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La tortue luth (Dermochelys coriacea)
askook a répondu à un(e) sujet de Constricteur dans Tortues - Crocodiles
Une nouvelle zone protégée pour les tortues luth Une partie de l’océan pacifique contenant des populations de tortues luth, extrêmement menacées, a récemment obtenu protection grâce à une directive du gouvernement américain. C'est une bonne nouvelle dans la lutte pour la préservation des espèces menacées. L'administration nationale des océans et de l'atmosphère (NOAA) a récemment déterminé une zone de près de 108.800 kilomètres carrés au sein de l'océan Pacifique réservée au développement des tortues luth. Ce nouveau périmètre, au large des côtes de la Californie, devrait permettre aux populations actuellement en voie d’extinction de se repeupler progressivement. La nouvelle directive gouvernementale prévoit d’interdire au sein de cet espace, toute activité fédérale présentant un risque de dégrader l’habitat naturel de ces reptiles géants. Les activités de loisirs comme la pêche amateur ou la navigation de bateaux de plaisances seront quant à elles conservées. Deux autres domaines ont déjà été assignés comme zones d’habitat protégé pour les tortues luth : un le long d'une plage de Sainte-Croix, dans les îles Vierges des Etats-Unis, et l’autre dans les eaux avoisinante de l'océan Atlantique. Ces directives, décidées par la NOAA ont été étudiées suite à une pétition faisant appel à l’article de loi sur la protection des espèces en voie d’extinction. La tortue luth est considérée comme espèce en danger depuis 1970. Son cycle de vie, est sur terre comme dans la mer parsemé de nombreuses menaces liées au prédateurs ou à l’activité humaine. Source:http://www.maxisciences.com -
Interview: L'Internaute Magazine : Comment êtes-vous devenu photographe ? Mark Laita : Quand j'étais enfant, je dessinais et je peignais tout le temps. J'avais quatorze ans lorsque j'ai emprunté l'appareil photo 35 mm de mon père ; j'ai adoré le réalisme et l'aspect documentaire de la photographie. Je pense que beaucoup de gens sont attirés par la photo car c'est ce qu'il y a de plus facile et rapide (j'entends par là, pour produire de "l'art"), mais je choisis rarement de photographier des choses faciles. J'aime le mélange entre l'art et l'information. L'Internaute Magazine : Pourquoi aimez-vous photographier les animaux ? Est-ce un défi personnel ? Mark Laita : Bien sûr, c'est une sorte de défi. C'est toujours très attirant ! Mais je pense que je suis surtout captivé par des modèles qui existent naturellement et qui sont à la fois extraordinaires et simplement intéressants. La nature nous offre pléthore de ces sujets. Je trouve tout de même que les gens sont encore plus fascinants. L'Internaute Magazine : A-t-il été difficile de photographier ces serpents ? Ils devaient beaucoup bouger ! Mark Laita : Oui, mais ce sont leurs mouvements qui les rendent sensuellement beaux. L'Internaute Magazine : Ont-ils pris ces positions naturellement ou avez-vous eu à les déplacer ? Mark Laita : J'ai simplement laissé les serpents faire ce qu'ils avaient envie de faire. Peut-être que mon éclairage et mon approche donnent l'impression qu'ils ont été manipulés, mais ces images n'ont pas été retouchées (à l'exception des saletés présentes sur l'arrière-plan noir). "Les mouvements des serpents les rendent sensuellement beaux" L'Internaute Magazine : Avez-vous du maquiller les serpents pour que les photos soient plus belles ? Mark Laita : Non, je leur ai seulement mis des perruques... (sic) L'Internaute Magazine : Où avez-vous trouvé tous ces animaux ? Mark Laita : Dans des zoos, des serpentariums, des universités, chez des collectionneurs et dans des laboratoires anti-poison en Amérique Centrale et du Nord. L'Internaute Magazine : Comment les avez-vous attrapés ? Mark Laita : J'ai tenu la plupart des animaux avec un attrape-serpent. L'Internaute Magazine : Est-ce qu'un des serpents vous a mordu ? Mark Laita : Oui, quelques serpents non venimeux m'ont mordu et j'ai eu le droit à une "morsure sèche" d'un mamba noir. J'étais en Amérique Centrale, en train de le photographier, quand il a commencé à ramper autour de mes pieds. Alors qu'il grimpait le long de ma jambe, j'ai attrapé sans faire exprès le cordon qui reliait mon appareil à mon ordinateur avec l'attrape-serpent. Ça a fait peur au serpent, qui a mordu ma jambe. J'ai beaucoup saigné mais je n'ai pas eu de réaction alors que le serpent est très venimeux. J'ai eu de la chance dans mon malheur, et le plus drôle c'est que quelques heures plus tard j'ai découvert que j'avais pris en photo le moment exact de la morsure ! Le mamba noir s'attaquant au mollet de Mark Laita. © Mark Laita L'Internaute Magazine : Combien d'espèces avez-vous photographiées ? Mark