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Un python en liberté dans Limoilou?
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
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Un python en liberté dans Limoilou?
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
Le python de près de deux mètres qui était recherché par les policiers de Québec après avoir échappé à la vigilance de son maître a finalement été retrouvé au logement de celui-ci, mercredi. La veille, les policiers avaient fouillé le secteur et l'immeuble à logement du propriétaire de l'animal, sans succès, après que l'information au sujet du serpent en liberté à Limoilou ait circulé sur les réseaux sociaux. Le reptile a été retrouvé mercredi matin dans un sac à dos à l'appartement du propriétaire. L'animal n'aurait donc jamais quitté le logement. Malgré que le python n'était pas venimeux, la police de Québec avait avisé les résidents du secteur de ne pas l'approcher s'ils l'apercevaient et de plutôt composer le 9-1-1. «Ce n'est pas un animal (qui convient) à n'importe qui. Il faut savoir en prendre soin», explique Hervé Maranda, propriétaire de l'Exotarium à Saint-Eustache en entrevue au Québec Matin. La police de Québec a précisé qu'il est légal de posséder un animal de ce type. Source -
La police de Québec était à la recherche d'un python d'environ deux mètres qui pourrait s'être échappé du domicile de son maître, mardi soir, dans le secteur de Limoilou. Selon Christine Lebrasseur, porte-parole de la police, le serpent serait disparu depuis plusieurs heures. «On avise les gens dans le secteur Bergemont-18e rue de ne pas s'en approcher s'ils le voient et de nous contacter en faisant le 9-1-1», a-t-elle indiqué. Il s'agit d'un python de type «jungle carpet», qui n'est pas venimeux, de couleur noire et beige. Si le serpent est introuvable dans l'appartement de son maître, il est néanmoins possible que l'animal soit resté dans l'immeuble à logement, a souligné Mme Lebrasseur. Il est légal de posséder un animal de ce type à Québec, a-t-elle précisé. Les policiers ont effectué des recherches dans le secteur pendant quelques heures de les interrompre en fin de soirée. Elles pourraient toutefois reprendre mercredi matin. Source
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Il part à la cueillette aux champignons et tombe sur un crocodile
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Il fait chaud et humide, les champignons poussent, un promeneur décide d'en débusquer quelques-uns… rien d'anormal, jusqu'à ce que le cueilleur aperçoive un crocodile dans l'étang face au lieu-dit «Puyguereaud Nord». Trop loin pour bien distinguer la bête d'environ quatre mètres, l'homme, dont le panier ne contenait toutefois pas de champignons hallucinogènes, prévient les pompiers et les gendarmeries, au cas où. Il a bien fait, une fois sur place, les autorités ont effectivement découvert un crocodile. Si le promeneur avait continué son safari, il aurait même pu apercevoir un ours, une hyène ou un lynx. Des animaux pas vraiment habitués à nos latitudes. En fait, tous ces animaux étaient factices. Ce n'étaient que des cibles disposées là pour une compétition organisée par le club de tir à l'arc de Marmande. Source -
Seriez-vous à l’aise si une grosse tarentule se déplaçait sur votre épaule? Non? Ce n’est pas étonnant. En revanche, si je vous demandais d’enfiler des gants de cuisine pour sortir un gâteau du four, je ne pense pas que ça vous ferait reculer. Permettez-moi de vous poser encore quelques questions. Vous êtes-vous déjà fait mordre par un serpent venimeux ou une araignée? Ou vous êtes-vous déjà brûlé sur une cuisinière? Vous ne vous êtes probablement jamais fait blesser par des animaux venimeux, mais ils vous font très peur. Par ailleurs, je suis certain que vous vous êtes déjà brûlé en sortant un plat du four. Et pourtant, très peu de gens ont la phobie des cuisinières. Pourquoi en est-il ainsi, si les peurs sont censées être la conséquence d’expériences négatives? Les peurs instinctives Quand on songe à l’instinct, il devient plus facile de comprendre pourquoi on craint davantage certaines choses que d’autres. L’instinct de survie, chez l’être humain comme chez l’animal, a évolué dans un environnement naturel. La peur des hauteurs, des espaces clos, des nouveaux environnements, des foules, des animaux venimeux, etc. est facile à comprendre. Il n’existe pas de hauteurs sécuritaires dans la nature; les espaces clos, comme les cavernes, sont des lieux où l’on peut se faire piéger par un prédateur; on ne connaît pas les dangers qui peuvent se dissimuler dans un nouvel environnement; dans une émeute, on risque de se faire piétiner; et la piqûre de plusieurs serpents est mortelle. Ces peurs ont vu le jour parce qu’elles augmentaient les possibilités de survie. Revenons en 2014 et à la vie dans une ville moderne. Il n’y a pas beaucoup de cobras ni de veuves noires à Montréal, mais on y trouve des tunnels, un métro et des ascenseurs. La plupart des gens