales, où elle provoque désormais des mortalités importantes en haute altitude, explique Dirk Schmeller, chercheur au CNRS de Moulis en Ariège. « Des phénomènes d'extinction en masse » de ce petit crapaud de cinq centimètres ont été notés à Ibon de Acherito, côté espagnol et, côté français, dans les secteurs du lac d'Arlet, d'Ansabère et de Néouvielle. La chytridiomycose a déjà fait des ravages en Amérique centrale, en Australie ou aux Etats-Unis. Tests de grossesse Ses origines ne sont pas scientifiquement établies. Mais le premier cas de Bd identifié l'a été sur un spécimen de xenope laevis, grenouille sud-africaine naturalisée en 1938. Or les xenopes sud-africaines, qui semblent cohabiter sans trop de dommages avec le champignon, ont été « exportées par milliers dans le monde » pour servir à la recherche en laboratoire, mais aussi « de tests de grossesse vivants ». La technique, inventée dans les années 30 et développée jusqu'au début des années 60 dans les pays occidentaux, consistait à injecter l'urine d'une femme sous la peau d'une xenope femelle. Si la femme était enceinte, la grenouille pondait des œufs sous l'effet de l'hormone de grossesse et un mâle émettait des spermatozoïdes. « Les xenopes sont des porteurs sains et personne n'a réalisé qu'il y avait des problèmes de sécurité », assure le chercheur. Source
  15. "Fréquence Grenouille" le samedi 2 avril Dans le cadre de ses "Découvertes nature et patrimoine", le Parc naturel régional des Causses du Quercy vous invite à participer à "Fréquence Grenouille" le samedi 2 avril à Thégra. "Fréquence Grenouille" est une campagne de sensibilisation organisée par le réseau des Conservatoires d’espaces naturels et Réserves naturelles de France en faveur de la préservation des zones humides. A cette occasion, l’équipe du Marais de Bonnefont (Communauté de communes du Pays de Padirac) vous a préparé une soirée de découverte des fontaines, lavoirs et points d’eau de Thégra pour mieux connaître et comprendre la vie des grenouilles, crapauds, tritons et salamandres. Samedi 2 avril, à partir de 17h30 à Thégra. Places limitées - sur inscription auprès de la Communauté de communes du Pays de Padirac, tél. 06 78 00 93 07. Le lieu exact de rendez-vous vous sera communiqué au moment de l'inscription. Prévoir des vêtements chauds, des bottes et une lampe de poche. Départ de la 1ère balade à 17h30 (petite boucle de 2,5 km). Pique-nique tiré du sac vers 19h (sous abri). Départ de la 2e balade à 20h30 (boucle de 3,7 km). Animation gratuite. Source
  16. L’oreille humaine étudiée sur… des poissons et des grenouilles Les chercheurs d’un institut privé américain spécialisé dans l’étude de l’audition explorent les mécanismes de notre oreille interne en travaillant sur une espèce particulière de poisson et sur une autre de grenouille. Des animaux qui partagent nombre de caractéristiques génétiques et physiologiques avec l’être humain. Quel est le point commun entre le xénope du Cap, une grenouille originaire d’Afrique, et le poisson zèbre ou Danio, originaire de l’Inde ? Tous deux sont les principaux sujets d’étude des scientifiques d’un laboratoire de recherche sur l’oreille interne humaine du House Ear Institute de Los Angeles, une organisation à but non lucratif qui s’intéresse à l’oreille et à l’audition. Un choix qui parait certes surprenant mais qui se base sur 3 caractéristiques bien particulières de ces animaux. Primo : pendant leur stade de développement embryonnaire, les organes auditifs et d'équilibre de ces deux espèces ressemblent beaucoup à ceux des humains. Secundo : leur séquençage génomique a révélé que toutes deux partagent une majorité de gènes avec l’homme. Tertio : leurs œufs sont fécondés et se développent hors du corps de la mère, permettant aux chercheurs d’accéder facilement à des embryons intacts. Notre oreille interne se développe dans l'embryon à partir d'un simple lambeau de peau appelé la placode otique. L'objectif de la recherche sur le poisson zèbre est ainsi de comprendre, au niveau moléculaire, comment et pourquoi les cellules de la placode otique ‘décident’ de devenir des cellules neuronales, sensorielles ou non sensorielles. Tandis que les travaux sur la grenouille visent principalement à déterminer quelles molécules et quelles régions de ce tissu sont impliquées dans le développement normal de l'oreille interne. Ces recherches sont d'un enjeu important pour d'éventuelles futures thérapies destinées à remplacer les cellules sensorielles défectueuses ou à réparer certaines malformations. Mais pour qu'elles soient efficaces, il faudra évidemment que les cellules régénérées soient positionnées avec précision et au bon endroit. Source
  17. À la base le terrarium vaut 100$ seul. À moins que ça l'a augmenté de beaucoup dans les deux dernières années puisque ça fait deux ans que j'ai quitté le milieu animalier. Si je me rappelle bien, il y a deux ans, on vendait ça 160$
  18. 230$ pour un medium? Avais tu de quoi de compris avec?