Laita : Environ 200 espèces différentes. Comme il existe de magnifiques collections, j'ai accès à toutes les espèces de serpents que je veux. Pour mon dernier livre, "Mer", j'ai seulement pu voir un petit pourcentage de créatures marines. L'Internaute Magazine : Quel animal pourrait être votre prochain modèle ? Mark Laita : J'ai un autre projet sur des spécimens ornithologiques, intitulé Amaranthine, que j'aime beaucoup (Ndlr : Mark Laita cherche la beauté en photographiant des corps de magnifiques oiseaux morts). La juxtaposition de la mort et de la beauté dans ces images est inhabituelle, étrange et superbe à la fois. Source: http://www.linternaute.com/nature-animaux/animaux-sauvages/serpentine-de-mark-laita/en-savoir-plus.shtml
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"Serpentine" est l'incroyable projet porté par le photographe américain Mark Laita. Le photographe américain Mark Laita s'est lancé un défi : parvenir à rendre hommage aux serpents les plus beaux, les plus dangereux et les plus colorés de la planète. Devant le succès de ces magnifiques images de serpents, il sortira un livre en octobre 2012, qui sera publié par les éditions La Martinière. On l'attend avec impatience pour découvrir encore plus d'espèces surprenantes et colorées ! Photos pour illustration. Source: http://www.linternaute.com/nature-animaux/animaux-sauvages/serpentine-de-mark-laita/serpent-corail-bleu-et-rouge.shtml Lien: http://marklaita.com/index.html http://www.linternaute.com/nature-animaux/animaux-sauvages/serpentine-de-mark-laita/
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Une étude sur le comportement social de crotales des noirs Arizona (Crotalus cerberus) a débuté en 2010. Voici des liens pour suivre cette étude: http://socialsnakes.blogspot.com/ http://www.rockethub.com/projects/4425-snake-dens-a-rattlesnake-family-reunion http://www.facebook.com/groups/124736117598851/ Vidéos: http://vimeo.com/33829598
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Faits divers concernant les chéloniens
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Tortues - Crocodiles
Une tortue attaquée par des chiens en Nouvelle-Calédonie Un garde-nature a sauvé de justesse une tortue qui venait d’être attaquée par des chiens, après avoir pondu sur la plage de Poé. La mairie et la province rappellent aux propriétaires d’enfermer leurs bêtes jusqu’à la fin de la période de ponte, en avril. Une tortue grosse tête a été sauvée par un éco-garde de l’association Bwara tortues marines, sur la plage de Poé, dans la nuit de mardi à mercredi. Il était une heure du matin lorsque ce bénévole a découvert l’animal blessé sur la plage où elle venait pondre. « Sinon, elle serait morte », souligne Dominique Lafage, président de l’association, qui réalise des rondes toutes les nuits et tous les matins durant la période de ponte. La tortue portait d’importances traces de morsures au cou et aux pattes avants qui ont été très abîmées. Elle aurait été mordue par deux chiens aperçus dans les parages cette nuit-là. La fourrière municipale de Bourail est à leur recherche pour savoir s’ils appartiennent à quelqu’un ou non. Un arrêté municipal interdit la présence de chiens sur les plages de Bourail, de la Roche Percée à Poé, jusqu’à fin avril, date de fin de la période de ponte. Aquarium. Le capitaine de la brigade de la nature, de la Direction de l’environnement de la province Sud, a été immédiatement contacté et a pris en charge la tortue qui a été évacuée vers Nouméa, à l’aquarium des Lagons. Elle a été examinée et il se pourrait qu’elle survive à l’attaque de chiens. « Cette tortue sera vue par un vétérinaire, il faudra la recoudre. Elle en aura au moins pour un mois avant de se remettre. Là, elle est sous perfusion sous antibiotiques et sous corticoïdes pour limiter son stress », explique Romain Laigle. Tout en saluant la collaboration exemplaire avec la province et l’aquarium, l’association Bwara dénonce clairement un « manque de civisme » du côté des propriétaires de chiens et annonce déjà qu’elle va porter plainte contre X. Depuis le début de la saison de ponte, les gardes-nature ont déjà constaté des vols d’œufs de tortues dans des nids et ont augmenté la fréquence de leurs rondes. L’équipe de la fourrière municipale est sollicitée pour récupérer les chiens errants afin de limiter des attaques de ce type. « Heureusement, c’est un cas isolé. Toutefois, la province Sud prévoit des contrôles plus réguliers sur la zone et déploiera les moyens nécessaires pour que ce genre d’incident ne se reproduise plus. Déjà en décembre, nous avons lancé une campagne de prévention auprès des riverains de Bourail en distribuant des flyers dans les boîtes aux lettres à destination des propriétaires des chiens, pour qu’ils les tiennent enfermés pendant la période de ponte », rappelle Julika Bourget, responsable de la brigade nature à la Direction de l’environnement. Amende. Le code de l’environnement prévoit des amendes jusqu’à 1 073 000 francs pour les personnes qui ne respecteraient pas cette espèce protégée. « Sont interdits la destruction ou l’enlèvement des œufs ou des nids, la chasse, la pêche, la destruction, la consommation, la capture ou l’enlèvement, la perturbation intentionnelle », indique ainsi l’article 240-3 du code de l’environnement. Source:http://www.lnc.nc -