phobiques ont peur des mêmes choses. Ils parleront du malaise qu’ils éprouvent dans un ascenseur ou dans un avion, ou encore lorsqu’ils sont coincés dans la circulation sur un pont, voire même dans le fauteuil du coiffeur. Autrement dit, tous les endroits qu’ils ne peuvent pas fuir facilement en cas d’urgence. C’est là un reste des craintes instinctives propres à tous les animaux. Ne blâmez pas votre mère de vous avoir transmis ces craintes et ne les attribuez pas à un traumatisme oublié. L’expérience peut amplifier ou diminuer les peurs, mais la plupart d’entre elles sont enracinées en nous tous. C’est pourquoi bien des gens craignent les serpents et les araignées, même s’ils n’ont jamais vécu d’expérience négative avec ces bêtes, alors que peu d’entre nous ont peur des fours ou des prises électriques, malgré toutes les mauvaises expériences qui s’y rattachent. Cela s’explique tout simplement par le fait que les fours n’existent pas depuis assez longtemps pour qu’on ait eu le temps d’acquérir à leur sujet une peur instinctive. Si on se brûle, cela suscitera une certaine anxiété en nous et cela nous rendra plus prudents. Mais il est peu probable que cette expérience malheureuse génère en nous une phobie. Pour cela, il faudrait qu’une tarentule se trouve sur un des boutons de la cuisinière… Source
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En août 2010, le crash du Boeing 727 de la compagnie aérienne CAA, à Kinshasa, avait fait 18 morts. Les auditions qui suivent l’enquête donnent une explication étonnante quant à l’origine du crash Le père du copilote britannique décédé dans l’accident explique que la présence d’un crocodile dans l’avion a précipité les événements. Sorti du sac d’un passager, l’animal (un petit crocodile) aurait provoqué la panique chez les passagers. En se réfugiant tous du même côté de l’appareil, ils auraient déséquilibré celui-ci qui aurait plongé vers le sol. C’est en tout cas l’hypothèse du père du copilote, qui aurait parlé à un des enquêteurs présents sur les lieux du crash le jour où celui-ci a eu lieu. Cet enquêteur lui aurait révélé l’existence d’une vidéo où l’on voit un crocodile sortir de la carcasse de l’appareil. Source
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Les habitants de l’Oural envahis par des tarentules
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Par La Voix de la Russie | Les Ouraliens sont pris de panique : des tarentules vénéneuses sont apparus dans la région. Ce n’est pas par hasard qu’on les surnomme araignées-loups. Ces agresseurs se cachent dans des trous pendant la journée, et partent à la chasse le soir, attaquant littéralement les humains. Les chercheurs restent perplexes quant aux raisons de cette invasion étonnante de l’Oural par des insectes. Les photos et les vidéos des araignées-loups apparaissent régulièrement dans les réseaux sociaux. Les tarentules de l’espèce des lycosidés, une fois adultes, peuvent atteindre une taille impressionnante. Ainsi, les habitants de la ville d’Ozersk ont pu capturer une tarentule de 10 centimètres de long. Non seulement un insecte de cette taille fait peur, mais il peut être dangereux. Des morsures des tarentules sont douloureuses et peuvent provoquer des enflures sur la peau de l’homme. Mais des cas mortels n’ont pas été enregistrés. A la grande joie des jardiniers et des propriétaires de potagers, ces araignées présentent certes un plus grand danger pour les mouches et les scarabées. Ce voisinage fait surtout peur aux habitants de l’Oural du Sud, une région de Russie frontalière avec le Kazakhstan. Les sèches steppes du Kazakhstan sont le milieu naturel pour les tarentules, qui aiment un climat aride et chaud. Cela signifie que le climat de l’Oural a changé. « Nous avons en notre possession des données du climat sur les derniers 7000 années pour la région de l’Oural », explique dans un entretien accordé à La Voix de la Russie Vladimir Bogdanov, directeur de l’Institut de l’écologie de la faune et de la flore, membre de l’Académie russe des Sciences. « Au cours du dernier centenaire nous avons enregistré une hausse des températures sans précédent. Nous avons déjà passé le pic dans ce réchauffement, et les températures devraient commencer à baisser. Mais ce changement climatique a entamé un processus de migration chez les insectes et les animaux. Au cours de ces 30 dernières années, la faune du Sud de l’Oural, notamment les insectes, s’est déplacée vers le Nord par rapport à sa région d’origine. Cela concerne notamment les tarentules et les araignées ». Selon l’expert, l’Oural du Sud n’est pas la seule région à ressentir les résultats du changement climatique. La faune et la flore se déplacent vers le Nord dans toute la région de l’Oural. Cela concerne aussi les poissons, les oiseaux et les petits mammifères. « C’est le cas des tiques qui transmettent l’encéphalite, poursuit Vladimir Bogdanov. Des cas d’encéphalite à tiques n’avaient jamais été relevés dans la région autonome de Khanty-Mansi (Nord-est de la partie