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etienne01

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Tout ce qui a été posté par etienne01

  1. etienne01

    Un nouvel équipage:

    Du pigeon ! depuis le temps qu'on te le dit !
  2. etienne01

    La nouvelle saison (2008)

    Euh..... Bravo Fly ! Tu viens de découvrir le buffetage ! Un pélerin n'est pas un autour, il buffète - puissament ou non cela s'améliore aussi avec l'expérience - la proie tombe et il descend dessus pour manger ! En haut vol on recherche le buffetage pas que l'oiseau lie ! Si il lie, c'est plutôt un défaut généralement lié au manque de plafond !
  3. etienne01

    La nouvelle saison (2008)

    Pourquoi veux-tu qu'il lie ? Qu'appelles-tu accrocher ? Il loupe son buffetage ?
  4. Vous êtes gentils... mais il y a des mp pour échanger vos souvenirs de la plage ...
  5. Gnarf gnarf gnarf..... Je vois que j'avais raison....à la lecture de ton post de ce jour.
  6. Il y aurait un sujet intéressant à ouvrir, concernant les oiseaux criards. Des générations de fauconniers pensent que c'est l'association visuelle du fauconnier et de la nourriture qui déclenche les cris des oiseaux. Dès lors beaucoup pensent qu'il suffit que l'oiseau ne les voient pas pour ne plus ou moins crier, d'ou le système des volières fermées et du tube pvc. Cela est beaucoup plus compliqué, il faut vraiment prendre les oiseaux pour des imbéciles que de croire qu'ils ne devinent pas notre présence. Le témoignage de LUCIFER nous prouve clairement que l'oiseau n'a pas besoin de voir le fauconnier pour l'associer à la nourriture. Tout comme les chiens qui aboient devant la porte bien avant l'arrivée de leur maitre, les oiseaux sont parfaitement capables "d'imaginer" la présence du fauconnier, voiture, bruit, porte qui claque, passage entre deux planches non jointives ect... Les solutions se situent ailleurs. Dès que les jeunes sont séparés des parents, nous restons avec eux en permanence, ils sont à la maison, au milieu des enfants, des chiens, des visiteurs. Au début ils sont nourris dans cette ambiance conviviale, l'idée de crier ne leur vient pas à l'esprit puisqu'ils sont en présence de l'homme toute la journée ! Dès qu'ils peuvent manger seuls, ils ont à disposition un pigeon ou un poussin en permanence et quand ils commencent à l'attaquer nous nous eclipsons discrètement de la pièce. Au fur et à mesure, les seuls moments ou l'oiseau ne nous voit pas, sont ceux ou il se nourrit ! On déclenche ainsi une forme d'indépendance, inverse de celle de la nature ou les parents nourrissent en priorité celui qui crie le plus. Il y a d'autres trucs dans cet esprit, qui fait que 9 fois sur 10, les jeunes ainsi élevés ne sont absolument pas criards. Généralement les rares jeunes criards, sont mis directement à la chasse dès qu'ils sont allongés, nourris sur leurs prises, les cris cessent définitivement en moins d'un mois. Les oiseaux crient parce qu'ils ne voient pas le fauconnier, le parent de substitution ! ils l'appellent quand ils devinent sa présence ou qu'ils ont faim et cela déchaine l'hystérie ! exactement comme cela se passe dans un nid dès qu'un des jeunes devine la présence de l'un des parents ! je suis là ! j'existe ! donne moi à manger ! sans parler de rapace, regardez n'importe quel nid d'hirondelle, tapotez sur le bord et vous comprendrez ! Il suffit de 2 ou 3 démarrage de ces séances de cris suivi de l'apparition de la nourriture malgré le cache-cache naif du fauconnier pour que le phénomène soit définitivement acquis. Si on ne le déclenche pas, l'oiseau ne crie pas .... Ce qui ne veut pas dire qu'il n'est pas impregné, mais autre sujet.
  7. etienne01

    La nouvelle saison (2008)