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La tortue Batagur affinis vient d’être réintroduite dans son milieu naturel. Cette espèce est l’une des plus menacées d’extinction sur Terre. La tortue femelle de 34 kg a été relâchée cette semaine dans la rivière cambodgienne de Sre Ambel. Pour ce grand moment, un cérémonie a été organisée en présence de la Wildlife Conservation Society (WCS), de l’Ambassade de Singapour et d’autres responsables locaux. Elle est équipée d’une balise de repérage satellite. Un moyen pour les écologistes d’étudier ses allées et venues. Grâce aux grandes forêts vierges côtières d’Asie du Sud, la tortue a “une excellente chance de survie” s’enthousiasme la WCS. Capturée en avril dernier, des pêcheurs l’ont confiée à la WCS. Elle a ainsi échappé aux marchés alimentaires chinois. Autrefois considérée comme la propriété exclusive du roi du Cambodge, la tortue a été décimée par une chasse excessive au cours des vingt dernières années. Source: http://www.nationalgeographic.fr/actualite/une-tortue-en-voie-de-disparition-reintroduite-au-cambodge/7914197/ Article: http://www.physorg.com/news/2012-01-extremely-rare-turtle-wild.html Traduction google de l'article: La Wildlife Conservation Society, en collaboration avec l'Administration des pêches du Cambodge et réserves fauniques de Singapour, a annoncé aujourd'hui le lancement réussi d'une tortue sud du fleuve (Batagur affinis) - L'une des tortues les plus menacées sur terre - dans la rivière Sre Ambel au Cambodge. La tortue a été libéré lundi, Janvier 16 à une cérémonie en présence de fonctionnaires, écologistes, et la population locale. La tortue femelle, qui pèse environ 75 livres (34 kilogrammes), est fixé d'un émetteur satellite qui permettra aux écologistes pour suivre ses allées et venues - la première étude jamais suivi satellitaire pour cette espèce. Capturés dans la rivière Sre Ambel par les pêcheurs locaux en avril 2011, la tortue est l'un des quelque 200 autres adultes dans la nature sauvage du Cambodge, la Malaisie et l'Indonésie. Il a été volontairement remis à l'équipe de WCS au Cambodge de tortues au lieu d'être vendus dans le commerce du marché noir où il aurait été envoyé aux marchés alimentaires en Chine. La population de la rivière Sre Ambel est estimé à moins de dix femelles nicheuses. Ainsi, cet individu est extrêmement important pour maintenir la diversité génétique de cette espèce qui a déjà subi des déclins de population drastiques. WCS estime que la population a une excellente chance de guérison que les forêts de mangroves côtières du sud-est du Cambodge sont quelques-uns des. Grand et le plus immaculé en Asie du Sud, s'étendant sur quelque 175 miles carrés (plus de 45 000 hectares) Ces habitats sont essentiels pour les organismes aquatiques et de nombreux animaux terrestres et des zones d'alevinage vitales pour les pêches maritimes. Les écologistes se surveiller les mouvements de la tortue pour voir comment il utilise cette région. D'intérêt particulier est de savoir comment la tortue navigue à travers les zones de pêche commerciale, ainsi que les domaines où elle pourrait être menacée par d'autres facteurs tels que la destruction de l'habitat par l'exploitation du sable ou de la conversion des forêts de mangrove dans les installations d'élevage de crevettes. WCS relève que de nombreuses études sur similaires à long terme ont montré que les espèces aussi peu que cinq pour cent d'augmentation de la mortalité annuelle des adultes peuvent causer des populations de s'éteindre. "En réduisant la mortalité des adultes de la tortue sud du fleuve, même par des fractions - aussi peu que dix animaux par an et par la population dans cette circonstance - que nous pouvons avoir, immédiatement et à long terme des effets positifs sur les populations sauvages restantes de cette espèce en danger critique" a déclaré Brian D. Horne de la Wildlife Conservation Society. Heng Sovannara, directeur adjoint du Cambodge Pêches Administration Département de Conservation, est extrêmement bon espoir que la libération va redoubler d'efforts pour conserver l'espèce. «En identifiant les zones qui sont les plus utilisés par les les tortues, Nous pouvons identifier nos efforts pour réduire les tortues d'être pris comme la pêche accessoire