européenne de Russie). C’est le cas depuis récemment. Même chose pour les brèmes qu’on ne voyait pas dans le fleuve Ob il y a 25 ans, et qu’on peut pêcher désormais à 1000 km plus au Nord. Le cèdre pousse maintenant le long du fleuve Ob, au moins à 100 km au Nord par rapport à sa région naturelle. Même chose pour les écureuils qu’on peut désormais voir au Nord du cercle polaire. » Les habitants de l’Oural du Sud n’ont plus qu’à s’habituer à la présence des tarentules, car même si le temps se refroidit, ils ne vont pas quitter l’Oural du jour au lendemain. Cependant les chercheurs appellent les habitants à faire preuve de prudence. Même si le venin de ces araignées n’a tué personne jusqu’à présent, un risque de décès à cause de leurs morsures existe toujours. /N Source -
Un monstrueux serpent de 6 mètres terrorise les Etats-Unis
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Un boa de six mètres hante les eaux du New Jersey [CC / belgianchocolate] Un boa constrictor long de six mètres a été repéré une douzaine de fois en deux semaines dans un lac du New Jersey aux Etats-Unis. Ce serpent géant terrorise les populations locales. Il n'est pas venimeux mais s'il prend peur, il peut attaquer ceux qui le menacent et les etouffer de ses puissants anneaux. Le boa constrictor qui rode dans les eaux du lac Hopatcong, dans le New Jersey, inquiète les populations locales. Et il y a de quoi : le reptile mesure six mètres de long : l'équivalent de deux étages. En l'espace de deux semaines, l'animal a été repéré à plusieurs reprises, une douzaine au total, dans les eaux dans ce lac aux eaux tempérées. C'est le petit ami d'une résidente des bords du lac, Michelle Poli, qui aurait repéré le monstre pour la première fois. Depuis, la bête se serait même aventurée sur le ponton où est amarré son bateau. "C'est effrayant, car on ne sait pas d'où il vient" a t-elle déclaré à la chaine de télévision locale. Les services de sécurité ont pris en main le problème, mais leur tâche s'annonce ardue car le boa peut se déplacer à la vitesse de 40 km/h dans les eaux. En attendant sa capture, il est conseillé aux plaisanciers d'éviter de se baigner. Source -
La police a découvert un gros lézard vert. Elle recherche maintenant son propriétaire. La police cantonale de Bâle-Campagne a été appelée le lundi de Pentecôte pour un gros lézard vert se trouvant au 9e étage d'un immeuble à Pratteln. Une patrouille, accompagnée d'un agent spécialisé dans les reptiles, s'est rendue sur place mais n'a trouvé que des crottes. Poussant les investigations plus avant, ils ont découvert l'animal sous un banc, dans le jardin situé au pied de l'immeuble. Iguane acrobate Selon toute vraisemblance, la bête a sauté sur un arbre puis a tranquillement retrouvé la terre ferme. L'iguane, en bonne santé, a été conduit chez un vétérinaire, qui l'a placé en observation. Le propriétaire de l'animal, dont la détention est soumise à autorisation, n'a pas été retrouvé. La police lance donc un appel pour qu'il se manifeste. Source
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Noyant. Le boa évadé est revenu à son point de départ
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Le boa est revenu tout seul à son point de départ à Noyant. Archives Le Maine-Libre - Hervé PETITBON Le boa femelle qui s’était évadé de chez un habitant de la commune de Noyant (lire CO du vendredi 6 juin) a été retrouvé. Il est même revenu de lui-même à son point de départ à la faveur de ce week-end caniculaire. Le propriétaire l’a découvert sur sa pelouse et a pu le remettre à l’abri dans son vivarium. Les usagers de la piscine publique toute proche où l’animal avait été vu la semaine dernière pourront retourner se baigner sans craindre une mauvaise rencontre. À noter que cette femelle qui s’était échappée alors qu’elle était pleine n’a toujours pas mis bas. Il n’y aurait donc aucun risque à ce qu’un de ses petits se soit échappé dans la nature. Source -
Le spécimen aura offert une belle frayeur à un couple d'habitants de Mériel. Samedi après-midi, ils ont découvert dans leur jardin ce qui ressemble grandement à un serpent corail d'Amérique du Sud. Le reptile, qui mesurerait un peu plus de 1 m de long, a été capturé, non sans mal, par les sapeurs-pompiers de L'Isle-Adam. « On en a encore froid dans le dos », a réagi le couple. « Nous n'avons pas de confirmation qu'il s'agisse bien d'un serpent corail d'Amérique du Sud. Certains serpents ont la même robe, mais ne sont pas de la même espèce », indiquent les pompiers du Val-d'Oise. Une chose est sûre : le serpent a été importé en France par des particuliers. « Nous faisons de plus en plus d'interventions de ce type », précisent les pompiers. Source
