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octave11

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Tout ce qui a été posté par octave11

  1. Ah tiens voilà encore une similitude avec homo sapiens. Je comprends mieux pourquoi les hommes doivent rester à la terrasse du bar, c'est pour surveiller la place pendant que leur dames travaillent (s'amusent, cherchent, grattent) au lavoir... Ah, comme la nature est bien faite et surtout bien organisée...
  2. Bonjour Mme NOE. Merci pour jolie photos. Nous sommes ainsi sûr qu'une fois le Déluge passé, les Pékins auront survécu
  3. Ici en banlieue pavillonnaire de Clermont-Fd, ce sont les chats qui représentent un risque majeur pour les poussins. J'ai réussi à dresser le mien comme ses précécesseurs . Bien que fasciné par ces petits boules de plume qui ressemblent furieusement à des merles jaunes, il a compris qu'il s'agissait là de la chasse gardée du patron. Lorsque la tension est trop forte, il saute au milieu du troupeau mais juste pour le plaisir de créer un feu d'artifice de poussins. Il en va par contre différement des greffiers du voisinage qui n'ont aucun contrat avec moi et les miens. j'ai ainsi perdu 9 poussins menés en couvée naturelle il y a deux ans. Les mères aguerries savent foncer sur l'intrus, plus rarement les poulettes de l'année. Ceci dit, ils font leur métier de chat, à moi de savoir protéger mes jeunes...
  4. Oui bien vu. Comme tous les ados, ils sont petits mais déjà grands...
  5. Un mois et une semaine. Je viens de les sevrer de toute apport de chaleur externe.
  6. On est poètes mais aussi ambitieux A nous les marches de la Gloire !
  7. Bien vu. Comme quoi il ne faut jamais s'arrêter au constat d'évidence. On voit que la série "les experts" est fort suivie
  8. Non, mais comme toujours, les petits mâles veulent jouer les caïds et être les premiers sur la photo. Encore un point commun entre les gallines et les humains...
  9. Oui, comme tous les éleveurs...
  10. Oui, gagné et non seulement il est noir mais en plus c'est un petit Orpington perdu au milieu des (Pékins) fauves... Vive la diversité
  11. Pour être de vrais fauves , on en est pas moi poètes...
  12. Le parpaing est pratique et économique mais peu isolant... En région froide penser à une isolation complémentaire. Quant au bois, attention aux "a priori" dans un sens comme dans l'autre car il y a bois et bois.... le bois est intéressant pour son aspect et ses qualités isolantes. Il faut par contre le prendre épais pour la solidité, la pérennité et le pouvoir isolant. Il est aussi intéressant pour son côté bio si et seulement si tu prends des essences raisonnablement naturellement imputrescibles comme le méleze, l'accacia voire même le pin douglas qui avec un peu d'huile de lin/essence de térebenthine ou du silicate de soude tiendront longtemps. Les bois à tanin comme le chataignier ou le chêne sont effectivement onéreux mais ont en plus de leur bonne durabilité (ou plus exactement pour la même raison) une action anti acarienne intéressante. A l'inverse les bois "autoclavés" a l'aspect caractéristique "verdâtre" sont à mon sens incompatibles avec un espace "nature" car "bourrés" de métaux lourds toxiques pour les vers comme pour les autres.... Pour ce qui est des pous, il faut effectivement choisir des "qualités" de planches "sans noeud" pouvant représenter des refuges à pous et prévoir de peindre l'intérieur avec une laque blanche. Moyennant quoi, tu n'auras alors pas plus ni moins de risques de pous que dans un poulailler en parpaing, si tu respectes une hygiène de bon aloi. Au final, les deux options sont bonnes sous réserve de "bonnes pratiques" et le choix est finalelement à mon sens esthétique voire tactile...
  13. Le gel comme également le soleil ont une action d'aissainissement du sol mais surtout utile dans un contexte naturel, c'est à dire sur un sol en équilibre entre ses différentes composantes bactériennes, animales ou végétales. C'est sans doute par contre insuffisant vis à vis d'un sol "surexploité" tel que celui d'un poulailler.
  14. Combien de temps sépare les deux photos ? une mue ?
  15. octave11

