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Tout ce qui a été posté par Ugatza
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PHOTOS "Pour partager nos photos de reptiles et amphibiens"
Ugatza a répondu à un(e) sujet de glaurung dans Reptiles et amphibiens
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Petit rappel Il y a bien des choses qui manquent dans cette histoire. Et des questions qui restent sans réponses. De la réponse à ces questions on peut juger de si c'est les textes et les obligations qui sont en cause ou une situation exceptionnelle. Je ne suis pas d'accord pour laisser dire qu'à l'Ecole on respecte aussi peu la vie qu'ailleurs. Même sous le coup de l'émotion.
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Des animaux à l'école - pourquoi une liste ?
Ugatza a répondu à un(e) sujet de la dAme dans Condition Animale
Si on se réfère à ce que vous avez dit sur vos craintes concernant la fragilité des petits mammifères ou aux risques qu’ils présentent pour les enfants qui les manipuleraient mal, qu’envisagez-vous pour les classes maternelles ? Connaissez-vous UNE SEULE espèce animale dont la « vie » soit possible en classe ? Moi pas. La survie, oui. Ce qui légitime la présence d’animaux « familiers » dit de compagnie, dans les classes, c’est ceci : Les conditions d’accueil de l’animal sont, pour le moment, laissées à l’appréciation de l’enseignant, compte tenu des obligations : les buts pédagogiques évoqués dans la circulaire et contenus dans les programmes, les conditions légales et sanitaires (pour l’animal comme pour les enfants). C’est bien souvent pour cela que les enseignants ne s’aventurent pas dans cette voie. La réalité que j’observe, c’est qu’il y a des animaux familiers (lapins, cochons d’Inde, parfois hamsters) dans les classes de maternelle et en CP, puis quasiment plus aucun ensuite à partir du CE1. Ce sont des animaux seuls, justement à cause du problème du devenir des petits, insolubles pour les enseignants... Même si, à l’issue d’un élevage de hamsters, on peut penser ou espérer que les enfants « savent » s’en occuper. Les élevages, quand il y en a, sont des élevages d’escargots ou de phasmes. Moi ce qui m’intéresserait (mais vous ne le demandez pas dans votre pétition) c’est que les vétérinaires définissent pour chaque espèce, les conditions minimum à réunir pour accueillir chaque espèce, qu’elle soit manipulable ou non par de jeunes enfants. C’est déjà le cas pour ce qui est de l’origine de l’animal à son entrée dans la classe. J’observe que ce que vous dites implique qu’il peut donc s’agir de cochons d’Inde, de hamsters et de lapins. La visite annuelle du vétérinaire dans l’école (si j’ai bien compris) est une bonne idée si on part du principe que la situation de départ est un soupçon de maltraitance fréquente dans l’Education Nationale. Maltraitance au sens de ce qui est arrivé à Bambi. Dans ce cas, ce n’est pas un contrôle annuel qui suffira : Bambi est mort en moins de 6 mois à partir de son arrivée dans l'Ecole (avec l'interruption des deux mois des vacances d'été, où nous ne savons rien de ce qui s'est passé pour lui). Dans le cas de Bambi, il me semble que : 1) poursuivre la maîtresse devant la justice par l’intermédiaire des associations de protection animale est plus indiqué : un jugement aura plus d’impact que n’importe quelle nouvelle obligation. 2) Votre proposition de nouvelles obligations déresponsabilise totalement les citoyens que sont les parents. Je rappelle qu’une classe d’Ecole Maternelle est un lieu ouvert aux parents tous les matins, pendant dix minutes...au moins... C'est confirmé par cette autre demande: D'une part, l'arrivée d'un animal est annoncée aux parents (dans le "cahier de vie" de chacun des enfants que les parents lisent et où ils y écrivent), et est rappelée par des documents divers, photos, dessins, textes écrits sous la dictée des enfants dans ce même cahier. D'autre part, je vois bien souvent des enfants faire faire le tour de la classe à leur mère ou leur père, même en fin d'année. Quand un animal est malade, cela se voit, surtout s’il sent mauvais et qu’il est couvert de poux. La présence d'un animal dans la classe ne peut échapper aux parents même si la maîtresse s'est contentée de mettre un Bambi dans un coin de la classe sans rien dire et sans prévenir par écrit... Si les parents peuvent être insensibles à la souffrance animale, ils ne négligent pas les conditions d’hygiène pour leurs enfants dans la classe, pour une très grande partie d’entre eux. D’après ce que je vois, les animaux sont emmenés chez le vétérinaire quand il parait malade (perte d’appétit, de poils, toux, éternuements). Est-ce insuffisant? Et là il faut parler, c’est vrai, de qui paye. Vous avez une QUESTION concernant ce problème plus bas dans votre pétition. Mais pas de demande. J’y reviendrai au moment où j’aborderai cet article. -
Le titre est une question. Et puis des vautours qui finissent un mouton tué par un loup, c'est typiquement charognard, non? Ou alors ce sont les loups qui vont finir les moutons tués par les vautours? Et les fourmis? Hein, les fourmis? On ne se méfie pas assez des fourmis... Elles prolifèrent dans l'ombre...personne ne s'en préoccupe (à part en ville, bien sûr). Elles complotent (surtout les rouges) dans l'ombre et hop un jour elles vont attaquer les moutons, elles vont les becqueter sur pieds en 3 secondes, ni vu ni connu, comme dans la forêt amazonienne... Marabunta!