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Quelle ne fut pas la surprise d'un Yverdonnois lorsqu'il a découvert que quelqu'un avait abandonné un serpent des blés dans un carton devant son domicile. Drôle de paquet cadeau. Vendredi en début de soirée, le locataire d’un appartement situé au rez d’un immeuble d’Yverdon-les-Bains a découvert un carton déposé sur sa terrasse. En l’ouvrant, quelle ne fut pas sa surprise de découvrir... un serpent de couleur rouge, de 150 centimètres de longueur. Les policiers arrivés sur place ont immédiatement transmis une photo du reptile à un spécialiste qui a pu déterminer qu’il s’agissait d’un serpent des blés. Egalement appelé couleuvre des blés, il s'agit d'une espèce américaine inoffensive. Elevé en vivarium, le reptile avait été abandonné à cet endroit peu de temps auparavant. D'abord confié au spécialiste, il a d’ores et déjà trouvé une nouvelle famille d'accueil. (24 heures) Source
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De la vipère de Russell au cobra, les tueurs silencieux de Birmanie
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Le charmeur de serpent Sein Tin, le 5 octobre 2013, à Rangon, en Birmanie ( AFP/Archives / Ye Aung Thu) Oscillant au rythme du cobra royal dressé devant lui, Sein Tin se sent invincible, protégé par ses tatouages "magiques". Mais si le charmeur de serpent birman a survécu à de multiples morsures, beaucoup de ses compatriotes n'ont pas cette chance. Vipère de Russell, bongare rayé, cobra royal ou cracheur, serpent marin: la Birmanie compte 150 espèces de serpents, dont 40 venimeuses qui peuvent entraîner l'amputation, la cécité, voire la mort. Selon le ministère de la Santé, 7.818 personnes ont été traitées pour des morsures de serpent venimeux en 2011, dernières statistiques disponibles. Et plus de 8% des victimes en sont mortes, soit une mortalité deux fois plus élevée que la moyenne mondiale d'environ 4% selon les chiffres de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS). Sein Tin ne se rappelle plus vraiment combien de fois il a été mordu, une vingtaine probablement, dont quatre par un cobra royal, un des plus dangereux d'Asie. Mais ses tatouages réalisés avec un mélange d'encre, de venin et de plantes médicinales l'ont protégé, assure-t-il avant de placer un baiser sur le haut de la tête du cobra royal qui danse devant lui. "Les tatouages sur mon corps ont été combinés avec la médecine traditionnelle birmane (...). Cette médecine inclut du venin de toutes sortes d'espèces de serpents et aussi des herbes utilisées par la médecine traditionnelle. Ça a été injecté dans mon corps", raconte l'homme aux près de 30 années d'expérience. Avant de prendre en charge les reptiles au zoo de Rangoun, Sein Tin a capturé pendant des décennies les dangereux reptiles dans tout le pays. Le charmeur de serpent Sein Tin, le 5 octobre 2013, à Rangon, en Birmanie ( AFP/Archives / Ye Aung Thu) Et s'il conseille aux habitants des villes de ne pas laisser trainer de restes de nourriture, le risque est sans conteste plus grand dans les campagnes, où de nombreux serpents jouent aux caméléons sur le sable chaud des régions les plus sèches ou surtout se cachent dans les herbes hautes des régions agricoles. "J'étais en train de faire ma récolte quand j'ai été mordu", se rappelle ainsi Phoe Nge, riziculteur de 38 ans, attaqué il y a deux ans dans son village de Nyaung Ta Chan, dans la banlieue éloignée de Rangoun. "Je n'ai pas senti la douleur tout de suite, j'ai cru que j'avais été piqué par une guêpe. Mais quand j'ai regardé autour, j'ai vu une vipère", poursuit-il. Avant de se rendre à l'hôpital le plus proche, il a eu le bon réflexe: bander sa blessure avec un tissu, pas trop serré. Et grâce à son identification de la coupable, la vipère de Russell qui fait le plus de victimes dans le pays, il a pu recevoir l'antivenin adéquat. - Seul vrai remède: le bon antivenin - Mais tout le monde n'a pas cette chance dans un pays où la majorité vit dans des communautés rurales, reculées, sans accès rapide à un système de santé de toute façon déplorable en raison de décennies de junte militaire. Le charmeur de serpent, Sein Tin, le 5 octobre 2013, à Rangon, en Birmanie ( AFP/Archives / Ye Aung Thu) Et beaucoup ne savent pas comment réagir. Il ne faut ni courir ni paniquer, "parce que cela active la circulation du sang et le venin se répand vite vers le coeur", explique le Dr Chantal Bonfils, de la clinique SOS International à Rangoun. Il ne faut "pas brûler la plaie, aspirer, ou mettre de la glace, faites juste un bandage compressif léger", sans couper la circulation avec un garrot, poursuit-elle. Avant évidemment de rejoindre le dispensaire le plus proche, si possible en ayant identifié le serpent. Parce que "le meilleur, et le seul traitement si vous êtes mordu est d'injecter le bon antivenin", insiste le Dr Aung Zaw, directeur adjoint d'une usine pharmaceutique dépendant du ministère de l'Industrie. Le sérum est obtenu en introduisant du venin en faible quantité dans un animal, le plus souvent un cheval, pour ensuite collecter les anticorps produits. Mais les chevaux sont chers, alors la Birmanie s'est tournée vers les moutons. Pour tenter de limiter la mortalité, une nouvelle installation doit être construite, qui permettra de doubler la production d'antivenins, à plus de 100.000 doses par an, contre 53.000 actuellement, selon l'OMS. En attendant, les autorités insistent sur la prévention, comme porter des chaussures couvrant les chevilles. Des mises en garde dont Sein Tin n'a cure. "Une personne ordinaire peut résister seulement une heure si elle est mordue par un serpent", souligne-t-il. Mais moi, avec mes tatouages, je dispose de plus de temps pour recevoir un traitement". Source -
