octave11

Tiens, oui , une expo de juges, ça c'est une idée. Ou au moins un calendrier comme pour les rugbymen...et puis ensuite pourquoi pas une expo d'exposants et d'exposantes, soyons fous... Bon, ceci étant dit, l'idéee pourrait bien être passi bête que ça. Un peu comme les profs qui se repassent des copies corrigées pour une double voire une triple notation à l'aveugle, on pourrait dans un bur d'optimisation et d'homogéneisation des jugements faire idem avec nos juges. je crois même que c'est une approche qui se pratique voire s'est pratiquée ?

As tu essayée les granulés d'Hélium ? Ca donne du gonflant et au moment du controle de poids, le peson s'envole ! (mais attention aux aiguilles dans la paille...)

J'aime beaucoup cette phrase d'un éleveur australien "Remember, Type first, Feather quality and good under fluff next, colour last. Using this formula, you’re sure for success."

Deux races menées avec application et passion... et les résultats sont là ! Bravo Miss nours !!

Oua ! même ta photo "avatar" a changé ! En tout cas Ben, bravo et Merci !

Je m'estime incompétant en frisées mais je dois reconnaitre qu'une Pékin frisée blanche, c'est joli. On a envie de faire une bataille de polochons... C'est entre la pivoine double, la rose ancienne et l'intérieur d'un oreiller moelleux...

Très juste Marion. C'est une excellente comparaison tant pour l'action antiparasite puisque poux et varroas appartiennent comme tu le dis très justement à la même grande famille des acariens (tous les acariens, tous les acariennes comme dit la chanson... ) que pour la réaction mécontente des propriétaires légitimes des locaux. Les abeilles comme les poules ont survécu jusqu'à nos jour en partie parce quelles ont su se méfier de toute modifcation "anormale" de leur environnement en particulier olfactif. Les prédateurs ont souvent une odeur et ils faut savoir réagir vite. Les apiculteurs savent par exemple que sauf abeilles habituées, ils vaut mieux éviter de manipuler une ruche en étant en sueur ou en sentant le tabac. Ces animaux ne sont par contre pas décérébrés n'en déplaise à Mr DESCARTES et il savent apprendresi on leur donne les condition et le temps de le faire. A nous donc de ne pas être plus "bêtes" qu'eux...

Effectivement c'est comme cela que je procède avec les petites nouvelles venue du "monde extérieur". Je les enferme quelques jours dans les locaux , histoire quelles relient l'odeur nouvelle avec un lieu sans danger. Après "imprégnation " oblige, on obtient l'attitude inverse à savoir qu'entre deux poulaillers, elles choisiront celui qui sent la lavande. Dior fait ça à grande échelle pour ses nouvelles fragances. En fait toutes les poulettes (et poulets) du monde se ressemblent

Sans jeu de mots, c'est ce que les éthologues appellent "l'imprégnation" ! Pour revenir sur le niveau d'action répulsive des huiles essentielles, lavande, romarin thin etc... c'est de l'ordre de la médecine douce. C'est à dire que, sans aucune ironie de ma part puisque je suis utilisateur, l'action est surtout nette vis à vis de nouvelles localisations plutôt qu'en termes d'expulsion. En d'autres termes si des poux SDF recherchent un logement sympa et qu'ils ont le choix, ils éviteront celui qui est propre, un peu huileux (huile de lin, savon noir) et sent bon la lavande et la farigoule comme dirait Pagnol. Par contre si toute la famille est là, que dis je, toute la colonie, alors je pense que même s'ils ne sont pas contents, il faut plus que de la lavande pour stériliser la zone, malheureusement. L'extermination, c'est pas trop dans les cordes de la nature... sur ce point l'homme a montré qu'il faisait mieux...