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Madame, C'est une bien curieuse façon que de procéder comme vous le faites. Pourquoi utiliser le mp? Pour vous, votre conviction est faite, vous êtes indignée et vous ne vous attendez pas à être contredite. Comment peut-on avoir des questions à poser après un tel drame? Les faits parlent d'eux-mêmes, non? Il faut être méchant (voire un ennemi des animaux) pour oser poser des questions aussi "tendancieuses"... Hein, Louve? Vous n'êtes pas un ogre et je ne suis pas un troll. Vous allez jusqu'à envisager que je pense que vous avez inventé cette histoire. Non. Vous ne l'avez pas inventée. Un Cochon d'Inde venant de la classe de votre fille est bien mort de mauvais traitements (négligence et/ ou incompétence) à l'école, malgré vos efforts pour le sauver. Je suis indigné, mais ça ne m'empêche pas de continuer de réflèchir. Cette affaire a été évoquée dans la presse, il y a plusieurs mois déjà, elle est donc publique mais vous avez en publiant ici l'article enlevé toute indication (même le nom du journal) permettant d'avoir une autre version que la vôtre. Qui vous suffit et donc doit suffire à tout le monde. En particulier concernant la "solidarité" dont bénéficie l'institutrice, de ses collègues à l'IEN, voire même l'Inspection d'Académie et jusqu'à une supposée couardise des associations de protection des animaux, ce qui est pour le moins ahurissant. Sur leurs sites, dans leurs journaux, pas de traces de cas de maltraitance d'animaux à l'Ecole. Vous interprétez tous les faits dans votre vision des choses : le mammouth, le gros qui écrase le petit... C'est ce qui les anime, ces associations, non? Défendre les animaux (sans défenses ) contre les abus des hommes. Alors elles aussi seraient complices d'une telle injustice et "s'écraseraient" devant le Mammouth? Mais là, le faible, le sans défense, il n'y en a plus. Il y a le Droit et la Loi. Et les associations y ont recours assez souvent avec succés. Bambi est mort, à cause de l'Ecole et de l'institutrice. Ou alors à cause de cette institutrice. Vous choisissez la première hypothèse. Pourquoi? Vous vous êtes renseignée sur les textes de l'Education Nationale (c'est une excellente démarche, que font bien peu de parents et de citoyens). Mais vous avez "oublié" les textes qui déjà protègent PARTOUT (et donc à l'Ecole) les animaux de compagnie. Avez vous contacté les associations de protection des animaux? Elles sont habilitées à se porter partie civile et engager elles-mêmes les frais du procés. Il me semble que c'est une démarche "ordinaire" que d'alerter la SPA ou la Fondation Bardot qui sont les plus connues. Quitte à faire d'autres choses en plus, comme une pétition. Vous dîtes avoir contacté une avocate et vous dites qu'elle vous a dit "qu'il fallait avoir les reins solides" pour affronter l'Education Nationale, c'est à dire l'Etat (qui fournit des avocats à TOUS les fonctionnaires). Pourtant les procès où l'Etat perd et où des enseignants ont des comptes à rendre existent. Il y a même des affaires en cours, dont certaines sont médiatisées. J'ai donné des exemples. Curieusement, une recherche (longue) sur Internet ne m'a pas permis de trouver un seul cas de jugement concernant des cas d'animaux maltraités à l'Ecole. La preuve que c'est vrai et que tout le monde s'en f.... dira Louve. Mais alors, si ces cas sont si fréquents, comme l'affirment ceux dont vous choisissez les "témoignages" sur votre site (et comme ici les choses auxquelles vous voulez bien répondre) parce qu'ils sont "significatifs", que faisaient donc tous ces gens qui expriment maintenant leur indignation? Y a-t-il même d'autres pétitions concernant les mauvais traitements d'animaux à l'école, cette fois-ci lancées par des particuliers comme vous? Pas davantage. Je n'ai trouvé que la vôtre. Vous basez une des parties de votre pétition sur des propos qu'aurait tenus, selon vous seule, l'institutrice ("si j'avais voulu, j'aurais pu avoir un serpent"). Vous demandez aussi que les parents puissent exercer un contrôle: il est bien naturel que je vous demande si vous avez vu Bambi dans la classe dans le mois et demi (et peut être même dans une autre classe entre mai et début juillet 2007) qui ont précédé le moment où la maîtresse vous l'a confié. Pourquoi ne répondez vous pas publiquement? Ces questions n'ont pas d'importance? J'aimerais savoir (que nous sachions tous) en particulier dans quel état se trouvait Bambi quand il est arrivé dans l'école, (combien de temps ça met à pousser à ce point les griffes ?) parce que là les parents sont déjà tout à fait en droit de demander à l'institutrice des garanties sur le plan sanitaire. Et puis les dents? Il n'avait pas de foin dans sa cage? J'aimerais aussi savoir (que nous sachions tous) qui l'a gardé entre juillet et septembre 2007 (puisqu'il est arrivé en mai 2007 dans une autre classe). PS: Je maintiens ce que j'ai dit: ces textes là ne figurent pas sur votre site: http://www.spa.asso.fr/962-la-repression-des-mauvais-traitements-envers-les-animaux.htm Article R. 653-1 du Code pénal Le fait par maladresse, imprudence, inattention, négligence ou manquement à une obligation de sécurité ou de prudence imposée par la loi ou les règlements, d'occasionner la mort ou la blessure d'un animal domestique ou apprivoisé ou tenu en captivité est puni de l'amende prévue pour les contraventions de la 3e classe, soit une amende de 450 