  19. Les venins des serpents n'ont pas livré tous leurs secrets Depuis plusieurs décennies, les venins de serpents sont utilisés en pharmacologie pour créer de nouveaux médicaments. Mais une équipe de pharmacologistes, cliniciens, systématiciens et biologistes de la conservation, dirigée par Nicolas Vidal du laboratoire "Systématique, adaptation, évolution" (UMR 7138 Muséum national d'Histoire naturelle/Université Pierre et Marie Curie/CNRS /IRD), vient de montrer que ces venins étaient largement sous-exploités. Ils ont décidé d'unir leurs efforts pour utiliser au plus haut niveau ces ressources en composés pharmaceutiques et sauvegarder ces espèces particulièrement menacées. Les résultats de cette étude sont publiés en couverture de la revue Bioessays cette semaine. Aujourd'hui, plus de 3000 espèces de serpents vivent sur Terre où elles occupent des niches écologiques variées. La majorité d'entre elles (environ 2700) ont émergé et se sont diversifiées il y a 65 millions d'années au moment de la crise Crétacé-Tertiaire et de l'extinction des dinosaures. Ce grand groupe, appelé Caenophidia, réunit les serpents les plus évolués, ils sont caractérisés par leur fonction venimeuse. Parmi eux, les serpents possédant des crochets venimeux représentent environ 600 espèces. Ce sont les cobras, les vipères ou bien encore les serpents à sonnette. Les espèces restantes, plus de 2000, sont appelées « colubridés » ou « couleuvres ». N'ayant pas de crochets venimeux à l'avant de la bouche, elles ne présentent en général pas de danger pour l'Homme. Celui-ci a longtemps pensé qu'elles n'avaient pas de venins et les a ainsi largement négligées. De récentes découvertes (1) dans la systématique des serpents démontrent que ce biais taxonomique a conduit à sous-exploiter ces centaines d'espèces potentiellement utiles médicalement. C'est seulement au cours de ces dernières années que les scientifiques ont commencé à s'intéresser à ces venins de serpents le plus souvent inoffensifs pour l'Homme. Dans cette étude, les scientifiques ont passé en revue l'état des avancées récentes. Ils ont ainsi mis en évidence de nouvelles technologies, telles que les méthodes de criblage à haut débit (2), qui permettraient aujourd'hui d'identifier et d'extraire rapidement et efficacement les molécules utiles d'un point de vue thérapeutique. Les venins présenteraient également un degré de variabilité inattendu car leur composition peut différer entre individus d'une même portée. Au même moment, une crise majeure de la biodiversité menace fortement les populations de serpents sur lesquelles reposent ces espoirs biomédicaux. C'est pourquoi les systématiciens et biologistes de la conservation, pharmacologistes, cliniciens doivent unir leurs efforts afin de préserver la biodiversité de ces « couleuvres » tant pour la place qu'elles occupent dans le maintien des écosystèmes que pour leur chimiodiversité et le potentiel médical qu'elles représentent. Notes 1.N. Vidal, J.