    eclosion

    Primum non nocere D'abord ne pas nuire.... Il n'y a aucun intéret pour le poussin à être retiré de la couveuse avant d'être sec (au passage, il n'est pas réellement "mouillé" mais recouvert d'une membrane tranparente humide à l'extérieur qui une fois sèche tombe en poussière sur le fond de la couveuse en fines paillettes argentées). Mëme s'il peut être nourri dès J1 contrairement à la légende, ce n'est pas impératif car il a une réserve de 2 jours constituée par un reliquant de vitellus. Donc pour le poussin né pas de problème à rester 12 à 24h en couveuse. Il n'y a pas non plus de réel souci pour lui d'être sorti de la couveuse pour aller dans l"éleveuse, le problème est surtout pour les copains qui eux sont encore en train de sortir. Pour ces derniers, si tu vas vite à retirer le premier poussin, ils ne se refroidiront pas mais cela va occasionner une fuite d'humidité et la chute de l'hygrométire risque d'assècher la membrane interne des oeufs en cours d'ouverture au point de devenir une prison mortelle. Si par contre tu as un système qui régule automatiquement l'hygrométrie de ta couveuse ou que tu compenses d'une manière ou d'une autre cette perte d'humidité due à l'ouverture de la couveuse, pas de problème.
  16. octave11

    eclosion

    Je pense que la notion de "petits déplacements" vaut essentiellement pour ceux occasionnées par la poule. A l'inverse, les déplacements provoqués par les premiers nés vis à vis des autres oeufs sont effectivement plus importants mais plus tardifs et apparement sans conséquence majeure sur un poussin déjà en "position de sortie" dans son oeuf. Pour rappel, - à J16, le poussin débute dans l'oeuf, un mouvement d'orientation de son corps selon le grand axe de l'oeuf; - à J18, il termine sa "pirouette" et sa tête est inclinée le plus souvent à droite sous l'aile; - à J19, le bec est au contact de la chambre à air; - à J20, il perfore la poche à air et et ouvre ses poumons (début de la respiration pumonaire : signe révélateur, on entend ses vocalises à travers la coquille !). Cette respiration "comme les grands" lui donne alors la force de bêcher et après une pose, d'ouvrir sa coquille perpendiculairement à l'axe de l'oeuf à la limite de la poche d'air. Au final, il se pourrait donc bien que les retournements délétaires soient ceux qui à la fois interviennent à la période crutiale de fin de positionnement du poussin à J19 et J20 et sont d'amplitude importante (180°). Des mouvements modérés ou tardifs (J21) seraient par contre sans impact...
  17. octave11

    eclosion

    Oui, oui, je t'ai parfaitement comprise et ce point me "turlupine" aussi. En effet, les premiers pious bousculent les oeufs mais surtout comment imaginer que la poule reste totalement immobile de J19 à J 21 ?? Et pourtant le retournement des oeufs en couveuse (en tout cas statiques car je n'ai pas l'expérience des ventilées) perturbent à l'évidence l'éclosion. Sans certitude, j'avancerais pour ma part l'hypothèse suivante : que la poule ou les premiers poussins n'entrainent que des petits déplacements facilement compensés par le poussin "in ovo" alors que c'est plus difficile et surtout fatiguant pour lui de le faire ne serait ce que 2 fois par jour avec un éleveur ou une machine qui font des retournements à 180 ° ?
  18. octave11

    eclosion

    La stabilisation des oeufs (arrêt du retournement) n'a de logique et d'intéret que pour les trois derniers jours (J19 à 21), période durant laquelle le poussin totalement formé, commence à se positionner pour sa sortie (comme un bébé dans l'utérus quelques jour avant la naissance). Sous la poule et dans une couveuse statique*, le bêchage débute normalement par le haut (position où le poussin est le plus sûr d'avoir un accès libre à l'air). Il repère cette position en partie gâce au fait que le le point haut est le plus chaud. A l'inverse, de J1 à J18, là, la problématique est différente. Durant cette première période de l'incubation, l'objectif est de permettre un apport thermique donc énergétique homogène sur toutes les parties de l'oeuf notamment sous poule et dans les couveuses statiques où l'apport thermique ne se fait que par le haut. Il semblerait aussi y avoir des raisons "gravitationnelles" à savoir éviter que le jaune et le germe ne s'écrasent au bas de l'oeuf ? Donc, à ce jour, en l'état des connaissances, il est recommandé de retouner au moins matin et soir les oeufs de J1 à J18 puis arrêt du retournement les 3 derniers jours. Ceci dit, je ne sais pas tout...et en écrivant ces lignes je prends conscience que dans une couveuse ventilée , la chaleur est répartie de manière homogène tout autour des oeufs; aussi : 1 - comment le poussin repère-t-il le point haut de son oeuf ? Ceux qui ont l'expérience de ce type de couveuses peuvent ils d'ailleurs m'indiquer si là aussi le bêchage commence par le haut de l'oeuf ? Si oui, cela voudrait dire que le poussin n'a pas que le repère thermique pour se repérer. 2 - l'intéret "thermique" du retournement n'a de même plus de logique dans ce type de couveuse. Si cela reste nécessaire (mais l'a-t-on vérifié ?) cela indiquerait que le risque "gravitationnel" de descente du jaune et d'accolement du germe à la coquille est bien réel. Qu'en pense les utilisateurs de couveuses ventilées ?
  19. octave11