euros au plus. En cas de condamnation du propriétaire de l'animal ou si le propriétaire est inconnu, le tribunal peut décider de remettre l'animal à une oeuvre de protection animale reconnue d'utilité publique ou déclarée, laquelle pourra librement en disposer. Article 2-13 du Code de procédure pénale Toute association régulièrement déclarée depuis au moins cinq ans à la date des faits et dont l'objet statutaire est la défense et la protection des animaux peut exercer les droits reconnus à la partie civile en ce qui concerne les infractions réprimant les sévices graves ou actes de cruauté et les mauvais traitements envers les animaux ainsi que les atteintes volontaires à la vie d'un animal prévus par le code pénal. PS: La faute à l'origine de ce drame me paraît de ne pas avoir renvoyé ce parent d'élève "aux deux ratiers qui lorgnaient" ( ) sur Bambi" à ses responsabilités et d'avoir voulu rendre service, qui comme vous dites a "fait fortement pression" (et vous n'imaginez pas à quel point les pressions sont lourdes et nombreuses pour les enseignants). Elle a confondu école et refuge. A priori, la présence d'un Cochon d'Inde ne faisaient pas partie du projet pédagogique de ces DEUX enseignantes. Et elles ont négligé certains devoirs, croyant bien faire en "s'occupant" de Bambi comme s'en occupait cette dame aux deux chiens (et sans doute selon ces "recommandations") comme elle a du dire au moment où elle a remis Bambi à l'école. Que celle-ci soutienne l'institutrice ne me surprendrait pas. C'était malgré tout une grave erreur. Mais pas celle de l'Institution Scolaire qui ferait régner un "flou" permettant n'importe quoi.. Au fait, qui a fourni la cage? La coopé ou le parent d'élève?[u]
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Des animaux à l'école - pourquoi une liste ?
Ugatza a répondu à un(e) sujet de la dAme dans Condition Animale
Je crois que vous confondez la réalité avec ce que vous en pensez. Vous faites une citation d'un texte officiel, vous y ajoutez un commentaire personnel et vous en faîtes un texte officiel. Regardez la place des guillemets. Je vous assure que : 1) Malgré les "recommandations" en cas d'élevage, le choix de s'y engager ou pas est laissé à l'appréciation (et non l'instigation) de l'enseignant. Je me tue à vous dire qu'il n'y a pas d'élevages dans toutes les classes. Ils ne sont pas OBLIGATOIRES, puisque soumis à des conditions. 2) La présence d'un animal de compagnie est au programme si les conditions d'accueil, non définies précisément par l'Institution (), sont remplies (sinon il faut s'y prendre autrement). Donc comment je m'acquitte de mes obligations? Simplement. Pour l'extrait des textes que vous citez, j'utilise... des articles de presse. Des enregistrements de journaux télévisés. Des documents édités par les associations de protection des animaux. Mais je n'encourage pas par l'exemple vécu en classe , à l'acquisition d'un animal de compagnie. Je montre, par la découverte concrète et directe (ou sur vidéo, pour certains aspects, comme l'élevage des jeunes) de la vie sauvage ce qu'est la vie d'un animal et je cherche à développer l'empathie (et c'est pour ça que je trouve très intéressant le travail de jeune collègue avec des vidéos d'éléphants "de cirque" et d'éléphants sauvage et la comptine "un petit cochon pendu au plafond).... Je dis que selon moi, les conditions décentes d'accueil et reproduisant les exigences de l'espèce (ce que certains osent appeler biotope) ne peuvent être réunies. J'ai un haut niveau d'exigence pour accueillir des animaux dans la classe. Si l'Inspecteur veut me convaincre, je lui opposerai les ressources matérielles insuffisantes (pour moi un CI a besoin d'au moins, allez, un hectare ou deux). T'es d'accord Louve? Source scientifique à l'appui : http://www.aufuret.ch/animaux/page50.htm http://anec.fr/ethologie.htm Et puis que je le vois mal creuser un terrier dans la classe. Qu'un CI est un animal social et qu'il faut de la place pour au moins deux animaux (quatre ce serait bien): mais vu qu'il n'existe pas sur le marché des cages de taille suffisante à un prix raisonnable pour ma coopé, sans parler des frais vétérinaires...et de leur nourriture, je pense qu'il me laissera tranquille. Pareil pour n'importe quelle espèce. En cela, je respecte les textes. J'espère vous avoir fait rire? Non? Bon, tant pis. N'oubliez pas que je suis remplaçant. Quand je remplace dans une classe, s'il y a un animal, c'est une des premières choses sur laquelle je cherche des informations (qui s'en occupe, comment). Et puis je vais le voir dans sa prison...éducative pour les enfants. Je ne peux pas lui apporter des oranges, mais je veille à ce qu'il soit bien traité (des fois je donne des conseils)... Pour le reste, fichtre 47 millions d'animaux? Ca fait un sacré mammouth, ça. Vous ne riez pas encore? Bon, tant pis. Moi non plus d'ailleurs, vous voyez, le mammouth, en fait, c'est pas drôle du tout. Je croyais que c'était plutôt 30 millions d'animaux de compagnie... Déjà 47? J'appelle ça une catastrophe écologique. Bien sûr, je ne condamne et ne juge personne. Chacun a ses opinions. Ca n'empêche pas de se parler, ni même d'être amis. C'est vous qui rêvez en croyant que l'Ecole peut TOUT faire et réparer tous les maux de la société. Vous pensez à ce qui vous préoccupe, le destin des 47 millions d'animaux de compagnie à travers celui de Bambi. Tous les "espoirs" de la socièté