ainsi que la chasse ciblée ", a-t-il dit. Dr. Sonja Luz, directeur adjoint de la Conservation et de la recherche pour les réserves fauniques de Singapour, a déclaré: «Ce projet contribuera grandement à un avenir beaucoup plus prometteur pour cette tortue en danger critique Espérons sensibilisation du public et plus de possibilités d'éducation découleront de cela et nous le permettent. pour créer des outils de protection meilleure et un environnement plus sûr pour ces reptiles incroyable. " En 2000, une petite population de Terrapins rivière du Sud, Batagur affinis, A été retrouvé dans le Sre Ambel, après plusieurs années d'être considéré comme disparu localement. La tortue était autrefois considéré comme la propriété exclusive du roi du Cambodge, mais a été décimée par une chasse excessive au cours des deux dernières décennies. Après les Khmers rouges et Pol Pot, le peuple cambodgien ont été laissés dans l'extrême pauvreté, et avec la demande internationale croissante pour les tortues en Chine pour la consommation humaine, littéralement des milliers de tortues ont été capturées et envoyées en Chine pour des revenus bien nécessaire par les pauvres du pays les gens.
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La danse des bousiers est un mécanisme d'orientation Les bousiers sont connus pour danser sur des pelotes fécales une fois leur confection achevée. Ils ne vénèrent pas le soleil : ils prennent leur cap ! Des expériences révèlent qu’ils utilisent le soleil comme point de repère pour leurs déplacements. Les bousiers sont des scarabées coprophages dont certaines espèces ont été vénérées dans l’Égypte ancienne. Ils utilisent leurs pattes avant et leurs mandibules pour transformer des morceaux de bouses en pelotes. Celles-ci sont ensuite poussées à reculons par l'insecte en direction d'un abri. La confection et le déplacement des pelotes coûtent du temps et de l’énergie. Les scarabées doivent limiter ces deux paramètres au maximum pour ne pas risquer de se faire voler. C'est pourquoi ils choisissent le plus court chemin pour aller cacher leurs biens : la ligne droite. Le déplacement d’une boule fécale est toujours précédé d’un étrange rituel. Les bousiers diurnes montent sur leurs pelotes et exécutent une danse en tournant sur eux-mêmes. Ce phénomène vient d’être expliqué par une équipe menée par Emily Baird de l’université de Lund en Suède. Les bousiers dansent pour garder le cap Même si ça y ressemble, ils ne vénèrent pas le soleil ! Ils l’utilisent simplement pour choisir et maintenir un cap quoi qu'il puisse arriver. Ces résultats, qui s'appuient sur plusieurs expériences présentées ci-dessous, ont été publiés dans la revue Plos One. Durant les observations, 61 % des coléoptères (Scarabaeus nigroaeneus) ont exécuté une danse (une rotation de minimum 90°) d’environ 6 secondes à la fin de la confection de leurs pelotes. Ce comportement a toujours précédé un déplacement exécuté en ligne droite. Pour comprendre le phénomène, des couloirs d'études ont été placés sur le trajet de ces coléoptères. Durant le premier test, la sortie de l'un d'eux a été obstruée. Tous les scarabées bloqués ont entamé une danse environ 4 secondes après leur immobilisation. D'autres expériences ont causé une perte du contrôle du mouvement de la boule. En réaction, 50 % des insectes ont pivoté sur la pelote avant de repartir dans la bonne direction. Suite à un imprévu, les bousiers semblent être capables de vérifier leur cap. Pour les chercheurs, cela signifierait que la danse des bousiers est bien un mécanisme d'orientation. Le soleil comme repère Lors de la rotation de 180° des couloirs (un demi-tour), la majorité des scarabées a perçu la manœuvre. Environ 95 % d'entre eux ont changé de direction pour reprendre le cap initial, après être montés sur leur pelote. En revanche, seuls 14 % d'entre eux ont réagi lorsque la position du soleil était masquée, et aucun n’a changé de chemin. Le soleil jouerait un rôle important. Pour vérifier cette hypothèse, les chercheurs ont terminé leurs manipulations en modifiant la position apparente de l'astre solaire grâce à des miroirs. Environ 59 % des insectes ont réagi à ces changements en dansant et 79 % d’entre eux ont changé de direction. Ainsi, la danse des bousiers serait bien un mécanisme d’orientation basé sur la position du soleil. Ce type de comportement avait déjà été décrit auparavant chez des fourmis et des amphipodes. Source:http://www.futura-sciences.com/fr Vidéos: http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/zoologie/d/la-danse-des-bousiers-est-un-maccanisme-dorientation_36182/ Article: http://www.plosone.org/article/info:doi/10.1371/journal.pone.0030211
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Cohabitation d'un Dendroaspis viridis et d'une Bitis rhinoceros!