    eclosion

    Des pious à J 20 en dehors d'éventuels oeufs "du jour", classiquement en avance de 24 h sur les autres, cela signe une température d'incubation trop haute. Cela peut tout à fait être au moins l'une des causes des morts en cours d'incubation. Dans mon expérience les temp. idéales sont de +37/37,5°C en couveuses ventilées et + 39°C au sommet de l'oeuf en couveuses statiques (pour des oeufs de Pékin).
  20. octave11

    eclosion

    En première intention, dégarnis un peu la périphérie du cloaque (en dessous chez le coq, au dessus chez la poule) c'est fait Octave depuis 1 mois pas au point de leur couper les plumes de la queue mais plus largement que l'année dernière, je les vois cocher, peut être pas assez, je sais pas, et à coté, j'ai un parquet de soie blanc que j'ai pas dégarni, 100% de fécondité Dans ce cas penser peut être à des plumes coupées de telle manière qu'elles entrainent chez le coq et/ou la poule une sensation de picage lors du coït. Dans ce cas le coït est inefficace par retrait de l'un ou de l'autre... Je ne sais si c'est ce que tu observes mais soit on supprime complètement les plumettes péricloacales en les coupant à ras, soit ce qui me semble suffisant, on en coupe que la partie supérieure mais en les "testant" du bout des doigts pour bien vérifier que ce qui reste en place est encore moelleux. Attention aussi aux plumes latérales de la queue des poulettes qui lors du recouvrement par le coq peuvent former barrage.
  21. octave11

    eclosion

    Une cause majeure de mort en coquille pourtant souvent sous estimée (on se focalise généralement sur la température ou l'igrométrie) est l'arrêt du retournement des oeufs à J18 inclus. A partir de cette date, le poussin commence en effet à se positionner la tête vers le haut de l'oeuf où débutera le "bêchage". Si on retourne les oeufs durant cette période, on l'oblige à modifier continuellement sa position et au final il n'a plus assez d'énergie pour sortir L'eau vinaigrée ? La coquille d'un oeuf s'affine essentiellement par consommation interne du poussin pour la constitution de son squelette mais aussi sous l'action externe de la sueur acide de la poule (ne pas oublier qu'une poule couveuse est fébrile). De fait , à l'observation la coquille des oeufs en couveuse à J21 apparait un poil plus épaisse que celle des oeufs couvés sous poule. Donc l'idéee d'une puvérisation d'eau vinaigrée n'est pas stupide. Reste par contre à le confirmer expérimentalement et ensuite à définir un protocole précis (dilution, timing, fréquence...)
  22. octave11

    eclosion

    En première intention, dégarnis un peu la périphérie du cloaque (en dessous chez le coq, au dessus chez la poule)
  23. L'action désinfectante de la Chaux vive passe par son avidité vis à vis de l'eau. En fait elle "vampirise" l'eau de toute structure vivante, notamment des parasites, virus et bactéries. Aussi est il logique de l'utiliser avec parcimonie mais tel quel. Au contact du sol et surtout lors du retournement à la bêche, elle "s'éteint" en grande partie par contact avec l'humidité du sol. Si par contre le sol est très sec, il est effectivement justifié de procéder in fine à un arrosage après retournement diu sol avant d'y remettre des animaux.
  24. Pour compléter ce petit tour de la question de l'assainissement des sols d'élevage, partant du principe que les approches les plus simples sont souvent les meilleures, il est aussi tout à fait possible pour les sols de terre ou de sable de procéder une à deux fois par an ou après un épisode parasitaire, au remplacement de la surface sur 1 à 3 cm de profondeur par de la terre et ou du sable "neuf". Moins souvent usité, mais a priori judicieux, l'utilisation d'un petit "chalumeau" de jardin vendu pour le désherbage thermique des allées et des potagers. Un passage consciencieux sur les surfaces terre/sable ou ciment est effectivement en mesure de carboniser les kystes parasitaires ou bactériens qui trainent au sol. Certes, il est dit que les vers de terre jouent aussi un rôle dans la dissémitation par exemple des coccidies mais n'allons pas trop loin dans la volonté de désinfection ... et encore une fois rappelons nous la vie est un équilibre pas un désert...
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