lui sont confiés: au milieu des injures, du mépris, des coups et de la vulgarité ambiante. Avec des moyens de plus en plus réduits et des pressions de lobbies de toutes sortes. Encore une fois l'Ecole forme des citoyens et la possession d'un animal de compagnie ne définit pas un citoyen. D'une certaine façon vous avouez votre désarroi et je reconnais le problème que vous posez. Je vous expose le mien. Si vous me demandez votre soutien pour que des actes de Barbarie sur les animaux soient punis ou interdits (corrida par exemple) je vous le donne dans la mesure de mes moyens. A l'Ecole ils sont déjà interdits. Comme dans la société (sauf dans les forêts, les élevages, les abattoirs, les cirques et les arènes). Je crois, moi, qu'il n'est pas souhaitable d'inciter des enfants à avoir un animal de compagnie. Sinon, on va passer de 47 à 60 millions, puis 80. Faire une liste, c'est à double tranchant. Je préfère enseigner aux enfants l'amour des animaux libres. Avec leur vie à eux, pas réduite à nous servir de béquilles. Que les enfants jouent entre eux, aient des parents qui ont le temps de les éduquer (et de jouer avec eux). Et goûtent le plaisir de rencontrer des animaux libres et menant leur vie libre dans une nature riche et étonnante. Le grand soir? -
Nemrod est un chasseur avec qui j'ai parfois de sérieuses prises de bec (mais je ne suis pas le seul). Mais c'est le moins pire des chasseurs que je connais et je ne peux pas m'empêcher de bien l'aimer quand même. Nous avons déjà parlé de Bambi (celui du film). C'était une petite plaisanterie, un clin d'oeil.
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Des animaux à l'école - pourquoi une liste ?
Ugatza a répondu à un(e) sujet de la dAme dans Condition Animale
Levons tout de suite un gros malentendu. Visiblement vous n'avez pas lu le sujet parlant de votre site et de votre pétition. Je suis contre la présence de tout animal captif en classe, domestique ou sauvage. Il est facile de faire dire à un poisson ce que l'on veut, y compris que son aquarium est "sympa". S'il y a un ou des poissons rouges en classe, autant que l'aquarium soit grand, et avec des plantes, je suis d'accord et je l'ai déjà dit. C'est un petit minimum...qui n'autorise pas à affirmer n'importe quoi. Sympa pour qui, en fait? En mettant des plantes et du sable on "recrée" un "milieu" qui certes montre aux enfants qu'un animal a "besoin" de choses naturelles... qu'on peut recréer comme on veut, de manière "acceptable". Ne nous étonnons plus de l'état des cours d'eau. Bientôt les aquariums "sympas" seront un REFUGE pour la vie "sauvage" de nos rivières. On peut, après mettre l'Orang Outang dans un vivarium sympa et laisser détruire son BIOTOPE. En plus, on le "protègera", il sera à l'abri...des méchants. Elle est pas belle la vie? Le poisson est-il fait pour vivre avec l'Homme? Non. Qui me dit qu'un poisson est heureux? Pas lui. Qui me dit que la liberté ne lui manque pas? Pas lui non plus. Avec les chats et les chiens on se rassure. Ils expriment des affects que nous percevons parce que dans une certaine mesure, la vie que nous leur "offrons" reproduit une partie (nous leur interdisons la reproduction... , c'est un "petit" détail) de la vie sociale propre à leur espèce . Le chat redevient chaton en présence de son maître. Le chien se voit offrir une famille remplaçant une meute, et à l'intérieur, une position hièrarchique (définitive, contrairement aux possibilités qu'offre une vie libre). Il y a une communication. Mais aussi la mise en place d'une situation de dépendance...pas très respectueuse en fait de la dignité de l'animal. Qu'est ce que l'Homme cherche dans la compagnie d'un animal? Mais un poisson? Comment pouvez vous savoir ce qu'il exprime et dire que son aquarium est sympa? J'en reste à mon idée que c'est l'Homme qui a besoin de l'animal, quel qu'il soit. Alors pour résumer, mon point de vue est double: 1) Si la loi est violée et qu'un animal est torturé, négligé, elle doit être appliquée. 2) Mais je me refuse à charger l'Ecole (en tant que fonctionnaire j'obéis, en tant que citoyen je refuse fermement) de former à l'école des citoyens habitués à voir et soigner des animaux de compagnie, à les habituer à en fréquenter et donc... à les y INCITER. C'est aux familles (et aux associations) de s'occuper de ça, puisque c'est leur choix. Puisqu'il y en a, qu'on les traite "bien". OK. Mais pour moi un citoyen ne se définit pas par la possession d'un animal de compagnie. Faire une liste, c'est en quelque sorte débarasser les enseignants de toute responsabilité dans ce domaine et à se sentir "couverts", pour se lancer dans cette situation, alors que l'insécurité et d'autres considérations dont vous ne voulez rien entendre les retiennent en très grande partie actuellement. Pour moi, le respect de la vie animale ne passe pas par l'animal de compagnie. Autre chose. http://lamap.fr/bdd_image/guide_formations_preste.pdf Nuance... Où avez vous trouvé "instigation"? L'auteur du texte que je citais et qui a signé votre pétition (à ma grande surprise) , j'aurais une seule question à lui poser. Dans son travail, il cherche à développer l'empathie, qu'il définit avec raison comme "la capacité de se mettre à la place de..." Aimerait-il être un animal de compagnie (plus ou moins enfermé, castré ou stérilisé)? Qu'il se mette donc à la place d'un animal de compagnie. -
Des animaux à l'école - pourquoi une liste ?