Une partie de ma famille habite dans la Drôme. je me fournis donc là bas directement à la distillerie en gros volume et en qualité de base dite "essence de lavandin pour peintres". C'est moins cher qu'en petit flacon pour touristes mais ce n'est tout de mme pas bon marché. Ces derniers l'utilisaient jadis en lieu et place de l'essence de térebenthine pour se laver les main tâchées de peinture. Les peintre en batiment "bio" y reviennent.¨ C'est moins cher qu'en petit flacon pour touristes mais ce n'est tout de même pas bon marché. Ma femme l'utilise aussi avec de la cire d'abeille pour obtenir un encostique pour les meubles. C'est aussi une vieille recette provençale.

En fait, j'ai retiré les cables pour la photo mais en temps normal, ce sont les écureils qui font touner les mécaniques. Mes poules prennent chaque hiver, un forfait à 10 noix et cinq noisettes (soit à peu près 0,5 euros)

Mais oui, c'est bien le cas ! Cest la station de la Bourpoules...

Les cylindres sur pieds sont de simples abreuvoirs avec réserve d'eau. Pour lutter contre le gel - petit truc : un peu de sucre non pas dans la réserve mais dans la coupelle permet d'abaisser un peu le point de congélation et de maintenir l'eau a l'état liquide un peu plus longtemps en journéee après la tournée pédestre "eau chaude". Le risque "bactérien est nulle car les pauvres bactéries n'aime gère les grands froids et en se limitant à la coupelle, il n'y que peu de problème de "bouillon de culture). Il existe aussi des plateaux chauffant qui se posent sous les abreuvoirs métalliques si tu disposes d'une source électrique assez proche. On peut aussi utiliser des cables chauffant vendus au rayon bricolage pour mettre autour des tuyauteries l'hiver. Là aussi il faut une prise électrique dans les envirions. Je privilégie effectivement le bois pour mes poulaillers, à la fois poir l'esthétisme mais aussi pour ses qualités isolantes. Pour l'hiver, je double cependant avec du plastique à grosse bulles pour optimiser à la marge mais à peu de frais, l'isolation. Je compense le potentiel gite à acarien en m'astreignant à une bonne hygiène des locaux (désinfection tous les 15j/3s avec un mélange savon noir-essence de lavande) et en le repeignant tous les ans au printemps et à l'automne avec un mélange huile de lin-essence de lavande (mélange étouffant et répusif pour les acariens et sympa pour nos narines). Attention cependant lorsque les poules sont habituées à la lavande, no problem sinon au début par crainte d'une odeur suspecte, elles prfèrent coucher dehors. Les miennes sont habituées dès l'éleveuse et donc je n'ai aucun souci. Pour la litière, j'utilise de la paille de chanvre ou de lin et du foin mélagé à du thym pour les pondoirs, (pour le thym même remarque que pour l'odeur de lavande, il faut que les poules soient habituées mais c'est un exellent répulsif natuel comme le romarin contre les acariens). Voilà tu sais tout. Ceci dit cela ne sont que mes humbles us. D'autre habitus sont sans doute aussi valables. Bon courage !

Brr... Fait pas chaud en ce moment. Veuillez touver ci-dessous quelques photos de Pékins' land sous la neige d'Auvergne !

la condition d'un sujet peut varier entre deux expos mais le constat ci-dessus comme bien d'autre milite pour un vrai décompte et non un speudo total qui est en fait attribué globalement comme jadis un 1er prix ou un PH. Soit on est qualitatif et au moins c'est poétique et parlant pour le grand public ou l'on est quantitatif dans un but d'objectivité et de répétabilité mais alors il faut un vrai décompte !

N'y aurait pas une petite place dans ton poulailler, l'été ?

Tu es peut être tombé sur un des ouvrages de ROULLIER-ARNOULT, le créateur à GAMBAIS tout à la fois de la première couveuse artificielle, du premier centre de production industrielle de poussins d'1 jour, du premier centre français de formation avicole, des races Houdan et Faverolle ou de son concurrent "intime" VOITELLIER qui dans le village d'à côté à fait un copier-coller des matériels et entreprises de ROULLIER. La vie de ROUILLIER-ARNOULT est fort intéressante et exemplaire. Elle mériterait un livre.