askook a posté un sujet dans Serpents Venimeux
Première suisse: cohabitation d'un mamba vert occidental et d'une vipère rhinocéros! Nouveau terrarium et première suisse! Un mamba vert dans les arbres et une vipère rhinocéros au sol dans le même terrarium! Cette cohabitation originale, avec le mamba vert occidental (Dendroaspis viridis) qui vit sur les arbres et la vipère rhinocéros (Bitis rhinoceros) qui vit au sol dans les feuilles mortes, est proposée dès aujourd'hui au public par l'équipe du Vivarium. Avec cette nouvelle installation, le Vivarium de Lausanne présente d'une manière originale deux espèces très connues et très demandées par les passionnés et le grand public. Source: http://www.vivariumlausanne.ch/node/192 -
Libérée, la queue des geckos léopards vit sa propre vie Comme de nombreux animaux, le gecko léopard peut abandonner une partie de son corps, en l'occurrence sa queue, pour survivre à l'attaque d'un prédateur. Mais chez lui, étonnamment, cet appendice bouge pendant une demi-heure et, même, réagit à des stimuli. Il a véritablement une vie propre... Les amputations volontaires de parties non vitales du corps (ce que l'on appelle l'autotomie) sont fréquentes dans le règne animal. L’exemple le plus connu est celui de la queue des lézards. D’autres organismes possèdent aussi cette capacité : des serpents, des araignées, des pieuvres et même quelques mammifères. L’objectif de cette opération est de détourner l’attention du prédateur ou de se libérer de son emprise. Généralement, les parties du corps abandonnées meurent rapidement, mais ce n’est pas une règle systématique. L'appendice caudal du gecko léopard par exemple, Eublepharis macularius, continue à bouger jusqu’à 30 minutes après sa libération. Une étude réalisée en 2009 par Timothy Higham, de l’université de Californie, et Anthony Russell, de l’université de Calgary, a même décrit deux types de mouvements. Après l’amputation, la queue est capable de sautiller jusqu’à 3 cm du sol pendant quelques minutes. Des mouvements d’oscillation (gauche-droite) peuvent quant à eux être observés pendant plusieurs dizaines de minutes. Ces mêmes chercheurs ont utilisé des techniques d’électromyographie pour comprendre les mécanismes responsables de ces mouvements. Deux circuits neuronaux indépendants sont impliqués mais ils peuvent agir simultanément. Plus surprenant, l’un d’eux serait sensible à des informations sensorielles provenant de l’environnement. Le fait de toucher la queue pourrait la faire sauter. Ces résultats sont publiés dans la revue Journal of Experimental Biology. Les geckos léopards peuvent régénérer leurs queues suite à l'amputation volontaire ayant provoqué la perte de l'ancienne. © MrOkceg1, Youtube La queue amputée du gecko réagit à des stimuli Quatre électrodes ont été placées sur l'appendice caudal de plusieurs geckos endormis. À leur réveil, des stimuli ont provoqué l’amputation volontaire de leur queue, dont l’activité électrique a ensuite été enregistrée jusqu’à ce qu’elles cessent de bouger. La queue des geckos léopards oscille grâce à des activités électriques s’opérant alternativement à gauche et à droite de l’appendice, avec régularité. Les sautillements de la queue sont causés par la contraction simultanée de tous les muscles. Les deux mouvements résulteraient donc de mécanismes différents. Mais sont-ils gérés par un seul et unique circuit neuronal pouvant produire deux types d’activités ? Les contractions musculaires donnant naissance aux mouvements d’oscillation, étant régulières, ont pu être caractérisées et quantifiées. Le système des oscillations serait automatique. En revanche, l’activité électrique causant les sauts ne suit pas de règle précise ; leur survenue est plus erratique. Deux systèmes neuronaux seraient donc impliqués dans la vie postamputation de la queue. Sur la base de leurs observations, les chercheurs ont émis l’hypothèse que le second système, celui provoquant les sautillements, devait être relié à des récepteurs sensoriels de la queue. La queue des geckos a donc une vie propre pendant plusieurs minutes après sa séparation. Les sautillements provoqués par les stimuli, peut-être le contact avec des prédateurs, peuvent certainement les déconcerter et les leurrer, permettant ainsi aux geckos d’augmenter leurs chances de fuite et de survie. Source: http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/zoologie/d/liberee-la-queue-des-geckos-leopards-vit-sa-propre-vie_36195/ Article: http://jeb.biologists.org/content/215/3/435