Ugatza a répondu à un(e) sujet de la dAme dans Condition Animale
Si l’animal est introduit dans la classe comme animal de compagnie, l’animal sort du cadre de la mission que les textes lui assigne (voir ci-dessus) et il demandé à l’animal de remplir un rôle sentimental auprès de 20 à 30 enfants. Il est même une sorte d’objet décoratif vivant (exemple cité par Ugatza, d’un unique poisson rouge dans un minuscule bocal, dépourvu de tout biotope et disposé dans un coin de la classe). Nous ne sommes plus là dans le cadre d’un apprentissage, mission première de l’école et cela pose problème. Là, il s'agit clairement d'animal de compagnie. Le code pénal est clair. Et le responsable, c'est l'enseignant. Si vous voulez diminuer le nombre d'enfants par animal, il va falloir augmenter l'embonpoint du mammouth... Le poisson rouge était l'objet de soins attentifs, réguliers et très organisés et il n'était pas dans un coin de la classe, mais sur le bureau de la maîtresse, bien en évidence. Quand j'en ai parlé avec eux, les yeux des enfants se sont éclairés et il m'a bien semblé qu'ils aimaient ce poisson. Nous sommes donc dans le cadre du texte que vous avez cité. D'après vous on ne peut pas aimer un poisson rouge? Le point sur lequel je suis réservé, c'est sur la contenance du bocal et l'absence de VRAIES plantes.. En fait ce qui me dérangeait et me dérange toujours, c'est la présence d'un animal captif dans la classe. Toutefois, ce poisson n'était pas maltraité, il n'avait pas l'air en détresse... Mais bôf!!!... Elle faisait sans doute ce qu'elle devait du mieux qu'elle pouvait. Le poisson était joli, pas coûteux pour le budget... et il y a le programme (je précise qu'elle avait des enfants de cycles 1 et 2 dans la classe). La partie du texte que vous citez est motivée par le souci d'éduquer les enfants à respecter l'animal en général. Offrir des conditions de vie (un "biotope", comme vous dites) correspondant aux besoins de son espèce, ce serait inciter à son respect. Etes vous d'accord? Quel est le biotope d'un poisson rouge? Louve proposait au minimum plus de plantes en plastique et un compagnon de galère: est-ce suffisant? Pour moi, non. En effet, c'est un cyprinidé et les cyprinidés de son genre vivent en eaux stagnantes, ou faiblement courantes, bien végétalisées. On sait qu'il peut vivre dans une mare de jardin, mais dans ce cas, il se passe très bien de soins: pas besoin de changer l'eau ni de le nourrir, car il trouve naturellement sa nourriture dans cette mare pourvu qu'elle ait une certaine taille.C'est ce qu'on appelle DANS CE CAS seulement un biotope. Curieusement, c'est dans ces circonstances qu'il est là pour seulement....décorer le jardin. Mais il mourra parfois bien avant un poisson rouge dans son bocal. Pour développer des relations avec lui, il faut donc le PRIVER de son biotope. Où est le respect? La situation est paradoxale, typique des relations que nous entretenons avec les animaux. Non? Sinon un biotope c'est n'importe quoi: or, c'est avant tout un concept scientifique et une réalité "naturelle" pour les animaux (au sens limité où ils y vivent par leurs propres moyens et ceux de cet endroit). Toutefois, sa couleur rouge, très seyante et attractive, a été obtenue par sélection génétique et le rend très vulnérable à la prédation. Il ne peut donc survivre qu'à l'état domestique. Et alors le respect est très relatif. Ceci ne veut pas dire qu'on peut faire n'importe quoi. Sur ce point nous sommes d'accord. C'est ce que dit, d'ailleurs, la loi. Quel est le biotope d'un chat? Et de ceux là en particulier? http://www.femmeactuelle.fr/animaux/nouveau_pour_eux/revue-de-chats-etranges-00395 Est ce qu'un appartement correspond aux exigences de son espèce? Et un chien? Certains chiens sont tellement faibles qu'ils ne peuvent sortir libres sans la protection de leur maître(sse), sauf si "dehors" est un enclos où l'intrusion d'autres animaux, ainsi que l'évasion du chien sont impossibles : une volière, quoi, et encore avec un maillage serré. Or, ce sont encore des chiens (?) à part entière. Quel est le "biotope correct" pour un cochon d'Inde? C'est très subjectif, finalement. De quoi est-ce que ça dépend? Avec les mammifères et les oiseaux (imprégnation), on est tout de suite informé un minimum, car ils entretiennent avec nous des relations affectives et l'état de souffrance est immédiatement perceptible, sans équivoque. Mais vous ne voulez pas de mammifères et d'oiseaux dans les classes (je suis entièrement d'accord, mais pour d'autres raisons, on va y venir). Avec ce poisson comment savoir s'il est bien dans ses écailles? Bien coloré, vif, pas de mycose, nageoires intactes. Il est toujours vivant après 7 mois. Je pense qu'il serait mort, s'il n'était pas "bien dans ses écailles". Alors ce n'est pas si simple. Qu'est ce qu'il faut changer dans les lois et les programmes? Vous