    Je reviens sur un précédent post ( hier ) : il sait qu'il a une seconde chance, généralement plus facile...
  8. Pour Lecoch : Tous les oiseaux, lorsqu'on les abaisse ont tendance à crier. Ce n'est pas parce qu'un jeune oiseau crie qu'il est nécessairement imprégné. Le phénomène de l'imprégnation est beaucoup plus complexe que cela. Cela dépend des oiseaux et aussi de la manière de les élever. Je n'étais pas loin de la vérité il y a 2 semaines ! : A l'inverse, certains oiseaux totalement imprégnés ne crient pas. Non parce qu'ils ne sont pas imprégnés, mais simplement parce que le conditionnement qu'on leur a imposé a permis de palier ce problème. A mon avis se cacher pour nourrir quand l'oiseau a parfaitement compris qu'il était nourri par l'homme est un des meilleurs moyens pour le faire hurler, puis ensuite couvrir !!! On cumule tous les défauts. Un dernier conseil et ensuite, j'abandonne : si elle revient au poing, fais la chasser immédiatement, abandonne les promenades, les affaitages au leurre, le "sèchage", la bouffe par le tuyau et toutes ces conneries qui ne vont qu'amplifier ses cris . Ton oiseau n'est probablement pas imprégné, c'est certainement ton conditionnement qui le fait crier, le meilleur remède : la faire chasser et tuer. ( si elle est allongée ) Je crois que c'est le même conseil que tous les autoursiers t'ont donné depuis plusieurs jours...... Maintenant à toi de décider.
  9. Je pense que soit ton faucon a déjà bien compris que de toute façon il serait gorgé sur un escape. Même en faisant le couillon sur mon hangar, je serais servi, voir récompensé par une pleine gorge ( de 565 à 638 il a du plus que commencer sa gorge ). Pourquoi en faire plus et être attentif, si je sais que j'ai une seconde chance ?
  10. etienne01

    conseils debut

    Je pense qe lucifer a assez bien résumé la situation. La fauconnerie est aussi un investissement humain. Il est plus utile de construire et de se tisser des affinités dans ce milieu au fil du temps, que de payer pour un "service". Les stages sont un moyen d'avoir un oiseau au poing pendant un ou deux jours, mais en aucun cas une réelle formation.
  11. Les stages ...bof ... Le mieux reste tout de même de faire de belles rencontres, plutôt que de devoir s'acheter une semaine de rêve. Je ne suis pas sur ton secteur et il m'est donc difficile de t'aider mais je suis persuadé que si tu participes régulièrement à ce forum et prend le temps de te faire des connaissances, tu trouveras rapidement quelqu'un prêt à te recevoir.
  12. Une très belle réponse ! Bravo, bienvenue, bon courage et bonne chance.
  13. Attention, si il s'agit d'un jeune oiseau, le poussin ne suffit pas. De plus, on ne restreint pas un jeune oiseau tant qu'il n'est pas totalement allongé !!!!!!! Il doit être nourri en abondance, jusqu'à ce qu'il soit allongé, qu'il mange l'équivalent de 2 ou 20 poussins n'a aucune importance, le tout est d'éviter les carences, notamment en calcium qui ne sont pas couvertes par les poussins. Il doit être nourri en abondance, avec une nourriture riche et variée, du poussin au pigeon + quelques compléments éventuels.
  14. Merci pour cette élégante précision... A 13 ans, je ne doute pas non plus de la sincérité de l'engagement, bien que je m'interroge malgré tout sur la signification relative du "longtemps" Cela me rappelle le CV d'un candidat, agé de 35 ans qui se prévalait d'une expérience professionnelle de 28 ans... Interrogé à se sujet, il répondait avec assurance qu'ayant suivi son père sur les chantiers depuis son plus jeune age, il considérait avoir démarré son expérience professionnelle dès 7 ans ! Mais une chose est certaine, la passion n'a pas d'age, donc bon courage pour la suite.
  15. Avant de démarrer, il est important de savoir très précisément pourquoi on veut se lancer en "fauconnerie". Il ne s’agit pas d’un hobby du week-end, mais d’un mode de vie, conditionné par les soins à apporter aux oiseaux. Pour pouvoir mener cette passion à bien, il vous faudra remplir toutes les conditions suivantes : Etre chasseur et titulaire d'un permis de chasse. Etre titulaire d'un droit de chasse et disposer d'un territoire de chasse adapté. Avoir un jardin ou des installations pourront être aménagées : Un oiseau de fauconnerie ne se met jamais en cage, une chambre de mue (local aménagé, clair, sec pouvant être plongé dans l’obscurité ) et une pelouse sont nécessaires pour jardiner les oiseaux, des volières aussi pour le gibier d'entraînement. Avoir un budget de départ : matériel, installations, télémétrie, chien, gibier d'escape, nourriture, déplacements, droits de chasse,etc. Disposer de temps ! : vol d'entraînement quotidien, soins des oiseaux, entretien des escapes, nettoyage, nourrissage etc. ( compter de deux à quatre heures chaque jour) Si tous ces critères sont réunis, il est recommandé de suivre un fauconnier pendant une ou deux saisons. La chasse au vol est réglementée, pour pouvoir pratiquer, il faut préalablement obtenir des administrations les autorisations indispensables à l’accueil de votre futur élève. En résumé, il faut savoir rester patient et persévérant, la fauconnerie ne s’apprend ni sur un forum, ni dans des livres.
  16. etienne01