Bien sûr Zimetzoc, tu as raison. L'élevage en 2012 sauf situation privilégiée, passe obligatoirement par la claustration qu'il nous faut rendre sinon "la plus humaine" du moins la plus "naturellement animale" possible. Mon propos n'était pas de me battre contre les moulins à vent en prêchant l'impossible mais juste de rappeler que face à des comportements parfois "déviants" de nos gallinacés, il nous faut toujours nous rappeler que nous leur imposons (parceque nous pouvons pas faire autrement) des conditions de vie pas dramatiques certes mais pas "natuelles" non plus...

l'appetit vient en mangeant ! Nos instits et nos rprofs nous ont parfois ouvert les portes de se monde mais il faut bien reconnaitre que d'autres nous les ont fait détester en nous les présentant uniquement comme source de travail c'est à dire l'étymologiquement comme "une torture"... Crois moi, entre dans les livres en t'y laissant aspirer par ta passion Oublie les groupes nominaux et les subordonnées relatives et surfent sur les mots, ils t'ouvrirons la fénêtre secrète que les cerbères académiques n'ont pas su t'indiquer

Alors va sur le site "American libraries" qui permet le téléchargement gratuit et autorisé d'une multitudes de livres dont une foule de livres avicoles des 19ème et début vingtième. De nombreux sont US ou UK mais il y en a aussi en français. Le site "Gallica" de la BNF à moins de choix notamment en aviculture mais tout est en français. Je me suis ainsi constitué pour ma part une bibliothèque d'une centaine d'ouvrages !

L'attirance pour le rouge... tiens, encore une similitude entre gallines et humains; eux aussi dits omnivores et pourtant surtout s'ils sont français, grands amateurs de steacks bien saignants... Michel Pastoureau dans son "petit livre des couleurs " aux ed. Panama en 2005 voit le rouge comme "une couleur orgeilleuse, pétrie d'ambition et assoiffée de pouvoir" . Il est vrai que la pourpre est la couleur des sénateurs et des empereurs romains, des cardinaux mais aussi du diable et des révolutions... Pour revenir sur la photo de la poulette scalpée , est ce là aussi un acte si différent de nos us ? A voir... Rappelons nous que ce sont les colons anglais d'Amérique qui les premiers ont demandé un scalp comme preuve de la suppression d'un indien pour toucher la prime promise. Habitude reprise ensuite par les indiens eux même comme le savent les amateurs de Westerns. Comme quoi si le rire est parait-il le propre de l'homme, le scalpage n'est pas le propre de la poule...

L'attirance pour le rouge... tiens, encore une similitude entre gallines et humains; eux aussi dits omnivores et pourtant surtout s'ils sont français, grands amateurs de steacks bien saignants... Michel Pastoureau dans son "petit livre des couleurs " aux ed. Panama en 2005 voit le rouge comme "une couleur orgeilleuse, pétrie d'ambition et assoiffée de pouvoir" . Il est vrai que la pourpre est la couleur des sénateurs et des empereurs romains, des cardinaux mais aussi du diable et des révolutions... Pour revenir sur la photo de la poulette scalpée , est ce là aussi un acte si différent de nos us ? A voir... Rappelons nous que ce sont les colons anglais d'Amérique qui les premiers ont demandé un scalp comme preuve de la suppression d'un indien pour toucher la prime promise. Habitude reprise ensuite par les indiens eux même comme le savent les amateurs de Westerns. Comme quoi si le rire est parait-il le propre de l'homme, le scalpage n'est pas le propre de la poule...

Bof, la culture c'est comme les cheveux blancs, ça vient avec l'âge et puis quand on aime, on ne compte pas. Ceci dit, il ne faut pas abuser. Parfois lorsque j'ai le nez dans les papiers jaunis, je ne vois pas le temps passer et mon épouse râle... J'essaie actuellement de structurer une petite galerie de portaits tant photographiques que biographiques des grands noms qui ont jalonnés l'histoire de notre passion. Cela m'occupe bien. A toi bientôt la relève !

oui mais en Alsace ce sont des cousins... germains...

Bah ! Nous sommes tous frères en "celtitude" même si nous les arvernes on a un peu oublié la langue mais on se rattrape sur la qualité de nos Pékin(s) !