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Les drosophiles guidées par la lumière polarisée Les drosophiles peuvent parcourir plusieurs kilomètres en ligne droite ! Grâce à quoi ? À la lumière polarisée du Soleil, comme le montrent les expériences de deux chercheurs américains. Une capacité commune à de nombreux insectes mais qui s'exprime de différentes manières. Certains animaux semblent avoir un GPS dans la tête. Ils sont capables de se guider grâce à différents éléments de leur environnement, comme la position du Soleil ou un gradient de température. Les mouches ne sont pas en reste. Des chercheurs ont montré que la drosophile peut suivre une trajectoire rectiligne pendant plusieurs kilomètres en s’aidant de la lumière. Les expériences des chercheurs du CalTech et de l’université de Washington montrent en effet que les drosophiles sont sensibles à la polarisation de la lumière et qu’en son absence, elles perdent leur capacité à s’orienter convenablement. Leurs résultats sont exposés dans Current Biology. Adaptation de la trajectoire de vol C’est en faisant subir à des drosophiles (Drosophilia melanogaster) deux séries d’expériences que ce phénomène a été mis en évidence. Dans la première, une mouche cobaye était suspendue dans l’air, attachée à un axe au niveau de l’abdomen, gardant néanmoins la possibilité de voler. Elle pouvait également voir la lumière du Soleil. Le changement d'orientation de la drosophile (de 90° environ) coïncide avec la rotation de 90° (dans l'autre sens) effectuée par les chercheurs. © John Bender/YouTube Lorsque les scientifiques faisaient pivoter l’axe de 90° toutes les 3 minutes, modifiant alors la trajectoire théorique de vol de l’insecte par rapport au Soleil, ils ont remarqué, grâce à une caméra haute vélocité, que certaines mouches rectifiaient le tir et reprenaient leur direction initiale. En revanche, quand les biologistes plaçaient autour du diptère un filtre l'empêchant de voir la lumière polarisée, et répétaient leur expérience en faisant pivoter l’axe sur lequel était attaché l'insecte, celui-ci ne reprenait pas sa trajectoire, signe que ses repères n’étaient plus détectables. La lumière polarisée guide les drosophiles Les scientifiques affirment que c’est bien la polarisation de la lumière qui guide ces diptères, au regard d'une seconde série expérience. Ils ont pour cela utilisé un appareil permettant de modifier la polarisation de la lumière, provoquant sa rotation de 90°. En réponse à cette altération, environ 60 % des mouches ont changé la direction de leur vol. Un résultat suffisant pour les chercheurs, qui considèrent que la difficulté de reproduire les conditions d’un environnement naturel explique certainement pourquoi 40 % des cobayes n’ont pas réagi au changement de polarisation. De nombreux insectes sont capables de maintenir un cap, mais les distances parcourues en vol rectiligne varient au sein de cette classe. Cependant, la région du cerveau impliquée dans la navigation sur de longs trajets est bien conservée selon la communauté scientifique. Une thèse confortée par les études sur la drosophile. Reste à savoir ce qui incite ces diptères à se diriger vers une direction ou une autre... Source: http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/zoologie/d/en-vidaco-les-drosophiles-guidaces-par-la-lumiare-polarisace_36131/ Article: http://www.cell.com/current-biology/abstract/S0960-9822%2811%2901305-4