    bonjour

    Bon, merci Nebli mais stop. Nous ne sommes pas ici pour encourager des collectionneurs.
  17. Bravo à Martial et Goshawk pour leurs conseils avisés d'autoursiers confirmés. Mouais.... bon on ne peut pas vraiment dire le contraire.....mais malgré tout, l'important est de ne pas trainer sur l'affaitage, même si le réclame n'est pas automatique ! Franchement, je ne considère pas vraiment que le réclame soit primordial, il est pratique, nécessaire pour récupérer son oiseau, c'est un gain de temps en chasse, mais cela peut aussi s'acquérir au fur et à mesure des sorties de chasse. J'ai connu un tiercelet d'autour, qui a fait plus de 70 prises de corneilles consécutives, il n'avait jamais été réclamé au poing, ni ne connaissait le leurre et était récupéré directement sur sa prise ! quel oiseau ! ( pour tout dire, à la 71ème corneille - qu'il a loupé - on ne l'a jamais revu !.....) Sans aller à cette extrémité, je pense qu'il faut cesser de "psychoter" avec ces histoires d'affaitage. L'affaitage d'un niais doit être le plus court possible, trop de débutants passent plus d'un mois pour introduire un oiseau de bas vol. Cela est beaucoup trop long, durant cette période l'oiseau n'apprend qu'à en faire le moins possible. On s'étonne qu'ensuite des oiseaux ne poursuivent pas un faisan plus de 10 m, alors qu'il y a longtemps qu'ils ont compris à cause des exercices de gant ou de leurre, que sans aucune fatigue, avec une dépense nulle, il seront de toute façon nourris abondamment après deux coups d'ailes vers le fauconnnier ou sur un escape amoindri. C'est dans ce sens là, qu'il ne faut pas hésiter à accentuer le trait, car de toute façon quelques soient nos conseils, il est clair qu'aucun débutant ne mettra sur l'aile un oiseau qui ne revient pas au poing levé à 50 m en filière.... c'est déjà la première erreur fatale.... Débutants tentez de ne pas faire plus de cadeaux que n'en ferait la nature,( ce qui est déjà impossible en captivité ) l'apprentissage doit être bref, sans seconde chance ! . Avec en tête cet unique objectif, sans penser trop ni au poing, ni au leurre, ni au risque de perte, vous aurez de bons oiseaux. Le résultat est proportionnel à l'engagement et à la prise de risque. Bonne chance à tous pour cette première saison !
  18. etienne01

    La nouvelle saison (2008)

    Ca c'est du vol et de la fauconnerie ! De la prise de risque, de l'ambition, de l'engagement et en plus, tout fini bien. On est loin de deux réclames ou d'une passe au leurre !
  19. 100 % d'accord avec Martial ! Un seul conseil à retenir de Pirrotta plutôt que le gant ou le leurre : surtout le faire chasser le plus tôt possible. Tout le reste est du baratin, il faut s'adapter à l'oiseau. Il est totalement inutile de multiplier les escapes en volières ou en filière, cela ne sert à rien, si ce n'est risquer d'encourager un oiseau à ne pas se fatiguer pour faire prise. Pour le pigeon que tu as mis en escape, tu viens de vérifier une des règles intangible de la prédation : la fuite déclenche l'attaque ! Dès lors, il faut que ton oiseau attaque tous les jours un maximum de proies sauvages ou difficiles. C'est la seule règle et le seul conseil valable à te donner. Pour l'affaitage, cela n'a aucune d'importance. On ne juge pas un oiseau sur son réclame, mais sur ses attaques. C'est ce qui fait la différence entre volerie et chasse au vol. Cordialement.
  20. Nous ne partageons pas du tout votre point de vue. En France, vous ne pourriez pas détenir un oiseau dans ces conditions. Par "Vol d'agrément", comprendre : agrément du seul fauconnier..... Vous détestez avoir une arme dans les mains...considérez-vous votre oiseau comme une peluche ou un perdreau ?
  21. etienne01