-C. Rage, A. Couloux, and S.B. Hedges. Snakes (Serpentes). Pp. 390–397 in The Timetree of Life, Oxford University Press, 2009 N. Vidal, S.B. Hedges.The molecular evolutionary tree of lizards, snakes, and amphisbaenians. C. R. Biologies 332 (2009) 129–139 Bryan G. Fry, Nicolas Vidal, Janette A. Norman, Freek J. Vonk, Holger Scheib, S. F. Ryan Ramjan, Sanjaya Kuruppu, Kim Fung, S. Blair Hedges, Michael K. Richardson, Wayne. C. Hodgson, Vera Ignjatovic, Robyn Summerhayes & Elazar Kochva. Early evolution of the venom system in lizards and snakes. NATURE, Vol 439, 2 February 2006 Nicolas Vidal. Colubroid systematics: evidence for an early appearance of the venom apparatus followed by extensive evolutionary tinkering. J. Toxicol.—Toxin Reviews, 21(1&2), 21–41 (2002) 2.Le criblage ou « criblage à haut débit » (HTS ou High Throughput Screening) désigne dans le domaine de la biochimie, de la génomique et de la protéomique, les techniques visant à étudier et à identifier dans les chimiothèques et ciblothèques, des molécules aux propriétés nouvelles, biologiquement actives. Référence Freek J. Vonk, Kate Jackson, Robin Doley, Frank Madaras, Peter J. Mirtschin and Nicolas Vidal. Snake venom: From fieldwork to the clinic. Bioessays, DOI: 10.1002/bies.201000117, mars 2011. Auteur Centre National de la Recherche Scientifique Les opinions exprimées dans cet article n'engagent que leur auteur et ne reflètent pas nécessairement celles de notre-planete.info Source
  20. Je ne sais pas qui t'a conseillé mais ton terrarium sera trop petit. Il est bon pour un très jeune spécimen mais ils grandissent très rapidement. Les dragons barbus sont des agames actifs ayant besoin de beaucoup d'espace. Ils ont tendance à plus stresser autre chose quand ils sont restreint. Pour l'ampoule UV, tu peux l'acheter autant sous forme de fluorescent que sous forme de fluocompacte. L'important est d'avoir le 10% d'Uv dégagé par cette lumière. Pour ce qui est de l'ampoule chauffante, personnellement, je conseille toujours la lampe de céramique qui a une durée de vie beaucoup plus importante que les autres. Puisqu'elle ne dégage pas de lumière, elle ne brûle pas alors elle finit par s,éteindre par un bris tout simplement. SInon, si tu prends un autre type de lumière dans le but d'un achat moins dispendieux, tu peux l'éteindre aisément la nuit. Il faut créer un cycle jour-nuit après tout. Pour ce qui est des pierres chauffantes, elles ne sont plus ce qu'elles étaient dans le passé et elles sont beaucoup plus sécuritaire qu'auparavant pour nos bêtes. Il n'y a donc aucun problème à l'utiliser. Sinon, un tapis chauffant collé sous le terrarium peut être une bonne alternative. J'espère avoir bien répondu à tes questions sinon n'hésites pas pour qu'on éclaire tes lanternes.
  21. Non Lotus ça fait un méchant bout que j'ai pas eu de nouvelle de lui. La dernière fois que je l'ai vu c'était justement a Granby Tu étais venu à Granby? Je ne me rappelle pas de t'y avoir vu
  22. Choses sur moi je m'en cherche un et si je peut le payé moins cher qu'a l'animalerie ici je le prendrai d'un particulier !! Si tu fais un peu de recherche, tu devrais trouver ce que tu recherches. Par contre, comme je dis souvent, quand on veut un animal, on va payer le prix même si on sait qu'on peut avoir moins cher ailleurs.
  23. Si ça se refait, ça va se refaire au même endroit. La salle était parfaite pour ça, le chalet des patineurs.
×
×
  • Créer...