proposez que les animaux soient (enfin) respectés à l'Ecole. Pour ce qui est de Bambi, c'est très clair. Ce genre de traitement est inhumain. Mais comment faut-il s'y prendre pour que les enfants respectent la vie et grandissent en conservant ce respect? Un exemple remarquable (selon moi ): http://www.code-animal.com/plusloin/animal_vivre_ensemble.pdf A partir du cas (rare jusqu'à preuve du contraire) de Bambi, vous dressez le procès de l'Ecole dans son ensemble (formation, obligations), en y proposant seulement que le "socialement admis" défini par la loi, y soit assuré, alors qu'il y est presque toujours assuré. Une enseignante s'est montré défaillante: il faut qu'on le lui fasse savoir fermement puisqu'elle semble (j'insiste sur ce mot) ne pas l'avoir compris. Là vous êtes encore dans votre obsession. Qu'est-ce que vous croyez? Quand on enseigne la natation, vous croyez qu'on jette les débutants dans le grand bain? Qu'un enseignant ne sait pas ce qu'est un enfant ou un lapin? Qu'il les laisse se débrouiller tous seuls? La maîtresse montre, explique, donne des avertissements et des consignes. Elle "passe" ensuite le relais tout en restant présente. Dans les quelques classes où j'ai vu des lapins et des CI , les animaux étaient confiants et se laissaient manipuler, y compris...par moi. Les enfants étaient très doux: Ils allaient voir l'animal individuellement, parfois à deux ou trois pas plus. Ils avaient été (bien?) éduqués. J'ai entendu des maîtresses me raconter toutefois quelques cas de morsures (le risque zéro n'existe pas), qui ont eu une valeur pédagogique immédiate et générale (Panpan est gentil mais...). Je n'ai jamais vu une meute de gamins se ruer sur un lapin. Mais c'est sans doute que ma vue baisse ou à cause de la cataracte du mammouth. Il peut certes y avoir quelques enseignants totalement aveuglés par leur passion pour telle ou telle espèce (parce qu'ils en ont à la maison), mais tout de même ils connaissent les exigences de leurs animaux et celles de leur métier. Je n'ai jamais vu de chats, de chiens ou de furets à l'école. Il y a en effet des risques beaucoup plus importants pour les enfants et les animaux. C'est tout simplement impossible matériellement même pour un fou furieux. On ne peut garder un chien ou un chat ou un furet ni en liberté, ni en cage dans une classe, surtout en le laissant seul le soir. Quant à une visite ponctuelle, elle n'a guère d'intérêt pédagogique: qui n'a jamais vu un chat ou un chien? Pour observer précisément son anatomie, c'est bien plus facile sur des photos. Et pour le comportement des vidéos. Que peut-on voir en classe du comportement d'un tel animal. Comment avez vous connaissance de ce flou? S'il y a un flou (dans les textes), et sur ce point aussi je suis d'accord avec vous, c'est sur le statut de l'animal. Animal de compagnie ou animaux de laboratoire? Pour ces animaux, qu'est ce qu'il vaut mieux? Que les normes appliquées concernant leur traitement soient celles appliquables aux élevages? Aux animaux de laboratoire? Alors, on peut se servir de mammifères et les euthanasier ou les faire abattre après usage. Ce qui fiche en l'air tout le travail fait aux cycles 1 et 2. Il n'y a pas de statut? Il est défini par la loi...et ce que vous appelez les recommandations. Les uns et les autres doivent être appliqués. "Expérimentation" et pas de mauvais traitement. S'il y a mauvais traitements, la loi est là. Pour respecter les deux, on ne peut pas élever n'importe quelle espèce. Mais a reproduction n'existe pas chez ceux qui respectent bien les animaux? Est-il interdit d'avoir un mâle et une femelle à la maison? S'ils ont accidentellement des petits, et même avec une seule femelle après une escapade ? Le foyer doit-il se déclarer en élevage ou en laboratoire? Faut-il rendre la stérilisation obligatoire (et donc avec elle l'élevage et le commerce, instituant la réification totale de l'animal, simple marchandise dont la mutilation est obligatoire????) J'en suis pas sûr. Comment agit-on dans ces cas là? Un bon père ou une bonne mère de famille soucieu(se)x de la bonne éducation de ses enfants, n'euthanasiera pas les petits mais cherchera à les placer chez des gens dont il (elle) pense qu'ils feront de bons maîtres. Ou alors en toute irresponsabilité, ira voir un refuge après le sevrage. Ou alors, il se "débarassera" des petits et se mettra dans l'illégalité, tout en donnant un très mauvais exemple à ses enfants (assassin et menteur). Sur ce point c'est vrai, il y a une incohérence, toujours dans les textes, qui évoquent comme critère de réussite d'un élevage l'observation des soins maternels, ce qui induit-recommande-implicitement oiseaux ou mammifères qui sont d'ailleurs évoqués et des conseils sont donnés pour "réussir". Rien n'est dit sur le devenir des petits. Mais les enseignants réflèchissent plus (et sont plus cohérents) que