Les serpents imitent des espèces éteintes pour éviter les prédateurs
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Le serpent roi écarlate imiterait une espèce de serpent venimeux aujourd’hui disparue pour échapper à ses prédateurs. Le serpent roi écarlate poursuit un fantôme du passé. Dans la forêt de Sandhills en Caroline du Nord aux Etats-Unis, ce serpent non venimeux a évolué pour mieux ressembler à une espèce venimeuse qui a disparu de la région il y a plus de 50 ans. Le serpent roi écarlate, Lampropeltis elapsoides, copie le motif à rayures du serpent corail mortel, Micrurus fulvius, si bien que les gens utilisent des moyens mnémotechniques pour les différencier, tels que : « si le rouge touche le jaune, vous êtes morts ; si le rouge touche le noir, tout va bien ». L’espèce vit dans une grande partie du sud-est de l’Amérique du Nord. Le serpent roi écarlate utilise le mimétisme pour duper ses prédateurs, tels que les buses à queue rousse, qui ne veulent pas attaquer de reptile venimeux. Les serpents rois écarlate dans les Sandhills devraient cesser de ressembler aux serpents coraux Les Sandhills, une forêt de pins et d’hêtre dans les Carolines, abritaient autrefois les deux espèces, mais le serpent corail a disparu de la région dans les années 1960, d’après Chris Akcali, un biologiste de l’évolution à l’Université de Caroline du Nord. Lui et son collègue David Pfennig s’intéressent à la façon dont le mimétisme biologique évolue, et ils se demandent si l’extinction du serpent corail pourrait influencer les régimes de couleur de serpents rois écarlates. Pour le découvrir, Chris Akcali et David Pfennig ont comparé les serpents rois écarlates prélevés dans les Sandhills il y a 40 ans lorsque le serpent corail a disparu, et les ont comparés aux serpents de la même espèce vivant en Floride, où le serpent corail vit encore. Ils pensent que les serpents rois écarlates des Sandhills auraient commencé à évoluer pour ressembler de moins en moins au serpent corail. « Quand j’y suis allé et que j’ai réuni les données, je les ai regardées et dit : ce n’est pas possible » a déclaré Chris Akcali. Les serpents rois écarlates des Sandhills qui ont été prélevés ces dernières années tendent à ressembler moins étroitement aux serpents coraux –avec des bandes rouges et noires plus similaires en taille – que les serpents prélevés dans les années 1970 qui avaient des bandes noires plus larges. Chris Akcali et David Pfennig n’ont détecté aucun changement similaire chez les serpents de Floride sur la même période. Les résultats sont logiques d’après ce qu’a indiqué Chris Akcali. « Si vous êtes un prédateur, et que vous êtes dans une zone comme la Floride, où les serpents coraux sont partout, alors vous devriez éviter tout ce qui ressemble à un serpent corail » a-t-il indiqué. « Si vous êtes en Caroline du Nord où les serpents coraux sont très très rares, les prédateurs peuvent avoir intérêt à les attaquer parfois ». Les serpents rois écarlate dans les Sandhills devraient cesser de ressembler aux serpents coraux, d’après ce que prévoit Chris Akcali. « Potentiellement, à un certain point, les prédateurs vont agir comme s’il n’y avait pas de serpent corail et ils devraient les attaquer sans discrimination ». Source -
La bête avait été sauvée de la noyade l’automne dernier dans les Bouches-du-Rhône. Elle a été soignée depuis, pour retrouver son environnement : la Méditerranée L'histoire de cette tortue aurait pu se terminer tragiquement dans des filets de pêche à Port-Saint-Louis-du-Rhône (Bouches-du-Rhône). Elle a finalement retrouvé son milieu naturel, après un plongeon hier au large de Monaco. L'automne dernier, un pécheur recueille la bête (d'espèce caouanne) bloquée dans un filet, et la sauve d'une noyade certaine en la conduisant au Centre d'études et de sauvegarde des tortues marines de Méditerranée (CESTMED). C'est là, dans une lagune à côté de La Grande-Motte que la tortue a passé plusieurs mois, se remettant de sa noyade. « Nous l'avons soignée tout l'hiver, mais les eaux étaient trop froides jusqu'à alors pour la remettre en mer », explique le vétérinaire Eric Maerten, qui a chouchouté la « noyée » pendant sa convalescence. >>DIAPO. Une tortue marine relâchée au large de Monaco Un geste environnemental Un temps nécessaire pour qu'elle retrouve de l'envergure, du poids (28 kg) et la forme… car l'animal est toujours en âge de reproduire. Après six heures de voiture dans une caisse, la tortue, arrivée ce mercredi midi en Principauté, a vite retrouvé son milieu marin, conduite par son vétérinaire à 5 miles au large des