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Les écolos ont oublié de muscler le gavial Les écolos ont quelquefois de bonnes idées, généreuses et altruistes, les résultats sont hélas souvent piteux et onéreux. Le gavial, (Gavialis gangeticus) crocodile fluvial débonnaire au long museau qui ne mange que du poisson est en voie de disparition dans les fleuves himalayens et tout particulièrement au Népal où il vit dans la région de basse altitude du Teraï. De bonnes âmes à la fibre verte se sont préoccupées de son triste sort et ont tenté depuis plus de trente ans de sauver l’espèce en la réintroduisant dans son milieu naturel. Des fonds ont été débloqués pour élever des petits gavials en bassin et les relâcher dans les fleuves une fois suffisamment grands pour qu’ils puissent se débrouiller seuls. Tout le petit monde de la protection de la nature était heureux, satisfait du devoir accompli. Le gavial n’est pas dangereux pour l’homme, son cuir est inutilisable en maroquinerie et il ne se retrouve pas à la table des touristes revenus de trekking dans les montagnes. Hélas, le bout de son museau présente une proéminence cornée appelé gara qui est appréciée des Chinois comme aphrodisiaque, bien moins coûteux que la corne de rhinocéros. Ils avaient pensé à tout, les écolos, même à des programmes de sensibilisation des populations népalaise et une aide à la pisciculture en bassin, histoire de ne pas déranger les gavials avec des filets des hameçons et des harpons. Ils avaient éduqué les pêcheurs népalais au concept du « gavial friendly » à grand renfort de séances de sensibilisation. Ils avaient même demandé aux Népalais de traquer les potentiels braconniers. Mais après trente ans d’effort, les gavials prélevés pour étude étaient bien maigrichons, pire l’animal qui atteignait jadis de 5 à 7 mètres une fois adulte, n’arrivait plus à atteindre cette taille, il crevait jeune ou restait chétif. Alors, à la suite d’un comptage scientifique, les experts ont évalués à mille, le nombre des gavials dans les fleuves népalais, alors qu’ils avaient été réintroduits des centaines, si ce n’est des milliers de jeunes depuis plus de trente ans. La nuisance causée par les Chinois, prédateurs ataviques bien connus dans l’imaginaire occidental et par la pollution népalaise riveraine n’expliquaient pas tout, loin de là. Les jeunes gavials réintroduits dans la nature étaient trop patauds pour arriver à attraper du poisson à contrecourant. Ils mourraient de faiblesse, si ce n’est de faim. On les avait élevés dans des bassins en les nourrissant en leur jetant du poisson comme à de vulgaires saumons d’élevage. Ils ne savaient pas pêcher en eau à écoulement rapide, voire torrentiel. Bref, ils étaient aussi nases que des animaux de cirques relâchés dans la nature. L’erreur magistrale des scientifiques écolos étaient d’avoir remis à l’eau des gavials gringalets, pas assez musclés. Il aurait fallu muscler les gavials ! C’est le mot exact du représentant de la fondation Lacoste, lors des interviews. Malheureusement pour les bestioles, on ne l’a pas fait. A la décharge de ce projet louable, bien plus spectaculaire que la protection du scarabée pique-prune dans les marronniers de la Charente, ce n’est pas du tout évident de muscler un gavial. Il aurait été nécessaire d’élever des jeunes dans une sorte de chenal en pente avec un fort courant pour reconstituer le milieu naturel du sympathique saurien. Inutile de dire qu’en dehors d’obstacles techniques quasi insurmontables, le prix d’une telle initiative aurait coûté bien plus qu’un transfert de deux pandas. Cependant, quitte à dépenser des millions, autant se donner les moyens du résultat escompté. Le recours à des hydrauliciens et à des ingénieurs spécialisés dans la mécanique des fluides devraient venir à bout du problème. Faire une sorte d’Aquaboulevard au Népal dans un torrent reconstitué avec pente, courant, tourbillons et contrecourant est faisable et peut se réserver payant à terme. Mais il faudrait y associer un marketing touristique agressif pour rentabiliser l’opération. Si Paris vaut bien une messe, le Gange, le Kosi, le Narayani et le Karnali valent bien un effort pour le gavial. La marque Lacoste a tout de suite compris que la défense du gavial pouvait la rendre attrayante aux défenseurs de la nature, (et de ce fait doper ses ventes) elle a donc sponsorisé des experts supposés capables de protéger le