leurs ministres et on peut leur faire a priori confiance. Retirez le mammouth. Changez le titre de la pétition. Réduisez le texte à cette seule question. Adressez la à Xavier Darcos seul. Et je signe. Pour le reste, il n'y a ni insuffisance, ni incohérence. Il modifie les programmes en ce moment après un simulacre de concertation avec les enseignants, où je l'avoue je n'ai pas pensé à ce problème mais à d'autres (formation naturaliste), car ce que j'ai vu des élevages après de longues années d'enseignement n'a jamais été un abandon des petits ni même une euthanasie. Pour les enseignants, c'est impossible à gérer (sauf pour les guppies). Ils ne se lancent donc pas dans "l'élevage" de mammifères ou d'oiseaux. Ce sont des animaux de compagnie, du moment qu'ils sont détenus et les petits non destinés au commerce. Quant à l'expérimentation... Il s'agit d'observer quelque chose de naturel, tout de même. Les animaux choisis pour étudier la reproduction sont ceux qui n'ont pas besoin de soins et d'éducation par leurs géniteurs (invertébrés autochtones) et peuvent être lâchés sans inconvénient dans leur milieu (escargots------->jardins, prairies bordées de murs de pierre). Pour les hérissons, il y a beaucoup à dire. Alors j'arrête pour ce soir. -
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Tout d'abord , la dAme, je vais sans doute encore vous contrarier mais j'ai des questions à vous poser concernant Bambi. 1) Vous dites que cet animal était là depuis le mois de septembre. Il est mort pendant les vacances de la Toussaint. Une classe d'école Maternelle, comme je l'ai déjà dit est un lieu ouvert aux parents d'élèves, qui accompagnent, au moins le matin, les enfants jusqu'à l'intérieur de la classe. Entre septembre et fin octobre, vous n'avez jamais vu Bambi? Il était caché au fond d'un placard? 2) D'autre part, dans l'article de presse rapportant vos propos il est écrit que vous avez demandé à la maîtresse l'autorisation de laver Bambi, qui est mort, je le rappelle, pendant des vacances scolaires (où les contacts parents/enseignants sont suspendus). D'ordinaire, les enseignants ne laissent pas leurs coordonnées personnelles aux parents d'élèves. Ensuite, ayant la garde de Bambi, vous en étiez responsable et de fait habilitée à prendre toute décision de soin le concernant, surtout pour un acte aussi anodin dont il avait, selon vos photos un besoin évident et urgent. Cela signifie-t-il que l'article ne reprend pas exactement vos propos et que vous avez demandé cela à la maîtresse AVANT les vacances, alors que Bambi se trouvait sous sa responsabilité? 3) Pourquoi n'avez vous pas indiqué dans votre récit, de quoi était nourri Bambi à l'école? Bon, je ne vais pas répondre à vos petites provocations concernant la longueur de mes messages et mon manque d'humour. Je trouve étonnant tous ces témoignages indignés de gens bien d'accord avec vous. Je m'explique mal, alors, pourquoi il n'y a encore eu ni procés, ni pétition (à ma connaissance) avant votre initiative. Que ne se sont-ils indignés avant vous et comme vous publiquement? Je ne mets là aucunement en doute les causes de la mort de Bambi (pourvu que Nemrod ne passe pas par là... ) et la responsabilité de la maîtresse, ni même que cela ait pu arriver ailleurs. Je pense simplement que ces faits sont exceptionnels ou très rares. Ou alors c'est que même les défenseurs de la vie animale ne voient pas l'intérêt de réagir de manière vigoureuse...et conséquente. En tous cas pas de trace de ce problème sur les sites des associations de protection des animaux. http://www.spa.asso.fr/2-combats-petition-protection-animaux.htm http://www.30millionsdamis.fr/agir-pour-les-animaux/petitions.html http://www.petafrance.com/campaigns.asp http://www.fondationbrigittebardot.fr/site/france.php?Id=5 Venons en à la pétition maintenant. Vous dites que les textes sont vieux de vingt ans et qu'ils sont insuffisants. Et sur cette base (entre autre), vous appelez à signer votre pétition. Alors voici des extraits d'une loi en vigueur (en plus de la Convention Européenne). Dites moi donc en quoi, ils sont insuffisants si les "recommandations" ne suffisent pas. http://www.spa.asso.fr/962-la-repression-des-mauvais-traitements-envers-les-animaux.htm Concernant l'institutrice, je pense qu'elle DOIT être poursuivie. Qu'elle soit condamnée, c'est à la justice de le dire. Qu'elle soit incapable d'enseigner, ce n'est pas à moi de le dire. Peut être que sa négligence venait d'un état dépressif, peut être d'une négligence coupable. En tous cas, cette histoire ne me parait pas claire sur tous les points. L'exemple donné est épouvantable et les choses doivent être dites. Par qui mieux que la justice: la loi a été violée. Mais moi, je ne mélange pas la défense de Bambi et la pétition qui présuppose un tas de choses avec lesquelles je ne suis absolument pas d'accord.