côtes monégasques. Cette année le CESTMED a déjà relâché huit tortues en pleine mer. Et si c'est Monaco qui a été choisi cette fois-ci, ce n'est pas tout à fait un hasard. En effet, la remise à l'eau de la tortue « monégasque » marquait hier les 10 ans de Monacology. Une semaine dédiée à la sensibilisation à l'environnement, organisée sur le port de Monaco. « C'est le plus beau geste environnemental que de relâcher un animal dans son milieu naturel », affirme Olivier Arnoult qui coordonne Monacology depuis une décennie. L'affaire a pu se conclure ce mercredi grâce au soutien de WWF qui a dérouté l'un de ses bateaux en pleine expérience scientifique en Méditerranée pour venir faire faire le saut de l'ange à la tortue. Désormais complètement libre, car elle a été relâchée sans balise. Source
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LAON (02). Lors d’une séparation, tous les coups sont permis et même les plus insolites. C’est ce qu’a pu constater ce jeudi le tribunal correctionnel de Laon avec une affaire un peu particulière. Les faits remontent au 6 février 2012. Ce jour-là, la direction départementale de la protection des populations reçoit un coup de fil de Rachel, 41 ans, sans profession, qui souhaite se débarrasser d’une mygale qui vit chez elle dans son terrarium. Elle explique que l’arachnide, une espèce protégée, appartient à son ex-compagnon qui vient de quitter le domicile conjugal. Enceinte, elle a peur d’élever le futur nourrisson au côté de l’araignée. L’enquête conduit à l’interrogatoire de l’homme mis en cause qui va émettre une tout autre version. D’après lui, ce serait Rachel qui aurait souhaité acheter la mygale en toute illégalité. La prévenue, interrogée à nouveau, va finir par avouer. En pleine procédure de partage de garde des enfants, la maman a souhaité mettre son ex-compagnon en défaut. Accusée de détention non autorisée d’animal d’espèce non domestique et de dénonciation calomnieuse, la prévenue a été condamnée à une amende de 400 euros qu’elle doit verser à l’Office national de la chasse et de la faune sauvage qui a depuis pris en charge l’animal. Le tribunal était heureux d’apprendre que, malgré cette histoire, les deux amoureux s’étaient réconciliés et revivaient de nouveau ensemble. Source
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Gabon : Un mystérieux serpent découvert dans un bureau à Louis
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Libreville le 12 juin 2014 koaci.com – Un mystérieux serpent Rechercher serpent a été découvert dernièrement dans un bureau de l’entreprise des travaux et de communication (Entracom) à Louis, dans le premier arrondissement de Libreville. Selon une source autorisée, la terrifiante découverte aurait été faite au bureau du directeur général de la société, Salem Perkins Mintsa, lorsqu’il est arrivé le matin au travail. D’après la source, c’est en ouvrant la porte de son bureau que l’homme d’affaires a trouvé le mystérieux serpent Rechercher serpent géant de près de quatre mètres déroulé sur son tapis. L’auteur de l’effrayante découverte a aussitôt donné l’alerte à ses collaborateurs, qui se sont précipités à son bureau pour le tuer le reptile. Aussitôt, des langues se sont déliées pour soutenir qu’il s’agissait d’un serpent Rechercher serpent mystique envoyé par un féticheur, à la demande de deux ex-agents de l’entreprise, Parfait Ebang et Pierre Ahanda, licenciés pour abus de confiance et détournement de biens. A en croire la source, les deux hommes avaient menacé M. Salem Perkins Mintsa après qu’il a décidé de les virer de l’entreprise au lendemain du déclenchement du scandale au sein du département cosmétique. Les sieurs Ebang et Ahanda avaient réussi à mettre sur pied des équipes et des réseaux de vente parallèles qui travaillaient à leur compte et leur reversaient des recettes de plusieurs millions de francs CFA. Après avoir découvert leur mafia, le patron d’Entracom a engagé la procédure de deux agents indélicats. A l’occasion, a avancé la même source, les deux jeunes hommes se montrés particulièrement menaçants, promettant à leur employeur d’user de tous les moyens mystiques pour nuire à sa société afin de se venger de lui. Le jour de la découverte du serpent, a renchéri la source, M.Salem Perkins Mintsa a trouvé découpée l’affiche de la société collée sur la porte de son bureau. Les deux agents s’en seraient servis pour aller faire un rituel chez un féticheur. JM Source -
Biodiversité – Le crapaud épineux débarque à Mahanoro