gavial. En 2009, la campagne « Save your logo » de la marque au crocodile a même intéressé Borloo et Woerth. Il est vrai que Lacoste avait injecté 1.5 million d’euros dans l’affaire. Hélas, elle a continué dans la ligne de protection initiée depuis trente ans comme celle initiée par le FDB, Fonds de Dotation pour la Biodiversité. Lacoste n’a pas réussi à muscler le gavial, mais son action a de quoi plaire aux naïfs, aux amoureux du commerce équitable, aux défenseurs de la nature sauvage, incapables de comprendre que l’alibi écolo est devenu un outil de marketing. Malgré les efforts d’associations et de fondations comme la ferme aux crocodiles, SOS Crocodiles ou autre CEPA, l’avenir du gavial se retrouve plutôt dans des parcs animaliers, zoos et fermes d’élevage comme pour les tigres, les ours ou les loups. La réintroduction dans la nature à proximité des populations semble aléatoire, même en dépensant des sommes astronomiques. La « science » des écolos est souvent du même acabit, onéreuse, irréaliste et totalement à côté des contraintes de la nature et de l’économie, même si elle part de bons sentiments. Le gavial, tout comme toute autre espèce animale mérite d’être protégée, mais faut-il dépenser des millions en pure perte, pour montrer son intérêt porté à la nature ? La plupart des mesures des écolos sont souvent de doux rêves dispendieux réalisés sans préparation ou insuffisamment préparés tout comme de nombreux projets humanitaires, plus vitrine idéologique que véritable objectif de sauvegarde ou de mise en valeur des sites. Trop de professeurs Nimbus exaltés proposent des solutions irréalistes ou trop coûteuse ; cette histoire de gavial n’est qu’un exemple parmi tant d’autres. Source: http://www.agoravox.fr/actualites/environnement/article/les-ecolos-ont-oublie-de-muscler-108310
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Impressionnnant ... L'imitateur imité ...
askook a répondu à un(e) sujet de Chance-reptil-virus dans Vidéos
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Elaf guttata (serpent roi de californie) 6 ANS NOIR ET BLANC RAYE LONGUEUR 1,43 CM DIAMETRE 3 CM FOURNIE AVEC TERRARIUM DE 1,80M LONG,60CM LARGE, 80CM DE HAUT AVEC DECO (SABLE DU SAHARA,ROCHES,ROSES DE SABLE,DIFFERENTES PIERRES, FAUSSES PLANTES,COPEAUX DE NOIX DE COCO,BASSIN,PINCE,CHAUFFAGE TROIS ZONES TERMOSTAT,ZONE FROIDE,ZONE TEMPEREE,ZONE CHAUDE,RACINES D'ARBRES.1ER MAIN DEPUIS QU'IL EST BEBE.CAUSE: PLUS ASSEZ DE TEMPS. Prix: 299€ http://www.leboncoin.fr/animaux/256854068.htm?ca=20_s
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Il y a des jours où l'on se dit que la bonne étoile est avec nous. C'est ce qu'à dû se dire le conducteur de cette Cobra, qui part en tonneau à 130 mph (210 km/h). Partir en tonneau à plus de 200 km/h dans une auto avec un toit en dur au dessus de la tête, c'est déjà synonyme de gros danger, voire plus. Mais quand cela arrive dans une Shelby Cobra, sans aucune protection, là on se dit que le pilote est mal barré, et pourtant... Dans cette vidéo, l'homme double un concurrent sur le circuit de Willow Springs à plus de 200 km/h, et soudainement part en dérive et se retrouve à l'envers (un problème de direction d'après la description). Après quelques tonneaux, l'homme s'en sort indemne, avec seulement quelques légères blessures au genou et aux côtes. Au cas où vous vous demandiez à quoi sert le petit renfort derrière le pilote sur une Cobra, vous avez la réponse. En plus de cela, la caméra est restée fonctionnelle pendant tout l'accident, et les images sont assez impressionnantes... La photo de l'état de l'auto après l'accident témoigne de la violence de l'accident. Le pire est que l'auto était à vendre, elle venait en effet de recevoir un nouveau V8 426ci (7L) stroked (terme utilisé qui signifie que la cylindrée a été augmentée en agrandissant la course du piston) avec une boîte de vitesse Tremec 5 (boîte notamment utilisée sur les Ford Mustang), le tout pour près de 14000$ dollars de travaux. Source:http://www.caradisiac.com/video-Terrible-crash-en-Shelby-Cobra-75609.htm
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