    Fouine

    J'ai attrapé ce W.E une jeune fouine. Effectivement le cri est assez surprenant, comme un "pouic pouic " rapide et aigü, qui ressemble plus au cri d'un oiseau, un peu comme celui du pic, qu'à celui d'un mamifère.
  22. Je me permet de commenter ce post, plutôt que de répondre directement à une question dont d'autres auront des avis plus judicieux que les miens. Mon avis est que quelque soit la solution choisie pour la sociabilisation d'un oiseau, il ne faut pas faire les choses à moitié. Soit l'oiseau est indépendant en volière, sorti allongé, et mis à l'affaitage, soit on va vers une vrai sociabilisation avec un jeune élevé à la maison ( ce qui n'est pas forcément synonyme d'imprégnation ) conditionné et mis à la chasse directement lorsqu'il est allongé. Je ne suis pas sûr que le mélange des genres, apporte grand chose de même que de se cacher pour nourrir. Rien qu'au son, l'oiseau devine pertinemment qu'il est nourri par le fauconnier. L'association est aussi une question de faim et de présence du fauconnier hors nourrissage. Pour ce qui est de MC Dermott, on revient un peu à ce qui précède, le réclame au leurre n'est pas une fin en soi, mais plutôt un aboutissement de la méthode qui combine plusieurs réflexes conditionnés dont la conclusion se trouve sur le leurre. En l'occurence, l'intérêt théorique du leurre dans ce cas est aussi la substitution en douceur et le poing en perchoir, si l'oiseau se pend au leurre comme si sa survie en dépendait, le réclame au leurre n'a plus vraiment d'intérêt. Pour ce qui est de la méthode elle-même, les avis divergent. En résumé, si l'oiseau est allongé, plus de questions à se poser, il faut qu'il chasse et se nourrisse de ce qu'il tue, le poing ou le leurre n'ont aucune importance, moins il passera de temps sur l'un ou sur l'autre, meilleur il sera. L'affaitage est un compte de fée pour fauconnier moderne , écrit il y a 500 ans par des fauconniers qui n'utilisaient que des passagers ! , en définitive il ne sert pas à grand chose avec de jeunes oiseaux. Il faut qu'ils chassent le plus possible, avec un affaitage minimum, juste le nécessaire pour permettre de ne pas les perdre. On ne perd jamais un oiseau à l'introduction, et rarement par manque de réclame, que ce soit au poing ou au leurre. On ne fait pas de la volerie, c'est ce qui fait toute la différence.
  23. etienne01

    La nouvelle saison (2008)

    Et toi ? Sans bons pigeons pas de bons faucons ! Il faut de bon pigeons : les mauvais doivent malgré tout assez bien voler pour ne pas être trop faciles et les bons doivent voler haut et vite sans se poser. Ensuite c'est au fauconnier de servir au bon moment, qui se joue souvent en quelques secondes, c'est pour cela qu'il faut toujours avoir 2 pigeons dans la poche et être prêt à intervenir rapidement. Si il lui en manque encore beaucoup pour conclure, c'est déjà qu'il est sur la bonne voie, il loupe, est contraint de dépasser ses limites, donc il apprend ! Dans tous les cas pour qu'un faucon commence à être capable de prendre des bons volants, il faut compter entre 3 et 600 pigeons escapés. Tu n'en n'es qu'au début, et il est probable que ton oiseau l'ait compris bien avant toi ! Bonne chance - cordialement.
  24. etienne01

    setter ou pointer ?

    Nous avons présenté 3 jeunes setters de hte savoie et tous ont brillament réussi !
  25. etienne01

    setter ou pointer ?

    Pour mémoire qu'est ce que le TAN ? Un Test d'Aptitudes Naturelles, la notion de dressage ne devrait pas être associée à ce type d'épreuve. C'est souvent le problème, car beaucoup s'imaginent que leur honneur est en jeu quand ils présentent leur chien, alors que ce n'est que l'honneur de leur chien qui est "jugé" . Il ne s'agit pas d'un concours, en théorie, le TAN devrait permettre de découvrir les talents naturels des chiots : quête, arrêt, obéissance, recherche, ambition, entreprise etc... C'est à partir du TAN, des aptitudes naturelles du sujet ou de ses défauts que devrait commencer le dressage.
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