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Pourquoi? Et qui a parlé d'avoir tout inventé? Là dessus, rien à dire? Encore une fois, vous entretenez le doute sur le fond de vos motivations. Vous supposez beaucoup de choses, et toutes à partir d'une "toute puissance" de l'Education Nationale, que même les associations de la protection animale n'oseraient pas affronter. Vous privilégiez cette idée au détriment de la réalité. Vous interprétez tous les faits dans le même sens. Patientez donc, elles vont vous répondre. Peut être vous suffit-il d'agiter cette histoire sur Internet? Sur les preuves: Vous affirmez craindre un procés pour diffamation, alors qu'un article relatant faits et noms (ville, école) est paru dans la presse locale. C'est surprenant. Au-dessous de la photo seules deux mères d'élèves déclarent à la journaliste qu'elles déplorent les proportions qu'a pris cette affaire. On est loin de ce front uni contre vous dont vous parlez sur votre site et ici dans votre message. Je persiste donc à penser que les choses (je ne parle pas là des circonstances de la mort de Bambi, mal nourri et négligé dans cette classe) ne se sont pas exactement passées comme vous les décrivez. Que l'Inspection d'Académie prenne le temps de faire une enquête avant de vous répondre quoi que ce soit, c'est la moindre des choses. Ce qui me trouble le plus, c'est cette unanimité (parents et Institution), cette "solidarité" exercée contre vous, semblant indiquer que absolument tout le monde néglige la vie d'un animal. Je sais que les défenseurs des animaux ne sont pas nombreux, mais les familles possédant des animaux de compagnie et s'en occupant de manière socialement admise (j'aurais, moi, bien des critiques à faire notamment concernant les conditions de vie d’un chat ou d’un chien en appartement, même chez un maître qui « l’adore » ou sur la dignité des animaux et de leurs maîtres). Le cochon d'Inde est très "populaire" ainsi que les hamsters, voire même rats et souris. Sur ce qu’il y a sur votre site : Il appelle à signer un texte à partir de l’affirmation que ces textes sont vétustes et insuffisants. C’est faux pour la vétusté (les derniers datent de 2004) et je pense qu’ils sont suffisants. Si vous, vous pensez qu’il existe une mauvaise volonté de l’Administration de l’EN à appliquer tout texte protégeant les animaux à l’école, alors le procès est une bien meilleure voie pour la mettre en face de ses responsabilités. Sur la quantité de « témoignages » arrivant spontanément et « confirmant » que ce problème n’est marginal. Ouvrez un site sur les commerçants et racontez une histoire d’abus. Vous verrez arriver des gens qui vous raconteront des tas d’histoires. Lancez une rumeur et vous la verrez confirmée dans les heurs qui suivent. Il y a des « prédispositions » à accepter et à relayer n’importe quelle « information » qui va dans le sens que l’on souhaite, sans parler de l’émotion qui fait perdre tout esprit critique et toute mesure. Un petit écrabouillé par un gros. Quelle aubaine ! Tous les témoignages ne relatent aucun fait précis. Combien de procès pour maltraitance d’animaux à l’Ecole ? A ma connaissance aucun encore. Alors on peut , à mon humble avis interpréter les choses de deux façons : 1) Comme vous. C'est-à-dire parce qu’en général, « tout le monde s’en moque ». Mais alors que f….. donc tous ces gens qui s’expriment sur votre site? Ils sont citoyens quand ? Quand ils vous écrivent ? 2) Comme moi : à savoir que c’est exceptionnel, compte tenu de la « philosophie » de l’Institution EN à ce sujet et de son respect des lois. Les déplacements de l’animal : Tous les militants de la cause animale ne sortent jamais de chez eux et ne partent jamais en vacances, bien sûr et ils n’imposent pas de longs voyages à leur(s) petit(s) compagnon(s). Le changement de « référent » et la stabilité affective de l’animal. Quand un animal est confié à la famille d’un enfant, va-t-il chez un étranger ? Vous n’exagérez pas un petit peu ? Pour toutes ces raisons, je trouve votre démarche à la fois légère (pas de procès, méconnaissance des textes, exagérations) et excessive (pétition pour des faits exceptionnels).
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