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Une invasion de « Radaka voay » a perturbé le village de Menagisa, un quartier de Mahanoro. La manipulation de l’espèce peut affecter la personne. Après Toamasina, une espèce qui ressemble au crapaud épineux envahit une localité dans le district de Mahanoro. Le phénomène tue les poussins et les veaux et fait peur aux gens.Comme il fallait s’y attendre, l’invasion du crapaud épineux d’Asie ou le « Radaka voay » de son nom vernaculaire, semble avoir échappé à la maîtrise des autorités. Depuis environ deux semaines, les habitants du quartier de Menagisa, dans la commune de Mahanoro, sur le chemin qui mène à Marolambo, font face à une invasion de « grenouilles épineuses », comme les gens les appellent. Celles-ci ressemblent aux crapauds épineux d’Asie qui ont secoué la ville de Toamasina, au mois de mars. Joint au téléphone, un habitant de la localité raconte le calvaire, que les habitants et lui vivent depuis. « Ces espèces de grenouilles bizarres sortent de la rivière Salambona, où on les a vues pour la première fois. Elles vivent cachées sous l’eau et sous terre. On ne sait jamais à quel moment elles vont nous piquer. Même en allant aux toilettes, on craint qu’il y en ait cachées quelque part », relate la source. Vigilance Récemment, il y aurait une circoncision dans le quartier et la population aurait laissé une vache attachée au bord de la route pour la festivité du lendemain. Le matin, l’animal serait mort, entouré de « grenouilles épineuses ». Des poussins et des veaux auraient également subi le même sort. Les animaux qui sont victimes de ces « grenouilles épineuses », meurent ou faiblissent, selon toujours la source. À Mahanoro, la population tente de les tuer en les tabassant avec un bâton ou un moellon, alors que la manipulation de l’espèce peut affecter la personne. « Si l’homme consomme du Radaka voay par mégarde, son poison va attaquer son cœur ou ses neurones. La manipulation de l’animal peut causer également des démangeaisons au niveau des narines et des yeux », avait indiqué le docteur Nirhy Rabibisoa, coach de l’Amphibian specialist group Madagascar, lors d’une séance de compte-rendu de leur investigation sur les crapauds épineux, le 2 mai, au Centre de Presse Malagasy à Antsakaviro. Le médecin avait, cependant, averti que, « Si le crapaud épineux d’Asie qui a envahi la ville de Toamasina depuis le mois de mars n’est pas maîtrisé avant la prochaine saison pluvieuse, il risque d’envahir plusieurs localités ». En tout cas, aucun membre de la cellule d’urgence mise en place pour lutter contre ces espèces, n’a été joignable pour donner plus d’informations sur le phénomène qui s’amplifie dans la région Atsinanana. Le maire de Mahanoro, Pierre Telolahy, affirme ne pas être au courant non plus. Michella Raharisoa Source -
Au zoo de Great Plains, dans le Dakota du Sud, ils sont sous bonne garde pour passer l'été et échapper aux coups de soleil de Floride, où ils vivent habituellement Un couple d'alligators albinos va passer l'été dans le Dakota du Sud pour échapper aux coups de soleil de Floride, où ils résident habituellement. Depuis leur naissance, les deux albinos ne peuvent créer de pigment, ce qui explique leur apparence blanche. Au zoo de Great Plains, dans le nord des Etats-Unis, ils sont sous bonne garde, protégés, selon la directrice des lieux Lisa Smith. Une espérance de vie plus faible Il resterait 30 alligators albinos connus à travers le monde, selon Lisa Smith, qui ouvre les lieux aux enfants. Un alligator albinos peut peser entre 175 et 250 kg à l'âge adulte. Dans leur milieu naturel, les alligators albinos ont une espérance de vie beaucoup plus faible que les autres, incapables de se dissimuler en raison de leur couleur. L'Aquarium tropical du Palais de la Porte dorée, à Paris, en avait accueilli deux en février 2014. Source
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En France, les serpents les plus dangereux sont les vipères. Leur morsure est plutôt douloureuse et nous allons vous indiquer comment soulager la blessure et les premiers gestes à accomplir. En cas de morsure de serpent n'essayez pas d'aspirer le venin avec votre bouche. Getty Images/iStockphoto Une randonnée en montagne peut vite tourner au drame si vous vous faites mordre par une vipère. Voici les premiers gestes de secours pour limiter la douleur. A faire en premier Après une morsure de serpent, commencez par prévenir les secours. Essayez de voir le serpent qui a mordu et de le décrire le plus précisément possible aux Pompiers ou au SAMU. Pensez à allonger la victime et à la rassurer surtout. La panique n'est jamais un bon réflexe dans ces cas-là, d'autant que si vous êtes en France, il y a peu de chance que la morsure soit mortelle. Les choses à ne pas faire En attendant les secours, vous pouvez commencer par nettoyer soigneusement la plaie à l'aide d'eau et de savon. Si vous avez un antiseptique, appliquez-le. Et ne commencez pas à vous improviser médecin, certains gestes sont à bannir. N'essayez pas d'aspirer le venin avec votre bouche et encore moins de faire saigner la plaie en l'incisant. Vous avez peut-être vu ça dans un film, mais ne le faites pas, ça ne ferait que favoriser la diffusion du venin. Pensez également à enlever les éventuels bracelets, bagues et colliers de la victime. Evitez de poser un garrot et si la douleur se fait très intense, préférez les antalgiques à l'aspirine. Quid des sérums anti-venin? Si vous possédez du sérum anti-venin, évitez de l'utiliser dans l'immédiat, surtout si les secours sont en route. En effet, le produit peut provoquer de sérieuses réactions allergiques. Réservez donc son utilisation en dernier recours ou si vous ne parvenez pas à joindre les secours. Source
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Un serpent des blés retrouvé derrière une poubelle
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Surprise pour cet habitant de Montluçon qui a découvert dans la nuit de vendredi à samedi un serpent derrière une poubelle. Il a alerté les pompiers qui sont venus récupérer ce serpent des blés. Un animal d’environ un mètre qui n’est pas venimeux : « Cette espèce ne vit pas dans la campagne bourbonnaise. Il a probablement été acheté dans une animalerie, explique Jean-Pierre Sarrassat, pompier à Moulins. Il a peut-être échappé à son propriétaire ». Le serpent passera entre les mains d’un vétérinaire lundi pour voir s’il a une puce qui permettrait de retrouver son propriétaire. Ce dernier peut aussi prendre contact avec les pompiers. En attendant, Jean-Pierre Sarrassat expert en matière de serpent, va le garder chez lui, dans son terrarium. Source -
Un grand-père dévoré par un crocodile en pleine partie de pêche
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AUSTRALIE - Un pêcheur de 62 ans était sur son bateau de pêche quand un crocodile surgi de nulle l’a dévoré d’un seul coup. Sa famille a assisté à la terrible scène. Metronews a fait le tour de la presse internationale et vous livre le fait divers du jour... Il a suffit de quelques secondes. Un grand père s’est fait dévorer par un crocodile qui a sauté sur lui alors qu’il était sur un bateau de pêche en plein après-midi. "C’était très rapide, il a disparu tout à coup", ont expliqué les membres se sa famille qui étaient présents au moment du drame, rapporte la presse britannique. La terrible scène s’est déroulée dans le parc naturel de Kakadu en Australie, un site classé au patrimoine de l’Unesco et connu pour abriter une multitude d’espèces. La victime de 62 ans, Bill Scott, était debout sur son embarcation, quand soudain un énorme reptile de 4,5 mètres de long lui a sauté dessus, a montré ses crocs acérés et n’en a fait qu’une bouchée. Les restes retrouvés La femme, le fils et la belle-fille, qui étaient sur place, n’ont pas pu alerter les secours au moment de l’attaque car il n’y avait pas de réseau téléphonique. Ils ont du faire une heure de hors piste pour rejoindre la ville voisine et enfin prévenir les autorités. La police s’est mise à la recherche de l’animal et a fini par mettre la main dessus. Ils l’ont abattu et ont retrouvé dedans les restes du grand-père . Source -
L'animal va être confié au Parc de Ferron à Tonneins.
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On trouve régulièrement cet animal dans la nature mais rarement de cette taille. Ce lundi matin, vers 9 heures, dans le cadre de sa patrouille quotidienne, le policier municipal de Lafox, Lyonel Reus, a découvert une tortue de Floride à quelques mètres du canal latéral dans le Parc Mado-Sage sis sur la commune. Jusque-là, la découverte ne relevait pas de l'exceptionnel si ce n'est que le reptile mesure 23 cm et pèse un peu moins de 2 kilos. « Je me suis mis en contact avec Voies navigables de France qui gèrent le canal. Il semble que régulièrement des tortues de Floride se retrouvent près de cette voie d'eau, mais rarement aussi grandes. Je vais la transporter jusqu'au Parc de Ferron à Tonneins où elle sera prise en charge par la Sepanlog », a souligné l'agent municipal. Source -
CANTON DE FRIBOURG — L'équipe nocturne du Papiliorama de Chiètres a découvert un jeune gecko, âgé de trois à quatre semaines. La découverte de ce bébé gecko confirmeque ces insectivores sont capables de se reproduire dans le jardin tropical. En avril 2014, la Fondation Papiliorama avait trouvé plusieurs geckos-léopards presque adultes, relâchés illégalement par un inconnu. Le Papiliorama espérait alors que cette espèce venue d'Asie centrale ne puisse pas se reproduire dans ses serres. La Fondation Papiliorama devra dès à présent effectuer des contrôles nocturnes réguliers pour réduire la population des geckos. Eliminer totalement l'espèce semble désormais illusoire, affirme lundi le Papiliorama dans un communiqué. (ats/Newsnet) Source
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La couleuvre, sortie à la faveur des chaleurs estivales, n’a pas survécu au passage d’un véhicule . Photo C. V. (CLP) À la rubrique des serpents écrasés, un superbe spécimen a brillé de toutes ses écailles hier à l’entrée de Mazille. Une couleuvre d’Esculape s’est retrouvée à quelques encablures du lotissement Le Vegny et à trois ondulations des bois du menuisier François Lapalus. Dite d’Esculape, tellel’espèce emblématique du caducée des médecins, cette couleuvre protégée, sortie à la faveur des chaleurs estivales, peut mordre si on l’attrape, mais elle est non venimeuse. Passé de vie à trépas sous les roues d’un véhicule, elle ne mesurait pas moins de 1 mètre 40. Source